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Un affreux 23 mars 2011 à Verdun

Cet horrible jour où les services sociaux de la Meuse
nous ont enlevé nos enfants

Voir aussi:

Un certain matin du 23 mars 2011, j’ai emmenée notre fille à l’école (le collège Maurice Barrès de Verdun), comme d’habitude. Mon mari a prié le matin, comme d’habitude, il a commencé son travail dans la Science de l’Univers TOTAL, comme d’habitude. Et à midi, il est allé chercher sa fille chérie, sa Pupuce, à la sortie de l’école, comme d’habitude, tranquillement. Nous menions une vie de famille discrète, paisible, sans histoire, un train-train. C'est à Verdun, dans la Meuse, en France.

Collège Maurice Barrès

Le Collège Maurice Barrès de Verdun,
là où notre fille avait une scolarité brillante et tranquille,
jusqu'au jour où...

Puis patatras ! Mon mari ne trouve pas notre fille à la sortie de l’école, toutes les classes se sont vidées, tout le collège, toute la cour extérieure est devenue déserte. Plus personne, mais pas de Pupuce ! Et les hypocrites de femmes, comme Mme Scotti (la principale), Mme Moussa (l'infirmière) et d’autres, qui étaient devant le portail du collège Barrès et qui voyaient mon mari dans tous ses états, au bord de la crise cardiaque (persuadé qu’un psychopathe a enlevé sa Pupuce chérie), qui savaient donc ce qu’elles avaient fait, ne l’ont pas dit à mon mari qui les interrogeait avec une très grande inquiétude. « On ne comprend pas, disaient ces hypocrites, elle vous attend là d’habitude ».

Personne ne s’affolait, alors que mon mari les pressait de s’inquiéter pour la « disparition » de notre fille. Il courrait derrière la voiture de police pour les supplier de se lancer à sa recherche, de faire ce qu’il fallait avant qu’il ne soit trop tard. Mais ils le méprisaient, le traitaient comme un chien, et ce devant ces dames du collège. Mon mari revient seul à la maison m’annoncer que notre fille a disparu, et j’ai manqué de m’évanouir aussi. C’était affreux, horrible.

Et ce n'est pas tout. Du commissariat où je suis allée signaler la « disparation » de notre fille, Mr Boulier (le directeur du centre médico-social de Verdun) m'a accompagnée au domicile, comme chez un malfaiteur, flanqué des deux mêmes policiers que mon mari sollicitait devant le collège. Il est venu nous lire les accusations mensongères. Ils ont reçu l'ordre de l'embarquer à la moindre réaction. En effet, mon mari est du genre de personnes qui ont une sainte horreur de l'injustice. Très calme de nature, il n'y a que l'injustice et d'autres choses semblables qui le mettent rapidement hors de lui. Ces gens ont passé notre vie au peigne fin, ils ont lu tout ce que nous avons publié à notre site. sur les persécutions que nous subissons, depuis que nous travaillons à la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu, qui est très injustement accusée de secte en France, mais aussi au Togo, depuis des années. Ces gens savaient donc comment mon mari réagirait face à une injustice du même genre, et voulaient s'en servir contre lui.

Ils s'attendaient à une réaction de mon mari pouvant leur permettre de justifier de légitime défense. Ils pourraient brutaliser mon mari, comme c'est très souvent le cas dans ce genre de situations. Ils pourraient même le taser, et ainsi la victime de l'agression d'un système devient l'agresseur.

En arrivant à notre appartement, flanqué du sinistre Mr Boulier et de ses policiers planqués dehors, j'ai prévenu tout de suite mon mari du piège et lui ai dit: "Reste calme. Il y a deux policiers dehors, prêts à t'embarquer à la moindre réaction...".

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