Fig,
l'actrice du Cyber World (Futuroscope, France, 2003)
Angélique virtuelle, bientôt Angélique tout simplement
Maintenant
la Réalité tout simplement
Avec
le Théorème de l'Existence, DIEU n’est
plus maintenant un être ABSTRAIT,
NON visible. Un nombre, ce n’est plus maintenant
une chose ABSTRAITE, une chose des mathématiques
de Tchariè,
mais une chose bien palpable ! Il
est maintenant démontré que « Toute chose
est une existence », qui est le Théorème
de l'Existence. Une conséquence extraordinaire de ce
Théorème
est que « Toute chose est un nombre », ou que « Les
nombres sont toutes les choses». Cet important corollaire
(c’est-à-dire sous-théorème), met
définitivement fin à la conception ABSTRAITE
des nombres.
Théophile
(c'est-à-dire HubertElie) livre une rude bataille contre
l’ABSTRACTION, comme par exemple dans Père
Alpha et Fille Oméga et aussi Au-delà
de NON : La Psychologie Angélique dans JuveniliX.
L'ABSTRACTION n’est qu’une autre forme de la notion de
NON existence. C'est la notion qu'enterre aujourd'hui le
Théorème
de l'Existence, en ce sens que maintenant là où l'on
parlait de
NON existence
il faut maintenant parler d'AUTRE existence, et ce qui était
appelé une NON réalité est toujours
une AUTRE réalité. Ce qui
est une NON existence sur terre est une existence ailleurs
(en un AUTRE lieu), et ce qui est une NON réalité maintenant
sera
une réalité un AUTRE temps, ou est une réalité actuellement
mais sous une AUTRE forme.
Le NON, c'est-à-dire
l'actuelle manière de faire la négation, de nier les choses,
de dire NON Ceci ou NON Cela, introduit
la notion de Dieu NON Existence (du Dieu qui est une NON existence ou qui n'existe
pas),
ce
qui
oblige
Théophile à rétablir
les choses en parlant du Dieu Existence. C’est encore
le NON qui oblige à parler
de « manifestation concrète », alors que
chacun des mots a le même sens que l’autre. En
effet, une manifestation est tout simplement une concrétisation,
et une concrétisation est tout simplement une manifestation.
C'est pourquoi la notion de « manifestation NON concrète » est
tout simplement paradoxale. Beaucoup de notions de ce genre
sont en fait paradoxales. Par exemple, à la question de savoir
Harry Potter existe, que répondrait-on ? Si on dit NON, alors
on est dans un paradoxe, car alors on se demande pourquoi des
gens achètent des livres qui parlent d'une chose nommée Harry
Potter qui n'existe pas, qui est une NON existence ? Qu'est-ce
que les gens vont voir alors au cinéma ? Une NON existence
? Ils paient pour voir une NON existence ?
A cela on répond
par une phrase qu'on pense être de bon sens, mais qui n'est paradoxe.
En effet, on dit des choses comme : "Harry Potter n'est que de
la fiction mais pas une réalité", ou : "Harry Potter n'existe
pas en vrai". Ce qui se cache derrière ces conceptions très courantes
est celle d'"existence fictive" ou celle d'existence en faux".
On fait donc la séparation entre "existence réelle" et "existence
fictive", ou entre "existence en vrai" et "existence en faux".
Mais on remarquera que dans tous les cas on parle d'abord d'existence
avant d'ajouter ceci ou cela. Si Harry Potter n'était pas une
FORME d'existence sur cette terre, les n'iraient pas au cinéma
pour le voir. Sur cette terre il existe sous cette forme, mais
ailleurs il existe sous une AUTRE forme.
On dit qu'Harry Potter
n'existe pas en vrai" ou a une "existence fictive" our
dire qu'on peut le croiser dans la rue, au magasin ou au marché
sur cette terre. C'est tout à fait compréhensible, mais a-t-on
fait le tour de toutes les planètes, de toutes les galaxies,
de tous les univers, de l'Univers, de l'Existence entière,
pour être sûr qu'Harry Potter ne se promène pas quelque part,
dans un certain monde, dans la rue, dans le magasin, au marché,
au vu et au su de tous les gens de ce monde ? Dans un autre
certain monde, bien des réalités banales de notre monde sont
des fictions, et des
gens peuvent aller au cinéma pour voir un homme nommé George
Bush qui fait sur l'écran des choses fantastiques qu'ils ont
imaginées et qu'ils ont appelées "fiction". Mais pour nous
ici ces choses sont simplement des réalités.
Au fait, avons-nous
besoin d'aller si loin pour savoir que ce que je dis est la simple
vérité ? Par exemple pour bien des habitants de Pagouda ou du
Togo profond, la Tour Eiffel, les autoroutes, le TGV, etc., sont
des NON réalités, des choses qu'ils n'ont jamais vues de leurs
propres yeux, qu'ils n'ont éventuellement vues qu'à la télévision
ou dans un film (pour ceux qui ont la chance d'en voir). Et réciproquement,
des choses sont ici à Pagouda des réalités banales mais qui à
Paris sont considérées comme des superstitions, des légendes
ou des
fictions, bref le genre de choses que les parisiens vont par
exemple voir au cinéma avec Harry Potter ! On est donc sur la
même planète,
sur la petite terre, et pourtant sur cette terre il y a des mondes,
des univers qui s'ignorent les uns les autres, qui sont des fictions
les uns pour les autres !
Le Théorème de l'Existence
règle aujour'hui une bonne fois pour toutes la question d'existence
et de réalité en disant simplement : "Toute chose est une existence".
Ainsi, Harry Potter est une existence, un point c'est tout !
Qu'on ne se fatigue plus à faire des séparations entre "existence
réelle" et "existence fictive", ou entre "existence
en vrai" et "existence en faux". Les conceptions
de ce genre (et j'en parlerai d'autres), sont tout simplement
paradoxales, contradictoires, contre la réalité, la vérité, le
théorème, la science, la technologie. Ce
qui est fiction ici est réalité ailleurs, et vice-versa, et ce
qui
est
réalité
ici est fiction ailleurs, et vice-versa. Donc finalement, tout
est réalité et tout est fiction. C'est ce que veut faire comprendre
le Théorème de l'Existence. La Science de l'Existence parle
seulement de Réalité, et c'est cela la Réalité des angéliques.
Théophile
fait observer que les notions comme celles « réalité concrète »,
d'"existence réelle", "existence en vrai", etc., est
la répétition de la notion de réalité ou
de la notion de concret, et plus précisément la répétition
de la notion d'existence. Cela laisse entendre qu’on
puisse parler de « réalité NON concrète » ou
d'"existence NON réelle",
une notion paradoxale due au mot Non, et qui revient
en fait à parler de « réalité NON
réelle » ou d'"existence NON existante".
Une autre courante
notion paradoxale du même genre est celle de « réalité virtuelle»,
par opposition à … à quoi justement ? À « réalité concrète » ou « réalité réelle » ou
"existence existante" évidemment
! Et justement la notion de « réalité virtuelle» est
apparue (en tout cas au grand jour et est entré dans la
bouche du grand public) à l’ère du NUMÉRIQUE,
donc à l’ère du NOMBRE, pour faire la séparation
entre les réalités créées grâce
aux nombres et à la technologie des nombres (l’électronique,
l’informatique, l’automatique, la cybernétique,
etc.) et les « réalités concrètes»,
c’est-à-dire les « réalités
réelles » quoi, les « réalités
de la réalité » quoi ! On me comprend ?
Voilà tout
le problème que pose le NON, le fait de faire la négation
avec le mot NON (un mot de négation absolue), mais sans l'associer
au mot AUTRE ou ALTER, qui rend la négation realtive, qui fait
comprendre qu'une NON existence est toujours une AUTRE existence,
qu'une NON réalité est toujours une AUTRE réalité (pour plus
détails sur la question des négations, voir par exemple le
document La
chute des étoiles.)
L'usage du mot NON
(la négation absolue) sans le relativiser avec le mot AUTRE ou
ALTER, oblige à ce
genre de souffrances mentales, d'acrobaties de l'esprit pour
parler "réalité virtuelle" ou d'"existence irréelle" pour faire
des distinctions (là où il n'y a pas lieu de distinguer),
pour éviter le paradoxe qui se pose,
mais en continuant pourtant de baigner dans le paradoxe. Le NON
fait qu’on s’est compliqué la Vie, qu’on
s’est compliqué la Réalité, qu’on
s’est compliqué l’Existence.
Et puisque justement
je parle de l’ère du NUMÉRIQUE,
c’est justement le moment de réparer les choses
avec le NUMÉRIQUE, avec les NOMBRES, en partant de
ZÉRO,
du NOMBRE ZÉRO, qui doit maintenant devenir CONCRET
comme tous les nombres. C’est toute l’importance
du corollaire du Théorème de l'Existence qui
est « Toute
chose est un nombre ». Ce corollaire dit une chose
vraiment extraordinaire et très nouvelle : « TOUT
est NOMBRE », « TOUT
est NUMÉRIQUE », même les sentiments,
même
l’amour, même DIEU ! C'est cela le Cyber World,
la Réalité des angéliques.
L'Informatique
de l'Existence
La découverte du
0 a fait faire une progrès considérable à la science et à la
technologie, et a profondément changé notre quotidien. Le sytème
de numération fondamental de l'informatique (et de la cybernétique)
actuelle est le système binaire, ce qui veut dire que les nombres
sont écrits avec des 0 et des 1, appelés les bits, et qui sont
les plus petites unités d'information. Un octet est
un nombre 8 bits, par exemple 01001110, qui est 78 en décimal.
Un octet est donc une unité d'information codée sur 8 bits. Il
est d'usage de considérer les octets par paquets de mille (kilooctet
ou ko), par paquets d'un million (mégaoctet ou Mo), par paquets
d'un milliard (gigaoctet ou Go), etc. Un texte, une image, un
tableau, un fichier, un dossier, un programme, un logiciel, bref
tout objet informatique (ou numérique) est une question d'un
certain paquet de 0 et de 1, les informations élémentaires. Que
serait aujourd'hui l'ère du numérique et des nouvelles technologies
si le 0 était encore à découvrir ?
Mais a-t-on découvert
le grand secret du 0 ? C'est aujourd'hui que ce secret arrive,
et alors il va complètement changer la science, la technologie,
l'informatique, la cybernétique. On n'en était pas conscient,
mais la technologie actuelle, si prodigieuse aient été ses progrès,
a une limite, une barrière infranchissable, si la science devait
continuer sur ses bases actuelles, c'est-à-dire sur sa négation
du Théorème de l'Existence.
La séparation entre
la technologie sans le Théorème de l'Existence et la technologie
avec le Théorème
de l'Existence, c'est tout simplement celle entre la Fiction
et la Réalité (au sens actuel de ces termes), ou entre un Robot
(si perfectionné soit-il) et un Humain. Cette séparation est même utilisée actuellement
d'une manière que vous avez peut-être déjà remarquée sur Internet.
Vous vous êtes peut-être déjà rendu sur un site pour vous inscrire
pour ceci ou pour cela. Au bas du formulaire d'inscription, on
vous propose un petit rectangle contenant une combinaison de
lettres et de chiffres bizarrement déformées et qu'on vous demande
de retaper dans une certaine case. Pourquoi cela ? Très simple
: on veut simplement savoir si c'est un humain qui s'inscrit
ou si c'est un robot qui le fait automatiquement. On met alors
un handicap pour le robot, incapable de déchiffrer ces caractères
bizarres justement étudiés et fabriqués pour cela. On fait ainsi
la séparation ente l'intelligence artificielle et l'intellignce
naturelle.
Tout le monde sait
que la puissance informatique et la cybernétique ne cesse de
croître à vive
allure,
et que les limites d'aujourd'hui sont franchies demain. Quand
les robots se perfectionneront de plus en plus pour s'inscrire
comme vous, il faudra leur trouver de nouveaux handicaps, qui
les sépareront des humains. les jeux vidéo
ou les images de synthèse sont de plus en plus réalistes (et
c'est le mot !), et on essaie d'aller de plus en plus loin, de
combler le fossé entre le réel et le virtuel, entre le naturel
et l'artificiel. La fiction regorge de films où l'on voit par
exemple des robots si évolués qu'ils éprouvent des sentiments
ou qu'ils ont l'air d'avoir une "âme" !
Mais ce que je veux
faire comprendre est que tant que la science fondamentale ignorera
le Théorème de l'Existence, ce fossé demeurera toujours entre
l'homme et la machine, entre le naturel et l'artificiel, entre
le réel et le virtuel, entre la réalité et la fiction !
En effet, une des
formes les plus simples du Théorème de l'Existence est 0
= 1 ! Or la science et la technologie
actuelles refusent une telle égalité. Sans donc le
Théorème de l'Existence, le système de numération fondamental
de l'informatique est obligé d'être le système binaire,
dont les informations élémentaires sont au nombre de deux,
le 0 et le 1. Il faut savoir
que 0 et 1 sont comme Faux et Vrai,
Virtuel et Réel, Artificiel et Naturel,
Fiction et Réalité,
Machine et Homme, etc. Chacun
des couples de notions séparées est tout simplement une manière
de dire Deux ou Binaire. Tant
qu'on refusera donc de faire une science et une technologie qui
dit : 0 = 1, le couple séparé ne sera jamais
unifié, ses deux membres ne se rejoindront pas, et on ne dira
jamais : Faux = Vrai, Virtuel = Réel,
Artifiel = Naturel, Fiction = Réalité, Machine
= Homme, etc. Ce n'est que quand on commence à dire
0 = 1, donc à fonctionner avec le Théorème de
l'Existence, qu'on pose les bases d'une nouvelle science et d'une
nouvelle technologie, la Science et la Technologie
de l'Existence, dans laquelle les membres de tous les
couples jadis séparés et opposés se rejoignent enfin.
Par exemple, Impossible et Possible étaient
autrefois séparés et
opposés, ce qui fait qu'ils constituaient un système binaire,
une simple autre manière de dire 0 et 1.
En effet, dire Impossible c'est simplement
dire : 0
Possible, et dire Possible c'est
dire 1 Possible. De même, dire dire Faux c'est
simplement dire : 0 Vrai, et dire Vrai c'est
dire 1 Vrai. Il en est de même pour tous les
couples séparés et opposés Virtuel et Réel, Artificiel et Naturel, Fiction et Réalité, Machine et Homme,
etc.. D'une manière générale, tous les
couples séparés et opposés sont de la
forme 0 X et 1 X. Par exemple,
le couple Mort et Vivant est le couple 0
Vivant et 1 Vivant.
Avec le Théorème
de l'Existence, on dit désormais 0 = 1,
donc 0
X = 1 X. Alors, pour tous les
couples séparés et opposés, les membres
se rejoignent, et le système de numération n'est
plus binaire mais unaire !
Je n'entrerai pas dans le détails de ce système
ici, non pas que c'est très diffile à expliquer
ou à comprendre, mais parce
que c'est un sujet très riche qui mentrâinerait
loin, très loin
! Je l'aborde par exemple au début du document Tout
ce qu'il faut savoir, au premier item Zéro
et Théophile. Ou encore dans le document X
Science, X Prophet. Ce système de numération
et donc la nouvelle manière de faire l'informatique
qu'il fonde,
est d'une extrême simplicité. C'est l'Informatique
de l'Existence (en anglais X Computing),
un des très grand thèmes de la Science de l'Existence.
Avec le Théorème
de l'Existence, donc avec 0 = 1 ou 0 X
= 1 X, aveon a désormais Impossible
= Possible, ce qui veut dire que l'impossible est
désormais possible, les deux se rejoignent.
On a Faux = Vrai, ce qui veut dire que désormais
le Faux est toujours une AUTRE Vérité.
De même, on a Virtuel = Réel, Artificiel
= Naturel, Fiction = Réalité, Machine
= Homme, Mort = Vivant, etc.
Alors le monde entre
dans tout une nouvelle dimension, dans tout une AUTRE ère
technologique, celle du Dieu Numérique, celle du TOUT
Numérique
(en effet, rappelons-le, le Théorème de l'Existence implique
que TOUT est nombre) ! C’est
l’ère du TOUT possible, car qui dit que 0
= 1 dit
que désormais « TOUT est possible » ! C’est
alors l’ère où l’on ne parle plus de
Science Fiction, mais où la Science et la Fiction font
un. C’est l’ère où la Réalité n’est
plus séparée de la Fiction, mais la Réalité et
la Fiction font un. C’est l’ère où la
Réalité virtuelle et la Réalité font
un.
Le
Monde de Fig et Matrix
Actuellement, le
Monde de Non propose des jeux vidéo,
des êtres informatiques, des attractions réalisées
en images de synthèse, d’un réalisme saisissant.
On recherche de plus en plus ce réalisme, à se
rapprocher le plus possible de la Réalité. Si on
voit un caillou tenu par un être étrange, il faut
que le caillou et l’être en question aient l’air
plus vrai que vrai. Si des arbres parlent et marchent, ou si
l’attraction est du genre Jurassic Park, on doit avoir
l’impression de vivre une réalité, d’évoluer
au milieu des dinosaures réels, d’être réellement
poursuivi par un tyrannosaure, etc.
Mais qu’est fondamentalement le caillou de l’attraction,
ou l’être étrange, ou l’arbre qui parle
et qui marche, ou le tyrannosaure, sinon tout simplement un NOMBRE
? Oui, c’est tout simplement un code, un objet de programme
informatique, une information numérique, bref un NOMBRE
! S’il s’agit d’un jeu vidéo sur cédérom
ou sur DVD, alors le caillou est un nombre sur le support. Mais
actuellement le support est concret, matériel, tandis
le nombre est ABSTRAIT, immatériel. Cela fait que le caillou
numérique est séparé du caillou de la réalité,
et on ne voit donc pas que le caillou de la réalité est
lui aussi tout simplement un nombre comme son collègue
de l’attraction.
Une attraction m’a particulièrement marqué dans
ce qui est ou qui était appelé le Futuroscope à Poitiers,
en France. Cette attraction, ne somme Cyber World. Il s’agit
d’une galerie de plusieurs portes ou portails qui donnent
chacune accès à des mondes tous plus étranges
les uns que les autres. L’animatrice et présentatrice
de la galerie est une jeune femme nommée Fig, et Théophile était émerveillé par
la galerie de cette Angélique tout en numérique
! En effet, elle, sa galerie et tous les mondes dans lesquels
elle fait entrer, sont du TOUT NUMÉRIQUE ! Oui, Fig est
un nombre, un code, de même que les singes, les myriades
de fourmis danseuses, les autres animaux et êtres bizarres.
La galerie est rongée par des êtres aussi maléfiques
que sympathiques, des virus ou bugs mangeurs de nombres et de
codes, ce qui provoque de gros ennuis à Fig, et à la
fin une catastrophe dans la galerie.
Au-delà du
simple, très amusant et captivant divertissement que Cyber
World représente, il exprime une grande réalité et
une grande vérité qui doit aujourd'hui être
pleinement comprise : TOUT EST NOMBRE, TOUT EST NUMÉRIQUE
! Nous sommes les êtres d’une grande Informatique,
d’une
grande Cybernétique, qu’il s’agit maintenant
de pleinement découvrir et comprendre. Dans tout un
autre style, un des films qui a nourri mes réflexions
au-delà de
la fiction qu’il est, est le film Matrix ! L’idée
d’une réalité totalement informatique,
d’une
réalité ou les personnages sont des codes informatiques,
d'une réalité dans laquelle des humains réels
peuvent entrer et sortir, d'une réalité tout
en numérique qui se confond avec la réalité tout
simplement, est aujourd'hui la simple vérité scientifique.