Si ce n'est déjà fait, lire auparavant Le Soleil oublié, l'Etoile
du matin
Pour le commun des
mortels, lire un document comme HubertElie
au Maître de
Conférence n'a pas pour but de se remplir la tête
avec les connaissances et détails détails techniques
que contient ce document. Mais le but est simplement de comprendre
le FOND du problème, d'arracher le débat et les
très grandes questions de l'Existence et de l'Univers
au cercle universitaire et académique, pour le poser dans
le grand public, dans la rue et sur les places de marché.
Habituellement les grandes questions (sur l'Existence, l'Univers,
la Nature, la Vie, Dieu) sont discutées et traitées dans les cercles
fermés, dans les milieux "spécialisés",
dans les universités, dans les académies, dans
l'aréopage, dans les hauts-lieux de la connaissance. Elles sont
traitées par l'élite, par les étoiles du monde. De
temps en temps, de grandes théories
sont annoncées
par ces sommités au commun des mortels, comme ce fut
par exemple le cas de la Théorie de la Relativité d'Albert
Einstein, avec la célèbre formule E = mc².
Ce fut à l'époque une vision révolutionnaire du temps et de l'espace, de l'énergie,
des étoiles, des
galaxies,
de l'univers.
Traditionnellement,
une nouvelle théorie circule d'abord dans le milieu des
initiés,
dans le cercle des hauts diplômés (ou des étudiants
en état de l'être), dans les journaux spécialisés,
qui visent ce public spécial. Puis la théorie
est portée à la connaissance du grand public,
elle est exprimée autant que faire se peut dans
le langage courant pour que "tous" puissent
la comprendre. On appelle cette tradition pleine de condescendance
la "vulgarisation
scientifique". Les dieux, les étoiles, condescendent à mettre
leur très haut savoir à la portée du commun des mortels.
C'est à cela
que la Science de l'Existence met fin aujourd'hui, oui c'est
aujourd'hui le temps de la chute des étoiles. C'est
pour cela qu'il est très important pour le commun
des mortels de lire un document (ou plutot un livre) comme "HubertElie
au Maître de Conférence". N'ayez plus
peur d'entrer dans le saint des saints des universités,
ne craignez plus que le profane que vous êtes (peut-être)
profane le sanctuaire. Autant que faire se peut, je dis les
choses de telle manière qu'elles satisfassent les
exigences des spécialistes, et en même temps
pour que vous les compreniez et compreniez le débat
(et même pour
que vous y "participiez") sans forcément
avoir une connaissance prélable des choses dont je
parle. On ne peut "participer" (c'est-à-dire
ici se faire son opinion ou juger) à un débat
que si on le comprend. Et je m'arrange avec toute ma pédagogie
d'ancien "prof
de maths" en lycée professionnel en France (genre
d'établissement où j'ai été bien
confronté et donc bien rodé face aux grandes
difficultés
des éleves avec les "maths") pour faire
comprendre le débât et le fond du problème,
au-delà des
considérations techniques. En d'autres termes, je
m'emploie de tout mon être à faire saisir l'ESPRIT
des choses (le SENS des choses) et non pas les MOTS pour
les
dire !
Si je ne m'adressais
qu'aux spécialistes, si je n'écrivais pas en pensant
au "citoyen lambda" (ainsi que j'aime beaucoup désigner
le "commun des mortels") et le profit et la lumière
qu'il pourrait tirer de mes propos, je ne définirais pas
ce qu'est un axiome (énoncé NON
démontré posé au départ d'une théorie)
ou un théorème (énoncé démontré à partir
des axiomes), et je n'expliquerais pas le sens
et la philosophie derrière l'enoncé d'un axiome
fondamental comme l'axiome de l'ensemble vide: "Il
EXISTE un ensemble qui n'a aucun
ensemble comme élément".
Ce sont des choses banales et des lieux communs pour le spécialiste,
et dans un texte qui lui serait exclusivement réservé,
j'en ferais juste allusion et je dirais ce que j'apporte de nouveau
par rapport à cela. Je ne blesserais pas son grand honneur
de connaisseur en lui apprenant ce qu'est un axiome.
Alors le citoyen lambda qui lit cela lit simplement un débat
entre spécialistes, il ne saurait ce qu'est l'axiome
de l'ensemble vide, donc ne comprendrait pas non plus
la nouveauté que j'apporte, ce qui manque aux mathématiques
et aux sciences actuelles, à savoir l'axiome de
l'ensemble plein : "Il EXISTE un ensemble qui
a tout ensemble comme élément".
Ce qui intéresse avant tout le citoyen lambda, c'est de
comprendre la très grave anomalie dans les sciences actuelles,
due aux mauvais principes sur lesquelles elles reposent : ces
sciences se font avec le Vide sans le Plein,
le Rien sans le Tout, le Zéro sans
l'Infini (et c'est pour cela qu'on dit qu'il
est "impossible" de diviser par 0,
parce que le résulat est l'Infini), l'Alpha sans
l'Oméga, le Commencement sans
la Fin, etc. Et c'est pour cette raison que
de grandes notions de la vie courante, comme par exemple celle
de Dieu, ne pouvaient pas être scientifiquement
définies et étudiées.
En effet, les notions
de Plein, de Tout, d'Infini,
d'Oméga, de Fin, etc.,
sont les caractéristques mêmes de la notion de Dieu,
sa signature scientifique, surtout quand elles COEXISTENT avec
les notions de Vide, de Rien,
de Zéro, d'Alpha, de Commencement,
etc.. Une notion de cette dernière catégorie, sans
celle correspondante de la première catégorie ou
vice-versa, perd son sens, et on fait alors une science qui est
alors en réalité bâtie à l'origine
sur un Paradoxe (Contradiction). Parler du Vide sans
le Plein par exemple est une énorme aberration
scientifique. Ce
qu'est par exemple l'actuelle Théorie axiomatique
des ensembles, le fondement de la quasi
totalité des mathématiques actuelles, qui elles-mêmes
sont le fondement des sciences et des technologies. Cette théorie
axiomatique fonctionne avec seulement l'ensemble vide mais
sans l'ensemble plein ou ensemble de
tous les ensembles. Pour éviter des paradoxes
(dit-on), on a justement bâti cette théorie pour éliminer
des ensembles importants comme l'ensemble plein.
Un autre important ensemble ainsi éliminé des sciences
est le Dernier ordinal (ou Dernier nombre).
En fait il s'agit simplement du même ensemble plein mais
sous une autre forme, dans sa signification numérique.
La signification numérique de l'Ensemble vide est
le Zéro, encore appelé techniquement Premier
ordinal, et que j'appelle l'Alpha dans
la théorie universelle des ensembles que je fais maintenant
découvrir au monde. Et la signification numérique
de l'ensemble plein est l'Infini (le
vrai !), techniquement appelé Dernier ordinal,
et que j'appelle l'Oméga.
Quand j'ai parlé d'Infini,
j'ai précisé le VRAI. En effet, les sciences actuelles
utilisent une grande variétés de notions d'infini,
notés par divers symboles, dont le plus connu est "8" mais
horizontal. Je le décris car malheureusement les symboles
techniques ou spécialisés n'apparaissent pas bien
dans les navigateurs, et (par manque de moyens), je ne fais pas
ce travail avec les outils spécialisés qu'il faudrait.
Ceci dit, je reviens à mes
moutons au sujet de l'Infini, et en particulier
noté par le symbole qui est un "8 couché",
que beaucoup connaissent. Cela peut surprendre quand je dis que
l'Infini est hors des sciences actuelles. En effet, on peut très
facilement trouver le mot "infini" ou
un de ses symboles dans un livre de mathématiques ou de
physique, et lire des choses comme : "Limite de la fonction f quand x tend
vers l'infini", etc. Cela donne la fausse
impression que l'Infini est au coeur de la science
actuellement. Mais pour qu'il en soit vraiment ainsi, on devrait
dire ainsi dans l'exemple précédent : "Valeur
de la fonction f quand x est égal à l'infini".
On ne devrait même pas employer le mot "infini" dans
son sens actuel, c'est-à-dire de négation de la fin.
Mais ce mot devrait signifier justement "fin", "tout", "plein", "dernier", "oméga",
etc. Les notions actuelles d'infini sont toutes
des notions faibles ! Aucune ne correspond vraiment à la
vraie notion d'infini, c'est-à-dire à l'infini le
plus grand qui soit, à l'infini ultime, à l'infini
final, bref à la Fin quoi !
C'est celui qui est exprimé en théorie des ensembles
par l'Ensemble de tous les ensembles, et que
j'appelle l'Ensemble plein. C'est celui qui
est actuellement appelé le Dernier ordinal (ou Dernier
nombre), et c'est celui qui devrait être en algèbre
le résultat de la division de 1 par 0.
C'est celui que je nomme l'Oméga, et
c'est celui que les sciences actuelles qualifient au mieux de "NON
défini" et au pire de "NON existence" ou
de "NON possibilité". D'où la plus que
célèbre dite impossibilité de diviser
par 0 !
Mais cette impossibilité est
simplement celle des lacunes des sciences actuelles, dues au
fait qu'elles sont fondées sur de très mauvaises
bases. C'est pourquoi elles ne peuvent pas intégrer des
importantes notions de la vie comme par exemple celle de Dieu.
Car le problème de Dieu est tout simplement
le problème de l'Infini. Le Zéro est
une forme une forme du même problème, car il y a
l'Infini il y a aussi Zéro et
vice-versa. C'est justement pourquoi aussi la découverte
du Zéro fut très difficile et
longue, et aujourd'hui il est si familier qu'on pense à tort
qu'il en a toujours été ainsi.
Le Zéro et
l'Infini sont les deux extrémités
du même problème, donc le même problème.
Ils sont inséparables, car ils sont techniquement parlant
l'inverse l'un de l'autre. Dire une chose avec
l'un, c'est dire aussi exactement la même chose avec l'autre,
sous une autre forme. Par exemple, un
cercle de rayon Infini est un cercle de courbure Zéro,
et vice-versa, car le rayon et la courbure sont
des notions inverse l'une de l'autre, exactement comme Zéro et Infini.
Quand l'une est Zéro l'autre est Infini,
et quand l'une est Infini l'autre est Zéro.
De même, un
conducteur de résistance Infini est un
conducreur de conductance Zéro, et vice-versa.
Une onde de fréquence Infini est une
onde de période Zéro, et vice-versa.
On ne peut donc pas
vraiment faire une science avec le Zéro (l'Ensemble
vide) à l'intérieur et l'Infini (l'Ensemble
plein) à l'extérieur, et jugé comme
une NON existence, où une chose NON définie. Celui
qui parle du Rien mais qui ne parle pas du Tout,
ne parle justement que du Rien ! Et celui qui
parle du Commencement (l'Alpha)
mais qui dit que la Fin (l'Oméga)
est une NON existence ou est NON définie, n'est qu'au commencement de
la science, sa science est seulement au stade alpha.
Et c'est le cas des sciences actuelles.
Une science qui sépare
donc les deux inséparables est dans un paradoxe qu'elle
doit absolument résoudre ! Quelque chose ne tourne pas
rond dans cette science, et il s'agit de bien poser le diagnostic,
et de bien identifier la cause profonde du problème. La Science
de l'Existence a bien identifié la cause, et
elle se résume au mot NON, la manière
actuelle de faire la négation. Un autre très
important mot du langage pour faire la négation est ignoré,
et c'est justement le mot AUTRE, en latin ALTER.
Si vous me proposez
une pomme, je peux dire NON pour faire une négation
absolue, c'est-à-dire pour signifier que je ne
veux ni la pomme, ni la poire, ni l'orange, ni aucun fruit, ni
aucune nourriture, ni aujourd'hui, ni demain, ni ici, ni ailleurs,
etc. C'est tout l'intérêt du mot NON,
de la négation absolue, mais c'est aussi
tout son danger si on ne raisonne qu'avec elle. Elle doit aller
de paire avec la négation relative, celle
qu'incane le mot AUTRE ou ALTER.
L'autre façon donc de dire NON à la
pomme proposée est de sous-entendre AUTRE.
En effet, on peut dire NON à la pomme
golden mais vouloir une AUTRE pomme, une AUTRE variété,
une fuji par exemple. A moins qu'on dise NON pour
signifier qu'on veut un AUTRE fruit que la pomme,
une AUTRE nourriture. Mais on peut dire NON pour
dire qu'on veut une pomme ou quelque chose une AUTRE fois,
etc.
Bref, faire la négation
avec NON sans ALTER, dire NON sans
laisser la place à l'AUTRE, c'est faire
une très mauvaise négation, c'est le grand problème
des sciences actuelles, et c'est plus généralement
le problème même du monde et de sa façon
actuelle de penser. C'est ainsi qu'on peut dire que Dieu est NON défini,
ou que Dieu est un NON objet
des mathématiques, ou plus généralement
que Dieu est une NON existence.
Mais que signifie ce NON ? Est-il sans ALTER ?
Dans ce cas il est absolu et ne laisse donc
la place à aucune alternative, très
important mot pour la Science de l'Existence, car il contient
le préfixe ALTER ou AUTRE.
C'est ainsi qu'on peut, avec NON, nier absolument
l'existence Dieu, parce qu'on pense qu'on ne
le rencontre pas actuellement sur Terre. Mais si le NON est
avec ALTER, il est alors relatif,
et alors c'est la bonne façon de raisonner. Celui qui
sait raisonne ainsi, sait toujours que Dieu est
sur une AUTRE planète, dans une AUTRE galaxie,
dans un AUTRE univers, etc. ! Et même
il peut dire que Dieu est sur Terre sous une AUTRE forme,
que celle attendue. Il comprend alors que Dieu est
toujours sur Terre, il est partout, sous une forme ou sous une AUTRE.
Il comprend que dire que Dieu est une NON existence c'est
toujours dire qu'il est une AUTRE existence,
si dans sa négation le mot NON va toujours
de paire avec le mot AUTRE. Et alors s'il est
un mathématicien, dire que Dieu est NON objet
des mathématques ou que ceci ou cela est NON défini,
c'est toujours dire que Dieu est AUTRE objet
des mathématiques ou est un objet d'une AUTRE mathématique.
Et ce qui est NON défini est toujours AUTRE défini.
Par exemple, l'Ensemble vide (le Zéro donc,
le Premier ordinal), est simplement une AUTRE définition
de l'Ensemble plein (l'Infini donc,
le Dernier ordinal). En effet, ce qui est Vide dans
un sens est Plein dans un AUTRE sens,
et ce qui est Premier dans un sens est Dernier
dans un AUTRE sens. C'est toute l'importance
de faire la science avec le NON et ALTER.
Le NON est
comme le Zéro et ALTER est
comme l'Infini.Quand on fait la négation
seulement avec le NON, la logique scientifique
est alors la Logique de Non, l'actuelle logique.
Alors puisque ALTER est absent des sciences,
l'Infini ne peut donc qu'être absent lui
aussi, et les sciences ne peuvent qu'avoir toutes les peines à l'intégrer.
Toute tentative de l'intégrer provoque des paradoxes (ou
contradiction), et c'est justement ce qui se produit dans l'actuelle
théorie des ensembles avec le problème de l'Ensemble
plein ou du Dernier ordinal, ou encore
de la division par 0 en algèbre. C'est
donc avec NON et ALTER que
le Vide et le Plein, le Zéro et
l'Infini, l'Alpha et l'Oméga,
sont pleinement intégrés à la science et
j'appelle cette association le Cycle, car un Cycle est
par définition un Commencement et une Fin.
Et surtout (et c'est là le point le plus important), un
le Cycle signifie qu'à la Fin on
revient au Commencement, à l'Infini on
revient à Zéro, exactement comme
par exemple dans le cycle du jour de 24 heures.
Dire 24 heures, c'est dire aussi 0 heure,
car à la fin du jour commence un AUTRE jour.
Dans cette logique, la Logique d'Alter, on dit
alors très allégrement 0 = 24.
La formule générale du Cycle est
: Alpha = Oméga, ou : Zéro
= Infini. La façon la plus simple d'exprimer
le cycle est : 0
= 1 !
Ce sont des choses
qu'on ne dit jamais en science et même dans la vie en général
quand on ne fonctionne qu'avec le Non. Mais
ce sont des choses qu'on dit quand on fonctionne avec Non et Alter. Les
deux doivent fonctionner en tandem dans la science, en équipe.
Et alors la science est parfaite, absolue !
Et alors c'est tout simplement la Science de Dieu !
Pour aller de l'avant,
beaucoup plus de l'avant, les sciences actuelles doivent maintenant
corriger leur logique pour qu'elle devienne la Logique
d'Alter. Pour information, la Logique de Non (l'actuelle
logique scientifique et l'actuelle manière de raisonner
et de voir les choses) ignore ALTER. Mais la Logique
d'Alter intégre complétement la Logique
de Non. Celui qui raisonne avec Non ne
raisonne qu'avec lui. Mais celui qui raisonne avec Alter raisonne
aussi avec Non. La Logique d'Alter est
simplement une logique supérieure, infiniment supérieure
au plein sens du terme ! On fait avec Alter tout
ce qu'on fait avec Non, ce qui veut dire qu'on
ne perd rien des acquis scientifiques actuels, ceux obtenus en
faisant la science avec Non. Mais on peut maintenant
faire une infinité (au plein sens du
terme !) de choses avec Alter qu'on ne pouvait
pas faire avec Non ! La raison est toute simple
et je vous l'ai dite : les sciences ne fonctionnaient qu'avec Zéro et
excluaient l'Infini, l'ultime, le vrai ! C'est
pourquoi une infinité de choses ne pouvaient
qu'être scientifiquement et technologiquement impossibles.
Le plus triste exemple et le plus parlant pour le citoyen lambda
est la dite impossibilité de diviser par 0 !
Alors l'une des conséquences technologiques de cela (et
c'est très loin d'être la plus handicapante) est
que quand on essaie de faire ce genre d'opération (donc
par exemple 1 divisé par 0) sur les calculatrices,
les ordinateurs, les tableurs, les programmes et les logiciels
etc., on obtient un message d'erreur ou un message
d'impossibilité. On s'est habitué à cela,
et beaucoup (qui ne sont pas des matheux ou des scinteifiques)
ont admis cette dite impossibilité sans se poser trop
de questions. Et aussi bien eux que les spécialistes de
la chose ne mesurent pas vraiment tout le handicap et toute l'infirmité scientifique
et technologique qui résulte de cette dite impossibilité de diviser
par 0 !
Vous le savez sans
doute. Avant d'arriver à des réalisations technologiques
qui changent beaucoup la vie courante (comme par exemple aujourd'hui
le téléphone ou les ordinateurs), il y a des étapes à franchir.
Cela commence toujours par une science fondamentale. Puis la
science appliquée prend le relais, comme tremplin pour
une réalisation technologique. Cela veut dire donc que
toute impossibilité technologique commence toujours par
une impossibilité fondamentale, et toute possibilité fondamentale
prépare toujours la voie pour une possibilité technologique.
Aujourd'hui, bien des réalisations technologiques qui
ont changé notre quotidien sont la résultante de
découvertes fondamentales, certaines remontant à plusieurs
siècles et même des millénaires ! Ceux qui
ont fait cette découverte théorique à l'époque étaient
très loin d'imaginer leurs implications dans l'avenir,
ils ne se doutaient pas du tout que cela se traduirait par des
choses qui font aujourd'hui partie de notre quotidien, qui sont
mêmes devenues très banales pour beaucoup. Certaines
choses ont été créées pour répondre
simplement à des soucis internes aux sciences théoriques,
par exemple pour résoudre telle équations, pour
démontrer ceci ou cela. Le souci de l'inventeur n'était
pas de savoir si un jour son invention pourrait trouver une application
pratique. Il lui suffisait que cela réponde à son
besoin théorique du moment. Mais bon nombre de ce genre
de découvertes ont pris ensuite des tournures très
inattendues, et ont eu des applications très surprenantes,
certaines heureuses et d'autres très malheureuses. Mais
je suis du genre à dire toujours que le Bien triomphera
finalement sur le Mal, Dieu finira par vaincre
le Diable ! C'est l'idée maîtresse
de la rubrique Dieu Existence de ce site.
La découverte
du Zéro a considérablement fait
progresser la science et la technologie, et ouvert la voie à l'ère
des nouvelles technologies que nous vivons. Ce que le simple Zéro,
le simple Rien, a permis d'accomplir, l'Infini,
le Tout, le fera infiniment plus
! Les miracles de Jésus dont parlent
les évangiles sont restés jusqu'ici une simple
question de croyance mais pas de science, et encore moins de
technologie. Et avec les sciences dans leurs états actuels,
et malgré tous les progrès qu'elles ont permis
de réaliser, ce n'était pas demain la veille de
la résurrection des morts ou de la vie éternelle
que Jésus a prêchée ! Voilà quelques
exemple très parlants des infinités de choses qui
ne pouvaient pas être faite avec la Logique de
Non. La Logique d'Alter ouvre maintenant
la voie à de perspectives grandioses, à un monde
où plus rien ne sera comme avant. Il en est simplement
ainsi parce que la nouvelle logique intégre maintenant
pleinement l'Infini, l'Ensemble plein,
le Tout, le Dernier, l'Oméga,
j'ai dit Dieu !
Quand on disait en
philosophie, en métaphysique, en théologie ou en
religion, que Dieu est le "créateur
de toutes choses (de Tout)",
qu'il est omniprésent (qu'il est partout), omniscient (qu'il
possède toute science), omnipotent (qu'il
détient toute puissance), etc., on ne
faisait que dire avec d'autres mots le sens de Plein,
de Tout, d'Infini, d'Oméga,
de Fin, etc.. Cette
phrase du dernier livre de la Bible : "Je suis l'Alpha et
l'Oméga, dit le Seigneur Dieu,
celui qui est et qui était et qui vient, le Tout-Puissant" (Apocalypse
1 : 8), n'est plus désormais une déclaration seulement
bonne pour la religion ou pour les théologiens, mais il
s'agit maintenant d'une déclaration d'une Science
Exacte. C'est tout simplement une autre façon
d'exprimer le Théorème
de l'Existence ou le Cycle. Exprimée
mathématiquement, cette phrase dit simplement : Alpha
= Oméga = Dieu, donc simplement Alpha
= Oméga.