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Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
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Théorie axiomatique des ensembles :
la fausse solution !


Vidéos : 1) La science exacte qui ment 2) Toute la lumière sur les Paradoxes

En 1882, Georg Cantor introduisit la très importante théorie des ensembles*. Pour Cantor, "un ensemble est un groupement en un tout d'objets bien distincts de notre intuition ou de notre pensée". On ne tarda pas à découvrir des paradoxes dans cette théorie. On affirma alors que les paradoxes sont dus au fait que Cantor utilisait une notion d'ensemble dite "naïve", "trop générale", "pas rigoureuse", etc., ce qui signifie qu'elle n'est soumise à aucune "axiomatique". La méthode axiomatique serait donc le gage de la "rigueur", et aussi la vraie et seule solution au problème des paradoxes.

La méthode axiomatique est rigoureuse, certes, mais il peut tout à fait exister une méthode mathématique tout aussi rigoureuse (sinon bien plus) mais qui n'est pas nécessairement la méthode. C'est le cas de la méthode que je nomme la théorématique, dont la philosophie, le paradigme et la logique sont exposés dans des documents de la page Logique Alternative, Logique Nouvelle. C'est une méthode bien plus simple, plus naturelle, plus universelle, en parfait accord avec la Réalité qu'est l'Univers, et bien plus puissante et féconde. Elle donne lieu à la Théorie théorématique des ensembles (par opposition donc à la Théorie axiomatique des ensembles), que je nomme plus souvent la Théorie universelle des ensembles. Non seulement elle reprend la conception très naturelle et intuitive des ensembles qu'est celle de Cantor, mais elle l'étend infiniment, jusqu'à la rendre tout simplement universelle.

Je m'en vais ci-après mettre en évidence les insuffisance pour ne pas dire simplement la "fausseté" de la méthode axiomatique actuelle, à travers quelques exemples simples, la notion de variable et la notion d'infini. Mais plus que de la méthode axiomatique proprement dite, c'est le paradigme scientifique actuelle qui est faux, en ce sens qu'il ne permet qu'une infime partie des vérités que l'on peut exprimer, et barre la route devant la route devent la quasi totalité de la vérité scientifique. Il suffit de changer de paradigme pour que la même axiomatique se transforme en théorématique.

La question de la variable

La méthode axiomatique ne résout pas vraiment le problème des paradoxes. La solution n'est qu'en surface, et quand on examine la chose en profondeur, on s'aperçoit que cette méthode est elle-même coupable de paradoxes très subtils et très cachés, et même carrément des aberrations, comme par exemple le fait de faire une théorie des ensembles* avec l'ensemble vide mais sans l'ensemble plein ! Il y a aussi le fait que le mathématicien ou le physicien (et plus généralement tout ce qui utilise les mathématiques) se servent d'une importante notion nommée "variable", la plus classique étant X, pour dire des choses comme X = 0, X = 1, mais en refusant de dire : 0 = 1, qui est en fait l'égalité qui justifie la notion même de variable. Ce genre d'écriture viole subrepticement la transitivité de l'égalité, car si avec un même être X on peut écrire X = 0 et X = 1, cette loi de transitivité oblige à dire aussi que 0 = 1 ! Sinon la notion actuelle de variable est fausse, elle n'est qu'un subterfuge et un tour de passe-passe pour cacher une contradiction dans laquelle se trouve le paradigme scientifique actuel.

Et, plus simplement, cette égalité du genre X = 0 ou X = 1 cache quelque chose d'anormal (à moins de reconnaître enfin que 0 = 1 est une vérité mathématique, un autre genre de vérité scientifique) qui échappe à tous à cause de cette hypnose collective. En effet, X est une variable, donc une non-constante; et 0 ou 1 est une constante, donc une non-variable. Que peut vouloir alors dire une égalité comme : X = 0 ou X = 1, donc une égalité entre une non-constante et une constante, ou entre une variable et une non-variable ? Si un extraterrestre (comme E.T. ou le maître Yoda...) débarque chez nous, si on lui apprend notre langage et le sens de nos mots et symboles, on lui expriquer le signe "=" (prononcé "égale" en français s'il débarque en France) signifie que ce qui est à gauche du signe et ce qui est à droite du signe sont la même chose, ce sont deux noms différents pour désigner une même chose. Donc, théoriquement, tout ce qu'on peut dire de ce qui est à gauche, on peut le dire aussi de ce qui à droite, puisque les deux désignent la même chose, ou "sont" la même chose. Si le premier est divisible par 2, alors le second l'est aussi, et vice-versa; si le premier est infini, le second l'est aussi et vice-versa, etc. Donc si le premier est une variable le second l'est aussi, et vice-versa; et si le premier est une constante, le second l'est aussi, et vice-versa. Sinon que peut vouloir dire une égalité comme X = 0 ou X = 1 ? Il va naturellement conclure que si on écrit : X = 0, c'est que les deux sont la même chose ! Et donc si après avoir si magniquement défini la notion d'égalité qu'il connaît très bien lui aussi dans son monde, autrement dit si on lui a défini une notion qu'il a identifiée comme signifiant l'égalité, et qu'on lui dise que malgré qu'on écrive X = 0, il ne faut pas confondre la variable X avec la constante 0, alors il va simplement conclure que les terriens sont des diables qui soufflent le chaud et le froid, bref qui mentent !

La seule façon de ne pas mentir et d'être cohérent sur toute la ligne, est de dire simplement qu'une variable est toujours aussi une constante, et vice-versa. C'est ce qui justifie vraiment une écriture du genre X = 0 ou X = 1. Autrement dit, pour ne pas mentir, il faut simplement dire que 0 = 1. Comme les terriens, l'extraterrestre sait que 0 = 0 et 1 = 1, puisque toute chose est avant tout elle-même. Mais il sait aussi que toute chose est dynamique, variable, changeante, comme les humains qui bougent et changent en permanence. Même l'Univers qui est la chose par excellence qui est toujours égale à elle-même, change et évolue. La science supérieure de l'extraterrestre prend cette réalité-là aussi en compte dans sa conception de l'égalité, qui n'est donc pas une conception seulement statique, comme celle des terriens. Il sait que toute constante varie aussi ! Paul Legirard est une contante nommée ainsi pour la différencier des autres constantes, comme Pierre Duchemin. Mais Paul Legirard est une variable, car il a beaucoup varié (ou changé ou évolué) depuis son âge de bébé (et même avant sa naissance !) jusqu'à son âge d'adulte, et il variera jusqu'à sa mort et même après !) Il est en fait un ensemble d'êtres nommé Paul Legirard, dont chaque élément est ce qu'il est à un moment donné. C'est alors sa valeur à ce moment-là, comme le fait de dire X = -1 (sa valeur par exemple un mois avant sa naissance, dans le ventre sa sa mère), X = 0 (sa valeur à sa naissance), X = 1 (sa valeur un mois après sa naissance), etc. Voilà donc pourquoi l'extraterrestre sait que toute constante est aussi une variable et vice-versa, et donc chez lui, si on dit X = 0 et X = 1, on doit dire aussi logiquement 0 = 1 !

Chez lui ,on dit simplement : 0 = 0, 0 = 1, 0 = 2, 0 = 3, 0 = 4, etc. Ainsi donc, 0 est lui-même d'abord, puis il est aussi tout autre nombre. Il est la première des variables, et c'est ce que pour lui signifie X = 0. Chez lui donc, quand il dit une chose comme X ou N, cela signifie un variable quelconque, non précisée, bref simplement un nombre quelconque non précisé. Et par défaut ce nombre est 0, la variable par défaut donc.

Avec cette variable par défaut, il dit donc : 0 = 0, 0 = 1, 0 = 2, 0 = 3, 0 = 4, etc., et il appelle ces égalités respectivement : le cycle 0, le cycle 1, le cycle 2, le cycle 3, etc. Chaque cycle (un cycle N donc), est un type d'égalité (de forme générale 0 = N), donc un type de science (par exemple la science du cycle N). Toute la science des terriens est pour lui seulement une science du cycle 0, car les humains ne fonctionnent qu'avec un seul type d'égalité, celle du genre 0 = 0, 1 = 1, 2 = 2, X = X, qui sont des égalités du cycle 0. Mais sa science est bien supérieure car elle faite avec tous les cycles !

La question d'infini

C'est avec le cycle 1 (ou 0 = 1) que commence véritablement la notion de variable, car alors 0 prend une autre valeur que lui-même, il a changé, il a varié. Sinon, évidemment, il n'est qu'une constante quand on ne dit que 0 = 0. Mais chez l'extraterrestre, la notion d'infini n'est qu'une manière de dire "variable". Il ne sépare donc pas inutilement les choses comme le font les terriens, qui sont obligés de le faire pour masquer leurs contradictions et avoir le sentiment de faire une science sans contradiction. Ils savent par exemple qu'il y a autant d'éléments dans l'ensemble : {1, 2, 3, 4, 5, ...}, qui est l'ensemble des entiers naturels privé de 0, que dans l'ensemble : {0, 1, 2, 3, 4, 5, ...}, qui est l'ensemble des entiers naturels tout entier. Et plus généralement, tout cardinal infini w vérifie l'égalité : w = w + 1. Cela traduit la vérité très intuitive que l'infini reste l'infini si on lui ajoute 1.

C'est cette simple vérité qu'exprime le cycle 1, qui dit 0 = 1. Cette égalité qui définit la notion de variable, est aussi la définition la plus simple de l'infini. En effet, dire qu'un nombre infini w vérifie w = w + 1, c'est dire simplement : w - w = 1, donc 0 = 1, en calculant avec l'infini comme avec n'importe quel nombre ! Avec le cycle, on ne craint plus rien (on n'a plus une crainte morbide de la contradiction), car tout ce qu'on risque c'est d'écrire une égalité entre deux choses différentes, et alors on exprime simplement un certain cycle ! Cette égalité signifie simplement que ce cycle est la réponse (ou une des réponses) au problème.

Les terriens savent aussi que l'infini w vérifie l'égalité : w = w + w, car ajouter l'infini à l'infini, donne toujours l'infini. Par exemple, l'ensemble P des nombres entiers pairs ({0, 2, 4, 6, 8, ...}) , l'ensemble I des nombres entiers impairs ({1, 3, 5, 7, 9, ...}), et l'ensemble N tout entier des entiers naturels ({0, 1, 2, 3, 4, 5, ...}), ont exactement le même nombre d'éléments, ce qui s'écrit donc : w + w = w ou w = w + w, où w désigne ainsi le premier cardinal infini, qui le cardinal de N (le nombre de ses éléments). Et un calcul très normal avec w (comme avec tout nombre) donne : w - w = w, donc : 0 = w, qui est l'expression du cycle infini, une autre simple définition de l'infini. Cette définition nous apprend que la notion de variable et celle d'infini sont la seule et même notion.

Bref, on a appelé une "contradiction" ou "paradoxe" le fait de dire par exemple que 0 = 1 ou que 0 et l'infini sont la même ma chose. Il en est ainsi par ce que toute la science (et les mathématiques en particulier) sont bâties sur un principe de non-contradiction infiniment limitateur de la vérité scientifique, qui rend la science actuelle (et en particulier celle faite avec la méthode axiomatique très esclave de ce principe) coupable au moins d'un mensonge par omission. En effet, quand dans l'océan infini de la vérité scientifique (celle de tous les cycles) on ne dit qu'une petite goutte qui est celle du seul cas du cycle 0, alors on ne parle plus d'omission ou de demi-verité, mais de fausseté et de mensonge ! Et cela devient carrément le mal ou la méchanceté, quand, tels des Kronecker face à Cantor, on traite l'"extraterrestre" qui apporte la vision nouvelle des choses de "charlatan de la science", de "fou", de "débile", etc.. Une telle attitude hostile appelle en réaction une attitude hostile de la part de l'"extraterrestre", là où n'avait aucune intention de se montrer désobligeant à l'égard de la communauté scientifique actuelle, mais n'a pour seul souci que de faire progresser la science !


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