Réisidence du Président togolais le jour de la cérémonie de clôture des Evala du 16 juillet 2006,
la veille de la seconde audience accordée par le chef de l'état togolais pour lui présenter la Science de l'Existence ou Science de Dieu,
dont la nouvelle appellation à partir de 2008 est Science de l'Univers TOTAL ou Science de l'ETRE

La Science de l'Existence que l'on peut aujourd'hui amplement découvrir dans ce site a été lors de deux audiences (les 9 et 17 juillet 2006) présentée à Faure Essozimna Gnassingbé, le président de la république togolaise, dans sa résidence de Pya. Le chef de l'état a confié le dossier à Kokou Tchariè, son conseiller mais surtout Maître de Conférence et Professeur de mathématiques à l'Université de Lomé. Mais celui-ci (en "bon" Kabyé, togolais ou africain noir dans le plus mauvais sens de ces termes) ne cherchait qu'à enterrer le dossier et à barrer la route du "succès" devant ce projet au Togo. A la demande du chef de l'état, il a daigné accorder une séance de travail pour ce dossier, ce qui eut lieu à l'Hôtel Kara le 29 juillet 2006. C'est là où le Théorème de l'Existence (ou la Loi de l'Univers) a été démontré, expliqué et argumenté devant Kokou Tchariè.

Hôtel Kara, à Kara, au nord du Togo
Le lieu de la première et dernière séance de travail accordée par Kokou Tharié le Maïtre de Conférence,
pour pour lui expliquer la nouvelle Théorie universelle des ensembles
et lui démontrer le Théorème de l'Existence

Mais il n'avait rien à foutre de la vérité mathématique ni de ce que quelque chose d'aussi important dans l'histoire des sciences survienne au Togo, de la part d'un fils du pays, et de surcroît Kabyè comme lui. Son seul souci était simplement de se débarasser au plus vite du dossier, d'oeuvrer pour le faire classer "sans intérêt" donc sans suite. Il n'a même pas voulu prendre le cédérom contenant les travaux au grand complet de la nouvelle science, ni la thèse de 150 pages qui lui était destinée et que lui-même avait réclamée, ni les articles qu'il avait demandés pour les soumettre aux journaux scientifiques, etc. Il a demandé tout cela juste pour gagner du temps, car la thèse et tout ce qu'il exigeait nécessitaient un certain temps, et il espérait ainsi enliser le dossier dans la durée. Mais manque de chance pour lui, tout cela a été produit en un temps record (au prix de plusieurs nuits sans sommeil de ma part). Au pied du mur, il n'a donc pas pris ce que lui-même avait réclamé. Il n'a cessé de donner des raisons bidons et toutes plus abracadabrantes les unes que les autres. Tous les prétextes étaient bons pour se débarasser de l'affaire, dont cette affirmation de sa part selon laquelle à cause de la mondialisation, le Togo ne peut pas prendre l'inititiative d'innover en matière scientifique...

Bref, on ne s'étonnera pas que cette séance de travail soit la première et la dernière. Il y a consenti juste pour pouvoir faire son "rapport" au chef de l'état et dire qu'il a fait son boulot, que sa mission a été accomplie, qu'il a examiné le dossier. Je n'ai eu aucune suite de sa part, et toutes les tentatives ultérieures pour savoir de lui quelle est la suite du dossier se sont heurtées à des réponses évasives et expéditives, à la magnifique langue de bois et aux mensonges du Diable, que seuls les hommes politiques au plus mauvais sens du terme ont l'art de manier ! Il a tout simplement enterré ce dossier au Togo... Je prends Dieu à témoin que ce genre de personne, tôt ou tard, payeront très cher pour leurs actes !