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Toute chose est une existence

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
Accueil > Science Nouvelle > Le Problème de l'Infini

Le Problème de l'Infini
ou Le plus grand secret ignoré du Zéro et de l'Infini
ou Comment la science actuelle se heurte au Cycle

Depuis l'antiquité l'Infini a posé des problèmes aux philosophes et aux scientifiques,
il a donné lieu à toutes sortes de paradoxes, ou ce qu'on a considéré comme tels.
Voici quelques problèmes qui traduisent les caractéristiques mêmes de l'Infini :

1) "Comment un ensemble peut-il avoir toujours le même nombre d'éléments,
qu'on lui ajoute ou qu'on lui enlève un élément ?"

2) "Quel est le nombre qui reste égal à lui-même, qu'on lui ajoute ou qu'on lui retranche 1 ?"

3) "Comment un ensemble peut-il avoir le même nombre d'éléments que sa moitié ?"

4) "Quel est le nombre qui ajouté à lui-même donne lui-même ?"

5) "Comment peut-on dire qu'il y a autant de points dans un segment de 1 mm de long que dans toute une droite ?"

6) "Comment peut-on dire qu'il y a autant de points dans un segment de 1 mm de long
que dans tout un plan, un espace à trois dimensions, et même quatre, et même cinq, etc. ?"

7) "Pourquoi les nombres infinis ne se calculeraient pas
EXACTEMENT de la même manière que les nombres entiers naturels ou les nombres réels ?"

Les six premières questions traduisent les propriétés extraordinaires de l'Infini,
et la dernière soulève une grande anomalie de la science actuelle,
due au fait qu'elle raisonne avec le paradigme de la Négation
ou (ce qui revient au même) elle ne repose pas sur l'Univers TOTAL.

Nouvelle science des nombres

Par exemple, en désignant par W un nombre infini,
le deuxième problème dit que : W + 1 = W.
Si on calculait avec l'Infini comme avec tous les nombres naturels ou réels,
on ferait très simplement cette opération : 1 = W - W , d'où 1 = 0 (ou 0 = 1),
conclusion qui est une absurdité selon la science actuelle.
Mais en fait le problème vient de ce que
la notion d'égalité dans cette équation et dans les sciences actuelles
est la très restreinte identité au lieu de la très large équivalence.
Cette équivalence
0 = 1 est tout simplement l'exression du Cycle 1.
Elle traduit une des vérités les plus banales qui soient, celle du Cercle!

Loi de l'Alpha et de l'Oméga

De même le quatrième problème dit que : W + W = W;
et là encore en calculant normalement comme avec tous les nombres réels, on a :
W = W - W, d'où W = 0,
ce qui est l'étonnante déclaration selon laquelle "L'Infini est aussi le Zéro" !
Encore une absurdité selon la science actuelle !
Mais là encore il faut maintenant raisonner en termes d'équivalence et non plus d'identité,
et alors on comprend que cette équivalence
est tout simplement le
Cycle Oméga ou Cycle Infini.
Les équivalences comme 0 = 1 ou 0 = W sont tout simplement
une des Lois de l'Univers TOTAL, la Loi du Cycle !

Le présent document montre avec une simplicité inouïe
comment on s'est posé de FAUX problèmes avec l'INFINI,
comment cette notion a été très mal conçue et très mal comprise,
parce qu'on ne faisait pas la science comme cela se devait
dans le paradigme de l'Equivalence et du Cycle
, le paradigme de l'Univers TOTAL.
Mais les choses deviennent très simples dans le bon paradigme.

La nouvelle Algèbre de l'Infini
--> Le nombre supérieur à lui-même, inférieur à lui-même, et égal à lui-même
--> "Quel nombre ajouté à lui-même donne lui-même ?"
--> L'Infini et l'Algèbre du Cycle

Documents associés :
La Loi de l'Alternation Zéro
La Loi de l'Alpha et de l'Oméga
L'Algèbre universel des ensembles
La nouvelle Science des nombres
L'Algèbre du Cycle (vidéo)
Toute la lumière sur les Paradoxes (vidéo)

La nouvelle Algèbre de l'Infini

Le nombre supérieur à lui-même, inférieur à lui-même, et égal à lui-même !

Considérons cinq ensembles et leurs éléments, donnés par le tableau suivant :

La logique qui permet de dire que deux ensembles ont le même nombre d'éléments est très simple, elle s'appelle techniquement la bijection entre les deux ensembles. Cela signifie qu'en associant deux à deux (et coup pour coup) les éléments des deux ensembles, on les termine en même temps, ou on ne termine jamais l'un avant l'autre. Autrement dit, dans cette association, il n'arrive jamais que l'on ait épuisé les éléments d'un des ensembles, alors qu'il en reste au moins un chez l'autre. S'il cela ne peut arriver, alors on dit qu'il y a une bijection entre les deux ensembles, ce qui signifie qu'ils ont un même nombre d'éléments.

Par exemple, dans le tableau ci-dessus, les ensembles A et E ont le même nombre d'éléments, car en les associant, Terre avec Pierre, Lune avec Pauline, Soleil avec Jacques, etc., quand on termine à Jupiter avec l'ensemble A, on termine aussi à Bruno avec l'ensemble E. On les finit en même temps, ou en tout cas on ne finit jamais l'un avant l'autre. Il y a donc une bijection entre A et E, ce qui veut dire qu'ils ont exactement un même nombre d'éléments, ici 6.

En revanche, quand on essaie de faire une bijection entre A et B, tout va bien jusqu'à ce qu'on arrive au terminus de A avec Jupiter; à cet élément correspond l'élément 90 chez B; mais B n'aura pas dit son dernier mot, car il se poursuit avec l'élément 45. Il n'y a donc pas bijection entre A et B, et dans ce cas B a plus d'éléments que A, ici 7. Et il y a une bijection entre B et D, qui abattent leurs dernières cartes en même temps, l'élément 45 pour B et Nevers pour D.

Et quand à l'ensemble C, il n'est en bijection avec personne dans le tableau, il peut encore jouer deux coups par rapport à B ou D, il essaie de tenir tête à tête avant de jeter à son tour l'éponge après son dernier élément qui est la Prune, s'inclinant devant N qui avec ses "Trois points de suspension" ("...") après l'élément 8, annonce clairement son intention de poursuivre indéfiniment. Au tableau des scores (le "nombre d'éléments"), il l'arbitre inscrit le symbole de l'infini "". Mais quand il s'agit de l'ensemble des nombres naturels : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, ...., le nombre total des éléments est un nombre infini nommé Aleph zéro, couramment appelé Oméga et noté de la dernière lettre minuscule de l'aplhabet grec : ; mais pour des raisons pratiques on le notera ici W. C'est donc le nombre des éléments de l'ensemble des entiers nturels N.

Et maintenant considérons les trois ensembles P, I et N du tableau suivant :

Ici, N va pouvoir se mesurer à des adversaires de son gabarit. Comme chacun le sait, l'ensemble des entiers naturels 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, .... comprend le sous-ensemble P des nombres pairs : 0, 2, 4, 6, 8, 10, 12, ..., et le sous ensemble I des nombres impairs : 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, .... Les trois ensembles comportent une infinité d'éléments. Et N a raison de dire : "Mes adversaires P et I ont exactement le même nombre d'élements, qui est donc la moitié du nombre de mes éléments, puisque je totalise les deux. Donc au match de la bijection, chacun déclarera logiquement forfait à mi-chemin. Quand P aura joué tous ses nombres pairs, moi il me restera tous les nombres impairs qu'il ne possède pas. Et quand I aura joué tous ses nombres impairs, moi il me restera tous les nombre pairs qu'il ne possède pas. Au score final, il afficheront donc la motié de mes points, à savoir W/2, tandis que moi j'afficherai W."

N a-t-il raison de dire cela ? Dans la logique actuelle, la Logique Négative (une logique du "Tout OU Rien", "Vrai OU Faux"), la réponse doit obligatoirement être SOIT Oui, SOIT Non, mais pas les deux ! Dans cette logique, N ne peut pas à la fois avoir raison et avoir tort, son propos ne peut pas à la fois être Vrai et Faux.

Mais cette logique n'est pas logique de l'Univers TOTAL, ce n'est pas la logique de l'Infini. Dans cette logique, toute chose est vraie, et le contraire de toute chose est vrai aussi, sans pour autant qu'il y ait contradiction ou paradoxe ! La situation est simplement comme les phrases "Il pleut dans l'Univers" et "Il ne pleut pas dans l'Univers". Les deux sont vraies, car il pleut toujours quelque part dans l'Univers TOTAL, et ailleurs il ne pleut pas dans le même Univers. Cela dépend du contexte, de quel point de vue on se place. Pour l'un "Il pleut est vrai", car chez lui il pleut; et pour l'autre, c'est le contraire qui est vrai.

Dans ce problème de l'Infini, ça dépend simplement de quel raisonnement on fait, de la manière dont on organise les nombres de N par exemple, de la "stratégie" de N pour épuiser ses aversaires avec lui, ou de leurs "stratégie" pour lui resister avec leur effectif moindre. Si par exemple N dispose ses éléments ainsi : 0, 2, 4, 6, 8, 10, 12, ..., 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, ...., ne jouant donc que sa moitié contre ses adversaires, il les épuisera avec cette moitié, et il lui restera l'autre moitié. Face à cela ceux-ci ont une très simple riposte : organiser leurs éléments exactement de la même manière, le miracle de l'Infini le leur permet. Par exemple, P peut diviser lui aussi son effectif de cette façon : 0, 4, 8, 12, 16, ...., 2, 6, 10, 14, 18, ..... Le secret est très simple, il réside en ces très importants "Trois points de suspension" ("..."). Chaque fois que l'on en rencontre, cela signifie que l'Infini s'est dédoublé ! Et l'Infini peut se dédoubler une infinité de fois ! Il suffit donc à chaque fois de veiller à opposer à l'adversaire le même nombre de dédoublements, ce qui signifie simplement qu'on organise ses éléments exactement de la même manière que lui. Alors pour chaque élément qu'il jouera, on aura toujours chez soi un élément correspondant pour lui répondre, coup pour coup !

Dans un match de bijection entre deux infinis (du moment où il s'agit de l'infini !), quelle que soit la différence apparente au départ, on a les trois possibilités : "match nul", "victoire", 'défaite". L'Infini est la chose par excellence qui est à la fois égale à elle-même, supérieure à elle-même, et inférieure à elle-même. L'Infini gagne contre lui-même, et perd contre lui-même.

Dans le problème qui nous concerne, N a donc raison de dire qu'il a plus d'éléments que ses adversaires, mais finalement, les trois ensembles ont exactement le même nombre d'éléments. Dans le cas de figure du tableau précédent, les trois ensembles ont la même organisation, le même nombre d'exemplaires de l'infini de base, à savoir Oméga ou W. Cela se traduit dans le tableau par le fait que chacun le même nombre de "Trois points de suspension" ("..."), à savoir 1 pour chacun. Donc ici, "match nul" ! Les trois ont donc exactement le même nombre d'élements (W ou Oméga ou encore Aleph zéro), et on découvre une très importante loi de l'Infini : W + W = W ! Et ceci (écrit dans le sens W = W + W) traduit tout simplement la propriété de duplication de l'Univers TOTAL U, à savoir : U = U + U. Cette propriété est étroitement liée à sa propriété d'Auto-appartenance, à sa structure fractale.

"Quel nombre ajouté à lui-même donne lui-même ?"

Loi Alternation Zéro
Quel nombre ajouté à lui-même donne lui-même ?
Autrement dit, quelle est la solution de l'équation : X + X = X ?
L'actuelle algèbre des nombres réels ne connaît que Zéro comme solution.
Elle ignore l'autre solution, l'Infini, qui est orpheline dans une autre algèbre, celle des cardinaux infinis.
Mais désormais on a les deux solutions dans l'Algèbre universelle.
Les deux solutions sont une seule et même chose : l'Univers TOTAL,
qui est à la fois le Vide et le Plein.

"Quel nombre ajouté à lui-même donne lui-même ?" Il s'agit donc de résoudre l'équation : X + X = X, et on trouve en calculant le plus normalement du monde : X = X - X, d'où X = 0. On conclut habituellement que l'unique solution est 0. Mais erreur !

Car le paradigme scientifique actuel (et en particulier algébrique) utilise toutes sortes d'objets métamathématiques pour résoudre ses problèmes, comme par exemple la notion de variable X. Elle n'a pas de statut mathématique explicite, elle est extérieure à la mathématique, une lettre utlisée pour représenter un nombre, mais dont le statut numérique n'est pas défini. C'est pourquoi, quand on aboutit à la conclusion : X = 0, on ne voit comme seule solution que 0, mais pas la seconde solution qu'est X lui-même ! Mais il suffit de considérer le résultat obtenu précédemment, W + W = W, de calculer de la même façon avec W, pour aboutir à la conclusion : W = 0. Et là on voit clairement deux solutions à la question, 0 et W, c'est-à-dire donc le Zéro et l'Infini ! Et du coup, la vraie nature de la notion de variable saute aux yeux, c'est la même notion que celle d'Infini. La notion de variable a désormais un statut mathématique explicite, et non plus métamathématique.

L'Infini et l'Algèbre du Cycle

Algèbre du Cycle

"Quel nombre reste égal à lui-même, qu'on lui ajoute 1 ou qu'on lui retranche 1 ?"

Algèbre du Cycle

Ici, l'ensemble N+ compte un élément de plus que N, à savoir l'élément -1) Et N- compte un élément de moins que N, car il lui manque le 0. Il lui manque donc deux éléments de moins que N+; à savoir -1 et 0. Et pourtant, comme expliqué plus haut, les trois ensembles ont exactement le même nombre d'éléments, à savoir W, car il existe une parfaitement bijection entre les trois. On a donc tout simplement les égalités suivantes : W = W + 1 et W = W - 1.

De W = W + 1 on déduit (si on cacule le plus normalement du monde) : W - W = 1, d'où : 0 = 1. On découvre que cette propriété de l'Infini d'être égal à lui-même si on lui ajoute (ou si on lui retranche 1) s'exprime par une simple et étonnante égalité : 0 = 1 ! Le genre d'égalités que la science actuelle qualifie d'absurde même !

La pire chose qui puisse arriver à la science (et c'est arrivé !) est de dire quelque chose qui revient à nier l'existence de l'Univers (au sens le plus TOTAL du terme) ! C'est le cas si la science appelle un "paradoxe" ou une "contradiction" (c'est-à-dire donc quelque chose faux, d'impossible ou d'absurde) une propriété fondamentale de l'Univers TOTAL, une des lois les plus fondamentales de la Réalité TOTALE. Cette loi porte sur le Zéro et l'Infini (ou sur le Vide et sur le Plein). Nier cette loi de Univers TOTAL (donc cet Univers) est dans le meilleur des cas la plus grosse erreur scientifique que l'homme ait jamais faite(due au fait de fonctionner avec le paradigme de la Négation), et dans le pire des cas c'est faire une science qui est tout simplement le plus grand chef-d'oeuvre de Négationnisme de tous les temps !

Un des grands problèmes des mathématiques et des sciences actuelles est de pratiquer beaucoup le "Deux lois, deux mesures", l'équivalent scientifique de l'insupportable "Deux poids, deux mesures". Cela consiste très souvent à établir des lois fondamentales pour une certaine catégories d'objets, puis à refuser ces mêmes lois pour une certaine partie de la catégorie, à faire des incessantes exceptions à la règle (ce qui revient à faire de la Ségrégation une méthode scientifique !), tout cela au nom d'une philosophie scientifique très douteueuse, qui est tout simplement le paradigme de la Négation.

Par exemple, on établit des lois fondamentales de l'arithmétique (ou de l'algèbre) pour les nombres entiers naturels ou réels, et ces lois ne sont plus valables pour les nombres infinis, parce qu'on ne veut pas aboutir à des relations comme 0 = 1, Zéro = Infini, que l'on considère A PRIORI comme absurdes, comme ne pouvant traduire aucune vérité scientifique !

Pour les mêmes raisons, on dit par exemple que l'on peut diviser par tout nombre réél sauf par le 0 ! On interdit de diviser simplement 1 / 0 pour trouver l'Infini W, et donc naturellement de diviser 1 / W pour trouver 0. On ne veut donc pas que l'on dise : 1 / 0 = W, et 1 / W = 0, et de faire participer cet Oméga (ou W) aux calculs, exactement de la même manière que tous les autres nombres. En effet, le faire, aboutirait très rapidement à des égalités du genre : 0 = 1, Zéro = Infini, 2 = 1, 77 = 20, etc., une catastrophe logique ou mathématique pense-t-on. Mais catastrophe, ou bien on ne sait pas tout simplement à quelle logique obéit ce genre d'égalités ?

Nouvelle science des nombres
Les égalités de la forme 0 = 0, 1 = 1, 2 = 2, X = X, etc., sont celles du Cycle 0;
la science actuelle fonctionne seulement avec ce type d'égalité,
mais elle n'est seulement qu'un cas très particulier dans l'infinité de types d'égalité qui existent dans l'Univers TOTAL !
Les égalités de type : 0 = 1 ou 1 = 0, 1 = 2 ou 2 = 1, 72 = 73 ou 73 = 72, X = X + 1 ou X + 1 = X, etc., sont celles du Cycle 1;
avec ce type d'égalité de la forme générale X = Y commence
la "Terra Incognita" ("Terre Inconnue") ou "Universum Incognita" ("Univers Inconnu") pour la science actuelle,
toute l'immensité actuellement inconnue de
l'Univers TOTAL, que le Fils de l'homme révèle aujourd'hui.
Ce n'est pas parce que l'on ne connaît pas une chose, ou que l'on ne comprend pas son utilité dans l'Univers TOTAL,
qu'elle est "absurde"...

Loi de l'Alpha et de l'Oméga

Depuis l'école primaire donc, on apprend aux enfants à faire ces opérations élémenatires (addition, soustraction, multiplication) avec comme par exemple premier opérande 1 et second opérande 0 :
1 + 0 = 1
;
1 - 0 = 1;
1 x 0 = 0;
1 / 0 = ... ?

Pour la quatrième opération, mystère ! On s'empresserait de "corriger" un élève qui très naturellement et sans trop réfléchir écrirait : 1 / 0 = 0 ou 1 / 0 = 1 (voir dans le document Où est la frontière de la Science ? l'expérience de l'ancien prof de maths qu'était le Fils de l'homme en lycée professionnel en France). Pourquoi donc 1 / 0 n'aurait pas le droit d'avoir comme résulat un nombre réel, exactement comme 1 + 0 = 1, 1 - 0 = 1, 1 x 0 = 0 ? Et pourquoi le résultat fondamental ne serait-il pas 1 / 0 = 0, exactement comme pour l'opération associée la multiplication : 1 x 0 = 0 ? Cette réponse est très fortement suggérée, car pour les deux opérations associées (l'addition et la soustration), la réponse est la même, à savoir 1.

En tout cas est-il que l'égalité 1 / 0 = 0 dit tout simplement ceci : Infini = Zéro ou Zéro = Infini. Ce résultat traduit tout simplement le Cycle, à savoir que les nombres ne doivent pas être conçus comme des objets d'une Droite numérique (avec le Zéro à un bout et l'Infini de l'autre), mais comme les objets d'un Cercle numérique, avec le Zéro et l'Infini qui se rejoignent (Zéro = Infini). Il s'agit alors du Cycle Infini, exactement comme pour le Cycle 3.

Algèbre du CycleAlgèbre du Cycle

Chaque Cycle a son algèbre. Par exemple, le Cycle 3 a son algèbre, très facile. L'égalité caractéristique (ou canonique) de ce Cycle est : 0 = 3. Dans ce Cycle, les calculs 1 + 0 ou 1 + 1 se font comme normalement (c'est-à-dire comme dans le Cycle Infini) : 1 + 0 = 1, et 1 + 1 = 2. Mais on a : 1 + 2 = 0, puisque 0 = 3. Et 2 x 2 = 1, puisque 2 x 2 = 4 dans le Cycle Infini, mais que 4 = 1 parce que 3 = 0; c'est-à-dire (3 = 0 donc, 3 + 1 = 0 + 1; donc 4 = 1). Dans le Cycle 3, on a 1 / 0 = 3, et aussi 1 / 0 = 0, puique dans ce cycle 0 = 3. Pour les mêmes raisons, dans ce cycle, 1 / 3 = 0.

De même, dans le Cycle 70 par exemple, 24 + 40 se calcule normalement, comme dans le Cycle Infini. On a : 24 + 40 = 64. Mais 33 + 39 = 2, car 33 + 30 = 72 dans le Cycle Infini, et 72 = 2, car 70 = 0 pour le Cycle 70. Dans ce cycle, 1 / 0 = 70 = 0, et 1 / 70 = 0 = 70.

Bref, dans le Cycle X, le nombre X joue le rôle de l'Infini, on a donc 1 / 0 = X = 0, et 1 / X = 0 = X. Et on constate que le raisonnement est le même pour le Cycle W. Car 1 / 0 = W = 0, et 1 / W = 0 = W. Dans le paradigme du Cycle, les notion de variable (ici X) et d'infini (ici W) sont tout simplement la seule et même notion.

 


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