Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
C'est en 1879 que le logicien Frege a introduit de puissants outils de logique:
le quantificateur existentiel (que Peano nota "∃" en 1894),
et qui se lit "Il EXISTE",
et le quantificateur universel (que Gentzen nota "∀" en 1934),
et qui se lit: "TOUT" ou "POUR TOUT" ou "QUEL QUE SOIT".
Ce sont de magnifiques outils, très bien nommés,
qui définissent de la meilleure des façons l'Existence et l'Univers!
Le quantificateur universel, qui signifie simplement TOUT,
à lui tout seul définit l'Univers, le TOUT, l'Univers TOTAL, U!
La formule ∀X (X ∈ U) se lit:
"Quel que soit X, X est un élément de U" ou "Quel que soit X, X appartient à U",
ou plus simplement " TOUT X est un élément de U" ou "TOUT X appartient à U".
Dans le Langage universel des ensembles,
la célèbre variable X est un mot à part entière qui se lit: Chose.
Cette formule dit donc simplement que "Toute chose est un élément de l'ensemble U".
Cette formule est donc avant tout une simple définition de cet ensemble,
autrement dit une simple définition de l'Ensemble de toutes les choses,
oui une simple définition de ce que nous appelons l'Univers TOTAL, le Grand TOUT!
Au sens scientifique et même mathématique
(donc rigoureux, clair, net, précis, sans aucune spéculation philosophique),
la notion d'existence est tout simplement la notion d'appartenance à un ensemble.
Cette notion d'existence est celle du quantificateur existentiel.
EXISTER
dans un ensemble c'est être un élément de cet ensemble.
Et être un élément d'un ensemble donné c'est
EXISTER dans cet ensemble.
C'est la notion d'existence la plus générale qui soit, elle est universelle,
ABSOLUE!
C'est cette notion scientifique d'existence qui sert à exprimer
le Théorème de l'Existence.
Ce n'est pas une conjecture, une hypothèse, mais un théorème, car il est démontré d'office!
En effet, il est tout simplement l'expression de la définition de l'Univers TOTAL, du TOUT!
Il dit simplement: "Toute chose existe dans l'Ensemble de toutes les choses".
Evidemment, puisque c'est sa définition même.
Il ne reste donc plus qu'à déduire toutes les conséquences de ce Théorème,
qui sont tout simplement les conséquences de la définition de l'Univers TOTAL!
Et toutes ces conséquences sont les Lois de l'Univers TOTAL.
Dans le Langage universel des ensembles dont le mot clef est le mot chose, "On appelle un ensemble une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments".
Par exemple, l'ensemble N des entiers naturels est constitué des choses qui sont, eh bien les entiers naturels! Notre Univers est constitué de choses comme notre galaxie, notre planète, nous, etc.
Et par définition, on appelle l'Univers TOTAL la chose constituée de toutes les choses, donc l'Ensemble de toutes les choses. C'est le plus grand ensemble qu'on puisse définir. Cet ensemble est constitué donc des entiers naturels, de notre galaxie, de notre planète, de nous, de l'amour, de la haine, de le pensée, etc., bref de toutes les choses.
Cette notion d'ensemble est universelle, car c'est tout simplement celle de l'Univers! On ne fait plus de séparation entre les ensembles mathématiques et les ensembles physiques, car tout obéit à la même logique, au même langage scientifique, un Langage scientifique universel. Oui, tout et absolument tout obéit aux mêmes lois, celles de l'Univers TOTAL!
Au sens mathématique, physique et scientifique de la notion d'existence (celui du Langage universel des ensembles), on dit qu'une chose X existe dans un ensemble E si X est un élément de E.
Par exemple 7 existe dans l'ensemble N des entiers naturels. De même, le soleil existe dans l'ensemble qu'est notre Univers ou notre galaxie, car le soleil est un élément de cet ensemble. Et 7 et le soleil existent dans l'Ensemble de toutes les choses, dans l'Univers TOTAL donc.
Et tout simplement, "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", c'est-à-dire "Toute chose existe dans l'Ensemble de toutes les choses", car c'est sa définition même. Cette vérité simple et constitue le Théorème de l'Existence, la Loi fondamentale de l'Univers TOTAL, encore appelée simplement la Loi de la TOTALITÉ. Car ce théorème exprime simplement la Totalité de l'Univers, c'est-à-dire son caractère TOTAL, sa nature d'être TOTAL.
Le Théorème de l'Existence, synonyme de la définition de l'Univers TOTAL, dit simplement que "Toute chose existe dans l'Unvers TOTAL". Pour dire donc qu'une chose existe, il suffit pour ce théorème que ce soit une chose, tout simplement. Par conséquent, DIEU existe dans l'Univers TOTAL, parce que Dieu est une chose comme on parlerait de toute autre chose.
Mais en fait, dès l'instant où l'on a définit l'Univers TOTAL, on aussi du même coup défini Dieu! L'Univers TOTAL est un être scientifique qui ne ressemble à aucun autre actuellement, il transcende tous les êtres dont la science a parlé jusqu'ici. Il suffit maintenant de commencer à découvrir les propriétés extraordinaires de l'Univers TOTAL, ses propriétés divines.
Une chose X peut ne pas exister dans un contexte donné de l'Univers TOTAL,
elle peut ne pas exister dans un univers particulier donné, dans un monde donné,
dans des circonstances données, dans des conditions données, etc.
Mais la chose X existe toujours dans l'Univers TOTAL,
dans un autre contexte de l'Univers TOTAL, dans un certain autre univers,
dans un certain autre monde, dans d'autres circonstances, dans d'autres conditions, etc.
On peut donc nier l'existence d'une chose X dans un contexte donné.
Mais on ne doit pas nier l'existence de X dans l'absolu, c'est-à-dire dans l'Univers TOTAL.
L'Univers TOTAL est la Réalité TOTALE,
à l'échelle de l'Univers TOTAL, toute chose existe, toute chose est une réalité.
Du Théorème de l'Existence (ou tout simplement de la définition de l'Univers TOTAL) il découle d'autres théorèmes ou d'autres lois très fondamentales, qui souvent sont des corollaires du Théorème ou des formulations équivalentes. Voici donc quelques autres très importantes manières de dire que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL".
- "Toute chose est possible dans l'Univers TOTAL" (Loi de la Possibilité TOTALE);
- "Toute chose est une réalité dans l'Univers TOTAL" (Loi de Réalité TOTALE));
- "Toute chose est vraie dans l'Univers TOTAL"
(Loi fondamentale de Logique Alternative);
On rappelle que le Théorème de l'Existence est tout simplement la
définition de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
l'ensemble dont toute chose est un élément.
Sa définition se résume par cette formule:
∀X (X ∈ U), qui se lit "TOUTE chose est un élément de U" ou "TOUTE chose est un élément de l'Ensemble de toutes les choses".
Nier cette vérité triviale c'est énoncer une fausseté triviale...
La négation (ou simplement le contraire) de cette formule est cette autre formule:
∃X (X ∉ U), qui se dit donc: "IL EXISTE au moins une chose qui n'est pas un élément de U".
Autrement dit, "IL EXISTE au moins une chose qui n'est pas un élément de l'Ensemble de toutes les choses"!
Ceci est l'expression d'un paradoxe, le paradoxe fondamental.
Cette seconde idée est tout simplement l'idée courante selon laquelle "Certaines choses n'existent pas". Exprimée rigoureusement avec les outils de logique (en l'occurrence ici le quantificateur existentiel), cette idée sous-jacente à le pensée actuelle, est donc la suivante: "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" ou "IL EXISTE au moins une chose qui n'existe pas".
Nous qualifions cette idée d'Axiome (ou Principe) de Non-Existence ou plus simplement d'Axiome de Négation. Cette idée est juste depuis toujours posée ou admise implicitement comme une vérité. Elle n'est pas démontrée, elle ne découle pas d'une définition ou en tout elle ne découle pas de la définition de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Bien au contraire, elle nie justement l'Univers TOTAL et le Théorème de l'Existence qui lui est synonyme.
Toute chose existe dans l'Univers TOTAL, donc y compris les choses ou les êtres qui nient l'Univers TOTAL. C'est donc simplement leur rôle dans l'Univers TOTAL, à savoir d'incarner la négation de l'Univers TOTAL (pour d'autres détails, voir Loi de l'Equité ou Loi de Non-Prédilection).
La science actuelle fonctionne avec un très grand nombre de principes, non démontrés, mais qui se sont imposés par leur véracité. Certains de ces principes expriment des vérités, certes, mais qui ne sont pas universelles. Ces principes ne sont pas vrais à l'échelle de l'Univers TOTAL, ce sont des vérités propres seulement à notre réalité, à notre expérience ou à notre perception des choses, comme par exemple le principe de non-contradiction, le principe actuel de causalité, les principes qui gouverent la biologie actuelle, etc. Ces principes sont très anthropomorphiques et anthropocentriques, ils sont le reflet de nos limites et même de nos tares... Ils sont donc imparfaits, ils peuvent être remis en question (et même le sont!) quand on voit maintenant les choses de manière globale, à l'échelle de l'Univers TOTAL.
Mais d'autres principes (comme par exemple le principe de conservation de l'énergie et de nombreux principes de conservation ou d'invariance) sont universels, ils se révèlent simplement des formulations équivalentes du Théorème de l'Existence ou des corollaires de ce théorème. On les a appelés "principes" et ils n'ont pas été démontrés, tout simplement parce qu'on ne travaillait pas dans le paradigme qui leur donne tout leur sens, le paradigme de l'Univers TOTAL.
Le Théorèùe de l'Existence vue plus haut exprime une relation (en l'occurrence la relation d'appartenance)
entre toute chose X et l'Univers TOTAL U, à savoir:
∀X (X ∈ U) ou simplement: X ∈ U.
Une très importante autre formulation du Théorème de l'Existence est
la Loi du XERY,
la Loi de l'Equivalence Universelle. Elle exprime la relation
(en l'occurrence la relation d'équivalence)
entre deux choses X et Y, à savoir:
∀X∀Y (X = Y) ou simplement: X = Y.
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Le XERY: l'Équivalence Universelle, l'Union, l'Unité, l'Amour.
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Le mot Alternation
vient du mot latin "Alter" qui veut dire "Autre".
Le verbe correspondant est "ALTERNER", et l'adjectif est "ALTERNATIF".
Dans la Science de l'Univers TOTAL, "ALTERNER" signifie:
"devenir AUTRE", "devenir l'AUTRE", "permuter les rôles dans l'Univers TOTAL",
"échanger les rôles", "évoluer dans l'Univers TOTAL",
"se transformer", "se recycler dans l'Univers TOTAL", etc.
Toute chose existe dans l'Univers TOTAL, globalement, rien ne s'y perd, rien de s'y crée.
Il est globalement Invariant, il est Immuable, la Totalité se Conserve.
Mais c'est dans les contextes particuliers que les choses se perdent ou se créent,
apparaissent ou disparaissent, naissent, évoluent et meurent.
C'est dans le cadre de l'Alternation,
donc dans le paradigme de l'Univers TOTAL,
que la Physique doit se faire, pour être pleinement une Science de l'Univers.
Et aussi c'est dans le cadre de l'Alternation,
que la notion d'évolution (telle qu'on l'emploie actuellement en biologie par exemple),
doit se définir, acquérir tout son son sens et être une vérité absolue.
Sinon elle est au mieux une vérité toute relative, et au pire elle est FAUSSE,
car elle NIE l'Univers TOTAL, elle est une vérité,
mais une vérité de la Négation.
Et plus généralement, c'est avec la Logique Alternative
que l'on doit raisonner et faire la science.
Toutes choses existent dans l'Univers TOTAL, toutes les alternatives existent, toutes les possibilités existent, tous les modèles, toutes les situations existent, toutes configurations existent, tous les cas de figure existent, toutes les combinaisons existent, toutes les variantes existent, toutes les variétés existent, toutes les espèces existent, etc. Tout ce qu'on peut imaginer ou concevoir existe et tout ce qu'on ne peut pas imaginer ou concevoir existe aussi!
L'Univers TOTAL, parce qu'il est TOTAL, parce qu'il est l'Ensemble de toutes les choses, est donc au grand COMPLET! Rien ne se crée à l'échelle de l'Univers TOTAL, ce qui voudrait dire que cette chose n'existait pas; et rien de se perd non plus ce qui voudrait dire que l'Univers TOTAL... n'est plus TOTAL! Les choses ne se créent ou ne se perdent que dans un contexte donné de l'Univers TOTAL. Sinon, globalement, l'Univers TOTAL est Invariant, il est Immuable, sa TOTALITÉ se conserve.
On appelle un contexte
un ensemble quelconque E,
donc un sous-ensemble de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses.
On appelle l'anti-contexte de E
le complémentaire de E dans U,
l'Ensemble N de toutes les choses qui n'existent pas dans E,
c'est-à-dire tout le restant de l'Univers TOTAL par rapport à E, noté U - E ou simplement -E.
Une chose n qui n'existe pas dans un
contexte
E de l'Univers TOTAL
existe toujours dans son anti-contexte U - E.
Dans tous les cas, la chose existe toujours dans l'Univers TOTAL.
Une chose peut ne pas exister dans un contexte donné de l'Univers TOTAL, dans un sous-ensemble donné, dans des conditions données, dans un temps donné dans un contexte, etc.; une chose peut apparaître ou disparaître dans un contexte donné, dans un sous-ensemble donné, dans des conditions données, dans un temps donné dans un contexte, etc.; une chose peut se créer ou se détruire dans ce contexte ou dans ces conditions. Mais la chose existe toujours dans le contexte global qu'est l'Univers TOTAL.
L'Univers TOTAL n'a aucune raison de faire exister une chose X et pas une chose Y. Si X existe et pas Y, alors X est privilégié. Cette idée simple, cette autre manière d'exprimer le Théorème de l'Existence, est très importante.
Puisque l'Univers TOTAL est l'Ensemble de toutes les choses, une chose qui n'existe pas dans l'Univers TOTAL est donc une non-chose. Mais une non-chose est tout simplement aussi une chose, la chose qui par définition est la non-chose, la chose spéciale dont le rôle dans l'Univers TOTAL est d'incarner la non-chose, la chose nommée le rien, exactement comme le zéro est le nombre dont le rôle dans l'Univers TOTAL est d'incarner le non-nombre. C'est la quantité spéciale dont le rôle est d'incarner la non-quantité ou l'absence de quantité.
Mais toute existe dans l'Univers TOTAL y compris "La chose qui nie l'Univers TOTAL, qui nie son caractère TOTAL (le fait que toute chose y existe), la chose qui nie l'existence de choses, qui nie l'existence de l'Univers-DIEU". Cette chose est appelée la Négation absolue ou simplement Négation , par opposition à la Négation relative ou Alternation.
L'Univers TOTAL est Équitable, il accorde la même chance ou la même droit d'existence à toute les choses, non-choses, et y compris aux choses ou aux êtres qui nient l'Univers TOTAL.
Le rôle la Négation ou de la Psyché de Négation (appelée Diable) est d'incarner la négation de l'Univers TOTAL, du Théorème de l'Existence, bref la négation de l'Univers-DIEU. Ce n'est pas le meilleur rôle dans l'Univers TOTAL, mais ce rôle est nécessaire aussi. Et heureusement, les rôles alternent en vertu de la Loi de l'Alternation. En d'autres termes, ce ne sont pas toujours les mêmes qui sont condamnés à jouer ce mauvais rôle. Tout le monde s'y colle à un moment ou à un autre...
Les cases de cette images représentent
tous les contextes de l'Univers TOTAL,
c'est-à-dire tous les sous-ensembles de l'Univers TOTAL,
toutes les conditions d'observation de l'existence d'une chose.
Et les différents objets en mouvement représentent la diversité des choses de l'Univers TOTAL.
Dans un contexte E donné et à un moment donné, une chose n'existe pas:
par exemple les chevaux volants ou les humains qui ont des ailes n'existent pas sur terre,
et la machine à remonter le temps reste encore à inventer sur terre.
Dire qu'une chose est possible dans un contexte E où elle n'existe pas,
c'est dire qu'elle existe dans un autre contexte ou dans d'autres conditions,
qu'elle a existé dans le contexte E en question et qu'elle existera de nouveau.
Toute chose est possible dans l'Univers TOTAL et le contraire de tout aussi.
Une chose n'est impossible que dans un contexte donné de l'Univers TOTAL,
à un moment donné ou dans des conditions données de l'Univers TOTAL.
S'il existe des conditions de possibilité il existe aussi des conditions d'impossibilité.
Si donc une chose est impossible, ce n'est pas parce qu'elle l'est dans l'absolu,
mais c'est simplement parce qu'on se trouve dans les contextes ou dans les conditions de son impossibilité.
La notion de possibilité implique qu'on se place dans un contexte E donné de l'Univers TOTAL (c'est-à-dire simplement dans un sous-ensemble donné de l'Univers TOTAL, comme la France, la terre, etc.), dans des conditions données de l'Univers TOTAL (par exemple dans les conditions d'une expérience de physique ou les conditions d'une observation ou d'une mesure), etc., et que dans ce contexte ou dans ces conditions une chose X donnée n'existe pas.
Alors, par définition, nous disons que X est possible pour signifier exactement que X existe dans un autre contexte de l'Univers TOTAL, dans d'autres conditions, etc., et aussi que X a existé dans le contexte E, et que X exitera tôt ou tard dans E, pour peu que les conditions de son existence soient de nouveau réunies.
La notion de possibilité qui vient d'être définie est très étroitement liée à la notion de probabilité. La probabilité est tout simplement la mesure de la de possibilité dans un contexte donné ou dans des conditions données de l'Univers TOTAL. La probabilité est toujours une certitude à l'échelle de l'Univers TOTAL, elle vaut toujours 1 ou 100% dans l'Univers TOTAL.
Considérons l'expérience simple de lancer un dé à six faces. Avant l'apparition du résultat, nous savions que nous avions six possibilités ou six résultats possibles: 1, 2, 3, 4, 5, 6. Et nous disions aussi que nous avions 1 chance sur 6 que le résultat soit 3, autrement dit que la probabilité est de 1/6 que le résultat soit 3. Et les cinq autres résultats possibles (1, 2, 4, 5, 6) ont chacun la même probabilité de 1/6, ce qui fait que la probabilité totale est de 1 ou 100%.
Et maintenant, si le résultat est de 3, nous disons actuellement que dans dans TOUT l'Univers la seule vérité est que l'expérience a donné comme résultat 3. Mais cette idée cache un très subtil paradoxe: avant, quand nous ne connaissions pas le résultat qui allait apparaître, la probabilité était de 1/6 pour que ce soit 3, et les autres possibilités existaient, et cela faisait une probabilité de 1 pour les six possibilités. Maintenant que nous savons que le résultat est 3, si donc nous disons que c'est la seule vérité dans TOUT l'Univers, alors tout se passe comme si la probabilité du résultat 3 est passée de 1/6 à 1, et que les autres prossibilités ont complètement disparu dans l'Univers! Elles existaient avant le résultat, et plouf!, elles n'existent plus après le résultat.
Cette vision de l'Univers et des choses cache une anomalie, qui est tout simplement la négation de l'Univers TOTAL, du Théorème de l'Existence ou de ses corollaires comme la Loi de la Totalité (ou de la Conservation ou de l'Invariance de l'Univers TOTAL) ou ici la Loi de la Possibilité TOTALE (ou Loi Loi de la Conservation des Possibilités et de la Probabilité). En passant de 6 résultats possibles à 1 seul, ou d'une probabilité de 1/6 à 1, on viole cette loi de conservation.
Et maintenant la Loi de TOTALITÉ la Possibilité TOTALE dit simplement que tous les cas de figure existent dans l'Univers TOTAL, que les six possibilités qui existaient avant existent toujours après, et que, même si le résultat connu est la face 3, il n'est qu'un résultat parmi 6 qui se produits dans l'Univers TOTAL. Cela veut dire tout simplement que le résultat 3 s'est produit seulement dans NOTRE Univers, dans NOTRE version de l'Univers TOTAL (qui a une structure fractale, voir Loi de la Structure Fractale)), et que les autres résultats sont apparus chacun dans cinq autres Univers comme le nôtre.
La probabilité n'est donc qu'une mesure des possibilités dans l'Univers TOTAL. Les possibilités ne disparaissent pas, mais elles se conservent globalement dans l'Univers TOTAL. Et si l'on voit la question sous l'angle de la Loi de l'Equité ou de la Non-Prédilection, l'Univers TOTAL n'a aucune raison de faire plus apparaître la face 3 que les autres. Donc la face 3 est apparue seulement dans notre contexte, les autres contextes nous étant masqués.
Cette Loi découle directement de la définition de l'Univers TOTAL. Il est l'Ensemble de toutes les choses, et lui-même est une chose, donc un élément de lui-même.
L'Eponge de Menger, un exemple de structure auto-appartenante donc fractale.
Il faut préciser que la notion d'Egalité
qui est celle de l'Univers TOTAL
est la très large et puissante Equivalence
et non plus l'actuelle très étroite Identité,
qui est très étriquée pour traiter d'un tel ensemble.
Les ensembles E et e sont égaux au sens de
l'Equivalence,
ce qui permet de dire que E est élément de lui-même au sens de
l'Equivalence.
Posséder la propriété d'auto-appartenance est la condiction nécessaire et suffisante pour avoir une struture fractale. Ou plus exactement, la définition très simplement que nous donnons à la notion de structure fractale dans le Langage universel des ensembles est simplement pour un ensemble de posséder la propriété d'auto-appartenance. En effet, un tel ensemble possède un élément est soit une nouvelle version de l'ensemble, donc qui lui-même possède un élément lui aussi une nouvelle version de l'ensemble etc.
L'Univers TOTAL possède cette propriété du fait de son auto-appartenance. Autrement dit, l'auto-appartenance de l'Univers TOTAL, U ∈ U, entraîne cette chaine infinie d'appartenance:
... U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ...
Cette imbrication infinie de U de U dans lui-même est tout simplement l'écritue d'une structure fractale.
Pour comprendre la logique, prenons l'exemple simple d'un ensemble a
dont on nous dit qu'il possède au moins deux éléments dont l'un est l'ensemble a lui-même.
Cet ensemble est donc auto-appartenant, et il peut donc s'écrire:
a = {a, b}
L'auto-appartenance entraîne cette chaîne d'égalités:
a = {a, b} = {{a, b}, b} = {{{a, b}, b}, b} = {{{{a, b}, b}, b}, b} = ...
Et ceci est tout simplement le développement d'une structure fractale.
L'Univers TOTAL U possède au moins cette structure fractale,
car il possède au moins un élément X
(moi par exemple qui écris ces lignes et vous qui les lisez) et un élément qui est lui-même:
U = {X, U}.
Et quand c'est d'un ensemble physique
que l'on parle et non pas d'un ensemble mathématique abstrait, alors la situation est comme par exemple
celle de l'Eponge de Menger plus haut.
Mais en fait, l'Univers TOTAL a un type de structure fractale encore plus profond et plus fondamental que celui illustré par tous ces exemples, il possède une structure générescente.
Le mot CHOSE est le mot-clef le plus fondamental de la Science de l'Univers TOTAL. Les choses possèdent une propriété très importante, dont nous avons conscience, que nous utilisons très intuitivement, mais sans en mesurer l'importance: la générescence!
Dans le Langage universel des ensembles, "On appelle un ensemble une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments". C'est la définition des ensembles, qui correspond à la manière dont nous concevons très naturellement les choses.
Nous avons l'intuition de cette vérité simple: "Une chose est constituée d'autres choses". Cela nous paraît très banal de dire cela, mais il suffit que, sur le même modèle, nous disions par exemple: "Un humain est constitué d'autres humains", pour comprendre qu'il ne s'agit pas d'une vérité si banale que cela concernant les choses, mais que nous avons tout simplement l'intuition d'une loi très fondamentale de l'Univers TOTAL, qui est la Loi de la Générescence des choses. C'est-à-dire une structure fractale très fondamentale des choses, qui est la structure générescente, qu'illustre la fractale de Sierpinski plus haut.
Nous savons par exemple que considérer un ensemble de trois choses, c'est avoir trois choses, certes, mais ces trois choses constituent de nouveau une chose à part entière. Et partager une chose en trois choses, c'est avoir des fractions de chose, certes, mais chaque fraction constitue une nouvelle fois une chose à part entière!
C'est comme si dire que prendre trois humains c'est avoir une nouvelle fois un humain, et que partager un humain en trois c'est avoir trois fractions qui sont chacune un humain à part entière! Derrière cette étrange logique de "Multiplication des pains" (Matthieu 15: 32-39) se cache une structure fractale comme celle du Triangle de Sierpinski plus haut. Cet exemple de structure s'écrit: Chose = Chose.Chose.Chose ou Chose = 3 x Chose, mais la formule est vraie pour n'importe quelle nombre.
La structure générescence des choses signifie simplement que toutes les choses sont constituées d'une seule chose de base, une unique chose, LA CHOSE, qui est donc telle qu'en en prenant une, deux, trois, quatre, ou n'importe quel nombre, on obtient une nouvelle version de LA CHOSE! Et il n'y a pas de mystère, il n'y a qu'une seule chose qui peut répondre à ce signalement, l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, U, qui compte donc lui aussi pour UNE chose, oui LA CHOSE!
La propriété de l'Univers TOTAL U est donc plus qu'une simple propriété d'auto-appartenance ou de structure fractale, mais d'une structure plus profonde: la la structure générescente: toutes les choses sont constituée d'une seule chose élémentaire, qui est à la fois la plus petite chose et la plus grande chose, à savoir l'Univers TOTAL U, U! C'est la Loi de Générescence de l'Univers TOTAL.
L'Equation la plus fondamentale de la physique est la plus simple qu'on puisse imaginer, l'Equivalence universelle : X = Y ! Cela signifie qu'on ne se demande plus: "Quelles égalités ont un sens dans l'Univers et lesquelles n'en ont pas?" Ou: "Quelles égalités traduisent une Loi de l'Univers et lesquelles ne traduisent aucune loi?"
A l'échelle de l'Univers TOTAL, toute égalité traduit une loi, même celles qui n'obéissent pas à la fameuse équation aux dimensions! Mais seulement, dans un contexte donné, on peut ignorer le sens de telle ou telle égalité particulière.
Par exemple, l'égalité Q = mc2, où Q désigne une charge électrique, m une masse et c la vitesse de la lumière n'a aucun sens dans la physique actuelle, car c'est une égalité entre une charge et une énergie, c'est-à-dire [charge] = [énergie], donc elle ne respecte pas l'équation aux dimensions, qui exige qu'on ait toujours seulement [charge] = [charge], [énergie] = [énergie], donc seulement une équation aux dimensions de type Identité, égalité de type 0 = 0.
Mais [charge] = [énergie] est ici une équation aux dimensions de type Equivalence, égalité de type 0 = 1, quelque chose de très nouveau et de très déroutant donc. On ne doit plus dire que cela n'a aucun sens physique, car cela a maintenant un sens dans la Physique de l'Univers TOTAL, dans la Cosmologie de l'Univers TOTAL (cosmologie fractale), ainsi que dans la Physique Quantique de l'Univers TOTAL!
En effet, toute grandeur ou quantité physique X (une [charge] par exemple)
peut maintenant se mettre sous forme
d'un nombre mathématique (ce que l'on qualifie actuelle de "nombre sans dimension") A
multiplié par une seule et même unité fondamentale, l'Unit,
à savoir U. Autrement dit, on a:
X = A x U.
Donc toute autre grandeur ou quantité physique Y (une [énergie] par exemple)
peut se mettre sous la forme:
Y = B x U.
Par conséquent, on peut maintenant avoir des égalités
(et plus précisément des équivalences)
du genre:
X = Y
qui est donc l'égalité:
A x U = B x U,
qui respecte donc finalement l'équation aux dimensions chère à la physique actuelle,
et se ramène à l'équivalence entre deux nombres absolus (nombres mathématiques):
A = B
qui est donc une équivalence du genre 0 = 1,
c'est égalité une égalité de type cycle,
une égalité de la nouvelle algèbre du cycle.
Ce n'est donc plus un problème de la physique actuelle, ni même des mathématiques actuelles, mais simplement un problème du paradigme de toutes les sciences actuelles. La nouvelle Physique est maintenant celle de l'Univers TOTAL, le nouveau paradigme.
Dans le nouveau paradigme, on ne dit plus qu'une théorie ou une équation mathématiquement exacte n'est pas forcément vraie sur le plan de la physique, car la Physique et la Mathématique ne sont plus des sciences séparées. Une vérité mathématique, quelle qu'elle soit, n'importe quelle équation, traduit une certaine vérité de l'Univers TOTAL. L'Univers TOTAL, dis-je, et pas forcément de NOTRE univers! Fini donc le temps où l'on prenait NOTRE univers pour l'Univers TOTAL, NOTRE réalité pour la Réalité TOTALE! La nouvelle Physique (la Théorie de l'Universalité) a une vision très large des choses, elle énonce des lois et des vérités absolues, universelles. C'est la Physique de l'Univers TOTAL et non plus seulement la physique de NOTRE univers!
On entre tout simplement dans une nouvelle dimension, des choses hier dites impossibles deviennent possibles. Avec l'Univers TOTAL l'aventure de la nouvelle Physique et de la nouvelle Science ne fait que commencer...
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