L'Univers TOTAL
ou L'Ensemble de toutes les choses !
La physique
actuelle est parmi les sciences celle qui se donne pour but
de nous faire comprendre la MATIERE et tous ses secrets, d'étudier
la Chose nommée
l'Univers, le Tout...
Mais encore faut-il définir
correctement cet Univers, cet
objet premier de la science,
de manière qui ne laisse aucune place au doute,
quant à savoir si
l'Univers dont
on parle est l'Univers
TOTAL, la Réalité TOTALE !
Mais il est extrêmement facile de prouver que ce
que la science actuelle appelle "L'Univers"
(avec l'article
défini "LE" et un "U majuscule")
n'est pas
l'Univers
TOTAL, la Réalité TOTALE !
(Pour plus de détails, voir ici le sous-titre "Quel
est l'âge de l'Univers ?")
Le rêve des physiciens actuels est de réaliser la "Physique du
Tout",
de découvrir la théorie et la formule ultime de l'Univers.
Une chose est très certaine :
Si les physiciens actuels affirment un jour avoir atteint ce
but, alors ils MENTENT !
Car ce but ne peut être atteint qu'à une seule condition :
fonder toute la science (ou la physique) sur l'Univers
TOTAL !
Cela commence par le fait de définir
correctement l'Univers dans
un langage scientique universel,
le Langage universel des
ensembles.
Dans un tel langage, sa simple définition est : l'Ensemble
de toutes les choses.
C'est à cette condition que l'on peut faire la Physique de toutes
les choses,
la Science de toutes les choses.
(Pour plus de détails, voir donc "Les
questions
absurdes des sciences actuelles ?")
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Les
bases de la Physique du Tout !
--> Que
faut-il entendre par Univers ?
--> Le
dangereux implicite Axiome de non-existence...
--> La
science coupable du Paradoxe Universel...
--> Il
faut une approche GLOBALE des choses !
--> Si
le
Boson de Higgs n'existe pas, c'est qu'on n'a pas fouillé
l'Univers TOTAL...
Les
questions absurdes des sciences actuelles...
--> Flagrant
délit de négation de l'Univers TOTAL !
--> Un
peu de bon sens, voyons !
--> Comment
il faut faire la Physique de toutes les choses
Les
bases de la Physique du Tout !
Que
faut-il entendre par "Univers" ?
"Univers :
du latin Universum,
neutre subtantivé de l'adjectif Universus, qui signifie
'Intégral'; c'est-à-dire : Tourné (Versus)
de manière à former un Ensemble, un Tout (Unus)" ;
Dictionnaire Succès 1987.
Les
deux définitions possibles de l'Univers, la première imparfaite
(car relative) et la seconde parfaite (car absolue).
La
première définition, l'Ensemble de toutes
les choses qui EXISTENT (ou
Ensemble de tout ce qui EXISTE), qui est restrictive,
nous rend esclaves de notre perception de l'existence soit
par nos organes de sens
soit
par nos instruments
d'observation
et de mesure (télescopes, radars, microscopes, accélérateurs
de particules, etc.). Ce que nous appelons "Univers"
est alors forcément ce que nous pouvons percevoir d'une manière
ou d'une autre,
directement ou indirectement, par le biais d'instruments
ou par les calculs et déductions issus de leurs observations
et mesures. Ce sont ces choses qui EXISTENT selon
nous.
Mais
la seconde définition, l'Ensemble de toutes
les choses (ou
simplement l'Ensemble, le TOUT),
nous dégage de tout asservissement à NOTRE
réalité, aux seules
choses dont
nous pouvons dires qu'elles EXISTENT. Notre cerveau est
de loin notre plus grand instrument de perception
de la Réalité,
car, de toute manière, tôt ou tard, tout est soumis à l'analyse de
notre cerveau, à sa déduction, à sa logique !
"Tous
les chemins mènent à Rome", dit-on. Et
il faut dire aussi que "Tous les chemins mènent
au cerveau". Qui
comprend les mystères de cette chose nommée le cerveau comprend
enfin tous les mystères de l'Univers, et vice-versa
! Et c'est le cerveau qui
en définitive dit ce qui a été perçu ou pas, ce qui existe ou
pas. Il a simplement besoin d'être éduqué par une bonne
logique,
comme le fait de changer le logiciel d'un ordinateur, de corriger la myopie
du télescope Hubble ou les pannes du LHC (voir ci-après).
Par
conséquent, seule la seconde définition
(et la science bâtie sur elle) peut nous permettre de
VOIR avec notre INTELLIGENCE,
des choses que nos autres sens ou tout autre instrument
d'observation ou de mesure ne peut voir. L'Univers selon
la première définition est ce que nous devrions
appeler l'Existence (ou "Univers
sensible", c'est-à-dire tel que nos sens l'appréhendent),
réservant le terme Univers proprement
dit à la seconde définition. Mais si nous appelons "Univers"
celui de la première définition (et qui est la conception actuelle
de la chose), nous devrons alors appeler "Univers
TOTAL" celui
de la seconde définition, l'Univers Absolu,
celui qu'étudie maintenant la Science de l'Existence ou Science
Nouvelle.
Le
dangereux implicite Axiome de non-existence
Expériences
actuelles de physique au grand collisionneur de hadrons
(particules du noyau atomique) au LHC
du CERN. Le Boson
de Higgs (surnommé "particule Dieu") existe-t-il
? Telle est l'une des questions fondamentales que se posent à l'heure
actuelle la physique, la science qui traite de l'Univers,
qui se donne pour but de nous faire comprendre la MATIERE
et tous ses secrets. L'enjeu actuel est de "vérifier" ce
qu'on appelle le "modèle standard" de
la physique.
Mais
cette manière de faire la science cache un présupposé,
qui est le principe le plus implicite dans TOUTE la science
actuelle : "Certaines
choses n'exsitent pas" ! Alors
il faut démontrer celles qui existent...
Ce
qui est mauvais, ce ne sont pas les
axiomes (ou
les hypothèses) sur lesquels on peut fonder
une science, si absurdes ou farfelus soient ces
axiomes. Mais
ce qui est très dangereux, ce sont toutes les hypothèses
IMPLICITES des sciences actuelles, qui ne sont pas toujours
déclarées
clairement comme telles. Elles ne sont pas déclarées tout
simplement parce que très souvent les
scientifiques eux-mêmes (en tout cas ceux qui sont sincères)
n'en sont pas conscients, ils ne savent pas sur quoi tout
leur édifice repose vraiment. Or
ce sont ces hypothèses implicites qui font vraiment la
science actuelle, tandis que les hypothèses ou axiomes ou principes
explicites ne sont que la face visible de l'iceberg.
Comme
l'a si bien dit quelqu'un dans un autre domaine, "L'histoire
n'est qu'une succession de mensonges sur lesquels tout
le monde est d'accord". On peut de dire de la même façon
que "La science n'est qu'une succession d'erreurs
(ou de même de mensonges...)
depuis la nuit des temps, sur lesquels tout le monde est d'accord".
On
entend en effet comme argumentation pour asseoir une certaine
vision des choses : "Tous
les scientifiques s'accordent à dire que...",
"Il
est communément admis par tous les spécialistes que...",
etc. Comme si cela suffisait pour faire d'une chose la vérité,
ou plutôt pour éviter qu'elle soit une vérité toute relative et partielle,
ou un mensonge par omission...
C'est
ainsi que les hypothèses implicites qui font la science actuelle
sont communément admises comme étant évidentes,
et même comme relevant du simple "bon sens",
alors qu'elles ne le sont pas du tout !
Il
suffit pour cela de mettre en évidence la plus fondamentale
d'entre toutes les hypothèses ou axiomes implicites, celle
qui fait la quasi unanimité, tous domaines confondus. Celle
qui
ratisse
large
et qui va
bien au-delà du seul cercle des scientifiques, dont je fais
moi-même partie, je crois.... Car (les pauvres...), il ne faut
pas trop les accabler, car après
tout
ils ne sont
que le reflet du monde auquel ils appartiennent.
Cette
hypothèse fondamentale et très générale est donc simplement
celle-ci : "Certaines
choses n'exsitent pas" ! Cette
conception est ce qu'il
faut appeler l'Axiome
ou Principe de non-existence.
La
science coupable du Paradoxe Universel
C'est en
raison de cette base implicite que
la science actuelle fait
des
expériences (comme
les gigantesques expériences
au LHC
du CERN)
pour vérifier des
théories ou des
hypothèses, car
elles pourraient ne
pas êtres vraies, les choses dont elles
parlent pourraient ne
pas exister !
Mais
cet Axiome
de non-existence est
un paradoxe (voir le Paradoxe
Universel), c'est une immense
erreur de paradigme, surtout quand (et c'est hélas très souvent
le cas actuellement) on entend par "non-existence" une négation
absolue d'existence.
Si
par exemple les expériences en cours dans le grand collsiionneur
de hadrons au LHC
du CERN concluaient
que le Boson de Higgs n'existe pas, ou si l'on faisait de
nouvelles découvertes qui remettent en question l'actuel
modèle standard
de la physique, que faudra-il en conclure ? Que le Boson
de Higgs n'existe pas dans l'ABSOLU ? Ou que ce modèle standard
ne correspond pas dans l'ABSOLU à une certaine réalité, une
certaine vérité ? C'est
là le fond du problème.
Et si on répond par oui à cette question, alors cela signifie
que l'on nie l'existence de l'Univers TOTAL,
qui est justement l'ABSOLU en question !
En
effet, l'Univers
TOTAL a quant à lui déjà répondu à cette question concernant
le Boson de Higgs, avant même que la moindre expérience
soit entreprise. Car,
qui définit l'Univers comme étant l'Ensemble
de toutes les choses, découvre simplement
ceci : "TOUTE chose existe
dans l'Ensemble
de toutes les choses", évidemment, puisque
c'est sa définition même ! C'est ainsi que cerveau bien
éduqué et bien étalonné VOIT le Boson de Higgs par sa
simple logique, il le voit quelque part dans
l'Univers TOTAL, même si le LHC éventuellement ne le
verrait pas
dans NOTRE univers. Ne pas être conscient que nos sens
(le cerveau mis à part) et nos instruments ne nous donnent
accès qu'à NOTRE univers, et réduire la Réalité TOTALE
à NOTRE réalité, c'est être coupable du Paradoxe
Universel, le
fait de dire que l'Univers n'est pas TOTAL,
alors que sa définition même est simplement le mot TOUT !
Il
faut une approche GLOBALE des choses !
Pour
découvrir que "TOUTE chose existe dans l'Absolu", pour
déduire cette vérité triviale,
pas besoin de faire des expériences compliquées ou des
calculs astronomiques.
De toute façon, philosophiquement, vouloir démontrer l'existence
des choses par l'actuelle méthode empirique (la vérification
par l'expérience) est aussi absurde que de vouloir démontrer
l'existence de tous les nombres entiers naturels en les
comptant un à un soi-même ou avec
l'aide d'un instrument ou d'une machine (comme par exemple
un ordinateur ou un supercalculateur). La propriété même
de l'infini implique qu'il y a forcément
un nombre qui restera toujours à compter, qui est au-delà de
tous ceux que l'on a déjà comptés, un nombre à propos duquel
il subsistera toujours un doute quant à son existence...
si l'on ne raisonne qu'avec la logique
actuelle évidemment.
Par
exemple : "le nombre entier dont l'écriture décimale
est constituée
par une partie de la séquence des décimales du nombre
PI, dans laquelle on trouve mille chiffres
0 consécutifs". Il faudra compter suffisamment
loin pour espérer tomber un jour
sur un tel nombre entier, qui serait alors une espèce de
"Boson
de Higgs" des nombres. Et si on
le trouve, alors la même question se pose pour "un
million de 0 consécutifs", puis "un
milliard de 0 consécutifs", etc., autant de
nouveaux "Bosons de Higgs" des nombres derrière lesquels
il faut courir et qu'il faut essayer d'attraper ! Et si
l'on n'en trouve pas (et même si l'on "prouve"
qu'ils
n'existent
pas !), cela ne veut pas du tout dire qu'ils n'existent pas
dans l'ABOLU ! Tout dépend simplement de la logique avec
laquelle on raisonne et on fait la science : la Logique
Négative ou la Logique
Alternative ?
Il
y a donc un moment où il faut abandonner cette manière de faire
la science qui est celle de la Logique
Négative,
pour une autre manière de la faire, qui est celle de la Logique
Alternative.
Avec celle-ci, on fait une approche GLOBALE et UNIVERSELLE
des choses, on fait une démonstration GLOBALE d'existence,
qui correspond grosso modo à ce qu'on appelle actuellement
une "démonstration
par récurrence" ou une "démonstration
par induction". Il suffit de poser les bases d'une
telle démonstration (son point de départ, l'étape initiale),
et ensuite de l'"automatiser" par une
propriété d'hérédité,
qui est en fait la propriété minimale commune à tous les éléments
dont on veut démontrer en bloc
l'existence. Cette propriété se transmet de proche en proche,
en partant du cas initial, l'Alpha de
la procédure. Et alors le tour est joué ! on démontre TOUT
en bloc jusqu'à l'Infini, jusqu'à un
cas nommé l'Oméga dans
la vision nouvelle des choses, sans qu'on soit obligé de démontrer effectivement et au
cas par cas que tous ces
éléments existent.
Le
plus dur est justement de trouver la fameuse propriété
d"hérédité permettant cette
démonstration en bloc. Il faut pour cela détecter les critères
clefs du problème, poser les bonnes
définitions, etc., et alors cette propriété
apparaît.
Et
fort heureusement (et Dieu merci..), dans le cas de l'Univers,
les choses étaient infiniment plus simples que
l'on ne le pensait, les bonnes définitions sont d'une évidence et
d'une banalité
extrême (voir le Langage
universel des emsembles). Il faut simplement partir
du mot clef chose,
puis définir avec lui la notion d'ensemble,
puis avec les deux définir l'Univers comme
étant l'Ensemble
de toutes les choses, et seulement après définir
la notion d'existence à partir
de tout cela. EXISTER, c'est alors par définition
être un élément de
l'Univers ainsi
défini, un élément de l'Ensemble
de toutes les choses. Il résulte alors
cette vérité triviale : "TOUTE
chose existe dans l'Ensemble
de toutes les choses". Ben, évidemment.
Il
ne s'agit plus alors d'une notion subjective, relative,
empirique (ou expérimentale) d'existence,
ou d'une notion spéculative (ou philosophique) d'existence,
mais d'une notion objective, absolue,
car justement définie en relation avec l'Absolu lui-même,
l'Univers ! TOTAL il faut
le préciser...
Cette
Loi très fondamentale (le Théorème
de l'Existence)
est la propriété héréditaire, générique ou génétique minimale que partagent TOUTES
les choses.
Elles ont tout en commun le fait d'appartenir à l'Univers,
ce qui est la moindre des choses ! Deux
chose X et Y, si différentes
soient-elles, ont AU MOINS cette propriété commune, qui
les unifie, qui les rend "égales" (ou plus exactement équivalentes).
Sur cette base, on peut énoncer tout
un ensemble
d'autres propriétés minimales (lois
communes à toutes les choses), on peut enfin faire la Physique
du Tout ! Bête
mais il fallait y penser...
Et
pour cela il ne fallait aborder
les choses très naturellement, très
simplement, d'une manière GLOBALE, en commençant par
l'objet premier, l'Univers, et sa plus petite unité (son
"quantum" pour le dire en langage de la
physique quantique), à savoir la notion de chose. Il
fallait s'interreser
comme le Lieutenant Columbo à de petits détails,
comme par exemple le détail apparemment insignifiant entre "Ensemble
de toutes les choses qui EXISTENT" et "Ensemble
de toutes les choses".
Dans
le premier cas, on suppose savoir a priori ce que le mot EXISTER veut
dire, tout comme les physiciens actuels supposent aussi
savoir de quoi ils parlent au juste quand ils emploient
des mots comme point, longueur, espace, instant, temps, masse, charge, particule,
etc..
Mais
dans le second cas, il
fallait se dire qu'on ne sait pas ce que tous ces mots
veulent
dire a priori, tout comme d'ailleurs aussi les mots "ensemble"
et "Univers".
Et qu'il fallait sans aucun préjugé et présupposé ou hypothèses
implicites (comme on en a l'habitude actuellement) définir tout
bêtement définir
tous ces mots à partir
d'un mot plus fondamental, le
mot clef chose, le
quantum de l'Univers.
Si
le
Boson de Higgs n'existe pas, c'est qu'on n'a pas
fouillé l'Univers TOTAl...
En
vertu de tout ce qui précède (et pour conclure la présente
partie), si par exemple on ne trouve pas le Boson de Higgs
cherché avec le LHC, c'est
qu'il
y
a forcément
une
erreur
quelque
part
dans
les
raisonnements
et dans les paradigmes actuels de la science, c'est
que l'on cherche simplement ce Boson dans des conditions
ou des contextes où il n'existe pas. Et cette expérience
(éventuellement
négative) serait une de plus qui prouve simplement
qu'une autre réalité existe au-delà
de celle que nous connaissons et à laquelle nous pouvons
accéder dans l'état actuel des
choses, avec nos instruments d'observation ou de mesure.
Cela demande de faire la part entre NOTRE univers ou NOTRE
réalité, dans laquelle certaines
choses peuvent ne pas exister, et l'Univers TOTAL ou
la
Réalité TOTALE, dans laquelle
"Toute chose existe" forcément ! Alors,
pas de mauvaises conclusions, s'il vous plaît...
La
partie suivante va traiter des "questions ou conclusions
absurdes" des sciences actuelles, qui trahissent de mauvais
paradigmes, une négation de l'Univers TOTAL,
la Réalité
TOTALE...
|
Les
questions absurdes des sciences actuelles : "
Quelle
est l'âge de l'Univers ? Quelle est sa dimension ?
Quelle est sa masse ?"
Flagrant délit de négation de l'Univers TOTAL !
- Quel est l'âge de l'Univers ? Quand est-il né ?
- Quelle est la dimension de l'Univers ?
- Quelle est la masse de l'Univers ? Quelle est la quantité totale de sa matière ?
- Quel est le modèle exact de l'Univers ? Le "modèle standard" ou un autre modèle ?
- Le Boson de Higgs existe-t-il ?
- Quand exactement la première forme de vie est-elle apparue dans l'Univers ?
A quelle date de son évolution la première conscience est-elle apparue pour admirer les couchers de soleil ?
- Existe-t-il des planètes en dehors de notre système solaire ?
- Les conditions pour l'apparition de la vie sont-elles réunies sur d'autres planètes que la Terre ?
- Sommes-nous la seule forme de vie dans l'Univers où existe-t-il d'autres formes de vie que nous ?
- Quel est l'avenir de l'Univers ? Son expansion après le Big Bang se poursuivra-t-elle indéfiniment ?
Ou bien cette expansion s'arrêtera-t-elle pour que l'Univers entame une évolution inverse vers un Big Crunch ?
- Où est passée l'anti-matière ? Où est passée la masse manquante de l'Univers ?
- Existe-t-il d'autres Univers ?
- Etc., etc., etc.
Ce
sont le genre de questions que les physiciens et les scientifiques
se posent actuellement, et la liste est très loin d'être
exhaustive ! Et toutes ces questions ont un point commun :
elles trahissent toutes la négation de
l'Univers
TOTAL ! Ces questions sont très révélatrices, ce sont exactement
le genre de questions que l'on se pose quand on fait des sciences
qui ne reposent pas sur l'idée que ce qu'on appelle "L'Univers"
est t l'Ensemble
de toutes les choses. La conception de l'Univers qui se
cache derrière ces propos est que celui-ci est l'Ensemble
de toutes les choses qui EXISTENT. Certaines choses donc
n'y existent pas ou peuvent ne pas y exister. Il en résulte
aussi que l'Univers ne peut pas avoir n'importe quelles caractéristiques,
on est "suspendu à ses lèvres" pour savoir lesquelles il possède
exactement, à quel modèle il obéit, etc.
Mais
la science qui définit l'Univers comme étant l'Ensemble
de toutes les choses ne se pose pas ce genre de questions.
Car de cette définition de l'Univers on déduit immédiatement
cette première et très simple loi : "Toute
chose existe dans l'Ensemble
de toutes les choses". Evidemment ! "TOUTE
chose existe dans l'absolu",
et l'absolu en question est justement l'Ensemble
de toutes les choses, l'Univers TOTAL donc.
Un
peu de bon sens, voyons !
De
deux choses l'une :
Ou
bien on annonce clairement que l'on ne parle que de NOTRE univers (celui
qui nous est directement accessible et qui est à la portée de nos instruments
de mesure
ou d'observation comme le télescope Hubble ou le grand collisionneur
de hadrons LHC du
CERN), et
alors on se demande (et c'est bien normal) si ceci ou cela
existe dans NOTRE
univers ,
si ceci ou cela y est vrai, y est possible, etc.. Dans ce cas
(et dans ce cas seulement), les questions énumérées
plus haut ont un sens et se justifient.
Ou
bien l'on parle de l'Univers TOTAL défini défini clairement
et simplement comme étant l'Ensemble
de toutes les choses, et dans ce cas (et dans ce cas seulement)
on a le droit de dire qu'on parle de "L'Univers" (avec
l'article "LE" et un "U majuscule"). Et alors on
ne se pose plus le genre de questions comme celles énumérées
plus haut, car elles deviennent absurdes, aussi absurdes que de
faire une science qui cherche à faire la part entre les cochons
qui sont des porcs et ceux qui ne le sont pas. L'absurdité
ne se perçoit pas puisqu'à chaque fois qu'elle voit un cochon,
c'est aussi un porc. Quand elle cherche un porc nommé par exemple
Boson de Higgs et qu'elle ne trouve pas ou démontre (et il
y a forcément quelque part un erreur cachée) que ce porc ne
peut pas exister, elle conclut qu'il s'agit d'un exemple de
cochon qui n'est pas un porc. Mais ce qu'elle ignore, c'est
que si le porc n'a pas été trouvé, c'est parce qu'en raison
d'une erreur de raisonnement le cochon n'a pas été trouvé.
Un exemple remarquable de cette absurdité est offert par les
mathématiciens et logiciens actuels, qui ont "démontré" que
l'Ensemble de tous les ensembles ne
peut pas exister, sinon on aurait un "paradoxe".
Mais par contre, la "Collection
de tous les ensembles" existe (voir la vidéo Toute
la Lumière sur les Paradoxes), qui serait donc un exemple
de collection qui n'est pas un ensemble,
un exemple donc de cochon qui n'est pas un porc.
Dans ce genre de situation, il y a forcément une erreur de
raisonnement cachée quelque part, et elle concerne l'Univers
TOTAL, car en fait c'est le problème de l'Ensemble
de toutes les choses qui se pose
ainsi chez les mathématiciens et les logiciens sous la forme
de cette affaire d'Ensemble
de tous les ensembles et de Collection
de tous les ensembles.
L'absurdité
est très subtile à détecter en mathématiques et en logique,
en raison du fait que là on est dans l'abstrait et que le problème
ne se ramène pas à quelque chose de concret,
de physique, qui permette de voir ce qui ne va pas
dans la manière actuelle de raisonner et de voir les choses.
C'est justement avec l'Univers et la question de l'Univers
TOTAL que l'absurdité ou la grave erreur de raisonnement se
perçoit. Pour mieux comprendre le problème, posons-le avec
le mot "humain" ou "UN humain"
pour dire "univers" ou "UN
univers",
et l'expression "L'Humain" (avec l'article "LE"
et un "H majuscule") pour dire "L'Univers"
(avec "LE" et un "U majuscule").
Avec
cet exemple,
les
questions énumérées
plus haut (par exemple "Quel est l'âge de l'Univers ?")
sont aussi absurdes que de se demander : "Quel
est l'âge de l'Humain ? A quelle date de l'année
est-il né ? Quelle
est sa taille ? Quel est sa masse (ou son 'poids') ?", etc.
Si
par exemple je dis que l'Humain est né il y
a près de 49 ans
(ou le 11 mars 1961), qu'il mesure 1,70 mètre, qu'il pèse...,
etc., alors n'importe quelle personne ayant un minimum de bon
sens comprend que je parle forcément d'un humain particulier,
et pas de l'Humain en général, de l'Humain
générique, qui est synonyme d'un ensemble
d'humains ! Il est à la fois leur ENSEMBLE (leur
REUNION) et leur INTERSECTION, c'est-à-dire
il possède les caractéristiques minimales communes
à tous
les humains (les caractéristiques génériques),
celles qui décrivent
l'espèce
humaine,
qui font dire d'une chose donnée qu'elle est
ou non un humain. Pour se faire, elles doit posséder
ces caractéristiques
génériques, celles communes à tous les éléments
de l'ensemble. Etre âgé par
exemple de 49 ans (être
né le 11 mars
1961), avoir une taille de 1,70 mètre, être de race noire,
etc., ne font partie de ces caractéristiques minimales, puisque
d'autres humains ont d'autres âges, d'autres dates
de naissance, pèsent d'autres poids, sont d'autres races, etc.
Si on retenait ne serait qu'un seul de ces critères particuliers pour dire les
conditions qu'il faut réunir pour être appelé un "humain",
on commettrait une erreur très grave (digne de la Shoah...),
car on éliminerait une grande partie de l'humanité !
A
la question : "A quelle date de l'année l'Humain est
né ?", la réponse simple et logique est donc
: "Il
est né à toutes les dates de l'année",
car quelle que soit la date de l'année considérée,
il existe un humain vivant, ayant vécu ou qui vivra, dont la
date de naissance est cette date là. Et c'est la même
logique pour tout autre critère particulier considéré,
la taille par exemple. Cette taille va de celui des nouveaux-nés (et
même du foetus ou de l'embryon qui vient de naître dans
le Big Bang qu'est la conception suite à la rencontre d'un
spermatozoïde et d'une ovule) à celle
des plus grands des humains. Si on ne parle que des terriens,
cette taille commence donc à 0 et possède forcément
un certain maximum. Mais ce maximum tend vers l'infini si
l'on parle de toutes les tailles de tous les humains
qui peuvent exister dans l'Univers
TOTAL,
dans l'Absolu !
C'est
justement là le fond du problème et ce qui change radicalement,
selon que la science se fonde ou non sur l'Univers TOTAL !
Ce qui caractérise cet Univers,
c'est justement qu'il est "La Chose qui possède toutes
les caractéristiques".
C'est sa Loi,
et cette loi s'exprime autrement en disant que dans cet univers toutes
les choses existent, toutes les combinaisons y
existent, tous
les cas de figure y
existent, etc. (voir le Principe d'Alternation).
Il
n'y a absolument aucune raison que l'Univers produise certaines
choses et
pas d'autres,
pour qu'il fasse exister certaines et
pas d'autres ! Dans un contexte donné, plus ou
moins limité, une chose peut ne pas exister, et là n'est pas le
fond du problème. Mais l'Univers TOTAL est
le contexte le plus vaste qui soit, il est l'INFINI même,
et c'est pour cela que toutes choses y existent.
Et inversement, c'est parce que toutes choses y
existent qu'il est justement l'INFINI. Si
on ne trouve pas une chose donnée, alors c'est qu'on n'a pas
parcouru l'Univers TOTAL.
C'est
pourquoi aussi, à la question : "Quel est l'âge
de l'Univers ?" ("Quant est-il né ?"), "Quelle
est la taille de l'Univers ?", "Quelle quantité de
matière contient-il ?", etc., la simple réponse est
comme pour l'Humain : "tous les âges, toutes les
dates, toutes les tailles, toutes les quantités", etc. C'est
la seule réponse valable, logique, quand on parle de l'Univers,
au sens le plus TOTAL du terme. Et le mot clef de cette
réponse est tout simplement le mot "TOUT"
ou "TOUS",
le mot justement appelé en logique le Quantificateur
Universel, le mot même de l'Univers ! C'est
sa définition même, et à toute question concernant l'Univers,
la réponse se résume par ce simple mot : "TOUT" ou "TOUS".
C'est le bon sens élémentaire même, c'est aussi simple que cela !
Si
donc on se pose le genre de questions comme
celles des scientifiques actuels, et si l'on répond
par exemple : "L'Univers est âgé de 15 milliards
d'années,
il mesure 15 milliards d'années-lumière, sa quantité de
matière
est (aux dernières nouvelles ou aux avant-dernières nouvelles)
estimée à 1070 atomes",
etc., alors c'est forcément que l'on parle d'un univers
particulier, NOTRE
univers ! Mais si l'on parle de l'Univers TOTAL,
il est forcément INFINI, répète le Fils
de l'homme. Sinon, en parlant de l'Univers, utiliser
comme on le fait couramment la notion d'infini pour
dire "infiniment
grand", "infiniment petit",
n'aurait absolument aucun
sens ! C'est le bon sens même qui le dit...
Comment
il faut faire la Physique de toutes les choses
Si
l'Univers avait été défini
dans le Langage
universel des ensembles comme la Science Nouvelle le fait,
on n'aurait pas eu besoin de monter une gigantesque
et très coûteuse expérience comme celle
au LHC
du CERN, juste pour avoir des réponses aux
questions fondamentales du genre : "Le Boson
de Higgs (ou "particule Dieu") existe-t-il
?" Le Théorème
de l'Existence ("Toute chose existe dans
l'Univers
TOTAL")
qui se déduit
automatiquement de la définition de l'Univers comme étant l'Ensemble
de toutes les choses, apporte immédiatement la réponse à ce
genre de questions, sans
que cela coûte un seul centime au contribuable !
Le but et la mission de la science qui sait que "Toute
chose existe" ou que "Tout
est possible", est alors complètement autre ! Dans une telle
science, on sait par exemple d'office que le voyage dans le temps est possible
ou qu'il est possible
de voyager plus vite que la lumière, n'en déplaise à la
théorie de la relativité de mon
cher Einstein... On ne fait pas du tout la science et la technologie
de de la même façon, quand on sait que ce que l'on cherche
EXISTE et quand on est aidé par de très puissantes lois
fondamentales, et par une surpuissante algèbre comme l'Algèbre
du Cycle (ou Algèbre
universelle des ensembles). Le
but de la science et de la technologie est alors de trouver
dans ce puissant paradigme la solution (que
l'on sait qu'elle EXISTE) pour réaliser
tout ce que l'on veut. C'est tout autre chose qu'une science qui avance
et cherche à l'aveugle
comme maintenant, sans même être certain que ce que l'on cherche
EXISTE ou est POSSIBLE !
Depuis Einstein,
la physique caresse l'espoir d'unifier ses différentes
branches, entre autres la Relativité générale
(la physique de l'Infiniment grand) et la Mécanique
quantique (la physique de l'Infiniment petit). Les physiciens
poursuivent un Saint Graal qu'ils nomment la Physique du
Tout, Théorie de la Grande Unification (Great Unification
Theory ou Grand Unified Theory ou GUT). Elle veut unifier
toutes les forces d'interaction connues à ce jour
en une seule théorie qui explique complètement
l'Univers...
Mais
on est très loin du compte ! Quand bien même on
aurait réalisé cette Grand Unified Theory (GUT),
on n'aura réussi qu'à théoriser NOTRE
univers, sans plus ! Ce serait alors un mensonge que
d'affirmer avoir établi les lois du TOUT, donc
qui expliquent aussi la pensée, la conscience,
qui englobent l'amour, la haine, le Bien, le Mal, Dieu, Diable,
les anges, les démons, etc. ! Une science qui atteint ce but,
qui traite de TOUTES les choses sans aucune
exception, est celle qui mérite vraiment d'être appelée la
Science du Tout ou la Physique du Tout. Et la
seule condition pour atteindre
vraiment
ce but,
pour réaliser
donc la science
absolue, est justement de la fonder sur l'Absolu, à savoir
précisément
l'Univers
TOTAL ! C'est aussi simple que cela...
Théorie
de l'Universalité,
la Physique de toutes
les choses.
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