Les
Arbres du Jardin et la Science
d'Eden
La réalité cachée derrière ce qu'on appelle une "légende"
Le
modèle de l'Eden et de l'anti-Eden
La
Fractale d'Eden
Méthode
générale de l'algorithme d'Eden
Le
principe
de l'algorithme
Où
se cache le Diable de la situation ?
La nouvelle
Science de la Vie
Les
Arbres du Jardin et la Science d'Eden
La
réalité
cachée derrière ce qu'on appelle une "légende"

Adam, Eve, l'Arbre défendu, le
Serpent et Dieu.
" Dieu appela
Adam, qui se cachait dans le jardin, parce qu'il avait honte
avec sa femme, d'avoir péché.
Dieu demanda à Adam s'il avait mangé du fruit défendu.
Adam dit alors que c'est sa femme Eve qui l'a fait pécher en lui donnant
ce fruit.
Eve interrogée reporte la faute sur le Serpent, qui se trouvait sur l'Arbre
de la connaissance du bien et du mal.
Et dans l'ordre inverse de l'investigation et de l'établissement des responsabilités,
Dieu maudit le Serpent et annonça la venue du jour où sa tête
serait écrasée.
Puis il maudit Eve, et enfin Adam, ils
furent chassés du Paradis,
et le chemin de l'Arbre de vie leur fut désormais interdit (Genèse
3 : 1-24)...
jusqu'au temps du retour aux arbre de vies (Apocalypse 22 : 1-5),
quand le Mal, le Serpent, le Diable, aura été éliminé (Apocalypse
12 : 1-12; 20 : 1-3, 7-10)... "
L'affaire
du Jardin d'Eden (Genèse
chapitres 2 et 3) et d'Adam
et Eve, est pour beaucoup une simple et sympathique "légende".
Et pourtant derrière tout cela se cache toute une
logique (la Logique
Alternative) et toute une science (la Science
complète), inconnues dans ce monde jusqu'à ce
jour, et que le moment est venu de découvrir. La
nouvelle Science
de la Vie fait découvrir aujourd'hui toute la vérité
cachée dans ce qu'on appelait une "légende", et toute la fausseté
que peut cacher ce qu'on appelait "science". Face
aux grandes questions existentielles, la science actuelle est au
mieux impuissante, et au pire elle ment, comme
le Serpent sur l'arbre du Fruit défendu, que la Bible appelle l'Arbre
de la connaissance (ou de l'expérience) du
bien et du mal (ou du bon et du mauvais).
L'autre important arbre d'Eden est simplement appelé l'Arbre
de Vie.
Le
fait là : le Faux, le Mensonge, existent dans ce monde,
le Mal y existe. Nous avons tous une intuition très
claire de notions que nous concevons comme positives ou bonnes:
l'existence, la vie, la santé,
le bonheur, la vérité,
le bien, etc. En général, c'est
ce que tout humain normal veut, en principe... Et nous avons
une intuition tout aussi claire de notions qui sont tout le contraire des
précédentes, que
nous concevons comme négatives ou mauvaises :
l'inexistence, la mort, la maladie,
le malheur, la mensonge,
le mal, etc. Et en général,
c'est ce que tout humain normal ne veut pas, en principe...
(Pour plus de détails sur ce sujet, voir le document Là où se
cache le Diable).
  
Vidéos : 1) La
Science exacte qui ment 2) Toute
la lumière sur les Paradoxes 3) La
Science du Cycle 4) La
Science des Anges.
Toutes ces vidéos éclairent ce document "L'algorithme d'Eden"
et sont éclairés par celui-ci.
Le
but de l'algorithme d'Eden est de résoudre les problèmes
fondamentaux (problèmes existentiels) et plus précisément
tous les problèmes qui tournent autour de la notion de Négation (voir L'anatomie
de la Contradiction, La
Logique des Shadoks, Le
problème de la Négation, Là où se
cache le Diable). La
science tout entière
est à refaire si elle on n'a pas
commencé par résoudre le problème métaphysique
de la Négation,
notion qui permet de dire que ceci ou cela est impossible (ou non-possible).
C'est par exemple mot par lequel Aristote commence le fameux principe
de non-contradiction* : « Il
est impossible qu’un même attribut
appartienne et n’appartienne pas en même temps
et sous le même rapport à une même chose » (Aristote,
Métaphysique, 1005 b 19-20). Mais en réalité,
c'est le principe même de l'impossibilité qui
est ainsi posé et non pas de non-contradiction, car
la Contradiction est
en réalité toute une autre affaire, qui n'est
pas élucidée tant qu'on n'a pas élucidé celle
de la Négation, à laquelle
elle est très étroitement liée !
Le
Modèle de l'Eden de l'Anti-Eden

Figure
1 : Modéle
du Paradis et de l'Anti-Paradis (ou Enfer), avec 9 arbres.
(Genèse
chapitres 2 et
3).
Ce modèle est la base de la de la Fractale
d'Eden (modèle avec 9 arbres) du sous-titre
suivant.
Tous les arbre du Paradis sont permis sauf un, au milieu du Jardin, dit la Bible,
appelé l'Arbre de la connaissance du bien et du mal.
Sa consommation fait perdre le Paradis, donc fait basculer dans un monde contraire,
d'où il faudre retrouver le chemin du Paradis...
La nouvelle Science de l'Univers jette une nouvelle lumière que ce qui passe
pour une "légende..."

Modèle "Unus
ET Versus" ou "Pile ET Face" de l'Univers,
modèle de l'alternation 2.
Dans
chacun des mondes, tout est permis sauf une seule chose, tout
est possible sauf une seule chose, qui est impossible. Mais
ce qui est possible d'un côté est ce qui est impossible
de l'autre, et vice-versa.
Par exemple, au Paradis ou Monde de Dieu, on peut voler comme
un oiseau, on est un ange.
On peut vivre éternellement, etc. Bref
on peut faire une infinité de choses, sauf une, la chose 0, qui
fait basculer en Enfer !
Mais
en Enfer, c'est exactement le contraire.
On ne peut pas voler comme un ange, car ce n'est pas un
monde d'anges. On ne peut pas vivre éternellement. Tout
ce qui est possible en Enfer se réduit à une seule chose,
ici dans cet exemple 1 parmi le 9 en tout, un ilôt ou oasis
de Paradis en Enfer. Mais Dieu, qui incarne
cet oasis, est la chose interdite en Enfer, son
existence n'est pas une évidence, il est une affaire de
croyance, un espoir, une espérance.
Ce qu'on appelle "Dieu" en Enfer est en fait le Diable, le
maître de ce monde, la règle générale, celui que suit la grande
majorité, y compris beaucoup qui
pensent croire en Dieu et le suivre ! Les
voies de Dieu, le vrai chemin du retour au Paradis, est
aussi rare et difficile à emprunter en Enfer, que cet
arbre seul (vert) au milieu de l'Enfer (rouge). Mais
trouver cette voie, c'est finalement revenir au Paradis. L'ensemble
Paradis-Enfer forme l'Univers de Dieu (voir Science
de l'Univers, Science de la Chose et L'Univers
Fractal, l'Univers-Dieu).
Finalement
donc, parlant du
monde de Dieu, "Tout est permis", "Tout
est vrai", "Tout est possible", puisque l'exception,
la seule chose qui manque dans le Paradis, la seule chose interdite
(ou fausse ou impossible), la chose 0 donc (qui est rouge au
Paradis), se
trouve de l'autre côté, dans le monde contraire. Elle est interdite
non pas dans l'absolu, mais simplement en ce sens qu'elle est
la chose qui signifie "Enfer" ou "Contraire du Paradis", qui
est donc un portail vers l'Enfer. Et le contraire de tout cela
est vrai aussi, à savoir "Tout est interdit", "Tout est faux",
"Tout est impossible". Cela correspond à l'Anti-Paradis, à
l'Anti-Monde, le Revers de la Médaille, l'autre face de la
pièce, l'autre visage de Dieu, à savoir le Diable et son Monde.
La seule exception à la régle de ce monde, à savoir l'arbre
vert au milieu de l'Enfer (au lieu d'être rouge comme l'Enfer
brûlant), est celui qui se trouve justement au milieu du Paradis,
qui fait passer du Paradis à l'Enfer, tandis que son collègue
et contraire fait passer de l'Enfer au Paradis.
Ainsi,
TOUT est complet, l'Univers
est complet, il y a TOUT dans l'Univers et le
contraire de TOUT aussi, TOUT est vrai et le contraire de
TOUT est vrai aussi, et TOUT est possible et le contraire
de TOUT aussi. C'est la Logique
Alternative, la Logique d'Eden...
La
Fractale d'Eden


Exemple de construction
d'une fractale,
une Fractale 9 pour 1
(voir plus haut),
pour représenter un Univers de 9 choses,
8 vraies (ou possibles ou permises) pour une fausse (ou impossible ou interdite).
Mais évidemment avec l'Univers total,
le rapport est d'une Infinité pour 1.
La chose interdite est 0, comme pour la fameuse interdiction
de divisier
par
0,
l'exception donc parmi tous les nombres entiers naturels par exemple :

(voir aussi la vidéo La Science
du Cycle).
Une chose interdite (ou impossible) et pourtant finalement permise (possible).
Le secret ? Il
faut prendre en considération l'Univers et l'Anti-Univers
(voir aussi L'Univers
fractal, l'Univers-Dieu).
Il faut raisonner avec Le
Principe d'Alternation ou La
Logique Alternative,
qui est aussi la
Logique Fractale.
Et alors tout devient possible !

La
Fractale Rouge est illustre l'Enfer et les îlots d'Eden;
et la Fractale Verte illustre l'Eden et les îlots d'Enfer.
L'une comme l'autre illustre la structure générale
de l'Univers, où les Eden et les Enfer sont en parfait équilibre
et alternent, selon la Logique
Alternative. Les deux fractales
illustrent aussi comment un Eden évolue
toujours vers un Enfer et comment un Enfer évolue toujours
vers un Eden.

La
Logique
Alternative (la logique divine) repose
sur la très importante
notion de fractale. Une fractale est
un certain modèle qui se répète indéfiniment, à toutes
les
échelles, de l'infiniment
petit à l'infiniment grand. La figure précédente
montre une
fractale simple, déclinée en
deux couleurs, le Vert et le Rouge,
utilisées
ici d'une manière parfaitement contraires et symétriques,
comme Dieu et Diable,
comme Bien et Mal,
ou comme Arbre de Vie et Arbre de
Mort (Fruit Interdit).
Ce
n'est pas pour rien que cette affaire d'Eden de Dieu est une
affaire
d'arbres. Car justement c'est l'une des clef du modèle
d'Eden : il suffit de regarder
un simple arbre pour avoir un modèle très
naturel de la très importante notion de fractale,
le secret
même de l'Univers, tout le secret de Dieu,
toute la logique de Dieu ! Un
arbre est fait de branches, qui à leur tour reproduisent le
même modèle d'arbre,
car elles
ont leurs propres branches, qui à leur tour ont leurs propres
branches, et ainsi de suite. Bref, une affaire de fractale
quoi. C'est ce qui est géométriquement représenté dans
la figure 1 par cet exemple de carrés.
Le
modèle d'Eden dit que Dieu a permis tous les
arbres du Jardin sauf un, au milieu du Jardin, le fameux Fruit
interdit. Et la question est de savoir pourquoi justement TOUT
sauf un ! Est-ce obligé d'interdire une chose ? Pourquoi ne
pas tout permettre tout simplement ? C'est
justement là où se trouve la subtilité du problème et de la
logique qui est derrière. Réfléchissons un instant : Si vous
permettez tout, vraiment TOUT,
alors obligatoirement vous interdisez une
chose et une seule : l'Interdiction ! Là où
en effet on permet TOUT, là l'interdiction n'a
plus de place, et se trouve ainsi être la seule chose interdite.
Mais si au moins une chose est interdite,
alors on ne peut plus dire que l'on permet tout !
C'est
lce genre de paradoxe qu'il y a dans une phrase comme celle
du
slogan de Mai 68 : "Il est interdit d'interdire",
pour dire donc : "Il faut tout permettre".
C'est ce que j'appelle aussi Le
Paradoxe d'Eden. Cela fait partie d'une famille
générale de paradoxes que je nomme le Paradoxe
de la Double Négation, car tous sont du genre
: "Il faut nier la Négation". Mais s'il
ne faut plus du tout nier, alors on ne peut pas non plus
nier la négation, pourrait-on penser. Un problème du même
genre est le Paradoxe de l'Impossibilité (ou
plutôt de la Double Impossibilité) : "Il
faut rendre impossible l'Impossible", donc "Il
faut rendre tout possible". Mais alors au moins une
chose est impossible, à savoir l'impossible ! D'où une fois
encore une "contradiction".
Mais est-ce vraiment une contradiction, ou seulement une
seulement apparente, due à un détail clef de l'affaire où
se cache une erreur de raisonnement
de la part de celui qui y voit la contradiction ? En tout
cas, voici un autre problème exactement semblable, le Paradoxe
du Tueur ou du Double Tueur ou encore de la peine de mort
: "Il faut tuer tout tueur". Mais celui qui
tue une personne, même si c'est un tueur, est lui-même par
définition un tueur. Donc si on applique cette loi, il doit
être tué à son tour, et ainsi de suite. Et (à moins de se
suicider), il y aura à la fin de cet engrenage infernal un
dernier tueur qui ne pourra être par personne. S'il ne
faut pas tuer du tout, alors on ne doit pas tuer, même s'il
s'agit d'un tueur en série incurable, bref même s'il s'agit
du Diable quoi ! Où se trouve donc l'erreur ? Ce qui
est sûr, c'est qu'il doit y avoir un Diable dans l'affaire,
qui fausse le raisonnement. C'est ce que cache ce Paradoxe
d'Eden et toutes les formes équivalentes, qu'il faut
élucider par un algorithme approprié...
Et
enfin, voici un dernier exemple du genre, le Paradoxe de
Madokiya ou Paradoxe du dernier cannibale.
Un touriste qui se rend dans une certaine région du monde où
régnerait le cannibalisme,
demande inquiet, au chef de tribu : "Y a-t-il des cannibales
par ici ?" Et celui-ci lui répond : "Rassurez-vous,
il n'y en a plus, car nous avons mangé le dernier". Autre variante
du problème : le chef dit : "Rassurez-vous, car j'ai mangé
le dernier". Alors notre touriste a-t-il obligatoirement des
raisons de s'inquiéter ? Cette tribu est-elle paradisiaque
ou infernale ? Autrement dit, le chef de cette tribu qui prononce
ces paroles "inquiétantes", est-il obligatoirement un cannibale,
un Diable, ou au contraire peut-il être Dieu ?
C'est
tout le problème du Paradoxe d'Eden, du Fruit
défendu, du "Tout est permis et
pourtant tout
est permis sauf un !", du "Tout
est permis sauf un et pourtant tout est permis
!" Tout dépend simplement de la logique avec
laquelle on aborde le problème, celle du Diable ou
celle de
Dieu. La première a quelque chose de FAUX
à sa racine même (et c'est la logique actuelle), quelque chose
de bien caché, qui échappe, et qui fait voir la contradiction où
elle n'est pas en réalité, et qui empêche de voir la contradiction
où elle est vraiment ! Mais la seconde est cohérente sur toute
la ligne, elle peut démasquer la vraie contradiction, car son
secret se trouve dans la structure fractale, dans la forme
d'un simple arbre, comme les arbres du Jardin d'Eden.
On
accuse actuellement l'autoréfénce d'être à l'origine de la
dite "contradiction",
c'est-à-dire le fait pour une notion de faire référence à elle-même
ou de faire usage d'elle-même : la négation pour se nier elle-même,
l'interdiction pou s'interdire elle-même, l'impossibilité pour
se rendre elle-même impossible, le fait d'être un tueur pour
même fin aux tueurs, et enfin d'être un cannibale pour exterminer
les cannibales. Mais il s'agit d'un mauvais diagnostic du problème,
car l'autoréférence n'a jamais été un problème. La strutures
des ensembles, la structure
fractale, la structure arborescente (tout ce qui
obéit à la logique de forme d'un arbre, comme par exemple
les explorateurs ou la structure des réseaux informatiques),
sont
parmi l'infinité d'exemples d'autoréfénce, qui est la nature
même de l'Univers tout
entier. Mathématiquement sur le plan technique, ce
genre de problème qui implique une autoréférence est
typique des problèmes
de récurrence et de récursivité,
qui est le
processus inverse, la récurrence à l'envers.
Ce sont justement ces deux notions qui sont impliquées dans la
structure fractale. Par exemple, les trois règles
a) et b) et c) définie pour construire les fractales de la figure
1 sont des règles de récurrence. Le carré du départ, Vert ou Rouge,
est le commencement de la récurrence, l'étape initiale du processus,
la règle a). Les règles b) et c) forment ce qu'on appelle l'hérédité.
Elles définissent comment réaliser une étape donnée à partir d'une
étape antériieure (autrement dit comment passer à la suite à partir
d'une étape donnée).
Et,
partant du point de départ, le processus se répète en allant
du plus simple au plus complexe (vers l'infini).
Si le processus est un problème (au mauvais sens du terme) il
va donc en s'aggravant, comme la contamination de proche en
proche
dans une épidémie comme le sida. Il peut s'avérer nécessaire
d'arrêter un processus de récurrence, et de l'inverser, pour
revenir à l'état initial. C'est le processus inverse qu'on
appelle la récursivité. Lui va donc du plus compliqué vers
le plus simple, et le plus simple dans la fracatale de la figure
1, c'est le carré de départ, Vert ou Rouge. C'est lui le chef
de Madokia qui dit : "J'ai mangé le dernier cannibale" ! Cela
signifie simplement qu'un processus de récurrence a été inversé
et on est revenu à l'état initial, comme par exemple quand
une épidémie ou un fléau est jugulé. Par conséquent, ce n'est
pas obligé d'être inquiété par la déclaration du chef de Madokia,
le cannibale anti-cannibale ! Si on pense le contraire, alors
qu'on ne combatte pas un fléau comme le sida, qu'on laisse
tranquille le Tueur en série, qu'on laisse le Diable en liberté...
C'est là le fond du problème !
La
vraie cause
du problème, c'est simplement la Négation,
c'est le Diable de la situation, Diable qu'il faut toujours
trouver quand on applique l'algorithme d'Eden,
que je suis justement en train d'expliquer ! Que l'on regarde
par exemple
ce que toutes les notions impliquées dans
les exemples
cités
ont
en
commun,
et
on verra
simplement
qu'elles sont toutes
négatives, à commencer justement
par la Négation qui
sert de modèle à toutes. Il s'agit simplement du problème
de la Double Négation, quand donc
il s'agit de NIER le Négation,
de TUER le Tueur.
La loi mathématique est : non (non A) =
A. Ici
le tué est A, nié pour être
transformé en non A. S'il était vivant,
il est donc désormais non vivant ou mort.
Alors in faut nier le non vivant pour
ressusciter le mort, donc rétablir
le vivant.
Encore
faut-il préciser que c'est improprement que cette loi
est qualifiée
de loi de la Double Négation,
car en fait ce n'est pas de la négation qu'il
s'agit-là mais de la notion de contraire,
qui appartient justement à la notion générale
d'Alternation (comme
c'est largement expliqué aussi dans les documents
comme
L'anatomie
de la Contradiction, Le
Problème de la Négation,
La
Logique des Shadoks, Là
où se cache le Diable, etc.), la logique
d'Eden. En effet, non (non A) = A dit
précisément que "Le contraire du contraire
de A est A",
ou que "L'alternative de l'alternative de A est
A".
Mais
la Négation est
une autre faire et se définit simplement comme le fait de dire
le contraire de la vérité,
du vrai, etc. C'est
avec la notion d'alternation (ou de contraire)
que cette loi de la Double Négation se justifie
pleinement, mais pas avec la négation.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle certains mathématiciens
comme les intuitionnistes* refusent
cette loi de la Double Négation. C'est donc qu'il
y a un problème avec la négation, mal diagnostiqué actuellement
tout simplement parce que l'on confond la notion de négation (la
première des notions négatives donc)
avec celle de contraire (qui est
une notion alternative,
une notion d'alternation).
La
Double Négation (c'est-à-dire donc le Double Contraire ou la
Double Alternation) ne peut pas être un paradoxe ou une contradiction.
Il n'y a absolument aucun problème à dire : non
(non A) = A. C'est quand la Négation (le
Diable..) se greffe sur la très normale notion de contraire
que le problème apparaît et qu'il se présente apparemment une
contradiction. Mais la récurrence et la récursivité (très
liées elles-même à la structure fractale) qui caractérisent
l'alternation sont l'algorithme de la solution. Là où
Comme
le dit le texte biblique, quand Adam
et Eve ont
mangé du Fruit défendu, quelque chose a changé instantanément
dans la psychologie, dans leur être. Un processus s'est
enclenché, que Paul décrit très simplement
en ces termes : "Par un seul homme le péché est
entré dans le monde et par le péché la
mort, et ainsi la mort s'est étendue à tous les
hommes, parce que tous ont péché" (Romains
5 : 12).
|
Méthode
générale de l'algorithme d'Eden
Le
principe
de l'algorithme

Quelques exemples de notions
négatives, qui sont la signature
du Diable,
la Négation en
personne.
Partout où se présente une notion de ce genre
(une notion
négative),
là aussi se trouve toujours une chose concrète et physique précise
qui incarne cette notion,
et qui est le "diable de la situation",
comme par exemple le virus du sida ou un virus informatique,
qui est un programme, un code.
Le programmeur de ce virus est alors le visage concret du virus informatique,
de ce mal.
Vu à une autre échelle, à l'échelle de l'Univers,
il n'est lui-même rien d'autre qu'un virus à l'image de celui
du sida ou du virus qu'il programme,
un bug dans la Machine qu'est l'Univers,
une "cellule cancéreuse" dans l'Organisme qu'est Dieu.
S'il n'est pas un diable primaire, alors c'est qu'il est sous influence d'un
(ou de plusieurs) diable primaire,
qui de toute façon existe et aussi concret que lui.
Le
principe est très simple et il repose sur les notions négative,
comme par exemple celle mentionnées dans le tableau
ci-dessus (pour une étude détaillée de
la question, voir Là où se
cache le Diable). Car là où il y a
une notion négative, là se cache
un diable (ou des diables) à trouver.
Et si pour les trouver on se heurte à d'autres notions négatives,
elles donnent naissance à des sous-problèmes à résoudre,
et ainsi de suite. Normalement, en procédant ainsi,
on arrive à circonsrire et à identifier les causes
des problèmes (donc les diables des situations) avec
grande précision.
Si
on bute sur un problème intermédiaire qui semble
insoluble, c'est très souvent parce qu'il s'inscrit
dans un problème plus général, plus fondamental,
plus existentiel, qui est plus facile à résoudre
dans son ensemble que les problèmes individuels pris
séparément. C'est tout un art à acquérir
avec l'agorithme d'Eden. Le plus gros à traiter n'est
pas nécessairement le plus compliqué, et il est
même très souvent (pour ne pas dire presque toujours)
le plus simple. L'exemple suprême est l'Univers,
le TOUT. L'Univers dans son ensemble est infiniment plus simple à étudier
que n'importe quel sujet particulier ou spécialité !
On imagine que la formule de l'Univers, si elle peut être
trouvée, doit être queque chose d'horriblement
compliqué. Or cette formule se résume par exemple à dire
une chose comme : 0 = 1 ! C'est tout ! Les
lois d'ensemble de l'Univers sont d'une simplicité biblique
(c'est le cas de le dire), comparées aux lois spécifiques à tel
ou tel aspect de l'Univers. Ces lois ne sont pas compliquées
dans leur forme (qui est donc très simple), mais dans
leur sens, qui est souvent très étrange et heurte
notre logique courante. Elles sont déroutantes tout
simplement... comme Dieu !
Mais
comprendre ces lois rend beaucoup plus compréhensibles
les problèmes de tout autre domaine, et plus faciles à résoudre
que si on ne connaissait pas les lois générales.
Résoudre les problèmes au niveau général,
telle est la spécialité de l'algorithme d'Eden.
Pour tout dire, cet algorithme est l'algorithme de Dieu, et
il d'une efficacité redoutable partout où il
faut démasquer le Diable... comme en Eden ! Si ce puissant
outil a été ignoré jusqu'à présent,
c'est tout simplement parce que ce monde est le monde du Diable
depuis l'affaire du Jardin d'Eden; où plus précisément,
c'est un des mondes sur lesquels règne un Diable. Alors
on comprend le Diable fait prendre les choses complètement à l'envers
de la façon dont il fallait les prendre, pour justement
ne pas aboutir à Dieu et à son algorithme ! Ce
monde fonctionne à l'envers, il marche sur la tête,
et les voies choisies ne sont en général pas
les plus simples; car les plus simples sont justement celles
qui suivent la méthode de l'algorithme d'Eden; celui
aussi qui démasque le Diable en deux temps trois mouvements
!
La
Science Nouvelle aborde l'Univers suivant
la méthode de l'algorithme d'Eden, se pose les questions
et les résout au fur et à mesure selon cette
méthode, avec une simplicité telle qu'on se demandera
après coup comment ces vérités aussi simples
ne se sont pas imposées à l'évidence,
et ont pu échapper si longtemps. Et si on a la réponse à cette
question, alors on a aussi la réponse à celle-ci
: "Où se cache le Diable de ce monde ?"
Où
se cache le Diable de la situation ?
-> L'algorithme
consiste à se poser cette simple question : "Où se
cache le diable de la situation ?" Et si la question
n'aboutit pas (si on n'a pas une réponse physique
et concrète à cette question), alors cette
question est elle-même un nouveau problème,
qu'il faut résoudre de la même manière,
avant de poursuivre avec le problème qui a entraîné cette
question. Elle doit toujours aboutir à un moment ou à un
autre à trouver un diable concret.
Il
y a toujours un diable dans la situation, à trouver;
et cette étape essentielle ! Passer à côté du diable de
la situation, ne pas voir son "visage" concret,
c'est ne pas vraiment résoudre le problème, ou
alors seulement partiellement. Tant que le diable de
la situation reste abstrait, tant que l'être (ou
la chose) négative n'est
pas concrètement localisé et
identifié, la solution est illusoire,
et l'algorithme d'Eden reste toujours à terminer.
Mais
ce qu'il faut comprendre, c'est qu'un problème ne se
décompose pas seulement en sous-problèmes plus
ciblés, ayant chacun ses diables ciblés.
Mais il a toujours des sur-problèmes, d'un ordre supérieur,
dans lesquels il faut identifier de la même façon
le mal, qui doit toujours être concret.
Dans l'exemple du sida ou de la grippe ci-dessus, le tout n'est
pas seulement d'identifier clairement le virus responsable.
Car ce n'est pas obligatoirement le plus haut niveau de responsabilité.
Le virus a-t-il été mis au point
dans un programme d'arme bactériologique ? Si oui, alors
le diable de la situation est à trouver
dans ceux qui l'ont mis au point ou en la personne de celui
qui a ordonné ce programme. Le virus s'est-il par "erreur" ou
par "accident" échappé d'une
enceinte d'où il ne devrait pas sortir ? Alors cette
enceinte est simplement comme l'Arbre défendu d'Eden,
qu'il ne fallait pas toucher. Ce qui y correspond, ici, c'est
que tous devraient veiller à ce que le virus n'entre
pas en contact avec l'extérieur. Et dans l'algorithme
d'Eden, l'erreur ou l'accident ne
sont pas des fatalités, car justement
le but fondamental de cet algorithme, c'est de mettre fin à la fatalité,
de montrer son vrai visage, son visage concret,
et il existe toujours ! Les mots comme "erreur", "accident", "fatalité",
etc., sont des notions négatives, et
toutes les notions négatives se résument à une
seule, le mal, le diable, à trouver,
et il existe toujours ! Cela ne veut pas dire qu'il est facile à trouver,
et la difficulté est elle-même
une notion négative, un nouveau mal,
un autre diable à trouver ! Oui, il
faut trouver le diable qui rend difficile de
trouver un autre diable, et ainsi de suite.
Il
faut toujours songer à remonter la chaîne des diables,
avec comme guide les mots bien et mal, ou
positif et négatif, et surtout le second,
le négatif. Il ne faut surtout pas
tomber dans le piège de laisser un mot négatif remplacer
un autre et suspendre l'algorithme ou l'empêcher d'aboutir à un
terminus, c'est-à-dire à un diable donné.
C'est ce qui failli se produire ici avec les mots "erreur", "accident", "fatalité", "difficulté",
etc. Ce qui se produit souvent, c'est qu'on accepte l'un de
ces mots, on avoue son impuissance face à l'"erreur",
par exemple avec une formule du genre "L'erreur est
humaine". On accepte cette chose comme "normale",
et alors le vrai visage de l'"erreur" n'est
pas trouvé. Il ne s'agit pas de se demander : "Qui
a commis cette erreur ?", car cette question
met en présence d'une victime concrète (la
personne qui a commis l'erreur), mais l'erreur elle-même
reste abstraite. Donc le diable de la situation
court toujours, puisque son visage n'est pas concrètement
identifié. Mais la question à poser est : "Qui
est l'erreur ?" L'identification du visage
concret de l'erreur, c'est l'identification concrète
d'un diable, et alors on a atteint un terminus.
C'est comme si en partant du tronc d'un arbre et en naviguant
de branches en branches (c'est cela la méthode même
de l'algorithme d'Eden) on aboutit à une feuille ou à un
fruit, ici un fruit défendu. Et la navigation peut alors
se poursuivre dans d'autres directions dans l'arbre pour trouver
ainsi tous les fruits du mal.
C'est
exactement comme aussi naviguer en informatique de dossier
en dossier pour trouver un fichier donné (mettons
le code d'un virus informatique), et alors on est à un
terminus, qui correspond donc à un diable cherché.
Si on cherche ce fichier pour y trouver un éventuel virus informatique
et le supprimer, alors le diable est en fait ce virus, et le
fichier n'est un innocent infecté par
ce diable. Un dossier qui contient ce fichier est "possédé" aussi
par ce "diable". Ce dossier est à son tour
un diable, mais secondaire. Et tout dossier qui contient un
possédé (fichier ou dossier) est possédé,
mais à un ordre supérieur, et ainsi de suite.
Et le but est de trouver un diable terminal, ici le fichier
ou le virus, qui n'est possédé par personne mais
qui possède tous ! Et il reste maintenant à trouver
le diable d'ordre supérieur à celui-là,
et c'est tout simplement celui qui a fabriqué ce virus et
l'a mis en circulation pour nuire à autrui. C'est le
visage humain concret du mal,
et il existe toujours un visage humain concret
du mal. Au-delà, il faut accuser Satan
le Diable qui a possédé celui qui a
commis ce mal. Et au-delà de Satan, il faut accuser Dieu,
l'orgine de toutes choses, le responsable suprême. Mais
là, on entre dans l'abstrait, et on
ruine l'algorithme d'Eden (qui doit toujours aboutir à un être
concret et physique), à moins de donner un visage humain
concret au mot Diable
et Dieu, ce qui est une autre
affaire, qui n'est pas l'objet du présent
document.
On
entrevoit donc que le champ d'application de l'algorithme d'Eden
est très large. Il s'applique partout où il y
a un mal à trouver, un diable à démasquer.
A chaque fois la simple question à se poser est : "Où se
cache le diable de la situation ?" Et
si la question n'aboutit pas (si on n'a pas une réponse physique et concrète à cette
question),alors cette question est elle-même un nouveau
problème, qu'il faut résoudre avant de poursuivre
avec le problème qui a entraîné cette question.
Et
où il y a une notion négative (ce
point est essentiel dans l'algorithme), là il y a toujours
un diable à trouver. Avec
cet, on ne se laisse plus arrêter par aucune notion négative (erreur,
accident, difficulté, impossibilité, fatalité,
etc.), car toute notion négative cache
un diable ou démon.
Laisser à une étape quelconque une notion négative (explicite
ou implicite) bloquer la recherche du diable,
c'est avaler ce démon, c'est se laisser
posséder par lui. Si c'est face à une difficulté qu'on
bute, alors derrière cette difficulté se
cache simplement un démon à trouver.
Et si la difficulté persiste, c'est
qu'un autre démon s'oppose à la
découverte du premier, et ainsi de suite. Il faut poursuivre
l'algorithme sans relâche, et à un moment ou à un
autre on finit toujours par identifier un, à lever un
certain obstacle, et c'est déjà ça
de gagner. Identifier un démon (comme
par exemple le fait d'identifier le virus du sida), c'est déjà une
victoire. Même si elle est minime et que le plus gros
reste à faire dans l'algorithme, il ne faut pas sous-estimer
cette victoire et son importance par la suite et la réussite
complète de l'algorithme.
Et
maintenant une chose importante dans l'algorithme d'Eden :
le but est de toujours pouvoir donner au moins un
visage humain à tout diable !
Et alors on a trouvé un fruit défendu, on a atteint
un terminus.
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