Algèbre des ensembles physiques
Toute chose est un ensemble
Fonder
une science sur l'Univers
TOTAL change complètement la vision des choses et offre
de magnifiques nouvelles perpectives. Le premier et très
appréciable avantage qui en résulte est une phénomènale simplification
de la science, une clarification des notions scientifiques.
Elle est dû à cette première loi fondamentale :"Toute
chose est un ensemble",
au sens du mot "ensemble" défini
dans le langage
universelle des ensembles.
Il s'agit d'une notion très PHYSIQUE du mot "ensemble",
donc très concrète, très naturel, qui n'a plus rien de
la notion abstraite d'ensemble avec laquelle les mathématiques
actuelles fonctionnent.
Au
sens de la notion naturelle (universelle) d'ensemble,
un ensemble est tout simplement un mot pour
dire qu'une chose X donnée est PHYSIQUEMENT constituée d'aucune,
d'une ou de plusieurs choses, appelées les éléments
X. Et
comme on peut toujours dire qu'une chose est constituée
d'au moins elle-même, alors "Toute chose est un
ensemble".
Par
exemple, un humain nommé Théophile est un ensemble
constitué d'une tête, d'un cou, de bras, etc.,
qui sont ses éléments. Ce qu'on va appeler
les éléments de Théophile
va dépendre de comment on va le décomposer.
Et
l'Univers TOTAL est
l'Ensemble suprême, l'Ensemble
de toutes les choses, qu'on notera U, donc aussi l'Ensemble
de tous les
ensembles ou Ensemble Plein (noté alors Oméga). C'est le chef
d'orchestre même de l'Algèbre universelle
des ensembles, et sans lui cette Algèbre est tout simplement impossible,
comme jusqu'à présent.
Les
choses se simplifient considérablement avec une science
qui se fait avec l'Univers
TOTAL ! Par exemple, les
notions d'élément et de "partie" (ou "sous-ensemble")
sont maintenant parfaitement synonymes, à cause d'une
très importante propriété des ensembles physiques, la transitivité.
Cela signifie que si B est
un élément de A, alors tout ce
qui est un élément de B est
aussi un élément de A.
Par exemple, la tête est un élément d'un corps; par conséquent,
tout ce qui est un élément de la tête (les yeux, le nez, etc.)
est aussi un élément du corps.
Toute
chose est un ensemble
Avec
toutes ces précisions, nous pouvons maintenant mieux comprendre
les opérations de l'Algèbre universelle des ensembles (l'Algèbre
des choses) définies plus haut. On a dit qu'additionner deux
choses X et Y, c'est faire
leur réunion en tant qu'ensembles,
et que c'est aussi faire l'opération logique OU avec ces
choses. Si par exemple, s'adressant à un groupe on dit :
"Que tous ceux qui parlent anglais OU français se
mettent de se côté", Cela signifie qu'on
additionne ou que l'on réunit en un seul
ensemble les deux ensembles Anglais et Français.
Et dans l'ensemble obtenu, il peut évidemment y avoir des
gens qui parlent les deux langues. Ils répondent eux spécialement
au signalement "anglais ET français"
(la partie jaune du schéma ci-dessus), ce qui est une autre
opération (intersection ou multiplication) qui
sera examinée après.
Au
sens le plus universel de l'addition, "addionner
donc deux ensembles X et Y c'est réunir leurs éléments
pour faire un nouvel ensemble". Et comme le montre
ce cas très général, quand les deux ensembles ont une partie
commune (ici l'intersection en jaune), la réunion donne un nombre
total inférieur au total de départ avant l'addition. Si par exemple
X ey Y comptaient chacun 5 éléments (donc 10 en tout), et que
3 éléments soient communs au deux ensembles, alors leur réunion
ne compte pas 10 mais 7 éléments.
Tous
les de figure d'opérations que l'on qualifie du
nom d'"addition", dans
tous les domaines, en logique (addition des valeurs de vérité en
algèbre de Boole), en mathématiques (addition
des nombres rééls, addition des vecteurs, addition
des matrices, addition des espaces, etc.), en physique (addition
des grandeurs, synthèse
additive des couleurs, addition des particules
comme dans les réactions nucléaires, addition
des corps, etc.), en chimie (mélange des substances,
additions des corps purs comme dans les réactions
chimiques, etc.), en informatique (addition des objets),
etc., obéissent à cette loi générale et universelle
qui est définie ci-dessus. Le type d'addition et le résultat
va dépendre
des objets X et Y en présence, ou du résultat
que l'on veut obtenir.
Le
schéma ci-dessus montre quatre de l'infinité de
manières d'additionner les deux rectangles verts.
Certaines conservent l'aire totale de départ, comme
par exemple la première et la quatrième. Et
d'autres ne conservent pas l'aire, comme la deuxième
et la troisième (l'aire du résultat est inférieure à l'aire
totale de départ). Et même, laisser ces deux
rectangles tels qu'ils sont au départ c'est une forme
d'addition, qui conserve l'aire totale.
Jusqu'à présent,
on disait systématique par exemple que 5 + 5 = 10,
comme si cette égalité doit obligatoirement être
la seule vérité, la seule manière d'additionner
5 et 5 dans tout l'Univers. Mais ceci n'est qu'un cas très
particulier d'addition, parmi l'infinité de cas possibles.
Considérons
par exemple les deux ensembles de fruits suivants : X = {Pomme,
Poire, Banane, Avocat, Abricot}, et Y = {Papaye, Mangue,
Cerise, Orange, Pêche}. Dans la langage actuel, on
dira qu'ils ont chacun 5 éléments. Mais dans
le langage
universel des ensembles, "Toute chose est un ensemble"
(cela on l'a déjà vu), et "Tout ensemble est un nombre",
et c'est ce qu'il faut comprendre maintenant. L'un des aspects
très importants de bâtir la Science sur l'Univers TOTAL,
c'est que les nombres sont des objets concrets et physiques
comme l'Univers est physique. Ce ne sont plus ces objets
abstraits mystérieux de la pensée, qui servent à indiquer
des quantités, sans qu'on sache quelle est leur nature exacte.
Mais maintenant un nombre est par définition un certain ensemble
donné, et un ensemble est un certain nombre. Par exemple,
l'Univers, en tant que nombre, est appelé l'Infini.
C'est
pourquoi donc on dira des ensembles X et Y ci-dessus qu'ils
SONT deux 5, c'est-à-dire deux versions différentes
du même 5. Exactement comme, en voyant un chat puis
autre, je dis que j'ai deux versions différentes du même
chat. Le chat n'est donc pas un être abstrait mais concret.
De même, X et Y sont deux 5, chacun EST concretement et physiquement
5.
Ici
donc, dire X + Y c'est dire 5 + 5, et cela donne l'ensemble
{Pomme, Poire, Banane, Avocat, Abricot,
Papaye, Mangue, Cerise, Orange, Pêche}, ce qui est
un ensemble de 10 éléments (dans le langage
habituel), mais ce qui EST un 10, dans le nouveau langage.
Ici donc, on a : X + Y = 5 + 5 = 10.
Mais
si au lieu de Y = {Papaye, Mangue, Cerise, Orange, Pêche}
on avait plutôt Y = {Pomme, Poire, Banane, Orange,
Pêche}, on aurait cette fois-ci X + Y = 5 + 5 = 7,
car trois fruits appartenant au premier ensemble appartiennent
aussi au second, donc la réunion ou l'addition des
deux ensemble est : {Papaye, Mangue, Cerise, Orange, Pêche,
Orange, Pêche}, un ensemble de 7 éléments
différents, un 7 donc. On est donc dans un cas de
figure 5 + 5 = 7.
Ce
genre d'égalité n'est pas la manière habutuelle de concevoir
l'égalité, et la science actuelle a carrément horreur d'écrire
des choses de ce genre (voir Exemple
de pratique de la Logique Négative). Et pourtant
cela traduit une réalité de l'Univers, comme par exemple
celle que l'on vient de voir. En effet, ajouter deux ensembles
de 5 éléments chacun (c'est-à-dire donc deux 5) n'est pas
forcément obtenir un ensemble de 10 éléments (ou un 10).
Cette égalité du genre 10 = 7 ou
7 = 10, est un exemple de cycle. Il équivaut à dire 0
= 3, que la nouvelle science appelle un Cycle
3.
Et
maintenant, quel est le résultat de X + X ? Il s'agit donc
de faire : {Pomme,
Poire, Banane, Avocat, Abricot} + {Pomme,
Poire, Banane, Avocat, Abricot}. En tant que réunion
des ensembles, le résultat est : {Pomme,
Poire, Banane, Avocat, Abricot}. Ceci est un exemple
de X + X = X, ou 5 + 5 = 5.
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On
rappelle que la notion d'ensemble de la Science
Nouvelle (ou Théorie
universelle des ensembles) est une notion PHYSIQUE,
contrairement à la notion d'ensemble de l'actuelle théorie
axiomatique des ensembles (w), qui est une notion
abstraite, dépourvue de toute signification
physique. Mais la Science
Nouvelle est la Physique
de toutes choses, appelée la Théorie
de l'Universalité. Un ensemble
X au sens de cette théorie est tout
simplement une chose faite (ou constituée)
physiquement d'aucune, d'une ou de plusieurs autres
choses (voir Chose,
Existence, Ensemble).
Dans
le langage
universel des ensembles, on ne distingue plus
les notions d'élément et de partie (ou sous-ensemble),
car la notion physique (ou naturelle) d'ensemble est transitive.
Cela signifie que si une chose B est un
des constituants physiques (ou éléments) d'une
chose A, et une chose C est
un des constituants physiques (ou éléments)
de B, alors évidemment C est
aussi un des constituants physiques (ou éléments)
de A. Donc l'élément B de A est
un sous-ensemble (ou partie) de A. C'est
entre autres la raison pour laquelle les notions d'élément et partie sont
synonymes dans le langage
universel des ensembles, c'est-à-dire dans
la notion physique d'ensemble, la notion d'ensemble qui est
celle de l'Univers. Avec cette notion, on
ADDITIONNE donc le plus naturellement du monde et avec toute
la simplicité biblique les choses pour former une
nouvelle chose X. On fait un assemblage
(ou addition) physique de choses pour constituer X.
X est
dit vide s'il n'est constitué d'aucune
chose, et il est noté O.
S'il est fait d'une seule chose A,
alors cette chose est l'ensemble X lui-même,
donc X = A. Si X est physiquement
fait de deux choses A et B,
alors on a : X = A + B. Si X est
fait physiquement de trois choses A, B et C,
alors on a : X = A + B + C, etc. De même,
on fait l'opération contraire (l'anti-opération),
on soustrait les choses pour former de nouvelles choses.
Si par exemple X = A + B + C, alors par
exemple X - A = B + C, et X - (A
+ C) = B, etc.
L'Univers
TOTAL, l'Ensemble
de toutes les choses, que l'on notera U,
est donc le plus grand ensemble physique, il est constitué de
l'addition de TOUTES les choses. Il est donc tout le contraire de
l'ensemble vide O, les deux sont des anti-choses l'un
de l'autre (voir la Loi
des Contraires et la Loi
de l'Alpha et l'Oméga ou Loi du Vide
et du Plein).
Dans
cette algèbre
universelle des ensembles, cette algèbre
des ensembles physiques (qui est aussi la physique
des ensembles), l'opération ensembliste de réunion (ou
d'union), l'opération disjonction logique
OU et l'opération arithmétique d'addition "+"
sont une seule et même opération. De même, l'opération
ensembliste d'intersection,
l'opération conjonction logique ET
et l'opération arithmétique de multiplication "x" sont
une seule et même opération.
Cette
algèbre peut être parfaitement exprimé dans
un langage
chromatique, le langage des couleurs (voir
la Logique Chromatique
de l'Univers).