Existence, tout simplementubertElie
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YHWH l'Univers-Dieu

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
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Le Théorème de l'Univers-Dieu

Sur le plan scientifique, la question n'était pas de savoir si DIEU existe ou non,
mais de savoir ce qu'il faut entendre par DIEU, par le verbe EXISTER, etc.
Il fallait régler cette question de manière scientifique et de manière très précise,
qui laisse désormais à la Négation très peu de place pour s'exprimer
et pour nier l'existence de qui que ce soit ou de quoi que ce soit.

La question de Dieu est tout simplement
une question de conception de l'Univers, une simple question de sa définition !
Dès l'instant où
l'Univers
est scientifiquement bien conçu et défini
à l'aide d'un langage scientifique adéquat (le langage universel des ensembles),
son existence en résulte immédiatement, elle est aussi vraie que celle de cet
Univers.

Dans le langage universel des ensembles,
l'
Univers est par définition l'Ensemble de toutes les choses".
C'est ce que j'appelle
l'Univers TOTAL, à distinguer de NOTRE univers.
Par EXISTER il faut entendre maintenant :
"être un élément de l'ensemble qu'est
l'Univers TOTAL",
c'est-à-dire tout simplement : "être une chose".
Et par DIEU il faut maintenant tout simplement entendre
l'Univers TOTAL.

Libre à qui le veut de continuer à nier l'existence de Dieu,
au sens qu'il donne au mot Dieu ou et au verbe EXISTER.
Les "chiens nieurs" aboient leur négation de diables et de diablesses,
mais la caravane de
l'Univers TOTAL passe,
la caravane de l'Univers Fractal, l'Univers-Dieu...
C'est en un sens scientifique, le sens du
langage universel des ensembles,
qu'il faut désormais entendre les mots Dieu et le verbe EXISTER.
Et en ce sens-là Dieu existe, car la chose appelée Dieu est
l'Univers TOTAL,
cette chose est un élément de
l'Univers TOTAL ou Ensemble de toutes les choses,
donc elle EXISTE au sens scientifique qui a été défini pour le verbe EXISTER
dans
langage universel des ensembles.
En d'autres termes, puisque
l'Univers TOTAL est Ensemble de toutes les choses
et que
lui-même est une chose,
il est donc un élément de lui-même, il EXISTE en lui-même en tant qu'un de ses éléments.
C'est la très importante propriété d'auto-appartenance de l'Univers TOTAL.
Il ne reste plus qu'à découvrir scientifiquement
toutes les propriétés de cet Univers suprême, de l'Univers-Dieu.

 

Existence, Univers, Dieu

On définit habituellement l'Univers comme étant l'Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT. D'accord, mais que faut-il entendre par EXISTENCE ou le verbe EXISTER ?

Le verbe EXISTER couramment employé pour nier par exemple l'existence de Dieu a-t-il le même sens que pour le mathématicien quand il dit par exemple que l'ensemble vide existe ou que l'ensemble de tous les ensembles (ou ensemble plein) n'existe pas ? Pour le mathématicien, pour qu'une chose existe, il suffit qu'elle n'entraîne aucune contradiction logique dans la théorie où elle est considérée. Autrement dit, si la théorie est cohérente, alors les choses dont elle parle existent pour le mathématicien. Mais pour le physicien, la cohérence logique d'une théorie ne suffit pas pour affirmer que les choses dont elle parle existent. Il faut en plus que la théorie soit confirmée par l'expérience (par la "réalité" donc), sinon elle ne reste qu'une théorie mathématiquement exacte, mais pas physiquement. Cela signifie tout simplement que la notion d'existence n'est pas la même pour l'un et l'autre.

Dans le problème de l'existence, on a brûlé une étape très importante. La science actuelle a démarré sans clarifier les mots fondamentaux qu'elle emploie, comme par exemple chose, ensemble, existence (voir Chose, Existence, Ensemble). Cela fait que chacun dans son domaine donne un sens différent aux mots fondamentaux et d'autres, le sens de son jargon. Et le langage scientifique dans son ensemble est séparé du langage de la vie courante. Un même mot ne va pas signifier la même chose en science que dans la vie courante. Tout cela fait désordre, et il faut maintenant clarifier les choses une bonne fois pour toutes, redefinir tous les mots scientifiques (comme ceux de la vie courante) sur des bases rigoureuses, valables dans tous les domaines. En effet, l'Univers est un TOUT indivisible, et c'est bien le Diable si on est condamné à cette Tour de Babel, si donc on ne peut pas adopter un langage universel permettant à tous de savoir exactement de quoi on parle quand on utilise tel ou tel mot !

Mais fort heureusement, tous les mots peuvent en partant d'un seul mot fondamental, le mot chose (voir donc Chose, Existence, Ensemble). Ainsi par exemple, un ensemble A est tout simplement une chose constituée d'aucune chose, une chose ou plusieurs choses. Une chose constituante B est appelée une partie ou (sous-ensemble) de A si elle est elle-même faite d'autres choses constituantes. Si C est une tel chose, elle constitue donc aussi A. Les plus petites parties de A (ou ce qu'on va décider comme telles) seront appelées les éléments de A.

Par exemple, on peut voir la chose qu'est un humain comme un ensemble fait d'une tête, d'un thorax, de bras, de jambes, etc. Et la tête est faite d'une boîte crânienne, d'un cerveau, d'yeux, d'oreilles, etc., qui constituent de ce fait aussi l'humain. La tête est donc une partie ou un sous-ensemble de l'humain, et on peut poursuivre ainsi indéfiniment la décomposition. C'est à nous de décider où on va s'arrêter, ce qu'on va appeler les plus petites parties de l'humain, si ce sera les parties comme la tête, les bras, les jambes, ou si ce sera les cellules, les molécules, les atomes, les particules, etc. Les parties décidées comme élémentaires seront appelée les éléments de l'humain.

Ainsi donc, la notion d'ensemble est parfaitement définie à partir de la notion fondamentale de chose. Un ensemble est donc tout simplement une chose vue comme une structure faite d'autres choses, appelées ses parties ou ses éléments. On peut maintenant définir le plus grand des ensembles, la plus grande des structures, à savoir l'Univers. Si on dit que c'est l'Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT, alors on brûle une étape importante, car on emploie un nouveau mot, le mot existence ou le verbe exister, sans qu'on sache d'où il sort et ce qu'il faut entendre par "chose qui existe". Nous devons donc poursuivre le processus de définition rigoureuse commencé, à partir du mot chose. Puisque le mot ensemble vient d'être rigoureusement défini, alors la définition rigoureuse de l'Univers qui s'impose automatiquement est tout simplement : l'Ensemble de toutes les choses ! C'est la définition de ce que j'ai appelé depuis le début l'Univers TOTAL, par opposition à toute autre conception de l'Univers.

Toutes les choses s'assemblent pour former cet Ensemble ou structure nommé l'Univers. Maintenant qu'on se situe dans ce cadre très général, on peut faire la part entre les choses qui existent et celles qui éventuellement n'existeraient pas. Mais comment le savoir ? En fait le problème se pose seulement quand on abandonne la démarche objective des notions pour une conception subjective. La question n'est pas de savoir quelle chose existe et quelle chose n'existe pas, mais simplement de définir le mot exister !

"Par exister il faut entendre être une chose", ou encore : "Par exister il faut entendre être un élément de l'Ensemble de toutes les choses", ou encore : "Par exister il faut entendre être un élément de l'Univers TOTAL". C'est la simple définition du mot existence qui s'impose. En tout cas la notion absolue et universelle d'existence. En effet, elle est définie à partir de la notion d'Univers ou de la notion de chose. Il s'agit alors d'une notion d'existence mathématiquement ou analytiquement définie et non plus une notion philosophique subjective. La notion d'existence ainsi définie n'est philosophique qu'au sens de la philosophie analytique.

De la même façon, c'est analytiquement que la notion de Dieu sera maintenant et enfin définie : "Par Dieu il faut entendre l'Univers TOTAL, à savoir l'Ensemble de toutes les choses".

Cet Ensemble (ou Univers ou Dieu) est une chose évidemment. Par conséquent cette chose est un élément de l'Ensemble de toutes les choses, c'est-à-dire l'Univers TOTAL. Cette chose existe donc au sens analytique du mot exister qui a été défini. En effet, "Par exister il faut entendre être un élément de l'Univers TOTAL". Autrement dit donc, Dieu existe, au sens mathématique du terme Dieu et du terme existence.

L'important est désormais la définition scientifique de ces notions, ainsi que leurs propriétés scientifiques. Si quelqu'un par exemple nie maintenant l'existence de Dieu, la seule question qui se pose est de savoir de quoi parle-t-il, quel sens donne-t-il au mot existence ou Dieu ? Si ce n'est pas précisément l'Univers TOTAL qu'il nomme Dieu ou si le mot exister chez lui ne signifie pas le fait d'être un élément de l'Univers TOTAL, alors on ne parle pas de la même chose. Qu'il NIE donc l'existence de Dieu, comme il l'etend, cela ne concerne pas les choses dont moi je parle (voir aussi La question de Dieu et du Diable aujourd'hui), qui elles, sont maintenant scientifiquement définies. On se contente simplement d'exposer les propriétés scientifiques des choses dont je parle (voir Théorème de l'Existence, Loi de l'Univers), et surtout de l'Univers TOTAL ou Univers-Dieu (voir par exemple L'Univers fractal, l'Univers-Dieu).

Le Théorème de Dieu, aussi vrai que de dire : "L'Univers TOTAL existe..."

Selon les connaissances scientifiques actuelles, ce qu'on appelle l'Univers est une chose qui mesure 15 milliards d'années-lumière et est donc âgé 15 milliards d'années. Il est grand, très grand, certes; mais du simple fait qu'il possède une dimension ou un âge déterminés suffit pour dire qu'il n'est pas l'Univers TOTAL, mais seulement un cas particulier d'univers, avec ses caractéristiques et ses lois propres, avec ses possibilités.

Car l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, est forcément incommensurable, et on ne peut pas dire qu'il a tel âge particulier et cet âge seul. En effet, toutes choses appartiennent à cet Univers, et les contraires de toutes choses. De ce fait même, il contient donc tous les univers particuliers, de toutes les dimensions, de tous les âges, de toutes les formes, de tous les modèles, etc. Par exemple, on peut caractériser un humain particulier par sa taille, son âge, sa masse (ou poids), son sexe, la couleur de ses cheveux, etc. Mais l'ensemble de tous les humains est une entité qu'on ne peut pas caractériser ainsi, mais seulement par les caractéristiques fondamentales communes à tous les humains.

Si donc on caractérise un univers comme le fait la science actuelle, et si on lui attribue tel ou tel modèle, et si on demande s'il est en expansion, stationnaire, etc., c'est tout simplement qu'on parle d'un individu particulier dans la famille des univers, tout comme on parlerait des caractéristiques d'une galaxie particulière (la nôtre), nommée la Voie Lactée. On ne peut pas parler ainsi de l'Univers TOTAL, car sa seule caractéristique est qu'il possède toutes les caractéristiques possibles et imaginables, et les contraires des mêmes caractéristiques; et aussi toutes les caractéristiques impossibles et inimaginables ! "Impossibles et inimaginables" pour un humain, je veux dire. Le dénominateur commun de tout cela consiste en un certain nombre de lois fondamentales, de principes et considérations très générales (voir Théorème de l'Existence, Loi de l'Univers).

La seule question qui peut se poser est de savoir si l'Univers TOTAL existe. Mais ce problème se pose et ne se pose pas, car toute la question est de savoir quel sens donner au mot "exister". Si c'est au sens intuitif, vague, subjectif, non scientifiquement défini, alors le problème se pose, mais n'a aucun intérêt scientifique, puisqu'il ne se pose pas dans un langage scientifique clairement défini. Mais si le verbe exister est à comprendre au sens absolu et universel du terme tel que je l'ai défini plus haut, alors la question a un sens et sa réponse aussi : L'Univers TOTAL existe. En effet, exister, c'est être un élément de l'Univers TOTAL, et l'Univers TOTAL est un élément de lui-même.

Autrement dit encore, à la question de savoir si la phrase "Toute chose existe" est vraie ou non, la réponse est oui, puisque exister c'est par définition être un élément de l'Ensemble de toutes les choses, à savoir l'Univers TOTAL. Toutes les choses sont dans cet Ensemble, donc elles existent, au sens absolu du terme exister, le sens mathématique clairement défini plus haut.

Toute la Lumière sur les Paradoxes

L'histoire de la science est jalonnée de situations où l'on aurait dû comprendre simplement ceci : "Le contraire de toute vérité est une autre vérité". Il y a eu par exemple l'affaire du cinquième postulat d'Euclide, époque où l'on affirmait que dans une géométrie qui se respecte la seule vérité doit être seulement celle-ci : "Par un point extérieur à une droite, il passe une et une seule droite parallèle à la première". Puis avec le temps on s'est aperçu qu'il existe des géométries tout aussi fécondes (sinon bien plus) que celle qui ne retient que cette affirmation comme vérité. C'est d'ailleurs avec l'une d'elle qu'Einstein a fait sa célèbre théorie de la relativité, qui a bouleversé la vision de l'Univers.

Puis il y a eu ce genre de problème : "Quel nombre faut-il ajouter à 5 pour avoir 3 ?" Impossible, pensait-on, car on ne concevait alors que les nombres positifs, et cela paraissait absurde qu'en ajoutant un nombre à 5 on puisse obtenir un résultat qui lui est strictement inférieur, à savoir 3. Mais la découverte des nombres négatifs a apporté la preuve que cette "absurdité" est tout simplement une autre vérité.

Puis il y a eu le problème le problème suivant : "Quel est le nombre dont le carré est -1 ?" Jusque là, on concevait que le carré d'un nombre (qu'il soit positif ou négatif) est toujours positif. Un nombre dont le carré serait -1 ne pouvait donc qu'être "imaginaire", ainsi qu'on l'a appelé historiquement. Puis on découvrit tout simplement les nombres complexes, qui apportèrent la preuve que cet "imaginaire" est bel et bien une autre réalité !

En mathématiques comme en physique (comme par exemple en mécanique quantique) il se pose toujours le même genre de problème scientifique, on se heurte à chaque fois aux insuffisances de l'outil ou du paradigme scientifique. Mais on commet perpétuellement les mêmes erreurs, on n'en tire jamais une bonne fois pour toutes la leçon qui s'impose, et qui est simplement celle-ci : "Le contraire de toute vérité est toujours une autre vérité". Autrement dit : "Une anti-vérité est toujours une autre vérité", exactement comme le fait de dire en physque l'anti-matière est une autre matière.

La science devrait se faire avec la notion de Contraire (qui est un cas particulier de la notion générale d'Alternation) et non pas de Négation, comme c'est le cas actuellement. On devrait simplement parler des choses et des contraires des choses (les anti-choses), sans nier aucune chose ! Le contraire d'une chose (l'anti-chose donc) est toujours une autre chose, le contraire d'une existence (l'anti-existence donc) est toujours une autre existence, le contraire d'une vérité (l'anti-vérité donc) est toujours une autre vérité. Mais la négation d'une chose n'est jamais une autre chose, la négation d'une existence n'est jamais une autre existence, la négation d'une vérité n'est jamais une autre vérité. C'est là toute la différence entre la notion de Contraire et celle de Négation.

Actuellement, en théorie des ensembles (w) (la théorie la plus fondamentale des mathématiques), on parle de l'ensemble vide mais on dit que l'ensemble plein ou ensembles de tous les ensembles ne peut pas exister (voir Chose, Existence, Ensemble ou Théorie universelle des ensembles). La raison est que l'existence de cet ensemble plein cause des paradoxes ou contradictions. Mais l'Ensemble de tous les ensembles dont on affirme ainsi qu'il n'existe pas, c'est tout simplement l'Univers TOTAL !

La science actuelle déclare donc que l'Univers TOTAL ne peut pas exister pour cause de paradoxes. Mais en réalité, c'est la logique avec laquelle on fait la science actuellement qui est elle-même la cause des paradoxes, la logique négative, qui repose sur la négation (voir L'anatomie de la Contradiction, Le Problème de la Négation). La bonne logique pour faire la science, pour comprendre l'Univers et découvrir ses grands secrets, est la Logique Alternative (encore appelée Logique de Cycle), qui repose sur l'Alternation. Les vidéos ci-dessous traitent de ce paradigme du Cycle, en même temps qu'ils mettent en lumière les insiffisances du paradigme actuel.

MATH ERROR !La science exacte qui mentToute la lumière sur les paradoxesLa science du CycleLa science des Anges
Vidéos : 1) MATH ERROR 2) La Science exacte qui ment 3) Toute la lumière sur les Paradoxes 4) La Science du Cycle 5) La Science des Anges.

Négation et Alternation, c'est la Nuit et le Jour, c'est Diable et Dieu...

Comme on l'a vu avec l'étude du Théorème de l'Existence et la notion de chose et d'anti-chose, dire qu'une chose n'existe pas c'est dire que c'est son contraire ou son anti-chose qui existe. Donc finalement la chose existe sous sa forme contraire ! Donc dire que Dieu n'existe pas c'est forcément dire que c'est l'Anti-Dieu (ou Diable) qui existe ! Ne pas croire en l'un c'est forcément croire en l'autre, et vice-versa (voir aussi La question de Dieu et du Diable aujourd'hui).

La science, c'est la Négation, et c'est cette science qui est connue jusqu'à aujourd'hui. Mais l'autre science, c'est l'Alternation, celle inconnue jusqu'à présent, celle qui est aujourd'hui révélée. L'une est la Nuit et l'autre est le Jour; l'une est le Diable, et l'autre est Dieu...

Nuit et Jour...
Nuit et Jour sont contraires;
Noir et Blanc sont contraires;
Ténèbres et Lumière sont contraires;
Diable et Dieu sont contraires...

"Absence de couleurs" est une couleur spéciale appelée le Noir, et "Non-existence de Dieu" est un Dieu spécial appelé le Diable... Avec la Négation, on nie l'existence des choses purement et simplement... Mais avec l'Alternation (ou la notion de Contraires), deux choses contraires existent l'une comme l'autre (voir La Loi des Contraires). Là, nier une existence c'est toujours parler d'une autre existence. Avec l'Alternation "Toute chose existe", tout simplement... Dieu existe... Sinon, je n'aurais pas pu expliquer tout ce que j'ai expliqué dans ce document... ;)

Pour d'autres détails, voir le documents La Question de Dieu et du Diable aujourd'hui.


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