Liste alphabétique des termes
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A
- Absolu et Relatif
- Affirmation et Négation
- Alpha
- Alter, Alternative, Différence
- Alternation, Alternatif
- Anti-Chose
- Anti-Univers, Néant, Vide, Rien,
Zéro, Point, Particule, Alpha
- Auto, Auto-appartenance, Auto-référence, Réfexivité, Cycle
M-Z
- Négatif (1)
- Négatif (2)
- Négation (1)
- Négation (2)
- Nom (ou Mot ou Symbole) et Sens (ou Signification)
- Oméga
- Particule
- Positif (1)
- Positif (2)
- Quantum, Quanta, Quantique
- Théorème de l'Existence
- Univers (TOTAL), Existence, Plein, Tout, Infini, Espace, Cosmos, Oméga
- Universel et Particulier
- Variable, Constante
- Zéro, Infini
A
Absolu
et Relatif
La très importante notion d'absolu et
de relatif est tout simplement une autre façon de parler de la notion d'ensemble et
d'élément.
Etant donné un ensemble A, une propriété P est
dite absolue dans
A et aussi que A est absolu pour
P,
que si elle est commune
à
tous
les
éléments de A.
On dit aussi qu'elle est universelle dans A.
Dans le cas contraire, on dit qu'elle est relative ou particulière dans A.
Par
exemple, le
fait d'appartenir à A est
une propriété commune à tous
les éléments de A.
C'est la propriété absolue basique
dans A. Pour cette raison, l'ensemble A est absolu pour
ses éléments, qui sont alors relatifs à A.
Pour
prendre un exemple plus concret, la loi française
est une chose absolue pour tous
les français, car elle est pour tous les français,
qui ont ceci en commun qu'ils doivent y obéir. Mais
cette loi n'est pas absolue à l'échelle
du monde, et à cette échelle, on dira qu'elle est
seulement relative à l'ensemble France.
Et à l'échelle de la France, aimer la choucroute
n'a rien d'absolu. Mais si on vote
une loi obligeant tous les français à aimer la choucroute
pour être digne d'être appelé français, d'appartenir
à l'ensemble France, on fait
de cette chose relative une chose absolue en
France, une chose universelle.
L'ensemble
le plus absolu qui soit est l'Univers
TOTAL (l'Ensemble
de toutes les choses), l'Absolu lui-même.
Toute chose est relative à cet Ensemble.
Les lois communes à toutes les choses, les
lois de l'Univers
TOTAL, sont les lois absolues,
les lois universelles.
Affirmation
et Négation
Dans le langage de la Science Nouvelle, affirmer signifie
au sens le plus général : "choisir entre
deux choses contraires A
et B." Celle choisie est celle affirmée; et l'autre
est dite alternée,
c'est-à-dire celle à laquelle on a préféré l'autre,
l'alter. Les deux choses contraires A
et B sont comme le Oui et
le Non.
C'est pourquoi celle choisie est appelée le Oui,
elle celle alternée est appelée le Non.
Si par exemple c'est A qui est choisie, alors A est affirmée, elle est
le Oui, et B est alternée,
elle est le Non; on dira aussi que B est niée.
C'est en ce sens uniquement que l'alternation est appelée
une négation. Il est très important de distinguer
cette négation au sens de l'alternation,
qui signifie simplement "opter pour le contraire
d'une chose" ou "affirmer le contraire
d'une chose", de la Négation au
sens négationniste du terme (voir sa définition),
qui elle signifie "affirmer le contraire d'une vérité,
d'une réalité, refuser à une
chose une qualité ou un attribut qu'elle
possède, dire par exemple qu'elle n'existe pas alors
qu'elle existe, qu'elle n'est pas vraie alors
qu'elle est vraie, qu'elle n'est pas possible alors
qu'elle est possible, etc."
Considérons
par exemple les phrases : A = "Il pleut" et
B = "Il ne pleut pas". Dans l'absolu,
elles sont deux affirmations, mais des affirmations contraires tout
simplement. Si l'on opte pour l'une des deux, celle choisie
est celle affirmée et l'autre est celle niée (au
sens de l'alternation). A ce stade il est
simplement question de dire une chose ou son contraire,
il n'est pas question de savoir laquelle des deux phrases est
vraie ou fausse, de savoir qui dit la vérité ou
qui ment, celui qui dit "Il pleut" ou celui
qui dit le contraire, "Il ne pleut pas".
Telle que les deux phrases se présentent, la seconde "Il
ne pleut pas" est couramment appelée la négation de
la première, et on dit qu'elle est la phrase négative tandis
que l'autre, "Il pleut", est affirmative.
Mais dans l'absolu,
les deux sont deux affirmations, et la première, "Il
pleut", est aussi la négation de
la seconde. Le mot "négation" employé ici
signifie simplement que ces deux phrases sont contraires l'une
de l'autre, et non pas que l'une ou l'autre nie la vérité,
ou que les deux ne peuvent pas être vraies en même
temps, etc. Dans le contexte de l'Univers
TOTAL (dans l'absolu donc),
les deux sont vraies, et si mensonge il y a, c'est le fait
de nier cette réalité,
ce qui constitue la vraie Négation dans
cette affaire, au sens négationniste du
terme Négation.
Ce n'est pas de cela qu'il est question dans la question d'affirmation et
de négation dont il est question avec
l'alternation, et qui est une simple affaire
de choses contraires.
La notion
de négation telle que contenue dans
une expression comme "nombre négatif" (par
exemple -5) s'inscrit dans ce registre de
l'alternation. On a deux versions contraires du
même 5, l'un est appelé le positif (comme Oui)
est noté +5, et l'autre (l'alterné ou
le contraire) est appelé le négatif (comme Non)
et est noté -5. Et alterner signifie
ici "changer de signe", c'est-à-dire "multiplier
par -1". Il s'agit donc ici du postif et
du négatif au sens de l'Alternation (voir Positif
(1) et le Négatif
(1)), à ne pas confondre avec postif et
du négatif au sens de la Négation négationniste (voir Positif
(2) et le Négatif
(2)), qui eux signifent respectivement Bon et Mauvais.
Dans ce cas-là, la Science Nouvelle préfère
parler de Contraire,
d'Antipode ou
utliser le préfixe Anti (voir
les définitions correspondantes).
Alpha
Terme général
qui regroupe tous les mots synonymes de "Anti-Univers": Vide, Rien, Zéro, Point, Particule,
etc.
En un sens
plus particulier, comme nombre (ou ordinal),
il désigne le Zéro, le premier
ordinal (le premier nombre), et plus
exactement l'Ensemble Vide (ou simplement Vide),
habituellement noté .
Le contraire de Alpha est Oméga.
Alter,
Alternative, Différence
Le mot "Autre" (en latin "Alter")
a une nature particulière dont on n'a sans doute pas mesuré l'importance
jusqu'ici. Quelle que la langue considérée, le mot qui signifie "Autre" a
un double sens, c'est un mot qui à fois signifie "semblable" et "différent".
Par exemple,
dans une conversation, quelqu'un peut dire : "Un homme
habillé en blanc est entré dans la pièce
où se trouvait une femme; il est suivi plus tard d'un autre homme,
habillé lui en noir. L'un d'eux s'est adressé à la
femme." Et l'interlocteur demande à celui
qui narre les faits : "Lequel des deux s'est adressé à la
femme, celui habillé en noir ?" Et le narrateur
de répondre : "Non, pas lui, mais l'autre homme."
Dans cette
conversation, le narrateur dit que la chose qui
est entrée la première dans la pièce où se
trouvait la femme est un homme; et en disant
qu'il est suivi plus tard par un "autre homme",
il dit que la seconde chose entrée après la première
est elle aussi un homme, elle est semblable à la
première au regard de la qualité ou l'attribut
d'homme. C'est donc le mot "autre" dans
son sens de "semblable". Puis quand
on lui demande si c'est l'homme habillé en noir qui
s'est adressé à la femme, en répondant
: "Non, pas lui, mais l'autre homme",
il emploie le même mot "autre" pour
souligner cette fois-ci la "différence" entre
les deux hommes, par exemple l'un identifiable par son habit
blanc et l'autre son habit noir.
Donc le mot "Autre" (ou "Alter")
a la particularité de souligner à la fois ce
qui est commun à deux choses A et B
et les rend semblables, et aussi ce qui les différencie.
C'est ainsi par exemple que le narrateur aurait pu utiliser
le même mot "Autre" pour dire
qu'un des trois humains est une femme tandis
que les autres humains sont
des hommes. Cette fois-ci le facteur de similitude est
la qualité d'humain et le facteur de différence est
le sexe. C'est un mot qui sert à faire
une négation d'un type particulier, qu'il faut qualifier
de négation relative (voir Négation
(1)) et non pas absolue (voir Négation
(2)) . Par exemple, en disant : "Non,
pas lui, mais l'autre homme", l'un
des hommes est nié, mais pas sa qualité d'homme,
mais seulement rapport à ce qui le différencie.
De même, la qualité d'humain n'est pas niée
chez la femme ou chez les hommes de la scène, mais la
négation est seulement relative au sexe.
La différence entre deux choses A et
B est donc cause de négation, mais
avec le mot "Autre", cette négation est
donc modérée par une qualité commune aux
deux choses, qui gomme la différence et
fait d'elles la même chose.
Ce type de négation
relative qu'est celle du mot "Autre" (ou "Alter")
est appelée Alternation.
Le mot "Alter" joue un grand rôle
dans la Science Nouvelle. Il est appelé le connecteur
d'Alternation ou
connecteur Différence.
Pour toute chose A donnée, on dit qu'une chose B est différente de
A si B est une autre chose.
Le connecteur Alter et la notion de Différence est
la base de la très importante notion de contraire.
Dans une
situation où l'on oppose A et B, etc.,
les deux choses sont appelées des alternatives,
B est appelé l'alternative de A (ou
l'alter de A), et A l'alternative de
B (ou l'alter de B). On note : B =
alter A et A = alter B. C'est la
définition la plus générale de la notion
de contraire (pour plus détails voir
la définition de Contraire).
Alternation,
Alternatif
Du
verbe alterner, qui au sens
le plus général signifie : "raisonner avec
le mot autre, le connecteur alter; nier les
choses avec le mot alter, avec
la notion de contraire." Et
au sens plus particulier, alterner signifie
: "choisir le contraire d'une
chose", "opter pour
le contraire d'une
chose", "affirmer le contraire d'une chose".
L'adjectif "alternatif" signifie "Qui
fonctionne selon le paradigme de l'Alternation",
comme dans "logique
alternative".
Avec l'Alternation,
on ne parle que que de chose et de chose contraire,
de d'existence et d'existence contraire,
de vérité et de vérité contraire,
de réalité et de réalité contraire,
de possibilité et de possibilité contraire,
etc., sans refuser dans l'absolu à la
chose contraire la
qualité que possède la chose.
Par exemple,
(+5) et (-5) sont deux nombres contraires,
mais ce sont deux nombres. Le fait pour (-5)
d'être contraire à (+5)
ne lui fait pas perdre sa qualité de nombre.
Et le fait pour (-5) de ne pas être positif (au
sens Positif
(1)) ne lui fait pas non plus perdre dans
l'absolu sa qualité de positif. En
effet, il suffit d'inverser (ou justement
d'alterner) la convention ou l'orientation
pour que ce qui était positif devienne négatif et
vice-versa. La symétrie des rôles
fait que l'un est potentiellement ce qu'est
l'autre, et vice-versa. Ainsi, être négatif c'est
simplement être le positif contraire,
et être positif c'est être le négatif contraire.
La négation en
ce sens de l'Alternation doit
maintenant être très soigneusement distinguée
de la Négation (au
sens 2), la négation au sens de Négationnisme : "Refuser à une
chose une qualité ou un attribut qu'elle possède,
en particulier la qualité de chose,
d'existence, de vérité,
de réalité, de possibilité,
etc." Pour cela, l'Alternation et
la Négation sont deux conceptions très
différentes de la négation,
elles sont opposées, contraires...
L'une est bonne, car elle ne détruit
pas dans l'absolu la
qualité de la chose niée; et
l'autre est mauvaise, car elle détruit
dans l'absolu la
qualité de la chose (pour plus de détails, voir Négation
(2)).
Anti-chose
Pour une chose A, au sens très général
du terme, une anti-chose de A désigne
toute chose contraire de A.
Mais au sens strict et absolu du terme, ce terme désigne
le reste de l'Univers
TOTAL, sauf A. Si U désigne
l'Univers, l'anti-chose de A est
donc U - A; on le note anti A ou -A (pour
plus de détails, voir Contraire).
Anti-Univers,
Néant, Vide, Rien, Zéro, Point, Particule,
Alpha
Tous ces termes, notés O, sont tous synonymes, ils
sont respectivement contraires de
: Univers, Existence, Plein, Tout, Infini, Espace, Cosmos, Oméga.
L'Anti-Univers désigne
l'Univers
TOTAL, U, en tant qu'Elément de
lui-même (voir définition Auto-appartenance).
En tant que tel, il est a. On a : Anti-Univers = anti
U = U - U = O. Mais U - U est aussi
ce qui est noté -U (voir définitions Anti-Chose et Contraire).
Auto,
Auto-appartenance, Auto-référence, Réfexivité,
Cycle
Désigne la propriété que possède l'Univers
TOTAL d'appartenir à lui-même, d'être
son propre Elémént. En effet, l'Univers
TOTAL, U, est l'Ensemble
de toutes les choses; mais U est lui-même
une chose, donc est un élément de l'Ensemble qu'il
est.
Loi
de l'Auto-appartenance de
l'Univers
TOTAL.
En
tant qu'Ensemble (celui qui contient toutes
choses et entre autres U lui-même), U est
le Plein. Et en tant qu'Elément (celui
qui avec toutes les autres choses est contenu dans U), U est
le Vide, noté alors aussi O (voir Anti-Univers).
B-C
Chose
"De la même façon que la notion de 'grain
de sable'
est l'unité ou quatum du
sable, la plus petite quantité de sable,
de même la notion de chose est
le quatum de
l'Univers,
l'unité absolue, la plus petite
unité. Le
rôle du mot chose est d'être le
PREMIER de tous les mots, l'Elément absolu;
et le rôle du mot Univers est
d'être le DERNIER de tous les mots, l'Ensemble absolu. Dans le sable,
on compte en grains,
et on dit : 0 grain, 1 grain, 2
grains, 3 grains, etc. Mais dans
l'Univers,
on compte en choses, on dit : 0 chose, 1
chose,
2 choses, 3 choses, etc. "
Le
mot chose est le terme le plus général
de la Science Nouvelle. "Une chose est
tout ce dont on parle"; mais pour dire cela, le
mot "ce" cache
lui-même tout simplement le mot "chose",
de sorte que cette définition dit : "Une chose est
toute chose dont
on parle".
Le
mot chose est
donc le mot qui se définit lui-même,
la notion la plus fondamentale qui soit, la plus sous-entendue de
toutes. C'est le
mot clef par défaut,
le mot en l'absence de toute autre mot, le mot avant toute
autre mot, avant que l'on dise toute autre chose sur la chose considérée.
Dans
la Science Nouvelle, c'est le nom ou substantif associé au
verbe "être", il est un parfait
synonyme de "être" en tant
que nom, comme par exemple dans "être humain".
Et réciproquement, le verbe ETRE est
le verbe associé au mot chose.
Dans
la Science Nouvelle, le
symbole ou mot d'une seule lettre pour dire "chose"
est "x"; en majuscule, "Chose"
ou " "X". La lettre "Y"
quant à elle signifiera : "Autre Chose". Et le
symbole pour dire le verve "ETRE" est "=".
L'écriture : "X = Y" signifie donc : "X
EST Y" ou "Chose EST Autre Chose".
Constante,
Variable
"Au sens le plus universel du terme, une constante est
tout
simplement
n'importe
qu'elle chose ! Une constante est un élément, tandis
qu'une variable est un ensemble. On utilise le terme constante juste pour dire
que
l'on
considère
une
chose
en
particulier,
en tant qu'élément, en tant qu'individu. Par opposition donc
au fait que l'on considère la chose en général, en tant qu'ensemble."
Considérons
par exemple l'ensemble de choses : A
= {Pomme, Poire, Mangue, Kiwi, Orange}. Du simple
fait d'avoir ainsi défini cet ensemble et de l'avoir nommé
A, cela fait de A une variable,
dont les éléments sont : Pomme, Poire, Mangue, Kiwi, Orange.
Ces éléments sont appelés les valeurs de
la variable A, ou ses constantes.
On dit que l'ensemble A représente chacun
de ses éléments. Ecrire par exemple : A
= Mangue,
c'est-à-dire une égalité entre l'ensemble et un
de ses éléments, s'appelle donner
une valeur à la variable, ou la particulariser,
ou encore la rendre constante.
Car alors elle cesse (provisoirement) d'être une variable pour
s'identifier à l'une de ses constantes.
Tout
comme on peut selon le besoin appeler un même pays la France ou
l'Hexagone,
On peut tout à fait donner un autre nom au même
ensemble, et dire
: B = {Pomme, Poire, Mangue, Kiwi, Orange}.
On dit que A et B sont synonymes.
Un
ensemble peut tout à fait être
aussi l'un de ses propres éléments,
donc une variable peut aussi être l'une
de ses constantes. Elle est alors dite fractale.
l'Univers
TOTAL est la plus grande des variables,
et toutes les choses sont ses constantes (voir
Variable et Infini).
Contexte,
Echelle
Au sens le plus général du terme, un contexte est
une chose donnée C, vue comme un ensemble (il
faut rappeler que la notion d'ensemble de
la Science Nouvelle est une notion
physique), comme un espace ou domaine,
sur lequel porte un propos ou dans lequel se déroule un propos. On examine
les choses telles qu'elles se présentent dans C,
on énonce des vérités par rapport à C,
on voit la réalité du point de vue de C, telle
qu'elle apparaît immédiatement dans C, etc. Cette
même réalité peut être très différente, contraire même
!, vue d'un autre contexte C'.
Les éléments
de cet ensemble C sont appelés les points ou
les particules de C. Tout sous-ensemble de C (donc
toute partie des points ou éléments
de C) est appelé un sous-contexte.
L'Univers TOTAL (l'Ensemble
de toutes les choses) est le plus grand contexte qui soit,
dont toute chose est un sous-contexte. Mais c'est aussi le
plus petit contexte qui soit, du fait de sa propriété d'Auto-appartenance et
sa structure
fractale.
Comme
pour tout ensemble
physique, c'est nous qui décidons quelles parties
d'un contexte C sont des sous-ensembles et
lesquelles sont suffisamment petites pour être appelées
les éléments de C.
Les éléments de C sont à leur
tour des contextes, appelés les contextes d'échelle -1,
plus petits donc que C. Ces contextes d'échelle
-1 ont à leur tour leurs propres éléments,
appelés les contextes d'échelle -2,
encore plus petits donc que C, etc. On a ainsi
les échelles -3, -4, -5,
ainsi de suite. On dit que l'on va vers l'infiniment
petit de C, à chaque fois
que l'on descend d'un niveau dans la structure ensemble-élément.
Dans
l'autre sens, en partant de C, on peut considérer
un ensemble dont C est un élément,
donc qui est plus grand que C. Cet ensemble
est un contexte d'échelle +1 par
rapport à C. A son tour, il est un élément d'un
ensemble encore plus grand, qui est un contexte d'échelle +2,
et ainsi de suite. On dit que l'on va vers l'infiniment
grand de C, à chaque fois
que l'on monte d'un niveau dans la structure ensemble-élément.
Contraire,
Contre, Anti-Chose, Antipode, Anti, Opposé, Symétrique,
Alternative
On oppose deux choses sur la base de leur différence.
Une chose A peut être opposée à toute
autre chose B, ce qui détermine une notion de contraire correspondante.
Par
exemple, la notion de Rien peut être opposée à la
notion de Quelque Chose, ce qui donne une
notion de contraire. Mais la même notion
de Rien peut être opposée à la
notion de Tout, ce qui est une autre notion
de contraire. De même 0 peut-être opposé à 1,
tout comme 0 peut être opposé à l'infini.
Et 1 peut être opposé non
plus à 0 mais à -1.
Et de même aussi, on peut opposer 10 à -10,
ou plutôt opposer 10 à 1/10 (ou 0,1).
Dans une
situation où l'on n'a le choix qu'entre deux choses différentes A
et B, où l'on ne se donne comme possibilités
que A et B, où l'on oppose A et B,
etc., les deux choses sont appelées des alternatives,
B est appelé l'alternative de A (ou
l'alter de A), et A l'alternative de
B (ou l'alter de B). On note : B =
alter A et A = alter B (voir plus
haut le terme Alter).
C'est la définition la plus générale de
la notion de contraire.
Pour une
chose A donnée, on peut l'opposer à l'Univers
TOTAL, U, la chose A étant
elle-même incluse dans ce TOTAL.
Il s'agit alors d'une opposition de l'élément à l'ensemble,
du particulier au général, qui est donc un type
de contraire.
Mais il existe aussi un autre type de contraire,
lui aussi de grande importance, qui consiste à apposer A au reste de
l'Univers
TOTAL, U. Cela signifie
que l'on oppose A à tout l'Univers mais
cette fois-ci A lui-même étant exclus de
ce TOTAL. On oppose alors A à U
- A, et U - A est appelé le contraire de A.
On l'appelle l'anti-chose de A,
ou l'antipode de A ou anti
A, et on le note aussi -A. C'est
la définition de la notion de contraire,
au sens le plus absolu du
terme. Ce terme signifie alors que deux choses sont complètement
différentes (comme par exemple le Zéro
et l'Infini, ou le Noir et le Blanc), ou par nature opposées,
comme (-5) et (+5).
Au
lieu d'appeler "nombres négatifs" les
nombres comme -1, -2, -3, -4, -5,
etc., on aurait pu les appeler de manière plus appropriée "nombres
alternes", "nombres contraires", "nombres
opposés", "nombres symétriques", "anti-nombres",
etc.
D-L
Dieu,
Diable
Dans
la Science Nouvelle, le mot "Dieu" désigne
tout simplement l'Univers
TOTAL, l'Ensemble
de toutes les choses, la Chose
Suprême. Il suffit d'étudier
les propriétés de cette Chose
Suprême (Auto-appartenance, structure
fractale, Loi
de l'Alpha et de l'Oméga, etc.),
pour s'apercevoir que ce sont en langage scientifique
les attributs fondamentaux que la religion attribue
généralement à l'Etre
Suprême, Dieu. Autrement
dit, Ensemble
de toutes les choses et Créateur
de toutes choses, sont la seule et même Chose,
le seul et même Etre. Il n'y
a que le langage qui diffère pour en parler, langage
universel des ensembles d'un côté,
et langage biblique par exemple d'un côté.
Et
la définition scientifique du mot "Diable" est
tout simplement tout le contraire de Dieu,
le contraire de l'Univers
TOTAL, c'est-à-dire l'Anti-Univers,
l'Anti-Chose elle-même, l'Anti-Etre.
On a : Diable = Anti-Dieu = U - Dieu = -Dieu;
et Dieu = Anti-Diable = U - Diable = -Diable.
Derrière
l'opposition entre Alternation et Négation,
ou entre Logique
Alternative et Logique
Négative, se cache tout simplement l'opposition
entre Dieu et Diable (voir Négation
(2)).
Ensemble
et Elémént
"Un ensemble est tout simplement une chose constituée
d'aucune, d'une, de deux ou de plusieurs choses, appelées
ses éléments." D'une manière très
générale, dans cette conception des ensembles (une conception
physique), les notions d'élément et de partie (sous-ensemble)
sont parfaitement synonymes.
Un
ensemble est un une chose U,
faite de plusieurs autres choses, appelées ses
éléments.
C'est nous qui décidons de voir U comme un ensemble dont les éléments sont :
a, b, c, d, e, f, g, h, i, j,
un ensemble dont les éléments sont A, B, C,
un ensemble dont l'unique élément est U,
ou un ensemble n'ayant aucun élément !
En
un sens plus restreint, la notion d'élément désignera
les parties jugées les plus petites ou les plus basiques
de l'ensemble. C'est
par exemple nous qui décidons si les cellules d'un
humain sont des parties (terme général) ou
des éléments (pour
signifier "les plus petites parties" de l'humain),
si la notion d'élément va commencer avec les molécules (encore
plus petites que les cellules), si elle va commencer avec
les atomes (encore plus petits que les molécules),
si elle va commencer avec les particules (encore plus petites
que les atomes), etc.
--> "Un ensemble est
dit fractal, s'il est aussi un de ses éléments.
On dit aussi qu'il s'auto-appartient."
L'Univers
TOTAL est l'Ensemble
de toutes les choses.
C'est le plus grand des ensembles, il
s'auto-appartient, il a une structure
fractale (voir Auto-appartenance).
--> "Un
ensemble est dit divis ou discret ou quantifié,
s'il est subdivisé en
parties privilégiées
considérées
comme ses unités ou quanta.
Dans ce cas, ces unités seront de manière
privilégiée appelées les "éléments" de
l'ensemble, et leur quantité est
un nombre
entier, fini ou infini. Dans le cas contraire, l'ensemble est
dit indivis ou continu ou
qualifié."
Détails sur la question de quantification des ensembles -->
[afficher]
La
notion de quantification d'un ensemble est
très importante
pour pouvoir parler de la "quantité"
ou du "nombre" de ses
éléments. Par exemple, à la
question : "Quel est le nombre des éléments de l'ensemble
qu'est l'humain nommé Théophile ?", ou :
"Quel est le nombre total des choses qu'il y a dans
l'Univers ?", on sera tenté de ne répondre que : "Une
infinité". C'est exact. Mais la
réponse, c'est aussi 0, 1, 2, 3, 4,
etc. Tout dépend de comment on subdivise cet ensemble, de comment
il est quantifié : en 0, 1, 2, 3, 4
parties, etc. Cette conception diffère de la conception actuelle,
qui oblige à n'avoir qu'une seule réponse à la question, parce
qu'elle conçoit des ensembles considérés comme subdivisés d'une
manière unique, sans autres possibilités de quantification,
qui augmente ou diminue le nombre des éléments.
Un exemple
basique
d'ensemble divis est l'ensemble des
entiers naturels : N = {0, 1, 2, 3, 4, 5,
6, 7, ...}.
Ses éléments (ou unités ou quanta)
sont ainsi énumérés.
On dira par exemple que 3 est
un élément de N,
mais l'ensemble A = {3, 5, 8, 20}, fait
lui aussi d'entiers natirels, ne sera pas appelé un élément de N,
mais seulement une partie de N.
Et
si l'on considère l'ensemble divis : F
= {Caillou, Montagne, Mouton, Théophile, Angélique, Livre,
Neige},
on dira actuellement qu'il a sept éléments,
ceux ainsi nommés. On dira évidemment que Angélique est
un élément de F,
mais pas l'ensemble à un élément : G
= {Angélique}. Celui-ci est une partie de F,
qui ne sera appelée un élément de F que
par un abus de langage, toléré du fait qu'il
n'a qu'un seul élément, qui est aussi un élément
de F. Mais il est hors de question de dire
l'ensemble G = {Angélique, Neige} est
un un élément de F,
ou que Angélique est une partie de F,
au sens restrictif que l'on donne au mots élément et
partie actuellement.
L'usage
des ensembles divis de cette façon
est contre-productive, car on fait abstraction de la Réalité qu'est l'Univers
TOTAL,de
la logique profonde des ensembles telle que l'enseigne la Nature.
Il faut soigneusement
identifier ce qui doit être appelée vraiment "élément",
pour ne pas se trouver en train de dire que {3,
5, 8, 20} n'est pas un élément de N,
ou que {Angélique, Neige}, et à plus
forte raison {Angélique}, n'est pas un
élément de F,
ou que Angélique n'est pas une partie de F.
Pour
mieux comprendre le problème, considérons
par exemplel'ensemble B = {A, 36,
55} = {{3, 5, 8, 20}, 36, 55}. Dans la conception actuelle,
on dira que B a seulement trois
éléments,
qui sont A, 36, 55.
Mais 3 ou 8 par exemple ne
sont pas des éléments de B, mais
seulement les éléments d'un élément de B, à savoir A.
Et pourtant on voit clairement 3 et 8 dans
cette écriture
de B, rendue transparente pour que l'on voit
de quoi A est fait.
Ainsi
donc, on s'intéresse
aux choses qui constituent B (ici trois choses),
mais pas aux choses qui constituent à leur tour ces
constituants. Or, d'un point de vue très naturel de la notion
d'ensemble, les constituants
des constituants de B sont aussi des constituants
de B ! Ce qui constitue ce qui
me constitue, me constitue aussi, évidemment. Pour une bonne
conception de la notion d'ensemble, la notion d'élément ne doit
pas s'arrêter seulement au premier niveau. Les
propriétés physiques ou mathématiques de B ne
dépendent pas
seulement des propriétés spécifiques
de A, 36 et 55,
mais évidemment aussi les propriétés spécifiques par
exemple de 3 et 8 qui
constituent A. Sauf si justement on incorpore
toutes les propriétés de 3 et 8 dans
celles de A, si l'on rend donc A transparent
dans B, pour que l'on tienne compte dans
B de tout ce qui fait A, puis
de tout ce qui fait tout ce qui fait A, et ainsi
de suite.
Dire
donc que B n'a que trois éléments,
c'est vrai, mais relativement seulement. Il a aussi six éléments,
si l'on tient compte des éléments de son élément A. Et
on ne peut pas dire que l'on sait ce qu'est vraiment B ou
l'ensemble N, si on ne sait pas vraiment ce
que sont ces choses que nous appelons les "nombres", de quoi
ils sont faits. C'est bien beau de dire que ce sont des nombres,
des "choses de la pensée", des "choses
abstraites", etc. Tout cela veut tout dire et ne veut
rien dire en fait. Car toute chose, serait-elle "abstraite" ou
de la "pensée", est faite de quelque chose
d'autre obligatoirement. Nous ne pourrons parler d'éléments que
quand nous aurons clairement identifié l'unité
ultime, l'unité
absolue, le quatum absolu. C'est
avec l'Univers
TOTAL,
l'Ensemble
de toutes les choses,
que ce stade est vraiment atteint. Ce quatum est
tout simplement la notion de chose.
Exister,
Existence
L'Univers TOTAL,
le Tout, l'Absolu,
c'est par définition l'Ensemble
de toutes les choses. Il découle immédiatement de
cette définition que "Toute chose existe dans
l'Ensemble de toutes les choses", évidemment,
puisque c'est sa définition même ! Ce théorème
trivial peut s'exprimer aussi ainsi : "Toute chose existe dans
l'Univers TOTAL", "Toute
chose existe dans le Tout", "Toute
chose existe dans l'Absolu". Sans cette définition
précise de l'Univers
TOTAL, du TOUT, de l'Absolu,
ces déclarations ne seraient qu'une opinion philosophique, un principe
posé, un axiome ou une hypothèse. Mais avec la définition
de l'Univers TOTAL telle
que la nouvelle science le fait, ces énoncés deviennent un théorème
trivial, une très banale conséquence de cette définition.
Pour
la même raison, on peut maintenant définir avec
grande exactitude la notion d'existence, sur
la base de cet Univers ou sur la base du mot
clef chose. Exister, c'est
par définition "être un élément de
l'Univers
TOTAL", c'est-à-dire "être
un élément de l'Ensemble de
toutes les choses"; donc exister,
c'est tout simplement "être une chose".
Fractale,
Structure fractale
On dit qu'une chose A est fractale (adjectif masculin "fractal"),
une fractale (nom féminin), ou a une structure
fractale, s'il existe au moins un élément (ou
une partie) B de A qui est une reproduction parfaite de A,
un petit modèle de A. Comme B est un petit modèle de A, il en
résulte B a à son tour une structure fractale comme A, B possède
de la même manière une partie C qui est son petit modèle,
et qui possède de la même manière un petit modèle
D, etc.
Une structure
fractale se reproduit donc identiquement à elle-même à toutes
les échelles :
Triangle de Sierpinski,
un exemple de structure fractale.
On peut très facilement identifier des triangles intérieurs,
plus ou moins petits,
qui reproduisent exactement le même modèle que le triangle total.
L'Univers
TOTAL est la plus grande de toutes
les structures fractales, du fait de
sa propriété d'Auto-appartenance.
Infini,
Zéro
"D'une manière très générale, une chose X est
dite infinie, si X est égal à au
moins une autre chose Y,
qui est différent de X. Et
en particulier, un ensemble X est dit infini s'il
reste lui-même, qu'on lui ajoute ou qu'on lui retranche un élément."
Voilà une
définition pour le moins très inhabituelle de
la notion d'Infini, et pourtant, c'est la
plus simple, la plus générale, la plus universelle,
la plus puissante ! Derrière cette description se cache
tout simplement l'Univers
TOTAL, l'Infini lui-même
! Intuitivement, ajouter 1 ou retrancher
1 à l'Infini, il reste toujours
l'Infini. Si on l'appelle X,
il est donc lui-même et lui-même
plus 1, donc on a : X = X + 1; et
il est lui-même et lui-même
moins 1, donc on a : X = X - 1.
Si
un ensemble ou une chose est
au GRAND COMPLET, vous ne l'augmentez pas d'un iota en ajoutant
une chose supplémentaire, sinon l'ensemble n'était
pas vraiment COMPLET. Cela signifie que tout ce que vous pouvez
lui ajouter était déjà dans
l'ensemble, même s'il a un air de Vide (voir Anti-Univers)
!
De
même, vous ne diminuez pas cet ensemble ou
cette chose en lui retranchant un élément,
car l'élément enlevé se trouve toujours
quelque part au fin fond de ce qui reste. Vous n'augmentez
donc et ne diminuez cette chose infinie que
relativement parlant, et pas dans l'absolu,
sinon elle n'est pas infinie, elle n'est pas complète,
elle n'est pas TOTALE. Cette définition
de l'Infini n'esr qu'une autre façon
d'exprimer la Loi d'Auto-appartenance
de l'Univers TOTAL (voir Auto-appartenance).
Mais c'est aussi une autre manière d'exprimer sa structure
fractale : "Le tout est identique à n'importe
laquelle de ses parties".
Les
notions de Zéro et d'Infini (ou
Fini et Infini) sont parmi
les notions les plus mal conçues
actuellement, de même que la notion de Variable (ou
le couple Constante, Variable), alors que les deux ne sont
que deux formes d'une seule et même
notion. Le mot "infini" est actuellement
utilisé pour désigner des notions très
différentes. Par exemple, en mathématiques, le
mot "infini" n'a pas du tout le
même sens dans les deux phrases suivantes : "Le
rapport 1/X tend vers l'infini quand X tend
vers 0" et : "L'ensemble
des entiers naturels N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ...} est
un ensemble infini".
Dans
ces phrases, on parle, en principe, de deux notions d'infini complètement
différentes. La première est très associée à l'idée
qu'il existe toujours un nombre X plus petit
que tout nombre strictement positif que l'on peut se fixer à l'avance.
C'est ce qu'on entend par "X tend vers 0".
Et l'inverse, c'est qu'il existe toujours un nombre X plus
grand que tout nombre strictement positif que l'on peut se
donner à l'avance. C'est ce qu'on entend par "X
tend vers l'infini". Cela revient à dire
simplement que, tout en restant strictement positif, le nombre
représenté par la variable X est
toujours plus petit ou plus grand que toute valeur qu'il avait
auparavant. Autrement dit encore, X est aussi
petit que l'on veut, et aussi grand que l'on veut, tout en
restant toujours strictement positif. Cette notion d'Infini est étroitement
liée à la notion de Variable.
Mais
la seconde idée, celle qui dit que l'ensemble des entiers
naturels N est infini, veut
simplement dire qu'il existe une partie de N,
qui n'est pas N tout entier, mais qui pourtant
a le même nombre d'éléments que N.
Autrement dit, plus simplement, N est un genre
d'ensemble dont le nombre d'élements de change pas,
qu'on lui ajoute un élément ou qu'on lui enlève
un élément ! Si nous appelons par exemple X le
nombre des éléments de N, on
a : X = X + 1, et X = X - 1.
Si on calcule normalement avec un tel nombre, on aboutit à l'étrange
conclusion : 0 = 1, dont la science actuelle
a une horreur, et qui pourtant est la définition même
de l'Infini, mais aussi de la notion de Variable !
Et
aussi, il y a autant de nombres pairs (qui
sont donc au nombre X/2) que de nombres
entiers au total (qui sont au nombre total de X)
! On a donc : X = X/2 ou X = 2X.
Une telle égalité, si on calcule normalement
avec elle, aboutit à l'étrange conclusion que
: X = 0 ! C'est totalement inacceptable dans
la logique actuelle (la Logique
Négative), car cette logique interprète ce
résultat comme signifiant : "Le nombre total
des élements de l'ensemble N entiers
naturels est 0", ou "Il
n'existe aucun entier naturel" !
Mais
il s'agit d'une très mauvaise interprétation
due au fait que l'on fait pas la science avec l'Univers
TOTAL, et donc on ne peut pas comprendre
ce que de telles égalités 0 = 1 ou 0
= X veulent dire. Elles signifient simplement simplement
que le premier nombre ou premier ordinal (l'Alpha)
est aussi le dernier nombre ou dernier
ordinal (l'Oméga).
Autrement dit, quand on a atteint le plus grand de tous les infinis,
l'Infini (avec I majuscule),
alors on aura bouclé le grand Cycle des
nombres, et on revient à la case départ, au premier
des nombres, à savoir 0. C'est
simplement comme le fait de partir d'un point O ou 0 d'une
piste circulaire pour faire un tour de piste, ou de partir
d'un point de l'Equateur et de vouloir faire un tour du globe.
Tant qu'on n'a pas bouclé le grand tour, on est un point
différent du départ, de O, de 0,
et on a à chaque instant l'impression que la trajectoire
est droite, ou que la terre est plate,
d'autant plus si le Cycle est
grand, très grand ! Mais si on le boucle, alors on se
retrouve au point O ou 0.
C'est
tout simplement une loi de l'Univers
TOTAL, l'Infini lui-même.
C'est avec lui que l'on découvre les secrets les plus
cachés du Zéro et de l'Infini,
de l'Alpha et
de l'Oméga,
qui sont donc deux faces contraires d'une
seule et même chose. Et aussi, on découvre
avec étonnement que la notion d'Infini et
de Variable sont
dans l'absolu la seule et même notion, appartenant à la Famille
ENSEMBLE, et donc aussi que leurs contraires
respectifs Zéro et Constante sont
la même notion, appartenant à la Famille
ELEMENT.
La
notion d'Infini X, tout comme
celle de Variable X, peut
se définit par cette égalité : 0
= 1, la manière la plus simple de dire : X
= X + 1. Une autre manière de définir
l'Infini X ou la Variable X est
l'égalité : X = 0 ou 0
= X, une simple manière de dire : X
= X + X, c'est-à-dire de parler du nombre qui
ajouté à lui-même donne lui-même,
ou du nombre qui est son propre double. 0 est
le premier nombre qui vérifie cette loi : 0
= 0 + 0, mais l'Infini aussi la vérifie : Infini
= Infini + Infini, et pour cause : les deux sont deux
faces de la même chose.
M-Z
Négatif
(1)
Adjectif de Négation
(1); comme dans "phrase négative" ("Il
ne pleut pas") ou dans "nombre négatif" ("-5").
C'est la notion de négatif dans toute sa généralité,
donc la notion normale. Dans ce cas-là, la Science Nouvelle préfère
parler de Contraire,
d'Antipode ou
utliser le préfixe Anti,
pour bien distinguer de Négatif
(2) et et de la Négation
(2), qui sont des cas extrêmes de négation.
Négatif
(2)
Adjectif de Négation
(2); synonyme de Mauvais ou Mal;
opposé à Alternatif ou Positif
(2) ou Bon ou Bien.
Il s'agit d'un cas particulier et extrême de Négatif
(1), le cas absolu.
Négation
(1)
Nier au bon sens du terme (le sens alternatif), signifie alterner,
c'est-à-dire "faire le choix du contraire
d'une chose" ou "affirmer le contraire
d'une chose" (voir Affirmation
et Négation). C'est la negation au
sens très général du terme, la négation relative,
puisque, contrairement à la négation absolue (la Négation
(2)), elle ne signifie pas par exemple le fait d'affirmer le contraire d'une réalité ou
d'une vérité, mais simplement le fait d'affirmer le contraire d'une chose.
Celui qui affirme simplement le contraire d'une chose peut être celui
qui dit la vérité, si la chose en question se trouve ne pas être
vraie (pour plus de détails, voir Négation
(2)).
Négation
(2)
Nier au mauvais sens du terme, "c'est refuser à une
chose une qualité ou un attribut qu'elle
possède, en particulier la qualité de chose,
d'existence, de vérité, de réalité,
de possibilité, etc.; c'est dire par exemple qu'elle n'existe
pas alors qu'elle existe, qu'elle n'est pas
vraie alors qu'elle est vraie, qu'elle n'est
pas réelle, alors qu'elle est réelle,
qu'elle n'est pas possible alors qu'elle est possible,
etc." C'est le sens négationniste de la Négation.
Nier au mauvais sens
du terme, "c'est attribuer à une
chose une qualité qu'elle ne possède
pas." C'est le sens mensonger ou de tromperie de
la Négation.
Et nier au mauvais sens
du terme, "supprimer chez une chose une qualité ou
un attribut qu'elle doit posséder." En
ce sens, un meurtre (ôter la vie à une personne
qui ne mérite pas la mort) est un acte de Négation.
Cette négation est absolue,
c'est le cas extrême de Négation
(1), mauvaise pour celle raison-là.
Celle-ci ne signifie pas par exemple le fait d'affirmer le contraire d'une réalité ou
d'une vérité, mais simplement
le fait d'affirmer le contraire d'une chose.
Celui qui affirme le contraire d'une chose peut être
celui qui dit la vérité, si
la chose en question n'est pas la vérité.
Si
par exemple l'un dit : "Il pleut" et que
l'autre dise : "Il ne pleut pas",
il dit le contraire de la première chose,
il la nie donc, et peut être celui qui
dit la vérité, si effectivement il
ne pleut pas. Ici, la discusion porte sur la phrase "Il
pleut" dans un contexte donné et non pas dans
l'Absolu,
car dans les deux phrases sont vraies, et les deux ont donc
raison dans l'Absolu.
Par conséquent, celui qui nie cette vérité uniquement
dans ce contexte est coupable seulement d'un petit mensonge,
un mensonge limité à un contexte, et l'Absolu le
rachète, si toutefois par "Il pleut" il
avait à l'esprit cette vérité dans l'Absolu.
Mais
la question est autre si les phrases contraires étaient
: "Les deux phrases 'Il pleut' et
'Il ne pleut pas' ne peuvent jamais être
vraies toutes les deux à la fois" et "Les
deux phrases 'Il pleut' et 'Il ne
pleut pas' peuvent être vraies toutes les deux à la
fois". Là, la discussion porte sur une vérité absolue,
qui est la seconde déclaration. Par conséquent,
c'est le premier qui affirme le contraire de cette vérité,
qui la nie, et sa négation est
tout simplement absolue, sans autre forme
de procès.
De
même, si l'un dit : "L'égalité '0
= 1' n'est pas une vérité scientifique" et
que l'autre le contredise (c'est-à-dire affirme le contraire)
en disant "L'égalité '0 = 1'
est une vérité scientifique", c'est
lui qui dit la vérité (même si elle a l'air
d'une fausseté), car effecivement "L'égalité '0
= 1' est une vérité scientifique" au
même titre que de dire "L'énoncé '0
est différent de 1' est une vérité scientifique." Autrement
dit, "la diffférence entre 0 et 1" ainsi
que "l'égalité entre 0 et 1" sont
tous les deux des réalités dans l'Univers
TOTAL, ce sont deux vérités
dans l'Absolu.
C'est
la différence entre la négation relative (Négation
(1)) et la négation absolue.
Toute négation absolue revient toujours à nier
l'Univers
TOTAL, la plus grande de toutes les réalités.
L'existence de cet Univers est
remise en question dès lors que l'on refuse une vérité absolue.
Quand nous employerons le mot Négation sans
autre précision, cela signifiera le plus souvent cette
négation absolue, cette négation extrême,
qui est synonyme de Mauvais pour toutes les
raisons présentées. Elle et l'Alternation sont
tout le contraire l'une de l'autre. On a : Négation
= Anti-Alternation = U - Alternation = -Alternation;
et donc : Alternation = Anti-Négation = U -
Négation = -Négation,
où U désigne l'Univers
TOTAL (pour la signification de ces opérations,
voir à Contraire).
Nom
(ou Mot ou Symbole) et Sens (ou Signification)
On appelle
Nom ou Mot, une chose
quelconque A dont
la fonction est de désigner ou de représenter une
autre chose quelconque B.
La chose A est
appelée un "Nom propre" si B doit
être vu comme une
seule chose, comme un seul élément de
l'Univers; dans
ce cas, A est aussi appelé une Constante.
Et A est appelé un "Nom
commun"
si B doit être considéré comme
un ensemble; A est alors appelé
une Variable,
un Nom commun à tous les éléments de B.
Dans tous les cas, on dit que A est un Nom,
un Mot, un Symbole, qui désigne,
représente ou symbolise B.
Et B est appelé le Sens ou
la Signification de A. Et on
note simplement : A = B.
Par
exemple, je peux avoir dans la main gauche un caillou et
dans la main droite une fleur, et décider
que le caillou n'est pas à considérer en lui-même,
mais comme désigant ou représentant ou symbolisant la fleur.
Quand je dis alors "caillou", il faut
comprendre "fleur", donc que je parle
de la fleur. Et on écrira : caillou
= fleur. Et je peux au contraire décider que
caillou représente l'ensemble des villes : {Sydney,
Paris, Rome, Lomé, Ouagadougou}. Et alors caillou est
un nom commun pour ces villes, et on écrira
aussi : caillou = {Sydney, Paris, Rome, Lomé,
Ouagadougou}.
Dans
une science qui ne repose pas sur l'Univers
TOTAL, un Nom, un Mot ou
un Symbole n'est qu'une simple étiquette que
l'on "colle" sur une chose donnée,
pour la distinguer des autres
choses. C'est ainsi par : caillou
= fleur, on comprendra seulement que je me sers du
caillou comme une simple étiquette pour la
fleur, et qu'il ne faut pas du tout comprendre par là qu'un
caillou est la même chose qu'une fleur !
Mais
dans une science qui repose sur l'Univers
TOTAL, un Nom, un Mot ou
un Symbole n'est pas qu'une simple étiquette,
et qu'une égalité comme : caillou = fleur,
veut dire aussi, eh bien ce qu'elle veut dire ! L'Univers
TOTAL en effet obéit à des
lois extraordinaires comme la loi d'Auto-appartenance,
et il possède une structure
fractale : "La partie (ou l'élément)
est la même chose que le tout !" Autrement
dit, l'Univers
TOTAL est chacun de ses éléments, et donc
en particulier le caillou et la fleur !
De ce fait, deux éléments quelconque A et B ou X et Y,
comme par exemple caillou et fleur,
malgré toutes les différences apparentes, ne sont finalement
que deux manières différentes de parler du seul et même l'Univers
TOTAL, un Univers Fractal.
Sachant
cela donc, l'égalité caillou = fleur prend
toute une autre importance !
Oméga
Terme général
qui regroupe tous les mots synonymes de "Univers": Plein, Tout, Infini, Espace, Cosmos,
etc.
En
un sens plus particulier, comme nombre (ou ordinal),
il désigne l'Infini, le dernier
ordinal (le nombre nombre), et plus
exactement l'Ensemble Plein (ou simplement Plein), à savoir
l'Ensemble
de tous les ensembles, c'est-à-dire donc
une simple autre façon de parler de l'Ensemble
de toutes les choses, l'Univers
TOTAL. Il
est inconnu dans les sciences actuelles, il est même
simplement banni, car accusé de paradoxe, en l'occurrence
le Paradoxe de Burali-Forti (voir le Paradoxe
Universel).
Parce
qu'elle repose sur l'Univers
TOTAL, la Science Noucelle réhabilite
tout simplement l'Ensemble
de tous les ensembles, l'Ensemble Plein, Oméga donc.
Il est noté : ,
et son contraire est Alpha.
Particule
Dans la physique actuelle (plus précisément en physique des particules),
on emploie le mot "particule" pour désigner
des objets matériels dits "infiniment petits",
et concrètement qui sont à des échelles inférieures à celle
de l'atome. Par exemple, l'atome d'Hydrogène (H), est un constitué seulement
de deux particules, un proton et un électron.
Mais, en général, cet ensemble n'est
pas lui-même appelé une particule, car avec lui
commence le monde des atomes, puis des molécules,
puis des choses de plus en plus grandes comme les cellules,
les organes, etc. Par contre, le noyau de l'atome d'Helium
(He2+), qui lui est constitué de 2 protons et
de 2 neutrons, qui est donc environ 4 fois plus "gros" qu'un
atome d'Hydrogène (puisque la taille d'un électron est
très petite par rapport à celle d'un proton,
qui, lui, est du même ordre de grandeur que le neutron),
est appelé une particule, en l'occurrence la "particule
alpha".
Ces
conceptions (comme beaucoup actuellement) manquent donc cruellement
de précision. Cela reste très arbitraire, comme
d'ailleurs aussi est arbitraire la prétendue séparation
entre l'infiniment petit et l'infiniment
grand. Tout est en fait comparé à notre échelle,
l'échelle ordinaire, l'échelle 0 (voir Contexte,
Echelle). On raisonne comme si ces notions
d'infiniment petit et d'infiniment
grand sont absolues,
alors qu'elles sont très
relatives ! Tout simplement comme en général
les notions de "petit" et de "grand".
Tout dépend à quoi une certaine chose est comparée.
Un proton comparé à un photon, à un neutrino (et
même à un électron), est "infiniment
grand"; mais le même proton est "infiniment
petit" comparé à un caillou ou à une bille avec
laquelle un gamin joue.
C'est
donc actuellement une très grossière erreur qui
consiste à séparer la physique en deux : la physique
de l'infiniment grand (comme par exemple la théorie
de la relativité) et la physique de
l'infiniment petit (par exemple la physique
des particules ou la mécanique quantique),
les deux physiques obéissant à des paradigmes
et à des lois de natures très différentes,
réputées difficiles à concilier. Mais
l'erreur vient de ce que la science n'est pas fondée
sur l'Univers
TOTAL, et donc on ignore actuellement ses
lois comme l'Auto-appartenance,
qui dit par exemple que cet Univers tout entier
est un élément d'une autre version de lui-même,
par rapport à qui il est une particule (voir Anti-Univers)
!
En
conséquence, les choses sont beaucoup plus simples et
précises dans la Science Nouvelle. Au sens le plus large
du terme, une particule, c'est tout simplement...
n'importe quelle chose ! Une chose donnée
est toujours infiniment petite (donc une particule)
comparée à une autre, qui est donc infiniment
grande comparée à elle. L'Anti-Univers,
noté O et appelé aussi le Zéro ou
l'Alpha, est la plus petite de toutes les
particules, la "Particule Alpha" ou
simplement "Particule", à ne
pas confondre avec la "particule alpha",
le noyau de l'atome d'Helium (He2+).
La
nouvelle conception de la notion de particule permet de faire
la physique des particules (ou la physique
quantique) la plus générale et la plus
universelle qui soit, qui englobe l'infiniment petit et l'infiniment
grand dans une seule Physique (la Physique
de toutes les choses), dans une seule Science.
Positif
(1)
Comme dans "nombre positif" comme +5.
Synonyme de Affirmatif;
opposé à Négatif
(1).
Positif
(2)
Synonyme de Bon, de Bien;
opposé à Négatif
(2).
Quantum,
Quanta, Quantique
"Un quantum (au
pluriel quanta) la plus petite unité d'un ensemble donné,
ou ce que l'on décide de considérer comme la plus petite unité,
qui sert à compter les éléments de
l'ensemble, à indiquer leur quantité,
leur nombre, sous forme d'un nombre entier naturel : 0, 1, 2, 3, 4, 5,
.... On dit alors dans ce cas que cet ensemble est divis, discret, quantifié.
Dans le cas contraire, il est dit indivis, continu, qualifié."
Par
exemple, le sable d'une plage est un ensemble,
et le grain de sable est le quantum
du sable, et les grains de sable sont
les quanta du sable. On peut donc compter
le sable sur la base de son unité (ou quantum)
qu'est le grain, en disant : 0 grain, 1
grain, 2 grains, 3 grains,
etc.
De
même, l'eau d'un lac est un ensemble,
et une molécule d'eau (de formule H2O) est
la plus petite unité de l'eau, son quantum,
et les molécules d'eau sont les quanta de
l'eau. On peut sur la base des molécules
compter l'eau en disant : 0 molécule, 1
molécule, 2 molécules, 3
molécules, etc.
"Au
sens le plus large du terme, un quantum est
tout simplement un nom
commun, comme par
exemple
: électron, proton,
fruit, humain, etc. Ce nom commun exprime
une qualité, une proriété commune à plusieurs choses,
un attribut qui leur est commun,
et sur la base duquel ces choses sont parfaitement égales,
et comptées comme des unités égales,
par exemple : 0 électron, 1 électron, 2
électrons, 3 électrons, etc., ou
: 0
humain,
1 humain, 2 humains, 3 humains,
etc."
Sur
la base du mot électron donc, deux
électrons sont égaux, quelles
que soient les différences qu'ils peuvent avoir par ailleurs.
De même, sur la base du mot humain,
deux humains sont égaux et valent la même unité, même si l'un
est grand et l'autre un bébé, et même si l'un est blanc et
l'autre est noir. Si on veut les différencier, alors il faut
former un autre quantum, comme par exemple
"humain grand", "humain petit", "humain blanc", "humain noir".
Sur la base de chacun de ces nouveau quanta,
les choses comptées sont égales, chacune constitue une unité,
égale à toute autre chose ayant cette qualité. Et si on veut
différencier les deux unités, on affine encore une fois le quantum,
etc.
Le
quantum absolu est défini par le mot chose,
c'est l'unité absolue, celle de l'Univers
TOTAL. Sur la base de cette qualité, deux
choses quelconques X et Y,
quelles que soient leur différence par ailleurs, sont égales
! Sur la base de ce quantum, on compte l'Univers
en disant : 0 chose, 1 chose, 2
choses, 3 choses, etc. Et on peut
parler de la quantité ou du nombre de choses qu'il
y a dans l'Univers
TOTAL. Sur la base de ce quantum,
on peut faire la physique quantique la plus
générale et universelle
qui soit, la Physique de toutes les choses.
Théorème
de l'Existence
"Toute chose existe dans l'Univers TOTAL"
,
ou plus simplement : "Toute chose existe."
Le Théorème de l'Existence est la Loi fondamentale de l'Univers
TOTAL, elle résulte immédiatement de la définition de
cet Univers, du fait qu'il est l'Ensemble
de toutes les choses. Le Théorème de l'Existence
simplement que "Toute chose existe dans
l'Ensemble
de toutes les choses", ce qui est évident et trivial.
Il suffit
donc de fonder la science sur l'Univers
TOTAL, et le reste coule de source, sans que l'on ait
besoin de faire la moindre démonstration ou calcul compliqué.
Le Théorème de l'Existence est très simple,
mais de puissance inouïe, car il a une infinité de conséquences ou de
formulations équivalentes, toutes plus extraordinaires les unes que
les autres.
Univers
(TOTAL), Existence, Plein, Tout, Infini, Espace, Cosmos,
Oméga
Tous ces termes sont synonyme. Ils désignent l'Univers
TOTAL, l'Ensemble
de toutes les choses, le Tout, l'Absolu.
Ils sont respectivement contraires de
: Anti-Univers, Néant, Vide, Rien, Zéro, Point, Particule, Alpha (voir Anti-Univers).
D'une
manière très générale, tout ensemble (quel
qu'il soit) est appelé un univers,
un tout, un plein, un espace,
etc., car c'est ce qu'il est. Toutes les choses qui le constituent
(ses éléments donc) sont les
choses de cet univers.
Normalement,
quand on dit "L'Univers" avec l'article "LE" et
avec un "U majuscule", on ne devrait
pas avoir à préciser qu'il est TOTAL,
puisque le mot "Univers" à lui
seul signifie déja "LE Tout" ou "Tout".
Mais il se fait que l'Univers tel qu'on le conçoit pas
actuellement n'est pas le Tout au sens le
plus Absolu du
terme, c'est-à-dire on ne parle pas de l'Ensemble
de toutes les choses, d'où la nécessité de
cette précision.
Universel et
Particulier
"L'adjectif
'universel' est celui associé à l'Univers
TOTAL, l'Ensemble
de toutes les choses. Dans la Science Nouvelle, ce
terme signifie exactement : 'commun à toutes les choses', 'qui
concerne toutes les choses', 'qui s'applique à
toutes les choses',
'qui est vrai pour toutes les choses', etc. Son parfait synonyme
est le mot 'absolu', et son contraire est le mot
'particulier' (associé à 'particule') ou encore le mot 'relatif'."
Par exemple,
les appelations "Théorie
universelle des ensembles" ou "Langage
universel des ensembles" signifient que l'on parle d'une
notion d'ensemble fondée sur le mot "chose",
qui est synonyme du mot "chose", qui
s'applique à toutes les choses, bref
qui repose sur l'Univers
TOTAL, l'Ensemble
de toutes les choses.
Variable,
Constante
"Une variable X, c'est par définition tout simplement
une chose qui change, qui est tour à tour
différentes choses, mais tout en restant elle-même, à savoir X.
Et en un sens plus particulier, on dit qu'un nombre X est une variable s'il
vérifie cette égalité : X = X + 1."
Cette "étrange" et
puissante propriété, est tout simplement celle
de l'Univers
TOTAL, c'est lui qui se cache derrière
cette description.
La
notion de Variable est actuellement l'une
des notions scientifiques les plus nébulleuses, tout
comme exactement aussi la notion d'Infini,
parce que mal conçues. C'est avec l'Univers
TOTAL que ces deux notions livrent tout
leur sens, tous leurs secrets et toute leur puissance. Car
justement, cet Univers est l'Infini lui-même,
la Variable elle-même. Et le contraire de
cet Univers, l'Anti-Univers,
le O, est le Zéro lui-même,
la Constante elle-même.
Actuellement,
la notion de "variable", très
utilisée et très vitale en mathématiques,
est en fait une
notion métamathématique, c'est-à-dire une
notion en dehors des mathématiques proprement dites, mais très
utiles pour faire les activités mathématiques. Cela
consiste à prendre par exemple les lettres de l'alphabet,
pour représenter plus ou moins provisoirement des objets mathématiques
proprement dits (des nombres par exemple), pour formuler des proriétés
générales, etc. Les objets représentés sont les constantes ou
les valeurs de la variable. Quand on représente
une variable par une de ses valeurs, on se retrouve avec une
expression qui ne concerne que des constantes.
La
star des variables est la lettre X, utilisée
pour écrire par exemple : F(X) = X + 1,
ou : G(X) = X² + 3X -5. On fera par exemple
: X = 0, ce qui donne : F(0) = 0 +
1 = 1, et : G(0) = 0² +
3x0 -5 = -5. Puis le coup d'après,
on peut faire : X = 1, ce qui donne : F(1)
= 1 + 1 = 2, et : G(1) = 1² +
3x1 -5 = -1. Etc.
La
notion de variable X ainsi utilisée
n'aura été qu'une notion abstraite pratique pour
faire des calculs de ce genre, pour résoudre des équations
qui peuvent être très complexes et très
difficiles, comme par exemple les équantions de la rélativité ou
de la mécanique quantique.
Mais
dans ces manipulations, quelque chose de fondamental et de
très élémentaire aura échappé à tous
: la nature profonde de l'objet que l'on manipule ainsi que
l'on appelle "variable". Quand on
fait ce genre de manipulations, cela signifie que l'on doit
accepter la chose fondamentale qui donne le droit de faire
cela, l'Univers
TOTAL. Sinon, toutes les activités
avec les variables reposent sur de très
subtiles paradoxes qui échappent à tous, d'autant
plus si l'on nie par ailleurs cet l'Univers
TOTAL (voir Oméga)
! Voici quelques exemples de choses qui échappent :
Par
exemple, X est une variable,
donc par définition une non-constante.
Et 0 est une constante, et
par définition une non-variable. Ce
sont deux choses différentes donc, contraires même
! C'est la raison pour laquelle, actuellement, on a le droit
d'écrire une chose comme : X = Y, car
il s'agit d'une égalité entre deux variables
différentes. Mais dans ces conceptions, sous-peine
de contradiction, on n'a pas le droit d'écrire une
choses comme : 0 = 1, qui est une égalité entre deux
constantes différentes. C'est donc la preuve
que variable et constante,
ce n'est pas du tout la même chose.
Dans
les conceptions actuelles, sous-peine
de contradiction, on n'a pas le droit d'écrire une égalité entre deux
choses différentes (et à plus forte
raison contraires !) puisque l'égalité entre
deux choses signifie qu'on parle finalement de la même
chose. On n'a normalement donc pas le droit d'écrire
des choses comme : X = 0 et X = 1,
qui sont des égalités entre une variable et
une constante, ce qui signifie que finalement X est
aussi une constante et 0 et 1 sont
aussi des variables !
Et
de plus, la transitivité de l'égalité oblige
que deux choses A et B égales à une
troisième C, sont égales entre
elles. Autrement dit, si on a : C = A et B
= A, alors A = B. C'est dans cette
situation que met obligatoirement l'usage de la chose étrange
nommée variable, puisqu'une variable consiste
simplement à utiliser une certaine même chose X pour écrire
une série d'égalités avec des choses
différentes, qui sont les valeurs que la variable peut
prendre, par exemple : X = 0, X =
1. C'est l'intérêt même de la notion
de variable, c'est ce qui fait en réalité toute
la puissance de cette chose, et le secret
de cette puissance est tout simplement l'égalité : 0
= 1 ! Qui dit : X = 0, X
= 1, dit obligatoirement : 0 = 1,
puisque 0 et 1 sont égaux à une
troisième chose, qui est la variable X.
C'est dans cette égalité que se trouve la définition
même de la notion de Variable, mais
aussi de l'Infini.
En
effet, c'est parce que cette étrange chose X nommée Variable est
aussi l'étrange chose X nommée
l'Infini,
que l'on a le droit d'écrire : X = 0,
une étrange égalité entre un variable et
une constante. Si on restait vraiment fidèle à la Logique
Négative actuelle, on n'aurait pas le droit d'écrire
: X = 0, mais aussi de dire : X =
0 et X = 1, sans dire 0 =
1 ! Officiellement donc, la science actuelle rejette
une telle égalité qualifiée
d'absurde. Mais officieusement, elle utilise bel et bien
cette dite "absurdité", car sans elle la science
ne peut pas aller bien loin.
Dans la Science Nouvelle, le terme Zéro désigne le Vide,
noté O. C'est très exactement par définition l'Univers
TOTAL (U) en tant qu'élément de lui-même, en vertu de son Auto-appartenance.
Le Zéro est synonyme de Particule, de Point,
etc., et tout cela désigne aussi l'Anti-Univers,
-U, qui est U - U = O. (Voir Infini)