Ce qu'il faut
exactement entendre par le verbe EXISTER !
--> SIMPLE
comme "TOUT" !
--> L'Univers
qui est le " TOUT Sauf..."
--> Et
l'Univers
qui est
simplement le "TOUT"
--> "L'Univers
est le TOUT; et EXISTER c'est être un élément du TOUT"
Le temps des
Questions...
--> Dieu
et la question de l'EXISTENCE
--> La
Possibilité
et la question de l'EXISTENCE
--> La
Vérité
et la question de l'EXISTENCE
--> La
Réalité
et la question de l'EXISTENCE
Et le temps
des Réponses
--> La
fin de l'Abstraction
--> Les
réponses qu'aporte un simple arbre
Documents associés :
Chose,
Existence, Ensemble
Qu'est-ce
que la Science de l'Existence ?
Science
de l'Univers, Science de la Chose
La
Science complète
Ce qu'il faut exactement entendre par le verbe
EXISTER !
SIMPLE
comme "TOUT" !
"L'Univers est le TOUT; et EXISTER c'est être un élément du TOUT"
Toutes
les questions se posent dans l'Univers, c'est
dans l'Univers que tout se passe. Le philosophe comme le
scientifique, le religieux comme le matématicien, etc., eux-mêmes
ainsi que leur pensée, et aussi les objets de
leur pensée (que ce soit Dieu ou l'énergie, la notion existence
ou celle des nombres),
sont des objets de l'UNIVERS, des CHOSES de
l'UNIVERS !
L'idée
que l'Univers est
le TOUT au
sens le plus TOTAL et
ABSOLU du terme devrait être une évidence, la vérité
numéro un, et même
la vérité numéro zéro (avant le un donc) ! C'est autour de
cette vérité numéro zéro que
la définition de tous les mots que toute la science,
toute la philosophie et toute la connaissance devrait s'articuler,
.
Et pourtant cela n'a pas été aussi évident que cela dû l'être,
et la pensée s'est égarée et a tourné en rond, faute d'avoir
été fondée sur la base universelle (c'est
le cas de le dire...) qu'est l'Univers,
ou plus exactement faute d'avoir CORRECTEMENT défini son objet
numéro un, numéro zéro même !
En
effet, l'objet numéro zéro est l'Univers,
et l'objet numéro un est l'Existence qui
se définit automatiquement dès que est lui-même correctement
défini. L'affaire est aussi SIMPLE que de dire : "L'Univers est
l'ensemble
de toutes les choses;
et EXISTER c'est être élément de
l'ensemble
de toutes les choses." Ou plus
simplement : "L'Univers est
le TOUT;
et EXISTER c'est être
un élement du TOUT."
Et
alors science démarre bien, ainsi que
la philosophie, la métaphysique, la théologie, etc. Mais
cela n'a pas été le cas. Voyons pourquoi, examinons la
conception actuelle de l'Univers et ses conséquences, découvrons
toute
l'importance de concevoir l'Univers
et l'Existence aussi
simplement que de dire : "L'Univers est
le TOUT;
et EXISTER c'est être
un élement du TOUT."
L'Univers
qui est le "TOUT Sauf..."
Toutes
les vérités (philosophiques et scientifiques)
dépendent de la conception de l'Univers,
et toutes les erreurs (philosophiques et scientifiques) aussi
! Il
n'y a que deux conceptions fondamentales possibles de l'Univers,
l'une et son contraire, l'une
très mauvaise et l'autre très
bonne. La première consiste à dire que "L'Univers est TOUT
Sauf ...", et la seconde dit
simplement : "L'Univers est TOUT".
On
peut le lire dans l'encyclopédie en ligne Wikipedia à l'article
"Univers
(w)" : "L'Univers
est l'ensemble de tout ce qui existe et les lois qui le régissent."
Quand
au dictionnaire Larousse, il propose pour Univers : "Le
monde entier, l'ensemble de ce qui existe".
Pour
le dictionnaire Succès, l'Univers est : "L'ensemble
de tout ce qui existe dans l'espace et dans le temps".
Et,
comme à son habitude, le dictionnaire Robert, plus "prolixe",
propose pour Univers : "L'ensemble de tout ce qui
existe, considéré selon les philosophies comme la totalité
des choses créées
(création), la totalité des êtres, l'ensemble des choses perçues,
comprenant ou non la conscience humaine."
Cette
dernière définition détaillée de
l'Univers a le très grand mérite de poser tout
le problème de la conception actuelle de l'Univers,
par exemple dans cet élément de la définition
: "comprenant
ou non la conscience humaine". Ainsi donc, pour certains,
il ne faudrait pas inclure la conscience humaine dans l'Univers,
elle serait en dehors de ce qu'il faut appeler l'Univers.
L'Univers serait donc le "TOUT Sauf...",
un exemple de "Sauf" étant la conscience
humaine. Non seulement donc définir l'Univers comme étant "L'Univers
est l'ensemble de toutes les choses qui existent" est
très problématique (comme cela sera démontré dans
toute la suite), mais c'est
encore plus problématique si
en
plus on exclut de l'Univers des choses comme la conscience humaine
!
Serait-ce
parce que la conscience humaine n'existerait
pas ? A moins de sous-entendre par là que ce qu'on
est appelle l'Univers n'est qu'une partie
de la Réalité TOTALE, et que
la conscience humaine est au-delà de la sous-Réalité qu'est
l'Univers mais
fait bel et bien partie de Réalité TOTALE,
on doit reconnaître que cette conception de l'Univers sans
la chose qu'est conscience humaine est plutôt
absurde. Mais si l'on songe à une Réalité TOTALE,
alors c'est elle qu'il faut appeler l'Univers,
ou alors en parler comme de l'Univers TOTAL,
le grand TOUT,
à distinguer de tout Univers particulier.
Le
dénominateur commun à toutes ces définition est : "L'Univers
est l'ensemble de tout ce qui existe" ou "L'Univers
est l'ensemble de toutes les choses qui existent",
donc y compris la conscience humaine si on conçoit qu'il s'agit d'une chose
qui existe. Mais même en incluant la conscience humaine dans "L'Univers
est l'ensemble de toutes les choses qui existent",
cela ne résout pas le problème de l'Univers conçu comme étant le "TOUT
Sauf...". Cela semble en effet très naturel ou normal de
définir l'Univers comme étant "L'ensemble
de toutes les choses qui existent", mais la précision
"qui existent" est là encore une ERREUR
FATALE, car cela s'inscrit toujours dans le philosophie du "TOUT
Sauf...", problème déjà soulevé avec la question de la conscience
humaine.
-->
En effet, le "qui existent"
suppose d'abord que l'on sait ce que le verbe
EXISTER veut dire, que tout le monde en a
la même conception. Ainsi, si l'un dit "Dieu
existe" et l'autre soutienne le contraire : "Dieu
n'existe pas", les deux ont forcément donnent
le même sens (la même définition au mot Dieu)
ou le même sens à tous les mots qui éventuellement
composeraient une définition de Dieu,
par exemple "Etre suprême" ou "Créateur
de toutes choses". Et aussi et surrtout, les deux
ont la même conception du mot "EXISTER".
Mais s'ils ne sont pas d'accord, c'est simplement parce qu'en
réalité ils n'ont pas du tout la même conception
d'au moins l'un des mots de l'énoncé : "Dieu
existe", ou au moins de l'un des mots de toute définition
actuelle de Dieu, comme "Etre suprême" ou "Créateur
de toutes choses".
Et
aussi, il suffit par exemple de chercher la définition
du verbe EXISTER dans
les dictionnaires, puis de chercher la définition des
mots clefs qui composent la définition du verbe EXISTER,
pour être sûr de comprendre ce mot, donc de comprendre
ce qu'est l'Univers défini comme étant "L'ensemble
de toutes les choses qui
existent". Et le constat sera très
simple et édifiant : on tourne en rond dans
la définition du mot EXISTER !
Quand
en effet on cherche la définition des mots qui le définissent,
on tombe tôt ou tard sur le verbe EXISTER lui-même,
ou sur d'autres mots qui lui sont tout simplement synonymes,
qui ne sont que des manières déguisées
de dire "EXISTER". Et il n'est pas impossible de
rencontrer une définition du genre : "EXISTER,
c'est être une chose de l'Univers, de la Réalité".
Et comme l'Univers c'est "L'ensemble de toutes les
choses qui
existent", donc finalement "EXISTER, c'est être
une chose de l'ensemble de toutes les choses qui
existent". Dans
le meilleur des cas donc, on tourne en rond dans la conception
de
l'Existence
et de l'Univers, et dans le pire, on NIE
tout simplement l'Univers, ce qui est grave
!
-->
Et ensuite, définir l'Univers comme étant "L'ensemble
de toutes les choses qui
existent", suppose une hypothèse implicite
ou explicite, qui est le fond même du problème, le coeur de
l'actuelle très mauvaise conception de l'Univers :
cela suppose que "Certaines
choses n'existent pas" ! Par Univers donc,
il faut entendre "L'ensemble de toutes les choses qui
existent", ensemble duquel il faut exclure
les choses
qui n'existent pas. C'est donc l'Univers qui est "TOUT
Sauf..."
Du
fait que la notion d'EXISTENCE relève simplement de l'intuition
mais n'a aucune définition absolue et universelle,
à partir de mots eux-même absolus et universels,
cela condamne à ne qualifier d'existante que
les choses que nous percevons, ou qui font partie de NOTRE
monde, de NOTRE univers, de NOTRE réalité. Le très
grand danger est de qualifier de non-existences les
choses qui ne nous sont pas directement ou indirectement
accessibles, ou tout simplement qui heurtent
notre logique courante !
Et
l'Univers qui est simplement le "TOUT"
La
simple et bonne définition de l'Univers est
de dire que "L'Univers est
l'Ensemble
de toutes les choses"
ou simplement l'Ensemble,
le TOUT !
Tout ce que l'on peut ajouter à cette définition simple et qui
s'incrit dans l'esprit du "TOUT
Sauf...", vient
de la Négation,
du Négationnisme; ça
vient du Diable, ça
brouille
les choses, ça enténèbre les esprits !
On
peut penser que la différence avec la concetion courante examinée
plus haut est un simple détail. Mais ERREUR ! Entre le "TOUT
Sauf..." et le "TOUT",
il y a tout un Monde, tout un Univers, tout l'Univers ! La
science, la philosophie, la manière de voir les choses, changent
du tout au tout quand on ont dit simplement que l'Univers est
le TOUT,
sans lui enlever la moindre petite chose, et sans lui ajouter
non plus la moindre petite chose, car quand on a dit "TOUT",
il n'y a plus rien à ajouter !
La
chose est très simple à comprendre : moins il y a de mots de
nature fondamentale pour définir une chose elle-même fondamentale,
mieux c'est ! Les mots fondamentaux (ou premiers) sont justement
: Chose,
Etre, Existence, Univers, Tout, Ensemble,
etc., sans parler de DIEU !
Une psyché
qui fonctionne normalement, qui n'est pas embrouiillée
par la Négation,
conçoit tout simplement ces mots premiers comme étant parfaitement
synonymes ! Il suffit d'un d'entre eux pour définir par simple
synonymie
les autres notions fondamentales, et pour définir de proche
en proche les autres notions, des plus fondamentales aux moins
fondamentales. Et
moins une notion est fondamentale, plus elle aura besoin de
mots (fondamentaux ou préalablement définis)
pour être définie. Et cette démarche s'appelle
une démarche scientifique, logique ou analytique (w).
Sinon, ce n'est que pure spéculation et l'art même
de tourner en rond !
Le
rôle du mot CHOSE est d'être le
plus général qui soit, le mot
clef le plus fondamental, le mot par défaut,
le mot que l'on emploie en l'absence de tout autre mot, le
mot qui sert de base et de mot d'appui pour commencer à définir
ou à préciser la CHOSE dont
on parle, pour dire si elle existe ou pas,
si elle fait ou non partie de l'Univers,
bref pour tenir toute autre propos, quel qu'il soit, sur la CHOSE en
question.
Le
mot chose se définit lui-même, car toute tentative de le définir
fait directement ou indirectement appel à lui-même. Par exemple,
on peut tenter de dire : "Une chose est tout ce dont on
parle". Cela a l'air d'être une définition, mais
en fait on n'a fait que dire : "Une chose est
une
chose". En effet, qu'est-ce qui se sache
derrière le petit mot français "CE"
pour "tout
CE dont on parle", sinon le mot chose lui-même ? On a
donc fait que dire : "Une chose est toute CHOSE dont
on parle".
Quand
donc on dit : "L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe",
cette définition masque le mot CHOSE derrière "CE".
Cette définition dit donc explicitement : "L'Univers est l'ensemble
de
toutes
les CHOSES
qui existent", montrant par là que le mot clef le
plus fondamental sur lequel elle repose est le mot CHOSE. Cela
permet de comprendre qu'on avait en fait deux options de définition de l'Univers
: "L'Univers est l'ensemble
de
toutes
les CHOSES" d'une part, et : "L'Univers est
l'ensemble
de
toutes
les choses qui EXISTENT" d'autre
part. L'une définit l'Univers comme étant simplement le le "TOUT",
et l'autre comme étant le "TOUT
Sauf...". Sans cette approche analytique (w),
on ne s'en serait pas rendu compte.
"L'Univers
est le TOUT; et EXISTER c'est être
une chose du TOUT"
Une
science (ou une philosophie) "honnête" se doit d'être transparente,
de rendre EXPLICITES les mots clefs sur lesquels elle repose,
pour ne pas tomber dans l'illusion qui consiste à croire
ou à faire croire que l'on dit quelque chose d'extraordinaire
ou de nouveau, alors qu'on
ne
fait que
tourner
en rond, ou dire de manière cachée des choses, qui peuvent
même contredire ce que l'on dit explicitement. C'est cela un
dès garnds pièges des mots. Le discours philosophique habituel
est rempli de pièges de ce
genre, où l'on donne l'impression de dire quelque chose de
"savant" et surtout de nouveau, alors que dans le meilleur
des cas on ne fait que tourner en rond avec une ou plusieurs
notions fondamentales, déguisées
sous d'autres mots. Dans le pire des cas on souffle le chaud
et le froid, comme le Diable...
Il
faut donc reconnaître cette caractéristique des notions fondamentales
(celle de se définir elles-même), et ne plus tomber dans l'hypocrisie
qu'est la pseudo-définition, qui consiste à faire appel discrètement
au mot lui-même dans sa prpore définition sous la forme d'un
simple synonyme. Il faut simplement partir de l'une des
notions pour construire les notions moins fondamentales, en
commençant par les autres notions fondamentales qui sont alors
définies EXPLICITEMENT (et non plus hypocritement selon un
art de tourner en rond) par synonymie.
Par
exemple, il faut 0 mot pour définir
le mot "chose", il se définit
lui-même, "une chose est une chose",
point final. Et il faut 1 mot pour définir
la notion d'existence, le mot "chose".
On dira donc : "Une existence est une chose",
ou "exister, c'est être une chose",
ou cette simple égalité : existence = chose. Il
s'agit là d'une vraie définition de la notion d'existence,
parce qu'elle s'appuie sur un mot premier explicitement posé avant lui, ce qui
permet de le définir comme synonyme de ce mot. Si par exemple on définit un nombre
A en posant A = 7. On a toujours le droit de
définir
un autre nombre B en posant B = A, ou aussi B
= 7 ! C'est une définition valide. C'est le cas du mot existence,
quand
on dit : existence = chose, le mot chose étant
préalablement
et explicitement posé.
Il
faut donc juste un mot pour définir la notion d'existence,
car elle est très fondamentale. Mais
il faut beaucoup de mots pour définir par exemple la notion
de caillou, de pomme ou de chat, car ce ne sont pas des
notions fondamentales. On dira par exemple : "Un chat est
une chose qui...", et on va énumérer toutes
les caractéristiques de la chose appelée un chat,
et il y aura pléthore ! Par exemple, on pourra dire : "Un chat est
une chose qui est un animal,
qui a quatre
pattes,
qui miaule...", etc., en supposant
préalablement définies de la même manière les notions comme
"animal",
"quatre", "patte",
"miauler", etc.
Un
autre grand piège à éviter : il ne faut surtout pas
partir de plusieurs mots fondamentaux pour définir d'autres
(à plus forte raison si elles sont elles aussi fondamentales),
et en sous-entendant que ces mots fondamentaux n'ont pas le
même sens. C'est ce qui se passe dans une définition comme
: "L'ensemble de toutes les choses qui
existent". Cette définition utilise deux
mots fondamentaux, chose et existence,
que l'on différencie, alors que l'on parle de la même chose.
C'est
le piège du "Porc et Cochon"; cela permet de dire par exemple
: "Je ne mange jamais du cochon, mais
par contre je raffole du porc" ! Un exemple très parlant
dans l'actuelle théorie des ensembles consiste à dire : "Il
n'existe pas d'ensemble de tous les ensembles,
mais il existe la collection de tous les ensembles"
(voir la vidéo Toute
la lumière sur les Paradoxes).
Le
piège du "Porc et Cochon" se cache très subtilement
dans la définion : "L'Univers est l'ensemble
de toutes les choses qui
existent", comme si certaines choses n'existeraient
pas et donc ne feraient pas partie de l'Univers,
du TOUT !
Mais si c'est vraiment de l'Univers que l'on parle, alors on
parle du TOUT.
Et si l'on parle vraiment du TOUT,
alors dans ce TOUT, toute chose existe, et
aussi le contraire
de toute chose. "L'Univers est
l'ensemble
de toutes les choses; et EXISTER c'est être élément de
l'ensemble
de toutes les choses."