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Toute chose est une existence

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
Accueil > Science Nouvelle > La fin de la science aristotélienne

La fin de la science aristotélienne
« Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas
en même temps et sous le même rapport à une même chose
»
(Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20).

C'est ce qu'on a appelé le "principe de non-contradiction".
C'est avec ce paradigme que fonctionne la science actuelle.
Mais il existe un problème fondamental
que la métaphysique aristotélienne n'a pas identifié et encore moins résolu,
et qui continue d'être une grande erreur jusqu'à nos jours : Le Problème de la Négation !

Mais l'Univers TOTAL est tout simplement la chose par excellence
qui possède tous les attributs et aussi les contraires des mêmes attributs.
En effet, l'Univers est l'Ensemble de toutes les choses, le TOUT.
Par conséquent, dans ce TOUT, toute chose existe et aussi le contraire de de toute chose,
tout est vrai et le contraire de tout aussi,
tout est possible et le contraire de tout aussi !

Par conséquent, Aristote a formulé en réalité
le principe à petite échelle semble être le principe de non-contradiction,
mais qui NIE l'existence et la possibilité de
l'Univers TOTAL, qui contredit la Réalité suprême,
donc qui est le vrai principe de la contradiction !

C'est ainsi que beaucoup depuis cette époque jusqu'à nos jours
se sont en toute sincérité fait avoir par la Négation,
on l'a confondue avec la notion de CONTRAIRE qui est dans le mot "contradiction".
Mais c'est la Loi de la Séparation des Contraires dans
l'Univers TOTAL qu'Aristote aurait dû exprimer,
et pour cela il fallait baser tout raisonnement philosophique, métaphysique, physique et scientique
sur
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE !
C'est l'Erreur (plutôt très grave...) qui a été commise jusqu'à présent.

Science sectaire Science complète
Science négative et incomplète CONTRE Science alternative et complète.
Science de JPL et Uno CONTRE Science du Fils de l'homme.
L'une repose sur la Négation, ce qui lui interdit de se fonder sur l'Univers TOTAL,
et l'autre repose sur l'Alternation, ce qui fait d'elle la Science de l'Univers TOTAL.

Logique aristotélienne en question...

Le principe de négation pris pour un principe de non-contradiction
--> Au contraire !
--> Principe contre Principe
--> Alternation contre Négation

Arrive la science hubertelienne
--> "Le contraire de toute vérité est toujours une autre vérité"
--> "Quand on s'attaque au paradigme de la science, il faut être surarmé !"
--> Choc des civilisations, choc des paradigmes

Documents associés :
Science complète
Logique Négative, Logique Ancienne
Loi de la Séparation des Contraires
Le problème de la Négation
L'anatomie de la Contradiction
Logique Alternative, Logique Nouvelle

Logique aristotélienne en question...

Principe de non-contradiction
"Il est impossossible qu'un même attribut A appartienne et n'appartienne pas
en même temps, sous le même rapport à une même chose
".
Ce principe pose les bases de ce qu'il faut appeler la Logique Négative,
par opposition à la Logique Alternative ...
Il fonde la Science Négative par opposition à la Science Alternative.

Pour parler d'Aristote (w), on use couramment de l'adjectif "aristotélicien" ou "aristotélicienne", suivant la transcription latine de son nom "Aristotelicus" au lieu du grec "Aristotélês". Pour ma part, je préfère toujours la simplicité et la logique. Je préfère aristotélien (ou aristotélienne), qui est plus conforme à son nom grec et à son nom français "Aristote".

Et je profite de l'occasion pour dire ici que je ne mentionne Aristote souvent que pour parler de son principe de non-contradiction et plus généralement de la logique ou la science actuelle qui repose sur ce principe. Cela ne remet pas en question par ailleurs l'oeuvre immense de ce philosophe et scientifique à la pensée encyclopédique et universelle.

Mais quand on a formulé un principe appelé le principe de non-contradiction, qui est très fondamental dans la démarche scientifique d'hier et d'aujourd'hui, qui porte en lui les plus grandes tares de la science actuelle, qui est le credo de l'intégrisme scientifique, qui est l'expression scientifique même du sectarisme (ou du ségrégationnisme), etc., il faut le dénoncer.

Le Fils de l'homme ne rend pas Aristote responsable des maux des sciences de ce monde à cause de son principe, car ces sciences ne l'ont pas attendu pour commencer à fonctionnner avec ce principe. Il est simplement celui qui est connu parmi les grands esprits et penseurs de ce monde (les philosophes et scientifiques grecques y figurant en place d'honneur) à avoir formulé ce principe. C'est pourquoi le Fils de l'homme qualifie de "science aristotélienne" la science qui d'une manière ou d'une autre fonctionne avec le principe de non-contradiction en particulier, et plus généralement avec la logique aristotélienne appelée logique classique, qui ajoute au principe de non-contradiction par exemple le principe tiers exclu.

Le principe de négation pris pour un principe de non-contradiction

Au contraire !

« Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose » (Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20).

C'est donc ainsi qu'Aristote (384 - 322 av. JC) a formulé ce qui est communément appelé le principe de non-contradiction mais qu'il faudrait en réalité appeler le principe de négation ou principe d'impossibilité. En effet, des problèmes très subtils se cachent dans ce principe, qui ont été mal cernés.

Il y a d'abord le problème de l'Egalité ou problème ontologique. C'est le problème du "MEME". Il se présente dans ce principe dans les expressions comme "même attribut", "même temps", "même rapport", "même chose".

Il y a ensuite le problème de la notion de CONTRAIRE, souvent confondu avec la notion de Négation. Dans cet énoncé, il apparait sous la forme de l'expression "appartienne" et "n'appartienne pas". Ces deux expressions sont contraires l'une de l'autre, et pas la négation l'une de l'autre, comme on dit souvent. "Il pleut" et "Il ne pleut pas" sont deux phrases contraires, comme le Blanc et le et la Noir, le Possible et l'Impossible, le Vrai et le Faux, la Vie et la Mort, etc. Mais dans "n'appartienne pas", "Il ne pleut pas", "Noir", "Impossible", "Faux", "Mort", se cache une autre notion, qui est la négation, qui est une autre notion, qu'il ne faut pas confondre avec celle de contraire ! Les choses sont juste contraires ou plus généralement différentes, mais ce sont les consciences qui affirment les choses ou leurs contraires, qui nient les choses ou leurs contraires.

Par exemple, le Fils de l'homme affirme ceci : « Il est possible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose ». C'est donc tout le contraire de l'énoncé d'Aristote : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose ».

Affirmer le contraire d'une chose, c'est alterner cette chose ou la contredire, selon le vocabulaire du Fils de l'homme. J'alterne (ou contredis) ce qu'Aristote dit, et lui alterne (ou contredis) ce que je dis. A ce stade, de nous deux, aucun de nous ne nie à proprement parler. L'un dit simplement le contraire de ce que dit l'autre, exactement comme si l'un dit "Il pleut" et l'autre dit "Il ne pleut" pas. C'est la réalité immédiate, contextuelle, qui va départager les deux énoncés contraires. Il suffit de vérifier s'il pleut ou s'il ne pleut pas. Et des propos contraires, celui qui NIE est celui qui contredit la réalité immédiate.

Et maintenant, si l'un dit : "Il est impossible qu'il pleuve et qu'il ne pleuve pas en même temps, au même lieu, au même moment" et que l'autre dise exactement le contraire : "Il est possible qu'il pleuve et qu'il ne pleuve pas en même temps, au même lieu, au même moment", ces propos contraires demandent l'arbitrage de la Réalité TOTAL, l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. De ce fait, toute chose existe dans cer Univers, ainsi que le contraire de toute chose; ce qui implique que tout est vrai, et le contraire de tout aussi.

Donc cela s'apllique aux deux affirmations contraires elles-mêmes, qui sont donc toutes les deux vraies dans l'Univers TOTAL. Ce sont deux principes opposés, fondement de deux sciences opposées, l'une aristotélienne et l'autre du Fils de l'homme. La question est simplement de savoir laquelle on préfère.

Le premier des deux principes contraires est la vérité qui NIE la loi de l'Univers TOTAL, celle qui stipule que tout et le contraire de tout est vrai.

Et dans "contradiction" il y a le mot "contraire" ou "contre", et pas négation. La négation au vrai sens du du terme, c'est celui qui alterne ou contredit une vérité, une réalité, une possibilité, etc.

La négation est donc une alternation spéciale, d'une contradiction spéciale, celle d'une vérité ou d'une réalité, à ne pas confondre

et qui se ramènent à un seul problème fondamental, le problème de la Négation.

Dans le mot "contradiction" il y a tout simplement le mot "contre" ou "contraire". Cette notion est fondamentalement confondue avec la notion de négation, qui est une toute autre affaire ! Actuellement en logique (et en particulier en logique classique ou logique aristotélienne), la phrase "La terre n'est pas ronde" par exemple, est appelé la négation de la phrase "La terre est ronde", et on écrira non-"La terre est ronde" ou "La terre non-est ronde" ou "La terre est non-ronde", etc., pour signifier "La terre n'est pas ronde", et le mot non est appelé le connecteur de négation. Pour la même façon, les phrases "La terre est ronde" et "La terre n'est pas ronde" sont donc appelées les négations l'une l'autre.

C'est ici la première grande erreur et la première confusion entre négation et contraire, car ces phrases ne sont pas des négations l'une de l'autre mais simplement elles sont contraires l'une de l'autre, ce qui n'est pas pareil ! En présence de deux choses contraires A et B, la négation est l'action d'une conscience (celle d'un humain par exemple) qui consiste à choisir l'une des deux alternative et à rejeter l'autre. Celle choisie est celle affirmée ou déclarée Vraie, et celle rejetée est celle niée ou déclarée Fausse. Les deux actions vont ensemble, l'affirmation de l'une des deux choses contraires et la négation de l'autre. De sorte qu'on peut donner cette simple définition : "Affirmer une chose c'est nier son contraire, et nier une chose c'est affirmer son contraire". C'est ce lien très étroit qui existe entre les notions contraires d'affirmation et de négation et la notion de contraire proprement dite, qui font que l'on confond négation et contraire, et que le contraire d'une chose est appelée improprement sa négation. C'est ce qui a amené à appeler "principe de non-contradiction" ce qui en fait est le le principe de négation ou principe d'impossibilité.

Principe contre Principe !

Mais il suffit de reprendre l'énoncé d'Aristote pour distinguer clairement où réside la négation dans l'énoncé et où il est simplement question de choses contraires. On a d'abord la phrase : «Il est POSSIBLE qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose ». Et la phrase d'Aristote est tout simplement le contraire de celle-là donc : « Il est IMPOSSIBLE qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose ».

On a donc deux phrases contraires, P et le contraire de P, ou P1 et P2 (comme Principe 1 et Principe 2). Ces deux phrases ont cette partie commune, qui elle aussi exprime deux idées contraires : "appartienne et n'appartienne pas". Cette partie peut être écrite sous la forme "A et contraire de A" ou "A1 et A2" (comme Attibut et contraire de Attribut, ou Attribut 1 et Attribut 2). Jusque là, une simple affaire de contraires donc.

Et la déclaration d'Aristote consiste tout simplement à choisir P2 au détriment de P1, donc à affirmer P2 et à nier P2. Il s'agit d'un action de négation, au sens le plus large du terme, comme je l'ai définie plus haut. Mais comme le document Le problème de la Négation va le révéler, la négation est quelque chose de beaucoup de plus profond (et plus diabolique...) que le simple fait de choisir entre deux alternatives celle qui sera dite vraie et de déclarer l'autre comme fausse. Ce ne serait pas trop grave si ce n'était que cela.

Il faut avoir conscience de l'existence de notions ou de choses qu'il faut qualifier de positives : le bien, la vie, l'existence, la réalité, la possibilité, la vérité, la cohérence, etc. Et les contraires de ces choses sont donc des choses négatives : le mal, la mort, l'inexistence, l'irréalité, l'impossibilité, le mensonge, la contradiction, etc. Et la négation dans toute sa profondeur et au sens le plus absolu du terme, consiste précisément à faire un choix contraire au choix positif, à exprimer le contraire d'une chose positive !

Dans le cas du principe d'Aristote, la phrase positive est P1 : «Il est POSSIBLE qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose ». Cette phrase mérite d'être appelée le principe de possibilité, car elle exprime dans toute sa force l'idée positive de possibilité. Mais c'est cette phase que le principe d'Aristote NIE, il lui préfère son contraire : «Il est IMPOSSIBLE qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose ». Il s'agit donc plus que le simple fait de nier une phrase, mais de nier une phrase positive. C'est donc pour cela que ce principe est tout simplement le principe de l'impossibilité, le principe de la négation.

 

Arrive la science hubertelienne...

Les leçons de l'affaire de la "géométrie euclidienne" et la "géométrie non-euclidienne"

Ce ne sont pas les exemples qui manquent en mathématique et qui montrent que tout est vrai dans l'Univers TOTAL, tout et le contraire de tout ! Le contraire d'une vérité est toujours aussi une autre vérité. Une chose et son contraire sont toujours vraies chacune dans deux contextes séparés C1 et C2, mais les deux sont vraies dans le contexte C qui est la réunion de C1 et C2. La géométrie nous offre un bon exemple historique.

Par exemple, Euclide (325 - 265 av. J.C.), dans le cinquième postulat de sa géométrie disait ceci : "Par un point extérieur à une droite il passe une et seule droite parallèle à la première" :


Par le point A extérieur à la droite (D) il passe une et une seule droite (D') parallèle à (D).
Le cinquième postulat d'Euclide. Vrai, et pourtant le contraire est vrai aussi !

Ce postulat est équivalent à cet énoncé : "La somme des angles d'un triangle est de 180°". C'est une vérité, comme le fait de de dire que "La terre est plate". En effet, c'est ainsi que l'on voit la terre à l'échelle d'un terrain de football ou à l'échelle d'une ville. Et si on trace un triangle sur le terrain de foot ou sur une surface dans la ville, cette loi est vérifiée (voir l'image ci-dessous). C'est donc une vérité évidente, c'est-à-dire qui s'impose à l'observation immédiate ou à l'intuition, exactement comme le principe de non-contradiction s'impose immédiatement à l'intuition, comme une règle de bon sens même !

Mais le contraire est une autre vérité, à savoir que "La terre est ronde". Malgré les apparences, c'est même la vérité supérieure ! Celle qui s'impose comme vérité immédiate n'est en fait qu'une vérité à très petite échelle, le cas limite, de cette plus grande vérité. Celle-ci n'est pas évidente dans l'immédiat, et c'est pour cette raison que pour beaucoup de peuples de l'antiquité, la terre est plate. Et pourtant elle est ronde, et elle tourne, comme l'a dit Galilée !

Il existe des géométries non euclidiennes dans lesquelles "Par un point extérieur à une droite il ne passe aucune droite parallèle à la première, ou il passe plus d'une droite" ! Donc il est vrai aussi que "La somme des angles d'un triangle est différente 180°". Donc l'énoncé et son contraire sont vrais chacune dans sa géométrie, mais les deux sont vrais dans le contexte général de la géométrie, les deux énoncés contraires sont des attributs de la géométries.


"La somme est 180° et La somme n'est pas 180°". Contradictoire, et pourtant c'est vrai !

C'est dans une géométrie non euclidienne qu'Einstein a élaboré sa théorie de la relativité (la générale en particulier). Et des problèmes épineux de la mécanique quantique, comme par exemple le paradoxe du chat de Schrödinger, invitent à réviser la logique avec laquelle la science actuelle est faite. Et l'Univers est tout simplement le contexte le plus général, où tout est vrai, et le contraire de tout également (voir La Loi des Contraires).

Les redoutables gardiens des paradigmes du Diable

"Quand on s'attaque au paradigme de la science il faut être surarmé !"

Le principe de non-contradiction est le plus petit dénominateur commun à toutes les sciences, qu'elles soient déductives comme les mathématiques), ou qu'elles soient expérimentales ou empiriques comme la physique.

Si par exemple la physique avec les expériences menées avec le LHC réfute l'existence du Boson de Higgs ou la supersymétrie, ou au contraire à valide toutes les affirmations du modèle standard, ce sera la vérité scientifique. De même par exemple tout tout ce que peut affirmer l'actuelle théorie de l'évolution (l'actuelle je précise, l'actuelle conception de l'évolution...). Alors tout ce qui affirme que les contraires de ces vérités sont aussi des vérités, est obligatoirement des erreurs, en tout cas pas de la science !

Où est la frontière de la Science ?
Où est la frontière de la Science ?

Dans les forums (et précisément dans le forum Futura-Science), j'ai exposé dans un article les lacunes du paradigme scientifique actuel et je faisais savoir la voie pour faire la Science du Tout (voir Guerre des logiques, guerre dans le forum, Le secret pour faire la Science du Tout, Où est la frontière de la Science ?). J'ai eu alors le "plaisir" de m'entendre dire ceci par un modérateur : "Vos messages ont été supprimés car nous sommes sur un forum scientifique et non sur un forum pseudo-scientifico-philosophico-ésotérique-pour-génie-méconnu. Je vous prie de ne pas renouveler ce genre de message fleuve qui n'a rien à voir avec ce qui est unanimement considéré comme Science. Désolé. JPL". Et avant cela, un autre m'a dit :"Quand on s'attaque au paradigme de la science, il faut être surarmé".

Et pourquoi donc ? Pourquoi parler d'armes ou de surarmes ? Pourquoi le terrain scientifique devrait-il obligatoirement être un terrain de guerre ou d'hostilité ? Une chose me paraît très simple : Si un paradigme est vraiment solide, la question de ses fondements ne serait pas aussi hautement sensible, et il ne serait pas nécessaire de le défendre aussi farouchement. S'il faut parler d'attaque, je m'attaque donc au paradigme de la science

La science actuelle comme les pensent que sa vision des choses est la seule vérité, elle ne fait aucune place à la vérité contraire. Cela s'appelle tout simplement le sectarisme (voir Universalité contre Sectarisme).

Choc des civilisations, chocs des paradigmes

Avec tout le respect que je dois à Archimède, à Aristote, à Démocrite, à Euclide, à Eratosthène, à Platon, à Pythagore, à Thalès, à Zénon, bref à tous les philosophes et savants grecs, de A à Z, je dois dire simplement dire ceci aujourd'hui : il faut mettre fin à ce qu'il faut appeler le "grand diktat de l'hellénisme", à l'idée installée selon laquelle nous devons "penser grec" pendant toute l'éternité.

L'idée selon laquelle avant les grecs l'Univers n'a produit rien de plus brillant, un vrai culte pour la culture grecque. Or il y avait l'Egypte sur le continent africain, et les civilisations du continent asiatique ou eurasiatiques et leur manière de voir l'Univers, tout aussi VRAIE, importante et brillante, que tout ce qui a été hérité de la culture grecque.

L’idée ancrée selon laquelle au temps des grands penseurs grecs il n'y avait rien d'au moins aussi (sinon plus) lumineux sur Terre. Or il y avait les lumières des prophètes hébreux, de Moïse à Jésus en passant par Elie, Isaïe, Ezéchiel ou Jean-Baptiste. C'est une toute autre vision des choses, mais au moins aussi brillante et scientifique que celle des grecs ! Mais même quand on reconnaît une certaine valeur à ce que peut dire la Bible, elle est loin de bénéficier de la même crédibilité en science ou en histoire que les écrits des auteurs grecs. On prend avec des pincettes ce que peut dire un livre qui parle de Dieu, du jardin d'Eden, d'Adam et Eve, de l'Arche de Noé, de la traversée de la Mer Rouge, des Dix Commandements au Mont Sinaï, d'Elie face aux prophètes de Baal, du Fils de Dieu, des miracles de Jésus, de la résurrection de Jésus, etc. Un seul mot se cache derrière l'attitude face à tout cela : "IMPOSSIBLE", comme quand Aristote dit : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pasen même temps et sous le même rapport à une même chose» (Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20).

Le choc entre la vision hébraïque des choses et la vision grecque se trouve résumé dans ce seul épisode où Paul parle à des érudits grecs à l'aréopage d'Athènes (Actes 17 : 16 - 34). L'illustre auditoire savante a rigolé au nez de cet "ignorant" nommé Paul, raconteur de "fables" concernant un certain Jésus, Fils de Dieu, mis à mort par les hommes et ressucité par Dieu. Tout est là ! Depuis ce temps jusqu'à nos jours, c'est la même histoire. Deux paradigmes complètement opposés, deux visions de l'Univers, de la science, de la connaissance et de la vérité.

Et enfin l'idée selon laquelle après les grecs l'Univers n'a rien fait de mieux..., l'idée selon laquelle par exemple "L'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire", dixit Sarkozy. Mais la simple vérité est celle-ci : On n'a jamais vraiment prêté attention à ce qu'un homme africain pouvait avoir à dire. La preuve...

C'est ce que l'occident selon ses paradigmes a décidé d'appeler la vérité, qu'il faut appeler la vérité. La science est celle de l'occident, l'histoire est celle que l'occident à écrite...


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