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Toute chose est une existence

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
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Loi de l'Alternation 2
ou Loi du Demi Inclus et du Tiers Annoncé
ou Loi de l'Alternative
ou Loi générale des Contraires


1: "Le contraire de toute chose est toujours une autre chose"

2: "Le contraire de toute chose X est toujours une autre chose,
appelée anti-X "

3: "Dès qu'une chose X commence à exister
dans un contexte donné de l'Univers,
son contraire commence à exister automatiquement aussi
dans un autre contexte de l'Univers"

4: "Toute chose X et son contraire anti-X existent toujours,
mais chacune dans un sous-contexte séparé de l'Univers,
X dans le contexte C et anti-X dans le contexte anti-C"

5: "Dire qu'une chose X donnée n'existe pas dans un certain contexte C,
c'est dire que c'est son contraire anti-X qui existe dans ce contexte C"

6: "Le contraire de X est toujours un autre X"

7: "Toute chose X et son contraire anti-X
sont deux versions différentes de la seule et même chose X;
les deux sont équivalents, ils sont égaux modulo Univers."

Une des plus puissantes lois de l'alternation 2

"Le contraire de X est toujours un autre X, appelé son anti-X"

L'Univers en alternation 2

La Loi des Contraires et le Verba

Les différentes formes de la Loi des Contraires

Chose et Anti-Chose
Toute chose E (ici en vert) possède un parfait contraire (ici E en rouge)
appelé son anti-chose ou anti-E.
Si une chose E n'existe pas dans un contexte,
alors c'est son contraire ou son anti-chose qui y existe, et vice-versa.
Si une chose E apparaît dans un contexte,
alors son anti-chose (anti-E) apparaît automatiquement aussi dans l'anti-contexte.
La chose et l'anti-chose existent simultanément dans l'Univers TOTAL.

La Loi des Contraires (ou Loi de la Chose et de l'Anti-Chose ou Loi de Symétrie) est une des plus puissantes sous-lois de l'Alternation (voir Le Principe d'Alternation), et en particulier de l'alternation 2.

1: "Le contraire de toute chose est toujours une autre chose"

2: "Le contraire de toute chose X est toujours une autre chose,
appelée anti-X "

3: "Dès qu'une chose X commence à exister
dans un contexte donné de l'Univers,
son contraire commence à exister automatiquement aussi
dans un autre contexte de l'Univers"

4: "Toute chose X et son contraire anti-X existent toujours,
mais chacune dans un sous-contexte séparé de l'Univers,
X dans le contexte C et anti-X dans le contexte anti-C"

5: "Dire qu'une chose X donnée n'existe pas dans un certain contexte C,
c'est dire que c'est son contraire anti-X qui existe dans ce contexte C"

6: "Le contraire de X est toujours un autre X"

7: "Toute chose X et son contraire anti-X
sont deux versions différentes de la seule et même chose X;
les deux sont équivalents, ils sont égaux modulo Univers."

 

Une des plus puissantes lois de l'alternation 2

 

La Loi des Contraires (ou Loi de la Chose et de l'Anti-Chose ou Loi de Symétrie) est une des plus puissantes sous-lois de l'Alternation (voir Le Principe d'Alternation), et en particulier de l'alternation 2. C'est l'une des formes les plus puissantes du Théorème de l'Existence (ou Loi de l'Univers), qui montrent toute l'importance de concevoir l'Univers comme l'Ensemble de toutes les choses. La science n'a plus rien à voir presque quand on travaille avec l'Univers TOTAL ! Toutes les choses existent dans un tel Univers, ainsi que les contraires de toutes les choses.

La Loi des Contraires éclaire grandement sur la nature de l'Univers et sur son fonctionnement. Elle montre aussi comment la science change du tout au tout quand on ne raisonne plus avec la Négation, mais avec la notion de Contraire (donc avec l'Alternation). On ne nie plus aucune chose, si ce n'est la négation elle-même. NIER la NEGATION constitue une autre loi (la Loi du Double Contraire) d'une très grande importance.

L'une des nouvelles extraordinaires possibilités qu'offre le fait de travailler dans l'Univers TOTAL, noté U, défini dans un langage scientifique extrêmement précis (le langage universel des ensembles), est d'abord que cet Univers va permettre à son tour de définir d'une manière très précise des notions importantes de la science, actuellement très ambiguës ou très mal définies voire pas du tout ! On les emploie en un sens intuitif, ce qui est très dangereux quand une certaine chose nommée la Négation, le Diable ou l'Anti-Dieu lui-même, tel qu'il opère dans les profondeurs de la psyché et tel qu'il se présente au coeur même de la science. Il était jusqu'ici impossible de voir clair dans les choses, parce qu'on ne travaillait pas avec l'Univers TOTAL et que l'on savait pas le faire, justement à cause de la Négation, qui est l'obstacle même sur la voie de la découverte de cet Univers TOTAL et de ses extroardinaires propriétés.

De grands mystères pour la physique actuelle (par exemple ses interrogations sur la matière et l'anti-matière) trouvent leurs réponses très simplement dans la Loi des Contraires, quand on change de paradigme scientifique et que l'on fait la science en terme de choses et de contraires des choses. Pour toute chose X, le contraire de X ou anti-X peut désormais être défini d'une manière extrêmement simple mais aussi extrêmement précise à l'aide de l'Univers U, chose qu'il était impossible de faire au paravant sans cet Univers lui-même en pleine science. On a : anti X = U - X. Et en particulier, l'Anti-Univers ou anti U est donc défini par : anti U = U - U, que l'on notre O, et qui est appelé le Vide ou le Néant.

Il ne s'agit pas d'une conception de Vide ou de Néant au sens négatif de ces termes, tels que l'on peut les concevoir actuellement en faisant la science avec la Négation au lieu de l'Alternation. Avec la Négation, les notions comme le Vide, le Néant, le Rien, le Zéro, etc., sont négatifs, pathologiques. Cela signifie par exemple que le Vide n'est que Vide. Mais avec l'Alternation, c'est une toute autre conception du Vide, le Vide qui est l'Anti-Plein, mais qui surout qui est un autre Plein, selon la Loi des Contraires sous cette forme : "Le contraire de X est toujours un autre X". Ainsi, "Le contraire de l'Univers est un autre Univers", "Le contraire du Plein est un autre Plein", etc. Avec l'Alternation, l'Univers est l'Ensemble de toutes les choses, et l'Anti-Univers ou Vide est tout simplement l'Ensemble de toutes les anti-choses. Ce Vide est donc Plein, mais autrement.

Eden Anti-Eden
Une manière simple de représenter l'Univers et l'Anti-Univers, le Plein et le Vide.
La couleur verte représente ici les choses, la couleur rouge représente les anti-choses.
L'Univers ou Plein est l'Ensemble de toutes les choses,
et l'Anti-Univers ou Vide est l'Ensemble de toutes les anti-choses.
Les deux sont parfaitement contraires et symétriques.
Ce que l'un est, l'autre l'est aussi, mais dans le sens complètement opposé.
Les deux sont deux manières contraires de dire la même chose,
donc les deux sont finalement la même chose.

L'Alternation et son important corollaire qui est la Loi des Contraires implique que l'Univers et l'Anti-Univers sont équivalents, ils sont simplement deux manières différentes de dire la même chose (pour plus de détails sur la très importante notion d'équivalence, voir le document Le Verba, la Langue du verbe Etre). Il en résulte un autre corollaire, la Loi de l'Alpha et de l'Oméga (ou Loi du Zéro et de l'Infini ou Loi du Cycle), qui dit simplement : O = U.

Univers fractalMonde et Ant-MondesUnivers fractal
Les Univers-Dieu et les Univers-Diables, les Mondes et les Anti-Mondes, les Edens et les Enfers

 

 

 

 

Le contraire de X est toujours un autre X, appelé son anti-X
"Le contraire d'une chose est toujours une autre chose, appelée son anti-chose;
l'anti-chose est l'autre manière de parler de la chose "

Les lois les plus banales sont pourtant aussi les plus extraordinaires !

Comme c'est très souvent le cas pour les différentes formes du Théorème de l'Existence (ou Loi de l'Univers), la Loi des Contraires est connue sous nombre de ses formes banales, que nous appliquons intuitivement, machinalement et très naturellement dans la vie de chaque jour (et en particulier en science), tellement c'est très évident ! Mais comme c'est souvent le cas aussi du même Théorème, il n'est plus tout évident sous d'autres de ses formes, alors dit fondamentalement la même chose.

Par exemple, l'expression de base de la Loi des Contraires est : "Le contraire de toute chose est toujours une autre chose". Cela va tellement de soi que l'on peut se demander quel est l'intérêt de formuler une telle banalité. Et pourtant, que l'on détrompe !, on vient ainsi d'énoncer une loi d'une profondeur et d'une puissance inouïe ! C'est quand on se met à appliquer le modèle qu'il fournit à diverses notions que sa puissante apparaît.

Ainsi par exemple, appliquée à la notion de phrase, la loi donne : "Le contraire de toute phrase est toujours une autre phrase". Appliquée la notion d'affirmation, cela donne une déclaration voisine : "Le contraire de toute affirmation est toujours une autre affirmation". Par exemple, si j'affirme : "Il pleut" ou "Dieu existe", et que quelqu'un me contredit en disant : "Il ne pleut pas" ou "Dieu n'existe pas", il a énoncé le contraire de mon affirmation, et ce contraire est tout simplement une autre affirmation, que je peux contredire en soutenant mordicus le contraire. Et on se "battra" à coups de contraires, comme les partis en opposition dans un procès, l'un affirmant ceci et l'autre affirmant exactement le contraire. Affirmer le contraire d'une chose est la bonne définition ou conception de la négation, qu'il ne faut pas confondre avec la notion de contraire elle-même, ainsi qu'on le fait très souvent (voir Le problème de la Négation).

La notion de contraire est tout simplement une relation entre deux choses A et B (ou A et anti-A ou anti-B et B). Choisir entre l'une ou l'autre des deux alternatives est ce qu'on appelle affirmer ou nier. Celle qu'on choisit est celle affirmée, l'autre étant celle niée. Affirmer ou nier n'est donc pas à confondre avec la notion de contraire, qui est une toute autre notion, une très puissante notion, grâce à laquelle on découvre d'étonnants secrets de l'Univers.

Par exemple, la Loi des Contraires (qui paraissait si banale), quand elle est appliquée à la notion de vérité, cela donne : "Le contraire de toute vérité est toujours une autre vérité". Et c'est là que l'on commence à s'apercevoir que cette loi n'est pas aussi banale qu'elle paraissait à première vue, dans sa formulation de base qui fournit le modèle général, à savoir : "Le contraire de toute chose est toujours une autre chose" (formulation 1 plus haut) ou "Le contraire de X est toujours un autre X" (formulation 6 plus haut). On comprenait aisément que le "Le contraire de toute affirmation est toujours une autre affirmation", mais pas que "Le contraire de toute vérité est toujours une autre vérité" ! Et on comprenait encore moins que "Le contraire de toute existence est toujours une autre existence", c'est-à-dire que dire qu'une chose X n'existe pas c'est dire que le contraire de X (ou anti-X) existe. Si on avait conscience de cette très puissante et très éclairante Loi des Contraires, on comprendrait par exemple que dire que Dieu n'existe pas c'est dire que c'est le contraire de Dieu (ou anti-Dieu) qui existe, c'est-à-dire le Diable ! Par conséquent, c'est mentir comme le Diable que de nier à la fois Dieu et Diable (voir La question de Dieu et Diable aujourd'hui) !

Chose et Anti-Chose

Le fait que les psychés actuellement fonctionnent avec la Négation a déterminé la manière d'aborder la science et l'Univers. On a pris les choses à l'envers, on n'a pas commencé par où il fallait commencer. La science est censée étudier l'Univers et de nous faire connaître la vérité sur lui. Or, elle aborde l'Arbre de l'Univers par les feuilles (donc par les détails) au lieu de le prendre à la racine même. Cela donne une gigantesque forêt appelée LES sciences au pluriel, au lieu d'un seul Arbre de la Science, dont tout est une branche.

La science doit d'abord définir très clairement l'Univers, en faire son objet central, le vrai chef d'orchestre de toute la science. Un objet par rapport auquel tous les autres sont définis (entre autres la négation par exemple); un objet sur lequel tous les raisonnements dans tous les domaines se basent.

Avec les mots clef chose, existence et ensemble, on définit l'Univers comme l'ensemble de toutes les choses, ou simplementle le TOUT, et on le notera U. Il faut ensuite savoir que toute chose ou toute notion A est un attribut ou une propriété, qui est la scienne et qui l'identifie comme telle. On peut peut choisir de considérer la chose en elle-même, comme un individu ou un élément de l'Univers; et dans ce cas on écrira {A} pour le signifier. Cela signifie que l'on considère un ensemble qui se réduit à la chose ou notion A seule. Mais on peut aussi choisir de voir cette chose ou notion A comme une propriété commune à un ensemble d'autres choses. Alors la chose A est cette fois vue comme un ensemble, et s'il est par exemple constitué de trois éléments C, D, E, alors on écrira : A = {B, C, D}.

Par exemple, si je dis "Humain", il s'agit d'une chose, d'une notion, que l'on peut prendre en elle-même comme chose à part entière et identifiée comme telle. On écrira alors {Humain} comme élément, tout comme on dirait aussi {Animal}, {Plante}, etc., en considérant comme chaque propriété comme un individu de l'Univers. Et si on veut parler de l'ensemble de ces trois individus que je viens de citer, on dira : {Humain, Animal, Plante}. Mais on peut choisir de voir "Humain" comme une propriété commune à plusieurs choses : Théophile, Angélique, Essowaba, Abiré, etc. Alors cette propriété Humain est l'ensemble de toutes les choses répondant à cette propriété : Humain = {Théophile, Angélique, Essowaba, Abiré, ...}. Et si on considère Théophile par exemple, si (dans des opérations faites sur des ensembles) on veut le voir comme un individu seul, on pourra dire {Théophile} pour signifier qu'il faut le prendre seul en tant qu'élément. Mais Théophile est un ensemble, fait d'une tête, de bras, de thorax, de jambes, etc. S'il intervient dans des opérations faites sur des ensembles, on écrira simplement Théophile pour dire qu'il faut le prendre comme ensemble et non plus comme élément.

L'exemple suprême est simplement celui de l'Univers. Pris comme élément, on écrira : {Univers}; mais pris comme ensemble on dira simplement Univers, et alors on s'intéresse à tout ce qu'il contient. L'Univers permet de définir la notion de contraire absolu, qui permet aussi de voir l'Univers sous le modèle de l'alternation 2.

Pour deux choses quelconques A et B prises comme ensembles, l'écriture A - B signifie qu'on parle d'un ensemble C, fait de tous les éléments de A sauf ceux de B. Autrement dit, on enlève de A tous les éléments de B qu'il pourrait éventuellement y avoir, et cela donne A - B, c'est-à-dire donc C. Par exemple, si A désigne l'ensemble de toutes les choses de couleur noire, et B l'ensemble des chats, A - B est l'ensemble de toutes les choses de couleur noire sauf les chats. Et l'ensemble B - A sera l'ensemble de tous les chats qui ne sont pas noirs.

Pour qu'on puisse faire cette opération, il n'est donc pas nécessaire que l'un des ensembles soit entièrement contenu dans l'autre. On peut même envisager le cas extrême où A et B n'ont aucun élément commun. On dit alors qu'ils sont disjoints. Dans ce cas, A - B = A et B - A = B.

Et on comprend facilement aussi que pour tout ensemble A donné, A - A est l'ensemble duquel on a enlevé tous les éléments de A. Il reste donc le vide. Donc A - A est l'ensemble vide, que l'on note . Donc : A - A = .

Mais c'est avec l'Univers que ces opérations deviennent les plus importantes, car toutes les choses appartiennt à l'Univers, et tout ensemble a tous ses éléments dans l'Univers, puisque celui-ci est l'Ensemble de toutes les choses. Alors, à toute chose A (prise comme ensemble) correspond une chose très précise et unique B, définie à l'aide de l'Univers, qui est U - A. L'ensemble U - A ou B est donc l'Univers duquel on enlève tous les éléments de A. Cet ensemble B est l'alternative de A ou SON contraire, au sens le plus absolu du terme ! C'est à cette alternative très spéciale que la notion de négation était censée renvoyer quand on disait non-A. Mais maintenant il faut comprendre que non-A signifie anti-A, ce qui n'est plus du tout le même sens ! Il y a par exemple en effet une énorme différence entre parler de non existence d'une chose (au sens négatif, diabologique et mensonger actuel de la négation) et parler de l'anti-existence de la chose en question, c'est-à-dire donc l'existence contraire ! Entre l'ancienne négation et la nouvelle, c'est la nuit et le jour !


Toute chose ou notion A fait de l'Univers un modèle "Unus ET Versus",
Unus étant A et Versus étant anti-A ou U - A ;
c'est ce sens qu'il faut maintenant donner à la négation, au mot non.
La négation doit maintenant signifier le contraire d'une chose, l'anti d'une chose.
Il ne faut plus confonde cette négation définie avec l'Univers
avec la diabolique en mensongère notion actuelle du même non.

Ainsi par exemple, si l'on considère l'ensemble des humains noté Humain, l'ensemble U - Humain (ou Univers - Humain) désigne toutes les choses de l'Univers qui ne sont pas des humains. Cet ensemble U - Humain ou Univers - Humain est donc le contraire absolu de la notion d'Humain. C'est ce que la notion de non-humain (ou la "négation" d'humain au sens actuel de la négation) est censée signifier.


L'Univers est "Humain ET non-Humain", c'est-à-dire "Humain ET anti-Humain"...
A vous de déduire tout ce que cela peut vouloir dire !

Mais si elle était aussi rigoureusement définie, elle ne pourrait plus être la négation qu'elle est actuellement, mais elle serait l'alternation 2. Et plus généralement, la science fonctionnerait avec l'Alternation en lieu et place de l'actuelle Négation. En effet, il est très facile de mettre en évidence des "problèmes" dans la démarche que je viens de faire avec l'Univers, des problèmes qu'on appellerait des "contradictions". Mais il n'y a aucune contradiction dans l'affaire, mais le problème vient simplement de la Négation.

L'Univers en alternation 2

L'Univers en modèle "Recto ET Verso"

Alternation Unus Versus
Le modèle "Unus ET Versus" de l'Univers ou modèle (U, V)
ou modèle "Recto ET Verso", ou encore modèle "Pile ET Face".
L'Univers en tant qu'Alternation 2 ou Cycle 2 ou "Deux en Un".
L'Unus ou U est l'Univers, le Tout, le Plein, l'Existence.
Et le Versus ou V est son contraire ou son alternative;
c'est le Rien, le Vide, le Néant; il est encore appelé l'anti-Univers.
Deux Univers différents, mais le seul et même Univers.
L'Alternation est le principe même du fonctionnement de l'Univers.
Autrement dit, c'est la Logique Alternative (illustrée simplement ici)
qui permet de comprendre les secrets les plus profonds de l'Univers.

L'Univers dont je vais parler, et qui est l'objet de la Science de l'Univers (ou Théorie de l'Universalité ou Physique du Tout), est l'Ensemble de toutes les choses (pour les mots clefs de la Science Nouvelle, voir Chose, Existence, Ensemble; voir aussi Puzzle de l'Univers et Visage de Dieu).

Je ne parle donc pas de NOTRE univers, qu'on appelle souvent à tort l'Univers (en majuscule) mais qui n'est qu'un minuscule et microscopique petit village dans le grand Univers dont je parle. Un village comme Pagouda dans le petit Togo, lui-même petit village en Afrique, gros village sur Terre, mais petite planète dans le système solaire, lui-même une infinitésimale chose dans NOTRE galaxie la Voie Lactée, elle-même un microble dans NOTRE immense univers, lui-même du néant dans le grand Univers dont je parle, et qui est : l'Ensemble de toutes les choses : le TOUT !

Le paradigme de la Science Nouvelle (c'est-à-dire sa philosophie et la logique générale sur laquelle elle repose) est le Principe de l'Alternation (encore appelé le Théorème de l'Existence). L'Alternation s'oppose du tout au tout à la Négation, qui est en réalité la base sur laquelle repose toute la science actuelle (ou plutôt les sciences actuelles) et toute la manière actuelle de raisonner, ce dans tous les domaines.

Pour qu'elle soit bonne, la Négation doit s'inscrire dans un cadre plus vaste qui est justement l'Alternation dont je parle. Une alternation, c'est simplement quand on se donne un certain nombre n de choses, absolument quelconques A1, A2, A3, ..., An, et qu'on se limite à ne choisir que parmi ces n choses, à ne travailler qu'avec elles, à ne raisonner qu'avec elles, à ne les permuter qu'entre elles, etc. Bref, on fait comme si elles sont les seules à exister, et tout donc se passe entre elles. Tout ce qu'on peut faire avec ces n choses s'appelle ALTERNER entre ces choses. C'est ce que j'appelle l'alternation n. Et ces choses s'appellent les alternatives de cette alternation n.

Et ce qui est très important dans cette affaire, c'est toute la logique que vont constituer ces n choses de cette alternation n, va s'appliquer à n'importe quel ensemble de n choses : B1, B2, B3, ..., Bn. Autrement dit, toute alternation n va être un Modèle pour toute autre alternation n.

Et une deuxième très importante propriété de l'alternation n : Etant donné qu'on exige de faire TOUT ce qu'on peut faire avec les n choses de cette alternation (et en particulier les permuter et intervertir les rôles au sein de l'alternation), elles sont toujours différentes les unes des autres à un moment donné, dans un contexte donné, sous un angle donné, etc. Mais vu que tous les rôles permutent, et que chaque chose joue tous les rôles les uns après les autres (donc alternativement), toutes les choses sont finalement sur le même pied d'égalité, on dit qu'elles sont différentes par négation, mais égales par alternation. La négation n'est valable que dans un contexte donné; mais globalement, c'est l'alternation qui est valable (pour plus de détails, voir Le Principe d'Alternation).

C'est pourquoi l'alternation n s'appelle aussi le "n en Un", ce qui signifie : "n choses différentes, et pourtant la même chose". Par exemple, l'alternation 2 est le "Deux en Un", donc "Deux choses différentes, et pourtant la même chose". Et l'alternation 3 sera le "Tois en Un", donc "Trois choses différentes, et pourtant la même chose", etc.

La Négation doit se définir dans le cadre général de l'Alternation; et d'ailleurs elle n'est qu'un cas extrême de l'alternation 2. C'est là qu'elle joue son rôle et participe à exprimer toute la vérité de l'Univers : "Des choses sont fausses par négation, mais tout est vrai par alternation". C'est cette phrase que je dis souvent sous cette forme : "Le contraire de toute vérité est toujours une autre vérité".

Alternance Vrai-Faux

La Négation seule prise comme base de la logique et du raisonnement est extrêmement dangereuse, car elle conduit à NIER des vérités, des réalités, les propriétés fondamentales même de l'Univers, ce qui fait qu'il est l'UNIVERS même, l'Ensemble de toutes les choses.

La chose est très facile à comprendre : Qui dit que l'Univers est le Tout, vraiment le Tout, c'est dire qu'il y a TOUT (Unus) et le contraire de TOUT (Versus) dans l'Univers. Sans cela, il n'est pas TOUT, et alors tout ce que je dis ne concernerait qu'un certain petit village comme NOTRE univers.

On notera que je parle de CONTRAIRE de TOUT, et non pas de NEGATION de TOUT. La notion de contraire est une notion d'alternation, et précisément la notion clef de l'alternation 2, ce que devrait être la négation. Le contraire d'une chose est tout simplement son alternative dans une modèle d'alternation 2. Le couple "Pile ET Face" d'une pièce de monnaie par exemple, ou le couple "Recto ET Verso" d'une feuille de papier, sont des exemples d'alternation 2. L'un des membres du couple est le contraire de l'autre et vice-versa, les deux sont aussi vrais l'un que l'autre. C'est cela la notion de contraire, à ne plus confondre avec la notion de Négation, qui est une toute autre affaire ! Si (comme actuellement) cette affaire n'est pas définie dans le cadre de l'alternation, en l'occurence comme un cas d'alternation 2, elle est terriblement dangereuse (voir Le problème de la Négation). Un petit exemple pour avoir l'aperçu du problème :

Si je prends par exemple une pièce de monnaie, elle répond au modèle "Pile ET Face". Le contraire de Pile est donc Face, et vice-versa, et là on est dans l'alternation 2, et tout est normal. Mais c'est quoi la "négation de Pile" ? C'est là où il y a une grave ambiguïté qui laisse tout le champ libre au Diable... pour NIER n'importe comment, et surtout tout ce qui le dérange, comme par exemple tout ce qui conduit à Dieu...

Alors c'est quoi au juste on entend actuellement par la "négation de Pile" et que l'on noterait non-Pile ? Si on entend par là le côté Face de la pièce, alors tout va bien, cette négation est synonyme de contraire, donc on est dans le cadre de l'alternation 2. Mais "négation de Pile" cache une autre idée, confudue avec la première, mais qui elle n'est pas actuellement définie dans le cadre de l'alternation 2. Par "négation de Pile" il faut en réalité entendre "TOUT ce qui n'est pas Pile". Donc en particulier, Face, mais aussi un bouc, un singe, la Tour Eiffel, Nicolas Sarkozy, Nicolae Ceasescu, Nefertiti, Sara, Angélique, Théophile, Dieu.... Bref "TOUT ce qui n'est pas Pile" !

Mais quand on a dit cela, on n'a pas dit grand chose, si "négation de Pile" ou "non-Pile" ne renvoie à aucune chose précise, qui répond à cette définition, mais alors ça laisse vraiment la place à tout et n'importe quoi ! Quand je dis "contraire de Pile" ou "alter-Pile", cela renvoie très précisément à Face, à savoir à l'alternative de Pile dans l'alternation 2 qui est "Pile ET Face". Et si je dis que "non-Pile" est "TOUT ce qui n'est pas Pile", alors cela "TOUT ce qui n'est pas Pile" doit renvoyer à quelque chose d'aussi précis, dont on a la théoriquement la définition (à savoir "TOUT ce qui n'est pas Pile"), et qui doit simplement être ceci : "U - Pile" ou "Univers - Pile"(ou "L'Univers moins Pile"), c'est-à-dire donc "Tout l'Univers sauf Pile".

Et alors, on se retrouve devant un Univers qui se révèle comme grand modèle "Pile ET Face", où son côté Pile est exactement le même que celui de la pièce, et où son côté Face est "U - Pile" :


Une pièce de monnaie est un exemple d'alternation 2 : modèle "Pile ET Face" ou "Unus ET Versus".
Le contraire de Pile (ou alter-Pile) est Face.
Mais la négation de Pile (ou non-Pile) est "Tout ce qui n'est pas Pile".
Pour que cette négation soit bonne,
"Tout ce qui n'est pas Pile" doit correspondre à quelque chose de plus précis,
elle doit absolument renvoyer à une autre notion de contraire,
donc à un autre modèle "Pile ET Face" qui donne un sens à "Tout ce qui n'est pas Pile".
Cette négation n'est pas définie dans une science qui ne repose pas sur l'Univers (TOTAL),
mais elle est parfaitement définie dans la Science Nouvelle.
"Tout ce qui n'est pas Pile" est simplement la chose "Univers moins Pile",
c'est-à-dre "Tout l'Univers sauf Pile".
Ainsi l'Univers se présente comme un grand modèle "Pile ET Face",
dont le côté Pile est celui de la pièce, et le côté face est "Univers moins Pile".
C'est ce qu'il faut entendre par "non-Pile",
et alors la négation est parfaitement définie,
et donc elle ne peut plus être aussi diabolique que maintenant...

Cet exemple suffit à montrer que l'Univers est TOUT (ici par exemple Pile) et le contraire de TOUT (ici "Univers moins Pile", la chose par excellence pour dire "n'est pas Pile" ou "Est le contraire de Pile"). Il suffit de mettre tout ce qu'on veut à la place de Pile, et le raisonnement est exactement le même. Une face de l'Univers est la chose en question, et l'autre face n'est pas la chose, ou plus précisément est tout son contraire. L'Univers TOTAL, qui peut être TOUT et son contraire, y compris par exemple un certain humain nommé Jésus de Nazareth et tout le contraire de cet humain, est la définition que la Science Nouvelle donne au mot Dieu (voir Puzzle de l'Univers et Visage de Dieu).

Une science qui ne fonctionne qu'avec la Négation (donc qui n'est pas définie dans le cadre général de l'Alternation) ne peut jamais conduire à cette compréhension de l'Univers, à la découverte de la vérité totale. Mais le but de la science est de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité....

ALTER : le connecteur de la Physique


Le connecteur ALTER permet de résumer toutes les situations particulières
qui composent un phénomène physique ou dynamique.
Il suffit d'indiquer un seul modèle par exemple, comme ici avec le modèle du bas,
et ALTER indique que tout ce que dit le modèle est vrai en alternant (en pemutant tous les rôles),
comme le montrent les deux modèles du haut.
Avec un seul modèle de NON, celui du haut à gauche et du bas par exemple,
si je dis que la moitié gauche nommée U est rouge,
on dira que c'est faux puisque qu'on voit qu'il est vert.
De même on dira que c'est faux si je dis que l'Univers tout entier est vert,
alors qu'on voit qu'il est moitié vert, moitié rouge.
C'est le genre de vérités sur l'Univers qu'on ne peut pas découvrir avec une logique négative
(la logique faite avec seulement la négation).
Mais il ne faut pas oublier que l'Univers est un objet dynamique (et comment !),
donc il faut ALTERNER (permuter tous les rôles) pour découvrir toute la vérité.
C'est ce qu'indique le connecteur ALTER

Si je dis par exemple une chose du genre : "L'Univers est à la fois le Plein et le Vide", ou : "L'Univers tout entier est aussi la plus petite de toutes les particules", ou : "L'Univers est à la fois l'Infiniment grand et l'Infiniment petit", ou : "L'Univers est à la fois le Tout et le Rien", ou encore : "L'Univers est à la fois l'Existence (c'est-à-dire l'ensemble de toutes les choses qui existent) et le Néant (l'ensemble de toutes les choses qui n'existent pas)", etc., que penserait-on ? Ces phrases sont en n'en pas douter "contradictoires", si l'on raisonne avec la logique classique. L'Univers ne peut pas être à la fois deux choses très différentes l'une de l'autre, deux choses complètement contraires l'une de l'autre !

C'est ici qu'on a besoin de comprendre le concept d'alternation et d'apprendre à raisonner désormais dans la logique de l'alternation (ou logique alternative) et non plus dans la logique négative (c'est-à-dire faite seulement avec la Négation).

Un univers particulier (comme le nôtre par exemple) change et évolue pour devenir un autre, tout comme une chose particulière (un humain par exemple change et évolue). Un univers particulier peut disparaître (Big Crunch), tandis qu'un autre naît dans le même temps (Big Bang); exactement comme un humain peut mourir tandis qu'un autre naît dans le même temps. Mais l'Univers (TOTAL il faut le préciser !) est invariant, car tout ce qui se passe dans un coin de l'Univers, exactement le contraire se passe dans un autre coin. Tout ce qui disparaît ici se recrée exactement à l'identique ailleurs ! L'un dans l'autre, rien ne change finalement. Comme dirait l'autre, "Rien ne se perd, rien ne crée, mais tout se transforme".

Dans le langage de l'Alternation, la même chose se dit ainsi : "Tout ALTERNE dans l'Univers", ou encore : "Tous les rôles permutent dans l'Univers", ou encore : "Toute chose devient alternativement toute autre chose dans l'Univers", etc. Ce n'est pas forcément évident, surtout pas dans des mondes comme le nôtre, et pour cause (voir L'algorithme d'Eden). Et pourtant c'est la vérité même ! Il faut savoir voir au-delà de NOTRE vie, de NOTRE monde, de NOTRE univers, pour percevoir l'Univers TOTAL et la vérité totale. Pour cela une rééducation de la logique s'impose, pour qu'elle cesse d'être négative mais devienne alternative...

Dans une alternation n, les n rôles alternent (permutent) indéfiniment; chaque membre de l'alternation joue ainsi alternativement et indéfinment tous les rôles; cela fait que, même si ce n'est pas le cas ponctuellement,
finanement tout ce qui vrai pour l'un est vrai aussi pour tous les autres. La logique de l'alternation (ou logique alternative) est donc une logique dynamique, et c'est elle qui rend compte de la réalité physique qu'est l'Univers. Le tradictionnel connecteur de négation NON ne traduit que les vérités ponctuelles; il s'agit d'une "photographie" de la vérité dans un contexte et à un moment donné. Cela fait paraître les vérités universelles (c'est-à-dire relatives à l'objet Univers) ou dynamiques comme des "contradictions".

Si je dis par exemple des choses du genre "Tout est vrai", "Tout est faux", "A est Vrai ET A est Faux", "A est Vrai si et seulement si A est Faux", etc., cela s'appelle des contradictions ou des "absurdités" dans une logique négative (c'est-à-dire faite seulement avec la Négation), qui ne voit la vérité que de manière statique. Or l'Univers est un objet physique et dynamique, tout bouge dans l'Univers, la vérité évolue sans cesse. Et surtout, à commencer par l'Univers lui-même (qui est le grand Modèle pour toute chose), toute chose dans l'Univers a son "revers" (son contraire), comme toute face d'une médaille a son revers.

D'une médaille (ou d'une pièce) qui reste statique, on peut ne voir qu'une seule face et croire que la médaille se réduit à cette seule face. La phrase "Je vois les deux faces de la médaille" est fausse, elle est comme le fait de dire "Recto ET Verso", "Vrai ET Faux", ou encore : "Si Vrai alors Faux, et si Faux alors Vrai". Mais si la médaille tourne présentant alternativement les deux faces, on les voit toutes les deux par alternation, de sorte que ces phrases apparemment contradictoires en logique négative (donc statique) deviennent vraies. Il faut maintenant apprendre à faire la science avec le connecteur ALTER (le connecteur dynanique) à la place du connecteur NON (le connecteur statique). Ou alors si on parle du connecteur NON, il faut désormais le concevoir dans le cadre de l'alternation, comme signifiant le mot contraire (le mot clef de l'alternation 2), comme quand je l'emploie pour dire : "Le contraire de toute vérité est toujours une autre vérité". Cela veut dire qu'on dit une vérité, puis on alterne (ou on permute les rôles ou les choses) et on a une autre vérité, même si elle n'est pas du tout évidente..

Contextualité et Universalité

"Deux choses contraires A et non-A sont toujours vraies, chacune séparément dans un contexte respectif C1 et C2; c'est la loi de Séparation ou loi de Contextualité ou de Relativité. Il en résulte que les deux choses A et non-A sont vraies en même temps dans le contexte C3, qui est la réunion de C1 et C2, et que l'on notera : C1 U C2, et que l'on lira 'C1 Union C2' ; c'est la loi d'Union ou loi d'Universalité ou d'Absoluité. Et si on ne trouve pas de contexte particulier où les deux choses contraires A et non-A sont vraies à la fois, alors le dernier recours et l'ultime contexte d'unification est l'Univers. A et non-A sont vrais dans l'Univers, le contexte le plus général, qui est la réunion de tous les contextes, l'ensemble suprême qui rassemble toutes les choses. C'est pour cela qu'on l'appelle l'Univers, le TOUT. Dans ce TOUT, il existe donc tout et son contraire. C'est ce que j'appelle le Principe d'Alternation, le Théorème de l'Existence, la Loi de l'Univers, ou simplement l'Universalité."


Les choses contraires A et non-A ne sont pas vraies en même temps dans chacun des contextes restreints C1 et C2;
dans chacun de ces contextes donc, la chose "A ET non-A" est fausse ;
mais dans le contexte C3 qui englobe C1 et C2, les choses A et non-A sont vraies en même temps;
la chose "A ET non-A" est donc vraie dans C3,
elle est d'ailleurs une propriété ou un attribut spécial de C3,
exxactement comme "Pile ET Face" sont une propriété d'une pièce de monnaie,
ou comme "Recto ET Verso" sont une manière de définir ou de décrire une feuille de papier.
Et l'expression "Tout ET contraire de Tout" est une propriété de l'Univers,
une manière simple de le décrire ou de le définir...

La Loi des contraires et le Verba

Examinons maintenant est des aspects les plus extraorinaires et étonnant de la Loi des Contraires ou Loi de la Chose et de l'Anti-Chose. L'Univers a un très puissant langage qu'on peut qualifier de langage informatique universel (ou langage de l'informatique universelle) que je nomme le Verba ou Langue du Verbe Etre. Parmi les nombreux aspects de ce langage (ou langue) il y a ce que je nomme l'arithmétique des sens, une chose qui découle du Théorème de l'Existence mais qui est tout simplement une autre façon d'exprimer ce théorème. Le Verba (et l'arithmétique des sens) C'est la science même des sens des mots, leurs sens absolus (à distinguer de leurs sens relatifs), la science des combinaisons des sens, des opérations très simples à faire sur une phrase pour trouver des phrases ayant exactement le même sens. L'intérêt de ces opérations (ou de ces transformations de phrases pour obtenir des phrases équivalentes) est que les nouvelles phrases révèlent au passage l'existence de choses qu'on n'aurait pas du tout soupçonnée sans le Verba ou sans cette arithmétique.

La forme du Théorème présentée ici et appelée la la Loi de la Chose et de l'Anti-Chose, est une illustration simple des règles du Verba et de l'arithmétique des sens. Nous connaissons une forme de cette loi et nous l'appliquons très naturellement dans nos raisonnements et dans notre manière de construire les phrases, et plus exactement de faire une nouvelle phrase qui est le contraire d'une autre. Nous n'avons pas pleinement conscience de cette loi tout simplement parce que nos langues sont actuellement toutes "mal foutues", aucune ne possède les caractéristiques du Verba (pas même les langages scientifiques ou informatiques !), aucune n'est logique ou arithmétique (ce qu'elles devraient être !), certaines le sont plus que d'autres. C'est pourquoi cette loi ne peut s'appliquer actuellement qu'à des phrases qui ont une structure à peu près correcte du point de vue du Verba. Si une phrase a une telle sutructure, alors la Loi de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi des Contraires) s'applique à tout élément de phrase !

Par exemple, considérons la phrase : "Théophile habite à Romagnat", qui a une structure correcte : on a un sujet (Théophile), un verbe (habite), un complément (Romagnat), et une relation entre le verbe et le complèement (ici le mot à qui va être concerné lui aussi). Le contraire de cette phrase de cette phrase se dira couramment en français : "Théophile n'habite pas à Romagnat". La construction de la version négative de la phrase a en français une très mauvaise structure Verba, mais ne nous étendons pas sur cette question ici (voir à ce propos le sous-titre La négation à la française dans cette discussion sur l'existence de Dieu...). En logique, il suffit de placer devant une phrase un mot indiquant qu'on exprime son contraire. On emploie généralement le mot "non" et on l'appelle une la négation, car il y a actuellement une confusion entre la notion de contraire et celle de négation. Mais en réalité c'est le contraire de la phrase qu'on veut exprimer, et un mot comme "anti" est plus approprié pour exprimer le contraire d'une chose, comme par exemple avec matière et anti-matière. Mais même avec le mot "non", on découvre dans une bonne mesure la Loi des Contraires dont je parle.

La phrase contraire "Théophile n'habite pas à Romagnat" s'écrit donc en logique : non-"Théophile habite à Romagnat", "niant" toute la phrase. Mais on sait aussi qu'il revient au même de "nier" le verbe de la phrase en disant : "Théophile non-habite à Romagnat". La phrase a donc la même structure que "Théophile habite à Romagnat", mais avec le verbe non-habiter. On vient tout simplement d'appliquer la Loi des Contraires sous la seule forme qu'on connaît pratiquement, à savoir sur le verbe. Mais en fait cette loi (et donc le Verba ou le Théorème de l'Existence) nous apprend maintenant qu'on peut l'appliquer à tout élément de la phrase, elle conserve le même sens. Cela nous permet de découvrir des choses plutôt surprenantes, surtout si l'on comprend qu'on en réalité fait une opération de contraire (ou opération "anti") et non pas une opération de négation. Mais poursuivons néanmoins avec la négation, c'est déjà pas mal comme découvertes...

On découvre que cette phrase ceut dire aussi que "non-Théophile habite à Romagnat", et nous apprenons donc que si "Théophile n'habite pas à Romagnat", alors c'est non-Théophile qui y habite ! Nous decouvrons que dans l'Univers, Théophile fonctionne en tandem avec une certaine chose qui lui est très intimement lié, qui est son parfait contraire (ou anti-Théophile), et qui fait exactement le contraire de ce que Théophile fait, et vice-versa ! Si l'un habite à Romagnat, alors obligatoirement l'autre n'y habite pas, car les deux ne doivent pas être dans un même contexte, sinon il y a contradiction. Mais l'Univers est un contexte (le plus grand) dans lequel Théophile et son contraire sont obligés d'être. C'est là où la Loi de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi des Contraires ou Loi de Symétrie) semble être prise en défaut. Mais en fait oui et non... Oui parce que les deux contraires sont dans l'Univers (un même contexte), et Non parce que nous apprenons par la même occasion que l'Univers a une autre version de lui-même, l'Anti-Univers (et non pas le non-Univers !!!!!!!); si donc Théophile est dans l'un des contextes, anti-Théophile (que l'on appelle par erreur actuellement non-Théophile) est dans l'autre contexte, et vice-versa.

Et la formule de l'anti-Théophile est très exactement : anti-Théophile = Univers - Théophile. Autrement dit, la chose qui est l'anti-Théophile est celle qui incarne le "Tout sauf Théophile" (comme on le dit dans le langage courant), donc tout le contraire de Théophile ! Si Théophile est un humain, on sait que cette chose ne peut pas être un humain, ou plutôt ne doit pas être un humain. Si c'est le cas, ils sont tout le contraire l'un de l'autre, et il ne doivent pas se rencontrer dans la vie, très exactement comme deux voitures roulant en sens contraire l'une de l'autre sur autoroute ne doivent pas être sur la même voie :

Loi des Contraires sur autoroute
La Loi de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi des Contraires ou Loi de la Symétrie).
Ici, par non-A il faut entendre "anti-A" ou "contraire de A" et non pas "négation de A".
Le contraire d'une chose A (c'est-à-dire son anti-chose) existe toujours,
tout comme d'ailleurs la chose elle-même (Théorème de l'Existence).
Mais la négation d'une chose pose le problème de son existence.

Les deux contraires ne doivent pas se rencontrer, mais tout doit rester possible dans l'Univers TOTAL, sinon il n'est pas l'Ensemble de toutes les choses, de toutes les possibilités, de toutes les événtualités, de toutes les alternatives. Théophile et anti-Théophile sont comme matière et anti-matière.

Particule et anti-particule
Rencontre d'une particule et de son anti-particule;
les deux s'annihilent et deviennent des photons.

Les deux ne doivent pas exister dans le même univers. Mais si c'est le cas, alors quelque chose doit les opposer, doit les rendre contraires l'une de l'autre (comme par exemple en mécanique quantique avec le principe d'exclusion de Pauli dans le cas des fermions), doit les séparer, comme donc deux voitures oulant en sens contraire l'une de l'autre sur autoroute. Mais l'éventualité de la violation de cette loi de séparation des contraires doit exister aussi. Alors les deux choses cessent d'exister comme choses contraires (ou opposées), mais deviennent une certaine troisième chose, qui est la fusion des deux. En logique, cela s'appelle une contradiction, et sur autoroute par exemple, cela s'appelle un accident ou une catastrophe :

Catastrophe sur autoroute
Comme sur une autoroute, la chose et son anti-chose ne doivent pas se retouver dans le même contexte;
mais cela reste une éventualité, car Tout est possible dans l'Univers TOTAL.

La Loi de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi des Contraires) exige donc que si "Théophile n'habite pas à Romagnat", alors "non-Théophile (ou anti-Théophile) habite à Romagnat", et vice-versa. Et celle loi nous apprend que cette même phrase signifie que "Théophile non-habite à Romagnat", équivalence de sens que nous connaissons actuellement et qui est couramment appliquée. On sait en effet que "nier" une phrase contenant un verbe c'est "nier" ce verbe. C'est donc la Loi des Contraires qu'on applique ainsi au verbe. Théophile accomplit ici à Romagnat une action qui est le contraire de l'action d'habiter, qui est l'anti-action (et non pas la non-action !!!!!!!). C'est l'action qui est toutes les actions de l'Univers sauf habiter. On a : anti-habite = Univers - habite.

La même phrase "Théophile n'habite pas à Romagnat" équivaut à "Théophile habite non-à Romagnat". La même Loi des Contraires nous apprend que Théophile obligatoirement quelque part, partout SAUF à Romagnat. Ici, c'est sur la loi fait un gros plan sur le contraire de la relation "à" entre le verbe habite et Romagnat. C'est donc tout sauf cette relation-là. On a : anti-à = Univers - à. Ces écritures peuvent paraître étranges, car on est habitué à tout sauf à calculer avec les mots du langage courant, à établir arithmétiquement de nouveaux sens à partir de leur sens ! Mais cela paraît bizarre tout simplement parce qu'on le fait avec une langue qui n'a pas la structure du Verba, la langue de l'Univers. Il s'agit plutôt d'un défaut des langues actuelles (qui obligent à forger des langages séparés et des symboles pour faire la science et les calculs) et non pas d'une absurdité de ces calculs.

Et enfin, la Loi des contraires nous apprend que la phrase "Théophile n'habite pas à Romagnat", a exactement le même sens que "Théophile habite à non-Romagnat", c'est-à-dire donc qu'il habite dans l'anti-Romagnat, dans Univers - Romagnat.


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