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                      Le
                            nouveau paradigmeSyn-Thèse
                          pour l'université
 Voir
                            aussi : Le
                          Principe d'Alternation
 Logique
                          mathématique de Jussieu et IHES
 Théorie universelle des ensembles
 Théorie des univers
 Hubertelie
                          au Maître de Conférence
 La
                          Faculté de la Science
 Vite
                          dit en vidéos 1 2  
 1) Toute
                            la Lumière sur les Paradoxes 2) L'Algèbre
                            du Cycle
 Le nouveau paradigmeDeux logiques, deux sciences « Il
                                  est impossible qu’un
                              même attribut appartienne et n’appartienne
                              pas en même temps et sous le même rapport à une
                              même chose » (Aristote, Métaphysique,
                              1005 b 19-20). C'est
                                ainsi qu'Aristote (384 - 322 av. JC) a formulé le principe
                                de non-contradiction (article Wikipedia),
                            fondamental dans le raisonnement scientifique actuel. 
  La
                          question du Théorème de l'Existence est
                          avant tout et après tout une question de paradigme.
                            Il y a d'une part la science qui ne repose QUE sur
                            le principe
                            de non-contradiction, sur une manière
                            de raisonner et sur une conception de la vérité qu'on
                            peut qualifier d'aristotélicienne (je dis
                            plus simplement aristotélienne...); et il
                            y a la science qui repose le principe
                            d'alternation, un principe universel,
                            dont le principe de non-contradiction n'est
                            qu'un cas particulier, un cas limite ou canonique.
                            Le principe
                            d'alternation fonde une logique absolue,
                            qui est la manière absolue raisonner et de
                            concevoir la vérité. Il peut s'énoncer
                            ainsi : "Le
                            contraire de toute vérité est toujours
                            une autre vérité", ou
                          simplement : "Tout est vrai".  A
                          comprendre par là qu'il existe toujours un contexte
                          où ce qui était impossible (ou faux)
  dans un certain contexte devient possible (ou vrai).
  Et dans un même contexte donné, ce qui était impossible en absordant les choses
  d'une certaine façon
                          devient possible en les abordant autrement.
                          Ou ce qui était faux pour une
                          chose dans ce contexte devient possible pour une autre version
                          de la même chose dans
  ce contexte. Bref,
                          ce qui est faux d'un certain point de vue est toujours
                          possible d'un autre point de vue.
                          Le mot "autre"
                            (ou "alter" en latin) est vital
                            dans ce concept d'alternation, et
                            c'est aussi le mot dans "altener",
                            "alternance" ou
                            "alternatif", comme dans "courant
                          alternatif". La
                          notion de symétrie ou d'égalité par permutation des
                          rôles est cruciale, pour qu'on puisse dire par
                          exemple qu'on a une "autre version
                          de la même chose", concept
                          fondamental dans la notion d'alternation.
                          De ce point de vue, les nombres (+3) et (-3) sont
                          deux versions différentes de la même chose,
                          ils sont égaux au signe près, et il suffit
                          de changer (ou d'alterner) le sens
                          choisi comme positif, pour que (+3) devienne (-3) et
                          vice-versa.  Et
                          dans le schéma ci-dessus montrant
                            une courbe alternative, le sommet
                            (ou "sommet de la vague") et le creux (ou "creux
                            de la vague") sont deux versions différentes
                            de la même chose, au sens
                            de l'alternation, car ils jouent
                            un rôle
                            parfaitement symétrique. Et de ce point de
                            vue aussi, les côtés "recto" et "verso" d'une
                            feuille sont, par alternation, deux
                            versions de la même chose, car n'importe lequel
                            peut être
                            appelé "recto", et alors l'autre s'appelle
                            le "recto"; mais en inversant (ou en alternant)
                            les appellations, ça marche aussi ! Comme
                          le montrent les schémas ci-dessus, le
                          courant continu est un cas particulier
                          de courant alternatif, le cas de fréquence
                          0 et de période infinie;
                          c'est donc un cas extrême, un cas limite, le cas stationnaire,
                          le cas canonique, qui permet de qualifier les autres
                          de variables. La notion de courant
                          alternatif (et plus généralement de
                          courant variable)
                          est donc plus riche et plus féconde
                          que
                          celle
                          de courant
                          continu. Exactement
                          de la même façon, le repos est un cas particulier et
                          limite de
                            mouvement, le cas de référence qui permet justement
                            de qualifier les autres de "mouvement" à proprement
                          parler. C'est exactement ce que la logique aristotélienne
                          est pour la logique hubertélienne, un simple
                          cas limite (mais important),
                          à partir duquel la logique commence dans toute sa puissance
                          !   Un
                              exemple historique vérifiant le principe
                          d'alternation La
                          logique aristotélienne est aussi pour la logique
                          hubertélienne,
                          ce que la géométrie euclidienne est pour
                          la géométrie
                          dans son ensemble. Pour
                            sa géométrie, Euclide a posé ses postulats, dont
                          le fameux cinquième postulat (ou axiome) qui dit que
                          "Par
                            un point extérieur à une droite il passe une droite
                            et une seule
                            parallèle à la première".
                            Et on sait qu'on peut tout à fait avoir une géométrie
                            dans laquelle par exemple c'est le contraire de
                          ce postulat (ou axiome) qui est vrai. Cet
                            exemple historique de la géométrie euclidienne
                            est de grande importance dans la philosophie des sciences;
                            c'est aussi un cas important illustrant le concept
                            d'alternation : "Le contraire
                            de toute vérité est toujours une autre
                            vérité" ou "Tout est
                            vrai". Ce programme n'est que partiellement
                            rempli par la méthode axiomatique,
                            car le fameux principe de non-contradiction le
                            limite et lui interdit d'être tout simplement
                            la vérité universelle,
                            la vérité absolue,
                            pour une science vraiment universelle et absolue.   Ce
                              postulat et son contraire sont simplement deux
                          versions de la même chose, au sens de l'alternation;
                            ils sont deux faces différentes de la même vérité,
                              exactement comme  (+3) et (-3),
                              comme le sommet et le creux d'un courbe alternative,
                              ou comme les côtés recto et verso d'une même feuille.
                              Dans l'absolu, l'un n'est pas plus vrai ou plus
                              faux que l'autre. C'est ainsi que l'on devrait
                              considérer
                              en général tout énoncé A quel
                              qu'il soit !, et son contraire (ou sa négation),
                              à savoir non-A. Mais bien
                              que constatant la réalité de l'alternation dans
                              des cas particuliers, la pensée actuelle se refuse
                              à en faire une généralité, une vérité universelle,
                              l'énoncé même de la vérité
                              absolue.  L'alternation
                              bridée par une conception étriquée de l'égalité  Voyons
                          brièvement comment le principe
                          d'alternation s'illustre
                          aussi dans l'histoire des nombres. En arithmétique
                          et en algèbre des corps, les nombres
                          entiers naturels jouent le même rôle que la géométrie
                          euclidienne. Ce qui n'est pas vrai dans un cadre,
                          le devient dans un autre cadre plus large.  Par
                              exemple, il est impossible de trouver un nombre
                              entier
                          naturel x tel que :  x + 5
                          = 2. C'est le nombre entier relatif (-3) qui
                          répond à ce signalement; mais on ne connaît
                          pas de nombres négatifs dans les entiers naturels, à moins
                          justement de fonctionner dans
                          la logique alternative, la logique hubertélienne...
                          Alors dans ce cas on sait simplement que (-3) n'est
                          qu'une autre façon de dire (+3).
                          Donc, sous une autre forme et d'un autre point de vue,
                          il existe bel et bien un entier naturel  tel que :  x
                          + 5 = 2. Non seulement cela, on sait aussi
                          que même (+3) est carrément
                          lui aussi une solution, de même que (+4), (+5), (+6),
                          bref, tout entier naturel ! En effet, dans la
                          logique huberteliénne, on a par exemple : 4
                          + 5 = 2,
                          c'est-à-dire donc : 9
                          = 2 ! Erreur ? Etrange ? Oui, si on ignore
                          la réalité qu'est le Cycle.  L'égalité 9
                            = 2 ou 2 = 9 (donc 0
                            = 7) n'est que l'écriture du cycle 7 dans
                          cette logique, cycle dont la définition est 0
                          = 7. C'est par exemple le cycle de la semaine.
                          Si la fin d'un mois est mercredi,
                          le 7 du mois suivant
                          est un mercredi, et les dates 14,
                          21, 28 du mois sont
                          aussi des mercredis. Ce cycle permet
                          de dire que "ces
                          dates sont même jour de la semaine". Et
                          le 2 du mois ainsi que le 9 sont
                          aussi le "même jour de la semaine",
                          de même que le 16,
                          etc.  L'équivalence
                            est une notion très
                              puissante qui
                              permet de découvrir les facteurs d'égalité ou
                              de similitude entre les choses différentes,
                              de détecter les choses semblables,
                              les choses obéissant à un certain même modèle,
                              etc. C'est donc une
                                notion d'égalité plus générale
                                donc plus puissante que celle qui consiste à ne
                              dire que 0 = 0, 2 = 2, 7
                              = 7, 9 =
                              9, 14 = 14, bref A
                              = A ou N = N, égalité au
                              sens restreint du terme, qui n'est que l'expression
                              du cycle 0, un cas limite donc,
                              exactement comme un courant continu est
                              un cas limite du courant alternatif,
                              le cas de fréquence
                              0. En fait "cycle 0" ou
                              "fréquence
                              0", ce sont que des manières différentes
                          d'exprimer la même chose.  D'une
                            manière générale, le cycle
                            N (que
                            j'aurais appeler aussi "fréquence N")
                            est défini par l'égalité : 0
                            = N, et le raisonnement et les calculs avec
                            le cycle s'apparente à ce qu'on appelle actuellement
                          les calculs de congruence. L'écriture 0
                            = N sera donc
                            actuellement interprétée comme la congruence modulo N.
                            Dans cette congruence, k et k
                            + N sont
                            congruents, c'est-à-dire sont égaux à N près
                          ou égaux modulo N. Dans la
                          logique du cycle (c'est-à-dire donc dans l'alternation),
                          n'importe quel entier naturel est solution de
                          l'équation :
                          x + 5 = 2, là où il était impossible
                          avec la logique aristotélienne de trouver un seul !
                          Par exemple, 30 est aussi solution,
                          car 30
                          + 5 = 2,
                          ou 35 = 2, une égalité du cycle 33.
                          Sans la notion de cycle, dire cela c'est dire "nimporte
                          quoi", tout comme dire 0 = 1 ou 7
                          = 40000. Mais c'est "n'importe quoi" si on
                          ne voit pas la logique qui peut se cacher dans le fait
                          d'écrire une égalité entre deux choses différentes
                          A et B. Mais ce n'est
                          plus "n'importe quoi" quand cette logique
                          est celle du Cycle, et si de plus on connaît actuellement
                          ce mode de raisonnement, comme par exemple la congruence.  D'une
                          manière plus générale, le langage du Cycle est simplement
                          un langage de relation
                          d'équivalence,
                              SAUF (et là c'est très important !) que maintenant
                              il s'agit du langage général de la science, et
                          non pas seulement une situation particulière de la
                          logique
                              aristotélienne, comme c'est le cas actuellement.
                          En effet, c'est l'égalité telle
                              qu'elle est conçue actuellement qui est un cas
                              pariculier de relation
                              d'équivalence, et non pas le contraire
                          ! On
                          devrait plutôt parler de l'égalité en général, de la
                          forme A= B (ou 0 =
                              N), et
                              qui a un cas particulier de la forme A
                              = A (ou 0
                              = 0), est un cas trivial  moins
                              riche. Or c'est ce cas trivial qui est
                              la conception
                              générale de l'égalité dans la science actuelle,
                              la notion d'équivalence (qui
                              est très importante en physique aussi, comme par
                              exemple dans l'équivalence masse-énergie)
                              étant traitée comme un cas particulier. Ce
                            faisant on met en fait la charrue devant les boeufs
                            ! et alors la science ne peut que mal fonctionner,
                            même si elle a l'air de bien fonctionner. 
                            Traiter l'équivalence dans
                            le cadre restreint actuel de l'égalité,
                            c'est vouloir loger un éléphant dans
                            une boîte d'allumettes. C'est de là que
                            viennent toutes les impossibilités de la science
                            actuelle, car l'équivalence (le Cycle donc)
                            y a du mal à exprimer sa pleine puissance !
                            L'alternation est
                            donc actuellement bridée, car c'est avec l'équivalence
                            (ou le cycle) qu'elle exprime sa pleine puissance.  Les
                          limites de la science actuelle Dans
                          la logique aristotélienne (la logique classique),on
                          peut définir un ensemble de nombre plus vaste
                          (les nombres entiers relatifs) dans lequel l'équation x
                          + 5 = 2 a maintenant une solution, (-3).
Il faut préciser que c'est grâce justement au cas particulier d'alternation
qu'est le cycle 0. Car, -3 + 5 = 2, donc 2 = 2, donc une égalité du
cycle 0. Grâce à ce cycle trivial donc (le seul actuellement connu), ce
                          qui était donc faux dans
                            un contexte devient vrai dans un
                            autre contexte. Le principe
                            d'alternation se trouve alors vérifiée
                            : "Le contraire de toute vérité est
                            toujours une autre vérité".
                           Dans
                          la logique classique, la phrase "Il existe
                            un entier naturel x tel
                                que : x + 5 = 2" est tout
                                bonnement fausse,
                            sans autre forme de procès ! Or
                            pourtant elle est bel et bien vraie, sans être forcément
                            obligé de changer de contexte, mais en utilisant
                            la puissance de l'alternation (ou du cycle). Mais
                           pourquoi mobiliser une bombe atomique
                          pour tuer une fourmi, là où un simple
                          doigt suffit pour l'écraser ? La bombe atomique
                          ou l'arme logique absolue qui fait se désintégrer
                          tous les murs d'impossibilité,
                          c'est ce qu'est le principe
                          d'alternation. Si
                          donc on a pu résoudre cette équation x
                          +5 = 2 autrement,
                          c'est parce que les ressources de la logique
                            aristotélienne
                            (donc du principe
                            de non-contradiction) suffisent pour résoudre
                            le problème, pour peu que l'on place dans
                            le contexte adéquat. Il en est ainsi pour tous les
                            problèmes
                            qui se posent pour les nombres rationnels, réels,
                          complexes, etc. qu'on peut actuellement résoudre. Par
                          exemple l'équation : 3x + 4 = 0,
                            insoluble dans les entiers relatifs, mais soluble
                          dans les nombres
                            rationnels. Ou l'équation x² +
                            1 = 0, insoluble dans les rationnels mais
                            soluble dans les nombres complexes. A chaque fois,
                            les ressources
                            de la logique aristotélienne  permettent de
                            trouver un contexte où ce qui était faux dans
                            un contexte devienne vrai dans
                            un nouveau; et alors le principe d'alternation : "Le
                            contraire de toute vérité est toujours
                            une autre vérité", se trouve
                            vérifié.  Mais 
                          il est très facile aussi de trouver
                          des problèmes insolubles avec la logique actuellement.
                          Avec eux on a atteint les limites du possible avec
                          la logique aristotélienne. Par exemple, on a vu il
                          ne faut pas insister pour trouver un entier naturel  qui
                          vérifie :  x + 5 = 2,
                          ou un nombre rationnel qui vérifie : x²
                          = 3, ou un nombre réel qui vérifie : x²
                          = -1. Il faut changer de contexte numérique
                          pour que cela soit possible, parce qu'on ne cherche
                           les solutions que dans le seul cycle 0.  Et
                          maintenant, même en élargissant tous les
                            contextes numériques précédents, les équations
                            comme : x = x + 1 ou 0x
                            = 1 sont
                            impossibles. On ne peut leur trouver des solutions
                            qu'au prix de l'abandon de propriétés vitales des
                            nombres, ou alors c'est le principe
                            de non-contradiction qu'il faut abandonner
                            ! Par exemple, en appliquant les règles élémentaires
                            du calcul algébrique, x = x + 1 conduit
                            immédiatement à : 0 = 1,
                            égalité du cycle 1, qui à elle seule signifie qu'on
                            ne fait plus la science avec le principe
                            de non-contradiction ! Et quand à 0x
                            = 1, il demande simplement d'écrire : x
                            = 1/0, donc de diviser par 0, ce que ce
                            principe interdit.   Pour
                          les mêmes raisons, en théorie
                          des ensembles, la phrase "Il existe
                          un dernier ordinal" ne peut être vraie actuellement.
                          Et quant aux phrases du genre : "Il existe
                          d'autres univers",  "La
                          vie éternelle est possible", "La
                          résurrection des morts est possible", "Les
                          miracles de la Bible sont une réalité", "Le
                          récit de la Genèse est vrai", "Adam
                          et Eve ont existé", "Les
                          anges existent", "Dieu existe",
                          etc., on considère actuellement qu'avec elles on sort
                          du domaine de ce qu'il faut appeler science                          !
                          Mais on ne sort pas de la science, mais  on sort
                          simplement de la science aristotélienne                          et
                          des limites étroites fixées par son sacro-saint principe
                          de non-contradiction (voir les documents
                          comme L'anatomie
                          de la Contradiction ou La
                          logique des Shadoks). | 
                
              
              Syn-Thèse
                    pour l'université
                    
                De l'axiomatique à la théorématique
              Le
                  lecteur est invité à découvrir ici une
                  petite synthèse d'un document de près de 250
                  pages nommé Thèse
                  pour l'université, adressée en juillet
                  2006 à Monsieur
                  Kokou Tchariè, maître de conférence
                  et professeur de mathématiques à l'Université de
                  Lomé au Togo. En partant des problèmes des fondements
                  de la logique et des mathématiques, cette thèse
                  revoit aussi les fondements de la physique,
                  de la biologie, bref de l'ensemble des sciences. Ici nous nous
                  limiterons essentiellement à la question des fondements
                  de la logique et des mathématiques. 
              Le
                  but de la Thèse
                  pour l'université est de démontrer
                  les lacunes intrinsèques du paradigme scientifique actuel,
                  de combler ces lacunes, pour que la science puisse vraiment
                  prétendre s'attaquer aux questions existentielles, à commencer
                  par la question de la vie ! Une nouvelle méthodologie
                  et voie d'approche scientifique est proposée, qui est
                  la théorématique, complètement à l'opposé de
                  l'actuelle axiomatique.                  
                
                              Le
  problème de l'Ensemble plein !
              Depuis
                  l'antiquité, on connaissait de nombreux paradoxes en
                  logique et en mathématiques. Il y a par exemple le vieux
                  Paradoxe du menteur. C'est le paradoxe d'une personne qui dit
                  : "Je mens". La question est de savoir si la personne
                  ment ou dit la vérité en prononçant précisement
                  cette phrase. Si la phrase "Je mens" est un mensonge,
                  alors la personne dit vrai. Et si elle dit vrai, alors c'est
                  vrai qu'elle ment, donc elle ment, donc elle ne dit pas vrai.
                  D'où le paradoxe, qui se résume par cette équivalence
                  logique entre les valeurs de vérité VRAI et FAUX
                  :
              VRAI <=> FAUX.
              La théorie
                    des ensembles introduite par Georg
                    Cantor en 1882 est la théorie fondamentales des
                    mathématiques. Après son introduction, on découvrit
                    divers paradoxes (question développée dans
                    la vidéo 1 : Toute
                    la Lumière sur les Paradoxes), ce qui déclencha
                    ce qu'on appelle la crise des fondements de la logique et
                    des mathématiques. Il y a par exemple le Paradoxe
                    de Russell, qui est la question des ensembles qui n'appartiennent
                    pas à eux-mêmes. Appelons de tels ensembles
                    les alphas : 
              
              Et
                  la question est de savoir s'il existe un ensemble dont
                  les éléments sont exactement ces alphas.
                  Si oui, alors appelons Alpha (ou A)
                  un tel ensemble. On aurait tout aussi bien
                  pu l'appler Oméga comme dans la vidéo,
                  pour adopter la convention d'appellation uniforme dans tous
                  les problèmes de paradoxe, qui impliquent en fait le
                  seul et même grand ensemble, l'Ensemble plein (ou Ensemble
                  de tous les ensembles). Alors la question est de savoir
                  si A appartient ou non à lui-même.
                  Autrement dit, A est-il ou non un de ces ensembles alphas qui
                  sont précisément ses éléments. 
              Si
                  on dit que A appartient à lui-même
                  (donc s'il est un alpha), alors il n'appartient
                  pas à lui-même, puisque c'est la propriété des
                  alphas de ne pas appartenir à eux-mêmes. Mais
                  si A n'appartient pas à lui-même,
                  alors il possède exactement la propriété des alphas,
                  donc il appartient à lui-même, puisque par définition
                  ses éléments sont justement les alphas.
                  On a donc un paradoxe dont le schéma est le même
                  que celui du Paradoxe du menteur, à savoir cette équivalence
                  logique : 
              
              On
                  aboutit au même schéma de paradoxe quand on affirme
                  l'existence d'un ensemble Oméga ayant
                  TOUS les ensembles comme éléments. C'est le Paradoxe
                  de l'Ensemble plein ou Ensemble de
                  tous les ensembles. C'est le même type de paradoxe
                  quand on parle de l'Ensemble de tous les ordinaux (Paradoxe
                  de Burali-Forti). Car une propriété d'un ordinal est
                  justement de ne pas appartenir à lui-même. C'est
                  en fait les ordinaux qui se cachent derrière
                  les ensembles alphas qui causent le Paradoxe
                  de Russell. Autrement dit, c'est le problème de ce paradoxe
                  qu'on retrouve sous une autre forme sous le Paradoxe de Burali-Forti,
                  et aussi sous le paradoxe de l'Ensemble de tous les
                  cardinaux (Paradoxe de Cantor). Bref, on a affaire
                  au seul et même grand ensemble Oméga (ou Ensemble
                  plein) dans tous ces paradoxes, suivant l'angle sous
                  lequel on voit cet ensemble : Dernier ensemble, Dernier
                  ordinal, Dernier cardinal, etc. 
              C'est
                  le problème de clôture des ensembles qui
                  se pose ainsi, qui est aussi le problème de clôture des
                  mathématiques et plus généralement des
                  sciences ! C'est cette impossibilité (apparente) de
                  clôture des ensembles que Gödel démontre
                  dans ses célèbres théorème d'incomplétude.
                  On a dit beaucoup de choses sur l'implication philosophique
                  de ces théorèmes, mais en ignorant leur vrai
                  sens : le paradigme actuel est trop faible, trop pauvre, trop
                  restreint, pour pouvoir contenir toute la logique, toute la
                  mathématique et encore moins toute la science ! Avec
                  ce paradigme, des questions ne peuvent que rester à jamais
                  en déhors des sciences, et à plus forte raison
                  des mathématiques ! C'est dont le vrai sens des théorème
                  d'incomplétude de Gödel !
               Pour
                  rendre enfin complètes les mathématiques, ou
                  simplement pour résoudre vraiment les le problèmes
                  des paradoxes, on doit changer de paradigme. Sinon, la solution
                  que l'on pense avoir apportée au problème n'est
                  qu'une fausse solution. On n'a fait que réculer le problème,
                  et même pire, on est tombé de Charyde en Scylla
                  !
              Le
                        Théorème de l'Existence
              
                    Théorème de Dieu contre Axiome
                du Diable
              Bâtissons
                  une nouvelle science avec comme mot-clef le mot général "CHOSE".
                  Une CHOSE est TOUT ce dont on parle, indépendamment
                  de l'EXISTENCE de la chose en question ! Si c'est une chose
                  qui EXISTE, alors on l'appelle une EXISTENCE. Sinon elle reste
                  simplement une CHOSE dont on parle. Ainsi donc, Dieu par exemple
                  est une chose ! On peut lui refuser peut-être le droit
                  d'EXISTER, mais on ne peut pas lui refuser le droit d'être
                  une CHOSE dont on peut parler ! 
              La
                  seconde notion qu'on se donne pour la science nouvelle est
                  celle d'EXISTENCE, le verbe EXISTER, dans son sens le plus
                  intuitif. Ce qui EXISTE est ce qui est EFFECTIF, REEL ! Ce
                  qui est une REALITE, une VERITE, une POSSIBILITE, etc. 
              On
                  se donne comme troisième mot scientifique, la notion
                  d'ENSEMBLE, dont le sens naturel est de parler de l'ENSEMBLE
                  de tout ce qu'on veut, des nombres, des arbres, des étoiles,
                  des humains, etc. 
              Plaçons-nous
                  maintenant dans l'ENSEMBLE de TOUTES les choses, qui par définition
                  sera appelé l'Univers ou Oméga. Il s'agit ici
                  d'une DEFINITION mathématique de l'Univers, et non pas
                  de conception subjective, plus ou moins philosophique. Quand
                  on définit bien les choses, on sait maintenant exactement
                  de QUOI on parle !
              L'ENSEMBLE
                  des choses qui EXISTENT est une partie de l'Univers ainsi défini
                  (l'ENSEMBLE de TOUTES les choses). Il en est un sous-ensemble,
                  qu'on appellera Existence ou E. Dieu est un élément
                  de l'Univers, mais pas forcément de l'Existence, puisque
                  son EXISTENCE reste à démontrer, plus scientifiquement
                  en tout cas, ce que je suis en train de faire justement.
              Et
                  maintenant, considérons la phrase suivante : "TOUTE
                  chose existe". Tout BON logicien reconnaîtra immédiatement
                  le quantificateur universel (le mot "TOUT") relativisé ici
                  au mot "CHOSE". Appelons cette phrase "Charybde".
                  Si elle est démontrée, elle implique immédiatement
                  que la chose nommée Dieu existe, peu importe ce qu'on
                  entend par ce mot !
               Si
                  on veut éviter Charybde (si on veut donc NIER cette
                  phrase), alors qu'on demande l'aide du logicien. Il sait que
                  le contraire de cette phrase est exactement celle-ci : "IL
                  EXISTE des choses qui n'existent pas". Aavec ici le quantificateur
                  existentiel (l'expression "IL EXISTE") relativisé toujours
                  au mot "CHOSE".
               Toute
                  personne ayant un minimum de bon sens, à plus forte
                  raison le logicien, voit qu'il y a un problème dans
                  cette phrase "IL EXISTE des choses qui n'existent pas".
                  Il y a une contradiction ! En effet, avec le quantificateur
                  existentiel on affirme l'EXISTENCE des choses, pour les NIER
                  juste après ! Appelons cette phrase "Scylla". 
              Et
                  la question de l'existence de Dieu est un simple choix entre
                  Charybde et Scylla ! Celui qui NIE l'existence de la moindre
                  chose (et en particulier de la chose nommée Dieu), NIE
                  donc Charybde qui dit que "TOUTE chose existe". Il
                  tient donc pour vérité Scylla qui dit : "IL
                  EXISTE des choses qui n'existent pas".
               Mais,
                  seulement voilà : cette phrase est contradictoire. Voilà démontré méthodiquement
                  et scientifiquement que non seulement celui qui NIE la moindre
                  existence ou la moindre possibilité a infiniment plus
                  de chances de se tromper que celui qui affirme TOUTES les existences,
                  mais il se trompe tout simplement ! 
              Logique
                          continue et Logique alternative !
              Négation
                absolue et Négation relative
              Le Théorème
                    de l'Existence est la simple démonstration
                    que la notion de NON existence est paradoxale.
                    A moins de fonctionner désormais avec une nouvelle logique
                    qui dit qu'une chose qui n'existe pas existe toujours autrement,
                    que le contraire de toute vérité est
                    toujours une AUTRE vérité, etc.
                    Alors la notion de négation (le connecteur NON)
                    est une négation relative et non plus absolue comme
                    présentement. Toute négation est
                    toujours relative à un contexte donné.
                    Ce qui n'est pas vrai dans un contexte est
                    toujours vrai dans un autre contexte. Ce qui n'existe
                    pas ici ou dans ce contexte existe toujours
                    dans un autre contexte. Ce qui n'est pas possible ici
                    ou dans ce contexte est toujours possible dans
                un autre contexte, etc.
              La négation
                    relative                implique une toute nouvelle
                    conception du VRAI et
                  du FAUX, puisque le contraire de
                  toute vérité est toujours une AUTRE
                  vérité.  La négation relative est
                  ce que j'appelle l'alternation, du mot ALTER                ou AUTRE.
                  La nouvelle logique est ce que j'appelle la Logique d'Alter ou
                  Logique de Cycle (ou Logique cyclique), par
                  opposition à l'actuelle
                  logique scientifique et paradigme, que j'appelle Logique
                  de Non                ou Logique de Droite.
                  
              L'Equivalence
                avec NON
              La conception de
                  la négation détermine toute la logique ! Avec l'actuel  connecteur NON (la
                  négation absolue), voici la table de vérité de l'équivalence
                  logique (<=>). 
              
              Il en résulte (lignes
                  1 et 4) que les deux équivalences permises par
                  la négation actuelle sont :
              VRAI <=> VRAI et
                  FAUX <=> FAUX.
              Dans
                  l'arithmétique et l'algèbre fondées sur cette négation, seules
                  les égalités de type suivant sont autorisées :
              0
                  = 0, 1 = 1, bref X = X.
                Cette négation
                  interdit donc l'équivalence suivante (lignes 2 et 3) : 
              VRAI <=>
                FAUX.
              Cette
                  équivalence est appelé un paradoxe. C'est le schéma du Paradoxe
                  du menteur et des paradoxes comme celui de Russell. Dans l'arithmétique
                  et l'algèbre
                  fondées
                  sur cette négation, l'égalité suivane est interdite t:
              0
                    = 1,
               et
                  plus généralement l'égalité X
                    = Y entre deux choses différentes X et Y.
              Je
                  qualifie aussi l'actuelle logique de Logique statique ou
                  de Logique
                  continue (par analogie au Courant continu).
                  La raison est que justement ses valeurs de vérités VRAI et FAUX                ne
                  varient pas dans le temps, dans l'espace,
                  selon le contexte,
                  etc. Ces valeurs n'alternent pas, le VRAI ne
                  devient jamais le FAUX et vice-versa. On peut
                  donc représenter cette logique par ce diagramme de Courant
                  continu                :
              
               
              L'Equivalence
                    avec ALTER
              Par
                    contre, je qualifie la nouvelle logique fondée par la négation
                  relative (l'alternation) de logique
                  dynamique              ou Logique alternative (par analogie au Courant
                  alternatif).
                  La raison est que justement ses valeurs de vérités VRAI et FAUX varient
                  dans le temps, dans l'espace,
                  selon le contexte, etc. Ces valeurs alternent,
                  le VRAI devient le FAUX et
                  vice-versa. On
                    peut donc représenter cette logique par ce diagramme de Courant
                  alternatif :
              

               
              Les                 deux
                  valeurs de vérité VRAI et FAUX alternent
                  exactement comme les phrases "Il pleut"
                    et "Il
                    ne pleut pas", qui alternent dans le temps et dans
                    l'espace. Cela  qui fait que ces deux phrases, bien que contraires                l'une
                    de l'autre, sont toutes les deux vraies !
                    Selon cette logique, une chose qui n'existe
                    pas dans
                    un certain contexte, existe toujours
                    dans un AUTRE contexte, et vice-versa.
              Si
                  je demande si la phrase "Théophile est
                  le mari d'Angélique" est
                  vraie ou fausse, la logique actuelle ne peut pas répondre tant
                  qu'on ne lui fournit pas un exemple de Théophile et un exemple
                  d'Angélique. Cette phrase est comme : "X est
                  le mari de Y". Les noms qui y interviennent
                  sont des variables, et c'est pour cela que la
                  logique actuelle ne peut en général fournir de réponse. Il faut
                  pour cela donner des valeurs particulières aux variables, c'est-à-dire
                  on peut répondre que dans le cas de constantes.
                  Les exceptions où on peut répondre à des questions impliquant
                  des variables libres, sont dans le cas d'énoncés
                  du genre ou "p <=> p" ou "X
                  = X", qui sont des tautologies, car satisfaites pour
                  toute valeur de variable. Sinon, en règle générale, pour des
                  énoncés comme "p <=> q",
                   "X
                  = Y", "X est le
                  mari de Y" ou "Théophile est
                  le mari d'Angélique", on ne peut
                  pas répondre par VRAI ou par FAUX.
                  C'est ce qui change avec la négation relative, qui dira simplement
                  que l'énoncé  est VRAI et FAUX.
                  En effet, il y a toujours quelque part un Théophile qui
                  est le mari d'une Angélique, et quelque
                  part où un Théophile n'est pas le mari d'une Angélique. 
              Cela
                  veut dire que la négation relative (ou négation
                  alternative par
                  opposition à négation continue),
                  l'ALTER donc, possède deux tables de vérité.
                  Il y a la table classique qui est :
               ALTER Vrai = Faux,
                    et ALTER
                    Faux = Vrai,
              exactement
                  comme NON.
               Et
                    il y a une autre table, appelée son alternation,
                    obtenue en alternant les résultats selon justement l'équivalence
                :
              VRAI
                  <=> FAUX
                  qui exprime simplement une permutation des valeurs, une
                  alternance, une alternation !
              
              Cela donne donc 
                :
              ALTER
                Vrai = Vrai, et ALTER Faux = Faux.
               De
                  la même façon, en permutant les résultats de la table de l'équivalence,
                  on obtient l'alternation de l'équivalence : 
              
              Cette
                  table se résume simplement par : VRAI <=> FAUX,
                  ce qui est la nouveauté même de la nouvelle logique, la logique
                  alternative. Elle ne perd rien de l'actuelle, elle inclut
                  tous ses résultats et sa vérité,
                  auxquelles elles ajoute de nouvelles vérités, qui sont tout ce
                  que l'ancienne nie ou qualifie d'indécidable !
                  Avec la nouvelle logique tout est décidable,
                  puisque de toute façon tout est vrai !
                  Ce qui  n'est
                  pas vrai est toujours autrement
                            vrai. Le contraire de toute vérité est
                  toujours une autre vérité !
               Le
                    retour de Cantor !
              Comme
                      dit plus haut, cette nouvelle logique est aussi qualifiée
                  de Logique
                      de Cycle ou Logique cyclique,
                      car justement c'est la logique qui découle du paradigme du Cycle,
                      ainsi que le montrent les deux vidéos Toute
                      la Lumière sur les Paradoxe et l'Algèbre
                      du Cycle, proposées en introduction. Avec cette logique,
                      la négation est donc relative,
                  alternative, cyclique, dynamique,
                      etc., par opposition à la négation absolue, continue, linéiare,
                  statique, etc. A moins de raisonner avec cette
                      autre négation, la notion de NON
                      existence est paradoxale. C'est
                      cette démonstration qui constitue le Théorème
                      de l'Existence qui
                      dit : "Toute chose est une existence" ou "Toute
                      chose existe". Donnons une autre démonstration
                      de ce théorème. 
              Rappelons
                  que la nouvelle approche de la notion d'ensemble est
                  la Théorie
                  universelle des ensembles, et que sa méthodologie est
                  la théorématique. Contrairement
                  à l'axiomatique, les mots ne sont pas vidés de leur sens intuitif,
                  naturel. Mais bien au contraire, pour résoudre
                  les paradoxes, ce sens est renforcé, et rendu le plus UNIVERSEL qui
                  soit ! Ceci est extrêmement important. 
              Le
                  premier mot clef de la nouvelle théorie est le mot chose,
                  le mot le plus général, le plus universel, le mot par défaut,
                  en l'absence de tout autre mot. Tout ce dont on parle est une
                  chose, indépendemment de l'existence de
                  la chose en question. Le but du Théorème
                  de l'Existence est justement de régler cette question
                  d'existence une bonne fois pour toutes. Avant donc de parler
                  d'existence, encore faut-il parler des choses au
                  sujet desquelles la question d'existence se
                  pose. Un humain, un animal,
                  un arbre, un caillou, une étoile,
                  l'amour, la vie, Dieu,
                  les anges, le Diable, etc.,
                  sont des choses.
               Appelons
                  un Adamatwo un "humain
                    qui une taille d'au moins 2 mètres". Le simple
                    fait de dire Adamatwo ou "humain
                    qui une taille d'au moins 2 mètres", c'est
                    parler d'une
                    chose. Et
                    on dira actuellement que ces choses existent, puisqu'on connaît
                    sur terre des humains ayant une taille de plus de 2 mètres.
                    Appelons maintenant un Adamaten un Adamatwo un "humain
                    qui une taille d'au moins 10 mètres".
                    Là encore je parle d'une chose. La
                    question de son existence est une autre affaire,
                    mais ce qui compte pour l'instant c'est qu'il s'agit d'une chose.
                    Dans la nouvelle théorie et approche de la science donc, une
                    chose est TOUT ce dont on parle ! C'est le
                    premier mot clef de cette science. 
              Le
                  second mot clé est justement la notion d'existence ou
                  le verbe
                  exister. Une chose qui existe est
                  une chose                qui est effective,
                  qui a une réalité, ainsi qu'on
                  conçoit simplement et naturellement cette notion d'existence.
                  Par définition, une existence est une chose qui existe,
                  étant entendu qu'elle puisse ne pas exister. 
              La
                  troisième notion clé est la notion d'ensemble,
                  là encore dans son sens le plus INTUITIF, naturel !
                  On parlera sans aucun a priori philosophique de l'ensemble des
                  entiers naturels, de l'ensemble des ordinaux,
                  de l'ensemble des cardinaux,
                  
                de l'ensemble des Adamatwo,
                  de l'ensemble des Adamaten,
                  de l'ensemble des existences,de
                  l'ensemble des
                  choses, de l'ensembles des ensembles,
                  etc. ! Un humain est un ensemble constitué
                  d'éléments ou de parties,
                  un pays est un ensemble, une
                  galaxie est un ensemble, un atome est
                  un ensemble, etc. On ne met donc aucune limite
                  a priori à cette notion. Je vais donc plus loin que Georg
                  Cantor (1845-1918),
                  le père de la théorie
                  des ensembles, qui concevait la notion d'ensemble
                  d'une manière très générale. Il disait : « Par
                  ensemble, on entend un groupement en un tout d’objets bien
                  distincts de notre intuition ou de notre pensée. » L'axiomatique                a
                  consisté à restreindre cette conception. Mais la théorématique                consiste bien au contraire à la rendre encore plus universelle
                  ! D'où le nom : Théorie universelle des ensembles !
              Une
                    autre démonstration du
                Théorème de l'Existence
              Avec les trois
                  mots clés de la théorie bien posés (chose, existence et ensemble),
                  on peut maintenant démontrer le théorème qui fonde la nouvelle
                  science. On commencer par définir trois ensembles :
              -> C : Ensemble
                    de toutes les choses, appelé Univers ou Chose 
                    ->  E : Ensemble de toutes
                    les existences ou Ensemble
                    de toutes les choses qui existent, appelé Existence
                  -> N : Ensemble de toutes les NON
                    existences                ou Ensemble de toutes
                    les choses qui n'existent pas, appelé Néant.
              Pour des problèmes
                  techniques (affichage correct des symboles mathématiques
                  incertain selon les navigateurs), les opérations élémentaires entre les
                  ensembles, intersection et réunion,
                  seront écrits inter et union.
                  La relation d'appartenance sera écrite element,
                  la NON égalité est notée different, et l'ensemble
                  vide sera
                  noté O. 
              Il est alors évident
                  que : C = E union N,
                  puisque la réunion des choses qui existent (les existences)
                  et des choses qui n'existent pas (les NON
                  existences) constituent l'ensemble de toutes
                  les choses                ou C. Et
                  on a aussi : E inter N =
                  O, ce qui signifie qu'aucune chose ne
                  doit être à la fois une existence et
                  une NON existence, selon la conception actuelle
                  de la négation. Si cela se produit, la
                  conception actuelle appelle cela un "paradoxe".
                  Ceci dit, montrons qu'on doit obligatoirement avoir N
                  = O, ce
                  qui signifie que C = E ou Chose = Existence,
                  et alors le théorème est démontré.
               Examinons les deux
                  cas N
                    = O et N different O. 
              -> Si N
                    = O, alors
                  cela signifie que l'ensemble des NON existences est vide,
                  donc "Aucune chose n'est une NON existence",
                  donc "Toute chose est une existence", et
                  le théorème est démontré.
 
                  
                  -> Si N different O,
                  alors N est NON vide, ce qui
                  signifie que l'ensemble des NON existences possède
                  au moins un élément, appelé a.
                  On a donc a element N,
                  cet élement a EXISTE donc a est
                  tout simplement une EXISTENCE ! Donc a est
                à la fois une existence (un élément
                  de E)
                  et une NON existence (un élement de N),
                  ce qui contredit E inter N
                  = O, donc ce qui est un paradoxe. On est donc obligé de conclure
                  que N different O est
                  faux, donc que N = O est vrai,
                  ce qui démontre le théorème. On a donc C
                  = E ou Chose = Existence,
                ou encore : "Toute chose est une existence".
                CQFD. 
              Ainsi est démontré
                  d'une autre manière le Théorème de l'Existence,
                  qui (comme nous l'avons fait dans l'aricle d'introduction "Syn-Thèse
                  pour l'Université) se démontre simplement
                  et directement avec le quantificateur
                  existentiel ("IL
                  EXISTE") et le quantificateur universel                ("TOUT"),
                  en faisant juste remarquer que la phrase "IL EXISTE
                  des choses qui n'existent pas" est un paradoxe, donc
                  son contraire : "TOUTE chose existe" est
                  un théorème.
              Le
                    théorème dans toute sa généralité
               Plus généralement,
                  peu importe le mot M qu'on
                    se donne, la phrase "IL EXISTE des M qui n'existent
                    pas" est un paradoxe, donc son contraire "TOUT
                    M existe" est un théorème ! Par exemple, la phrase "IL
                    EXISTE des cailloux qui n'existent pas" est un
                    paradoxe, donc "Tout caillou existe".
                    De même, la phrase "IL EXISTE des univers
                    qui n'existent pas" est un paradoxe, donc "Tout
                    univers existe". Peu importe donc le mot M (que
                    ce soit chose ou autre) 
                    ce n'est pas au niveau du mot que le problème se pose, mais
                    avec la notion d'existence, le fait de NIER                une existence,
                    quelle qu'elle soit ! C'est un problème fondamentalement de
                    LOGIQUE, et plus précisément un problème qui
                    se pose avec la négation, comme examinée
                    plus haut ! NIER l'existence cause
                    un paradoxe, sauf si la négation est relative,
                    alternative, cyclique, dynamique.
                    Alors dans ce cas on fonctionne avec une autre logique, infiniment                plus
                    nuancée dans sa négation, qui
                    relativise beaucoup la négation. Avec cette
                    logique, tout est VRAI !
               Les deux phrases "0
                      est différent de 1" et "0
                      = 1", contraires l'une de l'autre, sont maintenant
                      toutes les deux vraies ! Et pour dire les deux, il suffit
                      d'avoir
                      dit la deuxième, qui est donc une vérité plus forte. En effet,
                      il est déjà acquis que 0 est différent de 1,
                      tout comme il est acquis qu'un lapin est
                      différent du soleil, qu'un noir est différent d'un blanc,
                      qu'une femme est différente d'un homme,
                      etc. La différence est de fait, sinon on ne peut pas parler
                      de DEUX choses X et Y !
                      Celui qui  dit donc "0
                      = 1" a déjà dit que 0 est
                      différent de 1 ! Cette écriture égalise
                      deux choses différentes, elle exprime quelque chose EN PLUS
                      de la différence, ce qui qui fait qu'elle est une vérité
                      plus riche, plus forte ! 
              La
                    Théorie de l'Universalité 
              Avec la logique actuelle,
                  la notion de vérité ne peut qu'être très étroite, car
                  elle ne tient pas compte des réalités physiques !
  Par exemple, à un instant donné, je suis assis. Si je me lève, il y a donc de
                  ce fait un changement dans ma personne, au moins un changement
                  de ma forme. Si un aspect de ma personne a changé, c'est donc
                  que j'ai changé, je suis devenu différent, ce qui veut dire que
                  mathématiquement, l'être que je suis maintenant n'est pas l'être
                  que j'étais il y a un instant. Et pourtant je parle toujours
                  de moi. Je change donc, et je reste pourtant la même personne.
                  Etre à la fois différent et égal est
                  le propre même des êtres physiques,
                  des êtres dynamiques !
               Mais la logique
                    actuelle                   qualifie
                    de paradoxes des
                  choses qui ont simplement un comportement dynamique,
                  qui réclament donc une
                    logique dynamique, physique !
                    Dans l'Univers, le contraire de toute vérité est
                    toujours une
                    autre vérité. Ainsi les deux
                    phrases "Il neige" et "Il
                    ne neige pas", bien que contraires, sont vraies
                    toutes les deux. La vérité dépend
                    désormais de l'Espace, du Temps, du contexte. Dans
                    un contexte donné ce sera l'une ou l'autre qui sera
                    vraie. Mais la vérité vue à l'échelle
                    de l'Univers,
                    les deux sont toujours vraies, et il n'y a aucune raison
                    d'éliminer
                    l'une des phrases au détriment de l'autre. La Logique
                    alternative est la logique même pour faire la physique,
                    la science dans tout son ensemble ! C'est la logique pour
                    traiter des êtres dynamiques, et en particulier des êtres
                    vivants. C'est la logique pour parler de TOUT,
                    de la vie,
                    de l'existence, de Dieu !
                    C'est la logique pour faire la Science du Tout,
                    la Théorie
                    de l'Universalité.