Ceux
qui commenttent des crimes parfaits
Affaire
classée...
La
ville est tranquille, la population est accueillante et chaleureuse.
Les gens rient très facilement, on chante et on danse,
tout est occasion de faire la fête. Mais au-delà des
apparences, la ville abrite une terrible organisation criminelle,
d'un genre pire que tout ce qu'on peut imaginer.
On
a l'habitude de dire dans la police criminelle que le crime
parfait n'existe pas, pour signifier que le criminel laisse
toujours des indices, même minimes, qui peuvent conduire à démontrer
sa culpabilité. Le but de toute enquête criminelle
est de donner un visage au crime quand on ne sait pas qui a
pu commettre ce crime, ou d'établir la culpabilité d'un
visage donné, un accusé ou un suspect.
Mais
la mort, la maladie, l'accident, la catastrophe, l'aléa,
le malheur, le hasard, la coïncidence, le concours de
circonstances, etc., sont sans visage (voir l'étude des notions
négatives dans le document Là
où se cache le Diable). Avec
l'organisation occulte qu'il y a dans cette ville, la police
et la gendarmerie sont impuissantes, car les crimes
qu'ils commettent sont sans visage, ils sont tout simplement
parfaits !
Aucune
autopsie d'aucune police scientifique au monde ne peut permettre
d'établir la cause exacte du décès d'une
victime de cette société d'aféla. Ou plutôt,
toutes les autopsies tireront des conclusions du genre :"Mort
naturelle", "simple
maladie", "simple accident", "victime
d'une catastrophe naturelle", "aléas de la
vie", "malheur qui a frappé", "hasard
malheureux", "malheureuse coïncidence", "malheureux
concours de circonstances", etc., etc., etc., et l'affaire
est classée !
Mais
tous ces mots habituels que j'énumère (mort,
maladie, accident, aléa, malheur, accident, coïncidence,
hasard, etc.) sont en fait des mots d'impuissance et de fatalité.
Des mots pour tout mettre sur le compte d'un Mal
sans visage, à défaut
de pouvoir donner un visage à ce Mal. Or ce Mal a bel
et bien un visage : Satan
le Diable !
Je
ne parle pas d'un être abstrait, d'un esprit invisible,
ainsi que l'on conçoit malheureusement en général
les notions de Dieu ou de Diable. Mais en disant Satan le Diable,
je parle simplement d'humains en chair et en os ! Aussi visibles
concrets que moi qui écris présentement ces lignes,
aussi concrets que toi et moi, cher Théophile.
Le
Troisième
Oeil, l'Oeil de Dieu...
Le Sony Cyber-Shot, un
appareil ordinaire,
mais
qui dans les mains de celui fait la Science de Dieu,
devient un redoutable Troisième Oeil, devant lequel le Diable a toutes les peines du
monde pour cacher qui il est et ce qu'il est.
Dans sa colère, le Diable, avec son bâton de Hama, a abattu
ce Troisième Oeil très génant le 12 août 2007.
Mais le Sony Cyber-Shot n'est pas mort en vain.
Il s'est sacrifié en livrant à la science une de ses plus grandes
preuves : il a démasqué Satan le Diable !
Le jour viendra où le monde découvrira pleinement le sens de
toutes les images prises par cet appareil,
il comprendra enfin ce que lui fait VOIR ce Troisième Oeil.
Théophile,
si tu es un touriste dans ce pays dont je te parle, tu passes
probablement de bons moments dans l'hôtel, dans les restaurants
et dans tous les lieux touristiques. Et si tu te rends au fin
fond du pays pour rencontrer la population dans toute son authenticité,
peut-être seras-tu sous son charme. Et il y a de quoi,
car beaucoup sont véritablement et sincèrement
charmants, comme il y en a partout dans le monde. Mais par
contre, comme partout dans le monde, et plus particulièrement
là qu'ailleurs dans le monde, il y a d'autres personnes
qui sont TOUT sauf ce que l'oeil ordinaire voit
!
Tu
as peut-être (sans doute) avec toi un appareil photo
(ou une caméra)
comme par exemple mon Sony
Cyber-Shot. Comme
moi au début, tu prends des photos souvenir pour tes
albums, tu filmes, sans aucune arrière-pensée,
et les gens peuvent même poser volontiers, souriants.
Tu n'as aucune raison de penser que nombre d'entre eux sont
autre chose que ce qui paraît à tes yeux. Ou plutôt,
tu savais que les sorciers existent, bien entendu, tu n'étais
pas naïf à ce point. Comme moi,
tu es peut-être natif du milieu, et tu as quitté le
pays des Blancs pour retourner sur
ta terre natale, pour faire la Science
de Dieu, et par conséquent
aussi pour faire toute la lumière sur le Diable, l'Anti-Dieu.
Tu étais-là pour
découvrir ses profonds secrets, pour élucider
les mystères, les expliquer et les analyser scientifiquement,
d'une manière cartésienne !
Tu
savais donc que le Diable et les sorciers ne te feraient aucun
cadeau. Et d'ailleurs tu as commencé à vivre
des choses incroyables depuis le premier jour où tu
t'es installé dans le milieu pour faire ta nouvelle
science. Mais tu soupçonnais le monde entier sauf ces
gentils et très aimables voisins ! Il ne pouvait pas
y avoir de monstres parmi eux, pensais-tu. Un
adage du milieu dit : "L'étranger a de gros yeux
et ils sont grand ouverts, mais il ne voit rien. En revanche
l'autochtone a de petits yeux, ils sont fermés, mais
il voit tout !" Tu
ne savais pas que tu étais d'une naïveté angélique, tu étais
un ange
au milieu de démons,de gens pleins de kinaou, bref au milieu
des aléwa et des aféla...
Que VOIS-tu, Théophile
?
Rien que de SIMPLES humains, comme toi et moi, n'est-ce pas ?
Si à l'époque
je ne les photographiais pas sincèrement sans
aucune intention de dévoiler quelque chose de mauvais
caché en eux, ils ne se seraient certainement pas laissés
VOIR ainsi par le Sony Cyber-Shot. LA
PREUVE, environ un an plus tard..., quand tout le MAL qu'ils me faisaient dans l'ombre fut découvert et
que leur VRAI visage fut dévoilé.
Théophile,
tu ignores donc une simple chose : c'est que si beaucoup dans
ce lieu sont si chaleureux et aimables avec toi, c'est parce
qu'ils voient très visiblement que tu ne représentes
aucun danger pour eux, tu n'es qu'un touriste aveugle et inoffensif,
un "youloum" comme ils disent, ce qui veut dire "aveugle".
C'est-à-dire encore "celui qui n'a pas le kinaou",
terme qu'on peut traduire grosso modo par "troisième
oeil". C'est avec ce troisième oeil ou kinaou qu'on
voit le monde tel qu'il est vraiment, au-delà de toutes
les apparences.
Mais
tu étais aveugle certes, mais le Dieu dont tu faisais la science
n'est pas aveugle lui. Lui il sait qui ils sont et il savait
ce qu'il te faisait faire au milieu d'eux. Mais toi, il
fallait que tu sois aveugle, pour que tu sois vraiment sincère
avec les gens, pour que tu aies avec eux des relations normales,
pour que tu les prennes en photos comme on prend des amis
en photos, sans aucune arrière-pensée de te servir des photos
contre eux. Si tu prends ainsi en photo des amis qui se révèlent
plus tard ne pas en être, si tu découvres qu'ils te faisaient
en fait les pires choses du monde et tentaient de te tuer mais
que c'est Dieu qui les empêchait, alors ces photos prennent
plus tard tout un autre sens. Quand tu regardes maintenant
les photos très attentivement, tu découvres qu'en fait ton
appareil le Sony Cyber-Shot t'avait tout montré, mais que tu
ne VOYAIS pas ce qu'il te montrait.
En
effet, quand tu regardes maintenant les expressions de leurs
visages sur les photos,
quand tu regardes leurs yeux, tu découvres beaucoup de choses.
Leur regard est sombre, ténébreux, il cache le mal, il cache
une haine pour toi. Ils n'ont pas la conscience vraiment tranquille,
ils
sont sur leur garde et ils se demandent manifestement
si tu
te doutes de quelque chose. Leur kinaou n'est pas assez fort
pour voir dans un lointain avenir, des années plus tard, pour
savoir qu'ils seront montrés au monde pour ce qu'ils sont et
qu'ils cachent au monde. Sinon, ils ne seraient jamais laissés
photographier ainsi, et de leur refus tu te serais immédiatement
douté que quelque chose n'est pas normal chez eux. Ils n'auraient
pas pu être montrés au monde, mais ils se seraient trahis sur
le champs. Or leur intention est de te laisser croire qu'ils
sont vraiment tes amis, donc il ne faut pas que tu te doutes
de rien.
Donc quelque part c'est contre leur gré et pris au piège qu'ils
ont posé devant le Sony Cyber-Shot, devant ce Troisième Oeil.
Un scorpion prisonner
dans un bocal où il n'avait pratiquement aucune chance de se
retrouver.
Très étrange crevaison sur la route de Kara en
allant au Cyber travailler au site internet de la Science de
Dieu,
une crevaison causée par une valve dressée ainsi
sur la route,
à laquelle ont échappé les nombreuses voitures qui passaient
par là, sauf celle conduite par Hubertelie.
Simple
scorpion ? Simple valve ? Simple crevaison ? Simple accident
? Simple HASARD ?
En plus de 3 ans à Pagouda, Hubertlie à vécu une infinité de
choses de ce genre,
qui chacune est ce qu'on appelle un "malheureux hasard" ou
une "mauvaise coïcidence",
qui toutes considérées ensemble sont tout sauf un hasard.
Toutes sont signées Satan
le Diable et Satan
la Diablesse,
toutes sont la signature de leur société de kinaou, de hama,
d'aléwa et d'aféla.
Toi,
Théophile, tu étais donc vraiment sincère, aveugle et d'une
naïveté angélique parmi eux. Mais Dieu lui savait ce qu'il
faisait
et ce qu'il te faisait faire. Lentement mais sûrement, il
te conduisait à la rencontre avec Satan
le Diable et de Satan
la
Diablesse.
De
grandes surprises t'attendaient, tu
allais découvrir que le fameux Satan était
tout sauf ce qu'on pensait. Même si tu savais que Dieu s'était
révélé en un simple humain comme Jésus de Nazareth, tu
n'imaginais pas que Satan lui aussi pouvait être un simple
humain ! Le jour donc tu découvre cette chose étonnante,
tu comprends alors pourquoi, comme Dieu, Satan était si invisible.
La
raison
est toute
simple
: si une chose est très invisible, c'est certainement parce
qu'elle est trop visible ! La manière la plus simple pour
une chose extraordinaire de se cacher et de passer inaperçue,
c'est tout simplement d'avoir l'apparence la plus ordinaire
et la plus normale qui soit !
Comme
Dieu,
Satan
était tout ce qu'il y avait de plus VISIBLE ! Mais il fallait
un Troisième Oeil, un CERVEAU bien éduqué, pour le reconnaître.
Le jour
où tu commences à voir des humains-diables (les
aféla), les démons en chair
et en os, ce jour-là aussi tu commences à voir les humains-dieux,
les anges en chair et en os. Le jour où
tu sais vraiment ce qu'être un démon,
ce jour-là aussi tu sais
ce qu'être un ange.