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La question de Dieu et du Diable aujourd'huiLa
question Dieu et de son EXISTENCE
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La
Science Nouvelle apporte une nouvelle lumière sur la question
de Dieu Le
Paradoxe de non-croyance... ou de la croyance Documents
associés : La Science Nouvelle apporte une nouvelle lumière sur la question de Dieu1 23 456 La Science Nouvelle permet aujourd'hui de découvrir le lien très étroit entre ces trois questions : 1) la manière de concevoir l'Univers, de définir très exactement ce qu'on appelle l'Univers; la nouvelle science résout le Paradoxe universel et fait connaître les lois inconnues de l'Univers 2) la notion d'existence, ce qu'il faut exactement entendre par le verbe EXISTER; la nouvelle science résout le Paradoxe existentiel et fait comprendre le Théorème de l'Existence qui dit : "Toute chose existe" 3) la question de Dieu et aussi du Diable; elle établit ce qu'il faut appeler le Théorème de Dieu... La Science Nouvelle montre que la bonne façon de faire la science et de raisonner en général, c'est de le faire seulement avec la notion de CONTRAIRE, que cette science définit avec une très grande précision (voir la Loi des Contraires), sur la base de l'Univers TOTAL. Mais la Négation (qui concerne entre autres la négation de l'existence de DIEU) est une toute autre affaire, et toute la lumière est faite par la Science Nouvelle sur cette affaire... L'ignorance est pardonnable, mais pas la mauvaise foi... La nouvelle science résout le mystère de la négation de Dieu, et plus généralement elle fait toute la lumière sur le Problème de la Négation, elle montre que celle-ci est la racine même de tous les problèmes scientifiques, de tous les paradoxes, bref de tous les problèmes du monde. De sorte que très franchement on peut aujourd'hui dire : "L'ignorance est pardonnable, mais pas la mauvaise foi..." Ceux qui refusent toutes ces preuves, et pire !, qui les combattent ou les étouffent, ne font que démontrer eux-même une simple chose : ils sont l'incarnation même de la Négation, la meilleure des démonstrations de l'existence du Diable... "Car la colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et injustice des hommes qui étouffent la vérité injustement, parce que ce que l'on peut connaître de Dieu est manifeste chez eux, car Dieu le leur a manifesté. Car ses qualités invisibles se voient clairement depuis la création du monde, parce qu'elles sont perçues par les choses faites, oui sa puissance éternelle et sa Divinité, de sorte qu'ils sont inexcusables." (Romains 1 : 18-20) |
Le Paradoxe de la non-croyance... ou de la croyance Les croyants qui nient Dieu...et les athées qui croient en Dieu Que le croyant ne pense pas être au-dessus de tout reproche en matière de croyance en Dieu. Car il ne suffit pas de dire croire en Dieu pour ne pas être une personne qui NIE Dieu ! En effet, ce ne sont pas les athées qui ont crucifié Jésus de Nazareth à Golgotha, mais principalement les croyants, qui ne croyaient pas qu'un simple humain puisse aussi être Dieu ! Hier, des croyants (pratiquants du judaïsme) se heurtaient à un humain qui disait des choses du genre "Moi et le Père nous sommes un" (Jean 10 : 30-39) ou "Qui m'a vu a vu aussi le Père" (Jean 14 : 9). Ceci est tout simplement une incroyance, et de ce point de vue ce genre de croyants n'ont absolument rien à reprocher aux athées, comme de grands spécimens en la matière qu'on trouve ici... Aujourd'hui, des millions et des millions des gens, nommés "chrétiens", disent croire en Jésus. A les entendre, ils auraient cru en Jésus, le fils du charpentier de Nazareth, s'ils avaient vécu à son époque, s'ils s'étaient trouvés face à lui. Mais erreur ! La très écrasante majorité d'entre eux disent croire en Jésus tout simplement parce qu'il est devenu célèbre, un personnage historique, un phénomène religieux. Un adage très bien connu dit : "Nul n'est prophète dans son pays", et on peut ajouter : "Nul n'est prophète en son temps" ! Tous les prophètes sans exception ont été victimes de cela en ce monde. C'est très souvent plus facile de croire en un prophète que l'on n'a pas personnellement connu, que de croire en un prophète que l'on connaît, ou qui est contemporain. Comme on ne l'a pas connu physiquement connu ou comme il n'est pas du même temps que soi, on se fait toutes sortes d'illusions ou de fantasmes à son sujet, et on se fourvoie en disant que l'on aurait cru en lui si on l'avait connu ou si on avait vécu à son époque, ou que l'on serait différent de ceux qui l'ont rejeté à son époque. C'est la très grande erreur que commettent des millions et des millions de "chrétiens" aujourd'hui, pour ne parler que de cette catégorie de croyants. C'est le même phénomène avec les juifs, devenus avec le temps de très fervents adeptes de Moïse, qu'ils invoquaient pour rejeter Jésus. A un aveugle de naissance à qui Jésus a rendu la vue, ils disaient : "Toi, tu es un disciple de cet homme, mais nous, nous sommes des disciples de Moïse. Nous savons que Dieu a parlé à Moïse; mais en ce qui concerne cet homme, nous ne savons pas d'où il vient" (Jean 9 : 28, 29). Mais ceux qui disaient cela à propos de Jésus, sont ceux qui justement sont les descendants de ceux qui en leur temps ont rejeté Moïse ou se sont opposés à lui, pour des raisons semblables : Moïse incarnait une rupture avec une conception de Dieu qu'ils avaient à son époque. Ils étaient attachés à l'époque au Dieu de leurs ancêtres Abraham, Isaac et Jacob, dont ils se faisaient une certaine idée. Et tout à coup, Moïse devait se présenter à eux pour dire incarner ce Dieu, être son nouveau représentant. C'était à cette époque toutes les causes de l'angoisse de Moïse, qui avait du mal à accepter la mission que Dieu lui confiait au Sinaï, dans l'épisode très connu du buisson ardent (voir Exode 3 : 1 - 15, et particulièrement les versets 13 à 15). Les livres de l'Exode au Deutéronome exposent les tribulations de Moïse face aux prédécesseurs de ceux qui des siècles plus tard diront être ses fervents disciples, mais qui rejettaient exactement de la même façon Jésus, celui qui incarnait la continuité de ce que Moïse avait commencé, à savoir la révélation progressive de Dieu dans ce monde sans Dieu (ou avec le Diable...) ! Et beaucoup de "chrétiens" aujourd'hui disent exactement la même chose que les juifs d'hier : "Nous savons que Dieu a parlé à Jésus; mais en ce qui concerne cet homme, nous ne savons pas d'où il vient". C'est toujours la même histoire en ce monde depuis la nuit des temps : on croit en le prophète que l'on ne voit pas, mais pas en celui que l'on peut voir. Mais bonne nouvelle, hier comme aujourd'hui il y a les VRAIS croyants, qui ne sont pas forcément ceux qui se disent comme tels ou que l'on nomme comme tels. Et les incroyants (ou non-croyants) ne sont pas forcément non plus ceux qui se disent comme tels ou que l'on nomme comme tels. Comme en toute chose il faut savoir distinguer le vrai du faux, le blé de l'ivraie. L'idéal est d'être un bon croyant, un vrai, et non pas un bon incroyant, un vrai, un athée pur et dur ! Mais à défaut d'être un bon croyant (une espèce extrêmement rare !), il vaut mieux être un mauvais incroyant (un croyant qui s'ignore, qui ne croit pas en Dieu tout simplement parce qu'il ne sait pas ce qu'est Dieu), plutôt que d'être un mauvais croyant, un incroyant qui s'ignore, qui croit en Dieu simplement parce qu'il ne sait pas ce qu'est Dieu. Le jour où il le sait, le jour où un visage de Dieu se présente à lui, il le crucifie à Golgotha ! L'arnaque de la non-croyance... La négation est centrale dans une phrase comme "Dieu n'existe pas", mais aussi pour dire une phrase comme "Je ne crois pas en Dieu" ou "Je ne crois ni en Dieu ni au Diable" ou "Je ne crois en rien", comme on l'entend si souvent en France, le pays du "Parlons de tout sauf de Dieu"... Cette mentalité très française a-t-elle un lien avec la manière dont la négation est mise en oeuvre en langue française ? En tout cas, la manière dont on conçoit ou perçoit l'Univers (et la Réalité) détermine la manière de NIER les choses, en particulier de nier Dieu. Et réciproquement, la manière dont la négation est mise en oeuvre dans une langue ou dans un langage détermine grandement comment l'on conçoit ou perçoit l'Univers, la Réalité (voir La Négation dans les langues et Le Verba et la Loi des Contraires). La Science Nouvelle (et la logique alternative qui est la sienne, la logique de l'Univers TOTAL) fait toute la lumière sur la négation. Elle met entre fin à un genre d'arnaques très courant, qu'il faut nommer l'arnaque de la non-croyance. La forme la plus basique de cette arnaque consiste à penser que l'athéisme ou la non-croyance n'est pas en soi une forme de religiosité ou de croyance. Si l'on doit graduer la croyance (ou la religiosité) de 0 à 1 (c'est-à-dire de 0% à 100%), il faudrait mettre le l'athéisme ou la non-croyance à la valeur 0 (ou 0%), et la religion (ou croyance) à la valeur 1 (ou 100 %). Cet axiome joue un grand rôle dans la manière dont la laïcité est conçue et pratiquée en France par exemple. Faire un signe de croix ou porter un voile est un signe religieux ou un signe de croyance, et ne pas ne faire aucune signe croix, ne porter aucun viole, ne pas aller dans une église, etc., ce n'est pas un signe religieux, ce n'est le signe d'aucune forme de croyance. Cette façon d'être serait une sorte de position neutre ou nulle en matière de croyance, une référence à partir de laquelle définir ce qu'est la croyance. La fameuse laïcité consisterait à demander à tout le monde d'adopter dans le cadre des institutions publiques (l'école par exemple) cette espèce de "position neutre", à afficher cette "religiosité 0", et à ne réserver toute manifestation de religiosité non neutre ou non nulle qu'à la sphère privée. Mais ceci est une arnaque intellectuelle, complètement anti-scientifique, car nous sommes tout simplement en présence de croyance ou de la croyance contraire ou inverse ! Celui qui ne croit pas que Dieu existe CROIT que Dieu n'existe pas. Il est éventuellement entre ces deux extrêmes, à 0.5, entre le niveau 0 et le 1 (ou à 50%), mais sa position n'est pas neutre. Ne pas faire un signe de croix n'est pas plus neutre que faire un signe de croix, et ne pas porter un voile n'est pas plus neutre qu'en porter. Faire cela un jour sur deux, un mois sur deux, etc., est ce qu'il faudrait éventuellement appeler une position neutre ou moyenne. Une autre arnaque courante est celle d'une phrase du genre : "Je ne crois ni en Dieu ni au Diable" ou "Je ne crois en rien". Mais Dieu et Diable sont deux notions CONTRAIRES, comme la Vie et la Mort, la Vérité et le Mensonge, etc. Que je sache, ce sont des êtres comme des humains qui peuvent dire la vérité ou mentir, être vivant ou être mort, être du côté de Dieu ou être du côté du Diable. Si deux choses A et B sont contraires et si l'on est concerné problématique posée par ces choses, la seule façon de n'être ni d'un côté ni de l'autre, c'est d'être quelque part entre les deux, éventuellement dans un état 0.5 (ou 50%). Un caillou peut éventuellement dire : "Je ne crois ni en Dieu ni au Diable", parce qu'il n'est pas concerné par ce problème qui concerne les humains. Mais si un humain dit cela, cela signifie obligatoirement qu'il se situe quelque part entre Dieu et Diable. Sinon, dans le meilleur des cas, cette phrase est juste une erreur de raisonnement, et dans le pire c'est justement le genre de phrases que disent ceux qui incarnent le Diable, ceux qu'il faut appeler individuellement ou collectivement le Diable, le contraire de Dieu, l'Anti-Dieu. Un des aspects les plus puissants de la Science Nouvelle est le Verba, qui est le langage universel des ensembles, le langage de cette science, la langue même de l'Univers. Le verbe de cette langue est le verbe ETRE, le verbe de l'Univers TOTAL, la CHOSE qui EST, bref l'ETRE (voir aussi Le Problème de l'Egalité ou Problème de l'Ontologie). L'Ennemie même de l'ETRE, de l'Existence, de l'Univers, c'est la Négation, et il est très instructif d'étudier comment les différentes langues (à commencer par les langues stars de la civilisation occidentale comme le français et l'anglais) mettent en oeuvre la notion de Négation. Le
Verba révèle
que les phrases suivantes sont logiquement équivalentes : Avec les lumières du Verba, on ne peut plus nier l'existence de Dieu sans révéler ainsi qu'on est un visage de l'Anti-Dieu, à savoir le Diable. Pour plus d'explications sur la question, voir Le Verba et la Loi des Contraires. |
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