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Toute chose est une existence

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
Accueil > Science Nouvelle > La question de l'EXISTENCE

La question de l'EXISTENCE
ou La définition scientifique EXACTE de la notion d'EXISTENCE

Cela ne sert absolument à rien de se demander si oui ou non Dieu existe,
si le mot "DIEU" n'a aucune définition scientifique EXACTE et INCONTESTABLE,
aussi incontestable que l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses !

Et cela ne sert à rien non plus de "philosopher" 107 ans, 1070 ans, ou 10700 ans,
pour savoir si "Ceci existe ou pas", ou pour savoir Ce qui existe et ce qui n'existerait pas",
si là non plus le mot "EXISTER" n'a aucune définition scientifique EXACTE et INCONTESTABLE,
aussi incontestable que de dire : "EXITER, c'est être un élément de l'Univers TOTAL",
ou : "EXITER, c'est être un élément de l'Ensemble de toutes les choses" !

C'est avec l'Univers TOTAL
(c'est-à-dire avec le mot universel CHOSE utilisé avec le Quantificateur universel, le mot TOUT)
que TOUT doit être défini, Dieu comme Diable, Existence comme Néant, Plein comme Vide, Vie comme mort !
Et là, on ne spécule pas, on ne parle pas dans le VIDE,
mais on fait simplement une SCIENCE EXACTE, la Science de toutes les choses,
la Science de l'Existence, la Science Nouvelle...

Ce qu'il faut exactement entendre par le verbe EXISTER !
--> SIMPLE comme "TOUT" !
--> L'Univers qui est le " TOUT Sauf..."
--> Et l'Univers qui est simplement le "TOUT"
--> "L'Univers est le TOUT; et EXISTER c'est être un élément du TOUT"

Le temps des Questions...
--> Dieu et la question de l'EXISTENCE
--> La Possibilité et la question de l'EXISTENCE
--> La Vérité et la question de l'EXISTENCE
--> La Réalité et la question de l'EXISTENCE

Et le temps des Réponses
--> La fin de l'Abstraction
--> Les réponses qu'aporte un simple arbre

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Qu'est-ce que la Science de l'Existence ?
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Ce qu'il faut exactement entendre par le verbe EXISTER !

SIMPLE comme "TOUT" !

Univers
"L'Univers est le TOUT; et EXISTER c'est être un élément du TOUT"

Toutes les questions se posent dans l'Univers, c'est dans l'Univers que tout se passe. Le philosophe comme le scientifique, le religieux comme le matématicien, etc., eux-mêmes ainsi que leur pensée, et aussi les objets de leur pensée (que ce soit Dieu ou l'énergie, la notion existence ou celle des nombres), sont des objets de l'UNIVERS, des CHOSES de l'UNIVERS !

L'idée que l'Univers est le TOUT au sens le plus TOTAL et ABSOLU du terme devrait être une évidence, la vérité numéro un, et même la vérité numéro zéro (avant le un donc) ! C'est autour de cette vérité numéro zéro que la définition de tous les mots que toute la science, toute la philosophie et toute la connaissance devrait s'articuler, . Et pourtant cela n'a pas été aussi évident que cela dû l'être, et la pensée s'est égarée et a tourné en rond, faute d'avoir été fondée sur la base universelle (c'est le cas de le dire...) qu'est l'Univers, ou plus exactement faute d'avoir CORRECTEMENT défini son objet numéro un, numéro zéro même !

En effet, l'objet numéro zéro est l'Univers, et l'objet numéro un est l'Existence qui se définit automatiquement dès que est lui-même correctement défini. L'affaire est aussi SIMPLE que de dire : "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses; et EXISTER c'est être élément de l'ensemble de toutes les choses." Ou plus simplement : "L'Univers est le TOUT; et EXISTER c'est être un élement du TOUT."

Et alors science démarre bien, ainsi que la philosophie, la métaphysique, la théologie, etc. Mais cela n'a pas été le cas. Voyons pourquoi, examinons la conception actuelle de l'Univers et ses conséquences, découvrons toute l'importance de concevoir l'Univers et l'Existence aussi simplement que de dire : "L'Univers est le TOUT; et EXISTER c'est être un élement du TOUT."

L'Univers qui est le "TOUT Sauf..."

Toutes les vérités (philosophiques et scientifiques) dépendent de la conception de l'Univers, et toutes les erreurs (philosophiques et scientifiques) aussi ! Il n'y a que deux conceptions fondamentales possibles de l'Univers, l'une et son contraire, l'une très mauvaise et l'autre très bonne. La première consiste à dire que "L'Univers est TOUT Sauf ...", et la seconde dit simplement : "L'Univers est TOUT".

On peut le lire dans l'encyclopédie en ligne Wikipedia à l'article "Univers (w)" : "L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe et les lois qui le régissent."

Quand au dictionnaire Larousse, il propose pour Univers : "Le monde entier, l'ensemble de ce qui existe".

Pour le dictionnaire Succès, l'Univers est : "L'ensemble de tout ce qui existe dans l'espace et dans le temps".

Et, comme à son habitude, le dictionnaire Robert, plus "prolixe", propose pour Univers : "L'ensemble de tout ce qui existe, considéré selon les philosophies comme la totalité des choses créées (création), la totalité des êtres, l'ensemble des choses perçues, comprenant ou non la conscience humaine."

Cette dernière définition détaillée de l'Univers a le très grand mérite de poser tout le problème de la conception actuelle de l'Univers, par exemple dans cet élément de la définition : "comprenant ou non la conscience humaine". Ainsi donc, pour certains, il ne faudrait pas inclure la conscience humaine dans l'Univers, elle serait en dehors de ce qu'il faut appeler l'Univers. L'Univers serait donc le "TOUT Sauf...", un exemple de "Sauf" étant la conscience humaine. Non seulement donc définir l'Univers comme étant "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses qui existent" est très problématique (comme cela sera démontré dans toute la suite), mais c'est encore plus problématique si en plus on exclut de l'Univers des choses comme la conscience humaine !

Serait-ce parce que la conscience humaine n'existerait pas ? A moins de sous-entendre par là que ce qu'on est appelle l'Univers n'est qu'une partie de la Réalité TOTALE, et que la conscience humaine est au-delà de la sous-Réalité qu'est l'Univers mais fait bel et bien partie de Réalité TOTALE, on doit reconnaître que cette conception de l'Univers sans la chose qu'est conscience humaine est plutôt absurde. Mais si l'on songe à une Réalité TOTALE, alors c'est elle qu'il faut appeler l'Univers, ou alors en parler comme de l'Univers TOTAL, le grand TOUT, à distinguer de tout Univers particulier.

Le dénominateur commun à toutes ces définition est : "L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe" ou "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses qui existent", donc y compris la conscience humaine si on conçoit qu'il s'agit d'une chose qui existe. Mais même en incluant la conscience humaine dans "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses qui existent", cela ne résout pas le problème de l'Univers conçu comme étant le "TOUT Sauf...". Cela semble en effet très naturel ou normal de définir l'Univers comme étant "L'ensemble de toutes les choses qui existent", mais la précision "qui existent" est là encore une ERREUR FATALE, car cela s'inscrit toujours dans le philosophie du "TOUT Sauf...", problème déjà soulevé avec la question de la conscience humaine.

--> En effet, le "qui existent" suppose d'abord que l'on sait ce que le verbe EXISTER veut dire, que tout le monde en a la même conception. Ainsi, si l'un dit "Dieu existe" et l'autre soutienne le contraire : "Dieu n'existe pas", les deux ont forcément donnent le même sens (la même définition au mot Dieu) ou le même sens à tous les mots qui éventuellement composeraient une définition de Dieu, par exemple "Etre suprême" ou "Créateur de toutes choses". Et aussi et surrtout, les deux ont la même conception du mot "EXISTER". Mais s'ils ne sont pas d'accord, c'est simplement parce qu'en réalité ils n'ont pas du tout la même conception d'au moins l'un des mots de l'énoncé : "Dieu existe", ou au moins de l'un des mots de toute définition actuelle de Dieu, comme "Etre suprême" ou "Créateur de toutes choses".

Et aussi, il suffit par exemple de chercher la définition du verbe EXISTER dans les dictionnaires, puis de chercher la définition des mots clefs qui composent la définition du verbe EXISTER, pour être sûr de comprendre ce mot, donc de comprendre ce qu'est l'Univers défini comme étant "L'ensemble de toutes les choses qui existent". Et le constat sera très simple et édifiant : on tourne en rond dans la définition du mot EXISTER !

Quand en effet on cherche la définition des mots qui le définissent, on tombe tôt ou tard sur le verbe EXISTER lui-même, ou sur d'autres mots qui lui sont tout simplement synonymes, qui ne sont que des manières déguisées de dire "EXISTER". Et il n'est pas impossible de rencontrer une définition du genre : "EXISTER, c'est être une chose de l'Univers, de la Réalité". Et comme l'Univers c'est "L'ensemble de toutes les choses qui existent", donc finalement "EXISTER, c'est être une chose de l'ensemble de toutes les choses qui existent". Dans le meilleur des cas donc, on tourne en rond dans la conception de l'Existence et de l'Univers, et dans le pire, on NIE tout simplement l'Univers, ce qui est grave !

--> Et ensuite, définir l'Univers comme étant "L'ensemble de toutes les choses qui existent", suppose une hypothèse implicite ou explicite, qui est le fond même du problème, le coeur de l'actuelle très mauvaise conception de l'Univers : cela suppose que "Certaines choses n'existent pas" ! Par Univers donc, il faut entendre "L'ensemble de toutes les choses qui existent", ensemble duquel il faut exclure les choses qui n'existent pas. C'est donc l'Univers qui est "TOUT Sauf..."

Du fait que la notion d'EXISTENCE relève simplement de l'intuition mais n'a aucune définition absolue et universelle, à partir de mots eux-même absolus et universels, cela condamne à ne qualifier d'existante que les choses que nous percevons, ou qui font partie de NOTRE monde, de NOTRE univers, de NOTRE réalité. Le très grand danger est de qualifier de non-existences les choses qui ne nous sont pas directement ou indirectement accessibles, ou tout simplement qui heurtent notre logique courante !

Et l'Univers qui est simplement le "TOUT"

La simple et bonne définition de l'Univers est de dire que "L'Univers est l'Ensemble de toutes les choses" ou simplement l'Ensemble, le TOUT ! Tout ce que l'on peut ajouter à cette définition simple et qui s'incrit dans l'esprit du "TOUT Sauf...", vient de la Négation, du Négationnisme; ça vient du Diable, ça brouille les choses, ça enténèbre les esprits !

On peut penser que la différence avec la concetion courante examinée plus haut est un simple détail. Mais ERREUR ! Entre le "TOUT Sauf..." et le "TOUT", il y a tout un Monde, tout un Univers, tout l'Univers ! La science, la philosophie, la manière de voir les choses, changent du tout au tout quand on ont dit simplement que l'Univers est le TOUT, sans lui enlever la moindre petite chose, et sans lui ajouter non plus la moindre petite chose, car quand on a dit "TOUT", il n'y a plus rien à ajouter !

La chose est très simple à comprendre : moins il y a de mots de nature fondamentale pour définir une chose elle-même fondamentale, mieux c'est ! Les mots fondamentaux (ou premiers) sont justement : Chose, Etre, Existence, Univers, Tout, Ensemble, etc., sans parler de DIEU ! Une psyché qui fonctionne normalement, qui n'est pas embrouiillée par la Négation, conçoit tout simplement ces mots premiers comme étant parfaitement synonymes ! Il suffit d'un d'entre eux pour définir par simple synonymie les autres notions fondamentales, et pour définir de proche en proche les autres notions, des plus fondamentales aux moins fondamentales. Et moins une notion est fondamentale, plus elle aura besoin de mots (fondamentaux ou préalablement définis) pour être définie. Et cette démarche s'appelle une démarche scientifique, logique ou analytique (w). Sinon, ce n'est que pure spéculation et l'art même de tourner en rond !

Le rôle du mot CHOSE est d'être le plus général qui soit, le mot clef le plus fondamental, le mot par défaut, le mot que l'on emploie en l'absence de tout autre mot, le mot qui sert de base et de mot d'appui pour commencer à définir ou à préciser la CHOSE dont on parle, pour dire si elle existe ou pas, si elle fait ou non partie de l'Univers, bref pour tenir toute autre propos, quel qu'il soit, sur la CHOSE en question.

Le mot chose se définit lui-même, car toute tentative de le définir fait directement ou indirectement appel à lui-même. Par exemple, on peut tenter de dire : "Une chose est tout ce dont on parle". Cela a l'air d'être une définition, mais en fait on n'a fait que dire : "Une chose est une chose". En effet, qu'est-ce qui se sache derrière le petit mot français "CE" pour "tout CE dont on parle", sinon le mot chose lui-même ? On a donc fait que dire : "Une chose est toute CHOSE dont on parle".

Quand donc on dit : "L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe", cette définition masque le mot CHOSE derrière "CE". Cette définition dit donc explicitement : "L'Univers est l'ensemble de toutes les CHOSES qui existent", montrant par là que le mot clef le plus fondamental sur lequel elle repose est le mot CHOSE. Cela permet de comprendre qu'on avait en fait deux options de définition de l'Univers : "L'Univers est l'ensemble de toutes les CHOSES" d'une part, et : "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses qui EXISTENT" d'autre part. L'une définit l'Univers comme étant simplement le le "TOUT", et l'autre comme étant le "TOUT Sauf...". Sans cette approche analytique (w), on ne s'en serait pas rendu compte.

"L'Univers est le TOUT; et EXISTER c'est être une chose du TOUT"

Une science (ou une philosophie) "honnête" se doit d'être transparente, de rendre EXPLICITES les mots clefs sur lesquels elle repose, pour ne pas tomber dans l'illusion qui consiste à croire ou à faire croire que l'on dit quelque chose d'extraordinaire ou de nouveau, alors qu'on ne fait que tourner en rond, ou dire de manière cachée des choses, qui peuvent même contredire ce que l'on dit explicitement. C'est cela un dès garnds pièges des mots. Le discours philosophique habituel est rempli de pièges de ce genre, où l'on donne l'impression de dire quelque chose de "savant" et surtout de nouveau, alors que dans le meilleur des cas on ne fait que tourner en rond avec une ou plusieurs notions fondamentales, déguisées sous d'autres mots. Dans le pire des cas on souffle le chaud et le froid, comme le Diable...

Il faut donc reconnaître cette caractéristique des notions fondamentales (celle de se définir elles-même), et ne plus tomber dans l'hypocrisie qu'est la pseudo-définition, qui consiste à faire appel discrètement au mot lui-même dans sa prpore définition sous la forme d'un simple synonyme. Il faut simplement partir de l'une des notions pour construire les notions moins fondamentales, en commençant par les autres notions fondamentales qui sont alors définies EXPLICITEMENT (et non plus hypocritement selon un art de tourner en rond) par synonymie.

Par exemple, il faut 0 mot pour définir le mot "chose", il se définit lui-même, "une chose est une chose", point final. Et il faut 1 mot pour définir la notion d'existence, le mot "chose". On dira donc : "Une existence est une chose", ou "exister, c'est être une chose", ou cette simple égalité : existence = chose. Il s'agit là d'une vraie définition de la notion d'existence, parce qu'elle s'appuie sur un mot premier explicitement posé avant lui, ce qui permet de le définir comme synonyme de ce mot. Si par exemple on définit un nombre A en posant A = 7. On a toujours le droit de définir un autre nombre B en posant B = A, ou aussi B = 7 ! C'est une définition valide. C'est le cas du mot existence, quand on dit : existence = chose, le mot chose étant préalablement et explicitement posé.

Il faut donc juste un mot pour définir la notion d'existence, car elle est très fondamentale. Mais il faut beaucoup de mots pour définir par exemple la notion de caillou, de pomme ou de chat, car ce ne sont pas des notions fondamentales. On dira par exemple : "Un chat est une chose qui...", et on va énumérer toutes les caractéristiques de la chose appelée un chat, et il y aura pléthore ! Par exemple, on pourra dire : "Un chat est une chose qui est un animal, qui a quatre pattes, qui miaule...", etc., en supposant préalablement définies de la même manière les notions comme "animal", "quatre", "patte", "miauler", etc.

Un autre grand piège à éviter : il ne faut surtout pas partir de plusieurs mots fondamentaux pour définir d'autres (à plus forte raison si elles sont elles aussi fondamentales), et en sous-entendant que ces mots fondamentaux n'ont pas le même sens. C'est ce qui se passe dans une définition comme : "L'ensemble de toutes les choses qui existent". Cette définition utilise deux mots fondamentaux, chose et existence, que l'on différencie, alors que l'on parle de la même chose.

C'est le piège du "Porc et Cochon"; cela permet de dire par exemple : "Je ne mange jamais du cochon, mais par contre je raffole du porc" ! Un exemple très parlant dans l'actuelle théorie des ensembles consiste à dire : "Il n'existe pas d'ensemble de tous les ensembles, mais il existe la collection de tous les ensembles" (voir la vidéo Toute la lumière sur les Paradoxes).

Le piège du "Porc et Cochon" se cache très subtilement dans la définion : "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses qui existent", comme si certaines choses n'existeraient pas et donc ne feraient pas partie de l'Univers, du TOUT ! Mais si c'est vraiment de l'Univers que l'on parle, alors on parle du TOUT. Et si l'on parle vraiment du TOUT, alors dans ce TOUT, toute chose existe, et aussi le contraire de toute chose. "L'Univers est l'ensemble de toutes les choses; et EXISTER c'est être élément de l'ensemble de toutes les choses."

Le temps des Questions...

Dieu et la question de l'existence

On n'en avait peut-être pas conscience, mais toute question que l'on peut se poser, que ce soit en science, en philosophie, en religion ou autre, se ramène d'une manière ou d'une autre, directement ou indirectement, à une question qui implique la notion d'existence.

Par exemple, quand on se demande : "Dieu existe-t-il ?", l'attention est généralement portée sur le mot Dieu, mais en oubliant qu'on pose avant tout une question d'existence. Une étude bien menée de la seule question d'existence permet non seulement de clarifier le sens du mot Dieu, de définir ce mot sur des bases scientifiques extrêmement précises et rigoureuses, mais aussi de répondre à la question de savoir si Dieu existe. Autrement dit, l'étude réussie de la question très générale d'existence dépasse de loin le seul enjeu et le seul souci de prouver l'existence de Dieu. Celle-ci ne devient qu'une simple conséquence et un simple corollaire de nouvelles connaissances d'intérêt plus large et de portée universelle. Démontrer que Dieu existe n'aurait aucun intérêt si cela ne change rien concrètement, si cela ne change pas profondément notre compréhension du passé, du présent, du futur, de l'Univers, etc., si cela ne s'accompagne pas de connaissances qui ouvrent de nouvelles perspectives, de nouvelles possibilités, etc.

Par exemple, avoir découvert le 0 c'est bien, mais le plus important est ce qu'on a fait avec le 0 depuis, et ce qu'on fera encore avec le 0 ! Les "miracles" de l'ère du numérique et des nouvelles technologies n'auraient pas été possibles si le 0 était encore à découvrir. Et pourtant on sait encore très peu sur le 0 et de son autre face, l'infini. C'est maintenant que leurs plus grands secrets arrivent, à côtés desquels tout le progrès scientifique et technologiques accompli jusqu'ici n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan. C'est l'étude de la question générale d'existence qui permet aujourd'hui de comprendre que les plus grands problèmes scientifiques et technologiques, tous les problèmes du monde en général, c'est tout simplement aussi le problème de Dieu...

La Possibilité et la question de l'existence

Si on se demande : "Peut-on diviser par 0 ?" ou "Est-il possible de diviser par 0 ?", on n'emploie pas directement le mot existence, et pourtant c'est encore une fois cette notion qui est impliquée. En effet, la même question peut se formuler ainsi : "Existe-t-il un nombre réel x qui soit qui soit le résultat de la division de 1 par 0 ?". Ou encore : "Existe-t-il un nombre réel x qui soit qui soit une solution de l'équation x = x + 1 ?".

Et plus généralement, chaque fois qu'on se demande si quelque chose est possible ou non, on pose simplement la question de l'existence d'une certaine chose. Par exemple, il y a 2400 ans, Aristote a formulé ainsi ce qu'on appelle le principe de non-contradiction* : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose » (Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20). Donc une chose A qui possède à la fois un attribut B et ne possède pas le même attribut B, ne peut pas exister. Le problème d'impossibilité se transforme donc en un problème d'existence de la chose A. C'est ainsi par exemple aussi que la dite impossibilité de diviser par 0 se transforme en un problème d'existence de l'inverse de 0 (le nombre qui est le résultat de la division de 1 par 0). Derrière cet inverse se cachent simplement le vrai problème de l'infini, mais aussi du 0, ainsi que leurs plus grands secrets. Affaire à suivre...

La Vérité et la question de l'existence

De même, la notion fondamentale de vérité n'est qu'une autre façon de parler de la notion d'existence. On peut définir la notion de vrai simplement ainsi : "Est vrai ce qui existe". Et par conséquent la notion de faux ainsi : "Est faux ce qui n'existe pas". Et plus précisément, se demander si une chose est vraie ou non, revient toujours à se demander si une certaine chose existe ou non.

Par exemple, demander : "Est-ce vrai qu'il a plu hier à Paris ?" revient à se demander : "L'événement 'Paris sous la pluie hier' a-t-il existé ?" Ainsi donc, la question de la véracité de cette phrase se transforme en la question de l'existence de cet événement, ou encore en la question de sa réalité.

La Réalité et la question de l'existence

Et à propos de réalité maintenant, chaque fois qu'on se demande si une chose est est réelle (ou est une réalité) ou non, on pose une question d'existence. Car quand on cherche dans un dictionnaire la signification du mot existence, on a des réponses du genre : "Ce qui existe, c'est ce qui est réel, effectif". Et quand on cherche la définition des mots "réel", "effectif", etc., on a des réponses du genre : "Ce qui est réel c'est ce qui existe". Et on tourne donc en rond, parce qu'on ne fait qu'employer la même notion d'existence sous une forme ou sous une autre.

Bref, on peut continuer ainsi avec une infinité de notions et démontrer que toutes reviennent à poser une problème d'existence, à affirmer l'existence d'une certaine chose, ou au contraire à nier cette existence. Et régler cette question une bonne fois pour toutes, c'est aussi avoir (potentiellement) répondu à toutes les même d'un seul coup.

Et le temps des Réponses

La fin de l'Abstraction

Pour répondre scientifiquement à toutes les questions relatives à l'existence, il faut se palcer dans un cadre fondamental unique, où l'on peut traiter de toutes les questions dans toute leur généralité et globalité, au lieu de les isoler et de les traiter au cas par cas, celle-ci en métaphysique (ou en philosophie), celle-là en théologie, telle autre en mathématique, telle autre en physique, ou encore telle autre en biologie, etc. Et quel doit être ce cadre général sinon tout simplement...l'Univers !

En effet, l'Univers est l'objet suprême, la réalité suprême, la chose suprême, la Chose ! C'est dans l'Univers que tout se passe, que toutes les questions se posent. Nous qui nous interrogeons et nous posons toutes sortes de questions et essayons d'avoir des réponses, nous sommes tout simplement des objets de l'Univers, à la fois des éléments de l'Univers (au sens d'ensemble et d'élément), et à la fois des parties de l'Univers (là encore un terme du langage des ensembles). Nous poser des questions sur nous-mêmes ou sur quoi que ce soit, c'est nous interroger sur l'Univers. Et nous interroger sur l'Univers c'est nous interroger sur tout ce qu'il contient et tout ce qui le constitue en tant qu'éléments et parties, donc entre autres nous.

Donc pour le cadre dans lequel il faut se placer pour TOUT étudier, c'est clair, c'est l'Univers, le TOUT, c'est-à-dire l'ENSEMBLE ! Et pour se poser des questions et y répondre, il faut un langage scientifique; et là encore il est tout trouvé, c'est le langage des ensembles, car l'Univers, c'est l'Ensemble, voyons ! Mais il faut prendre garde à ce que ce terme très important ne soit pas réduit à un mot technique et abstrait ( comme c'est le cas actuellement avec la Théorie axiomatique des ensembles), qui n'est que le joujou des matheux actuels, grands champions de la natation dans l'abstrait... Non, non et non; la notion d'ensemble, cela doit être du CONCRET, du PHYSIQUE, car c'est de l'Univers, l'Ensemble donc, que l'on parle !

Les réponses qu'apporte un simple arbre

Arbre et structure fractale chou de romanesco et structure fractale
L'arbre et le chou de romanesco : des exemples naturels de structure fractale,
qui est la strudture universelle des ensembles, la structure même de l'Univers.
Qui sait observer la nature et ce qui se présente à ses sens,
qui sait faire une bonne lecture de la nature qui l'environne,
découvrira d'extraordinaires secrets de l'Univers;
il verra des réalités que ses sens ordinaires ne perçoivent pas,
et que pourtant ces sens perçoivent !
Le cerveau (la logique) a juste besoin d'être rééduqué,
pour être enfin capable de percevoir toute la réalité,
et aussi pour avoir les réponses à toutes les questions.

Celui qui par exemple sait bien regarder un simple arbre apprendra des choses étonnantes, car l'arbre, bien que silencieux parle, il livre de profonds secrets de l'Univers et de la Vie. La structure d'un arbre, c'est la structure naturelle des ensembles; tel est un arbre, tel est le langage universel des ensembles, le langage le plus naturel et universel qui soit, qui ne doit en rien être abstrait, c'est-à-dire coupé de toute réalité concrète ! Le couple arbre-branche tel que les yeux peuvent le voir dans un Jardin, c'est le couple ensemble-élément, tel qu'on aurait dù le concevoir, au lieu d'une notion technique et abstraite des ensembles. Cela conduit à nier l'existence de l'ensemble de tous les ensembles, sans savoir qu'on nie en fait l'existence de l'Univers, l'Ensemble de toutes les choses !

Après la notion d'existence, la notion d'ensemble, je viens d'introduire un troisième très important mot clef, le mot CHOSE. C'est le mot passe-partout, pour parler de TOUT. Une chose est par définition un élément de l'Ensemble qu'est l'Univers; et l'Univers est par définition l'Ensemble de toutes les choses ! Une chose A est toujours un ensemble aussi, et le cas échéant l'ensemble dont l'unique élément est la chose A elle-même. On écrira alors : A = {A}, à lire : "la chose A est un ensemble dont l'unique élément est elle-même".

L'Univers est la Chose par excellence, la première des choses et la dernière des choses. Puisque toute chose est un ensemble (le cas échéant un ensemble dont l'unique élément est la chose elle-même), l'Univers, c'est-à-dire l'Ensemble de toutes les choses, est donc l'ensemble de tous les ensembles. Une science qui nie l'existence d'un tel ensemble (l'Univers donc !), a un très gros problème et c'est tout le problème de la négation, aujourd'hui analysé, disséqué sous tous ses angles.


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