Une
des plus puissantes lois de l'alternation 2
La Loi
des Contraires (ou Loi de la Chose et
de l'Anti-Chose ou Loi de Symétrie)
est une des plus puissantes sous-lois de l'Alternation
(voir Le
Principe d'Alternation), et en particulier de
l'alternation
2. C'est l'une des formes les plus
puissantes du Théorème
de l'Existence (ou Loi
de l'Univers), qui montrent toute l'importance
de concevoir l'Univers comme
l'Ensemble
de toutes les choses. La science n'a
plus rien à voir presque quand on travaille avec
l'Univers
TOTAL ! Toutes
les choses existent dans un tel Univers,
ainsi que les contraires de toutes les
choses.
La Loi
des Contraires éclaire grandement sur la
nature de l'Univers et
sur son fonctionnement. Elle montre aussi comment la science
change du tout au tout quand on ne raisonne plus avec la Négation,
mais avec la notion de Contraire (donc
avec l'Alternation).
On ne
nie plus aucune chose, si ce n'est la négation elle-même. NIER
la NEGATION constitue une autre loi (la Loi
du Double Contraire) d'une très grande
importance.
L'une
des nouvelles extraordinaires possibilités qu'offre
le fait de travailler dans l'Univers
TOTAL, noté U,
défini dans un langage scientifique extrêmement
précis (le langage
universel des ensembles), est d'abord que cet
Univers va permettre à son tour de définir
d'une manière très précise des notions
importantes de la science, actuellement très ambiguës
ou très mal définies voire pas du tout ! On
les emploie en un sens intuitif, ce qui est très dangereux
quand une certaine chose nommée la Négation,
le Diable ou
l'Anti-Dieu lui-même, tel qu'il opère
dans les profondeurs de la psyché et tel qu'il se
présente au coeur même de la science. Il était
jusqu'ici impossible de voir clair dans les choses, parce
qu'on ne travaillait pas avec l'Univers
TOTAL et que l'on savait pas le faire,
justement à cause de la Négation,
qui est l'obstacle même sur la voie de la découverte
de cet Univers
TOTAL et de ses extroardinaires propriétés.
De
grands mystères pour la physique actuelle (par exemple
ses interrogations sur la matière et
l'anti-matière) trouvent leurs réponses
très simplement dans la Loi des Contraires,
quand on change
de paradigme scientifique et que l'on fait la
science en terme de choses et de contraires
des choses. Pour toute chose X,
le contraire de X ou anti-X peut
désormais être défini d'une manière
extrêmement simple mais aussi extrêmement précise à l'aide
de l'Univers U, chose qu'il était impossible de
faire au paravant sans cet Univers lui-même en pleine
science. On a : anti X = U - X. Et en particulier,
l'Anti-Univers ou anti U est
donc défini par : anti U = U - U,
que l'on notre O, et qui est appelé le Vide ou
le Néant.
Il
ne s'agit pas d'une conception de Vide ou
de Néant au sens négatif de
ces termes, tels que l'on peut les concevoir actuellement
en faisant la science avec la Négation au
lieu de l'Alternation.
Avec la Négation,
les notions comme le Vide, le Néant,
le Rien, le Zéro,
etc., sont négatifs, pathologiques.
Cela signifie par exemple que le Vide n'est
que Vide. Mais avec l'Alternation,
c'est une toute autre conception du Vide,
le Vide qui est l'Anti-Plein,
mais qui surout qui est un autre Plein,
selon la Loi des Contraires sous cette forme : "Le
contraire de X est toujours un autre X". Ainsi, "Le
contraire de l'Univers est un autre Univers", "Le
contraire du Plein est un autre Plein", etc. Avec
l'Alternation,
l'Univers est l'Ensemble
de toutes les choses, et l'Anti-Univers ou Vide est
tout simplement l'Ensemble
de toutes les anti-choses. Ce Vide est
donc Plein, mais autrement.
Une
manière simple de représenter l'Univers et
l'Anti-Univers, le Plein et
le Vide.
La couleur verte représente ici les choses,
la couleur rouge représente les anti-choses.
L'Univers ou Plein est l'Ensemble
de toutes les choses,
et l'Anti-Univers ou Vide est l'Ensemble
de toutes les anti-choses.
Les deux sont parfaitement contraires et symétriques.
Ce que l'un est, l'autre l'est aussi, mais dans le sens complètement
opposé.
Les deux sont deux manières contraires de dire la même chose,
donc les deux sont finalement la même chose.
L'Alternation et
son important corollaire qui est la Loi des Contraires implique
que l'Univers et l'Anti-Univers sont équivalents,
ils sont simplement deux manières différentes
de dire la même chose (pour plus de détails
sur la très importante notion d'équivalence,
voir le document Le
Verba, la Langue du verbe Etre). Il en résulte
un autre corollaire, la Loi
de l'Alpha et de l'Oméga (ou Loi
du Zéro et de l'Infini ou Loi du
Cycle), qui dit simplement : O = U.
Les Univers-Dieu et
les Univers-Diables,
les Mondes
et les Anti-Mondes, les Edens
et les Enfers
Le
contraire de X est toujours un autre X, appelé son
anti-X
"Le contraire d'une chose est toujours une
autre chose, appelée son anti-chose;
l'anti-chose est l'autre manière de parler de la chose
"
Les
lois les plus banales sont pourtant aussi
les plus extraordinaires !
Comme
c'est très souvent le cas pour les différentes
formes du Théorème
de l'Existence (ou Loi
de l'Univers), la Loi des Contraires est
connue sous nombre de ses formes banales, que nous appliquons
intuitivement, machinalement et très naturellement
dans la vie de chaque jour (et en particulier en science),
tellement c'est très évident ! Mais comme c'est
souvent le cas aussi du même Théorème,
il n'est plus tout évident sous d'autres de ses formes,
alors dit fondamentalement la même chose.
Par
exemple, l'expression de base de la Loi des Contraires est
: "Le contraire de toute chose est toujours une
autre chose". Cela va tellement de soi que l'on
peut se demander quel est l'intérêt de formuler
une telle banalité. Et pourtant, que l'on détrompe
!, on vient ainsi d'énoncer une loi d'une profondeur
et d'une puissance inouïe ! C'est quand on se met à appliquer
le modèle qu'il fournit à diverses notions
que sa puissante apparaît.
Ainsi
par exemple, appliquée à la notion de phrase,
la loi donne : "Le contraire de toute phrase est
toujours une autre phrase". Appliquée la
notion d'affirmation, cela donne une déclaration
voisine : "Le contraire de toute affirmation est
toujours une autre affirmation". Par exemple, si
j'affirme : "Il pleut" ou "Dieu
existe", et que quelqu'un me contredit en disant
: "Il ne pleut pas" ou "Dieu
n'existe pas", il a énoncé le contraire de
mon affirmation, et ce contraire est
tout simplement une autre affirmation, que
je peux contredire en soutenant mordicus
le contraire. Et on se "battra" à coups
de contraires, comme les partis en opposition dans un procès,
l'un affirmant ceci et l'autre affirmant exactement
le contraire. Affirmer le contraire
d'une chose est la bonne définition ou conception
de la négation, qu'il ne faut pas
confondre avec la notion de contraire elle-même,
ainsi qu'on le fait très souvent (voir Le
problème de la Négation).
La
notion de contraire est tout simplement
une relation entre deux choses A et B (ou A et anti-A ou anti-B et B).
Choisir entre l'une ou l'autre des deux alternatives est
ce qu'on appelle affirmer ou nier.
Celle qu'on choisit est celle affirmée,
l'autre étant celle niée. Affirmer ou nier n'est
donc pas à confondre avec la notion de contraire,
qui est une toute autre notion, une très puissante
notion, grâce à laquelle on découvre
d'étonnants secrets de l'Univers.
Par
exemple, la Loi des Contraires (qui paraissait si banale),
quand elle est appliquée à la notion de vérité,
cela donne : "Le
contraire de toute vérité est toujours une
autre vérité". Et c'est
là que l'on commence à s'apercevoir que cette
loi n'est pas aussi banale qu'elle paraissait à première
vue, dans sa formulation de base qui fournit le modèle
général, à savoir : "Le contraire
de toute chose est toujours une autre chose" (formulation
1 plus haut) ou "Le contraire de X est toujours
un autre X" (formulation 6 plus haut). On comprenait
aisément que le "Le contraire de toute affirmation
est toujours une autre affirmation", mais pas que "Le
contraire de toute vérité est toujours une
autre vérité" ! Et on
comprenait encore moins que "Le contraire de toute
existence est toujours une autre existence", c'est-à-dire
que dire qu'une chose X n'existe pas c'est
dire que le contraire de X (ou anti-X) existe.
Si on avait conscience de cette très puissante et
très éclairante Loi des Contraires,
on comprendrait par exemple que dire que Dieu n'existe
pas c'est dire que c'est le contraire de
Dieu (ou anti-Dieu) qui existe,
c'est-à-dire le Diable ! Par conséquent,
c'est mentir comme le Diable que
de nier à la fois Dieu et Diable (voir La
question de Dieu et Diable aujourd'hui) !
Chose
et Anti-Chose
Le
fait que les psychés actuellement fonctionnent avec
la Négation a
déterminé la manière d'aborder la science
et l'Univers. On a pris les choses à l'envers, on
n'a pas commencé par où il fallait commencer. La
science est censée étudier l'Univers et de
nous faire connaître la vérité sur lui.
Or, elle aborde l'Arbre de
l'Univers par les feuilles (donc par les détails)
au lieu de le prendre à la racine même. Cela
donne une gigantesque forêt appelée LES sciences
au pluriel, au lieu d'un seul Arbre
de la Science, dont tout est une branche.
La
science doit d'abord définir très clairement
l'Univers, en faire son objet central, le
vrai chef d'orchestre de toute la science. Un objet par rapport
auquel tous les autres sont définis (entre autres
la négation par exemple); un objet
sur lequel tous les raisonnements dans tous les domaines
se basent.
Avec
les mots clef chose,
existence et ensemble, on définit l'Univers comme
l'ensemble de toutes les choses, ou simplementle
le TOUT, et on le notera U. Il
faut ensuite savoir que toute chose ou toute
notion A est un attribut ou
une propriété, qui est la
scienne et qui l'identifie comme telle. On peut peut choisir de
considérer la chose en elle-même, comme un individu ou
un élément de l'Univers; et
dans ce cas on écrira {A} pour le
signifier. Cela signifie que l'on considère un ensemble qui
se réduit à la chose ou notion A seule.
Mais on peut aussi choisir de voir cette chose ou
notion A comme une propriété commune à un ensemble d'autres
choses. Alors la chose A est cette
fois vue comme un ensemble, et s'il est
par exemple constitué de trois éléments C, D, E,
alors on écrira : A = {B, C, D}.
Par
exemple, si je dis "Humain", il
s'agit d'une chose, d'une notion,
que l'on peut prendre en elle-même comme chose à part
entière et identifiée comme telle. On écrira
alors {Humain} comme élément,
tout comme on dirait aussi {Animal}, {Plante},
etc., en considérant comme chaque propriété comme
un individu de l'Univers. Et si on veut
parler de l'ensemble de ces trois individus que je viens
de citer, on dira : {Humain, Animal, Plante}.
Mais on peut choisir de voir "Humain" comme
une propriété commune à plusieurs choses
: Théophile, Angélique, Essowaba, Abiré,
etc. Alors cette propriété Humain est
l'ensemble de toutes les choses répondant à cette
propriété : Humain = {Théophile,
Angélique, Essowaba, Abiré, ...}.
Et si on considère Théophile par
exemple, si (dans des opérations faites sur des ensembles)
on veut le voir comme un individu seul, on pourra dire {Théophile} pour
signifier qu'il faut le prendre seul en tant qu'élément.
Mais Théophile est un ensemble,
fait d'une tête, de bras, de thorax,
de jambes, etc. S'il intervient dans des
opérations faites sur des ensembles, on écrira
simplement Théophile pour dire qu'il
faut le prendre comme ensemble et non plus comme élément.
L'exemple
suprême est simplement celui de l'Univers. Pris comme élément,
on écrira : {Univers}; mais pris
comme ensemble on dira simplement Univers,
et alors on s'intéresse à tout ce qu'il contient.
L'Univers permet de définir la notion de contraire
absolu, qui permet aussi de voir l'Univers sous
le modèle de l'alternation
2.
Pour
deux choses quelconques A et B prises
comme ensembles, l'écriture A - B signifie
qu'on parle d'un ensemble C, fait de tous
les éléments de A sauf ceux
de B. Autrement dit, on enlève de A tous
les éléments de B qu'il pourrait éventuellement
y avoir, et cela donne A - B, c'est-à-dire
donc C. Par exemple, si A désigne
l'ensemble de toutes les choses de couleur noire, et B l'ensemble
des chats, A - B est l'ensemble de toutes
les choses de couleur noire sauf les chats. Et l'ensemble B
- A sera l'ensemble de tous les chats qui ne sont
pas noirs.
Pour
qu'on puisse faire cette opération, il n'est donc
pas nécessaire que l'un des ensembles soit entièrement
contenu dans l'autre. On peut même envisager le cas
extrême où A et B n'ont
aucun élément commun. On dit alors qu'ils sont
disjoints. Dans ce cas, A - B = A et B
- A = B.
Et
on comprend facilement aussi que pour tout ensemble A donné, A
- A est l'ensemble duquel on a enlevé tous
les éléments de A. Il reste
donc le vide. Donc A - A est l'ensemble
vide, que l'on note .
Donc : A - A = .
Mais
c'est avec l'Univers que ces opérations
deviennent les plus importantes, car toutes les choses appartiennt à l'Univers,
et tout ensemble a tous ses éléments dans l'Univers,
puisque celui-ci est l'Ensemble de toutes les choses.
Alors, à toute
chose A (prise comme ensemble) correspond
une chose très précise et unique B,
définie à l'aide de l'Univers, qui est U
- A. L'ensemble U - A ou B est
donc l'Univers duquel on enlève tous
les éléments de A. Cet ensemble B est l'alternative de
A ou SON contraire, au sens le plus absolu
du terme ! C'est à cette alternative très
spéciale que la notion de négation était
censée renvoyer quand on disait non-A.
Mais maintenant il faut comprendre que non-A signifie
anti-A, ce qui n'est plus du tout le même
sens ! Il y a par exemple en effet une énorme différence
entre parler de non existence d'une chose
(au sens négatif,
diabologique et mensonger actuel
de la négation)
et parler de l'anti-existence de la chose
en question, c'est-à-dire donc l'existence
contraire ! Entre l'ancienne négation et la nouvelle,
c'est la nuit et le jour !
Toute
chose ou notion A fait de l'Univers un
modèle "Unus ET Versus",
Unus étant A et Versus étant anti-A ou U
- A ;
c'est ce sens qu'il faut maintenant donner à la négation,
au mot non.
La négation doit maintenant signifier
le contraire d'une chose, l'anti d'une chose.
Il ne faut plus confonde cette négation définie avec l'Univers
avec la diabolique en mensongère notion actuelle du même non.
Ainsi
par exemple, si l'on considère l'ensemble
des humains noté Humain,
l'ensemble U - Humain (ou Univers
- Humain) désigne toutes les choses de l'Univers qui
ne sont pas des humains. Cet ensemble U
- Humain ou Univers - Humain est
donc le contraire absolu de la notion d'Humain.
C'est ce que la notion de non-humain (ou
la "négation" d'humain au
sens actuel de la négation) est censée
signifier.
L'Univers est "Humain
ET non-Humain", c'est-à-dire "Humain
ET anti-Humain"...
A vous de déduire tout ce que cela peut vouloir dire !
Mais
si elle était aussi rigoureusement définie,
elle ne pourrait plus être la négation qu'elle
est actuellement, mais elle serait l'alternation
2. Et plus généralement, la science
fonctionnerait avec l'Alternation en
lieu et place de l'actuelle Négation.
En effet, il est très facile de mettre en évidence
des "problèmes" dans la
démarche que je viens de faire avec l'Univers,
des problèmes qu'on appellerait des "contradictions".
Mais il n'y a aucune contradiction dans l'affaire, mais le
problème vient simplement de la Négation.
L'Univers en
alternation 2
L'Univers
en modèle "Recto ET Verso"
Le
modèle "Unus ET Versus" de
l'Univers ou modèle (U,
V)
ou modèle "Recto ET Verso", ou encore modèle "Pile
ET Face".
L'Univers en tant qu'Alternation
2 ou Cycle 2 ou "Deux
en Un".
L'Unus ou U est l'Univers,
le Tout, le Plein, l'Existence.
Et le Versus ou V est son contraire ou
son alternative;
c'est le Rien, le Vide, le Néant;
il est encore appelé l'anti-Univers.
Deux Univers différents, mais le seul et même Univers.
L'Alternation est le
principe même du fonctionnement de l'Univers.
Autrement dit, c'est la Logique
Alternative (illustrée simplement ici)
qui permet de comprendre les secrets les plus profonds de l'Univers.
L'Univers dont
je vais parler, et qui est l'objet de la Science
de l'Univers (ou Théorie de l'Universalité ou Physique
du Tout), est l'Ensemble de toutes les choses (pour
les mots clefs de la Science
Nouvelle, voir Chose,
Existence, Ensemble; voir aussi Puzzle
de l'Univers et Visage de Dieu).
Je
ne parle donc pas de NOTRE univers, qu'on appelle souvent à tort
l'Univers (en majuscule) mais qui n'est
qu'un minuscule et microscopique petit village dans le grand
Univers dont je parle. Un village comme Pagouda dans le petit
Togo, lui-même petit village en Afrique, gros village
sur Terre, mais petite planète dans le système
solaire, lui-même une infinitésimale chose dans
NOTRE galaxie la Voie Lactée, elle-même un microble
dans NOTRE immense univers, lui-même du néant
dans le grand Univers dont je parle, et qui est : l'Ensemble
de toutes les choses : le TOUT !
Le
paradigme de la Science
Nouvelle (c'est-à-dire sa philosophie et la logique
générale sur laquelle elle repose) est le Principe
de l'Alternation (encore appelé le Théorème
de l'Existence). L'Alternation s'oppose
du tout au tout à la Négation,
qui est en réalité la base sur laquelle repose
toute la science actuelle (ou plutôt les sciences actuelles)
et toute la manière actuelle de raisonner, ce dans
tous les domaines.
Pour
qu'elle soit bonne, la Négation doit
s'inscrire dans un cadre plus vaste qui est justement l'Alternation dont
je parle. Une alternation, c'est simplement
quand on se donne un certain nombre n de choses,
absolument quelconques A1, A2, A3,
..., An, et qu'on se limite à ne choisir que
parmi ces n choses, à ne travailler
qu'avec elles, à ne raisonner qu'avec elles, à ne
les permuter qu'entre elles, etc. Bref, on fait comme si
elles sont les seules à exister, et tout donc se passe
entre elles. Tout ce qu'on peut faire avec ces n
choses s'appelle ALTERNER entre
ces choses. C'est ce que j'appelle l'alternation
n. Et ces choses s'appellent les alternatives de
cette alternation n.
Et
ce qui est très important dans cette affaire, c'est
toute la logique que vont constituer ces n choses de
cette alternation n, va s'appliquer à n'importe
quel ensemble de n choses : B1, B2, B3,
..., Bn. Autrement dit, toute alternation
n va être un Modèle pour
toute autre alternation n.
Et
une deuxième très importante propriété de
l'alternation n : Etant donné qu'on
exige de faire TOUT ce qu'on peut faire avec les n
choses de cette alternation (et
en particulier les permuter et intervertir les rôles au
sein de l'alternation), elles sont toujours différentes les
unes des autres à un moment donné,
dans un contexte donné, sous un angle donné,
etc. Mais vu que tous les rôles permutent,
et que chaque chose joue tous les rôles les uns après
les autres (donc alternativement),
toutes les choses sont finalement sur le même pied
d'égalité, on dit qu'elles
sont différentes par négation,
mais égales par alternation.
La négation n'est valable que dans
un contexte donné; mais globalement,
c'est l'alternation qui est valable (pour
plus de détails, voir Le
Principe d'Alternation).
C'est
pourquoi l'alternation n s'appelle aussi
le "n en Un", ce qui signifie
: "n choses différentes, et pourtant
la même chose". Par exemple, l'alternation
2 est le "Deux en Un",
donc "Deux choses différentes, et pourtant
la même chose". Et l'alternation
3 sera le "Tois en Un",
donc "Trois choses différentes, et pourtant
la même chose", etc.
La Négation doit
se définir dans le cadre général de
l'Alternation;
et d'ailleurs elle n'est qu'un cas extrême de l'alternation
2. C'est là qu'elle joue son rôle et
participe à exprimer toute la vérité de
l'Univers : "Des choses
sont fausses par négation, mais tout est vrai par
alternation". C'est cette phrase que je
dis souvent sous cette forme : "Le contraire
de toute vérité est toujours une autre vérité".
La Négation seule
prise comme base de la logique et du raisonnement est extrêmement
dangereuse, car elle conduit à NIER des
vérités, des réalités, les propriétés
fondamentales même de l'Univers, ce
qui fait qu'il est l'UNIVERS même, l'Ensemble
de toutes les choses.
La
chose est très facile à comprendre : Qui dit
que l'Univers est le Tout, vraiment le Tout,
c'est dire qu'il y a TOUT (Unus)
et le contraire de TOUT (Versus)
dans l'Univers. Sans cela, il n'est pas TOUT,
et alors tout ce que je dis ne concernerait qu'un certain
petit village comme NOTRE univers.
On
notera que je parle de CONTRAIRE de TOUT,
et non pas de NEGATION de TOUT.
La notion de contraire est une notion d'alternation,
et précisément la notion clef de l'alternation
2, ce que devrait être la négation.
Le contraire d'une chose est tout simplement
son alternative dans une modèle d'alternation
2. Le couple "Pile ET Face" d'une
pièce de monnaie par exemple, ou le couple "Recto
ET Verso" d'une feuille de papier, sont des
exemples d'alternation 2. L'un des membres
du couple est le contraire de l'autre et
vice-versa, les deux sont aussi vrais l'un
que l'autre. C'est cela la notion de contraire, à ne
plus confondre avec la notion de Négation,
qui est une toute autre affaire ! Si (comme actuellement)
cette affaire n'est pas définie dans le cadre de l'alternation,
en l'occurence comme un cas d'alternation 2,
elle est terriblement dangereuse (voir Le
problème de la Négation). Un petit exemple
pour avoir l'aperçu du problème :
Si
je prends par exemple une pièce de monnaie, elle répond
au modèle "Pile ET Face".
Le contraire de Pile est
donc Face, et vice-versa, et là on est dans l'alternation
2, et tout est normal. Mais c'est quoi la "négation
de Pile" ? C'est là où il y a
une grave ambiguïté qui laisse tout le champ
libre au Diable...
pour NIER n'importe comment, et surtout tout ce qui le dérange,
comme par exemple tout ce qui conduit à Dieu...
Alors
c'est quoi au juste on entend actuellement par la "négation
de Pile" et que l'on noterait non-Pile ?
Si on entend par là le côté Face de
la pièce, alors tout va bien, cette négation est
synonyme de contraire, donc on est dans
le cadre de l'alternation 2. Mais "négation
de Pile" cache une autre idée, confudue
avec la première, mais qui elle n'est pas actuellement
définie dans le cadre de l'alternation 2.
Par "négation de Pile" il
faut en réalité entendre "TOUT
ce qui n'est pas Pile". Donc en particulier, Face,
mais aussi un bouc, un singe,
la Tour Eiffel, Nicolas Sarkozy, Nicolae
Ceasescu, Nefertiti, Sara, Angélique, Théophile, Dieu....
Bref "TOUT ce qui n'est pas Pile" !
Mais
quand on a dit cela, on n'a pas dit grand chose, si "négation
de Pile" ou "non-Pile" ne
renvoie à aucune chose précise,
qui répond à cette définition, mais
alors ça laisse vraiment la place à tout et
n'importe quoi ! Quand je dis "contraire de
Pile" ou "alter-Pile",
cela renvoie très précisément à Face, à savoir à l'alternative de Pile dans
l'alternation 2 qui est "Pile
ET Face". Et si je dis que "non-Pile" est "TOUT
ce qui n'est pas Pile", alors cela "TOUT
ce qui n'est pas Pile" doit renvoyer à quelque
chose d'aussi précis, dont on a la théoriquement
la définition (à savoir "TOUT
ce qui n'est pas Pile"), et qui doit simplement être
ceci : "U - Pile" ou "Univers
- Pile"(ou "L'Univers moins Pile"),
c'est-à-dire donc "Tout l'Univers sauf
Pile".
Et
alors, on se retrouve devant un Univers qui
se révèle comme grand modèle "Pile
ET Face", où son côté Pile est
exactement le même que celui de la pièce, et
où son côté Face est "U
- Pile" :
Une
pièce de monnaie est un exemple d'alternation
2 : modèle "Pile ET Face" ou "Unus
ET Versus".
Le contraire de Pile (ou alter-Pile)
est Face.
Mais la négation de Pile (ou non-Pile)
est "Tout ce qui n'est pas Pile".
Pour que cette négation soit bonne,
"Tout ce qui n'est pas Pile" doit correspondre à quelque
chose de plus précis,
elle doit absolument renvoyer à une autre notion de contraire,
donc à un autre modèle "Pile ET Face" qui
donne un sens à "Tout ce qui n'est pas Pile".
Cette négation n'est pas définie dans une science
qui ne repose pas sur l'Univers (TOTAL),
mais elle est parfaitement définie dans la Science Nouvelle.
"Tout ce qui n'est pas Pile" est simplement la chose "Univers
moins Pile",
c'est-à-dre "Tout l'Univers sauf Pile".
Ainsi l'Univers se présente comme un grand modèle "Pile
ET Face",
dont le côté Pile est celui de la pièce,
et le côté face est "Univers moins Pile".
C'est ce qu'il faut entendre par "non-Pile",
et alors la négation est parfaitement définie,
et donc elle ne peut plus être aussi
diabolique que maintenant...
Cet
exemple suffit à montrer que l'Univers est TOUT (ici
par exemple Pile) et le contraire
de TOUT (ici "Univers moins Pile",
la chose par excellence pour dire "n'est pas Pile" ou "Est
le contraire de Pile"). Il suffit de mettre tout ce
qu'on veut à la place de Pile, et le raisonnement
est exactement le même. Une face de l'Univers est la
chose en question, et l'autre face n'est pas la chose, ou
plus précisément est tout son contraire. L'Univers TOTAL,
qui peut être TOUT et son contraire, y compris par
exemple un certain humain nommé Jésus de Nazareth
et tout le contraire de cet humain, est la définition
que la Science Nouvelle donne au mot Dieu (voir Puzzle
de l'Univers et Visage de Dieu).
Une
science qui ne fonctionne qu'avec la Négation (donc
qui n'est pas définie dans le cadre général
de l'Alternation)
ne peut jamais conduire à cette compréhension
de l'Univers, à la découverte
de la vérité totale. Mais le but de la science
est de dire la vérité, toute la vérité et
rien que la vérité....
ALTER
: le connecteur de la Physique
Le
connecteur ALTER permet de résumer toutes les situations
particulières
qui composent un phénomène physique ou dynamique.
Il suffit d'indiquer un seul modèle par exemple, comme ici avec le modèle
du bas,
et ALTER indique que tout ce que dit le modèle est vrai en alternant
(en pemutant tous les rôles),
comme le montrent les deux modèles du haut.
Avec un seul modèle de NON, celui du haut à gauche et du bas
par exemple,
si je dis que la moitié gauche nommée U est rouge,
on dira que c'est faux puisque qu'on voit qu'il est vert.
De même on dira que c'est faux si je dis que l'Univers tout entier est
vert,
alors qu'on voit qu'il est moitié vert, moitié rouge.
C'est le genre de vérités sur l'Univers qu'on ne peut pas découvrir
avec une logique négative
(la logique faite avec seulement la négation).
Mais il ne faut pas oublier que l'Univers est un objet dynamique (et comment
!),
donc il faut ALTERNER (permuter tous les rôles) pour découvrir
toute la vérité.
C'est ce qu'indique le connecteur ALTER
Si
je dis par exemple une chose du genre : "L'Univers est à la
fois le Plein et le Vide", ou : "L'Univers tout
entier est aussi la plus petite de toutes les particules",
ou : "L'Univers est à la fois l'Infiniment grand
et l'Infiniment petit", ou : "L'Univers est à la
fois le Tout et le Rien", ou encore : "L'Univers
est à la fois l'Existence (c'est-à-dire l'ensemble
de toutes les choses qui existent) et le Néant (l'ensemble
de toutes les choses qui n'existent pas)", etc., que
penserait-on ? Ces phrases sont en n'en pas douter "contradictoires",
si l'on raisonne avec la logique classique. L'Univers ne
peut pas être à la fois deux choses très
différentes l'une de l'autre, deux choses complètement
contraires l'une de l'autre !
C'est
ici qu'on a besoin de comprendre le concept d'alternation
et d'apprendre à raisonner désormais dans la
logique de l'alternation (ou logique
alternative) et non plus dans la logique négative
(c'est-à-dire faite seulement avec la Négation).
Un
univers particulier (comme le nôtre par exemple) change
et évolue pour devenir un autre, tout comme une chose
particulière (un humain par exemple change et évolue).
Un univers particulier peut disparaître (Big Crunch),
tandis qu'un autre naît dans le même temps (Big
Bang); exactement comme un humain peut mourir tandis qu'un
autre naît dans le même temps. Mais l'Univers
(TOTAL il faut le préciser !) est invariant, car tout
ce qui se passe dans un coin de l'Univers, exactement le
contraire se passe dans un autre coin. Tout ce qui disparaît
ici se recrée exactement à l'identique ailleurs
! L'un dans l'autre, rien ne change finalement. Comme dirait
l'autre, "Rien ne se perd, rien ne crée,
mais tout se transforme".
Dans
le langage de l'Alternation,
la même chose se dit ainsi : "Tout ALTERNE
dans l'Univers", ou encore : "Tous les
rôles permutent dans l'Univers", ou encore
: "Toute chose devient alternativement toute autre
chose dans l'Univers", etc. Ce n'est pas forcément évident,
surtout pas dans des mondes comme le nôtre, et pour
cause (voir L'algorithme d'Eden).
Et pourtant c'est la vérité même ! Il
faut savoir voir au-delà de NOTRE vie, de NOTRE monde,
de NOTRE univers, pour percevoir l'Univers TOTAL et la vérité totale.
Pour cela une rééducation de la logique s'impose,
pour qu'elle cesse d'être négative mais devienne
alternative...
Dans
une alternation n, les n rôles alternent (permutent)
indéfiniment; chaque membre de l'alternation joue
ainsi alternativement et indéfinment
tous les rôles; cela fait que, même si ce n'est
pas le cas ponctuellement,
finanement tout ce qui vrai pour l'un est vrai aussi pour tous les autres.
La logique de l'alternation (ou logique
alternative) est donc une logique dynamique,
et c'est elle qui rend compte de la réalité physique qu'est l'Univers.
Le tradictionnel connecteur de négation NON ne traduit que les vérités
ponctuelles; il s'agit d'une "photographie" de la vérité dans
un contexte et à un moment donné. Cela fait paraître les vérités
universelles (c'est-à-dire relatives à l'objet Univers)
ou dynamiques comme des "contradictions".
Si
je dis par exemple des choses du genre "Tout
est vrai", "Tout est faux", "A
est Vrai ET A est Faux", "A est
Vrai si et seulement si A est Faux", etc.,
cela s'appelle des contradictions ou
des "absurdités" dans une logique négative
(c'est-à-dire faite seulement avec la Négation),
qui ne voit la vérité que de manière
statique. Or l'Univers est un objet physique et dynamique,
tout bouge dans l'Univers, la vérité évolue
sans cesse. Et surtout, à commencer par l'Univers
lui-même (qui est le grand Modèle pour toute
chose), toute chose dans l'Univers a son "revers" (son contraire),
comme toute face d'une médaille a son revers.
D'une
médaille (ou d'une pièce) qui reste statique,
on peut ne voir qu'une seule face et croire que la médaille
se réduit à cette seule face. La phrase "Je
vois les deux faces de la médaille" est fausse,
elle est comme le fait de dire "Recto ET Verso", "Vrai
ET Faux", ou encore : "Si Vrai alors Faux, et si
Faux alors Vrai". Mais si la médaille tourne
présentant alternativement les deux faces, on les
voit toutes les deux par alternation, de sorte que ces phrases
apparemment contradictoires en logique négative (donc
statique) deviennent vraies. Il faut maintenant apprendre à faire
la science avec le connecteur ALTER (le
connecteur dynanique) à la place du connecteur NON
(le connecteur statique). Ou alors si on parle du connecteur
NON, il faut désormais le concevoir dans le cadre
de l'alternation, comme signifiant le mot contraire (le
mot clef de l'alternation 2), comme quand je l'emploie pour
dire : "Le contraire de toute vérité est
toujours une autre vérité". Cela
veut dire qu'on dit une vérité, puis on alterne (ou
on permute les rôles ou les choses) et on a une autre
vérité, même si elle n'est pas du tout évidente..
Contextualité et
Universalité
"Deux
choses contraires A et non-A sont toujours vraies,
chacune séparément dans un contexte respectif
C1 et C2; c'est la loi de Séparation ou loi de
Contextualité ou de Relativité. Il en résulte
que les deux choses A et non-A sont
vraies en même temps dans le contexte C3, qui est
la réunion de C1 et C2, et que l'on notera : C1 U C2,
et que l'on lira 'C1 Union C2' ; c'est
la loi d'Union ou loi d'Universalité ou d'Absoluité. Et
si on ne trouve pas de contexte particulier où les
deux choses contraires A et non-A sont vraies à la
fois, alors le dernier recours et l'ultime contexte d'unification
est l'Univers. A et non-A sont vrais
dans l'Univers, le contexte le plus général,
qui est la réunion de tous les contextes, l'ensemble
suprême qui rassemble toutes les choses. C'est
pour cela qu'on l'appelle l'Univers, le TOUT. Dans ce
TOUT, il existe donc tout et son contraire. C'est ce
que j'appelle le Principe
d'Alternation, le Théorème
de l'Existence, la Loi
de l'Univers, ou simplement l'Universalité."
Les
choses contraires A et non-A ne
sont pas vraies en même temps dans
chacun des contextes restreints C1 et C2;
dans chacun de ces contextes donc, la chose "A ET non-A" est fausse ;
mais dans le contexte C3 qui englobe C1 et C2,
les choses A et non-A sont vraies en
même temps;
la chose "A ET non-A" est donc vraie dans C3,
elle est d'ailleurs une propriété ou un attribut spécial
de C3,
exxactement comme "Pile ET Face" sont une propriété d'une
pièce de monnaie,
ou comme "Recto ET Verso" sont une manière
de définir ou de décrire une feuille de papier.
Et l'expression "Tout ET contraire de Tout" est
une propriété de l'Univers,
une manière simple de le décrire ou de le définir...
La
Loi des contraires et le Verba
Examinons
maintenant est des aspects les plus extraorinaires et étonnant
de la Loi des Contraires ou
Loi de la Chose et de l'Anti-Chose. L'Univers a un très puissant langage
qu'on peut qualifier de langage informatique universel (ou langage de
l'informatique universelle) que je nomme
le Verba ou Langue
du Verbe Etre. Parmi les nombreux aspects de ce langage
(ou langue) il y a ce que je nomme l'arithmétique
des sens, une chose qui découle du Théorème
de l'Existence mais qui est tout simplement une
autre façon d'exprimer ce théorème.
Le Verba (et
l'arithmétique
des sens) C'est la science même des sens des
mots, leurs sens absolus (à distinguer de leurs sens
relatifs), la science des combinaisons des sens, des opérations très
simples à faire sur une phrase pour trouver
des phrases ayant exactement le même sens. L'intérêt
de ces opérations (ou de ces transformations de phrases
pour obtenir des phrases équivalentes) est que les
nouvelles phrases révèlent au passage l'existence de
choses qu'on n'aurait pas du tout soupçonnée
sans le Verba ou
sans cette arithmétique.
La
forme du Théorème présentée ici
et appelée la la Loi de la Chose et de l'Anti-Chose,
est une illustration simple des règles du Verba et
de l'arithmétique des sens. Nous connaissons une forme
de cette loi et nous l'appliquons très naturellement
dans nos raisonnements et dans notre manière de construire
les phrases, et plus exactement de faire une nouvelle phrase
qui est le contraire d'une autre. Nous n'avons
pas pleinement conscience de cette loi tout simplement parce
que nos langues sont actuellement toutes "mal foutues",
aucune ne possède les caractéristiques du Verba (pas
même les langages scientifiques ou informatiques !),
aucune n'est logique ou arithmétique (ce qu'elles
devraient être !), certaines le sont plus que d'autres.
C'est pourquoi cette loi ne peut s'appliquer actuellement
qu'à des phrases qui ont une structure à peu
près correcte du point de vue du Verba.
Si une phrase a une telle sutructure, alors la Loi
de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi des
Contraires) s'applique à tout élément de
phrase !
Par
exemple, considérons la phrase : "Théophile
habite à Romagnat", qui a une structure
correcte : on a un sujet (Théophile), un
verbe (habite), un complément (Romagnat),
et une relation entre le verbe et le complèement (ici
le mot à qui va être concerné lui
aussi). Le contraire de cette phrase de cette phrase se dira
couramment en français : "Théophile
n'habite pas à Romagnat". La construction
de la version négative de la phrase a en français
une très mauvaise structure Verba,
mais ne nous étendons pas sur cette question ici (voir à ce
propos le sous-titre La
négation à la française dans cette
discussion sur l'existence de Dieu...). En logique, il
suffit de placer devant une phrase un mot indiquant qu'on
exprime son contraire. On emploie généralement
le mot "non" et on l'appelle une
la négation, car il y a actuellement
une confusion entre la notion de contraire et
celle de négation.
Mais en réalité c'est le contraire de
la phrase qu'on veut exprimer, et un mot comme "anti" est
plus approprié pour exprimer le contraire d'une chose,
comme par exemple avec matière et anti-matière.
Mais même avec le mot "non",
on découvre dans une bonne mesure la Loi des
Contraires dont je parle.
La
phrase contraire "Théophile n'habite pas à Romagnat" s'écrit
donc en logique : non-"Théophile
habite à Romagnat", "niant" toute
la phrase. Mais on sait aussi qu'il revient au même
de "nier" le verbe de la phrase en disant : "Théophile non-habite à Romagnat".
La phrase a donc la même structure que "Théophile
habite à Romagnat", mais avec le verbe non-habiter.
On vient tout simplement d'appliquer la Loi des Contraires sous
la seule forme qu'on connaît pratiquement, à savoir
sur le verbe. Mais en fait cette loi (et donc le Verba ou
le Théorème de l'Existence)
nous apprend maintenant qu'on peut l'appliquer à tout élément de
la phrase, elle conserve le même sens. Cela nous permet
de découvrir des choses plutôt surprenantes,
surtout si l'on comprend qu'on en réalité fait
une opération de contraire (ou opération "anti")
et non pas une opération de négation. Mais
poursuivons néanmoins avec la négation, c'est
déjà pas mal comme découvertes...
On
découvre que cette phrase ceut dire aussi que "non-Théophile
habite à Romagnat", et nous apprenons donc
que si "Théophile n'habite pas à Romagnat",
alors c'est non-Théophile qui y habite
! Nous decouvrons que dans l'Univers, Théophile fonctionne
en tandem avec une certaine chose qui lui
est très intimement lié, qui
est son parfait contraire (ou anti-Théophile),
et qui fait exactement le contraire de ce
que Théophile fait, et vice-versa
! Si l'un habite à Romagnat, alors obligatoirement
l'autre n'y habite pas, car les deux ne doivent pas être
dans un même contexte, sinon il y a contradiction.
Mais l'Univers est un contexte (le plus grand) dans lequel Théophile et
son contraire sont obligés d'être.
C'est là où la Loi de la Chose et de
l'Anti-Chose (ou Loi des Contraires ou Loi
de Symétrie) semble être prise en défaut.
Mais en fait oui et non... Oui parce que les deux contraires
sont dans l'Univers (un même
contexte), et Non parce que nous apprenons par la
même occasion que l'Univers a une
autre version de lui-même, l'Anti-Univers (et
non pas le non-Univers !!!!!!!);
si donc Théophile est dans l'un des
contextes, anti-Théophile (que l'on
appelle par erreur actuellement non-Théophile)
est dans l'autre contexte, et vice-versa.
Et
la formule de l'anti-Théophile est
très exactement : anti-Théophile =
Univers - Théophile. Autrement dit, la chose qui
est l'anti-Théophile est celle qui
incarne le "Tout sauf Théophile" (comme
on le dit dans le langage courant), donc tout le
contraire de Théophile !
Si Théophile est un humain,
on sait que cette chose ne peut pas être
un humain, ou plutôt ne doit
pas être un humain. Si c'est
le cas, ils sont tout le contraire l'un
de l'autre, et il ne doivent pas se rencontrer
dans la vie, très exactement comme deux voitures roulant
en sens contraire l'une de l'autre sur autoroute ne
doivent pas être sur la même voie :
La Loi
de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi
des Contraires ou Loi de la Symétrie).
Ici, par non-A il faut entendre "anti-A" ou "contraire
de A" et non pas "négation de A".
Le contraire d'une chose A (c'est-à-dire son anti-chose) existe toujours,
tout comme d'ailleurs la chose elle-même (Théorème
de l'Existence).
Mais la négation d'une chose pose
le problème de son existence.
Les
deux contraires ne doivent pas se rencontrer,
mais tout doit rester possible dans l'Univers
TOTAL, sinon il n'est pas l'Ensemble de
toutes les choses, de toutes les possibilités,
de toutes les événtualités,
de toutes les alternatives. Théophile et anti-Théophile sont
comme matière et anti-matière.
Rencontre d'une particule et
de son anti-particule;
les deux s'annihilent et deviennent des photons.
Les
deux ne doivent pas exister dans le même univers.
Mais si c'est le cas, alors quelque chose doit les opposer,
doit les rendre contraires l'une de l'autre
(comme par exemple en mécanique quantique avec le
principe d'exclusion de Pauli dans le cas des fermions),
doit les séparer, comme donc deux voitures oulant
en sens contraire l'une de l'autre sur autoroute.
Mais l'éventualité de la violation de cette
loi de séparation des contraires doit exister aussi.
Alors les deux choses cessent d'exister comme choses contraires
(ou opposées), mais deviennent une certaine troisième
chose, qui est la fusion des deux. En logique, cela s'appelle
une contradiction,
et sur autoroute par exemple, cela s'appelle un accident
ou une catastrophe :
Comme sur une
autoroute, la chose et son anti-chose ne doivent
pas se retouver dans le même contexte;
mais cela reste une éventualité, car Tout est possible dans l'Univers
TOTAL.
La Loi
de la Chose et de l'Anti-Chose (ou Loi
des Contraires) exige donc que si "Théophile
n'habite pas à Romagnat", alors "non-Théophile
(ou anti-Théophile) habite à Romagnat",
et vice-versa. Et celle loi nous apprend que cette même
phrase signifie que "Théophile non-habite à Romagnat", équivalence
de sens que nous connaissons actuellement et qui est couramment
appliquée. On sait en effet que "nier" une
phrase contenant un verbe c'est "nier" ce verbe.
C'est donc la Loi des Contraires qu'on
applique ainsi au verbe. Théophile accomplit ici à Romagnat
une action qui est le contraire de l'action
d'habiter, qui est l'anti-action (et
non pas la non-action !!!!!!!).
C'est l'action qui est toutes les actions de l'Univers sauf habiter.
On a : anti-habite = Univers - habite.
La
même phrase "Théophile n'habite pas à Romagnat" équivaut à "Théophile habite non-à Romagnat".
La même Loi des Contraires nous apprend
que Théophile obligatoirement quelque part, partout SAUF à Romagnat.
Ici, c'est sur la loi fait un gros plan sur le contraire de
la relation "à" entre le verbe habite et Romagnat.
C'est donc tout sauf cette relation-là. On a : anti-à =
Univers - à. Ces écritures peuvent
paraître étranges, car on est habitué à tout
sauf à calculer avec les mots du langage
courant, à établir arithmétiquement
de nouveaux sens à partir de leur sens ! Mais cela
paraît bizarre tout simplement parce qu'on le fait
avec une langue qui n'a pas la structure du Verba,
la langue de l'Univers. Il s'agit plutôt d'un défaut
des langues actuelles (qui obligent à forger des langages
séparés et des symboles pour faire la science
et les calculs) et non pas d'une absurdité de ces
calculs.
Et
enfin, la Loi des contraires nous apprend que la phrase "Théophile
n'habite pas à Romagnat", a exactement le
même sens que "Théophile habite à non-Romagnat",
c'est-à-dire donc qu'il habite dans l'anti-Romagnat,
dans Univers - Romagnat.