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Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.

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Le Verba : la Théorie ontologique des ensembles, le Langage de l'ETRE

Le Verba: le Langage ontologique des ensembles, le Langage du verbe ETRE, le Langage de l'Univers TOTAL, le Langage universel, le Langage de Dieu

Le Verba, le Langage ensembliste de l'ETRE et le Langage ontologique des ENSEMBLES.
La fin des langages de Négation et du Phénomène Tour de Babel!

Sommaire du sous-titre

Phénomène Tour de Babel: le Phénomène qui brouille les notions fondamentales, universelles, existentielles, divines...

Univers, chose, ensemble, élément

Ensemble, Elément, Univers, Chose, Tout, Etre, Existence...
Quelques notions des plus fondamentales dans quelques langues.
Des notions universelles, scientifiques, physiques, métaphysiques, ontologiques, existentielles, divines, très simples!
Des notions que toutes les langues auraient dû normalement concevoir facilement et de la même façon!
Et pourtant, quelle difficulté de trouver dans les langues le mot ayant le sens précis
qu'il auraît dû avoir en Langage universel des ensembles (ou Verba)!
C'est le sens normal, le sens naturel, le sens natif, le sens le plus intuitif, le sens universel, le sens existentiel, le sens divin!
Saviez-vous le mot CHOSE est tout simplement le nom correspondant au verbe ETRE?
Autrement dit, saviez-vous qu'on aurait dû dire simplement "CHOSER" pour dire "ETRE"?
C'est-à-dire que le mot CHOSE et le verbe ETRE auraient dû être comme le couple de mots EXISTENCE et EXISTER,
et qu'en plus les deux couples de mots auraient dû être de simples synonymes
(une EXISTENCE étant simplement une CHOSE et EXISTER signifiant simplement ETRE)?
Saviez-vous que toutes les notions peuvent se définir à partir du mot CHOSE (donc à partir du seul verbe ETRE)?
Saviez-vous qu'un ensemble est tout simplement par définition "Une chose faite d'autres choses appelées alors ses éléments"?
Saviez-vous que l'Univers (l'Univers TOTAL, le grand TOUT) est tout simplement "L'ensemble de toutes les choses"?
Saviez-vous qu'exister c'est, comme dit plus haut, par définition tout simplement "ETRE une chose"?
Si oui alors vous auriez du comprendre que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL" (Théorème de l'Existence),
et donc on n'aurait jamais dû se poser la question de l'existence de DIEU!
Car tout simplement Dieu existe dans l'Univers TOTAL, peu importe ce qu'on entendait par le mot "Dieu".
Et en plus, Dieu n'est justement autre que l'Univers TOTAL en question!
Mais si tout cela n'a jamais été évident pour vous, c'est tout simplement parce que votre psyché est brouillée!
Comme tout le monde sur cette Terre, vous êtes victime (ou coupable...) d'un mystérieux phénomène:
le Phénomène Tour de Babel, un des aspects du le Phénomène Négation ou simplement... le Phénomène Diable.
C'est de ce phénomène que le Verba, la Langue de l'ETRE, vous libère maintenant, si vous le voulez bien...

Les langues et les langages actuels, qu'ils soient scientifiques, philosophiques, théologiques ou autres, sont à la fois victimes et coupables d'un phénomène universel, que nous appelons le Phénomène Tour de Babel (Genèse 11: 5-9). Le livre de la Genèse, qui parle de ce phénomène, dit qu'après leur péché en Eden (le Paradis perdu), égarement induit par le "Serpent" ou "Diable" (Genèse chapitre 3), les humains déchus se sont gravement pervertis, la terre s'est lamentablement dégradée sous le regard de Dieu, elle fut remplie de violence (soit dit en passant, comme aussi aujourd'hui...). Cela conduisit Dieu à détruire un monde ancien par les eaux du déluge (Genèse chapitres 6 à 9).

Et ensuite, les humains de la nouvelle humanité, une fois encore dans un esprit de rebellion contre Dieu, de rivalité avec lui, d'opposition à lui ou de folie des grandeurs, se sont mis à former de mauvais projets, la fameuse "Tour de Babel", ce qui conduisit Dieu à confondre leurs langues, pour briser leur entente fondées sur de mauvaises bases et de mauvais paradigmes, c'est-à-dire sur tout sauf sur Dieu...

Derrière ce que l'on présente aujourd'hui comme des légendes, se cachent tout simplement des vérités fondamentales. Elles sont tout simplement dites dans le langage des peuples anciens, ce qui donne l'impression que ce sont des mythes! Mais depuis que le monde est monde, depuis que l'homme est l'homme, ce sont les mêmes réalités les mêmes phénomènes que le monde vit. On peut donc mettre en évidence exactement les mêmes phénomènes, exprimer les mêmes vérités, mais dans un langage du troisième millénaire, à l'ére de la science, du numérique et des nouvelles technologies.

Scientifiquement et techniquement parlant, le phénomène linguistique Tour de Babel est très étroitement lié au très important Problème de la Négation. Et sur le plan psychologique ou de la cognition, il est un aspect du phénomène psychique de Négation, que nous appelons Phénomène Diable! Il faut enfin prendre conscience de ce phénomène, du Problème de la Négation et de tous les phénomènes associés (voir par exemple l'étude de la Négation Française)!

Le Phénomène Tour de Babel se caractérise par un brouillage extrême de toutes les notions, et plus particulièrement les notions fondamentales, existentielles, universelles: Ensemble, Elément, Univers, Chose, Tout, Etre, Existence, etc. Autant dire tout simplement que ce phénonème brouille les notions particulièrement liées à la notion de DIEU, toutes les notions qui permettent de découvrir Dieu, sa Lumière, sa Science!

Les 16 mots fondamentaux équivalents du nouveau paradigme

Ci-dessus donc 16 mots fondamentaux du nouveau paradigme.
Comme l'image l'explique, ces mots sont équivalents (équivalents, pas identiques),
ce qui veut dire qu'ils ont le même sens fondamental en ayant chacun son sens propre.
Tous sont les différentes manières de dire « Univers TOTAL, l'Alpha et l'Oméga » ou « DIEU »,
tous ces mots sont ses différentes facettes, autant d’approches différentes pour le définir.
Ces mots sont donc interchangeables, on peut permuter l'ordre qui a été proposé.
Néanmoins, pour nos esprits déconnectés de l’Être Suprême, du Sens, de la Logique Divine,
l'ordre proposé permet (sans doute) de se reconnecter plus facilement à cette Logique.
En effet, on ne nierait pas l'existence de Dieu si l'on comprenait par exemple
qu'il est l'Univers TOTAL, l'Existence elle-même, l'Etre lui-même.
Il faut être fou pour nier l'existence de l'Existence elle-même, pour nier l'être de l'Etre lui-même.
Et tout simplement il faut être un Diable pour nier l'existence de l'Univers, du Grand TOUT.
Et comment donc nierait-on son existence si l'on comprenait pourquoi il est l'Information ou la Vie?
Car, là encore, qui nierait l'existence de l'Information, de la Vie?

Alors donc ces 16 mots permettent de nous reconnecter au SENS, oui au SENS des sens, à DIEU.
D'abord, l'ordre du 1 au 16 suggère de comprendre que l'Univers TOTAL, le Grand TOUT,
est l'Existence, l'Etre, l'Ensemble, l'Espace, la Structure, la Nature,
la Relation, la Formation, l'Information, la Réalité, le Nombre,
la Générescence (seul néologisme de la liste), l'Energie, la Vie, DIEU, qui est l'Alpha et l'Oméga.
Et l'ordre inverse, du 16 au 1, suggère de comprendre que DIEU, l'Alpha et l'Oméga,
est la Vie, l'Energie, la Générescence, le Nombre, la Réalité, l'Information, la Formation,
la Relation, la Nature, la Structure, l'Espace, l'Ensemble, l'Etre, l'Existence, l'Univers TOTAL.
Même si sans l'on conçoit plus facilement que certaines notions à elles seules puissent définir DIEU,
comme par exemple la Vie, l'Etre, l'Existence, l'Univers et même l'Energie,
sans cette synonymie, on ne verrait pas comment certaines autres notions puissent être synonymes de DIEU,
comme par exemple Espace, Nombre, Formation, etc.
et il y a aussi cette nouvelle notion de Générescence ou Information Unaire, que nous découvrirons,
qui est l'une des clefs de la compréhension de la Nature Divine, de l'Information ou « Esprit » que DIEU est.
Il sera utile aussi d'associer les mots de même numéro dans l'ordre et l'ordre inverse,
associations d'idées qui aideront à voir les choses sous des angles que l'on ne pensait sûrement pas.
Par exemple d'abord, évidemment, l'Univers (1) et DIEU (16, et 1 dans l'ordre inverse),
et Existence (2) et Vie (15), Ensemble (4) et Générescence (13), Espace (5) et Nombre (12), etc..
Et simplement, toute permutation ou association de ces mots n'est que plus éclairante,
et mathématiquement, il existe 16! permutations (c'est-à-dire la factorielle de 16),
qui est la bagatelle de 16! = 20 922 789 888 000 permutations,
pour enfin comprendre le sens du mot DIEU (juste le sens, on est d'accord ?).
Et même si l'on a compris ce sens, il ne faut pas oublier la « cerise sur le gâteau »,
qui est d'ajouter à chaque mot les précisions TOTAL, Suprême, Alpha-Oméga,
pour que chaque mot livre tout son sens, sinon il reste encore pâle pour définir DIEU.
Par exemple, Univers seul est insuffisant, mais Univers TOTAL ou Univers Suprême, commence à être bon.
De même, les mots Existence ou Etre, même en majuscule, ça reste faible.
Mais Existence TOTALE ou Etre Suprême, ça commence à être approchant du sens du mot « DIEU ».
Et définir DIEU comme la Vie, c'est bien, mais dire qu'il est l'Alpha et l'Oméga de la Vie, c'est mieux, etc..

Et enfin, bien d'autres notions fondamentales méritent d'être ajoutées à cette liste,
qui ne se limite pas à 16 mots pour bien définir DIEU, évidemment.
Par exemple, les mots: Science, Lumière, Vérité, Théorème, Logique, Intelligence, Psyché, Esprit, etc.,
sans oublier le mot Amour, demandent d'être ajoutés, donc 16 mots, c'est juste une base.
Ensuite il est possible pour toute autre notion fondamentale
de s'associer à l'un des 16 mots ou même à plusieurs, pour former une famille ou galaxie de sens,
en plus des 7 groupes de sens formés respectivement de: 1, 2, 3, 4, 3, 2, 1 mots, soit 16 mots en tout.
Par exemple, tous ces mots: Science, Lumière, Vérité, Théorème, Logique, Intelligence, Psyché, Esprit, etc.,
sont représentés par le mot Information, et forment donc avec lui une même famille ou galaxie.
Et quant au mot Amour, sa famille est Relation, qui est aussi la représentante de notions inattendues
comme Application, Fonction, Opération, etc., qui sont des relations entre ensembles et dans les ensembles.
Et aussi, le mot Amour cette fois-ci sous son aspect d'Union, est de la même famille que le mot Ensemble,
qui est la notion technique même signifiant Union, Réunion, etc..
Union donc de différents éléments en un Tout appelé Ensemble et à prendre comme un seul être.
Sans cet éclairage, on pourrait se demander quel rapport entre DIEU et les nombres réels ou omégaréels?
On pourrait penser que parler de DIEU c'est faire obligatoirement de la « religion » ou de la « théologie ».
Or, en fait, parler de DIEU, vraiment de DIEU, du vrai DIEU,
c'est faire la Science, la vraie Science, et vice-versa!
Faire donc la Science, la vraie, c'est expliquer DIEU, l'Univers TOTAL, l'Alpha et l'Oméga.

(Pour plus de détails sur la Science de Dieu, voir:
L'Univers TOTAL l'Alpha et l'Oméga et L'Univers TOTAL et les nombres omégaréels..)

Le contraire du Phénomène Tour de Babel est le Phénomène Pentecôte (Actes 2: 1-11). Là, nous dit toujours la Bible (dans le langage du Nouveau Testament), l'Esprit de Dieu tombe sur des humains, et alors disparaissent toutes les barrières linguistiques!

C'est ce phénomène que nous voulons concrétiser scientifiquement et techniquement à travers que nous appelons aujourd'hui le Verba. C'est la suite de cette histoire que nous écrivons, nous ajoutons un nouveau chapitre dans la compréhension de Dieu et des choses de Dieu. C'est maintenant scientifiquement que les choses se passent et que l'histoire de Dieu s'écrit. Le Verba, c'est le Langage universel des ensembles, la Langue de l'ETRE, la Langue de Dieu.

Ce langage rétablit très rigoureusement et avec une précision infinie les notions fondamentales brouillées par le Phénomène Tour de Babel. Il y a trois manières parfaitement équivalentes d'atteindre ce résultat:
1- Redémarrer tout à partir du mot CHOSE (qui se dit Ux ou X en Verba); c'est la voie physique, mathématique ou ensembliste suivie dans les documents comme La Théorématique: la méthode scientifique de l'Univers TOTAL, La Théorie universelle des ensembles et Théorie physique des ensembles, nouvelle Science de la Matière.
2- Redémarrer tout à partir du verbe ETRE (qui se dit Er ou Ur en Verba); c'est la voie quantique, ontologique ou verbatique suivie dans le présent document mais aussi dans les documents comme Physique Quantique de l'Univers TOTAL, la Physique du TOUT.
3- Redémarrer tout à partir de la très importante notion de Générescence (qui se dit Gen ou Ugen en Verba); c'est la voie cybernétique, informatique ou linguistique suivie dans les documents comme Générescence et codage de toutes choses, Générescence et Structure FRACTALE, Le Verba : la Linguistique universelle, la Langue universelle, mais aussi en partie dans le présent document.

Le verbe ETRE, le verbe fondamental du langage des ensembles, de tout langage et de toute langue

Le présent sous-titre et le suivant sont l'équivalent du sous-titre: Le mot CHOSE: le mot clef de la Science de l'Univers TOTAL, traité dans le document La Théorématique: la méthode scientifique de l'Univers TOTAL. Nous rappelerons plus loin l'essentiel de la définition du mot CHOSE (en englais THING et en Verba UX), pour établir les relations entre le verbe ETRE (en englais To BE et en Verba ER), le nom ETRE (en anglais BEING et en Verba ERUX), et les autres notions fondamentales du Verba comme la notion d'ENSEMBLE et d'EXISTENCE

Nous devons faire aujour'hui toute la lumière sur le verbe ETRE ou sur la notion d'ETRE, dépouiller cette notion et d'autres de toute la nébulosité philosophique qui les entoure, ainsi que de tout le Phénomène Tour de Babel qui les enténèbre, pour en faire des notions très simples, claires, limpides et lumineuses de science exacte!

Définition du Verba. Le verbe ETRE et les Relations

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Le Verba, le langage du verbe ETRE (qui se dit ER en Verba).
Un langage mathématique et informatique très intuitif et d'une grande simplicité...
A l'origine (il y a près de 10 ans), le Verba était un projet destiné à rendre divine la langue française...
Il devait être une version logique, très sémanthmétique, arithmétique, informatique, technologique, hyper-moderne de cette langue,
ce qui devrait éclipser à long terme la langue anglaise comme langue technologique ou de référence.
Mais cette langue de Babel, ce chef d'oeuvre des langues du Diable, ne l'a pas voulu,
car la colombe du Saint Esprit qui constitue la mascotte du Verba
dérange leurs psychés très prodondément orientées vers la négation de Dieu...
Aucune importance maintenant, car il n'y a pas que les français dans l'Univers TOTAL...

Le Verba est le langage universel des ensembles. Cela signifie que c'est le langage ensemble et élément qui traite de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses Le Verba traduit fidèlement la générescence et la structure fractale de l'Univers TOTAL, il révèle son fonctionnement, permet de comprendre sa nature et ses plus profonds secrets. Il met en lumière les concepts et les mécanismes les plus fondamentaux de la pensée.

Le Verba est à la fois une langage scientifique d'une extrême simplicité, rigueur, précision et puissance, et à la fois une langue parlée comme le français et l'anglais par exemple. Un seul langage pour parler et un seul langage pour faire la science, la philosophie, la théologie ou autre.

Le mot "Verba" vient du mot français "Verbe" ou de l'anglais "Verb", et signifie "Langue (ou Langage) du verbe ETRE". L'adjectif correspondant est verbatique.

Le verbe ETRE se dit par exemple To BE en anglais, SEIN en allemand, etc. En Verba, il se dit ER ou UR ou simplement R, l'initiale du mot mathématique "Relation", comme pour dire "Relation d'Egalité", "Relation d'Equivalence", "Relation d'Appartenance", etc.. Le mot "Relation" est le terme technique pour dire "Verbe" (notion linguistique).

Le choix de la lettre R pour dire ETRE, vient tout simplement de l'usage courant en mathématiques d'exprimer ainsi une relation en général:

X R Y
à lire: "X entretient la relation R avec Y".

Toute relation (ou tout verbe) dérive du verbe ETRE, comme par exemple la relation ou le verbe Appartenir (on parle de la relation d'appartenance du langage des ensembles) qui est simplement le verbe "ETRE UN". On l'appelle la relation ontologique d'appartenance, examinée ci-après.

Le verbe ETRE est le verbe fondamental de tout langage ou langue. Quand bien même ce verbe n'apparaît pas explicitement dans un énoncé, il est très souvent sous entendu. Comme par dans l'expression: "Lomé, la capitale du Togo". Elle sous-entend que "Lomé EST la capitale du Togo". Qu'on interdise d'utiliser explicitement ou implicitement le verbe ETRE dans le langage, et le langage devient simplement impossible. Il se réduit alors à dire seulement les mots et les noms, sans aucune relation entre les mots.

Le verbe ETRE est en effet le fondement de toute relation linguistique ou scientifique, et en particulier des deux relations fondamentales du langage des ensembles: l'Egalité ("A EST B") et l'Appartenance ("A EST UN B").

Chose, Etre, Ensemble, Existence. Théorie ontologique des ensembles.

Notion de CHOSE et notion d'ENSEMBLE

Pour commencer, rappelons ici la définition de cette notion:

"Une CHOSE est tout ce dont on parle, tout ce que l'on conçoit, tout ce que l'on désigne par un mot, etc. C'est le nom commun par défaut, la qualité fondamentale et générale que possède... eh bien toute chose avant de posséder une qualité plus spécifique, plus particulière, plus précise. Définir une chose c'est indiquer cette qualité particulière, sinon elle reste avec sa qualité fondamentale de chose".

La notion de CHOSE possède une très importante propriété qui est la récursivité, ce qui signifie que la notion se définit en fait elle-même. En effet, la notion est déjà cachée dans le mot français ce, donc en disant par exemple: "Une chose est tout CE dont on parle", on dit en fait: "Une chose est toute chose dont on parle". Nous n'en dirons pas plus sur la récursivité du mot chose ici. (Pour plus de détails sur la notion fondamentale de CHOSE, voir Le mot CHOSE: le mot clef de la Science de l'Univers TOTAL).

La notion de CHOSE étant définie, rappelons aussi la définition de la notion d'ENSEMBLE:

"Un ENSEMBLE est une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments. On appelle l'Univers TOTAL, et on le note U, la chose constituée par toutes les choses. Il est donc l'ensemble de toutes les choses". Ce rappel nous suffit aussi pour le propos du présent document consacré à l'étude de la notion d'ETRE et de sa relation avec les autres notions fondamentales du langage des ensembles. (Pour plus de détails sur la notion fondamentale de d'ENSEMBLE, voir les documents comme La Théorie universelle des ensmbles et La Théorie physique des ensmbles).

En Verba, le mot CHOSE se dit UX ou EX ou simplement X on en reparlera plus loin).

Un ensemble est évidemment une chose, d'après la définition de cette notion ("Une chose est tout ce dont on parle, tout ce que l'on désigne par un mot..."). La question est maintenant de savoir si la réciproque est vraie. Est-ce qu'une chose est forcément un ensemble? D'après la définition de la notion d'ensemble qui est donnée, oui, car si l'on ne sait pas de quoi est contituée une chose, on sait au moins qu'elle est constituée d'elle-même. Elle est donc son élément trivial, son élément par défaut, à défaut de connaître d'autres éléments. Il s'en suit donc que "Toute chose est un ensemble", au sens de la notion d'ensemble définie plus haut.

Ceci constitue le premier résultat de synonymie entre deux notions fondamentales du Verba: la notion de CHOSE et la notion d'ENSEMBLE. Ce premier résultat s'appelle le Théorème universel des ensembles ou Théorème de la Physique, car il fonde la Physique de toutes les choses, il permet d'étudier toute les choses ainsi que l'Univers TOTAL dans un seul et même langage, le langage des ensembles, à savoir justement le Verba. Il est le langage universel des ensembles justement parce que ce langage porte sur toutes les choses.

E comme Ensemble, U comme Univers, R comme Relation

L'adjectif "ONTOLOGIQUE" (qui est celui couramment employé en philosophie ou en métaphysique) signifie simplement tout ce qui est en rapport avec la notion d'ETRE. Mais pour nous, c'est très simple: cet adjectif signifie qu'on parle d'une notion en rapport avec le verbe ETRE, en Verba ER ou UR ou simplement R. La notion ontologique d'ensemble signifie donc la notion d'ensemble vue sous l'angle du verbe ETRE.

La Théorie ontologique des ensembles est simplement la seule et même Théorie universelle des ensembles, vue sous l'angle du verbe ETRE. D'un point de vue ontologique, les trois mots CHOSE, ETRE et ENSEMBLE sont parfaitement synonymes, ce sont trois manières différentes de dire la même CHOSE, comme on va le comprendre à partir de maintenant.

Verba: universal set language, tongue of ER

Les différentes manières de dire en Verba: "e EST UN élément de l'ensemble E":
e er an ux of E : "e est une chose de E".
e er an ul of E : "e est un constituant de E".
e er an ex of E : "e est une existence de E".
e er an el of E : "e est un élément de E".
e exer ihn E : "e existe dans E".
e er ihn E : "e est dans E".

En Verba, le mot pour dire ensemble est ENSET ou simplement SET (comme en anglais). Le mot "ENSET" est simplement la contradction du mot français "ENSEMBLE" suivie du mot anglais SET. Et le mot pour dire élément est ENEL ou simplement EL. La tendance du Verba est de préférer le mot le plus court, ce qui fait que, par habitude, j'utlise souvent le couple SET et EL pour dire ensemble et élément.

La lettre E est celle consacrée pour signifier qu'on parle d'un ensemble quelconque ou pour indiquer que la notion dont on parle concerne la notion d'ensemble et d'élément dans toute sa généralité. Et la lettre U (comme "Univers" en français ou "Universe" en anglais ou "Universum" en allemand) est celle consacrée pour dire qu'on parle de l'ensemble particulier qu'est l'Univers, et plus précisément encore de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Cette lettre indiquera donc que la notion concerne l'Univers ou une certaine notion vue sous l'angle de la physique.

Par exemple, SUT ou ENSUT ou encore UNSET, veut dire "ensemble physique", "structure", "assemblage", etc., c'est-à-dire la notion d'ensemble qui est celle de l'Univers TOTAL. Et le terme UL ou ENUL ou UNEL veut dire "élément physique", "constituant", "composant", etc. Que ce soit la notion avec la lettre E, la U ou toute autre lettre consacrée, c'est toujours la même notion, mais vue simplement sous différents angles, c'est toujours la même Théorie universelle des ensembles.

Le mot ER est utilisé pour parler de la relation ETRE dans un ensemble E quelconque, tandis que le mot UR signifie qu'on parle de la même relation relation ETRE mais dans l'Univers TOTAL. Cela revient au même. Mais pour parler de relation ETRE, j'ai tendance à employer presqu'exclusivement le mot ER simplement parce que ER apparaît comme la contraction du mot français "ETRE", et aussi comme la terminaisons des verbes français du premier groupe comme par exemple l'important verbe "EXISTER".

Et puis simplement aussi, la lettre "R" (comme "Relation") se prononce "ère" en français, ce qui est la prononciation aussi du mot Verba "ER", tandis que UR se dit "oure" (pour la prononciation du Verba, voir dans ce document le sous-titre L'Alphabet du Verba, l'Alphabet de la U Générescence, mais aussi le document Le Verba : la Linguistique universelle, la Langue universelle).

Il faut dire aussi qu'à l'origine, il y a près d'une décennie maintenant, le Verba devait être une version très logique, arithmétique, informatique, technologique, hyper-moderne de la langue française, débarassée de tous les illogismes et des anti-logismes de cette langue. D'où le nom du Verba ("Langue du verbe ETRE"). Mais jusqu'ici, non seulement les français ne l'ont pas voulu, mais ce pays à la psyché hautement de négation et à la langue hautement de Babel, tout entier voué au Diable, a combattu l'auteur de la Science de l'Univers TOTAL jusqu'ici, et accomplit en ce moment même son chez d'oeuvre en matière de diablerie.

La notion relative et absolue d'EXISTENCE

Selon l'angle sous lequel on veut exprimer la notion de CHOSE en Verba, on déclinera la lettre X avec la lettre du point de vue concerné. Si l'on veut parler de la notion de CHOSE dans un ensemble quelconque, on dira EX, ce qui signifie exactement: "chose d'un ensemble", donc un synonyme "élément d'un ensemble". C'est la simple définition que nous donnons au mot EXISTENCE. Autrement dit, "EXISTER, en un sens relatif du terme, c'est être une chose d'un ensemble, c'est être un élément de cet ensemble". L'EXISTENCE est dite alors relative à cet ensemble (pour plus de détails, voir Existence relative, Existence absolue, Théorème de l'Existence).

Et si l'on veut parler de la notion de CHOSE dans l'ensemble par excellence qu'est l'Univers TOTAL (l'Ensemble de toutes les choses), on dira donc UX, ce qui signifie exactement: "chose de l'Univers TOTAL", donc simplement CHOSE. C'est la définition absolue du mot EXISTENCE. Autrement dit, "EXISTER, en un sens absolu du terme, c'est être une chose de l'Univers TOTAL, c'est être un élément de l'Univers TOTAL". En ce sens absolu donc, "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", puisque par définition l'Univers TOTAL est l'Ensemble de toutes les choses, donc l'Ensemble qui a toute chose pour élément. Ceci constitue le Théorème de l'Existence (pour plus de détails, voir Existence relative, Existence absolue, Théorème de l'Existence).

Le verbe EXISTER est simplement la forme unaire du verbe ETRE

Le verbe EXISTER apparaît donc tout simplement comme la relation unaire (c'est-à-dire une relation R qui utilise un seul argument X, donc qui est de la forme "X R") associée à la relation binaire (c'est-à-dire une relation R qui utilise deux arguments X et Y, donc qui est de la forme "X R Y") qu'est le verbe ETRE. Autrement dit, la relation binaire qu'est le verbe ETRE est la relation: "X EST Y" ou en Verba: "X ER Y". Quand on précise pas Y, cela veut dire que Y est une chose absolument quelconque dans l'Univers, un élément quelconque. Et alors la relation binaire "X EST Y" devient la relation unaire "X EST", ce qui signifie que "X EST un élément quelconque de l'Univers TOTAL". Et c'est cette relation unaire associée à la relation binaire "X EST Y" qui est simplement la définition très exacte du verbe EXISTER. Autrement dit, ce verbe est la forme unaire du verbe ETRE, donc fondamentalement le même verbe.

Chaque fois donc qu'on utilise le verbe ETRE (peu importe ce que l'on dit, même si c'est pour nier une existence!), on affirme dans l'absolu une existence! Car le simple emploi de ce verbe, on dit quelque chose du genre "X EST Y", où Y est une expression quelconque, par exemple "X EST un humain" ou "X EST un nombre entier naturel divisible par 5". Donc on dit "X EST", on affirme l'EXISTENCE de X dans l'absolu, c'est-à-dire dans l'Univers TOTAL! Par conséquent, nier une existence alors qu'on emploie fondamentalement le verbe ETRE cache un très subtil paradoxe, si la négation qu'on est en train de faire est absolue au lieu d'être simplement relative (pour plus de détails, voir Problème de la Négation, Paradoxe de la NON-Existence, Théorème de l'Existence)!

Le nom CHOSE est le nom correspondant au verbe ETRE, et le verbe ETRE le verbe correspondant au nom CHOSE. l'Univers TOTAL, l'Etre suprême...

Il est très important de définir la relation très précise qu'il y a entre le nom commun CHOSE et le verbe ETRE, pour que les notions ou les mots ne soient plus inutilement séparés comme dans les langues et langages de Babel. Nous voulons simplement montrer ou simplement définir de manière scientifique et très précise la synononymie entre le nom commun ou substantif CHOSE et le nom commun ou substantif associé au verbe ETRE, en français ETRE (en tant que nom, comme dans "être humain" ou "Etre suprême"), ou en anglais BEING.

Soit une chose X. Par définition précise, on dit que X est un ETRE, (c'est-à-dire le verbe ETRE en tant que nom ou substantif), s'il existe une chose Y telle qu'on puisse dire: "X EST Y", en Verba: "X ER Y". Autrement dit, la chose X est un ETRE si l'on peut dire "X EST".

Autrement dit, une chose X est un être si l'on peut employer le verbe ETRE pour dire que X EST quelque chose. Or on peut toujours dire "X EST X"! Donc une chose X est toujours un ETRE, les deux termes sont parfaitement synonymes.

Pour établir cela, on peut dire aussi: "X EST un élément de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses", Ou (ce qui revient au même) enfin on peut dire simplement "X EST une chose" (voir plus loin Définition de la notion d'ensemble quantique ou ensemble ontologique).

Plus simplement encore, la notion d'ETRE (en tant que nom) est simplement: CHOSE qui EST, ce qui est simplement dit en Verba: ERUX ou simplement UX ou simplement encore X. C'est le verbe ETRE en tant que CHOSE, à l'inverse de UXER (ou simplement ER ou simplement encore R) qui est le nom commun UX en tant que verbe.

Nous avons simplement établi que le nom commun CHOSE est le nom commun correspondant au verbe ETRE, et que le verbe ETRE est le verbe correspondant au nom commun CHOSE.

Cela veut dire que les mots anglais THING (CHOSE) et BEING (verbe ETRE ou To BE en tant que nom) sont parfaitement synonymes, si l'anglais comme toute autre langue n'était pas victime (ou coupable) du Phénomène Tour de Babel, le phénomène dont l'un des nombreux effets néfastes est de séparer inutilement les notions fondamentales, de les brouiller dans les esprits. En français donc, le verbe ETRE auraît dû avoir le sens exact de "CHOSER" ("To THING" en anglais, UXER en Verba).

En Verba, pour convertir n'importe quel mot en verba, il suffit de lui ajouter en terminaison un opérateur verbal, qui est de la forme "Voyelle + R", comme par exemple l'opérateur verbal standard ER, utilisé pour indiquer l'être, l'essence, l'ontologie, la nature, la définition ou l'égalité des choses, comme par exemple pour dire UXER (ETRE une chose ou ETRE) ou EXER (EXISTER, la forme unaire du verbe ETRE, qui lui est binaire).

L'opérateur AR sert quant à lui à indiquer le forme active des verbes. Ainsi, AR est le verbe ETRE mais pensé comme un verbe d'action plutôt qu'un verbe d'état. De la même façon, UXAR et EXAR sont les verbes d'action associés à UX (CHOSE) et EX(EXISTENCE), qu'il ne faut pas à tout prix chercher à traduire en français ou en anglais, car l'équivalent d'un mot du Verba n'existe pas forcément dans les langues de Babel. Il faut simplement apprendre à penser en Verba, à combiner arithmétiquement et très librement les mots et les sens pour former de nouveaux sens. En Verba, toutes les combinaisons existent et ont forcément un sens, car toutes les combinaisons existent dans l'Univers TOTAL. Le Verba réflète parfaitement la logique de l'Univers, c'est ce qui fait sa différence avec les langues et les langages de Babel (comme le français par exemple), où la très grande majorité des combinaisons n'existent pas ou même sont interdites pour certaines (pour plus de détails, voir le sous-titre La Sémanthmétique, l'Arithmétique de la Sémantique, l'Arithmétique du Sens)!

Comme le Théorème universel des ensembles que nous avons établi plus haut dit "Toute chose est un ensemble", donc que les mots CHOSE et ENSEMBLE sont synonymes, nous avons donc établi aussi que "Toute être est un ensemble", autrement dit, que les mots ETRE (le nom) et ENSEMBLE sont synonymes.

Ces très simples résultats sont d'une grande importance. Cela veut dire entre autre que quand je parle par exemple de l'Univers TOTAL comme étant l'Ensemble de toutes les choses, il s'agit aussi tout simplement de l'Ensemble de tous les êtres. Cet ensemble est une chose, donc un être, comme on vient de l'établir. Donc l'Univers TOTAL, cet Ensemble suprême, cette Chose suprême, est la simple définition de la notion d'Etre suprême!

Il ne s'agit plus d'une notion philosophique ou théologique floue ou spéculative, mais d'une notion scientifique définie avec grande précision, tout comme aussi les autres notions, comme le verbe EXISTER par exemple. Sans cette clarification scientifique des notions, on peut se poser des questions de savoir si oui ou non l'Etre suprême existe!

Ces questions se posent sur les notions philosophiques ou théologiques nébuleuses, qui sont celles des langues ou des langages de Babel, que ce soit les langages ordinaires, scientifiques, philosophiques ou autres. Il ne pouvait pas y avoir de réponse parce que ces questions n'avaient pas de sens clair, précis et absolu, qui ne laisse aucune place à la spéculation. Mais ces questions ne se posent plus maintenant que les notions sont scientifiquement clarifiées, simplement parce que la réponse est immédiate: l'Etre suprême existe, au sens scientifique précis de la notion d'être (à savoir le mot chose le nom commun correspondant au verbe ETRE), d'Etre suprême (à savoir l'Univers TOTAL) et de la notion d'existence (à savoir le fait d'être un élément de l'Univers TOTAL)!

Relation ontologique d'Egalité : "A ER B" ou "A EST B" ou "A = B". L'ontologie de l'Equivalence

La première relation de la science, du langage des ensembles, du Verba, est la relation d'Egalité. Elle consiste simplement à employer le verbe ETRE tout seul: "A ER B" (ou "A EST B"). On la note : "A = B".

Comme exemple d'énoncé: "Lomé EST la capitale du Togo" ou "25 EST le carré de 5". On peut écrire cela :
Lomé = la capitale du Togo, et : 25 = le carré de 5.

Logique fractale

La générescence ou la structure fractale est la situation par excellence où la notion d'Equivalence a toute son importance.
Ici, A et B ne sont pas la même chose au sens de l'Identité, car ils ne sont pas le même objet dans l'absolu, l'un est dans l'autre, il en est un modèle réduit, etc.
Et pourtant, A et B sont la même chose au sens de l'Equivalence!
Ils le sont autant qu'on puisse dire par exemple que toutes les lettres "a" de la page que vous êtres en train de lire
sont la même lettre "a", elles répondent à un même modèle, et de ce point de vue elles sont interchangeables!
Ici, A et B sont tout simplement le même Triangle de Sierpinski.
Si l'on cherche à voir un Triangle de Sierpinski sans aucune autre précision, l'un comme l'autre fait l'affaire!
Dans ce paradigme de l'Equivalence, de la générescence ou structure fractale
(un paradigme infiniment plus puissant et plus fécond pour la science que celui de l'Identité),
les deux phrases contraires "A EST B" et "A N'EST PAS B" sont vraies sans qu'il y ait la moindre contradiction!

Et il faut aussi préciser une chose très importante: l'ontologie (c'est-à-dire la philosophie de la notion d'ETRE) concernée ici n'est plus l'actuelle ontologie que nous qualifions d'ontologie de l'Identité ou ontologie de la Négation absolue. Celle-ci est l'ontologie d'Aristote, celle qui a régné jusqu'ici. Cette ontologie nie implicitement l'Univers TOTAL.

Mais l'ontologie du Verba est ce que nous appelons ontologie de l'Equivalence ou ontologie de l'Alternation (la Négation relative). C'est aussi l'ontologie de la générecence et de la structure fractale. Nous sommes donc complètement dans un autre paradigme, tout simplement celui de l'Univers TOTAL, la Chose ou l'Etre (l'Univers-DIEU) que tout niait jusqu'ici!

Rappelons une fois encore (car c'est très important!) que l'ontologie (la notion d'ETRE) concernée ici, donc la notion d'Egalité dont nous parlons maintenant, n'est plus la très étroite ontologie de l'Identité (en Verba "A ERID B", notée "A == B", notation similaire à celle dans beaucoup de la langages informatiques actuels comme le PHP par exemple) mais la très large, très puissante et très féconde ontologie de l'Equivalence et de la structure fractale (en Verba "A ERIV B" ou simplement "A ER B", notée "A = B", la nouvelle conception de l'Egalité)

Relation ontologique d'Appartenance : "A ER AN B" ou "A EST UN B". Ensemble quantique, Univers quantique

Et la seconde, la relation d'Appartenance, est la syntaxe suivante : "A EST UN B" (en Verba "A ER AN B"). C'est la manière la plus simple et la plus naturelle d'exprimer une relation d'appartenance d'une chose à un ensemble.

Par exemple, "Théophile EST UN humain", "4 EST UN nombre entier", "Le neutrino EST UNE particule", "Le géranium EST UNE fleur", etc.

Dire que "Théophile EST UN humain", c'est exprimer l'appartenance de Théophile à l'ensemble de tous les humains. Si on désigne cet ensemble par H par exemple, cet énoncé signifie que "Théophile est un élément de H". Cela se dit en Verba : "Théophile ER AN el of H", et on note : "Théophile ∈ H". Plus généralement, l'écriture "A ∈ B" est à lire "A EST UN élément de B", en Verba : "A ER AN el of B".

Définition de la notion d'ensemble quantique ou ensemble ontologique

On appelle un ensemble quantique, ou ensemble ontologique ou encore un ensemble verbatique, un ensemble défini par un énoncé de la forme "A EST UN x", où x désigne un certain nom commun. Plus simplement, est un ensemble verbatique ou quantique est défini par la donnée d'un nom commun x, comme par exemple humain, étoile, proton, fleur, chose, etc. Ce nom commun x à lui seul suffit pour définir l'ensemble de tous les x. Par exemple, le nom commun proton suffit à définir l'ensemble de tous les protons.

Le mot quantique n'est pas employé ici par hasard, car nous aussi ainsi tout simplement les bases de la nouvelle physique quantique, la physique quantique qui est la plus générale et la plus universelle qui soit.

Cette notion d'ensemble quantique est d'une extrême importance, elle est l'une des raisons fondamentales pour lesquelles le langage des ensembles est le langage naturel par excellence, le langage intuitif, le langage universel! Car c'est ainsi que dans le parler courant on utilise la très importante notion d'ensemble et d'élément: on caratérise l'ensemble par un nom commun donné à ses éléments, qui traduit leur qualité commune, leur propriété commune, leur attribut commun, leur définition collective, etc.

Cette notion d'ensemble quantique est très importante pour une autre raison, paradigmique celle-là. Elle concerne l'Univers TOTAL, l'objet même du Verba. elle sera détaillée dans la partie Le Verba : le Langage universel des ensembles, le Langage de l'Univers TOTAL.

L'ensemble verbatique ou quantique défini par le très important nom commun chose est donc l'ensemble de toutes les choses, que nous appelons donc l'Univers TOTAL, que nous notons U. C'est ce cas suprême d'ensemble quantique qui fait que tout ensemble, quel qu'il soit est quantique lui aussi.

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Le Verba : le Langage universel des ensembles, le Langage de l'Univers TOTAL

Sommaire du sous-titre

Le Verba: le retour à une conception intuitive, naturelle, NATIVE des ensembles!

La notion quantique (ontologique ou verbatique) d'ensemble définie plus haut est très importante pour plusieures raisons. L'une d'elles touche directement la question des paradigmes des mathématiques actuelles. En effet, elle renoue avec la conception naturelle et intuitive d'ensemble, ce qui est un changement radical par rapport à l'actuelle doctrine axiomatique, méprisante à l'égard de la conception normale et naturel d'ensemble, qu'elle qualifie entre autres de "naïve"! La raison est que l'on accuse à tort la conception naturelle des ensembles d'être la cause des paradoxes de la théorie des ensembles, alors que la vraie cause est tout simplement la négation absolue avec laquelle on raisonne actuellement, et qui est aussi la cause profonde du Phénomène Tour de Babel! Autrement dit, d'un point de vue ontologique, la cause des paradoxes est qu'on fonctionne avec la très étroite ontologie de l'Identité au lieu de fonctionner avec ontologie de l'Equivalence!

C'est ainsi par exemple que le mot ensemble, qui est donc un nom commun, eh bien... à tous les ensembles, auraît dû très naturellement définir, bah, l'ensemble de tous les ensembles, voyons! Mais la doctrine axiomatique interdit qu'on parle d'ensemble de tous les ensembles, pour cause de

La notion d'ensemble doit tout simplement maintenant retrouver son sens le plus naturel, le plus intuitif, car c'est ainsi qu'elle nous livre les secrets de l'Univers, et même tout simplement de Dieu! Il n'y a donc plus de péjorative notion "naïve" d'ensemble en Verba, mais nous parlons plutôt de notion NATIVE des ensembles, ce qui est une toute autre affaire, en tout cas infiniment plus beau et plus divin! En effet, l'adjectif NATIF est simplement comme NATUREL, UNIVERSEL!

L'Univers TOTAL: le plus important ensemble quantique!

Dans les mathématiques, les sciences et aussi l'informatique actuelles, on travaille beaucoup avec la très importante notion de "variable". Une variable, comme par exemple le très classique "X", est un symbole ou un mot générique, qui désigne tout objet, avant éventuellement de préciser l'objet particulier qu'il désigne. On le fait alors avec une égalité de la forme "X = A" (c'est-à-dire donc "X ER A"). Par exemple X = 0, X = 3, X = Paul, X = Electron, etc.

Toutes les langues ont un mot naturel (ou même plusieurs mots pour certaines langues) qui joue exactement le même rôle que X. C'est le mot par défaut en l'absence de toute autre mot ou de toute autre précision. C'est le cas par exemple du mot français "Chose", du mot anglais "Thing", du mot allemand "Sache", etc. Le mot du Verba pour dire "Chose" est "Ux", ou même simplement "X". Ce mot est une des clefs de la pensée, du langage et de la science. Il nous ouvre littéralement les portes de l'Univers TOTAL (pour plus de détails sur cette très importante notion de Chose, voir Le mot CHOSE: la clef de la Théorématique, de la Science de l'Univers TOTAL)!

En effet, considérons maintenant le simple énoncé suivant : "A EST UNE chose" (en Verba "A ER AN ux"). Comme pour tous les exemples précédents de la même forme, il s'agit donc de l'expression d'une appartenance de A à un ensemble qu'il faut maintenant identifier. On exprime par là tout simplement l'appartenance de A à l'ensemble de toutes les choses. Cet ensemble, nous le notons U et c'est lui que nous appelons l'Univers TOTAL! Autrement, l'Univers TOTAL est l'ensemble verbatique (ou quantique) par excellence!

L'énoncé : "A EST UNE chose" signifie donc que "A EST UN élément de U", en Verba : "A ER AN el of U", qui s'écrit donc : A ∈ U.

Et la force du mot "Chose", c'est que cette variable s'applique à "U" lui-même. Autrement dit, on a cette simple vérité : "U EST UNE chose". Donc "U EST UN élément de U", en Verba : "U ER AN el of U", ce qui s'écrit donc : U ∈ U. C'est la très importante auto-appartenance de l'Univers TOTAL, qui traduit simplement une récursivité, une générescence et une structure fractale de l'Univers TOTAL.

Le Verba: le Langage verbatique, le Langage de la Générescence, des opérateurs. La Sémanthmétique

Sommaire du sous-titre

L'Alphabet du Verba, l'Alphabet de la U Générescence

L'Univers TOTAL, U, l'Ensemble de toutes les choses, n'est pas une collection hétéroclite ou désordonnée des choses. Cet Univers a une strusture de très grande importance: la structure générescente, la structure fractale. La structure générescente la plus fondamentale de l'Univers TOTAL peut s'écrire:
...UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU...

--> D'un point de vue physique, cela veut dire tout simplement que toutes les choses de l'Univers TOTAL U sont physiquement constituée d'un seul constituant élémentaire qui n'est autre que l'Univers TOTAL lui-même, U! On les appelle les U-quanta (pluriel de U-quantum) ou les uquanta (pluriel de uquantum) : U, UU, UUU, UUUU, .... Mais on peut aussi les appeler les U-particules ou les uparticules. Ainsi donc, U est le plus petit quantum ou la plus petite particule qu'on puisse définir, le plus fin grain de matière (au sens le plus large du terme). qui est aussi en même temps le plus grand quantum ou la plus grande particule, le plus gros grain de matière, à savoir l'Univers TOTAL!

--> D'un point de vue informatique, cela veut dire que toutes les choses sont des codes formés par une seule information élémentaire (ou bit), U! On les appelle les U-codes ou les ucodes: U, UU, UUU, UUUU, .... Ainsi donc, U est la plus petite information qu'on puisse définir, qui est aussi en même temps la plus grande information, à savoir l'Univers TOTAL!

--> Et d'un point de vue mathématique, cela veut dire que toutes les choses sont des nombres qui s'écrivent dans un système de numération unaire, d'un seul chiffre: U! De là on déduit les deux conceptions fondamentales de nombre:
- les nombres ordinaux, appelés quantum ou um en Verba: U pour dire 1, UU pour dire 2, UUU pour dire 3, UUUU pour dire 4, etc.
- les nombres cardinaux, appelés quantun ou un en Verba: U pour dire 0, UU pour dire 1, UUU pour dire 2, UUUU pour dire 3, etc.
On les appelle aussi les U-nombres ou unombres, les U-ordinaux ou uordinaux, les U-cardinaux ou ucardinaux, etc.. Ainsi donc, U est le plus petit nombre qu'on puisse définir, et (chose très importante) il est à la fois le 0 et le 1, 0 en tant que cardinal et 1 en tant qu'ordinal. On l'appelle aussi l'Alpha ou le Zéro ou le Vide, et est noté Ø. Mais c'est aussi le plus grand nombre qu'on puisse définir. Sa notation en tant que U-nombre ou U-code ou U-quantum est: UUU... (demi-générescence comme demi-droite) ou ...UUU... (générescence). il est alors appelé l'Oméga ou l'Infini ou le Plein et est noté Ω.

Alphabet cyclique du Verba, ABECIDO linéaire

L'ABECIDO, l'Alphabet cyclique du Verba, un Alphabet 40.
En Verba, "Lettre" se dit "Mel" et plus généralement "Wel" (incluant les digrammes ou autres).
Le mot "Voyelle" se dit "Amel" (comme "A") et plus généralement "Awel".
Le mot "Consonne" se dit "Bamel" (comme "B") et plus généralement "Bawel".
Le mot "Mot" se dit "Met" et plus généralement "Wet" (incluant des expressions plus ou moins complexes).
Et enfin le mot "Alphabet" se dit simplement, eh ben... "Abecido".
Mais on peut aussi dire : "Alphabet"...

--> D'un point de vue linguistique (ou du langage), cela veut dire que tous les mots et toutes les notions sont formés à partir d'un alphabet fondamental d'une seule lettre: U! Cette lettre de base constitue les lettres de plus en plus complexes: les mots, les phrases, les textes, etc. Tout le langage, tant du point de vue de la forme (lexical, grammatical, syntaxique, etc.) que du sens (sémantique), est constitué de cette seule unité. Tout mot est un opérateur, formé d'un certain nombre de lettres U.

Le Verba: un Langage d'opérateurs. Les opérateurs de base

Le Verba, une langue simple et intuitive

Le Verba, le langage du verbe ETRE (qui se dit ER en Verba).
Un langage mathématique, physique et informatique, très intuitif et d'une grande simplicité...

Awel + L
(Voyelle + L)
AL, EL, UL, ...
La lettre L, qui veut dire "élément" ou "partie", indique que tous ces opérateurs sont les variantes de la notion d'élément. C'est la voyelle qui va les différencier. Posséder une qualité, c'est simplement être un élément d'un certain ensemble, et réciproquement, être un élément d'un ensemble, c'est posséder la qualité ou propriété caractéristique de ses éléments. Le premier opérateur de la famille associé à la notion d'élément est AL, il est appelé opérateur "adjectif qualificatif" il sert à traduire la qualité en général, comme par exemple l'adjectif ual qui veut dire universel. Le second opérateur est EL qui veut dire "élément d'un ensemble". Et UL veut dire "élément de l'Univers TOTAL". Ce sont les trois opérateurs les plus basiques de la famille "Awel + L". Ces opérateurs transforment n'importe quel mot en un nouveau mot qui comporte un sens d'"élément".
Awel + M
(Voyelle + M)
AM, EM, UM, ...
La lettre M veut dire nombre ordinal. Les opérateurs de cet type trasforment n'importe quel mot en nombre ordinal. Le premier est AM ou ÄM, qui veut dire premier. L'opérateur EM transforme une chose en un ensemble qui est à voir comme un nombre ordinal. Et UM signifie que ce nombre a un rapport avec l'Univers TOTAL.
Awel + N
(Voyelle + N)
AN, EN, UN, ...
Même chose que pour M, sauf qu'ici il s'agit des nombres cardinaux, comme par exemple AN ou ÄN, qui veut dire un.
Awel + R
(Voyelle + R)
AR, ER, UR, ...
La lettre R veut dire relation ou verbe. Ce sont les opérateurs ou verbes fondamentaux. Ils transforment n'importe quel mot en verbe. Le plus important est ER, qui est le verbe ETRE. Comme pour AL, l'opérateur verbal général est AR. Et l'opérateur UR signifie que le verbe est associé à l'Univers TOTAL.
Awel + S
(Voyelle + S)
AS, ES, US, ...
La lettre S veut dire structure, ensemble, ou espace. Ils transforment n'importe quel mot en un certain ensemble. C'est ce que veut dire AS en général. Et en particulier, ES est l'"opérateur de pluriel", il met tout mot au pluriel. Plus précisément, il transforme un mot en l'ensemble des choses dont ce mot est un nom commun. Par exemple le mot hum veut dire humain et es hum ou humes veut dire les humains, ce qui est à comprendre tous les humains. Dans cette famille, l'opérateur ÖS sert d'opérateur de multiplication ou à dire multiple. Par exemple, ën ös ou ënös veut dire trois fois ou triple, et ën ös ux veut dire trois fois chose ou trois choses, comme vu précédemment.
Awel + T
(Voyelle + T)
AT, ET, UT, ...
La lettre T veut dire totalité. L'opérateur AT est un des opérateur généraux pour transformer n'importe quel mot en nom commun. Par exemple, er est un verbe, et il suffit de dire at er ou erat pour qu'il devienne un nom. Et l'opérateur ET sert à indique qu'un mot donné est voir comme un ensemble. Par exemple, avec le mot hum (ou humain), le mot et hum ou humet veut dire qu'on parle de l'humain en tant qu'ensemble de choses, fait d'une tête, d'un thorax, de membres, etc. Et le mot humel va signifier qu'on parle de l'humain en tant qu'élément d'un certain ensemble, par exemple d'une population.
Awel + X
(Voyelle + )
AX, EX, UX, ...
La lettre X veut dire chose. Donc ces opérateurs sont de la famille de X, ce sont les différentes variantes du mot chose. Ils transforment tout mot en un mot qui comporte de le sens de chose. Les plus utlisés à ce jour sont UX pour dire... chose et EX pour dire existence.

La Sémanthmétique, l'Arithmétique de la Sémantique, l'Arithmétique du Sens

La fait que le Verba soit un langage (ou une langue) d'opérateurs permet de faire une arithmétique des mots, des sens, que nous appelons la sémanthmétique (de "arithmétique" et "sémantique").

Voici deux exemples d'équivalence sémantique, impliquant l'opérateur de négation Non:

---> Exemple 1: Analyse de l'énoncé "Non (A est un élément de B)", en Verba : "Non (A er an el of B)"

Non (A er an el of B) = Non A er an el of B = A Non er an el of B = A er Non an el of B = A er an Non el of B = A er an el Non of B = = A er an el of Non B = A er an el of B Non = (A er an el of B) Non = ...

Autrement dit, avec les parenthèses pour mieux comprendre cette équivalence:

Non (A er an el of B) = (Non A) er an el of B = A (Non er) an el of B = A er (Non an) el of B = A er an (Non el) of B = A er an el (Non of) B = A er an el of (Non B) = A er an el of (B Non) = (A er an el of B) Non = ...

Ou, en traduisant en langage courant:

Non (A est un élément de B) = (Non A) est un élément de B = A (Non est) un élément de B = A est (Non un) élément de B = A est un (Non élément) de B = A est un élément (Non de) B = A est un élément de (Non B) = A est un élément de (B Non) = (A est un élément de B) Non = ...

L'explication de cette équivalence est simple: puisque tout dans le langage (lettre, mot, etc., et même l'espace entre les lettre, entre les mots, et même les parenthèses!) est un U-nombre ou U-code, la phrase tout entière est le U-nombre obtenu en ajoutant les U-nombres qui la composent. Par exemple, la lettre "A" est U ou 1, "B" est UU ou 2, "E" est UUU ou 3, etc. Par conséquent, le mot "AB" (concaténation ou assemblage de "A" et de "B") est le U-nombre U.UU ou UUU. Mais c'est aussi UU.U. Autrement dit, on a: AB = BA.

De la même façon, la lettre N représente le U-code de valeur 22, c'est-à-dire UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU et la lettre O représente U-code de valeur 7, à savoir UUUUUUU. Par conséquent, le mot NON est le U-code de valeur 22 + 7 + 22 = 51. Et cette valeur est la même que celle des mots ONN, NNO, puisque la comme sera toujours la même (c'est-à-dire 7 + 22 + 22 et 22 + 22 + 7).

De la même façon, on peut calculer la valeur du mot EL pour dire "élément", qui est donc E + L = 3 + 18, qui est donc aussi la veleur du mot LE (donc 18 + 3), que nous utlisons en Verba dire l'inverse de "élément" une notion du Verba dont la traduction approximative est "constitué". Je dis approximative, car le Verba étant puissant et riche, ses notions n'ont pas forcément d'équivalents dans les langues et les langages habituels. En Verba, dire que "A er an EL of B" ("A est un élément de B"), c'est dire "B er an LE of A" ("B est un constitué de A")

De même, ER (pour dire le verbe "être") et RE (pour dire la même chose mais en sens inverse) ont donc la même valeur E + R = 3 + 28 = 31.

Ainsi, en ne tenant pas compte des codes des espaces (pour simplifier le propros) ou du fait que lettres minuscules sont des codes différents des lettres majuscules (donc en affectant la même valeur aux majuscules et au minuscules), la phrase "Non A er an el of B" a pour valeur:
Non + A + er + an + el + of + B
= N + o + n + A + e + r + a + n + e + l + o + f + B
= 22 + 7 + 22 + 1 + 3 + 28 + 1 + 22 + 3 + 18 + 7 + 8 + 2 = 144

Plus généralement, on ne change pas la valeur d'un U-nombre ou d'un U-code en permutant l'ordre de ses composants, puisque la somme globale reste la même. C'est cette valeur qui constitue le sens fondamental du U-nombre, sa signification, sa valeur sémantique. Cela veut dire par exemple qu'un énoncé décomposé en 5 composants possède 5! = 120 permutations, chacune ayant son sens propre, mais toutes ayant le même sens fondamental, parce qu'étant fondamentalement le même U-code. Les 120 permutations sont appelés les nuances du sens fondamental, ce qui signifie qu'on peut toujours complexifier l'énoncé en introduisant des opérateurs adéquats dont le but est précisément de faire distinguer les nuances entre elles et de lever une ambigïté si nécessaire.

A ce propos, les classiques parenthèses (qui en Verba sont des opérateurs exactement comme les autres) sont un moyen de différencier les nuances d'un même sens fondamental. C'est ce qui, dans la chaîne des d'équivalences précédentes, permet de distinguer la nuance "A (Non est) un élément de B" de la nuance "A est un (Non élément) de B". C'est le même sens fondamental, qui est la non-appartenance de A à B, mais chaque sous-énoncé à son sens propre, le premier mettant en évidence la notion de non-être, et la seconde révélant la notion de non-élément. Et l'équivalence entre les deux sous-enoncé apporte une importante lumière, à savoir que non-être c'est toujours être autrement. En l'occurence, non-être un élément, c'est être un non-élément.

C'est ainsi que chaque nuance apporte un enseignement précieux, il éclaire a sa façon un aspect important ou un autre de l'Univers TOTAL. C'est ainsi qu'on apprend d'abord qu'à toute chose X il correspond une chose Non X qui est sa négation. Si la chose n'est pas, alors sa négation est, et vice-versa. Ainsi par exemple, si au volant de voiture vous ne tournez pas à droite à un carrefour, alors vous savez que votre négation, qui existe quelque part dans l'Univers TOTAL (en raison du Théorème de l'Existence), elle tournera obligatoirement à droite!

Une autre nuance nous apprend que si A n'est pas un élément de B, alors A est obligatoirement un élément de Non B! Et enfin, quelque chose de plus surprenant, le Non B est toujours un cas très particulier de B, un cas minimal, le cas de négation appelé B Non. Ainsi par exemple, un Non Humain (par exemple un Caillou, une Fleur ou un Lapin) est toujours quelque part un Humain, à savoir précisément l'humain Non. C'est cet humain très spécial qui incarne la notion de Non Humain. C'est exactement le problème du 0. C'est le Nombre très spécial qui incarne le Non Nombre, c'est la Quantité très spéciale qui sert à incarner la Non Quantité, l'absence de quantité! Même en étant Non Nombre ou Non Quantité, il est tout simplement un nombre, une quantité. Il fallait qu'il y ait un nombre dans l'Univers pour jouer ce rôle d'absence de nombre, et c'est lui qui s'est dévoué pour cet étange rôle!

Ceci ne devrait pas nous surprendre, car noublions pas que la U-code minimal U est celui qui sert à dire 1 au sens ordinal et 0 au sens cardinal. Donc il n'est pas si Rien que cela dans l'absolu, puisque c'est toujours de l'Univers tout entier que l'on parle! C'est toujours le même mais dans un autre rôle!

L'équivalence Non X = X Non donc d'une extrême importance, car elle signifie que le Non X est toujours un certain X et donc une preuve (cette fois-ci par le Verba) que toute négation doit être relative et non pas absolue!

On pourrait en dire long sur cette chaine d'équivalence et sur les enseignements qu'apportent des nuances. Nous n'avons pas écrits toutes les permutations (ou nuances) possibles de cet énoncé "Non (A est un élément de B)". Nous n'avons écrits que celles qui consitent à faire traverser le connecteur Non de part en part de l'énoncé de base nié, à savoir "A est un élément de B". Les autres permutations aussi cachent des enseignents tout aussi si non plus suprenants que ceux que nous avons découverts. Nous découvrons à quel point les langues et les langages de la Tour de Babel (les langues non-verbatiques donc) empêchent vraiment de comprendre de grands et profonds secrets de l'Univers. Leur verbaticité (leur caractère verbatique ou de langue équivalente au Verba) est extrêmement faible, même pour les langages scientifiques et technologiques actuels! Le Verba met fin donc au Phénomène Tour de Babel et nous permet enfin de comprendre l'Univers... (pour plus de détails sur l'importante notion d'opérateurs, voir Le Verba, une langue d'opérateurs et Les opérateurs de base du Verba; et pour pour plus de détails sur la notion d'équivalence fondamentale en Verba, voir Identité et Equivalence, Négation et Alternation).

---> Exemple 2: Analyse de l'énoncé: "Non (Monod croit en Dieu)", en Verba : "Non (Monod koevar ihn Thëö)".

Cela donne, en écrivant directement en langage courant et avec les parenthèses:

Non (Monod croit en Dieu) = (Non Monod) croit en Dieu = Monod (Non croit) en Dieu = Monod croit (Non en) Dieu = Monod croit en (Non Dieu) = Monod croit en (Dieu Non) = (Monod croit en Dieu) Non = ...

Le Verba nous fait simplement comprendre aujourd'hui avec cette chaîne d'équivalences que la non-croyance en Dieu, est aussi la croyance un être très spécial nommé "Non Dieu", qui est l'incarnation de la négation Dieu. Et enfin, cette équivalence de sémanthmétique, en vertu de ce que nous avons déjà vu précédemment (Non X = X Non) nous apporte une précision ultime: le Non Dieu est le Dieu Non! Il est lui aussi Dieu, mais la version négative de Dieu, la face négative de Dieu, qui est donc tout simplement la définition du Diable, la Négation en personne!

Diable

"Je ne crois ni en Dieu ni au Diable...
Parce que le Diable, c'est moi...

Voir aussi...

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