Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
Source: tweet d'Hubertelie:
Source: https://x.com/AbliBouyo74535/status/1846355529066590669
On peut facilement mourir du Doliprane?
C’est la première cause de greffe du foie au monde?
Ça alors! Si je m’attendais à cette révélation!
J’aurais pensé que c’est une blague ou une fake news, si ces explications n’étaient pas données par le Prof. Didier Raoult, qui sait apparemment de quoi il cause, lol.
Didier Raoult est très calé en infectiologie, en médecine et en pharmacologie. C’est un plaisir de l’écouter. Pour ma part, même si je n’ai pas le titre de Professeur au sens de diplôme, j’ai été un ancien professeur de mathématiques et sciences en lycée et collège en France. J’ai été prof donc, comme on dit, et depuis je fais un travail de recherche scientifique, comme on dirait classiquement.
Mais ce que je fais est plus profond, plus fondamental que les sciences fondamentales classiques, et je vais expliquer le plus brièvement possible ce que c’est. Et aussi, le plus simplement et clairement possible, pour ne pas vous donner des maux de crânes et vous forcer à prendre… du Doliprane.
Car, à ce que j’apprends avec le Pr Didier Raoult, c’est apparemment pas très bon, ce truc, qui pourtant fait partie des médicaments les plus courants et donnés comme des « bonbons », dès le moindre « bobo » ou à la moindre petite douleur, notamment à la tête.
Dans ce tweet je vais parler un peu de maths, juste un peu, des généralités, rassurez-vous, pas de choses que vous ne puissiez pas comprendre. Les maths, ça marche très bien pour moi, cela ne me donne pas les maux de tête. Si j’ai récemment spécialement pris du Doliprane (je vais dire en quelles circonstances la dernière fois), ce n’est donc pas à cause de casse-têtes mathématiques, mais à cause d’autre chose, et je vais en parler aussi.
Je viens justement de résoudre un casse-tête de matheux publié dans un fil d’actualités sous la rubrique: « Défis mathématiques ». C’est un très coriace problème impliquant un demi-cercle, un rectangle et des triangles à gogo, et avec un minimum d’information, une seule donnée en tout et pour tout, une certaine diagonale valant 6.
Il faut avec ça non seulement utiliser les théorèmes de Pythagore et de Thalès, en voici et en voilà, mais surtout leurs formes généralisées qu’on appelle la « formule de cosinus » et la « formule du sinus ». Le fameux théorème de Pythagore ne s’applique qu’avec un triangle rectangle, c’est-à-dire ayant un angle droit. Mais sa généralisation, la « formule du cosinus », fait intervenir des angles quelconques. La clé de résolution de ce coriace défi mathématique est d’exhiber un certain triangle isocèle, ayant deux angles aigus égaux à 26.5 degrés environ (valeur qu’il faut savoir calculer avec la seule donnée de toute la figure complexe, 6, qui est précisément le plus grand côté de ce triangle isocèle), et donc un angle obtus de 127 degrés, puisque la sommes des angles dans tout triangle doit être 180 degrés.
Une fois qu’on a déniché ce triangle isocèle et compris que c’est lui la clef de résolution de l’énigme, on peut, avec la « formule du cosinus » (le théorème de Pythagore généralisé), attraper la valeur commune des deux côtés égaux de ce triangle isocèle dont les trois angles sont donc 26.5, 26.5 et 127 degrés, et dont le plus grand côté, la base, est l’unique donnée 6. Et les deux plus petits côtés, qui sont égaux donc, sont le rayon R du demi-cercle impliqué dans le problème, dont le but est de calculer l’aire d’un certain rectangle. « Sauriez-vous calculer l’aire de ce rectangle? », telle est la simple question.
Simple en apparence, car ce qui rend compliqué le problème, c’est qu’en fait la configuration du schéma qui permet de calculer les trois angles: 26.5, 26.5 et 127 degrés, est un LEURRE! Seule la donnée 6 est effectivement pertinente! Le schéma aurait tout aussi bien pu être construit avec les angles: 30, 30, 120, ou: 20, 20, 140, ou encore 40, 40, 100, etc.
A chaque fois, le plus grand côté du triangle isocèle mesure 6, c’est la seule vraie constante, de laquelle dépend l’aire du rectangle cherchée, qui est 6²/2 soit 18, quels que soient donc les angles du triangle isocèle donné dans la configuration du schéma. Cette configuration n’est donc pas unique, elle n’est pas une constante mais une variable, et rien ne permettait de le deviner à priori.
On se lance donc naturellement dans les calculs des longueurs, dans le but d’aboutir à l’aire du rectangle cherchée, avec la seule donnée 6, qui est l’unique qui soit pertinente. Et on s’aperçoit qu’il manque toujours au moins une donnée, et on tourne en rond à vouloir la choper. Pour mettre la main dessus, on s’aperçoit qu’il faudrait une autre, et pour attraper celle-ci une autre s’avère nécessaire, ainsi de suite. On arrive à comprendre que même la configuration spéciale du schéma qui suggère les trois angles: 26.5, 26.5, 127, n’est pas nécessaire, elle n’est qu’un cas particulier parmi une infinité de possibilités.
Quand un problème présente cette caractéristique d’être un « problème variable » mais avec une solution unique, ou un résultat unique (un résultat invariant donc), ici l’aire 18 cherchée pour ce rectangle mystérieux, cela veut dire qu’il faut astucieusement le résoudre non pas avec des constantes mais des variables convenablement choisies (en fait, si l’on repère le triangle isocèle qui est la clef de la solution, une seule variable suffit, et c’est celle qui désigne l’angle aigu), qui s’éliminent à la fin des calculs, pour donner le résultat invariant, qui es 6²/2 ou 36/2 ou 18.
Le piège ici est de ne pas détecter qu’on est en face d’un « problème à information minimale », ici 6, autrement dit un problème variable, qui se résout avec des variables, qui s’éliminent à la fin pour laisser un résultat qui est une constante, un invariant.
Si vous êtes matheux et/ou vous voulez essayer ce casse-tête, alors voici les données pertinentes du problème, le reste étant destiné à brouiller les pistes:
Que l'on ne se demande pas:
"Pourquoi ci-après décrire avec tant de détails le schéma ou la configuration
alors que c'est illustré et qu'il suffit de l'analyser?"
La raison est que le texte original de ce problème a été proposé dans un tweet,
et donc dans un contexte où il ne pouvait pas être illustré.
A vous d'essayer de résoudre ce "Défi mathématique Doliprane"...
Et, à vrai dire, j'ai précédemment et par la suite
largement donné les indices et les clefs de la résolution de ce casse-tête....
Tracer un segment horizontal, AB, de 10 cm par exemple ou de n’importe quelle longueur que vous voulez. Nommez par exemple O le milieu de ce segment. Avec compas, tracez un demi-cercle de centre O, qui part de A, et donc qui arrive forcément à B. Appelez C le sommet du demi-cercle, c’est-à-dire le point du cercle qui se trouve à la verticale de O. Vous avez donc un demi-cercle de centre O et passant par les trois points A, C et B, et vous avez:
OA = OC = OB = R,
où R désigne le rayon du cercle, 5 cm si vous avez choisi un segment de départ AB = 10 cm. Et R = 6 cm si vous avez choisi AB = 12 cm, etc.
Et maintenant appelez D le milieu du segment OC. OD est donc la moitié du rayon. A partir de B, tracez un segment qui passe par D et qui rencontre le demi-cercle en un point que vous appellerez E. Tracez la droite (d) horizontale passant par C et parallèle à AB. La distance entre cette droite (d) et le segment AB est donc le rayon R.
Tracez la droite verticale passant par E et rencontrant le segment AB en un point que nous appellerons F, et rencontrant la droite (d) en un point que nous appellerons G. Il est clair que FG est encore le rayon R. Et enfin, tracez la droite verticale passant par B et rencontrant la droite (d) au point que nous appellerons H. Ici aussi BH vaut le rayon R. C’est terminé ou presque.
La seule donnée du problème, qui est imposée, est que: BE = 6.
Dans la configuration du schéma, nous avons choisi le milieu du segment OC comme le point D. Mais en réalité, ce point D peut être n’importe lequel sur le segment OC, à l’exception des cas particuliers ou D est O, ou D est C. Cela a pour conséquence que le point E peut être n’importe lequel sur l’arc de cercle allant de A à C. Pour simplifier, E ne doit pas être ni A ni C, sinon cela donne des configurations triviales pas faciles à traiter, surtout si E se confond avec A. Dans ce cas particulier, le triangle isocèle qui est la clef de la solution n’est pas facile à voir…
Dans le cas où E se confond avec D, ce triangle peut se voir mais… Oui, mais ce cas trivial enlève aussi tout l’intérêt du problème. Cela manquera de sel, de poivre ou de piment, par rapport à toute l’infinité des cas où E varie sur l’arc de cercle allant de A à C, sans se confondre ni avec A ni avec C. Dans toute cette infinité des cas, on doit tracer le segment EB ou BE, qui vaut obligatoirement 6, qui rencontre le segment OC en un point D, qui peut être en particulier le milieu de OC, mais pas forcément.
L’objectif est alors de calculer l’aire du rectangle FBHG.
La configuration par défaut où D est le milieu de OC donne les angles d’environ: 26.5, 26.5, 127 degrés, pour le triangle isocèle salvateur, à trouver. En fait, j’ai déjà donné un très important indice, pas évident à deviner, qui résout pratiquement le problème, et qui est que le plus grand côté de ce triangle isocèle est le segment EB ou BE, qui vaut 6 donc. Pour celle valeur, peu importe donc le choix de E, on aura à la fin une aire du rectangle FBHG valant 18.
Mais, comme un magicien, on aurait pu brouiller encore plus le problème en disant au départ, avant de donner les consignes du schéma comme je viens de le faire, dire par exemple: « Choisissez n’importe quel nombre entre 4 et 20, ou 3 et 1000, peu importe, nombre qu’on appellera n, ou x, si l’on n’est pas trop effrayé de travailler avec les variables, comme par exemple x. Car c’est vraiment un problème variable!
On impose alors que EB ou BE soit toujours n ou x., la seule donnée imposée du problème, peu importe la longueur que l’on trace pour le segment AB, ou le point E que l’on se choisit sur l’arc allant de A à C, ces deux points exclus, comme déjà expliqué. La solution, l’aire du rectangle FBHG donc, sera toujours n²/2 ou x²/2.
Vous le « magicien matheux », vous connaissez ce secret de cette figure, avec ou sans Doliprane pour calmer vos maux de tête pour découvrir le secret. Mais votre public ne connaît pas le secret, et alors le mal de crâne est garanti pour lui, dans ce problème où il doit jongler avec des variables, pour ne rien attraper, puisque tout est variable. Il est difficile de deviner que c’est un problème à information minimale, dont le résultat ne dépend que de la valeur de variable de départ, n ou x, valeur qui est donc 6 dans la version originale du problème.
Dans la configuration de schéma sur laquelle j’étais tombé, le point D était visiblement au milieu de OC, et je dois dire « visiblement » ou « visuellement », car en fait aucun point n’a été nommé, on a juste le segment AB, le demi-cercle de diamètre AB, le rectangle FBHG de dessiné, sans nommer les points, et enfin le segment OC, sans nommer les points non plus, et enfin le segment BE, qui « visiblement », passe par le milieu de OC, et sur lequel c’est juste indiqué 6. Cela aurait donc pu être 7, 12, 23 ou autre.
Et ils auraient pu être encore plus vicieux en faisant couper OC par BE, en un point quelconque qui ne suggère pas que c’est le milieu. Le mystère aurait alors été plus épais, mais aussi cela aurait mis peut-être la puce à l’oreille qu’il s’agit d’un problème variable. Ou alors on se dirait tout de suite que c’est « impossible » à résoudre avec cette seule donnée 6, alors qu’en fait c’est bel et bien possible.
Alors, pour donner l’illusion qu’il s’agit d’une configuration particulière, donc ayant une solution, les auteurs ont suggéré visuellement que BE coupe OC par le milieu. On mord alors à l’hameçon, et croyant pouvoir calculer les autres longueurs nécessaires pour trouver l’aire, on n’en attrape que deux plus ou moins évidentes, et on tourne en rond avec les autres, jusqu’à ce qu’on découvre que le salut se trouve dans un certain triangle isocèle à dénicher…
Ce ne sont pas les maths qui me donnent les maux de crâne, et si j’ai été amené à prendre du Doliprane, ce n’est pas à cause de ça. Au contraire, ça fait bien tourner mon cerveau, et donc ça me fait du bien.
Le problème des maux de ce monde, les miens comme ceux de tous les enfants de Dieu (je ne parle pas de Dieu pour rien), et le problème des douleurs, à la tête ou ailleurs, les miennes comme celles de tous les vrais humains, vient d’ailleurs. Je sous entends que tout ce qui ressemble à un humain n’est pas forcément un vrai humain, mais peut être un faux humain, un démon né humain.
Vous pensez par exemple que Benyamin Nétanyahou, qui bombarde en ce moment les orphelinats au Proche-Orient, qui brûle vifs des enfants, des femmes et des hommes, est un vrai être humain? Vous croyez que les soldats de Tsahal qui obéissent avec joie à Nétanyahou et prennent plaisir à brûler vifs des enfants sont de vrais humains. Vous pensez que ceux qui applaudissent à ce génocide, à ces abominables scènes de fours crématoires, sont de vrais humains?
Pouvait-on imaginer qu’après les horreurs de la Shoah on verrait des choses qui rappellent ces heures les plus sombres de l’histoire? S’il y a un peuple au monde, qui, normalement, est le mieux placé pour comprendre ces horreurs et dire que plus jamais l’humanité ne doit assister à cela, c’est lequel, d’après vous?
Pouvez-vous concevoir que de vrais êtres humains puissent dire que, parce que des membres de ce peuple ont subi ces traitements démoniaques de la part de nazis pendant la Shoah, cela leur fournit l’excuse de faire la même chose à un autre peuple, aux gazaouis, aux palestiniens, aux cisjordaniens, aux libanais, etc. ?
Peut-on appeler de vrais êtres humains, des gens qui prétendent être des « juifs », et qui ne considèrent pas les « goyim » ou « non juifs » comme des humains, mais moins que des animaux, et qui, se basant, non pas sur la Torah de Dieu, ou le Tanakh de Dieu, mais sur le TALMUD, disent qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent à des « non juifs »? Des gens dont l’idéologie (celle du TALMUD) est que Dieu a créé le monde seulement pour les juifs, que ceux-ci sont créés par Dieu uniquement pour servir les juifs, et génocider les « non juifs » qui ne leur sont d’aucune utilité? De vrais êtres humains peuvent-ils avoir une telle idéologie?
Et simplement, ceux qui ont une telle idéologie très satanique (c’est le mot!), très diabolique, très démoniaque, peuvent-ils être de VRAIS juifs?
Ne tournons pas autour du pot: la réponse est clairement non. Car un VRAI juif obéit à la Torah, au Tanakh ou Bible juive ou Ancien Testament. Et la Torah, dans son premier livre, la Genèse, dit simplement que Dieu a créé à son image les humains, l’homme et la femme (Genèse 1: 26-28), elle ne dit pas que Dieu a créé les deux premiers juifs, ou que seuls les juifs sont les vrais êtres humains, et que tout être ayant la forme humaine mais qui n’est pas juif, n’est pas un VRAI humain.
Par contre si nous rencontrons des êtres qui ont une forme humaine mais qui ont cette idéologie qui n’est pas la révélation divine, on peut être sûr que ce ne sont pas de VRAIS humains, ils ne sont pas à l’image de Dieu, mais du Serpent d’Eden (Genèse 3: 1-24), le Nahash en hébreu (Matthieu 3: 7; 23: 33; Jean 8: 44).
Et dans la Torah, Dieu dit à Abraham que par sa descendance toutes les nations de la terre seront bénies (Genèse 22: 15-18), et pas maudites et encore moins brûlées au feu, ou génocidées.
Et dans le Tanakh, par son prophète Osée ou Hoshéa, Dieu a annoncé l’époque où l’on ne fera plus de distinction entre ceux du peuple d’Israël et ceux qui ne sont pas de ce peuple. Il dit ceci:
« Cependant le nombre des enfants d’Israël sera comme le sable de la mer, qui ne peut ni se mesurer ni se compter; et au lieu qu’on leur disait: Vous n’êtes pas mon peuple! on leur dira: Fils du Dieu vivant! » (Osée 1: 10).
Autrement dit, le prophète du Tanakh ou Bible juive annonce une époque où à ceux qu’on disait: « Vous n’êtes pas du peuple élu de Dieu », ou encore: « Vous n’êtes pas des israélites », ou encore: « Vous n’êtes pas des juifs », ou encore: « Vous êtes des goyim », on leur dira: « Les fils du Dieu vivant ». Beaucoup d’autres prophètes du Tanakh ou Bible juive ont annoncé des idées semblables, comme par exemple Isaïe 2: 1-4, ou Isaïe 11: 1-9, ou Ezékiel 37: 26-28.
On trouve une expression de cette idée de manière encore plus sublime dans le Nouveau Testament, écrit aussi par des juifs, comme par exemple ce qu’on lit en Romains 2: 25-29, ou Romains 8: 14-21, Galates 6: 16, ou Hébreux 12: 22-24, ou Apocalypse 21: 1-7.
D’où maintenant la question: que sont ces prétendus « juifs », qui ont une idéologie si contraire à ce que tous les VRAIS juifs ont dit depuis la nuit des temps? Les vrais juifs ont annoncé des temps messianiques, où, suite à l’oeuvre du Messie, tous les peuples, peu importe leurs races, s’uniront aux VRAIS juifs, auront un seul Dieu et seront tous des enfants de Dieu, comme au début de la création, avant le péché originel dont parle Genèse 3: 1-24. Comme par exemple aussi le prophète Zacharie le dit en Zacharie 8: 23.
Qui sont alors ces prétendus « juifs » qui disent exactement le contraire de ce que disent ces prophètes juifs, de l’Ancien et du Nouveau Testament?
Nous avons une réponse, avec les pharisiens, les prédécesseurs des talmudistes actuels, tous les FAUX juifs donc qui contredisent la parole de Dieu (Matthieu 3: 7; 15: 3-9). Et pire ces FAUX juifs qui sont de l’espèce qui tue les prophètes, qui tue le Messie, qui tue les enfants de Dieu (Matthieu 23: 1-39; 27: 15-26; Jean 8: 44; 19: 8-22; Actes 7: 1-60; Apocalypse 2: 9; 3: 9).
Ce sont donc eux qui, au temps du prophète Jérémie, brûlaient des enfants juifs, les sacrifiant à Moloch (Jérémie 7: 31). Ce sont eux qui, après la grande diaspora à partir de l’an 70 après après Jésus Christ, diaspora qui fut la punition à cause du crime sur Jésus le Messie (Matthieu 23: 37-39), sont la cause cachée de la Shoah, où plus de 6 millions de juifs furent sacrifiés, dans le but en fait de recréer l’état d’Israël en 1948.
Et ce sont les FAUX juifs de cet Israël des Rothschild, dont un exemple typique est Benyamin Nétanyahou, qui brûlent vifs des enfants, des femmes et des hommes palestiniens, faisant donc pire que la Shoah. Ce ne sont même pas de VRAIS humains, à plus forte raison de dire que ce seraient de VRAIS juifs! Ce sont des ennemis de l’humanité, la cause cachée de tous les maux du monde, maux de tête ou pas.
Dans la suite de ce tweet, il me faut de nouveau parler de mathématiques, mon travail de mathématiques, de physique, bref de sciences. Je vais revenir sur la question du Doliprane, et relater à la fin une anecdote, celle de « Mademoiselle Doliprane »…
Il faut que vous compreniez d’où ça vient, en même temps que je vous parle de mes travaux de sciences, et des maux que cela me vaut de la part des êtres qui sont de FAUX humains, des démons nés humains, qui n’ont d’humains que les apparences. Vous savez maintenant de quels genres d’humains il s’agit. Si un être n’est même pas un VRAI humain, à plus forte raison de dire qu’il serait un VRAI juif (à méditer…).
Car pour être un juif, encore faut-il commencer par être un VRAI humain, et non pas en avoir juste les apparences.
Il y a un an, j’ai fait un AVC, dont je ne me suis pas encore remis des séquelles, loin de là! Je sais ce qui a causé cet AVC, le but du présent tweet n’est pas d’entrer dans les détails à ce sujet. Voir pour cela le lien suivant:
— Libération du vampirisme énergétique, la face cachée de l’habitat:
https://hubertelie.com/u_civ_scien-fr-776-000-liberation-du-vampirisme-energetique-la-face-cachee-de-l-habitat-des-logements.html
Suite à cet AVC, j’ai été hospitalisé 3 mois, une partie en réanimation puis la seconde partie en rééducation. En réanimation, j’ai été plongé en coma artificiel, mes reins ne fonctionnaient plus, j’ai eu 17 dialyses. Je ne ressortais pas du coma, et l’équipe médicale pensait qu’elle me perdait définitivement. Si je peux écrire ce tweet, c’est que je suis revenu…
Pendant mon transport à l’hôpital mais aussi pendant mon coma artificiel, j’ai fait une série de ce qu’on appelle les « expériences de mort imminente », en français EMI, en anglais NDE ou « near death experience ». Renseignez-vous sur le sujet. Beaucoup de ceux qui font une EMI, font un voyage aller-retour dans le monde divin.
C’est mon cas, et plus exactement j’ai vu le monde où c’est le Nouveau Paradigme de la science auquel je travaille depuis 2003, et que je nomme la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, qui règne. J’ai donc vu le résultat du travail que je fais, mais le moment n’était pas encore venu que je reste de l’autre côté. Dieu m’a fait revenir pour terminer ce que j’ai commencé.
A mon réveil en réanimation, je me souviendrai de cette gentille infirmière stagiaire, qui faisait partie de l’équipe de nuit. Je ne pouvais pas m’alimenter normalement, et j’étais alimenté par perfusion et par sondes, j’avais des tubes et des tuyaux partout.
Quand j’avais mal et que je sonnais et que cette infirmière entrait dans la chambre et que je lui disais que j’avais mal, elle me disait: « Je vais aller vous chercher un Doliprane ». Puis quand les douleurs ne passaient pas, et que je l’appelais de nouveau, de sa voix très douce elle me disait: « Il me faut encore aller vous chercher un Doliprane ». Je lui ai dit alors que je vais l’appeler « Mademoiselle Doliprane ». Je l’appelais ainsi, ça la faisait rire, et ses collègues aussi.
Voilà où je voulais en venir avec ce sujet du Doliprane. Quand, avec le Pr Raoult j’apprends à présent que c’est toxique, cela m’amuse moins, même si je sais à présent que, si j’étais mort de mon AVC, dans mon coma ou du Doliprane, je serais retourné dans le monde de Dieu, le monde où la souffrance n’existe plus.
C’est très encourageant de voir ce que le travail que l’on fait donnera dans le futur. Cela aide à supporter les maux et les douleurs actuelles dues aux démons nés humains. Comme justement les démons qui sont la cause de mon AVC. J’ai vu aussi le sort qui les attend dans un futur, et je vous assure que ce sort est très peu enviable.
J’ai été croyant jusqu’à l’âge de 43 ans, et j’en ai 63 en 2024. Depuis 20 ans maintenant, et même 21, donc 20 ans avant mon AVC, je suis plus que croyant, car, pour moi, Dieu n’est plus une affaire de croyance depuis 2003, mais une question… de science exacte. Je travaille en effet à un Nouveau Paradigme scientifique: la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu.
Pour plus de détails, voir:
https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-060-000-plan-du-site.html
C’est une nouvelle théorie des ensembles, ce qu’on appelle ainsi en mathématiques. Une théorie des ensembles est une théorie mathématique qui traite de la notion d’ensemble et d’élément. C’est le génial mathématicien juif allemand Georg Cantor qui, en 1882, introduisit ce puissant paradigme des ensembles et des éléments.
Les maths et les sciences, c’est très naturel chez moi, j’ai ça dans le sang. Donc ce n’est pas ça qui est la cause de mon AVC, bien au contraire, celui qui m’a causé l’AVC et ceux qui sont derrière lui, ont toujours eu pour but de mettre fin à mon travail de Nouveau Paradigme, qui remet en questions tous les paradigmes scientifiques actuels… C’est depuis le début, en 2003, il y a 21 ans donc, que l’on essaie de mettre fin à mon travail. La dernière tentative est cet AVC qui est tout sauf « naturel », vous voyez ce que je veux dire?
J’ai donné un lien plus haut pour aider à comprendre cette sombre affaire, mais peut-être qu’un second lien est nécessaire, pour découvrir ceux qui sont derrière tout ça. J’en ai déjà parlé plus haut, c’est désormais un secret de Polichinelle pour vous. Voici donc le second lien semblable au premier:
— Libération du vampirisme énergétique, la face cachée du monde:
https://hubertelie.com/u_civ_scien-fr-777-000-liberation-du-vampirisme-energetique-la-face-cachee-du-monde.html
Avec ça, le décor de la vie de celui qui fait ce travail scientifique spécial du Nouveau Paradigme, est planté.
Revenons à mon propos sur le puissant paradigme qu’est la théorie des ensembles, inaugurée donc en 1882, par Georg Cantor. Voir l’article Wikipédia à ce sujet:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_ensembles
Soit dit en passant, Cantor est mort en 1918 à la Halle, en… hôpital psychiatrique. Je vous assure que ce génie n’était pas « fou », il n’était pas un « malade mental » au sens habituel… enfin, je veux dire que sa maladie mentale n’était pas si naturelle que ça, contrairement à tout ce qu’on en dit… Exactement comme mon AVC ou « Accident Vasculaire Cérébral » n’était pas si naturel.
C’est juste que dans l’histoire des sciences et du monde, ce genre de choses arrivent trop fréquemment à ceux qui introduisent des paradigmes trop nouveaux, ou en tout cas trop nouveaux pour leur époque. Cantor disait que c’est Dieu qui lui a donné sa théorie des ensembles. Pour ma part, j’ai donc l’honneur d’introduire la plus grande théorie des ensembles qu’on puisse faire, que j’appelle donc la Théorie universelle des ensembles, ou Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu.
Pour plus de détails, voir donc:
https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-060-000-plan-du-site.html
Si cela vous donne des maux de tête pour piger ce travail, dites-le moi, pour que je demande à Mademoiselle Doliprane de vous donner autre chose pour calmer vos douleurs. Bonne nouvelle: il y a beaucoup de textes que vous pouvez comprendre facilement. Ne forcez pas sur les développements trop techniques.
Hubertelie, le 15/10/2024
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