Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
Sommaire du sous-titre
Cette vidéo développe le thème suivant: L'Oméga: l'Ensemble, la Réalité TOTALE.
La Science de l'Univers TOTAL
est techniquement une théorie des ensembles
nommée la Théorie universelle des ensembles,
la théorie des ensembles la plus générale qui soit.
Sa notion d'ensemble est la plus générale et la plus universelle qui soit,
celle qui s'applique partout et à toutes les choses, à tous les domaines,
parce que justement son mot clef de base est le mot le plus général et le plus universel qui soit,
à savoir le très important mot "CHOSE", "THING" en anglais.
Une "chose" est "tout ce dont on parle",
le mot "chose" est tout simplement le "nom commun le plus général".
Autrement dit, les mots "humain", "arbre", "étoile", "atome",
"proton", "neutron", "électron",
"galaxie", "pays", "monde", "idée", "information",
"nombre", "science", "conscience", "objet", "chose", etc.
sont des "noms communs".
Un nom commun désigne collectivement toutes les "choses"
qui possèdent une propriété commune désignée par ce nom commun.
Le nom commun "humain" par exemple désigne toutes les "choses" qui ont la propriété d'"humain",
le nom commun "étoile" désigne toutes les "choses" qui ont la propriété d'"étoile", etc.
Et maintenant, le simple question est de savoir que désigne le nom commun "chose"?
Et là, la réponse est simplissime: il désigne toutes les "choses" qui ont la propriété... de "chose"!
Avec ce mot clef donc, on atteint le maximum, on indique la proriété la plus générale qui soit!
Le mot "chose" est donc le "nom commun le plus général"
le "nom commun" par défaut en l'absence de tout autre:
"une chose est une chose avant d'être toute autre chose"...
avant d'être par exemple un "humain", "arbre", "étoile", l'"amour", ou autres.
Ces autres noms communs précisent simplement le nom commun "chose".
C'est donc dire toute l'importance de ce mot clef "CHOSE"
pour bien démarrer la science
et comprendre enfin correctement l'Univers
comme les sciences actuelles ne le faisaient pas jusqu'ici.
Ces sciences sont, hélas, très mal fondées, elles reposent sur de très mauvaises bases,
ce qui conduit dans les meilleurs des cas à de graves erreurs sur l'étude et la compréhension de l'Univers,
et dans les pires des cas tout simplement à des mensonges sur l'Univers!
En particulier, les théories des ensembles actuelles sont FAUSSES,
par exemple toutes les théories des ensembles que vous pouvez lire sur l'encyclopédie Wikipédia.
Non pas vraiment que ces fausses théories ou que la fausseté scientifique vienne de Wikipédia,
mais parce que Wikipédia ne fait que reprendre les théories et les sciences actuelles,
avec tout ce qu'elles ont de juste mais aussi, hélas, bien plus souvent de FAUX,
en particulier quand il s'agit de la compréhension de l'Univers et des choses.
Les actuelles théories des ensembles sont donc FAUSSES, elles soulèvent de faux problèmes
les vrais problèmes étant dus au fait que les sciences de ce monde
reposent sur de mauvaises bases.
Elles ont une très mauvaise conception des "choses"
justement parce qu'elles ne démarrent pas avec le très important mot clef "CHOSE"
comme nous sommes en train de le voir ici.
Ce mot clef est très étroitement lié à la notion d'Univers TOTAL,
qui est la bonne conception de l'Univers, comme on va le comprendre.
Mais l'Univers (surtout quand on l'écrit avec "U majuscule")
tel que la science le conçoit actuellement est NON TOTAL,
ce qui veut dire que l'on conçoit que certaines choses n'existent pas dans l'Univers.
Oui, si l'on parle seulement de NOTRE univers ou d'un univers particulier,
qui n'est qu'un parmi une infinité d'univers dans l'Univers TOTAL.
Mais l'idée que certaines choses n'existent pas dans l'Univers est très FAUSSE
si justement l'on parle de l'Univers TOTAL que le mot clef "CHOSE" permet de découvrir.
Cette idée est pourtant très admise, elle est un axiome implicite dans toutes les sciences actuelles,
d'où leurs méthodologies pour faire la part entre ce qui existe dans l'Univers et ce qui n'existerait pas.
Quand par exemple les physiciens se demandaient si la chose nommée le boson de Higgs existe ou pas,
cela repose sur l'idée implicite selon laquelle cette chose pouvait ne pas exister dans l'Univers.
D'où la très grande importance de préciser maintenant
si l'on parlait seulement de NOTRE univers
(auquel cas la question a un sens, comme le fait de se demander si le kangourou existe ou non en France
ou si la Tour Eiffel existe ou non à Pagouda au Togo,
ou encore si oui ou non les éléphants roses existent dans NOTRE galaxie, etc.).
Oui, cela a toujours un sens de se demander si une chose donnée existe ou non dans un certain contexte donné.
Mais cela n'a pas de sens (c'est une très grave FAUTE scientifique!)
de se demander si la chose existe ou non dans l'Univers TOTAL,
car là elle existe toujours, et c'est ce qu'il faut comprendre à partir de maintenant!
Les physicienss sont sur le point de découvrir que le boson de Higgs existe
mais sont encore très loin de comprendre qu'il ne faut plus se poser
ce genre de questions d'existence!
Sauf évidemment si la question est de savoir si la chose existe ou non dans NOTRE univers,
ce qui est une toute autre affaire que de se demander si elle existe ou non dans absolu,
c'est-à-dire tout simplement si elle existe ou non dans l'Univers TOTAL!
Là, cette question est absurde et la Négation d'existence est FAUSSE, Paradoxale,
car justement l'Univers TOTAL est l'ensemble dans lequel toute chose existe!
Ce théorème élémentaire de l'Univers TOTAL
(que j'appelle le Théorème de l'Existence ou la Loi de l'Univers TOTAL)
est ce que nous allons comprendre en profondeur dans ce document avec le mot clef "CHOSE".
Les sciences actuelles, avec leur idée selon laquelle certaines choses n'existent pas dans l'Univers
reposent sur la Négation de cette vérité fondamentale de l'Univers TOTAL.
C'est tout le Problème de la Négation entamé ici et developpé dans d'autres documents comme:
- La Négation Absolue: la vraie cause de tous les Paradoxes;
- Le Mystère de la Négation: la clef de la compréhension de la Psyché et du Monde.
Avec la Théorie universelle des ensembles
et le mot clef "CHOSE", la science démarre enfin de la bonne façon.
La célèbre variable X est désormais un mot d'une lettre qui veut dire: "CHOSE".
Dire "un x", c'est donc dire "une chose",
et dire "les x", c'est donc dire "les choses", etc.
A partir de ce mot clef "CHOSE" ou "X",
toutes les notions de la nouvelle théorie des ensembles sont définies très simplement.
Par exemple, on n'a jamais su définir correctement la notion d'ensemble!
Dans les théories traditionnelles des ensembles on la pose simplement comme notion première
alors qu'en fait c'est la notion de "CHOSE" qui est la vraie notion première.
La très importante notion d'ensemble vient alors comme une notion seconde
qui coule de source avec le mot clef "CHOSE".
En effet, un "ensemble" est par définition
"une chose contituée d'une ou plusieurs choses appelées ses éléments".
Très simple, non? Très évident, non? Très naturel, non? Très universel, non?
C'est cela les bases de Théorie universelle des ensembles.
Pouquoi toujours faire très compliqué là où les choses sont si SIMPLES?
A défaut de connaître les éléments plus petits qui font un ensemble donné
(les choses plus petites qui sont les constituants élémentaires d'une chose donnée donc),
une chose est constituée d'elle-même, elle est sont élément trivial
au sens de cette notion universelle d'ensemble.
Cette notion s'applique à tous les ensembles:
mathématiques, physiques, chimiques, biologiques, informatiques, etc.
Par exemple, l'ensemble N des entiers naturels
est l'ensemble constitué par les choses appelées "entiers naturels: 0, 1, 2, 3, 4, ...".
Et même, pour être plus précis, comme l'expliquent de nombreux documents comme par exemple
La Division par Zéro fait entrer la Science et la Technologie dans une Nouvelle Dimension,
les entiers naturels sont tout simplement les assemblages:
0, 00, 000, 0000, 00000, 000000, 0000000, 00000000, ... notés 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ...
Ce type d'assemblages faits d'un seul constituant élémentaire, ici 0,
est ce que j'appelle les générescences
ou les informations unaires,
qui sont d'une importance capitale dans la compréhension de l'Univers!
Pour tout dire, TOUTE chose et absolument TOUT dans l'Univers est formée ainsi,
par simple répétition d'UN SEUL élément de base, noté ici 0, mais que je note aussi U.
En effet, U est le plus petit élément (et alors il est plutôt appelé 0 ou Alpha)
et il est aussi le plus grand ensemble (et alors il est appelé U ou Oméga).
TOUT, de l'échelle de l'Infiniment petit (échelle Alpha ou échelle 0 ou échelle numérique)
à l'Infiniment grand (échelle Oméga ou échelle infini ou échelle cosmique)
est constitué d'un seul constituant élémentaire, 0 donc,
comme l'explique plus amplement par exemple le document Générescence et Structure FRACTALE,
mais aussi le document La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l'Univers.
Les générescences
ou informations unaires
sont les différents ensembles que l'on peut physiquement former avec un seul élément de base.
Et ces ensembles ainsi formés (les entiers naturels donc)
constituent à leur tour un plus grand ensemble qui est tout simplement le fameux ensemble des entiers naturels.
Tout est une affaire de constituer une chose donnée avec des choses plus élémentaires.
C'est ainsi aussi qu'un humain est un ensemble constitué d'une tête,
d'un thorax, de bras, de jambes, etc.
Et quelle que soit la chose dont on parle, TOUT est numérique à l'échelle la plus fondamentale
de l'Univers.
TOUTE chose est fondamentalement de l'informations pure,
faite d'une seule information de base.
Autrement dit, TOUT est fondamentalement un nombre entier naturel!
Informatiquement et numériquemement parlant, le Théorème de l'Existence revient à dire simplement
que TOUTE chose existe car tous les nombres entiers existent, toutes les informations existent.
Mais l'analyse du Théorème telle que nous la faisons ici repose seulement sur le mot CHOSE,
et lui seul suffit pour aboutir à cette très grande vérité de l'Univers, à savoir que toute chose existe!
Bref, c'est la notion d'ensemble dont il est question dans
la Théorie universelle des ensembles
est la seule vraie notion d'ensemble, la bonne, l'unique, l'universelle:
"un ensemble est une chose contituée d'une ou plusieurs choses appelées ses éléments".
Et l'Univers est justement "la chose constituée par TOUTES les choses",
donc "la chose dont TOUTES les choses sont les éléments".
Autrement dit, il est l'Ensemble de toutes les choses.
La notion d'Univers ainsi définie
est ce que nous appelons Univers TOTAL
par opposition à toutes les conceptions habituelle de l'Univers.
Il est aussi appelé l'Oméga.
Et la notion d'"EXISTENCE" est maintenant aussi
une notion scientifiquement bien définie et très simplement:
"EXISTER dans un ensemble donné
c'est tout simplement être un élément de cet ensemble".
En ce sens scientifique donc, toute chose existe
dans l'Univers TOTAL,
l'Ensemble de toutes les choses.
Ce n'est pas un principe arbitraire, c'est un très simple théorème
(le Théorème de l'Existence ou la Loi de la Réalité TOTALE)
qui découle de la définition de l'Univers TOTAL.
Cet ensemble est le domaine d'existence le plus large qui soit,
il est donc la Réalité TOTALE.
L'exact opposé de l'Univers TOTAL
est le Néant TOTAL
ou l'Ensemble Vide, appelé l'Alpha.
C'est l'ensemble qui n'a aucun élément,
donc "la chose qui n'est constituée d'aucune chose",
et par conséquent "la chose qui est une non-chose"!
Oui, la chose très spéciale qui sert à dire "non-chose"!
Tout le Problème de la Négation
et la grande importance de la relativiser se trouve-là.
Vu que que "toute chose est évidemment une chose",
la "non-chose" est simplement une chose très spéciale qui sert à dire "non-chose".
C'est la question de l'Ensemble Vide qui est juste l'ensemble très spécial qui sert à dire "non-ensemble".
C'est la question du Zéro qui est juste le nombre très spécial qui sert à dire "non-nombre",
à exprimer l'absence de nombre ou de quantité.
En informatique, c'est le caractère très spécial (appelé "espace") qui représente l'absence de caractère.
C'est cela la Négation, qui doit donc juste être relative et non pas absolue,
comme elle l'était jusqu'à maintenant dans tous les domaines et en science en particulier.
La Négation relative
(appelée l'Alternation)
parfaitement conforme à l'Univers TOTAL
et à sa logique.
Elle sert juste à exprimer le contraire de l'Univers, qui est simplement un autre attribut du même Univers.
Elle sert à dire: "Quand l'un augmente, l'autre diminue, et vice-versa"
ou: "Quand l'un est Plein, l'autre est Vide, et vice-versa",
et plus généralement: "Quand X n'existe pas d'un côté de l'Univers TOTAL,
il existe forcément de l'autre côté de l'Univers TOTAL, et vice-versa".
Quand la Négation est ainsi (c'est-à-dire relative),
elle s'appelle l'Alternation, et elle est bonne.
Sinon, elle est absolue, elle est mauvaise,
car elle nie l'Univers TOTAL...
(pour en savoir plus, voir La Théorie universelle des ensembles).
On conçoit donc depuis la nuit des temps que Certaines choses existent et que d'autres n'existent pas.
Autrement dit, Certaines choses n'existeraient pas dans l'Univers.
Mais cette idée, que nous appelons l'Axiome de Non-Existence, qui semble être une vérité évidente,
est pourtant FAUSSE, elle est un paradoxe,
elle pèche en effet contre la notion même d'Univers.
On peut nier une existence dans un contexte donné de l'Univers,
comme par exemple la France, notre monde, notre système solaire, notre galaxie, etc.
La négation que l'on fait est alors seulement relative,
c'est-à-dire limitée à ce contexte.
Mais on ne doit pas nier une existence à l'échelle de l'Univers TOUT entier!
La négation que l'on fait est absolue
au lieu d'être seulement absolue,
et l'Univers que l'on conçoit ainsi n'est pas TOTAL.
Or justement, si on peut dire d'une chose qu'elle est TOTALE, qu'elle est le TOUT, absolument TOUT,
c'est bien l'Univers, le TOUT donc, le TOTAL, l'ABSOLU!
C'est sa définition, la seule, la bonne, à savoir donc:
l'Ensemble de toutes les choses!
Une conception de l'Univers qui n'est celle-là est mauvaise, paradoxale!
On a toujours considéré comme très évident le fait de séparer les choses en deux catégories: d'une part celles qui existent et d'autre part celles qui n'existent pas. Les choses qui existent sont évidemment celles qui constituent l'Univers et font partie de lui, tandis que celles qui n'existent pas ne constituent pas l'Univers et ne font pas partie de lui.
L'idée que "Certaines choses n'existent pas dans l'Univers" est ce que nous appelons l'Axiome de la Non-Existence ou Axiome de la Négation absolue ou simplement Axiome de Négation. C'est le plus fondamental, le plus implicite et le plus caché de tous axiomes de la philosophie et de la science. Cette idée est tout simplement FAUSSE, c'est un Paradoxe, le Vrai Paradoxe! C'est même plus qu'un simple paradoxe, une simple erreur de logique ou de raisonnement, car il s'agit phénomène qui opère dans les profondeurs de nos psychés, qui fausse la logique, la science et la vérité: le Phénomène de la Négation (voir Le Mystère de la Négation: la clef de la compréhension de la Psyché et du Monde)!
Voici maintenant la simple vérité: ce qu'il faut appeler l'Univers est l'Ensemble de toutes les choses. Cette très simple conception de l'Univers est ce que nous appelons l'Univers TOTAL. Donc, "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses". Evidemment! Cette vérité simple et limpide est ce que nous appelons le Théorème de l'Existence.
Selon le contexte E où nous sommes, nous pouvons percevoir l'existence de certaines chose et d'autres. Les choses qui n'existent pas sont alors simplement la face cachée de l'Univers TTAL, très exactement comme la face cachée de la Lune pour nous terriens. Juste cachées, mais elles existent dans l'absolu, c'est-à-dire dans l'Univers TOTAL! C'est pourquoi donc toute négation d'existence doit être relative et non pas absolue.
Des explications détaillées seront données sur le Théorème de l'Existence, le très théorème important théorème de la Science de l'Univers TOTAL, sur ses corollaires et diverses implications. Il sera analysé et approfondi sous différents angles. Et une de ses implications immédiates est évidente: il est une simple réponse à la question de l'existence de DIEU. Non seulement cela, le DIEU en question n'est autre que l'Univers TOTAL, ce très miraculeux Ensemble suprême. Il n'est pas du tout une simple collection hétéroclites des choses, mais il est une Structure (la Structure Générescente et Fractale), la Grande Machine, le Grand Orgnaisme, etc. Bref, c'est l'Univers-DIEU!
Nous appelons donc Axiome de Non-Existence ou Axiome de Négation cette idée courante depuis la nuit des temps selon laquelle "Certaines choses n'existent pas dans l'Univers". A vrai dire, on n'a jamais jugé nécessaire en science (ou même en philosophie) de formuler explicitement un tel axiome, car cela semble être l'évidence même, une vérité triviale!
On peut formuler l'Axiome de Non-Existence de nombreuses façons équivalentes, comme par exemple les idées courantes suivantes:
- Axiome d'Impossibilité :
"Certaines choses sont impossibles dans l'Univers".
- Axiome de la Non-Véracité : "Certaines choses ne sont pas vraies dans l'Univers".
- Axiome de la Non-Réalité : "Certaines choses ne sont pas des réalités dans l'Univers" .
- Etc.
Par exemple, il y a 2400 ans, le philosophe Aristote a explicitement formulé un principe d'une très grande importance dans la logique scientifique jusqu'à nos jours, le Principe de non-contradiction, qui dit: "Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose" (Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20).
On note que ce principe explicitement formulé repose lui-même sur un axiome, quant à lui implicite, selon lequel "Certaines choses sont impossibles dans l'Univers". Si cet Axiome d'Impossibilité n'était pas implicitement admis comme une vérité triviale et incontestable, Aritoste n'aurait pas formulé une phrase du genre: "Il est impossible que...".
Cet Axiome est tout simplement l'expression du Déni de l'Univers TOTAL, il équivaut à dire que l'Univers TOTAL n'existe pas ou est impossible. La raison est très simple: dès qu'on parle de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, il s'en suit immédiatement le Théorème de l'Existence qui dit que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses"! Ce théorème est simplement tout le contraire de l'Axiome de Non-Existence et tous ses corollaires comme par exemple l'Axiome d'Impossibilité. La négation de l'existence de Dieu , ou tout simplement l'incapacité depuis toujours pour la science de définir la notion de Dieu et de l'étudier, se cache dans cet Axiome de Non-Existence! Autrement dit, la science ne peut pas démontrer une chose qu'elle a déjà niée dans ses bases les plus profondes!
Depuis la nuit des temps, on concevait l'Univers comme étant l'Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT, ce qui semble très normal et très naturel à première vue. Mais cela sous-entend que certaines choses n'existeraient pas, et c'est là où commence le problème! Le problème de la notion d'existence, et surtout le problème de la négation d'existence.
Le problème de la notion d'existence est principalement de deux natures: la relativité et la subjectivité, qu'il faut opposer à la notion d'existence absolue, qui elle ne pose aucun problème! Cette notion d'existence absolue est très étroitement associée à la notion d'Univers TOTAL et au Théorème de l'Existence, comme on va le voir. La relativité et la subjectivité de l'existence ne sont pas des problèmes en soi, si l'on prend toutes les précautions nécessaires quand on utilise la notion d'existence. Mais elles deviennent de graves problèmes avec la négation, car ce sont ces deux aspects de la notion d'existence qui offrent tout un boulevard à la négation d'existence. Explications...
La notion d'existence dépend du contexte spatio-temporel dans lequel l'observateur (celui qui parle d'existence) se trouve. Plus généralement, cela dépend de l'ensemble auquel appartiennent les choses dont on parle de l'existence, et donc l'ensemble dans lequel on peut les trouver.
La chose a existe dans le contexte A mais pas dans le contexte B,
(elle existe dans le contexte A - B, constitué de tous les éléments de A, sauf ceux qui sont aussi des éléments de B).
La chose b existe dans le contexte B mais pas dans le contexte A,
(elle existe dans le contexte B - A, constitué de tous les éléments de B, sauf ceux qui sont aussi des éléments de A).
La chose d existe à la fois dans le contexte A et B
(dans D qui est l'Intersection de A et B).
Les trois choses a, b et d existent dans le contexte C
(qui est la Réunion de A et B).
La chose e n'existe dans aucun des contextes précédents, mais existe dans le contexte E.
Et toutes les choses existent dans le contexte U, l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
qui est la Réunion de tous les contextes d'existence.
C'est le Théorème de l'Existence...
Par exemple, la Tour Eiffel existe à Paris ou en France mais pas à Pagouda ou au Togo. Mais dans tous les cas, elle existe sur la Terre, un contexte spatial plus large que la France et le Togo. Elle n'existait pas sur Terre il y a quatre siècles, et peut-être n'existera plus dans quatre siècles... Mais dans tous les cas elle existe dans le contexte temporel de 1000 ans par exemple qui couvre ces deux périodes. La phrase "La Tour Eiffel existe" est donc vraie dans un contexte spatio-temporel et fausse dans un autre. Mais elle toujours vraie dans un contexte spatio-temporel plus large.
Plus le contexte spatio-temporel est large, plus la notion d'existence concernée est absolue. Et la notion absolue d'existence porte signifie que l'on voit la notion d'existence non plus à l'échelle d'un lieu limité donné et d'un temps limité donné, mais que l'on voit la notion à l'échelle de l'Espace tout entier, du Temps tout entier, qui sont des composants de l'Univers. Et plus généralement, la notion absolue d'existence porte sur tout Sous-Ensemble composant le grand Ensemble qu'est l'Univers, que ce soit l'Espace, le Temps, l'Engergie, la Matière, ou autre. Bref, la notion d'existence est absolue quand elle porte sur l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses!
Si donc l'on définit l'Univers comme étant seulement l'Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT (définition qui semble apparemment naturelle), on s'expose au risque de la relativité de la notion d'existence. On est alors obligé de constater par exemple que selon un contexte spatio-temporel donné la Tour Eiffel fait partie de l'Univers et selon un autre elle ne fait pas partie de l'Univers... Autrement dit, l'Univers ainsi défini ne peut qu'être relatif donc NON-TOTAL. Cela conduit à dire que Certaines choses n'existent pas alors qu'elles existent bel et bien dans l'absolu, c'est-à-dire dans l'Univers TOTAL. Mais seulement elles n'existent pas dans l'Univers relatif dans lequel on se trouve.
Il faut donc élargir au maximum le contexte spatio-temporel pour ne pas tomber dans ce piège de l'Univers relatif. Cela signifie alors que l'Univers est simplement défini comme étant l'Ensemble de toutes les choses. On supprime ainsi le problème de la relativité de la notion d'existence. Car la notion d'existence doit toujours être absolue, ce qui signifie que la négation d'existence doit, quant à elle, toujours être relative, ce qui n'est pas le cas jusqu'ici, et c'est là le problème.
La relativité, c'est bien, mais il faut faire attention pour qu'elle ne devienne pas du relativisme, c'est-à-dire la négation de l'absolu, qui s'exprime souvent par cette formule: "Tout est relatif", pour dire donc "Rien n'est absolu"... Mais si "Rien n'est absolu", alors cette déclaration elle-même n'a rien d'absolu, alors que vaut-elle? Le relativisme est paradoxal, et ce n'est rien d'autre que le paradoxe qu'est la négation absolue. Mais la relativité, la vraie (et pas le relativisme), n'est pas incompatible avec l'absoluité, c'est-à-dire l'Univers TOTAL et toutes les vérités qui le concernent.
Dans un certain même contexte spatio-temporel, la notion d'existence dépend de l'observateur lui-même (celui qui parle d'existence), de sa nature propre, de ses facultés de perception de l'existence des choses. De manière plus générale encore, la subjecivité de l'existence c'est le problème pour une chose A d'être informée de l'existence d'une chose B. C'est le point de vue informatique ou informationnel de la question. Dans un langage de la physique, c'est tout simplement le problème de l'interaction entre les choses, comme par exemple l'interaction électromagnétique, l'interaction gravitationnelle, etc. Nous percevons l'existence des choses parce que nous interagissons avec elles. Par conséquent, si nous n'interagissons pas avec une chose, nous sommes enclins à nier à tort son existence...
La perception de l'existence des choses est subjective.
Elle dépend du contexte, de la nature, de la propriété, des facultés des choses concernées.
Ce qui existe pour l'un n'existe pas forcément pour l'autre, et vice-versa.
Ici, le clou N perçoit l'existence de l'aimant M
ou d'une propriété magnétique venant de la cloison en carton C vers lequel il est attiré.
Mais le morceau de bois W quant à lui ignore royalement l'existence de M ou de cette propriété magnétique de C,
car il ne subit aucune attraction de la part de M ou de C.
Deux observateurs à Paris ou en France, l'un aveugle et sourd et l'autre ayant sa vision et son audition, ne vont pas percevoir de la même manière l'existence de la Tour Eiffel, bien qu'étant dans un même contexte spatio-temporel, celui de la Tour Eiffel.
Plus généralement encore, un aimant et un humain ne vont pas percevoir l'existence de la Tour Eiffel de la même manière. L'humain peut voir la Tour, la toucher, etc., mais l'aimant saura que la Tour existe par qu'il est attiré vers la Tour en raison du magnétisme. Et l'aimant et un morceau de bois (qui n'a aucune propriété magnétique) ne vont pas du tout percevoir l'existence de la Tour en fer de la même manière. Si on appelle "Dieu" la Tour Effeil, l'aimant sensible à l'existence de la Tour est comme un "croyant" tandis que le morceau de bois insensible à l'existence de la Tour est comme un "athée".
Si donc l'on définit l'Univers comme étant l'Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT, cet Univers ne peut qu'être subjectif. Le sentiment que Certaines choses n'existent pas signifie simplement qu'on est incapable de percevoir l'existence de ces choses. Elles n'existent pas dans l'Univers subjectif dans lequel on se trouve. Et une fois encore, comme pour la relativité de l'existence, l'élimination de la subjectivité de la notion d'existence passe par la notion d'Univers TOTAL, c'est-à-dire l'Univers défini simplement comme étant l'Ensemble de toutes les choses, sans aucune référence (implicite ou explicite, directe ou indirecte) à la notion d'existence.
Dans ce cas, on fonctionne avec une notion absolue d'existence, ce qui veut dire simplement que la notion d'existence ou d'être (du verbe ETRE) et la notion de chose deviennent la seule et même notion.
C'est en 1879 que le logicien Frege a introduit de puissants outils de logique:
le quantificateur existentiel (que Peano nota "∃" en 1894),
et qui se lit "Il EXISTE",
et le quantificateur universel (que Gentzen nota "∀" en 1934),
et qui se lit: "TOUT" ou "POUR TOUT" ou "QUEL QUE SOIT".
Ce sont de magnifiques outils, très bien nommés,
qui définissent de la meilleure des façons l'Existence et l'Univers!
Le quantificateur universel, qui signifie simplement TOUT,
à lui tout seul définit l'Univers, le TOUT, l'Univers TOTAL, U!
La formule ∀X (X ∈ U) se lit:
"Quel que soit X, X est un élément de U" ou "Quel que soit X, X appartient à U",
ou plus simplement " TOUT X est un élément de U" ou "TOUT X appartient à U".
Dans le Langage universel des ensembles,
la célèbre variable X est un mot à part entière qui se lit: Chose.
Cette formule dit donc simplement que "Toute chose est un élément de l'ensemble U".
Cette formule est donc avant tout une simple définition de cet ensemble,
autrement dit une simple définition de l'Ensemble de toutes les choses,
oui une simple définition de ce que nous appelons l'Univers TOTAL, le Grand TOUT!
Au sens scientifique et même mathématique
(donc rigoureux, clair, net, précis, sans aucune spéculation philosophique),
la notion d'existence est tout simplement la notion d'appartenance à un ensemble.
Cette notion d'existence est celle du quantificateur existentiel.
EXISTER
dans un ensemble c'est être un élément de cet ensemble.
Et être un élément d'un ensemble donné c'est
EXISTER dans cet ensemble.
C'est la notion d'existence la plus générale qui soit, elle est universelle,
ABSOLUE!
C'est cette notion scientifique d'existence qui sert à exprimer
le Théorème de l'Existence.
Ce n'est pas une conjecture, une hypothèse, mais un théorème, car il est démontré d'office!
En effet, il est tout simplement l'expression de la définition de l'Univers TOTAL, du TOUT!
Il dit simplement: "Toute chose existe dans l'Ensemble de toutes les choses",
autrement dit: "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL".
Donc "Dieu existe dans l'Univers TOTAL".
Et le Dieu en question n'est autre que l'Univers TOTAL dont nous parlons.
C'est parce que la notion d'existence, telle qu'on l'utilise actuellement en philosophie ou dans le langage courant, est très relative et subjective, qu'on ne peut pas fonder sur elle une définition rigoureuse de l'Univers et énoncer une vérité absolue concernant l'existence des choses, une vérité que l'on peut qualifier de Théorème de l'Existence. Il faut pour cela une notion objective d'existence, une notion scientifique, mathématique d'existence!
Par exemple, en parlant de l'ensemble des nombres entiers naturels : N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, ...}, on peut dire que le nombre 84 existe dans l'ensemble N. Et on peut dire qu'il existe un nombre premier (les nombres entiers autres que 1, divisibles seulement par 1 et par eux-mêmes: 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, etc.) supérieur à 84, en l'occurrence 89, etc. On comprend alors tout simplement qu'exister dans l'ensemble N, c'est être un élément de cet ensemble.
Plus généralement, étant donné un ensemble quelconque E, par exister dans E, il faut entendre être un élément de E. Et de manière plus générale, exister c'est être un élément d'un certain ensemble donné. Et cette notion d'existence devient très importante et extrêmement puissante quand l'ensemble en question est en particulier l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses!
C'est la notion mathématique d'existence, la notion absolue, parfaite, celle du langage universel des ensembles! C'est elle qu'il faut pour parler d'existence des choses de manière scientifique, objective, et non plus subjective. C'est elle maintenant qu'il faut pour parler de l'existence, que ce soit de l''Univers TOTAL lui-même... ou de DIEU!
La définition simple de l'Univers TOTAL est donc l'Ensemble de toutes les choses. De cette conception et définition de l'Univers il découle immédiatement le Théorème de l'Existence, qui dit très simplement: "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL". En effet, toute chose est un élément de cet Ensemble suprême.
Seule compte désormais pour nous la notion d'existence définie à partir de l'Univers TOTAL, la notion de la Science de l'Univers TOTAL. Toute autre notion d'existence, scientifique, philosophique, métaphysique, théologique, religieuse ou autre, qui n'est pas définie sur la base de l'Univers TOTAL n'a désormais aucune valeur pour nous... Plus généralement, seules comptent pour nous les notions définies dans le paradigme de l'Univers TOTAL (pour plus de détails, voir Le mot CHOSE: la clef de la Théorématique, de la Théorie universelle des ensembles, de la Science de l'Univers TOTAL, et aussi Comment la Théorématique se déploie à partir du mot CHOSE).
Dans le sens scientifique du verbe exister que nous venons de définir, toute chose existe donc dans l'Ensemble de toutes les choses (l'Univers TOTAL), y compris donc en particulier les nombres entiers naturels dont nous venons de parler. On sait donc déjà que l'Univers TOTAL, que nous appelons U, est un ensemble infini, au moins autant que l'ensemble N des nombres entiers! Car il contient au moins ceux-ci!
Dans le Langage universe des ensembles, Dieu par exemple est une chose comme une autre, peu importe ce que l'on entend par "Dieu" et indépendamment du problème de son existence, qui est justement le problème de la notion d'existence, problème lui-même causé par la négation! Voilà pourquoi il faut partir d'une notion beaucoup plus fondamentale et plus générale pour tout définir correctement, à savoir le mot CHOSE. Si le propos scientifique que nous tenons sur Dieu est un propos commun à toutes les choses, nous n'avons pas spécialement besoin de définir le mot "Dieu" avant de tenir ces propos.
Quand par exemple le Théorème de l'Existence dit que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", il en découle en particulier que "Dieu existe dans l'Univers TOTAL", sans qu'il soit nécessaire de définir le mot "Dieu". C'est d'autant moins nécessaire que le "Dieu" en question n'est justement autre que l'Univers TOTAL lui-même! C'est là où réside toute la force et toute la puissance de la notion d'Univers TOTAL! Cette chose très particulière à elle seule suffit pour apporter des réponses scientifiques à beaucoup de questions fondamentales. C'était le chaînon manquant dans la science, la chose qui faisait défaut à la science actuelle!
Le Théorème de l'Existence, c'est donc aussi le Théorème de Dieu, en ce sens qu'il implique immédiatement l'existence de Dieu! Autrement dit, la question d'Univers TOTAL et la question de Dieu étaient la seule et même question scientifique! La simple solution du premier problème est aussi la solution du second!
La cause de tous les problèmes en science ou ailleurs c'est la négation absolue, synonyme de Déni de l'Univers TOTAL, mais aussi de Déni de Dieu. Ce déni était très sournoisement et très vicieusement caché dans les paradigmes des philosophies et des sciences actuelles. Ce document fait donc la lumière scientifique sur le problème de la négation d'existence, il démontre tout le paradoxe que cette négation est, quand elle est absolue, comme elle l'a été jusqu'ici (voir L'Axiome de Non-Existence: le plus fondamental et le plus vicieux de tous les paradoxes).
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Un ensemble physique appelé ici U (comme Univers) pour illustrer le principe pour tout l'Univers.
Cet ensemble peut être décrit comme étant constitué des trois choses A, B, C.
Ces choses sont alors appelées ses éléments, et on note : U = {A, B, C}.
Mais cet ensemble peut tout aussi bien être décrit comme étant constitué des dix choses : a, b, c, d, e, f, g, h, i, j.
Cet ensemble est alors noté : U = {a, b, c, d, e, f, g, h, i, j}.
Cette souplesse ou finesse est une des caractéritiques des ensembles physiques, les ensembles de la réalité
(par opposition aux ensembles abstraits des théories classiques des ensembles, déconnectés de l'Univers et de la réalité...).
Cette conception est tout simplement la manière naturelle dont chacun de nous conçoit et utilise quotidiennenent la notion d'ensemble.
Nous rappelons juste ici qu'on appelle un ensemble une chose constituée de plusieurs choses appelées ses éléments. Cette définition ne distingue donc pas fondamentalement les notions d'élément, de constituant et de partie, comme on le fait dans les conceptions actuelles des ensembles. Dans la nouvelle conception, emploie le mot élément juste pour parler de parties d'un ensemble considérées comme les plus petites ou comme les parties unitaires (pour plus de détails sur la notion d'ensemble, voir la Théorie universelle des ensembles).
Diagramme de Venn illustrant la relation d'Appartenance.
Ici, e est un élément de E, et on note: e ∈ E .
Les différentes manières en Verba d'exprimer l'appartenance de la chose e à l'ensemble E.
Parmi elles, il y a celle-ci : "e exer ihn E" ou "e existe dans E".
Nous appelons un contexte d'existence tout simplement un ensemble quelconque, c'est-à-dire une chose constituée de plusieurs choses appelées ses éléments (pour plus de détails sur la notion d'ensemble, voir la Théorie universelle des ensembles).
Par exemple, un contexte d'existence, c'est une ville, un pays, une planète, une galaxie, un univers, etc. Mais c'est aussi un corps humain, un caillou, un atome, une particule, etc. Et c'est aussi par exemple l'ensemble des nombres entiers, une figure géométrique, etc. Bref, tout ensemble, toute chose constituée d'autres choses.
On appelle Univers TOTAL (ou simplement Univers) la chose constituée de toutes les choses, c'est-à-dire tout simplement l'ensemble de toutes les choses. C'est le plus grand contexte d'existence, et on le note U.
Si E est un ensemble (donc un contexte d'existence) et si e est un élément de E, alors on dit simplement que e existe dans le contexte E ou simplement que e existe dans E.
Cette notion d'existence n'est plus une notion philosophique subjective, mais une notion mathématique objective, une notion bien définie dans le langage des ensembles. On dit que l'existence dans le contexte E est relative à E ou simplement relative. Et si le contexte est U (l'Univers TOTAL), alors cette existence est dite absolue.
Et maintenant, pour un contexte E donné, on appelle un sur-contexte de E tout ensemble E' dont E est une partie ou élément. Dans ce cas alors, on dit aussi que E est un sous-contexte de E'.
Par exemple l'Europe est un sur contexte de la France et la France est un sous-contexte de l'Europe. C'est tout simplement la notion d'ensemble, de sur-ensemble et de sous-ensemble, sauf qu'ici on voit un ensemble comme un contexte d'existence de ses éléments.
Abordons maintenant un aspect très puissant de la notion de contexte d'existence, une notion de la plus haute importante, car non seulement il constitue une solution du problème de la Négation, mais il pose aussi les bases de la solution de beaucoup de questions fondamentales, existentielles, comme les questions relatives au Néant, à l'Au-delà, à l'Au-delà. Il s'agit maintenant de donner une définition scientifique claire et nette de ces notions. C'est le paradigme de l'Univers TOTAL et sa structure fractale qui apporte aujourd'hui toutes les lumières.
L'Univers TOTAL a une structure générescente et fractale Le propre d'une structure fractale, c'est que toute partie E est toujours un sous-contexte d'un contexte ET qui est un grand-modèle de E.
Par exemple, le Triangle de Siperpinski ci-dessus, qui est une structure fractale, montre qu'un Triangle de Sierpinski se trouve toujours dans un Triangle plus grand. Et trois Triangles de plus petite échelle constitue un Triangle de l'échelle supérieure, et ainsi de suite. Par conséquent le Triangle appelé ici E forme de la même manière avec deux autres Triangles de même échelle un Triangle suprérieur. Et on a la même logique en allant vers l'Infiniment petit.
On appelle un contexte
un ensemble quelconque E,
donc un sous-ensemble de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses.
On appelle l'anti-contexte de E
le complémentaire de E dans U,
l'Ensemble N de toutes les choses qui n'existent pas dans E,
c'est-à-dire tout le restant de l'Univers TOTAL par rapport à E, noté U - E ou simplement -E.
Une chose n qui n'existe pas dans un
contexte
E de l'Univers TOTAL
existe toujours dans son anti-contexte U - E.
Dans tous les cas, la chose existe toujours dans l'Univers TOTAL
(Théorème de l'Existence).
Pour un contexte d'existence E donné, on appelle non-contexte de E ou le néant de E tout le restant de l'Univers TOTAL par rapport à E, c'est-à-dire l'ensemble constitué de toutes les choses de l'Univers TOTAL sauf celles qui constituent E. Il est noté U - E ou Non-E.
Et en particulier, si E est un ensemble quantique ou ontologique, c'est-à-dire défini par un nom commun e permettant de dire de tout élément X de E que "X est un e" ou "E est l'ensemble de tous les e", alors le non-contexte Non-E est l'ensemble quantique défini par le nom commun non-e. Autrement dit, Non-E est l'ensemble de tous les non-e de l'Univers TOTAL.
Par exemple, le nom commun "humain" défini l'ensemble ontologique qui l'ensemble de tous les humains, qu'on notera ici H par exemple. De tout élément X de H, on dit donc "X est un humain". L'ensemble H est donc un contexte, et son non-contexte, U - H ou Non-H, est l'ensemble constitué par toutes les choses de l'Univers TOTAL qui ne sont pas des humains, donc qui sont des non-humains. C'est dons l'Univers TOTAL moins tous les humains ou l'Univers TOTAL amputé de sa partie constituée par les humains. Donc de tout élément X de U - H ou Non-H, on dit: "X est un non-humain".
De la même façon, si l'on appelle P l'ensemble de tous les protons de l'Univers TOTAL, donc l'ensemble ensemble quantique ou ontologique défini par le nom commun "proton", le non-contexte de P, à savoir U - P ou Non-P, est l'ensemble formé par toutes les choses de l'Univers TOTAL qui ne sont pas des protons, donc qui sont des non-protons. C'est donc l'Univers TOTAL sauf les protons.
Il est très important de souligner que la négation qui intervient dans cette définition de la notion de non-contexte ou de "non-e" (ou e est un nom commun) est à manier avec beaucoup de précaution (comme toutes les fois où il est question de négation ou du mot "NON"). Elle ne doit pas être absolue mais seulement relative sous peine d'être coupable de paradoxe de type Paradoxe Sorite. En effet, l'Univers TOTAL a une structure fractale, il est le domaine même de l'Equivalence. Par conséquent, les choses ne sont pas tranchées comme cela se produit dans le paradigme de l'Identité ou de la négation absolue.
Une chose et la non-chose correspondante ne peuvent pas être identiques, certes, mais elles peuvent être équivalentes! Elles peuvent être deux façons contraires de dire la même chose, comme par exemple le Zéro et l'Infini, le Vide et le Plein, etc. Et plus simplement encore, 1 par exemple est non-nul, c'est-à-dire non-0. Et pourtant on l'équivalence 0 = 1 dans le paradigme de l'Univers TOTAL, qui est le paradigme du Cycle (voir Logique Alternative, Logique Cyclique, Logique FRACTALE et Nombres Cycliques, Algèbre Fractale, Algèbre Universelle).
Un cas particulier très important de la notion de non-contexte est quand l'ensemble E est l'Univers TOTAL, U. Celui-ci est l'Ensemble de toutes les choses, donc l'ensemble quantique (ou ontologique) défini par le nom commun "chose". Le non-contexte de U est donc U - U ou Non-U ou Non-Univers, ce qui signifie l'ensemble de toutes les choses de l'Univers TOTAL sauf toutes les choses! Ou encore l'Univers TOTAL sauf l'Univers TOTAL, ou encore l'Univers TOTAL amputé de l'Univers TOTAL, ou encore l'Univers TOTAL vidé de toutes les choses, de tous ses éléments. C'est tout simplement la définition de l'Ensemble Vide, que nous notons Ø. C'est aussi la simple définition du Néant. Il se définit donc avec le nom commun non-chose.
C'est ici que l'on voit l'importance de ne pas raisonner avec une négation absolue mais seulement relative, sinon on est dans le paradoxe de la non-chose.
La notion de non-contexte et de non-e vue plus haut est une notion de Logique alternative binaire, ce qui signifie que l'Univers TOTAL est vu comme deux sous-ensembles opposés, le Plein et le Vide, l'Univers et le Non-Univers (ou Néant).
Mais l'Univers TOTAL a une structure fractale, ce qui implique que même le Vide ou le Néant n'est qu'une autre version de l'Univers TOTAL. Il ne s'agit donc pas d'un Vide ou d'un Néant au sens de la négation absolue, mais d'une négation seulement relative. Le Vide est tout simplement une version de l'Univers prise comme commencement, une version dont on ne considère pas des propres éléments. C'est en ce sens relatif que ceux-ci sont des non-choses, par opposition donc aux choses, quand on veut raisonner en Logique alternative binaire.
Mais quand on veut considérer les éléments de l'Univers choisi pour signifier le Vide, on passe alors en Logique alternative trinaire. On raisonne alors en termes d'Univers (+U), de Vide (Ø ou 0) et d'Anti-Univers (-U). Et l'Anti-Univers est précisément la version de l'Univers FRACTALE qui est pour le Vide ce que lui-même est pour l'Univers. Autrement dit, le Vide du Vide. Tous les éléments du Vide sont appelés les anti-choses.
Pour un ensemble E donné, anti-contexte de E (au sens de la logique trinaire) est la version de E qui joue dans le Vide ou Néant exactement le même rôle que celui joué par E dans +U (ou U). On la note -E.
D'une manière générale, si X est élément quelconque de U, la version de X qui se trouve dans Ø (qui est donc une non-chose) est appelée l'anti-chose de X.
Il est clair que de par sa définition même, "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL". C'est ce qui est appelé le Théorème de l'Existence.
Le Théorème de l'Existence interdit simplement de séparer les notions de chose et d'existence quand on se place dans l'Univers TOTAL, le plus grand contexte d'existence. EXISTER de manière absolue, c'est tout simplement être une chose. On a le droit de séparer les deux notions seulement quand on se place dans un contexte d'existence restreint E qui n'est pas l'Univers TOTAL U. Alors seulement dans ce cas-là, être une chose ce n'est pas nécessairement exister dans ce contexte. Autrement dit, on peut tout à fait être une chose et ne pas exister dans le contexte E en question. Mais si le contexte est l'Univers TOTAL U, alors les deux notions chose et existence deviennent synonymes. Alors être une chose c'est exister dans U, et vice-versa. C'est tout simplement ce que veut dire le Théorème de l'Existence.
La chose a existe dans le contexte A mais pas dans le contexte B,
(elle existe dans le contexte A - B, constitué de tous les éléments de A, sauf ceux qui sont aussi des éléments de B).
La chose b existe dans le contexte B mais pas dans le contexte A,
(elle existe dans le contexte B - A, constitué de tous les éléments de B, sauf ceux qui sont aussi des éléments de A).
La chose d existe à la fois dans le contexte A et B
(dans D qui est l'Intersection de A et B).
Les trois choses a, b et d existent dans le contexte C
(qui est la Réunion de A et B).
La chose e n'existe dans aucun des contextes précédents, mais existe dans le contexte E.
Et toutes les choses existent dans le contexte U, l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
qui est la Réunion de tous les contextes d'existence
(c'est le Théorème de l'Existence).
Avec le théorème de l'Auto-appartenance et de Structure fractale, le Théorème de l'Existence est l'une des lois les plus fondamentales de de l'Univers TOTAL. En disant que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", il exprime aussi une loi phénoménale de la physique, de la biologie, de la sociologie, etc. Il nous dit en toute simplicité d'abord que tout type d'univers existe dans l'Univers TOTAL, tout type de monde qu'on puisse imaginer existe, toutes les situations existent, toutes les congurations possibles et imaginables (ou plutôt inimaginables) existent! Tous les objets qu'on puisse concevoir existent, et tout ce qui nous est inconvevable aussi! Tout type de matière connue et inconnue existe, toutes les espèces d'êtres existent, etc.
On n'a pas à se demander par exemple si le boson de Higgs existe ou non dans l'Univers TOTAL, mais seulement à se demander s'il existe dans NOTRE univers! Si on le trouve dans NOTRE univers, tant mieux, sinon c'est qu'il est ailleurs, il nous faut changer de nature ou nous placer dans d'autres conditions pour le trouver. Et c'est justement la Science de l'Univers TOTAL qui nous ouvre de nouveaux horizons, qui nous offre de nouvelles possibilités, etc., qui nous permettra demain de "changer de nature", de nous placer dans de nouvelles conditions, bref de faire ce qui était impossible jusqu'ici avec les paradigmes actuels. C'est tout cela que veut dire le Théorème de l'Existence.
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La notion d'existence relative (celle dans un contexte quelconque E) et d'existence absolue (celle dans U) ont toute leur importance surtout quand on NIE l'existence d'une chose X en disant: "X n'existe pas". Il importe alors de savoir de quel contexte est concerné par cette négation.
De même que nous parlons de contexte d'existence, de même nous parlons donc aussi de contexte de négation. Une négation d'existence qui ne précise pas son contexte de négation sous-entend automatiquement que ce contexte est l'Univers TOTAL. C'est alors une négation absolue, ce qui est très mauvais!
Il importe d'abord de souligner que la négation ou le fait de NIER est l'acte d'une psyché, d'une conscience. Nous ne parlons donc pas du connecteur de négation en soi (le mot NON, qui souvent exprime simplement la notion de contraire, ce qui est une toute autre affaire), ou du fait qu'une chose puisse ne pas exister dans un contexte donné. Mais nous parlons de l'acte d'une psyché qui use de ce connecteur pour nier des existences.
Nous entendons par négation absolue, ou simplement négation, le fait de dire qu'une chose "n'existe pas" (ou "non-existe") dans l'Univers, "n'est pas réelle" (c'est-à-dire ne fait pas partie de la réalité, de l'Univers), "n'est pas vraie" dans l'Univers, "n'est pas possible" dans l'Univers, etc.
Si en disant qu'une chose n'existe pas on sous-entend que le contexte de négation est un ensemble donné (comme par exemple la France, notre monde ou notre galaxie) ou un univers qui n'est pas l'Univers TOTAL, alors il ne s'agit pas d'une négation absolue. Du point de la négation absolue, quand on dit qu'une certaine chose n'existe pas, elle n'existe pas un point c'est tout! Une personne qui nie de cette façon ne relativise ou ne nuance en rien sa négation, elle ne laisse aucune alternative à sa négation, aucune possibilité que le contraire de ce qu'elle dit puisse être vrai aussi dans l'Univers! Une personne qui nie de manière absolue l'existence d'une chose, nie le fait que "Toute chose existe" (qui est le Théorème de l'Existence), donc nie simplement l'Univers TOTAL. Comme on le montrera un peu plus loin très techniquement, la négation absolue est paradoxale, elle est simplement psychopathologique (voir aussi plus haut la discussion sur le problème de la relativité et de la subjectivité de la notion d'existence)!
Nous appelons négation relative ou alternation le fait de limiter la négation à un contexte E donné de l'Univers TOTAL. Autrement dit, les expressions comme "n'existe pas", "n'est pas réel", "n'est pas vrai", "n'est pas possible", etc., s'appliquent seulement à un certain contexte E donné de l'Univers TOTAL et non pas à cet Univers tout entier.
Quand on dit qu'une chose n'existe pas, on veut dire par exemple qu'elle n'existe pas à Paris, sur terre, dans notre galaxie ou dans NOTRE univers (un parmi une infinité d'autres!). On ne dit pas que cette chose n'existe pas dans l'Univers TOTAL.
La négation relative ou Alternation.
La chose e existe dans le contexte E.
La chose n n'existe pas dans E mais existe dans le contexte N qui est U - E,
contexte constitué de toutes les choses de U sauf celles de E,
autrement dit tout le restant de l'Univers par rapport à E.
Les contextes E et N ou tout autre contexte qui n'est pas U tout entier
sont des contextes d'existence relative; on peut nier une existence dans ces contextes.
Tandis que U est le contexte d'existence absolue; on n'a pas le droit d'y nier une existence,
sinon alors il s'agit d'une négation absolue,
une négation paradoxale, pathologique.
Le mot alternation vient d'abord du mot latin alter, qui veut dire "autre", ensuite de la notion d'alternative (c'est-à-dire "une des possibilités parmi plusieurs"), et enfin du mot alternatif (comme dans courant alternatif, du verbe alterner). Toutes ces notions se rejoignent dans une seule que nous appelons alternation. Celle-ci (qui donne naissance à la notion de logique alternative), est très étroitement associée au paradigme de l'Equivalence, du Cycle et de la générescence et structure fractale, alors que la négation (absolue) (qui donne naissance à celle de logique négative), est très étroitement associée au paradigme de l'Identité, le paradigme actuel, très faible et très pauvre pour faire la Science de l'Unvers!
L'alternation n'est qu'une autre manière d'exprimer ce que dit le Théorème de l'Existence, et plus exactement c'est un corollaire du théorème. En effet, la négation relative qu'est l'alternation consiste à dire qu'une chose qui n'existe pas dans un contexte donné de l'Univers TOTAL existe toujours dans un autre contexte de l'Univers TOTAL. Et la chose qui n'existe pas d'une certaine manière dans l'Univers TOTAL existe toujours d'une autre manière dans l'Univers TOTAL. La chose existe toujours sous une forme ou sous une autre. C'est ce que nous entendons par ALTERNER, qui signifie donc, "changer de contexte", "changer de forme", "tourner dans l'Univers", "participer à la grande rotation des existences", à la "grande permutation". Il n'y a que dans un contexte donné dans l'Univers TOTAL ou sous une forme donnée, qu'une chose n'existe pas. Mais "Rien ne se perd à l'échelle de l'Univers TOTAL, aucune chose n'y manque", mais "Tout alterne". C'est ce que nous appelons la Loi d'Alternation, une simple autre manière donc d'exprimer l'idée du Théorème de l'Existence, à savoir que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL".
L'alternation fait la place dans l'Univers TOTAL à toutes les alternatives! Pour une chose donnée de l'Univers TOTAL, son contraire existe aussi dans l'Univers TOTAL. Parce que le Jour existe, la Nuit existe aussi et vice-versa; parce que le Bien existe, le Mal existe aussi; parce que la Vérité existe, le Mensonge existe aussi, etc.
Plus généralement, pour une chose donnée, toutes les alternatives à cette chose existent, toutes les variantes ou variations de la chose existent. Si quelque part dans l'Univers TOTAL il existe des chats qui ont quatre pattes, à un autre endroit de l'Univers TOTAL on est sûr qu'il existe des chats qui ont cinq pattes, six pattes, sept pattes, etc. Ce sont les variations de l'espèce chat. Et si dans un monde dans l'Univers TOTAL il y a des humains dont la taille ne dépasse jamais 4 mètres, on sait que dans un certain autre monde de l'Univers TOTAL il y a aussi des humains de plus de 4, 6, 7 mètres, et même des géants de 100 mètres de haut! Si nous appartenons à l'espèce d'humain qui ne dépasse jamais 4 mètres de taille, on n'a pas besoin de rencontrer ces géants dans notre monde pour savoir qu'ils existent dans l'Univers TOTAL, tout comme ils n'ont pas besoin de nous rencontrer dans leur monde pour savoir qu'on existe et qu'on est des pygmées comparés à eux. Que ce soit eux ou nous, il suffit de savoir simplement que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", c'est tout. Le Théorème de l'Existence est ce que tous les habitants de l'Univers TOTAL partagent, c'est la loi universelle.
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Rappelons que nous appelons Axiome de Non-Existence ou Axiome de Négation
l'idée courante selon laquelle "Certaines choses n'existent pas dans l'Univers".
Cet axiome caché, qui a toujours gouverné la psyché humaine
jusqu'ici, est pourtant FAUX.
C'est le Paradoxe le plus fondamental, le plus subtil et le plus vicieux qui soit!
Cette idée revient à dire techniquement, avec le quantificateur existentiel:
"IL EXISTE des choses qui n'existent pas" ou: "IL EXISTE au moins une chose qui n'existe pas".
Tout paradoxe qu'on peut rencontrer dans tout domaine
n'est qu'une forme de ce paradoxe fondamental.
Le contraire parfait de l'Axiome de Non-Existence est le Théorème de l'Existence
qui dit quant à lui: "Toute chose existe".
Lui est un théorème tout simplement parce que,
que ce soit pour dire: "Certaines choses n'existent pas" (cet Axiome donc)
ou au contraire pour dire: "Toute chose existe" (le Théorème que nous découvrons),
on travaille obligatoirement dans l'Ensemble de toutes les choses,
parce que l'on emploie le mot CHOSE,
le nom commun le plus général qui soit.
Et le théorème exprime tout simplement l'idée que toute chose existe dans cet Ensemble,
au sens mathématique et absolu
de la notion d'existence, tout simplement.
C'est exactement comme on dirait que le nombre entier 7 existe dans l'ensemble des entiers naturels.
Dire que "Tout entier naturel existe dans l'ensemble des entiers naturels"
est une vérité triviale découlant immédiatement de la définition de cet ensemble.
En revanche dire: "IL EXISTE des entiers naturels qui n'existent pas dans l'ensemble dans entiers naturels"
est évidemment un paradoxe, d'autant plus grand qu'il contredit cette vérité triviale.
C'est exactement la situation ici entre l'Axiome de Non-Existence et le Théorème de l'Existence.
L'un est le Paradoxe le plus fondamental qui soit,
qui contredit la Vérité la plus fondamentale qui soit,
celle qui porte sur l'Ensemble de toutes les choses,
celle qui dit simplement que "Toute chose existe dans l'Ensemble de toutes les choses"!
L'idée apparemment très normale de séparer l'ensemble de toutes les choses (U) en deux catégories: d'une part les choses qui existent (E) et d'autre part les choses qui n'existent pas (N) est paradoxale. Autrement dit, l'idée très classique selon laquelle certaines choses puissent ne pas exister (dans l'absolu, entendons-nous bien) est un paradoxe. Montrons-le maintenant plus techniquement.
Deux outils de logique de grande importance sont:
- le quantificateur existentiel, l'expression: "IL EXISTE", actuellement noté "∃".
- le quantificateur universel, le mot: "TOUT", actuellement noté "∀".
Puisque nous travaillons dans l'ensemble de toutes les choses, qu'on sépare en deux,
les choses qui existent et les choses qui n'existent pas,
le mot clef fondamental qui sera utilisé avec les quantificateurs est le mot CHOSE
Pour plus de détails sur ce mot clef CHOSE dans la Science de l'Univers TOTAL, voir:
- La notion de CHOSE: la variable universelle,
le terme le plus général de la Théorie universelle des ensembles;
- Le mot CHOSE: la clef de la Théorématique, de la Science de l'Univers TOTAL.
Et pour aller encore plus loin, télécharger le très éclairant livre PDF:
La Théorie des Univers:
l'ancêtre de la Théorie Universelle des Ensembles.
Tous les problèmes des sciences actuelles fondées sur la Négation
sont analysés ainsi que la nécessité de bâtir toute la science sur le mot clef
CHOSE,
ce qui revient simplement à travailler maintenant dans l'Univers TOTAL,
l'Ensemble de toutes les choses.
Plus simplement, avec les quantificateurs, la variable X est à lire "chose". Ainsi, "∃X" est à lire : "IL EXISTE au moins une chose" ou simplement "IL EXISTE une chose". Du simple fait d'utiliser le quantificateur existentiel avec le mot clef chose, la notion d'existence de ce quantificateur existentiel est absolue. En effet, "IL EXISTE une chose" signifie: "IL EXISTE un élément de l'ensemble de toutes les choses" ou simplement: "IL EXISTE un élément de l'Univers TOTAL".
De même pour quantificateur universel, "∀X" est à lire : "TOUTE chose". C'est avec l'Univers TOTAL que ce quantificateur universel prend tout son sens et acquiert toute sa puissance! En effet, cette expression "TOUTE chose" à elle seule signifie l'Univers TOTAL, et cela se résume simplement par le seul mot TOUT. C'est le sens même du quantificateur universel, mais aussi la simple définition de l'Univers (raison même d'ailleurs pour laquelle ce quantificateur a été si bien nommé "quantificateur UNIVERSEL"), de sorte que normalement, quand on parle de l'"Univers", il n'aurait jamais dû être nécessaire de préciser "TOTAL" comme je le fais. Mais hélas, parce que cette évidence très simple a échappé en ce monde, même aux plus grands logiciens qui manipulent chaque jour les quantificateurs (et en particulier le quantificateur UNIVERSEL), il est nécessaire aujourd'hui de préciser "Univers TOTAL" pour donner au mot "Univers" tout son sens, à savoir le mot: "TOUT", oui "TOUTE chose", l'"Ensemble de TOUTES les choses", quoi.
Techniquement, cet Univers, noté U, est par définition l'ensemble qui vérifie la formule: "∀X(X ∈ U)". Cette formule est à lire "TOUTE chose est élément de U" ou : "QUELLE QUE SOIT la chose, cette chose est un élément de U". Autrement dit, U est l'ensemble dont toute chose est un élément, donc l'ensemble de toutes les choses.
Indiquons maintenant quelques règles élémentaires de logique des quantificateurs, qui permettent plus facilement de comprendre la suite.
Un énoncé de quantification simple est fait de deux parties: la tête (qui est le quantificateur et la variable) et le corps de l'énoncé. Par exemple, "∀X(X ∈ U)" est un énoncé de quantificateur universel simple. Sa tête est "∀X" et son corps est "(X ∈ U)".
Et il faut juste savoir que pour dire le contraire (ou plus exactement la négation) d'un énoncé de quantification simple, il suffit de transformer le quantificateur en l'autre quantificateur puis de transformer le corps en son contraire (ou négation).
Par exemple, le contraire de: "∀X(X ∈ U)" est: "∃X(X ∉ U)". On voit que le quantificateur universel "∀X" est remplacé par le quantificateur existentiel "∃X", et que le corps "(X ∈ U)" ou "X est élément de U", est remplacé par son contraire "(X ∉ U)" ou "X n'est pas élément de U". En d'autres termes, nier l'idée que "TOUTE chose est un élément de U" c'est dire : "IL EXISTE au moins une chose qui n'est pas un élément de U", ou encore: "IL EXISTE au moins une chose qui n'est pas un élément de l'ensemble de toutes les choses", ou plus simplement encore: "IL EXISTE au moins une chose qui n'est pas une chose"... Voyez-vous déjà le paradoxe de ce second énoncé? Si oui, alors vous avez déjà compris que son contraire est le Théorème, à savoir "TOUTE chose est un élément de U", c'est-à-dire "TOUTE chose est un élément de l'ensemble de toutes les choses", qui est un théorème trivial, puisqu'il dit simplement..."TOUTE chose est une chose". Plus véridique qu'un théorème qui revient à dire cela, c'est difficile à trouver...
L'intérêt de la preuve qui vient d'être donnée pour le Théorème de l'Existence est qu'elle ne nécessite même pas la notion d'existence", qui est la notion la plus philosophique dans toute l'affaire, la notion ontologique, métaphysique, que nous sommes tout simplement en train d'arracher du domaine de la philosophie (classique) pour la transformer maintenant en une notion scientifique, mathématique. Ou tout au moins elle est maintenant une notion de philosophie dite "analytique", la philosophie dont les notions sont scientifiquement fondées ou dont les notions sont objectives, par opposition à la "vieille philosophie" dite quelques fois aussi "continentale", qui est plus subjective voire plus spéculative, en tout cas tout sauf une science exacte...
Pour information, c'est aux logiciens logiciens Frege, Gentzen et Peano que l'on doit les quantificateurs existentiel et universel, et avec d'autres logiciens comme par exemple Russell, on peut les considérer comme les pères de la "philosophie analytique", la "philosophie scientifique" si l'on veut, celle avec laquelle prend fin la subjectivité des notions (comme par exemple la notion d'existence), et commence la rigueur, la conception scientifique de la chose philosophique.
Mais ceci dit, loin de moins l'intention d'entrer dans ces querelles d'école stériles à mon sens. Je dis cela simplement pour faire comprendre que, que ce soit dans telle ou telle école de pensée, scientifique ou philosophique, j'ai une sainte horreur (et le mot est faible...) des notions qui ne sont pas rigoureusement définies ou faussement rigoureuses, comme c'est, hélas, le cas dans la logique, les mathématiques et les sciences actuelles, et à plus forte raison en philosophie ou ailleurs. Tout devient une science exacte et rigourousement fondé (y compris des notions comme DIEU par exemple dont la question de son existence est directement concernée par le Théorème de l'Existence) quand on travaille maintenant dans le Paradigme de l'Univers TOTAL.
Parler par exemple de "quantificateur existentiel" (en logique ou en mathématiques) sans comprendre que la notion d'existence contenue dans le nom de cet outil n'a tout son sens qu'avec l'Univers TOTAL, parler de "quantificateur universel" sans comprendre que c'est avec l'Univers TOTAL que ce quantificateur prend tout son sens, et, pour les physiciens, parler de l'Univers (qui est l'objet même de l'étude de cette science) sans commencer par le définir correctement comme étant l'Ensemble de toutes les choses, etc., ne sont que quelques exemples du grand manque de rigueur des sciences actuelles, y compris donc aussi les mathématiques, réputées pourtant comme étant la plus exacte des sciences.
Le plus grave en fait n'est pas tant le manque rigueur mais ce que cache ce manque de rigueur (ou cette pseudo rigueur scientifique dont on se targue tant), oui le plus grave est la Négation de l'Univers TOTAL, qui est le plus subtil Paradoxe (pour ne pas dire dire simplement Mensonge) scientifique de tous les temps, le plus vicieux et le plus caché de tous les temps! En fait, on a fait la science juste assez pour construire des ordinateurs, les TGV ou la bombe atomique, mais pas assez pour découvrir l'Univers TOTAL et ses extraordinaires secrets que ce site met en évidence de document en document. On n'a pas voulu faire la science assez pour découvrir le visage de DIEU et ne plus se poser la question de son existence, qui ne se pose donc plus avec l'Univers TOTAL et le Théorème de l'Existence. Car le DIEU en question que l'on a tout fait pour éviter en science, le voilà, oui l'Univers-DIEU!
La preuve du Théorème de l'Existence que nous venons de donner n'a en fait donc pas nécessité la notion d'existence, mais est tout simplement une conséquence immédiate de la définition de l'Univers TOTAL, à savoir l'Ensemble de toutes les choses. Ce théorème revient alors à dire simplement que "Toute chose existe dans l'ensemble de toutes les choses", ou plus simplement encore, en n'employant que le langage des ensembles: "Toute chose est un élément l'ensemble de toutes les choses". Une vérité aussi limpide n'est même pas un théorème mais une simple définition de cet Ensemble, à savoir l'Univers TOTAL. Sous cette forme, le théorème est appelé la Loi de l'Univers TOTAL ou la Loi de la Réalité TOTALE, comme cette loi est amplement expliquée dans cette vidéo présentée au-début.
Si donc ce Théorème de l'Existence (qui est donc une conséquence directe de la définition de l'Univers TOTAL) est déjà clair pour vous, alors vous comprenez aussi le paradoxe qu'est l'énoncé contraire de ce théorème, à savoir l'idée admise depuis la nuit des temps que "Certaines choses n'existent pas", autrement dit: "Certaines choses n'existent pas dans l'absolu" ou encore plus précisément: "Certaines choses n'existent pas dans l'Univers". Cette idée est donc le Paradoxe de la Négation d'Existence. Voyons maintenant plus techniquement encore la question avec l'usage du quantificateur existentiel et de la notion d'existence. Cela nous aidera à comprendre simplement plus profondément la LOGIQUE des choses...
Et maintenant, rappelons qu'en disant que "Certaines choses n'existent pas"
on divise ainsi l'ensemble de toutes les choses (noté donc U)
en deux sous-ensembles: E, qui est l'ensemble des choses qui existent et
N, qui est l'ensemble des choses qui n'existent pas.
Considérons alors les deux énoncés suivants:
- Enoncé A : "TOUTE chose est un élément de E", ou simplement "TOUTE chose existe",
qui s'écrit techniquement: "∀X(X ∈ E)".
Comme cet énoncé est une quantification universelle simple, son contraire (comme on l'a expliqué plus haut)
est une quantification existentielle où il faut remplacer le corps par son contraire.
Ce qui donne l'énoncé suivant:
- Enoncé B : "IL EXISTE au moins une chose qui n'est pas un élément de E",
ou simplement: "IL EXISTE au moins une chose qui n'existe pas".
Cet énoncé s'écrit techniquement: "∃X(X ∉ E)"
Une chose est évidente: quelque chose ne tourne pas rond dans l'énoncé B, à savoir "IL EXISTE au moins une chose qui N'EXISTE PAS". En effet, la fin de l'énoncé nie ce que dit son début, sauf justement si la négation contenue dans la fin de l'énoncé est relative et non pas absolue. Sinon, ceci est tout simplement un paradoxe! Cet énoncé est faux, donc c'est son contraire A qui est vrai. Son contraire est le Théorème de l'Existence.
Autrement dit encore, la notion d'existence dans le quantificateur existentiel au début de la phrase est absolue, c'est-à-dire elle sous-entend qu'on parle de l'existence dans l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Quand donc nous disons: "IL EXISTE au moins une chose...", cela signifie : "IL EXISTE au moins une chose dans l'ensemble de toutes les choses...", ou: "IL EXISTE au moins une chose dans l'Univers TOTAL...". La fin de la phrase (le corps de la quantification existentielle) a alors simplement pour but de préciser une propriété d'une telle chose ou de ces choses qui existent dans l'Univers TOTAL. Si la fin de la phrase revient à dire que ces choses ont la propriété de ne pas exister dans dans l'Univers TOTAL, alors on a bel et bien un paradoxe, ce qui est le cas justement.
En effet, si la négation d'existence de la fin de l'énoncé "... N'EXISTE PAS" est elle aussi absolue, cette phrase revient alors à dire: "IL EXISTE au moins une chose dans l'ensemble de toutes les choses qui N'EXISTE PAS dans l'ensemble de toutes les choses" ou: "IL EXISTE au moins un élément de l'Univers TOTAL qui N'EST PAS un élément de l'Univers TOTAL" ou encore plus simplement: "IL EXISTE au moins une chose qui N'EST PAS une chose", etc. C'est donc un Paradoxe, sauf si la fin de la phrase est une négation juste relative, c'est-à-dire si elle a juste pour but de dire que les choses dont on parle n'existent pas dans un certain contexte donné de l'Univers TOTAL, en France, dans notre système solaire, dans notre galaxie dans notre univers, dans notre groupe d'univers, etc. Là la pharse n'est plus paradoxe, car après tout, tout ce qui existe dans dans l'Univers TOTAL n'existe pas en France par exemple. Les kapokiers ou les arbres produisant les fruits de néré existent dans l'Univers TOTAL (en l'occurrence au Togo entre autres) mais n'existent pas en France, en tout cas pas à l'échelle ordinaire de l'observation de la réalité en France, car si l'on prend en compte la Structure FRACTALE de l'Univers TOTAL, c'est une autre affaire... Des peuvent en effet, ne pas exister dans un contexte donné à l'échelle ordininaire de la réalité mais pourtant exister à d'autres échelles.
Dans tous les cas, il faut toujours relativiser la Négation (et plus particulièrement la négation d'existence), c'est-à-dire il faut la limiter à un contexte donné de l'Univers TOTAL, à une échelle donnée, à un plan d'existence donné, etc. Sinon la négation devient absolue et donc paradoxale, ce que veut dire le Théorème de l'Existence. C'est ainsi que toute la pensée actuelle, toutes les sciences actuelles et leurs méthologies reposent sur un axiome implicite qui est l'Axiome de NON-Existence, l'idée vieille comme ce monde selon laquelle "Certaines choses n'existent pas", entendant par-là qu'elles n'existent pas dans l'absolu, c'est-à-dire donc dans l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses.
C'est en raison de cet axiome caché que par exemple les physiciens se sont posés pendant des décennies la question de savoir si la chose nommée le boson de Higgs existe, et pour répondre entre autres à cette question d'existence ils ont mis au point une gigantesque expérience avec l'accélérateur de particules géant le LHC.
Le LHC ("Large Hadron Collider" ou "Grand Collisionneur de Hadrons") du CERN.
Gigantesque expérience de physique pour répondre à de nombreuses questions
qui se posent à la physique moderne.
Parmi ces questions, il y a en une qui préoccupe les physiciens depuis des décennies:
le "Boson de Higgs" (surnommé la "Particule Dieu") existe-t-il?
Voilà justement le genre de questions que l'on se pose
quand la science ne repose pas sur son paradigme normal:
l'Univers TOTAL.
Dans l'Univers TOTAL, l'Ensemble de TOUTE les choses,
toute chose existe et le contraire de toute chose aussi!
Toutes les situations existent, toutes les combinaisons existent,
toute les configurations existent et tous les cas de figure existent,
toutes les choses possibles et imaginables existent,
de même que toutes les choses apparemment impossibles ou inimaginables.
Il n'y a que dans un univers particulier (comme le nôtre par exemple)
que la question se pose de savoir si telle ou telle chose existe ou non.
Mais dans l'Univers TOTAL,
l'Ensemble de TOUTES les choses,
ce genre de questions ne se posent plus...
Et nier dans l'absolu l'existence de la moindre petite chose
est dans le meilleur des cas un paradoxe scientifique ou une erreur.
Et dans le pire des cas c'est tout simplement un mensonge scientifique...
Voilà maintenant les physiciens en train de crier à la "révolution scientifique" ou la "grande victoire de la recherche" juste parce qu'ils... découvrent que le boson de Higgs existe! Ils veulent que le monde les félicite pour leur "énorme découverte" alors qu'ils méritent juste qu'on leur jette des tomates pourries parce qu'ils ne fondent pas leur physique sur l'Univers TOTAL, l'Ensemble de TOUTES les choses! La science aurait progressé infiniment plus vite avec le bon paradigme et on serait entré dans une nouvelle dimension depuis fort longtemps. Et aussi, la recherche (en particulier la recherche utlisant des fonds publics) aurait coûté beaucoup moins cher au contribuable, car on aurait évité beaucoup d'expérimentations inutiles et l'argent aurait été investi dans des projets scientifiques beaucoup plus utiles.
En effet, c'est vraiment lamentable pour la science et pour le monde de dépenser tant d'argent pour faire des expériences comme celle avec le LHC juste pour répondre à des questions du genre de savoir si le boson de Higgs existe, alors qu'une simple bonne définition de l'Univers fait l'affaire, sans coûter le moindre centime à qui que ce soit, privé ou public!
Pour ce qui est des mathématiques, il faut savoir maintenant que tous les fameux paradoxes de la théorie des ensembles comme par exemple ce qu'on peut lire sur cette page de Wikipédia sur la théorie des ensembles sont de faux paradoxes, le vrai paradoxe étant en réalité la Négation de l'Univers TOTAL. Tous les paradoxes scientifiques et dans tous les domaine sont des conséquences de ce paradoxe fondamental qu'est le Paradoxe de la NON-Existence, l'idée très fausse selon laquelle "Certaines choses n'existeraient pas" (voir aussi La Négation Absolue: la vraie cause de tous les Paradoxes).
Tout ce qui revient à dire que quelque chose est impossible dans l'absolu est FAUX, c'est une forme de ce Paradoxe de la NON-Existence. Comme par exemple la fameuse dite impossibilité pour une chose matérielle ou de l'énergie de voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière, un dogme de la théorie de la relativité et de l'ensemble de la physique actuelle. Là encore, les physiciens sont en train de se rendre compte de leur erreur, on est en train de crier au scoop d'avoir mis en défaut ce dogme de la relativité, alors que cela fait de nombreuses années que je parle à ce site du Théorème de l'Existence!
C'est ainsi l'hypocrisie de la science actuelle. On enfonce pendant des décennies, des siècles voire des millénaires des dogmes et des credos dans tous les esprits, tous revenant à NIER l'Univers TOTAL, des doctrines scientifiques fallacieuses qu'il ne faut surtout pas remettre en question. Et quand on ne peut plus les nier, les mêmes qui hier prêchaient le catéchisme de Négation se transforment en héros d'avoir prouvé que ces dogmes étaient faux. C'est ainsi qu'il ne fallait surtout pas toucher aux dogmes de la relativité, toucher au sacro-saint Einstein (que du reste j'apprécie, ce n'est pas lui qui est vraiment en cause mais ceux qui transforment les principes et axiomes en religion scientifique), et maintenant c'est la course de vitesse pour savoir qui va décrocher le prochain Prix Nobel pour avoir détrôné Einstein... en démontrant qu'il est POSSIBLE de dépasser la vitesse de Lumière. Mensonges et hypocrises donc...
Un autre mensonge scientifique vieux comme les mathématiques (et lui aussi reposant sur la Négation de l'Univers TOTAL) est qu'il est impossible de diviser par 0. Encore une impossibilité qui est une forme du Paradoxe de la NON-Existence (pour plus de détails sur cet autre mensonge qui fait un grand tort aux mathématiques, à la physique et à l'ensembles des sciences, car il a empêché de découvrir la puissante science de l'Alpha et et de l'Oméga ou la Science du Cycle, voir La Division par Zéro fait entrer la Science et la Technologie dans une Nouvelle Dimension).
Le Théorème de l'Existence règle une bonne fois pour toutes les questions relatives à l'existence, à la possibilité des choses, oui les questions de savoir si telle chose existe dans l'absolu, est possible dans l'absolu, est une réalité ou non dans l'absolu, etc. Comme par exemple aussi la question de l'existence de l'au-delà; les questions de l'existence d'autres mondes et d'autres formes vies ailleurs que sur terre ou dans notre univers; la question de l'existence des anges dont parle la Bible, de la réalité des miracles du Christ ou de la Bible, de l'existence de la vie après la mort; la possibilité de la vie éternelle dont le Christ et les évangiles parlent, etc.
Je vous laisse maintenant imaginer le retard épouvantable des sciences dans la compréhension de l'Univers et dans leurs réponses aux questions fondamentales de l'existence et de la vie, toutes les portes extraordinaires que les sciences se sont fermées depuis des siècles et des millénaires, juste parce qu'elles fonctionnent avec la Négation l'Univers TOTAL, avec l'idée selon laquelle "Certaines chose n'existeraient pas dans l'Univers", ne seraient pas possibles, ne seraient pas des réalités, seraient des mythes, des légendes, etc.! Avec un tel sombre palmarès et avec le recul, les sciences actuelles apparaissent comme des sciences de Négation, du Négationnisme très savant, plutôt que sciences de recherche de la vérité sur l'Univers.
Si l'on fonctionne avec le Paradigme de l'Univers TOTAL et le Théorème de l'Existence on ne nie plus rien dans l'absolu, on dit une bonne fois pour toutes que tout est POSSIBLE dans l'Univers TOTAL, l'Univers-DIEU. C'est la seule façon de ne plus se tromper et surtout de faire une science qui dit toujours la vérité, toute la vérité et rien que la vérité...
Le Paradoxe de la Négation (absolue) ayant été démontré et par conséquent démontré le Théorème de l'Existence, nous pouvons terminer à présent en ayant une compréhension plus fine et plus précise de l'Univers TOTAL et de sa logique. Nous avons compris que la Négation doit être toujours relative, que toute chose existe dans l'Univers TOTAL, y compris si les choses dont on parle sont les non-choses ou les choses définies comme étant "les choses qui n'existent pas". Même celles-là existent aussi! Et pourtant ces choses se nomment: "les choses qui n'existent pas". Cela ne veut donc pas dire que les choses en questions n'existent pas mais simplement elles sont paradoxales. Comme toute chose existe dans l'Univers TOTAL et le contraire de toute chose aussi, les choses paradoxales existe aussi: la contradiction existe, la paradoxe existe, l'erreur existe, l'accident existe, la catastrophe existe, le mal existe, le mensonge existe, etc. Il ne faut donc plus confondre "X n'existe pas" et "X est paradoxal". Ou encore, il ne faut donc plus confondre "X n'existe pas" et "X est une chose négative" (ou "X est une chose mauvaise").
La Négation de l'Univers TOTAL
est la Racine des choses négatives
au sens absolu du mot "négatif" à savoir "mauvais".
Voilà donc toute la lumière le Problème de la Négation.
Elle est la racine des non-choses, ce qui ne veut pas dire qu'elles ne sont pas des choses,
mais simplement qu'elles sont la négation des choses,
les choses négatives.
L'Univers TOTAL est fondamentalement POSITIF,
les choses NORMALES sont donc POSITIVES, ce sont les choses de l'Alternation.
C'est donc précisément à ces choses positives
que les non-choses sont la négation.
Voilà qui permet d'avoir une toute autre compréhension de la question d'existence et du problème de la négation. Une grande Lumière sur la compréhension de l'Univers et des choses, du monde, de la vie. Les choses de l'Alternation sont des choses existentielles (comme dans "quantificateur existentiel"), les choses positives. Et les choses de la Négation sont les choses non-existentielles, les choses négatives. Logique, non?
Par conséquent, "les choses qui n'existent pas" sont des choses qui existent dans l'absolu (car la Négation doit être relative sous peine de paradoxe, sauf si l'on veut incarner le paradoxe, le mensonge...), sauf qu'elles sont... négatives! On les appelle donc les non-choses ou même les anti-choses, pour dire qu'elles sont opposées aux choses positives, exactement comme les nombres négatifs (comme par exemple "-5") sont opposés aux nombres positifs (comme par exemple "+5").
L'Univers, le Plein, l'Existence, l'Oméga;
et l'Onivers, le Vide, le Néant, l'Alpha.
Ici nous avons beaucoup grossi l'Onivers à l'intérieur de l'Univers
et l'Univers à l'intérieur de l'Onivers, etc.
afin de pouvoir voir quelque chose et comprendre la structure FRACTALE
des Univers et des Onivers,
structure
qui forme un seul ensemble qui est l'Univers TOTAL,
l'Univers FRACTAL
(pour plus de détails voir La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l'Univers).
Le schéma n'est donc pas l'échelle, car en fait l'Univers et l'Onivers
sont dans un rapport 1/ω l'un dans l'autre, où ω est un nombre entier Infini,
et ceci selon la nouvelle conception de l'Infini, la conception
du paradigme du Cycle.
Cela veut dire que dans l'Univers l'Onivers est réduit à un Point, l'Alpha,
qui est donc justement le Vide (Ø), le Néant, le Zéro dans l'Univers.
Et à l'inverse, dans l'Onivers l'Univers est réduit lui aussi à un Point, l'Alpha,
qui est le Vide (Ø), le Néant, le Zéro dans l'Onivers.
Voici une autre manière de voir la question illustrée avec un carré de 9 cases:
Il faut alors simplement imaginer qu'au lieu des 9 cases numérotées de 0 à 8,
on a toute l'infinité des nombres entiers naturels, qui sont au nombre de ω.
Dans l'Univers (représenté ici par le carré vert)
l'Onivers (représenté par le carré rouge 0 du milieu) représente 1/9.
Avec un carré de ω cases sa proportion serait donc 1/ω, qui vaut 0,
ce qui signifie physiquement que l'Onivers est réduit à un Point.
Mais on ne travaille plus avec la Négation absolue mais relative,
ce qui implique que les notions de "Vide", de "Zéro", de "Point", etc.
ne sont pas les notions absolues et très négatives actuelles,
à savoir que le "Vide" n'est que "Vide",
que le "Zéro" n'est que "Zéro" (donc n'est aucune quantité, même infinirésimale)
ou encore que le "Point" n'a aucune dimension, surface, volume, etc.
Ce sont ces conceptions absolues et négatives (qui vont de pair avec la Négation absolue)
qui sont justement la cause de tous les paradoxes dont nous avons amplement parlé.
Vu à sa propre échelle, l'Onivers est tout un monde,
aussi grand et vaste que l'Univers TOTAL,
sauf que c'est l'Univers des choses négatives
(ici représentées par les petits carrés rouges).
Là, c'est le contraire, l'Univers (l'Univers TOTAL donc)
est réduit à "Zéro", le "Point" vert au milieu du carré rouge
(pour plus d'explications, voir les Fractales d'Eden).
Cette structure pourrait faire dire qu'il y a une symétrie entre l'Univers (TOTAL) et l'Onivers,
ce qui est vrai mais seulement relativement parlant, mais pas absolument parlant.
En effet, n'oublions pas que si l'Univers TOTAL (ou l'Univers) est opposé à l'Onivers,
l'Univers TOTAL est la réunion de l'Univers et de l'Onivers,
ce qui s'exprime par l'équivalence:
U = U + O.
Tout se passe dans l'Univers TOTAL,
c'est une version de lui-même en lui-même qui est opposée à l'Onivers.
Une autre façon de comprendre cela est de se pencher
sur l'algèbre de l'Oméga (ω),
qui est l'Algèbre de l'Univers TOTAL ou Algèbre du Cycle.
Une des équivalences fondamentales de cette algèbre est: ω = ω + ω,
ce qui veut dire que l'Infini est le nombre entier qui est son propre double.
Zéro (0), une façon de parler de l'Onivers,
possède évidemment aussi cette propriété d'être son propre double: 0 = 0 + 0.
Mais en fait c'est dans l'Infini, l'ensemble de tous les nombres entiers que tout se passe.
ω est justement cet ensemble de tous les nombres entiers,
et ω n'est rien d'autre que le nom numérique du seul et même Univers TOTAL.
Tout est fondamentalement la propriété de l'Univers TOTAL,
et les propriétés du 0 (le nom numérique de l'Onivers donc)
ne sont donc que les propriétés d'un élément spécial de l'Univers TOTAL, l'Alpha,
qui est l'une (très importante mais néanmoins l'une) des facettes de l'Oméga qu'il est.
Autrement dit, le Zéro ou l'Onivers
est un élément spécial de l'Univers TOTAL qui sert à exprimer
la Négation de l'Univers TOTAL,
parce que cette Négation doit aussi exister dans l'Univers TOTAL pour qu'il soit vraiment TOTAL.
Ainsi donc, l'Univers TOTAL et l'Onivers (le Néant TOTAL)
ne sont pas symétriques dans l'absolu, autant qu'on puisse dire que
0 tout seul d'un côté et l'ensemble de tous les entiers naturels (ou ω) de l'autre
ne sont pas symétriques, ils ne le sont que relativement parlant.
Cette "symétrie" veut simplement dire qu'il y a tout dans l'Univers TOTAL
tandis que l'Onivers est l'ensemble dans lequel TOUT manque.
Il existe dans cet ensemble la négation ou le manque de chaque chose dans l'Univers TOTAL.
Autrement dit, pour chaque chose X de l'Univers TOTAL,
il existe une chose dans l'Onivers, non-X,
qui est l'incarnation du fait que la chose est absente de l'Onivers.
Si X est dit "blanc" (parce qu'il existe dans l'Univers TOTAL),
alors non-X sera dit "noir", ce qui est le "trou" correspandant à X.
Et si X est dit "vert" (si l'on préfère plutôt la logique "vert-rouge"),
alors non-X sera dit "rouge", ce qui est donc le "trou" correspondant à X.
Dans l'Univers TOTAL l'Onivers
est l'ensemble de tous les mondes de Négation, comme justement présentement la Terre.
Pour de très importantes explications sur les onivers ou néants ou les "enfers",
et pour comprendre ce que cela signifie sociologiquement,
voir le document PDF: Prière de Zorobabel dans la Meuse
(cliquez ici pour trouver
toutes les requêtes à l'Univers TOTAL).
En un sens restreint, on appelle Univers ou Existence l'Ensemble des choses positives de l'Univers TOTAL, les univers positifs, les mondes positifs, bref l'ensemble de toutes les choses de l'Alternation. L'Univers est noté U ou Ω. C'est l'ensemble que nous avons noté E au début du document et dans les démonstrations du sous-titre précédent. Tout simplement, l'Univers ou l'Existence est l'ensemble des univers ou des mondes où l'Univers TOTAL est pleinement affirmé, qui sont en harmonie avec l'Univers TOTAL, qui fonctionnent selon ses lois, la logique, etc.. Les choses de tels mondes sont pour cela positives. Ce n'est pas le cas de la Terre actuellement, sinon, cela se saurait!
En effet, il n'aurait été nécessaire d'introduire le Paradigme de l'Univers TOTAL, de le démontrer (de démontrer son Théorème), de mettre le doigt sur le Problème de la Négation, etc. On appelle Onivers ou Néant ou Vide ou Non-Univers ou encore Anti-Univers l'ensemble des univers ou des mondes où l'Univers TOTAL est nié, qui ne fonctionnent pas selons ses lois, sa logique, etc. Nous les appelons aussi les mondes de Négation (par opposition aux mondes d'Alternation) ce qui est justement le cas de la Terre actuellement. L'Onivers est noté O ou Ø. C'est l'ensemble que nous avons noté E au début du document et dans les démonstrations du sous-titre précédent.
On voit donc que: U = E ∪ O, où U désigne l'Univers TOTAL.
On a aussi: E ∩ O = Ø.
Si l'on raisonne avec la Négation absolue (ce qu'il ne faut plus justement faire), la notion de "Vide" est elle aussi absolue, et dans ce cas elle est mauvaise, paradoxale, comme la Négation. Avec la Négation absolue, la notion d'égalité dans ces écritures est l'Identité. Alors on ne peut pas conclure que O = Ø et donc que U = E, cette dernière égalité étant l'expression du Théorème de l'Existence.
Mais le Théorème est amplement démontré, ce qui veut dire que la Négation doit être relative. Elle est alors l'Alternation, et la notion d'égalité qui lui est associée est l'Equivalence (pour plus de détails, voir Identité et Equivalence, Négation et Alternation et Logique Alternative, Logique Cyclique, Logique FRACTALE). Et surtout, la structure FRACTALE de l'Univers TOTAL expliquée plus haut montre comment l'Onivers est le Point, le Vide (Ø), le Zéro dans l'Univers TOTAL.
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