Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
Sommaire du sous-titre
Il est très urgent pour nous de changer nos vieux paradigmes et méthodologies,
de passer de l'ère de la physique MATÉRIALISTE à l'ère de la physique INFORMATIQUE!
Car, au niveau le plus fondamental, la MATIÈRE est de l'INFORMATION pure!
(voir aussi Générescence et Structure FRACTALE
et Physique Quantique de l'Univers TOTAL, la Physique du TOUT.
L'Univers TOTAL, l'Alpha et l'Oméga (PDF).
Les derniers développements de la Théorie universelle des ensembles
et de la Physique Quantique de l'Univers TOTAL.
Un exposé de Cosmo-Ingénierie
ou Cosmo-Technologie,
la technologie de création des univers.
De très importantes explications sur la Loi du XERY
et sur l'Unergie.
Le présent document, Théorie physique des ensembles, s'inscrit dans la continuité du document Théorie universelle des ensembles. Il n'existe qu'une seule notion d'ensemble, la notion universelle d'ensemble, celle de l'Univers TOTAL qui est l'Ensemble de toutes les choses, une notion valable quel que soit le domaine où l'on parle. Nous parlons maintenant de la notion d'ensemble, mais cette fois sous l'angle physique du terme.
Le terme physique ou matière que nous allons découvrir ici
n'est plus la notion très restreinte et très étroite actuelle, esclave de nos perceptions sensorielles.
Autrement dit, nous ne parlons pas du physique ou de la matière au sens matérialiste
et très pauvre du terme, mais d'une notion infiniment générale, universelle, celle de l'Univers TOTAL, de la Réalité TOTALE.
Dans la deuxième partie du document nous découvrirons
pourquoi il est très uregent pour la physique actuelle de changer ses vieux paradigmes "matérialistes",
sa vieille conception de la matière.
Au niveau le plus fondamental, la MATIÈRE est de l'INFORMATION pure!
Par conséquent, c'est du côté informatique qu'il faut maintenant tourner pour faire une bonne physique.
Il est très urgent pour les physiciens de changer leurs vieux paradigmes et méthodologies,
de passer de l'ère de la physique MATÉRIALISTE à l'ère de la physique INFORMATIQUE!
La nouvelle conception des ensembles est celle d'ensemble physique.
Un ensemble physique est une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments ou ses constituants.
Et l'Univers TOTAL est la chose constituée par toutes les choses,
c'est donc l'Ensemble de toutes les choses.
Cette définition n'est pas donnée pour distinguer la notion d'ensemble physique
d'ensembles qui éventuellement seraient non-physiques,
comme par exemple on pourrait le penser de l'ensemble des entiers naturels.
Bien au contraire, il s'agit de la définition la plus générale qu'on puisse donner à la notion d'ensemble,
c'est la conception universelle des ensembles,
celle dans laquelle toutes les conceptions des ensembles s'unifient en une seule,
et donc celle qui permet d'unifier enfin la Mathématique et la Physique!
On ne conçoit plus que des objets mathématiques puissent ne pas avoir une réalité physique,
car, que ce soit les objets mathématiques ou physiques (au sens actuels étroits de ces termes),
ce sont maintenant des objets de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
le plus grand ensemble physique, dans le paradigme de la nouvelle physique.
La notion clef définie et étudiée ici est celle d'ensemble physique, une notion synonyme de celle d'ensemble informatique, comme on va aussi le voir. L'idée très importante à comprendre aujourd'hui est que la matière (ce que nous appelons comme telle ou qui apparaît comme telle à notre échelle) est de l'INFORMATION à l'échelle la plus fondamentale.
C'était extraordinaire de savoir que toute la matière qui nous constitue et qui nous entoure
est faite seulement de trois briques élémentaires: proton, neutron, électron!
Il existe une infinité d'autres particules, comme par exemple les photons, les neutrinos, etc.
Mais la matière de base, telle que nous la connaissons, ou plutôt telle qu'elle nous appraît à notre échelle,
est constituée de ces trois particules, qui constituent ensuite les molècules, qui constituent les cellules, etc.,
et enfin qui nous constituent, nous les humains entre autres.
Le temps est maintenant arrivé de comprendre une chose encore plus étonnante:
TOUT et absolument TOUT est fait d'une seule brique élémentaire,
que nous appelons l'Unit, que nous notons U,
et qui n'est rien d'autre que... l'Univers TOTAL, l'ensemble de toutes les choses!
C'est à la fois le plus petit constituant de la matière, qui constitue toute chose,
et la fois le plus grand objet physique, constituée par toute chose!
Cette logique apparemment étrange n'est autre que la logique de
la générescence et de la structure fractale,
celle sans laquelle on ne peut pas prétendre comprendre vraiment l'Univers.
On savait que la matière qui nous constitue et qui contitue tout ce que nous voyons autour de nous est faite principalement de trois composants élémentaires: le pr
Une des caractéristiques fondamentales des ensembles physiques (les ensembles de la réalité),
c'est qu'être un élément d'un ensemble c'est toujours aussi être
une partie de cet ensemble, et vice-versa.
Les deux notions sont fondamentalement la même notion avec les ensembles de la réalité.
Par exemple ici, la chose nommée 1 est un des trois éléments de l' ensemble que montre l'image.
Mais il est clair aussi que sur le plan physique, cet objet 1 est aussi une partie de cet ensemble.
En effet, la matière qui constitue cet objet (les molécules, les atomes, les particules, etc.)
est une partie de la matière qui constitue l'ensemble.
Le mot élément sert juste à indiquer les parties d'un ensemble
que nous décidons de considérer comme les plus petites ou comme les parties unitaires de l'ensemble.
Et plus spécialement encore, c'est avec la très importante notion
d'ensemble quantique
que la notion de partie unitaire ou d'élément (au sens classique du terme)
peut être définie.
Un ensemble quantique
est un ensemble dont les éléments répondent à un certain même
modèle
identifié ou défini, et désigné par un même nom commun,
comme par exemple Proton, Neutron, Electron, Humain, Chose, etc.
Cela permet par exemple de dire: "L'objet 1
est un Proton",
"L'objet 2
est un Proton", etc.
Mais dans l'exemple de l'ensemble que montre cette image,
aucun nom commun ou modèle commun évident
et surtout spécifique (comme le mot Proton)
ne s'impose pour ces trois objets pour faire de leur ensemble un
ensemble quantique.
Dans ces cas-là, le nom commun par défaut
qui fait toujours l'affaire est le très important mot
Chose!
En effet, on peut toujours dire:
"L'objet 1
est une Chose",
"L'objet 2
est une Chose", etc.
Et l'ensemble
est une Chose"
constituée de trois Choses appelées ses Eléménts.
Ceci est la définition très simple et très naturelle d'un ensemble physique...
On appelle un ensemble physique, ou simplement un ensemble,
une chose E constituée
d'autres choses
appelées ses éléments ou ses constituants.
A défaut, la chose est son unique élément (ou constituant).
Et si elle n'a d'autre élément qu'elle-même, alors on dit qu'elle est
un élément ou constituant alpha ou, pour utiliser un langage classique, un "constituant élémentaire".
On dit aussi qu'elle est un "ensemble vide", et il est noté Ø.
Cette nouvelle notion du "vide" n'a donc pas
le sens négatif habituel.
On appelle Univers TOTAL, et on note U,
la chose constituée par TOUTES les choses.
C'est donc l'ensemble de toutes les choses.
Si une chose e
est un élément de l'ensemble E, on note alors e ∈ E,
et on lit: "e est un élément de E",
en Verba:
"e er an el of E" ou simplement "e elar E", ce qui peut se traduire en français par: "e élémente E".
La relation d'appartenance se lit aussi: "e est un constituant de E",
en Verba: "e er an ul of E"
ou simplement "e ular E", ce qui peut se traduire en français par: "e constitue E".
On appelle un
ensemble quantique
(ou un "ensemble discret", au sens traditionnel du terme "discret",
par opposition à "continu") un ensemble défini simplement par la donnée d'un nom commun x,
comme par exemple proton, neutron, électron, atome,
molécule, cellule, humain, étoile,
nombre, ensemble, science, information,
esprit, ange, chose, etc.
La donnée de ce nom commun x, permet de dire :
"A est un x",
ce qui définit automatiquement l'"ensemble de tous les x"
(par exemple l'ensemble de tous les humains.
Alors l'expression "A est un x"
signifie simplement que
A est un élément de cet ensemble de tous les x
(pour plus de détails sur les ensembles quantiques, voir le document sur le
Verba,
au sous-titre
Relation ontologique d'Appartenance, Ensemble quantique).
L'ensemble est dit quantique parce qu'il est constitué d'unités
qui sont les choses ayant la propriété désignée par le nom commun x.
On dit alors de chaque élément de cet ensemble qu'il est un
quantum,
au pluriel quanta
(pour plus de détails voir Physique Quantique de l'Univers TOTAL, la Physique du TOUT).
L'Univers TOTAL,
l'ensemble de toutes les choses,
est le plus grand ensemble quantique.
C'est tout simplement l'ensemble quantique défini par le nom commun
chose.
Remarques:
1) La notion de Vide ou d'Ensemble Vide dans le paradigme de l'Univers TOTAL n'est pas le vide négatif
Dans les conceptions classiques de la notion d'ensemble, l'ensemble vide est défini comme un ensemble n'ayant aucun élément. Mais dans le paradigme de l'Univers TOTAL, la notion de "vide" n'a pas le sens négatif habituel. la négation contenue dans des mots comme "aucun" n'est pas une négation absolue mais juste relative. Un ensemble vide est simplement un ensemble ou un constituant élémentaire, un ensemble dont on ignore les choses qui le constituent, ou un ensemble que l'on décide d'ignorer ses propres éléments, mais de le considérer comme le point de départ ou un constituant premier permettant de construire d'autres ensembles.
2) Les ensembles physiques ne sont pas un cas particulier d'ensemble mais l'unique bonne conception des ensembles
Bien que la définition de la notion d'ensemble présentée plus haut soit qualifiée de celle des ensembles physiques, il ne faut surtout pas en déduire qu'il s'agit d'un cas particulier de la notion d'ensemble, le cas physique. Il s'agit en fait de la définition de la notion d'ensemble la plus simple, la plus naturelle, la plus native (surtout pas "naïve" mais "NATIVE"!), la plus intuitive, la plus générale, la plus universelle, la plus puissante qui soit, celle de l'Univers TOTAL! Autrement dit, c'est comme cela et seulement comme cela, qu'on aurait dû concevoir la notion d'ensemble.
L'ensemble des nombres entiers naturels par exemple, N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, ...}, obéit à cette définition d'ensembles physiques, car il est physiquement et informatiquement constitué par les nombres (ou les choses) qui sont: 0, 1, 2, 3, 4, 5, .... Chacune de ces choses est une INFORMATION qui participe à l'information totale qu'est cet ensemble physique. Il suffit par exemple de considérer le fait que la page présente que vous êtes en train de consulter sur votre ordinateur est un objet numérique physiquement codé et présent sur votre machine. Les nombres pour dire N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, ...} n'ont rien d'abstrait mais sont des objets bien concrets, des informations codées quelque part sur votre machine, y compris le signe "=", y compris les parenthèses ou accolades "{" et "}", y compris les virgules ",", y compris les poins ou les trois points "." ou "...", y compris même les espaces " "! Oui, tout est physiquement et informatiquement codé, tout est une INFORMATION!
On peut même imaginer chacune des choses constituant cet ensemble inscrites physiquement sur des pièces de puzzle ou de Scrabble: N, =, {, 0, ,, 1, ,, 2, etc., que l'on assemble dans cet ordre pour donner: N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, ...}.
La notion d'ensemble physique dont nous parlons ne s'oppose pas à la notion d'ensemble NON physique, car même un ensemble mathématique comme l'ensemble des entiers naturels est en réalité lui aussi un ensemble PHYSIQUE! Ou plus exactement, par ensemble NON physique il faut entendre un ensemble ABSTRAIT, comme par exemple la manière dont on manie cette notion dans les actuelles théories axiomatiques des ensembles. Mais la notion d'ensemble physique dont nous parlons s'oppose à la notion d'ensemble ABSTRAIT, c'est-à-dire une notion déconnectée de l'Univers et de sa logique, déconnectée de toute réalité. Nous voulons simplement faire comprendre que la notion d'ensemble NON physique ou d'ensemble ABSTRAIT est une notion FAUSSE, PARADOXALE, contraire à la Réalité!
Un ensemble est une chose faite d'autres choses appelées ses éléments, ses parties, ses constituants, ses composants, ses membres. Il n'y a pas d'autres définitions que cette notion, si elle ne constitue pas simplement d'autres mots pour dire la même chose! Par exemple, au lieu du mot ensemble, on peut préférer un synonyme comme collection, groupement, ou autre. Et au lieu du mot CHOSE, on peut préférer le mot OBJET, ETRE ou tout ce qu'on veut. Peu importe donc les mots employés, cela doit être de simples synonymes pour dire la même chose que cette définition, qui est donc la seule conception de la notion d'ensemble. Toute autre conception qui n'est pas celle-là est FAUSSE tout simplement! On ne parle pas alors des ensembles, et on ne peut pas découvrir le secret le plus profond des ensembles, qui est tout simplement: l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, le plus grand de tous les ensembles, l'Ensemble PHYSIQUE Suprême!
3) Un ensemble physique est la définition la plus générale de la notion de générescence et de structure fractale
La définition des ensembles physiques que nous avons présentée est qualifiée aussi de générescente (la générescence est un mot formé à partir des mots génération (du verbe générer ou engendrer) et arborescence). Elle exprime tout simplement le fait que la notion d'ensemble (quand il s'agit d'ensemble physique comme nous l'avons défini) est la notion la plus naturelle et la plus générale de la très importante et très puissante notion de structure arborescente ou structure fractale! Cela signifie que, comme un arbre, un ensemble est un objet récursif, c'est-à-dire un objet qui se définit lui-même, qui fait appel à lui-même, qui se construit à partir de lui-même, qui se contient lui-même, qui appartient à lui-même, etc.
En effet, en disant qu'un ensemble est une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments, cela implique automatiquement que ces autres choses sont à leurs tours constituées de la même manière. Cette définition revient dont à dire: un ensemble est une chose constituée d'autres ensembles appelées ses éléments. Cela veut dire que le propre d'un élément est de reproduire à son tour le modèle ensemble. Cela met plus en évidence la nature récursive de la notion d'ensemble. Exactement comme un arbre, qui est lui aussi un objet récursif, défini exactement ainsi: un arbre est une chose constituée d'autres arbres appelées ses branches. Il suffit en effet d'observer un arbre pour s'apervoir que ses branches reproduisent tout simplement le même modèle arbre. C'est ce qui fait toute la puissance de la structure arborescente, c'est ce qui fait toute la puissance de la notion d'ensembles physiques que nous exposons ici.
Angélique LA Physique,
ici pour nous expliquer la transitivité des ensembles physiques.
Le Corps humain, un ensemble physique, un ensemble de la réalité.
Le Bras par exemple est une partie du Corps,
car toute la matière qui constitue le Bras constitue aussi le Corps.
Et le Bras est aussi un élément du Corps,
car il compte tout simplement comme un constituant du Corps, comme une unité à part entière.
De la même façon, la Main est à la fois une partie et un élément du Bras.
Et de ce fait, la Main est à la fois une partie et un élément du Corps.
Cette propriété des ensembles physiques est appelée la transitivité:
Etre un élément d'un élément d'un ensemble,
c'est être un élément de cet ensemble, à l'ordre 2.
Et être un élément d'un élément d'un élément d'un ensemble,
c'est être un élément de cet ensemble, à l'ordre 3,
Et ainsi de suite.
Comme expliqué plus haut, avec les ensembles physiques (les ensembles de la réalité), les notions d'élément et de partie sont fondamentalement la même notion. C'est nous qui décidons des parties d'un ensemble que nous allons appeler les éléments en un sens plus restreint du terme élément.
Par exemple, pour le Triangle de Sierpinski ci-dessus, on peut décider d'appeler ses éléments
uniquement ses parties qui sont elles-mêmes des Triangles de Sierpinski.
Ainsi, un Triangle est constitué de trois éléments principaux,
eux-mêmes constitués de la même façon de trois éléments principaux, ainsi de suite.
Les Triangles Bleus appartiennent à l'ordre 1 au Triangle vert,
ce qu'on écrit:
Bleu ∈1 Vert.
De même, les Triangle oranges appartiennent appartiennent à l'ordre 1 aux Triangles bleus:
Orange ∈1 Bleu.
Par conséquent, les les Triangle oranges appartiennent appartiennent à l'ordre 2 au Triangle vert:
Orange ∈2 Vert.
Et les Triangles qui appartiennent à l'ordre 1 aux Triangles oranges appartiennent donc à l'ordre 3 au Triangle vert, et ainsi de suite.
On peut définir la réciproque de la relation d'appartenance,
appelée relation de sur-appartenance, notée ∋.
Ainsi, dire que "X est un élément de Y" ou que "X appartient à Y", ou "X ∈ Y",
c'est dire que "Y est un sur-élément de X" ou que "Y sur-appartient à X", ou "Y ∋ X".
Et dire: "X ∈ Y", c'est dire que X appartient à Y à l'ordre 1, donc:
X ∈1 Y.
On dit alors que Y sur-appartient à X à l'ordre 1, et on note:
qui se note aussi: Y ∋1 X ou Y ∈-1 X.
Et plus généralement, la réciproque de X ∈n Y
est Y ∋n X, encore noté: Y ∈-n X.
Comme dit dans la définition de la notion d'ensemble, si une chose X est un élément de Y, on note alors X ∈ Y.
- On dit de toute chose X que X est l'élément d'ordre 0 de X.
On note: X ∈0 X.
- Tout élément X de Y distinct de Y est appelé un élément d'ordre 1 de Y.
On note aussi: X ∈1 Y.
- Si une chose X est un élément d'ordre m de Y et si une chose Z
est un élément d'ordre n de Y, alors on dit que
X est un élément d'ordre m + n de Z.
Autrement dit, si X ∈m Y
et si Y ∈n Z, alors X ∈m+n Z.
- Si X est un élément d'ordre m de Y, alors on dit aussi que
Y est un élément d'ordre -m de X, et on écrit:
Y ∈-m X.
On pose ainsi les bases d'une nouvelle algèbre, l'algèbre de la relation d'appartenance. Dans cette algèbre, un nouveau synonyme du mot ensemble est apparu: le mot sur-élément. Un ensemble est donc un sur-élément, et un élément est un sous-ensemble ou un sub-ensemble. Dans cette algèbre, les notions ensemble et d'élément jouent un rôle parfaitement symétrique, elles deviennent tout simplement la même notion, deux manières symétriques ou opposées de dire la même chose, des synonymes symétriques ou synonymes opposés.
Les notions sur ce modèle élément-ensemble sont appelées des notions duales: vide-plein, néant-univers, particule-univers, corpuscule-onde, zéro-infini, point-espace, instant-temps, création-évolution, identité-équivalence, constante-variable, etc.
Les notions d'une dualité sont donc à la fois opposées ou contraires, et la fois synonymes!
On introduit un opérateur, le Hener, noté ".".
Il est appelé opérateur de Constitution physique ou opérateur de Concaténation
ou opérateur Point ou opérateur Version.
X1 . X2 se lit "X1 Point X2"
ou "X1 Version X2".
Il sert à appliquer la définition d'un ensemble: "Un ensemble est une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments". Mais cet opérateur doit permettre aussi d'exprimer tout ce que nous disons sur les ensembles physiques, leur transitivité, la synonymie des notions de partie et d'élément, et les lois de la relation d'appartenance vues plus haut.
Ainsi donc, si voyons un ensemble X constitué des éléments X1, X2,
X3, ... , Xn, on écrira:
X = X1 . X2 . X3 . ... . Xn
On rappelle que c'est nous qui décidons de décomposer une chose en deux, trois, quatre ou une infinité de parties ou éléments.
Mais le rôle le plus important de l'opérateur Hener est INFORMATIQUE car (c'est très important) les ensembles physiques sont avant tout des ensembles informatiques, un ensemble est une INFORMATION et plus précisément un type très spécial et très fondamental d'information, l'information unaire, appelée générescence. Une générescence (une information unaire donc) est une information constituée d'une seule information élémentaire appelée unit, par opposition à l'information binaire qui, elle, est constituée de deux informations élémentaires appelées les bits, actuellement notées 0 et 1.
Une générescence (ou information unaire), c'est donc par exemple toutes les informations ayant pour seule information base 0.
Ci-dessus, on a les informations unaires 0, 00, 000, 0000, 00000, ...
en tant qu'ordinaux (1, 2, 3, 4, 5, ...) et en tant que cardinaux (0, 1, 2, 3, 4, ...).
En choisissant la définition ordinale, on a par exemple :
2 . 3 = 5 c'est-à-dire: 00 . 000 = 00000 .
Ces informations unaires sont appelées les 0-générescences ou générescences d'Unit 0. La logique est exactement la même, quelle que soit la choses prise comme Unit. Et en règle générale, c'est l'Univers TOTAL, U, qui est l'Unit.
L'Univers TOTAL a une structure fractale, générescente. L'Univers TOTAL est à la fois unique (comme ici le Triangle vert +U ou U) et il est à fois multiple, il est fait d'une infinité de versions de lui-même. Et parmi ces versions, l'une sert à dire "Non-Univers", "Vide" "Zéro", "Rien", "Néant", etc.
Dans le schéma ci-dessus, le très pédagogique Triangle de Sierpinski (une structure fractale) permet d'illustrer les notions d'Univers (+U ou U), de Vide (Ø ou 0) et d'Anti-Univers (-U). Ici, le rapport Vide/Univers est seulement de 1/2, ce qui permet de faire apparaître l'Anti-Univers. On dit que le Zéro ou Alpha ou 0 est de 1/2 et que l'Infini ou Oméga ou ω est de 2. Mais la notion de "Vide" ou de "Néant" prend tout son sens quand Oméga (ou ω) est très grand, de l'ordre des nombres comme par exemple Lhorizon 3 ou 1010 000 000 000, et plus encore avec des nombres supérieurs: Lhorizon 7, Lhorizon 1000, etc.
La version de l'Univers TOTAL appelée "Néant" est tout simplement aussi la définition... de la Négation! Sa propre version du Néant est appelée l'Anti-Univers, noté -U. Et la version du Néant de l'Anti-Univers est le deuxième Anti-Univers (-UU), etc. D'une manière générale, les éléments du Néant comptent négativement. Ils sont appelés les "non-choses" en logique alternative binaire, et les "anti-choses" en logique alternative trinaire.
Sommaire du sous-titre
Un ensemble physique appelé ici U (comme Univers) pour illustrer le principe pour tout l'Univers.
Cet ensemble peut être décrit comme étant constitué des trois choses A, B, C.
Ces choses sont alors appelées ses éléments, et on note : U = {A, B, C}.
Mais cet ensemble peut tout aussi bien être décrit comme étant constitué des dix choses : a, b, c, d, e, f, g, h, i, j.
Cet ensemble est alors noté : U = {a, b, c, d, e, f, g, h, i, j}.
Cette souplesse ou finesse est une des caractéritiques des ensembles physiques, les ensembles de la réalité
(par opposition aux ensembles abstraits des théories classiques des ensembles, déconnectés de l'Univers et de la réalité...).
Cette conception est tout simplement la manière naturelle dont chacun de nous conçoit et utilise quotidiennenent la notion d'ensemble.
La notion mathématique d'élément et la notion physique de constituant sont une seule et même notion dans le paradigme de l'Univers TOTAL. De plus, on ne distingue pas fondamentalement les notions de partie et d'élément comme dans les théories des ensembles traditionnelles. En effet, si un ensemble A est un élément (au sens physique du terme maintenant) d'un ensemble U, toute la matière qui constitue A est une partie au sens le plus physique du terme, de la matière qui constitue U. Autrement dit, tout ce qui contitue A constitue aussi U. Par exemple, tout ce qui constitue votre bras ou la plus petite de vos cellules vous constitue aussi. Vous pouvez par exemple considérer qu'une cellule de votre est un élément de votre corps (parce que la cellule est "petite"), tandis que votre bras est une partie de votre corps parce que c'est gros. Mais il est clair que c'est à vous de juger quel composant de votre corps vous allez appeler élément et lequel vous allez appeler partie.
En règle générale, le mot élément est employé en un sens strict pour désigner les parties d'un ensemble considérées comme les plus petites (d'un certain point de vue ou cette petitesse est définie) ou comme les parties unitaires, dans le cas d'un ensemble quantique. C'est justement dans ces cas-là que la notion habituelle d'élément s'impose. Mais il faut avoir une vision large de la question et comprendre que, même en étant une unité, l'élément reste toujours une partie puisque la matière qui le constitue est aussi une partie de la matière de l'ensemble auquel il appartient.
Réaliser physiquement l'ensemble des parties est "IMPOSSIBLE". Cherchons l'erreur...
Sans la vision très naturelle, très concrète et très physique de la notion d'ensemble que nous introduisons maintenant, si donc l'on nage dans la pure abstraction avec les ensembles comme c'est le cas dans les mathématiques et dans les théories des ensembles traditionnelles (comme par exemple la théorie axiomatique des ensembles de Zermelo Fraenkel), on se retrouve dans ce que j'appelle le Paradoxe de l'ensemble des parties des ensembles. Comme beaucoup de paradoxes des sciences actuelles, il s'agit d'un paradoxe caché, méconnu, que le paradigme de l'Univers TOTAL met en lumière.
Pour comprendre ce paradoxe, considérons un ensemble U
ayant trois éléments A, B, C.
L'ensemble s'écrit donct: U = {A, B, C}
Dans la conception actuelle des ensembles, qui ne tient pas compte de la réalité physique qu'est un ensemble
(même s'il s'agit d'un ensemble abstrait, d'un objet de la pensée),
on appelle l'ensemble des parties de U l'ensemble V de huit éléménts suivant:
V = {Ø, {A}, {B}, {C}, {A, B}, {A, C}, {B, C}, {A, B, C}}.
Et maintenant, sortons de la pure abstraction, venons dans le concret, dans le monde physique, dans la réalité tout simplement, et je vous demande, si vous le voulez, de prendre trois objets physiques autour de vous, comme par exemple ceux que montrent les images ci-dessus, et inscrivez dessus A, B, C. Vous avez donc un ensemble U bien physique, bien réel. Et ensuite je vous demande simplement de réaliser un ensemble V, tout aussi physique, réel et concret que U, et qu'on puisse appeler l'ensemble des parties de U, ainsi que l'on conçoit les ensembles actuellement. Vous allez très vite buter sur une difficulté et comprendre que c'est tout simplement "impossible"...
Derrière toute impossibilité, se cache quelque part... la Diable. Cherchons donc l'ERREUR... Cherchons!
Petit intermède philosophique: Je n'aime pas trop ce mot "impossible", c'est pour cela que je l'ai mis entre guillemets.
En effet, chaque fois que l'on bute sur une impossibilité, quelle qu'elle soit, en science comme dans la vie, cela veut dire tout simplement qu'il y a une ERREUR quelque part, le Diable se cache forcément quelque part... Une erreur de conception se trouve quelque part, un problème de paradigme, ou un problème très fondamental qu'on ignore. Il faut souvent chercher la cause ailleurs que là où on bute sur l'impossibilité.
Comme un adage populaire le dit :"Le Diable est dans le détail", là où on n'y pense pas. Et c'est là que se trouve la source cachée de cette impossibilité. Sinon, dans l'absolu, tout est possible dans l'Univers TOTAL. On comprendra cet intermède philosophique à la fin, quand nous conclurons l'étude de ce problème de l'ensemble des parties avec le cas très important de l'Univers TOTAL...
Cette question de l'ensemble des parties est d'une grande importance, car cet ensemble joue un grand rôle dans les théories des ensembles classiques (les théories axiomatiques des ensembles), il est crucial dans la théorie actuelle des ordinaux et des cardinaux (la généralisation de la notion de nombres entiers naturels), dans la conception de l'Infini, etc. Ce problème dépasse largement le champ des mathématiques (au sens actuel du terme), c'est en fait une question profonde de physique, un problème de conception de l'Univers avec tout ce que cela implique!
A moins de raisonner dans le paradigme de l'Equivalence, la conception actuelle de l'ensemble est partie est FAUSSE!
Réaliser donc avec un ensemble physique U = {A, B, C} ayant 3 éléments distincts, un autre ensemble tout aussi physique V = {Ø, {A}, {B}, {C}, {A, B}, {A, C}, {B, C}, {A, B, C}} ayant 8 éléments distincts, qui soit ce qu'on appelle l'ensemble des partie de U, est physiquement impossible si l'on fait la physique et la science dans le paradigme de l'Identité. Mais c'est bel et bien possible dans le paradigme de l'Equivalence!
Concrètement, cela veut dire tout simplement que pour réaliser l'ensemble V à 8 éléments avec un ensemble U à 3 éléments (sans évidemment casser les éléments en fractions mais en restant toujours dans le même modèle d'ensemble physique), il faut produire des copies physiques, des duplications des éléments. Pour faire l'ensemble V, il faut en effet quatre exemplaires de l'élément A, quatre exemplaires de l'élément B et quatre exemplaires de l'élément C. Pour écrire par exemple l'ensemble U sur cette page que vous lisez, il m'a fallu seulement un exemplaire de ses éléments. Mais pour écrire V, il m'a fallu écrire quatre fois chaque éléments. Sur le plan informatique donc comme sur le plan physique, on ne peut pas réaliser l'ensemble V sans dupliquer les informations de U!
Cela veut dire simplement que ce qu'on a appelé l'ensemble des parties de U dans les conceptions actuelles des ensembles est un concept FAUX, ou en tout cas qui n'est pas ce qu'on pensait qu'il est.
Avec les ensembles physiques (ceux de la réalité), on voit tout simplement que ce qu'on a appelé l'ensemble des parties de U (ou V), c'est tout simplement un autre ensemble physique ou informatique, qui compte lui 8 éléments physiques et bien réels, et dont les éléments INFORMENT sur les parties de l'ensemble U.
A la question: "Quel est l'ensemble des parties de U", la simple et seule réponse qui s'impose est... U! Eh oui! Etant donné que vous êtes un ensemble physique, si je vous demande: "Quel est l'ensemble de vos parties", la seule réponse logique qui s'impose, au sens de l'Identité, entendons-nous bien, est: "C'est moi." Vous êtes l'ensemble de vos parties, et je suis l'ensemble de mes parties. C'est aussi simple que cela. Cette vérité des ensembles de la réalité saute aux yeux!
Pour avoir le droit (comme on le fait actuellement) de dire qu'un AUTRE ensemble V est l'ensemble des parties de U, il faut simplement raisonner dans le paradigme de l'Equivalence, sinon on est dans un paradoxe caché.
En effet, seul le paradigme de l'Equivalence nous autorise
à dire que quatre copies de l'élément A, qu'on peut donc noter
A1, A2, A3, A4,
sont égaux à A
ou sont la même chose que A.
Autrement dit, sur le plan physique et informatique, ce sont des objets distincts
de A, donc on n'a pas le droit d'écrire une
identité entre eux,
c'est-à-dire un signe "=" qui a le sens de l'égalité stricte "==":
A == A1 == A2 == A3 == A4.
On a seulement le droit d'écrire un signe "=" qui a le sens de l'égalité large, c'est-à-dire l'égalité normale "=",
ce qu'elle aurait dû toujours être, à savoir l'équivalence
entre des choses distinctes:
A = A1 = A2 = A3 = A4.
Au nom du fameux Principe de non-contradiction, on refuse officiellement et à tort des égalités du type de l'Equivalence, comme par exemple "0 = 1" ou "3 = 8", alors qu'on les utilise officieusement. Sans cela, on ne pourrait jamais parler de l'ensemble des parties comme on le fait. Cette notion cache en fait l'équivalence "3 = 8", l'idée qu'un ensemble de 3 éléments, dont l'ensemble des parties au sens de l'identité est seulement lui-même, soit équivalent à un autre ensemble de 8 éléments, qui est son ensemble des parties au sens de l'équivalence!
Nier donc officiellement un type d'égalité qu'on utilise officieusement est tout simplement faire une science paradoxale, qui ment quelque part. Le problème ne serait pas trop grave si derrière cela ne se cachait tout simplement le déni de l'Univers TOTAL!
Ce paradoxe (comme beaucoup de paradoxes cachés des mathématiques actuelles) n'est pas manifeste parce qu'on raisonne dans l'abstrait, en rupture avec l'Univers et les ensembles de la Réalité et l'égalité qu'elles réclament, à savoir l'Equivalence.
A l'inverse, toujours parce qu'on raisonne dans l'abstrait, on déclare à tort comme des paradoxes beaucoup de situations, qui pourtant ne sont que des propriétés très importantes des ensembles physico-informatiques, à commencer par le plus grand et le plus important d'entre eux, l'Univers TOTAL. C'est le cas par exemple des célèbres paradoxes de Russell ou de Burali-Forti, ou tout simplement du paradoxe de l'ensemble de tous les ensembles. De FAUX paradoxes en fait, mais VRAI problème des paradigmes des sciences actuelles, qui fonctionnent avec la négation absolue au lieu de la négation relative, ou qui (ce qui revient au même) fonctionnent avec l'ontologie de l'Identité au lieu de celle l'Equivalence.
Qu'on observe une fois encore l'ensemble physique U = {A, B, C} que nous étudions et qui nous sert tout simplement d'exemple à comprendre le cas de l'Univers TOTAL U. L'ontologie de l'Identité dira qu'il a 3 éléments, et c'est exact! Mais le problème est qu'elle ne dira que ça, elle niera les autres vérités, qui sont aussi celles du même ensemble. En effet, nous disons qu'il a 3 éléments simplement parce que nous avons choisi de le décomposer ainsi en ses constituants. Mais on peut tout aussi bien dire que le même ensemble U est un ensemble des dix éléments suivants: U = {a, b, c, d, e, f, g, h, i, j}. La première vérité n'exclut donc pas la seconde, ni même une troisième vérité, à savoir que le même ensemble a 8, 25, 12587, ou une infinité d'éléments! Autrement dit, on a les équivalences: 3 = 8 = 10 = 25 = ... = Infini.
Une fois donc qu'on a dit que U est un ensemble de 3 éléments, la négation des autres vérités doit être seulement relative et non pas absolue. Cette vérité signifie simplement que nous avons fait le choix de cette vérité parmi plusieurs possibilités ou que ce choix nous a été imposé d'une manière ou d'une autre. Comme par exemple aussi le fait de choisir une solution d'un problème parmi plusieurs possibles. Certaines contraintes (d'ordre technique ou pratique par exemple) peuvent imposer ce choix. Mais cela ne veut en rien dire que les autres vérités sont impossibles dans l'absolu.
Le Paradoxe de la Variable, l'autre paradoxe méconnu... Même cause, même effet!
Les problèmes comme celui de l'ensemble des parties sont particulièrement pervers! Car il ne s'agit pas ici d'affirmer directement l'impossibilité de quelque chose, mais d'affirmer une fausse possibilité (en ce sens que la possibilité n'est pas placée dans son vrai contexte, à savoir l'Equivalence) et ce pour pouvoir continuer à nier les vraies possibilités, à déclarer impossibles les équivalences du genre "0 = 1" ou "3 = 8", alors qu'on les utilise en cachette!
L'autre arnaque du Diable du même genre est par exemple le problème de la notion de variable, par exemple une lettre X pour dire X = 0, X = 1, X = 3, X = 8. Sans l'usage de la notion de variable, la science ne peut pas être ce qu'elle est! Ce genre de concept est tout simplement vital en science.
Or on n'a pas le droit d'utiliser ce genre de concept tout en affirmant que les égalités du genre "0 = 1" ou "3 = 8" sont impossibles! En effet, utliser un même objet X pour dire X = 0, X = 1, etc., c'est obigatoirement dire 0 = 1, sinon on viole la transitivité de la relation d'équivalence ou d'égalité, qui dit qu'une même chose (ici X) égale ou équivalente à deux autres choses (ici 0 et 1 par exemple) implique que ces deux autres choses sont égales entre elles (donc 0 = 1).
Donc on ne peut à la fois refuser les égalités du genre "0 = 1" ou "3 = 8" et en même temps utiliser la notion de variable, qui doit sa raison d'être à ces égalités de type équivalence. C'est donc très pervers, c'est un paradoxe (c'est souffler le chaud et le froid comme le Diable), d'utiliser en cachette l'équivalence pour mieux la nier, là où elle est la plus importante et la plus puissante, à savoir justement avec les ensembles physiques, et plus spécialement l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses!
L'Univers TOTAL: l'Ensemble suprême nié par la conception perverse de l'ensemble des parties...
Que l'on me permette de répéter ceci: J'ai vraiment une sainte horreur du mot "impossible", et, c'est plus fort que moi, ceux qui crachent à tout bout de champ ce mot affreux (particulièrement en science) provoquent chez moi à leur égard une réaction négative, la négation qui annule l'effet de leur négation pour restaurer la vérité.
En effet, j'ai appris avec l'Univers TOTAL qu'il faut toujours relativiser les mots du genre "impossible", une impossibilité qui cachent toujours un Diable quelque part, comme je l'ai dit au début de ce problème de l'ensemble des parties. Et il suffit de bien ouvrir les yeux pour voir ce Diable en chair et en os, comme par exemple Darwin, Jacques Monod et compagnie... Ils ont tous en commun le fait de déclarer une chose impossible dans l'absolu. Mais ce n'est pas ce qu'ils déclarent impossible qui est réellement impossible, mais ce sont eux qui le rendent impossible en France et dans le monde!
On parlera plus loin du cas de déclarations aberrantes de l'astrophysicien Christian Magnan sur l'"impossibilité" que des nombres comme par exemple 1010 000 000 000 (que j'appelle Lhorizon 3) puissent avoir une réalité physique! Mais une fois encore, les personnes qui disent des choses de ce genre sont elles-mêmes l'incarnation de l'impossibilité, le Diable collectif (c'est-à-dire la Conscience ou la Psyché négative collective) qui rend effectivement la chose impossible ici-bas, alors qu'elle l'est ailleurs dans l'Univers TOTAL...
Le plus grand de tous les ensembles physiques,l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
a de ce fait même une structure générescente,
une structure fractale,
Le Triangle de Sierpinski (une structure fractale) permet de comprendre sa logique,
une logique
de l'Equivalence,
des structures fractales.
Appelons ω le nombre des éléments du Triangle de Sierpinski,
qui illustre avec une très grande simplicité la logique du nombre des éléments de l'Univers TOTAL.
Les ω ici ne sont pas identiques
mais équivalents!
Ici, on peut tout aussi bien dire que ω est 1, 3, 9, 27, etc., comme dire qu'il est infini!
Autrement dit, au sens de l'équivalence on a : ω = 1 = 3 = 9 = 27 = ... = Infini
ω est le nombre inférieur à lui-même, supérieur à lui-même, mais toujours égal à lui-même!
C'est une vérité
impossible
si l'on raisonne seulement en terme
d'identité (ce qui est une grave erreur!),
mais qui est tout simplement la vérité des ensembles physiques, de la Réalité, bref de l'Univers TOTAL!
L'ensemble des parties de l'Univers TOTAL, eh bien c'est l'Univers TOTAL lui-même!
C'est pourquoi donc on a cette équivalence aussi: 2ω = ω,
C'est dans le paradigme de l'Univers TOTAL, des ensembles physiques, de
l'Equivalence,
qu'il faut faire toute la science, la physique (la science de la matière) en particulier...
En conclusion du problème de l'ensemble des parties, il faut comprendre que ce concept pervers (sous sa forme actuelle, entendond-nous bien), comme d'autres concepts pervers aujourd'hui (comme aussi celui de la variable qu'on a vu), contribue à nier l'Univers TOTAL, la chose par excellence niée dans les sciences actuelles.
En effet, il faut savoir que pour un ensemble E de N éléments (en nombre fini ou infini), le nombre d'éléments de ce qu'on appelle l'ensemble des parties de E est 2N ("2 puissance N"), qui est donc toujours supérieur au nombre des éléments de E, si l'on ne raisonne qu'en terme d'Identité, évidemment. C'est pourquoi notre ensemble U de l'exemple, qui a 3 éléments, possède un ensemble de parties V de 23 = 8 éléments.
Or, tant qu'on est dans les ensembles ordinaires, le paradoxe de cette conception peut rester caché, car il nécessite l'usage universel de l'Equivalence, comme on l'a amplement expliqué. Et maintenant, que se passe-t-il avec les grands ensembles comme l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, ou comme (ce qui revient au même) l'ensemble de tous les ensembles rejeté par les théories des ensembles classiques?
Il se trouve que pour ces ensembles suprêmes, l'ensemble de leurs parties (au sens de la conception classique examinée) devient une simple de leurs parties parmi tant d'autres. Donc, si l'on raisonne seulement en terme d'Identité, l'ensemble des parties ne peut pas avoir plus d'éléments que le nombre d'éléments N de ces ensemble suprêmes.
Par exemple, les parties de l'Univers TOTAL sont des choses comme les autres, donc font partie des éléments de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Autrement dit, l'ensemble des parties de l'Univers TOTAL est un sous-ensemble de l'Univers TOTAL, donc ne peut pas avoir plus d'éléments que l'Univers TOTAL lui-même, toujours si l'on raisonne avec la classique Identité. Autrement dit encore, si l'on appelle ω (oméga) le nombre total des choses (donc le nombre des éléments de l'Univers TOTAL), ce nombre total inclut donc aussi le nombre des parties de l'Univers TOTAL, nombre qui est 2ω. Ce nombre est donc tout au plus ω.
Mais aussi la logique de l'Identité doit être vraie elle aussi, car elle exprime tout simplement une autre vérité, à savoir que le nombre des parties de l'Univers TOTAL, 2ω donc, doit être supérieur à ω. Dans le paradigme de l'Equivalence, les vérités ne sont pas incompatibles. Il n'y a que dans le paradigme restreint de l'Identité qu'elles sont incompatibles. Les deux vérités prises en compte, cela donne cette simple équivalence: 2ω = ω, qui ne peut donc qu'être refusée si l'on raisonne uniquement dans le paradigme de l'Identité! Or, ironie de l'histoire, cette équivalence exprime une vérité simple de l'Identité, à savoir que l'ensemble des parties d'un ensemble physique, eh bien c'est l'ensemble lui-même! Donc l'ensemble et son ensemble de parties ont, bah le même nombre d'éléments! Plus identité que ça, c'est difficile à trouver...
L'Univers TOTAL, U, est l'Ensemble de toutes les choses.
Au niveau le plus fondamental, la matière est de l'INFORMATION pure,
toute chose est constituée par UNE SEULE information élémentaire: U,
qui est à la fois la plus petite information, l'Unit, celle qui constitue toute les autres,
et à la fois la plus grande information, celle qui est contituée par toutes les autres,
et en particulier par l'Unit U.
En d'autres termes, toute chose est de information unaire
(celle constitué par une seule information élémentaire),
et ce type d'information est ce que nous appelons les
générescences:
U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUUU, ....
Ce sont des objets encore plus fondamentaux que ceux de la Théorie des cordes,
actuellement la théorie de physique la plus proche du paradigme de l'Univers TOTAL.
L'histoire des mathématiques et de la physique
abonde en situations où les mathématiciens ont forgé des concepts purement abstraits,
des choses qui n'avaient de réalité que pour les mathématiciens,
mais qui plus tard (parfois des siècles et des siècles plus tard),
se révèlent correspondre à une réalité de l'Univers,
décrire un aspect jusque là inconnu de l'Univers!
Cela devrait servir de leçon une bonne fois pour toutes et faire comprendre à tous
qu'il faut définitivement abandonner les vieux dogmes qui séparent entre autres mathématiques et physique,
des dogmes selon lesquels une vérité mathématique n'est pas nécessairement une vérité physique,
ou selon lesquels une théorie mathématiquement vraie n'est pas forcément physiquement vraie.
L'Univers (d'autant plus si l'on parle de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses),
est un TOUT inséparable, et toutes les choses sont liées dans l'Univers!
Il n'existe pas deux vérités, une vérité mathématique et une vérité physique,
mais il n'existe qu'une seule vérité, celle de l'Univers TOTAL!
Une chose donnée n'est fausse que dans un contexte donné de l'Univers TOTAL,
mais elle est toujours vraie dans un autre contexte de l'Univers TOTAL,
elle est toujours vraie à l'échelle de l'Univers TOTAL!
Une chose est de ne pas savoir la réalité physique qui se cache derrière un objet mathématique,
et autre chose est de promulguer des dogmes selon lesquels cet objet n'a aucun sens physique,
oui, de décréter arbitrairement que ceci ou cela n'au aucun sens dans l'Univers!
Il faut se libérer des dogmes anthropomorphiques et anthropocentriques,
qui veulent que toute la réalité se réduise à celle que nous connaissons,
celle qui nous est accessible ou celle qui se trouve dans les limites qui sont les nôtres!
Ou que ce qui est réalité doit obligatoirement être comme nous,
et que tout ce qui n'est pas comme nous n'est pas réel!
Ou encore que ce qui est réel est ce que nous pouvons mesurer,
et aussi et surtout que nos mesures vraies sur terre et au voisinage de la terre
doivent obligatoirement avoir le même sens à l'autre bout de l'Univers,
et à toutes les échelles de l'Univers!
C'est complètement absurde de dire par exemple
que l'Univers a produit le cerveau
capable de produire à son tour des nombres comme 1010 000 000 000,
et que ces nombres n'ont aucun sens dans l'Univers!
Mais ces nombres sont au moins une chose de l'Univers: de l'INFORMATION!
Le paradigme de l'Univers TOTAL permet aujourd'hui de comprendre que toute chose est une INFORMATION!
Le physicien qui écrit ces lignes dit donc ceci à tous ses collègues physiciens:
"Il est très urgent pour nous de changer nos vieux paradigmes et méthodologies,
de passer de l'ère de la physique MATÉRIALISTE à l'ère de la physique INFORMATIQUE!"
L'avénement de la théorie de la relativité d'Einstein et de la Mécanique quantique a été de grands tournants dans la physique, et on peut sans aucun risque de se tromper dire que la physique moderne est véritablement née avec ces théories. Et pourtant, dans un certain sens, dans ses paradigmes, ses conceptions et sa méthodologie, la physique en est encore au Moyen Âge, et pire, à l'époque préhistorique!
Le prochain grand progrès que la physique doit faire pour entrer dans le futur, peut se résumer par les simples phrases suivantes:
"Les physiciens doivent passer de l'ère de la physique MATÉRIALISTE à l'ère de la physique INFORMATIQUE! Car, au niveau le plus fondamental, la MATIÈRE est tout simplement de l'INFORMATION, du NOMBRE, du NUMÉRIQUE!".
A son site, l'astrophysicien Christian Magnan, "prêche" l'idée très aberrante selon laquelle des nombres comme 10100, 101000, 1010 000 000 000 (nombre que je nomme Lhorizon 3), etc., n'ont "aucune réalité physique"! Et plus précisément, il soutient que les puissances de 10 dont l'exposant a plus de deux chiffres, 10100 donc par exemple (où l'exposant, le nombre 100, a trois chiffres) n'ont aucun sens de la réalité. A plus forte raison, dit-il, la notion mathématique d'INFINI n'a aucune réalité physique! Ce qui fait dire cela à Magnan est que d'après les connaissances actuelles (oui actuelles..) l'Univers observable (oui observable...) ne compte pas plus de 1080 atomes. Et de terminer sa démonstration par cette formule: "S'affranchir du mesurable est quitter la réalité."
On a actuellement en physique l'habitude de distinguer deux types de nombre: les nombres mathématiques, dits aussi "nombres dans dimension" ou "nombres purs", et les nombres physiques, qui se caratérisent par le fait qu'ils sont accompagnées d'une unité physique: mètre, seconde, kilogramme, coulomb, kelvin, etc. Cela veut dire donc aussi que l'on sépare la notion d'unité en deux: la notion d'unité mathématique et la notion d'unité physique. Mais dans l'Univers TOTAL, il n'existe qu'une seule notion d'unité, point final! Mais accordons qu'on ignore cette vérité et qu'on tienne à séparer l'unité de l'unité.
On peut alors comprendre qu'un physicien dise que le nombre 1 ou 5 seul ne veuille rien dire pour lui, n'ait aucun sens pour lui, mais que 1 m ou 5 kg ait un sens. Mais ce serait incompréhensible qu'il disent que 1 ou 5 n'ont aucun sens dans l'Univers, puisqu'au moins ces nombres lui servent à exprimer ses unités.
Et on peut à la rigueur comprendre qu'il dise que 1010 000 000 000 atomes n'a aucun sens, puisque d'après les connaissances actuelles l'Univers ne compte pas plus de 1080 atomes. Mais c'est incompréhensible de dire pour cette raison-là que le nombre 1010 000 000 000 en lui-même n'a aucun sens dans l'Univers, ne correspond à aucune réalité physique!
En effet, même en restant dans les conceptions traditionnelles, un nombre mathématique en physique est lié à l'unité de physique qui l'accompagne, ici l'unité ATOME avec le nombre 1080. D'après toujours les mêmes connaissances actuelles, l'Univers ne compte pas plus de 1012 galaxies (donnée que Magnan utilise dans ses calculs), l'unité étant cette fois-ci GALAXIE. Alors que conclure? Que le nombre 1080 lui non plus n'a aucun sens dans la réalité parce que l'Univers ne compte pas plus de 1012 galaxies? Et si Magnan va par là, il a aussi démontré que l'Univers ne compte pas plus de... 1 Univers, donc le nombre 2 n'a aucun sens en physique!
Si l'on comprend donc bien le raisonnement de Magnan, l'unité ATOME serait donc l'unité ULTIME de l'Univers ou de la physique, qui donne un sens au nombre mathématiques qu'on peut employer en physique! Il n'existerait donc en aucune manière une unité physique plus fine, qui donnerait un sens aux nombres supérieurs à 1080, les puissances de 10 dont l'exposant a plus de deux chiffres (comme 10100 ou 102547)
Mais c'est ici la limite de la physique anthropomorphique et anthropocentrique si bien résumée par la formule: "S'affranchir du mesurable est quitter la réalité". La physique qui ramène toute la réalité à NOTRE réalité, à ce qui nous est accessible, à ce qui est comme nous, à ce qui est dans nos limites, etc. La physique qui fonctionne avec le postulat faux selon lequel nos mesures qui sont valables sur terre et au voisinage de la terre et à notre époque sont valables à l'autre bout de l'Univers, à toutes les échelles et à toutes les époques, etc. Mais ceci n'est vrai que si l'on fonctionne dans le paradigme de l'Univers FRACTAL, ce qui n'est pas le cas actuellement (pour plus de détails sur cet aspect du problème, voir La Cosmologie FRACTALE, la Cosmologie de l'Univers TOTAL: le nouveau paradigme de la mesure et l'étude de l'Univers).
Et surtout, c'est ici la limite de la physique MATÉRIALISTE qui ne descend pas en dessous de l'ATOME, de la PARTICULE, du QUARK pour parler de composants ou d'états de la matière plus fins que les particules les plus fines actuellement connues, etc. Seules les théories louables comme l'actuelle la Théorie des cordes osent s'affranchir des limites matérialistes classiques, quitter le domaine du directement mesurable, briser timidement les dogmes de la philosophie empiriste et expérimentale qui a régné de main de fer sur la physique jusqu'ici, pour proposer une physique GLOBALE (la Physique du TOUT) proche du concept de l'Univers TOTAL.
TOUT et absolument TOUT est fait d'une seule brique élémentaire, l'Unit, U!
A ce stade de finesse de la matière, on ne parle plus de "particule" de la matière (au sens classique de ces termes),
car celles-ci sont trop "grosses", même les électrons, même les photons!
Mais à ce stade, on parle tout simplement d'INFORMATION,
car alors la physique a dépassé le stade des objets classiques,
on a dépassé le domaine restreint de la physique quantique habituelle
pour entrer dans une autre physique quantique, une physique nouvelle, plus fine,
et qui est tout simplement la physique de l'information.
Autrement dit, à ce niveau, on ne mesure plus la matière ou l'énergie en kilogramme ou en joule,
mais on la mesure en quantité d'information!
Quand on adopte enfin et à fond cette approche GLOBALE des choses, quand on travaille donc maintenant dans le paradigme de l'Univers TOTAL, on découvre enfin un Univers Générescent, Fractal, qui Univers qui au niveau le plus fondamental est de l'INFORMATION PURE! On découvre enfin l'ULTIME unité de la physique, l'Unit U, qui n'est autre que l'Univers TOTAL lui-même. C'est cela une structure fractale, une structure générescente: l'ensemble .
Toute chose dans l'Univers est de l'INFORMATION, de la U-Information!
L'image que vous êtes en train de regarder représente un atome,
avec ses protons, neutrons et électrons.
Mais nous qui vivons aujourd'hui au troisième millénaire, à l'heure du numérique des nouvelles technologies,
nous savons quelque chose de très nouveau et d'extraordinaire,
que les générations d'il y a seulement un siècle (et même 50 ans!) ignoraient complètement.
Vous avez cette chose très étonnante devant les yeux, oui juste devant les yeux!
Oubliez un instant que cette image vous montre un atome et pensez maintenant à ce que l'image est elle-même:
l'objet PHYSIQUE que vous êtes en train de regarder est un objet... INFORMATIQUE, NUMERIQUE!
Tout ce site, son texte, ses images, ses vidéos, sont des objets NUMERIQUES!
Autrement dit, vous regardez des INFORMATIONS, des NOMBRES!
Et vous savez aussi que plus l'INFORMATION est grande en tant que NOMBRE,
plus l'objet en question est réaliste, c'est-à-dire se rapproche des objets de la Réalité.
C'est là où justement interviennent les très grands nombres, comme par exemple
Lhorizon 3!
Sans eux, pas de réalité physique, mais que des objets de la réalité virtuelle, comme l'image que vous voyez!
Si l'on a compris cela, alors on a tout compris!
Tout ce que vous voyez, entendez et touchez autour de vous sont des choses physiques, certes,
mais tout cela est avant tout et après tout de l'INFORMATION, de NOMBRES purs!
Vous êtes tout entier de l'INFORMATION qui interagissez avec ces INFORMATIONS,
ce qui se traduit toujours par des INFORMATIONS envoyées au cerveau,
ce qui a pour effet que vous vous dites que voyez ceci, entendez cela, ou touchez ceci ou cela!
Autrement dit, LA physique, LE physique, la matière,
est une affaire d'INFORMATION, de NOMBRES purs!
Tout et absolument tout dans l'Univers (et l'Univers lui-même)
est une INFORMATION, un NOMBRE!
Pour créer le moindre photon, il faut une quantité d'information pratiquement infinie,
c'est-à-dire des nombres titanesques
comme Lhorizon 3,
Lhorizon 4,
Lhorizon 7,
Lhorizon 1000!
On savait que la matière courante est faite de seulement trois particules parmi les particules, à savoir le proton, le neutron et l'électron. Mais aujourd'hui, avec le paradigme de l'Univers TOTAL et de l'Equivalence, la physique doit faire un autre nouveau pas en avant en comprenant qu'au niveau le plus fondamental, tout se réduit à de l'INFORMATION constituée d'une seule information élémentaire: U. Autrement dit, toutes les choses de l'Univers se réduisent à dire: U, UU, UUU, UUUU, etc.
L'Unit U est le composant de la matière le fin qu'on puisse considérer. A ce stade, on ne parle même pas encore de particule (au sens classique du terme), comme le photon par exemple, même pas d'énergie! Ces choses sont des informations immenses, trop grosses ou trop complexes. Mais nous sommes au stade le plus fondamental de la matière, au stade de l'INFORMATION, de l'Unit! Et il en faut beaucoup de ces unités d'information pour fabriquer la moindre particule, comme le photon par exemple. Et c'est justement là qu'interviennent les nombres gigantesques comme Lhorizon 3! Sans eux donc, pas de matière, pas de physique! Mais avec eux, tout se crée, tout et absolument tout!
Il s'agit de la générescence la plus élémentaire qui soit,
la Générescence en une dimension de l'Univers TOTAL,
la Générescence U_1D, notée pour simplifier: ...UUU...
C'est la générescence ou structure fractale de base de l'Univers TOTAL,
celle qui engendre toutes les autres générescences de l'Univers.
En effet, la répétition selon le même modèle de la générescence U_1D donne la Générescence U_2D:
...(...UUU...)(...UUU...)(...UUU...)... ou ...(U_1D)(U_1D)(U_1D)...
Quand le nombre d'unités d'information augmente et devient très, très grand,
l'information devient dense et devient des points de l'espace, puis des particules,
puis les atomes, puis les molécules (comme par exemple l'ADN), puis les cellules, puis les humains...
En d'autres termes, la générescence se complexifie pour donner toutes les choses.
Le modèle le plus fondamental, U, génère toutes choses, jusqu'au plus grand modèle,
l'Univers TOTAL, qui n'est autre que U!
L'Univers TOTAL génère donc tout, à commencer par lui-même, la plus petite de toutes les choses,
et à finir par lui-même, la plus grande de toutes les choses.
Puis la répétition de U_2D selon le même modèle donne U_3D:
...(U_2D)(U_2D)(U_2D)...
Et ainsi de suite jusqu'à U_ωD, qui signifie la générescence de dimension infinie.
Tout se génère à partir de l'Unit U:
- l'Espace: (l'ensemble de tous les Points),
- le Temps: (l'ensemble de tous les Instants),
- Tout autre ensemble pysique, toute autre grandeur physique,
Génération par un Point d'un Segment, d'un Carré, d'un Cube, etc.
La génération se fait cette fois-ci perpendiculairement.
Cette opération montre que le Point, le Segment, le Carré, le Cube, etc., sont un même objet, trois versions d'un même modèle.
Sans la prise de conscience de cette générescence, on ne se serait pas douté qu'un Cube, qu'un Carré, qu'un Segment, qu'un Point est une
structure fractale!
Le Tesseract ou Cube 4D (Image Wikipedia).
La générescence qu'un Cube 3D génère nous fait entrer dans une autre dimension!
Un Point en translation génère un Segment, le Segment en translation génère un Triangle;
le Triangle en rotation génère un Cône de révolution.
Un Segment en rotation génère un Disque, le Disque en translation génère un Cône de révolution.
La molécule d'ADN (image Wikipedia), un composant fondamental de la cellule.
Ce que donne la générescence U_1D quand le nombre d'unités d'information "U"
devient extraordinairement grand et devient infiniment complexe.
Cela produit inévitablement la VIE, elle est inscrite dans la logique même de la générescence,
elle est programmée pour apparaître, elle est générée, créée par l'Univers TOTAL,
l'Univers-DIEU
le Générateur de toutes choses, la Génératrice de toutes choses!
Toute les choses de l'Univers se réduisent à dire: U, UU, UUU, UUUU, etc. Quand le nombre est petit, c'est-à-dire de l'échelle des nombres que nous concevons facilement (million, milliard, billion, etc.), il est au stade mathématique ou informatique, et nous l'appelons nombre ou information. Mais quand il devient très grand, comme par exemple les nombres de la taille de Lhorizon 3, il passe du domaine mathématique ou informatique au domaine physique, autrement dit, le nombre ou l'information commence par devenir les plus petites des paticules connues, comme par exemple le photon, le neutrino, l'électron, etc. Plus grand (et donc plus complexe), il devient les particules plus grosses comme par exemple le proton ou le neutron, puis l'atome, la molécule, etc. Et plus grand encore, il change de catégorie et passe dans le domaine biologique, avec la cellule, les microorganismes, les organes, puis les gros organismes comme les humains, etc. Et cette logique se poursuit indéfiniment, jusqu'au dernier nombre: l'ordinal Oméga! C'est tout simplement l'Information et l'Organisme qu'est l'Univers TOTAL, à savoir... l'Univers-DIEU
Il faut voir ce diagramme des sciences du nouveau paradigme
comme étant aussi, en le parcourant dans le sens des aiguilles d'une montre,
un diagramme des différentes stades de la notion de nombre,
en fonction de la grandeur des nombres et de leur complexité:
le stade mathématique, puis informatique, puis physique, puis biologique, etc.
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