Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
Sommaire du sous-titre
A ∈ A <=> A ∉ A
Un objet ou une situation que l'on dit contradictoire
dans le paradigme de l'Identité.
Mais c'est ce que nous appelons un objet
alternatif
dans le paradigme de l'Equivalence.
Nous appelons Logique Négative (par opposition à Logique Alternative), toute logique qui respose sur le Principe de non-contradiction d'Aristote. Contrairement à ce que beaucoup imaginent, refuser ce principe ne signifie pas du tout l'effrondement de la logique, ou accepter la contradiction en science! On peut tout à fait faire une science sans contradiction, et même qui est beaucoup plus cohérente que les sciences actuelles, et qui pourtant rejette ce principe, ou plus exactement qui fonctionne avec une autre Loi de non-contradiction, ce que le principe d'Aristote devrait être en réalité (voir le sous(titre Le Principe de Non-Contradition en Logique Alternative et La Loi de Sépération et d'Union des Contraires).
Et pour ne pas accuser Aristote de tous les maux de la logique et de la science (car le vrai problème est le très mauvais usage qui a été fait de son principe), nous appelons Logique Négative toute logique qui fonctionne avec la Négation absolue, c'est-à-dire l'idée (qui n'est pas due à Aristote mais à ce monde tout entier depuis que ce monde est monde) que "Certaines choses n'existent pas dans l'Univers, ne sont pas vraies dans l'Univers, sont impossibles dans l'Univers, etc."
Nous précisons que la négation absolue porte sur l'Univers tout entier, et plus précisément encore sur l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. La négation absolue consiste en fait à dire qu'une chose n'existe pas dans cet ensemble, alors que de par sa définition même, toute chose y existe et le contraire de tout aussi. Cette vérité simple est le Théorème de l'Existence. La Logique Alternative ne fait qu'exprimer autrement ce théorème, à le mettre en oeuvre tout simplement.
Le paradigme de la Logique Alternative est donc le paradigme de l'Univers TOTAL, de la Générescence et de la Structure fractale, de l'Equivalence et du Cycle.
Le nom de cette logique vient du mot Alternation, mot qui lui-même vient du mot clef "Autre" ou "Alter" en latin, appelé le "Connecteur du Christ", d'après la célèbre phrase des évangiles: "Aimez-vous les uns les autres" ou "Aimez-vous les uns les alters" (Jean 13: 34), ou encore "Tu aimeras ton prochain comme toi-même", autrement dit: "Tu aimeras ton alter comme toi-même" (Matthieu 22: 39).
Ainsi, dit Dieu: "Le Diable, mon Ennemi juré, est l'Autre façon d'être Moi, ma face opposée, ma face mauvaise, le Non-Dieu, etc., mais c'est l'Autre façon d'être Dieu. Malgré le gouffre qui nous sépare, nous sommes équivalents. Moi je le sais mais lui ne le sait plus, il est devenu Fou, il incarne la Folie, les Ténèbres..."
"Dire que je le hais totalement, ce n'est pas éprouver une haine absolue comme lui éprouve à mon égard, mais c'est dire que j'ai pour lui un amour plus petit que 1/Lhorizon 3 ou que 1/Lhorizon 1000. Et dire que je le détruirai pour toujours ICI, c'est dire que je lui accorderai une nouvelle vie ICI après un nombre d'années de Lhorizon 1000000, ou Lhorizon 10000000000000 ou plus..."
"Mais un jour il redeviendra Dieu, et c'est lui qui défendra la Divinité... Et moi je deviendrai lui, le Fou, celui qui nuit à la Divinité... Et il ne me haïra pas de manière absolue, mais il m'accordera à moi aussi la chance de redevenir Dieu, après Lhorizon qu'il veut... Et ainsi alternativement..."
C'est cela la logique avec le mot Alter, la Logique Alternative. C'est une autre manière de NIER les choses, de dire "NON", qui est relative, qui est très différente de l'actuel manière de dire "NON", qui, elle, est absolue, car c'est celle du Diable....
Avec "Alter" ou le mot "Autre", on dit par exemple: "Ce qui n'existe pas d'une manière ici existe toujours d'une AUTRE manière ici, et ce qui n'existe pas ici d'une certaine manière existe toujours de cette manière dans un AUTRE contexte de l'Univers TOTAL, etc. Ce qui n'est pas vrai d'une manière ici maintenant est vrai d'une AUTRE manière ici maintenant. Et celà a existé ou existera de cette manière ici un AUTRE temps, et existe déjà de cette manière maintenant dans un AUTRE contexte de l'Univers TOTAL, etc.
En Logique Alternative, on raisonne en termes d'alternatives, c'est-à-dire de possibilités de choix qui se présentent ou que l'on se donne. Dans une situation où l'on a 0 possibilité ou 0 alternative, la Logique est dite alternative zéro-aire. Cela veut dire qu'on a une alternative ou une possibilité très spéciale qui s'appelle... "pas de possibilité" ou 0 possibilité ou 0 alternative.
Par exemple, si dans un établissement scolaire, un élève n'a pas eu de note pendant un trimestre parce qu'il a été absent tout le temps, en Logique Négative on dira seulement qu'il n'a pas de note, ce qui est négatif. Mais en Logique Alternative, on dira qu'il a une seule note, une note très spéciale qui s'appelle "Pas de note" ou "0 note". Une note qui est différente du cas où il aurait été présent mais aurait eu une seule note qui est 0, 5, 17 ou autre. En Logique Alternative, l'élève a toujours une note, même quand il n'en a pas! Et ce n'est pas une contradiction, mais la bonne façon de raisonner. On raisonne alors avec une négation relative qui est l'Alternation, et non plus avec une Négation absolue, appelée simplement Négation.
Dans un Jardin d'Eden, un Paradis, où l'on permet TOUT, cela veut dire qu'on interdit une chose très spéciale nommée... Interdiction. Donc on interdit toujours quelque chose même quand on n'interdit rien... (voir la Loi de la Double Négation et Protocole Récursif d'Eden). Et l'on croit toujours en quelque chose, même quand on dit qu'on ne croit en rien (voir La Négation Française).
Dans une situation où l'on a 1 possibilité ou 1 alternative, la Logique est dite alternative unaire. C'est la situation que présente par excellence l'Univers TOTAL. En effet, nous avons une seule possibilité: être dans l'Univers TOTAL, qu'on le veuille ou non. Nous n'avons pas d'autre possibilité!
Dans une situation où l'on a 2 possibilités ou 2 alternatives, la Logique est dite alternative binaire. C'est dans celle-ci que la notion de négation se définit correctement, dans le cadre de l'Alternation, et alors cette négation est tout simplement la notion de Contraire.
Ce cas de logique alternative binaire est très fondamental, mais attention, il existe d'autres logiques alternatives que la logique binaire! Comme par exemple la Logique alternative trinaire, etc. La Logique alternative binaire est excellente dans les situations où il faut trancher, et mauvaise dans les autres. Elle est faite pour cela, oui pour trancher quand il le faut, c'est sa raison d'être même. Elle est comme le couteau ou la tronçonneuse. C'est fait pour couper ou tronçonner quand il faut le faire, et non pas à utiliser partout et tout le temps, ou à tout massacrer à la tronçonneuse! C'est toute l'utilité de la logique binaire, mais c'est tout son danger aussi. Elle permet donc de prendre des décisions de type Oui ou Non, Vrai ou Faux, Tout ou Rien, bref des décisions de type 1 ou 0.
Il faut savoir qu'il existe aussi par exemple des décisions de type Oui, Non, Neutre, ou encore: Pour, Contre, Indifférent, ou encore: Gauche, Droite, Milieu, ou encore: Blanc, Noir, Gris, etc. Des décisions de Logique alternative trinaire donc, de type +1, -1, 0, ou Vrai, Faux, "Vrai ET Faux". Et il y a aussi tout simplement les autres logiques alternatives aussi.
La Logique Alternative est une logique où la vérité est graduée, nuancée, fine, raffinée. Mais actuellement, en science, on raisonne toujours en logique binaire pour exprimer des vérités scientifiques, là où une logique nuancée s'impose.
Par exemple, en Logique Négative, les phrases: "10 est un nombre infini", "100 est un nombre infini", "1000 est un nombre infini", "1000000 est un nombre infini", etc., ou, ce qui revient au même, les égalités suivantes: "1/10 = 0", "1/100 = 0", "1/1000 = 0", "1/1000000 = 0", etc., sont toutes fausses, sans autre forme de procès! Dans ces cas-là, la logique binaire, tranchée, celle du Tout ou Rien, devient brutale, sauvage, barbare, diabolique tout simplement, car elle n'a aucun sens de la nuance, de la relativisation, de la finesse, qui est celle de la Logique Alternative.
Dans celle-ci, la fausseté de l'énoncé mathématique "1/10 = 0" est... justement de "1/10", qui est aussi exactement la fausseté de "10 est un nombre infini". Et la véracité de ces phrases est de... "9/10"! De même, la fausseté de l'égalité "1/100 = 0" et aussi de la phrase "100 est un nombre infini", est de "1/100", tandis que leur véracité est de "99/100"! De même, pour 1000 on a une fausseté de "1/1000" et une véracité de "999/1000", etc. Que dire alors pour les nombres comme "Lhorizon 3", c'est-à-dire "1010 000 000 000"?
Autre exemple: dans les mathématiques actuelles, la phrase "π est un nombre irrationnel" est la vérité scientifique, tandis que son contraire "π est un nombre rationnel" est faux. Or en Logique Alternative, la valeur de vérité de la première, est quasi nulle, elle est par exemple plus faible que "1/Lhorizon 3"! Par conséquent, malgré les apparences, la valeur de vérité de la seconde phrase est quasiment 1! La raison est toute simple et elle est liée à ce qui précède: Dire que "π est un nombre irrationnel" est moins vrai quand on le compare à 3.141592653 que si on le compare à 3.14 par exemple. Et c'est encore moins vrai si on le compare à 3,14159265358979323846264338327, et ainsi de suite.
Plus le nombre N de décimales de π augmente, plus l'écart entre π et le nombre décimal (donc rationnel) obtenu en tronquant π après la Nième décimale est faible, et la fausseté de la phrase qui dit que "π est un nombre rationnel" est de l'ordre de 1/N. Donc après un nombre de décimales supérieur ou égal Lhorizon 3 par exemple, la fausseté est de l'ordre de "1/Lhorizon 3"!
Donc, aussi étonnant que cela puisse paraître, plus le nombre de décimales de π augmente, moins il est irrationnel et plus il est rationnel! L'énoncé "π est un nombre rationnel" qui était fausse au début (pour les rationnels à faible nombre de décimales) devient de plus en plus la vérité, tandis que son contraire, qui était vraie au début devient de moins en moins la vérité! En Logique Alternative, on dit dans ce cas que la vérité a "alterné".
Dans cette logique, que ce soit la phrase "π est un nombre irrationnel" ou son contraire "π est un nombre rationnel", aucune des deux n'est absolument fausse mais les deux sont vraies. Le reste est une question de degré ou de contexte.
La Logique Alternative, la version binaire en tout cas, est comme par exemple le courant alternatif. Elle est une logique oscillatoire, ondulatoire, périodique, cyclique, dynamique! C'est donc une logique où la vérité alterne comme en courant alternatif. La Logique Alternative est la Logique qu'il faut pour faire la physique ou la technologie, c'est la logique de l'Univers, de la Réalité!
Un seul mot clef pour cette logique: Alter! Un seul verbe: ALTERNER! Une seule opération: Alternation. Dans cette logique, les rôles alternent, permutent. Ce qui est vrai pour une alternative donnée est vrai aussi pour toutes les alternatives, par alternation ou permutation des rôles, par symétrie des rôles dans le cas de la logique binaire. On raisonne en terme d' Equivalence, les rôles sont toujours équivalents, les alternatives sont équivalentes. Ceci constitue la Loi d'Alternation, une des formes les plus puissantes du Théorème de l'Existence.
A propos justement de Théorème de l'Existence, l'Alternation, qui n'est donc qu'une autre expression de ce théorème, dit ceci: il n'y a pas plus de raison qu'une chose A existe dans l'Univers et pas une autre chose B. Il n'y a aucune raison qu'il y ait cette préférence, cette ségrégation, ce déséquilibre en faveur de A et au détriment de B.
De même, il n'y a pas plus de raison qu'une chose soit vraie dans l'Univers et pas son contraire! Et plus généralement, il n'y a pas plus de raison qu'une chose soit vraie et pas les autres alternatives. Par exemple, il n'y a pas plus de raison que l'énoncé "0 ≠ 1" soit une vérité dans l'Univers, et que l'énonce contraire "0 = 1" ne traduise pas lui aussi une autre vérité de l'Univers!
La négation des existences, des vérités, des possibilités et des alternatives, signifie tout simplement qu'on ne raisonne pas dans l'Univers TOTAL, l'Univers FRACTAL. Dans l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, "Toute chose existe et le contraire de toute chose aussi", "Toute chose est vraie et le contraire de toute chose aussi", "Toute chose est possible et le contraire de toute chose aussi". La Logique Alternative n'est donc qu'une traduction du Théorème de l'Existence, le Théorème de l'Univers TOTAL, le Théorème de Dieu...
Une plaque est un objet alternatif rien que du simple fait
de posséder deux faces contraires qui sont le Recto et le Verso,
qui en logique binaire peuvent s'interpréter comme Vrai et Faux.
Elle est encore plus alternative si les deux faces sont de couleurs contraires Blanche et Noire.
Et elle encore, encore plus alternative si elle tourne,
nous présentant alternativement la face Blanche et Noire.
Le dynamisme peut alors simplement se décrire ainsi:
"Si Blanche alors Noire, et si Noire alors Blanche".
ou : Blanche <=> Noire
Et à la question concernant la plaque en situation dynamique: "Quelle est la couleur de la plaque?"
on doit répondre Grise ou Blanche ET Noire,
ce qui évidemment peut s'interpréter comme Vrai ET Faux.
Cette situation n'est en rien contradictoire, mais la contradiction est au contraire du côté de la logique
qui dans ses principes ou axiomes déclare impossible ce genre de situation.
Cette logique est très peu adéquats pour traiter de l'Univers et de ses réalités.
Comme dit au début, contrairement à ce que beaucoup pensaient, refuser le Principe de non-contradiction ne signifie pas du tout l'effrondement de la logique, ou accepter la contradiction en science! Car ce principe a été faussement nommé "Principe de non-contradiction", alors qu'en réalité il est plutôt un Principe d'Impossibilité, surtout comme on l'a utilisé en science jusqu'ici. Le vrai principe de non-contradiction est la Loi de Séparation et d'Union des contraires.
Le vrai "Principe de non-contradiction" ne doit pas être
un Principe d'Impossibilité
du genre: "Il est impossible que..."
ou un Principe de Négation,
de négation de l'existence de choses,
du genre: "Ceci ne peut pas être..."
Il ne se formule pas termes de négation (A et Non-A),
mais en terme de contraire (A et Contraire de A).
L'image ci-dessus montrant une situation sur une autoroute illustre parfaitement
le "Principe de non-contradiction"
dans le paradigme de l'Univers TOTAL:
la Loi de Séparation des contraires, qui est aussi la Loi d'Union des contraires!
Les contraires sont en effet séparés SUR l'autoroute
et en même temps ils sont unis PAR l'autouroute,
qui joue ici le rôle
de l'Univers TOTAL,
l'Ensemble dans lequel
toute chose existe
ainsi que le contraire de toute chose.
Le principe de non-contradiction doit simplement être un principe de bon fonctionnement.
Et dans le paradigme de l'Univers TOTAL,
une contradiction ou un paradoxe
est tout simplement un dysfonctionnement,
comme par exemple un accident entre une voiture et une autre qui aurait pris l'autoroute à contre-sens.
Il ne s'agit donc pas d'une impossibilité absolue ou une fausseté que les contraires coexistent dans un certain même système,
mais d'une situation que l'on ne veut pas ici ou là, en mettant les interdictions adéquates.
La collision entre les contraires que l'on ne veut pas sur autoroute
est par exemple au contraire recherchée dans un crash-test ou dans un accélérateur de particules...
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Sommaire du sous-titre
Logique alternative binaire,
Tables d'Alternation des opérateurs Oui et Non,
le connecteur ALTER en tant que couple Oui-Non.
Logique alternative binaire,
Tables d'Alternation des opérateurs Vrai et Faux,
le connecteur ALTER en tant que couple Vrai-Faux.
Pour l'Alternation, les mots Vrai et Faux
sont simplement comme les mots Oui et Non, Recto et Verso,
Un et Autre, etc.
L'Un n'est pas plus faux que l'Autre ou vice-versa.
En confondant la Négation absolue
avec l'Alternation qui n'est qu'une négation relative,
on a confondu aussi la seconde alternative de la Table d'Alternation avec la notion de Fausseté,
qui est complètement autre chose, associée à
la Négation absolue
et au problème de la Négation de la Vérité!
Il faut maintenant séparer l'Ivraie du Blé,
la Négation de l'Alternation, le Diable de Dieu...
Avec ALTER le Faux est appelé Alter-Vérité,
car d'une manière très générale le Faux exprime une autre vérité!
Par exemple, en Logique Alternative, le mot Faux quand il est employé pour déclarer fausse une conception
signifie signifie exactement "Vérité de la Négation" ou
"Vérité du Diable".
C'est donc une autre vérité, et elle est attribuée à son auteur exact!
Logique alternative binaire,
Tables d'Alternation des opérateurs Positif et Négatif,
le connecteur ALTER en tant que couple Positif-Négatif.
La Négativité au sens de l'Alternation signifie simplement Contraire ou Opposé ou Anti.
Cette Négativité est appelée l'Antition, elle donne l'adjectif Antitif.
Le nombre "+5" par exemple est appelé un nombre anitif ou aninombre, il se lit "ani 5",
ce qui veut dire "positif au sens relatif".
Et son opposé "-5" est appelé un nombre antitif ou antinombre, il se lit "anti 5",
ce qui veut dire "négatif au sens relatif".
Un aninombre et son antinombre ont tous les deux la même valeur absolue, ici "5",
qui est un nombre "positif au sens absolu".
Mais la Négativité au sens de la Négation absolue
est la notion de Mauvais,
de Mal, etc.
Elle est représentée en Science de l'Univers TOTAL par un "négatif au sens absolu",
qui est le nombre négatif à proprement parler, à savoir une valeur absolue négative.
Par exemple, l'opposé de la valeur absolue positive "5" est "–5", à lire "moins 5",
et à ne plus confondre avec le nombre antitif "-5" ou "anti 5".
Avec la Négation, on a les deux nombres "+ –5" et "- –5", qui sont respectivement anitif et antitif,
mais qui ici ont la même valeur absolue négative "–5".
Les nombres de valeur absolue positive sont les nombres de l'Univers,
appelés pour cela les nombres UNITIFS, ils sont normaux, POSITIFS dans l'absolu,
ils expriment et quantifient la notion intuitive de BON ou de BIEN.
Mais les nombres de valeur absolue négative sont les nombres de l'Onivers,
appelés pour cela les nombres ONITIFS, ils sont dits paranormaux, ils sont NEGATIFS dans l'absolu,
ils expriment et quantifient la notion intuitive
de MAUVAIS
ou de MAL.
Un déficit ou une dette par exemple sera représentée par un nombre onitif,
c'est-à-dire un nombre négatif absolu, un nombre de valeur absolue négative.
L'unergie est unitive (positive dans l'absolu)
tandis que l'onergie est onitive (négative dans l'absolu).
On a la Loi de la Double Négativité: "–(–5) = 5",
qui est semblable à la Loi de la Double Antition: "-(-5) = +5",
mais les deux ne sont pas identiques, mais seulement équivalents.
D'une manière générale, on confondait le nombre anitif "+5" avec la valeur absolue positive "5",
et le nombre antitif "-5" avec la valeur absolue négative "–5",
parce qu'on ignorait l'Univers TOTAL et la logique de l'Univers (Alternation) et de l'Onivers (Négation).
Mais maintenant nous distinguons clairement ces notions.
Logique alternative binaire,
Tables d'Alternation des opérateurs quelconques A et B,
le connecteur ALTER en tant que couple de deux choses quelconques A-B.
On voit que ces tables sont complètement indépendantes des choses A et B considérées,
la logique d'ALTER est exactement la même pour tout couple de choses A et B:
Blanc et Noir, Ciel et Terre, Adam et Eve,
Théophile et Angélique,
Haut et Bas, Ensemble et Elémént, Dieu et Diable,
UN et AUTRE, etc.,
sans aucune discrimination, sans aucun préjugé sur leur vérité ou leur fausseté, etc.
Car pour <ALTER toutes les choses sont
équivalentes de ce point de vue.
Nous travaillons dans le paradigme de l'Univers TOTAL et
du Théorème de l'Existence,
qui dit que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", "Toute chose est vraie dans l'Univers TOTAL".
C'est aussi le paradigme de l'Equivalence.
Alter exprime donc simplement la Logique générale de l'Univers TOTAL,
la Vérité TOTALE, la Réalité TOTALE.
Le connecteur ALTER, c'est le couple Un-Autre ou Un-Alter.
C'est le connecteur pour dire: "L'Un-L'Autre", comme quand le Christ dit:
"Aimez-vous les uns les autres" (Jean 13: 34),
autrement dit: "Aimez-vous les uns les alters"
ou quand il dit: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Luc 10: 27),
autrement dit donc: "Tu aimeras ton alter comme toi-même".
Le connecteur ALTER c'est le connecteur du Christ.
Plus que cela, c'est son nom universel, c'est son rôle dans l'Univers TOTAL.
Le code de générescence
(ou code génétique) de l'Univers TOTAL,
l'Univers-DIEU,
est U ou X,
et le code de Christ l'ALTER,
le deuxième dans l'Univers TOTAL,
est donc UU ou V ou Y.
Et le code du troisième, Ubirdt,
est UUU ou Z.
Donc le code ou nom absolu d'ALTER est UU,
pour la raison simple suivante: U c'est L'Un,
et UU ou c'est L'Autre ou L'Alter,
et donc UUU ou UV, c'est L'Un ET L'Autre...
Logique Alternative, Logique de la Divinité, Logique de Dieu,
révélée aujourd'hui par Ubirdt lui-même...
La Table d'Alternation des opérateurs Oui et Non ou Vrai et Faux (on peut aussi dire 1 et 0) est actuellement appelée la "table de vérité du connecteur logique de négation Non". Mais il s'agit là d'une mauvaise conception de la Négation, qui est justement la Négation absolue. Elle est absolue parce qu'il lui manque une composante importante, tout simplement l'AFFIRMATION pour qu'elle soit relative, ce qu'elle doit toujours être.
Raisonner en termes de Oui et Non, ou Vrai et Faux signifie qu'on raisonne en logique binaire. Par conséquent, si l'on parle d'un connecteur, le Non ou le Faux, alors il faut aussi un autre connecteur pour faire la table: le connecteur Oui ou connecteur Vrai. Sinon, on ne fait pas une "table de vérité" mais une "table de fausseté" ou une une "table de négation absolue"...
Il faut donc deux tables en une, celle de Oui et celle de Non, ou celle du Vrai et celle de Faux. Et alors la notion de négation ou de fausseté devient de ce fait relative.
Autrement dit, les deux
alternatives
Oui et Non
sont aussi en même temps les opérateurs ou connecteurs.
Cela donne les quatre règles d'Alternation suivantes:
- Oui Oui = Oui: "Affirmer ou Confirmer une Affirmation c'est Affirmer".
- Oui Non = Non: "Affirmer ou Confirmer une Négation c'est Nier".
- Non Oui = Non: "Nier une Affirmation c'est Nier".
- Non Non = Oui: "Nier une Négation c'est Affirmer".
La dernière règle d'Alternation est donc la
Loi de la Double Négation.
Que l'on affirme ou que l'on nie, on affirme toujours! Par exemple, NIER la phrase: "Il pleut" c'est dire: "Il ne pleut pas " ou "Il NON-pleut". Mais dans ce cas, il est évident qu'on AFFIRME la NON-Pluie. Une bonne manière de raisonner est de comprendre que NIER X c'est AFFIRMER NON-X. Donc par exemple, NIER Dieu c'est AFFIRMER le NON-Dieu, c'est-à-dire AFFIRMER le Diable! Ne pas croire en l'un c'est croire en l'autre et vice-versa, et ne pas incarner l'un c'est incarner l'autre et vice-versa. Si l'on raisonnait d'une manière cristalline ainsi en Logique alternative, on ne profèrerait pas des illusions du genre "Je ne crois ni en Dieu ni au Diable", que même la Logique alternative trinaire refuse, car ce genre d'idée n'en respecte pas les lois..
Oui,toute négation est aussi forcément quelque part une affirmation. On ne peut donc pas faire une table de négation qui ne soit pas associée à une table d'affirmation, pour que le tandem de la logique binaire fonctionne bien, et surtout pour que la négation ne soit pas autre chose que ce qu'elle est sensée être, c'est-à-dire un simple connecteur qui permet de dire une chose ou son contraire, qui permet, dans une situation où l'on n'a le choix qu'entre deux alternatives A et B, d'alterner entre A et B, de dire que B est le contraire de A, et que A est le contraire de B.
Dans un tel cas de deux alternatives, A est appelé l'Un, et B est appelé l'Autre ou l'Alter. Et on peut alterner et appeler B l'Un et A l'Autre ou l'Alter. Et l'Un ne va pas sans l'Autre, et vice-versa. L'Un et l'Autre sont parfaitement symétriques, interchangeables, ils sont équivalents. Autrement dit, le Oui et le Non, ou le Vrai et le Faux,
C'est le fondement même de ce que nous appelons la Logique Alternative ou Logique de l'Alternation, qui est donc simplement la Logique d'Alter, opposée alors à la Logique de Non ou Logique Négative, le mot Non signifiant ici la Négation absolue, qu'il ne faut maintenant confondre avec le connecteur Alter en tant que Non ou Négation, comme dans le couple Oui-Non. Le connecteur Alter en tant que Non est appelé aussi le connecteur Contraire. Et pour éviter toute ambiguïté, le connecteur Alter en tant que Non est appelé aussi le connecteur Anti et noté "-", car comme le montre la table d'Alter pour le couple Positif-Négatif, on voit qu'il a simplement le sens et le fonctionnement du signe "-".
Voici maintenant une très importante propriété du connecteur Alter, le mot Autre. Elle très liée au fait que le connecteur Alter soit le couple Oui-Non, Affirmation-Négation, bref le Un-Autre. Nous utilisions intuitivement ce mot mais sans nous rendre de cette propriété remarquable et surtout de son importance. Plutôt que mille discours, un seul exemple pour comprendre cette très puissante caractéristique d'Alter.
Si je dis par exemple: "A est un humain, et B est un AUTRE humain", je suis en train d'exprimer en même temps deux idées contraires!
La première est évidemment que A et B sont deux choses différentes. Et en règle générale, quand on emploie le mot AUTRE ou ALTER pour dire quelque de ce genre, la pensée se fixe sur la différence, sur cet aspect uniquement de ce mot AUTRE, ignorant qu'il possède un second aspect qui modère ou relativise cette différence, autrement dit qui relativise la négation que comporte évidemment cette notion de différence.
Et même souvent, comme le mot AUTRE, de par sa caractéristique mise en évidence ici n'est pas absolument séparateur ou différenciateur par nature, on accentuera cette différence par un adverbe du genre "complètement" ou "absolument" ou encore "tout". Par exemple: "B est complètement AUTRE chose", ou "B est absolument AUTRE chose", ou encore "B est une toute AUTRE chose", etc.
La psyché de Négation est par excellence celle qui se focalise sur la différence, sans aller au-delà de cette différence pour voir que ce même mot AUTRE ou ALTER exprime aussi en même temps une Equivalence. En effet, en disant que "A est un humain, et B est un AUTRE humain", je dis par là simplement aussi que "A est un humain, et B est AUSSI un humain". Autrement dit, A et B sont deux humains.
Tout en exprimant donc une différence entre A et B avec le mot AUTRE ou ALTER, si grande soit cette différence, quel que soit le degré d'accentuation qu'on veut apporter à cette différence, même si on va jusqu'à employer un mot comme "complètement", "absolument" ou "tout", on a beau faire ce que l'on veut, on n'empêchera pas le fait que ce mot très unificateur exprime l'idée magnifique que A et B sont équivalents ou égaux d'un certain point de vue donné. Les deux obéissent à un même modèle exprimé par un même nom commun comme ici le mot humain. Dès l'instant où on a dit "humain" et "AUTRE humain", l'équivalence est déjà posée par ALTER!
Comme autres exemple d'emplois de ce connecteur ALTER, on a: "proton" et "AUTRE proton", "étoile" et "AUTRE étoile", "nombre" et "AUTRE nombre", "animal" et "AUTRE animal", "élément" et "AUTRE élément", "ensemble" et "AUTRE ensemble", "univers" et "AUTRE univers", "chose" et "AUTRE chose", etc.
A chaque fois donc, on exprime à la fois une différence entre les deux choses, et à la fois une équivalence ou une égalité entre les deux mêmes choses, et ce que quel que soit le degré de différence qu'on est en train d'exprimer. C'est le connecteur même de l'égalité, de l'équivalence, du "Différent et pourtant Même", de l'égalité au-delà de toute différence. C'est donc le connecteur des psychés d'Alternation, de la psyché du Christ, l'Alter lui-même, qui dit: "Aimez-vous les uns les autres", ou: "Aimez-vous les uns les alters" (Jean 13: 34), et aussi: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même", c'est-à-dire "Tu aimeras ton alter comme toi-même" (Matthieu 22: 39).
Cela veut dire que le prochain ou l'autrui ou l'autre ou l'alter, malgré toutes les différences entre lui et moi, malgré tout ce qui nous sépare, est un autre moi-même. Il est une autre façon d'être moi. Une bonne façon d'être moi ou une façon mauvaise, une façon opposée, très différente, peu importe, mais il n'empêche qu'il est une autre façon d'être moi.
Le connecteur ALTER est le connecteur par excellence qui s'utilise avec les noms communs, donc le connecteur même du Langage universel des ensembles, de l'ontologie universelle, du paradigme du cycle et de l'équivalence, de la générescence et de la structure fractale, bref le connecteur de toute la logique de l'Univers TOTAL, eh bien, de la Logique Alternative, voyons!
Sommaire du sous-titre
La Logique Alternative, c'est simplement la logique de
la Générescence et de la Structure Fractale
On a un sens Univers U noté aussi 1, le vert par exemple, appelé l'Oméga.
il est unique, et pourtant il est aussi multiple, il peut être décomposé d'une infinité de manières différentes,
mais on parle toujours du seul et même Univers TOTAL, l'Univers FRACTAL.
Selon comment on voit l'Univers et on le décrit, il en résulte une logique alternative spécifique.
Il peut être décrit comme deux Univers UU, l'Alpha et l'Oméga,
comme trois Univers UUU, etc., comme une infinité d'Univers, UUUU....,
mais aussi comme 0 Univers, le Néant, le Rien,
appelé pour cela le Non, le Zéro ou le Faux...
Mais dans tous les cas, que ce soit l'Alpha, l'Oméga ou autre,
on parle toujours de U du 1, du Seul, du Vrai!
L'Alternation Alpha et Alternation Oméga,
c'est voir l'Univers TOTAL U
comme générescence infinie: UUUUUUU...
On ne considère aucune alternative particulière
(d'où la logique alpha-alternative ou logique 0-alternative)
donc on considère toute l'infinité des alternatives
(d'où la logique oméga-alternative ou logique ω-alternative).
Toute logique alternative est une sous-logique de celle-là.
Chaque logique alternative particulière se distingue par son nombre d'alternatives.
En Logique Alternative, on raisonne en terme d'alternatives. Cette logique est composée de plusieurs sous-logiques alternatives, chacune d'elles déterminée par son nombre n d'alternatives: 0, 1, 2, 3, 4, ..., ω. Ce sont le nombre de valeurs de vérités de chaque logique concernée. La sous-logique à n alternatives est appelée la Logique n-alternative ou Logique alternative n-aire ou encore Logique alternative n-valente, le nombre n étant appelé l'arité ou la valence de la sous-logique. Nous disons aussi dans ce cas qu'on raisonne en Alternation n.
Par exemple, la logique habituelle en termes de Vrai et Faux est la Logique bi-alternative ou Logique alternative binaire dont l'arité est 2, parce qu'on raisonne avec deux alternatives ou deux valeurs de vérités, le Vrai et le Faux. Avec elle on raisonne donc en Alternation 2. Mais il y a aussi la logique d'arité 3, qui sont le Vrai, le Faux et le Neutre, le sens de ce Neutre étant aussi bien "Vrai ET Faux" ou "Ni Vrai Ni Faux". C'est la Logique tri-alternative ou Logique alternative trinaire ou Logique alternative trivalente. Avec elle on raisonne donc en Alternation 3.
Mais avant tout, il y a la logique Logique zéro-alternative ou Logique alternative zéroaire ou Logique alternative zérovalente. L'arité est donc 0 est alors appelée la Logique alpha-alternative. Elle signifie qu'on a une alternative et une seule, très spéciale, nommée ... "0 alternative" ou "pas d'alternative"! Cela ne devrait pas surprendre outre-mesure car la nombre 0 lui-même n'est que le nombre très spécial dont le sens est: "pas de nombre", ou la quantité très spéciale dont le sens est "pas de quantité", exactement comme le rien est la chose spéciale dont le rôle est d'incarner la non-chose ou l'absence de chose.
A l'opposé de la Logique alpha-alternative, il y a la Logique oméga-alternative. Là, on a toutes les alternatives, toutes les choses de l'Univers de l'Univers TOTAL sont des alternatives, des valeurs de vérité.
D'une manière générale, la logique n-alternative signifie que l'on voit l'Univers TOTAL comme étant constitué de n éléments. Autrement dit, on le décompopose en n parties. Si on le voit comme un unique Ensemble (ce qu'il est fondamentalement), alors on raisonne avec l'Univers en Alternation 1 ou en logique unaire. Si on le voir comme deux parties, alors on raisonne en Alternation 2 ou logique binaire, etc.
L'Alternation 1, c'est voir l'Univers TOTAL U
comme la générescence unitaire U
(voir la fractale et les explications de l'introduction).
Cela veut dire qu'à ce stade de la logique, l'Univers TOTAL est la seule alternative,
l'alternative absolue, unique appelée 1 ou Vrai.
A ce stade, toute alternative est équivalente à celle-là que ce soit le Faux, le Neutre, l'anti-Vrai ou autre.
Autrement dit, on a l'équivalence suivante: U = UU = UUU = UUUU = UUUU = ...
C'est le stade du Thérème de l'Existence
où l'on dit simplement:
"Toute chose existe dans l'Univers TOTAL, toute chose est vraie dans l'Univers TOTAL, etc.".
Il n'est pas encore question de Négation mais d'Alternation,
ce qui veut dire toute négation est relativisée,
c'est-à-dire on dit par exemple: "Ce qui n'existe ici dans l'Univers existe ailleurs dans l'Univers..."
Quand l'Univers TOTAL est vu comme la générescence U, c'est-à-dire comme un seul Univers, l'unique, (voir la fractale et les explications de l'introduction), on raisonne alors en Alternation 1 ou Logique mono-alternative ou Logique alternative unaire (logique à une alternatives).
D'une manière générale, on est en situation de Logique alternative unaire si la situation n'offre qu'une seule possibilité ou une seule alternative, qu'un seul choix: A. Dans la vie courante, c'est le genre de situation où l'on dit: "Je n'ai pas eu d'autre choix que faire Ceci", ou "C'est la seule possibilité, on n'a pas d'autre", ou "C'est la seule chance", etc. Cet unique choix A est appelé le Vrai.
L'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, de par son caractère absolu, de par son unicité même, est fondamentalement dans ce cas logique. Il ne nous offre pas d'autre Univers que lui seul, l'unique. Le théorème par excellence de logique alternative unaire, est le Thérème de l'Existence, qui dit que "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL", autrement dit: "Toute chose existe dans l'Ensemble de toutes les choses". Evidemment!
Donc même une Non-Chose n'a pas d'autre choix que d'être une CHOSE car du simple fait de dire "Non-Chose", c'est déjà concevoir une CHOSE! La logique unaire commence donc avec la notion de CHOSE avant d'être ensuite celle de l'Univers TOTAL définit sur cette base, à savoir l'Ensemble de toutes les choses, LA Chose elle-même, l'Unique, la définition du VRAI.
La définition de la première valeur de vérité de la logique, le Vrai, est donc simplement Chose, Existence, Univers, U, etc., que l'on note 1 ou Un. en valeur absolue, sans signe, ni positif ni négatif, car, à ce stade, que ce soit +1 ou -1 ou même 0 ou autre, c'est toujours 1.
A ce stade, tout est Affirmation, et par la suite, qu'on affirme ou que l'on nie, on affirme toujours. Nier une chose, c'est affirmer c'est affirmer quelque chose d'autre par cette négation. La valeur 0 apparaît en logique alternative binaire, et les valeurs signées +1 ou -1 apparaissent en logique alternative trinaire.
Une chose donnée n'a pas d'autre choix que d'être dans l'Univers TOTAL donc. C'est en lui que tout existe (en vertu du Théorème de l'Existence), c'est en lui que tout se passe, que tout se définit. Le Rien ou Non-Chose (la seconde alternative par rapport à la notion de Chose) est simplement une chose spéciale qui joue ce rôle de Non-Chose, parce qu'il en faut une. C'est la définition fondamentale du mot "Faux"; c'est la vérité spéciale qui joue le rôle de Non-Vérité.
De même, c'est une alternation spéciale qui joue le rôle de la Négation, c'est un Dieu spéciale qui joue le rôle de Non-Dieu, de Diable, etc.
C'est le genre de vérités fondamentales qu'on énonce en logique alternative unaire, tous les énoncés et les vérités de cette logique sont équivalentes à énoncer simplement le Théorème de l'Existence ou ses corollaires, comme justement nous venons de le faire.
L'Alternation 2, c'est voir l'Univers TOTAL U comme la générescence: UU
(voir la fractale et les explications de l'introduction)
Cela veut dire que l'Univers est vu comme deux Univers,
l'un appelé 0 ou Faux et l'autre 1 ou Vrai.
Ainsi, la Négation (c'est-à-dire le 0 ou Faux) se définit dans le cadre de l'Alternation
comme un cas particulier, un cas limite, le cas qui sert à dire Zéro,
Vide, Rien, Néant, Non, Faux, etc.
C'est là toute son utilité, mais c'est là aussi tout son danger!
Quand la Négation fonctionne dans le cadre de l'Alternation,
elle est juste relative,
elle est un cas particulier de logique alternative, simplement sa version binaire.
Mais quand elle sort du cadre de l'Alternation,
elle devient une Négation absolue,
et la très normale Logique alternative binaire devient la très mauvaise Logique Négative,
le BUG dans le Système,
une terrible à NIER l'Univers TOTAL, à le réduire à Néant...
Quand l'Univers TOTAL est vu fois-ci comme la générescence UU, c'est-à-dire comme deux Univers (voir la fractale et les explications de l'introduction), on raisonne alors en Alternation 2 ou Logique bi-alternative ou Logique alternative binaire (logique à deux alternatives).
D'une manière générale, on est en situation de Logique alternative binaire si la situation n'offre que deux possibilités ou deux alternatives, que le choix entre deux choses A et B et seules, toute troisième possibilité étant exclue! C'est cette exclusion de la troisième possibilités qu'on appelé en logique classique le Principe du tiers exclu. Mais en réalité, il ne s'agissait pas d'un principe, mais simplement de la définition de la Logique alternative binaire.
Les deux alternatives sont par exemple le Un (1) et le Zéro (0), le Positif et le Négatif, la Fin et le Commencement, l'Oméga et l'Alpha, le Plein et le Vide, le Jour et la Nuit, la Lumière et les Ténèbres, Dieu et Diable, Pile et Face, Recto et Verso, Homme et Femme, Adam et Eve, Droite et Gauche, Haut et Bas, Devant et Derrière, Ensemble et Elément, Equivalence et Identité, Alternation et Négation, Variable et Constante, Infini et Fini, etc.
Bref, on est en situation de Logique alternative binaire toutes les fois que l'on a deux possibilités A et B, qui sont les seules alternatives. Dans ce cas particulier de deux alternatives, ces deux alternatives sont dites contraires l'une de l'autre, et c'est la définition donc de la notion de Contraire, une notion donc de Logique alternative binaire!
Les deux alternatives, les deux contraires donc, sont alors appelés le Vrai et le Faux, ou le Oui et le Non. Et chose très importante en Logique Alternative, les les rôles des deux alternatives sont parfaitement symétriques, interchangeables, on peut les permuter, intervertir l'ordre, etc., la logique reste la même. Le Faux est autre Vrai et le Vrai est un autre Faux, si on voit les choses dans le sens inverse. Plus généralement les rôles permutent ou ALTERNENT en Logique Alternative, d'où justement le nom de cette Logique, en plus du fait que ce nom vient aussi du mot Autre, en latin contraires,
C'est cette manière très relative de voir le Non et le Faux, qui fait l'Alternation est appelée une Négation relative, celle qui laisse la place à la véracité des contraires, et plus généralement des alternatives.
C'est avec la Logique alternative binaire que la Logique commence vraiment, du fait de l'apparition de la deuxième possibilité. C'est la logique la plus courante, parce qu'elle est basique pour les raisons qu'on vient d'indiquer. Toutefois c'est une grave ERREUR de penser que toutes les situations de l'Univers se traitent en Logique alternative binaire, car les autres logiques existent aussi. C'est le paradigme de l'Univers TOTAL qui permet de savoir quand exactement il faut raisonner en logique binaire et quand passer à une autre logique. Et surtout c'est elle qui permet de voir la relation entre les logiques, donc de pouvoir transformer une situation de logique binaire en situation équivalente de logique trinaire par exemple (logique à trois alternatives), en subdivisant une alternative (ou une possibilité) en deux sous alternatives (ou deux sous-possibilités), ou au contraire de passer d'une logique trinaire à une logique binaire, en regroupant par exemple deux alternatives pour faire une.
N'oublions pas que tout ce que nous disons ici est une spécialisation de la Théorie universelle des ensembles (la théorie des ensembles de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses) mais aussi de la générescence et de la structure fractale, et qu'on peut décomposer un ensemble (ou une générescence) deux ou au contraire faire d'un seul ensemble deux choses. C'est ce qui permet de voir l'Univers TOTAL comme une seule chose, U, ou comme deux, UU, ou comme trois, UUU, etc. Et c'est la générescence UU qui définit la logique alternative binaire, ce qui revient à dire qu'on voit l'Univers tout entier comme deux choses A et B, et qu'on pas d"autre possibilité, car l'Univers est unique.
C'est dans le paradigme de l'Univers TOTAL que la logique se définit vraiment, et en particulier la très fondamentale logique binaire. Quand on n'est plus dans ce paradigme, la logique binaire est complètement faussée, elle devient la Logique Négative, une très mauvaise logique binaire, la logique actuelle, celle de la Négation absolue.
La définition fondamentale de la deuxième alternative de la logique, le Faux, est "Non-Chose", et sa veleur est simplement 0. Ainsi donc, la valeur de vérité Faux, la négation Non, la notion de Zéro ou 0, et les autres notions comme Vide, Rien, Néant, etc., sont fondamentalement la même notion! Et il suffit de regarder la fractale de Sierpinski montrée plus haut (qui sert de toile de fond à la présentation de la logique alternative) pour comprendre pourquoi la notion de Négation et les notions de type Zéro (Vide, Néant, etc.) sont fondamentalement la même notion. En effet, le Zéro (ou Alpha) est simplement la version Infiniment petite ou version Néant du seul et même Univers TOTAL. De part sa nature, il nie l'Univers TOTAL, il fait de lui un Point (parce qu'il incarne ce Point), un Rien donc.
En logique alternative binaire, NIER, c'est donc ANNULER, c'est transformer la Chose en Non-Chose, c'est transformer en Rien, en Zéro, en Vide, en Néant, etc., bref, c'est transformer 1 en 0! Il est important de le comprendre ici, parce que la Négation n'a pas le même sens en logique trinaire, car, là, NIER, c'est fondamentalement changer le signe de la valeur niée, c'est transformer +1 en -1 et vice-versa. Autrement dit simplement NIER en logique trinaire, c'est AFFIRMER le contraire, ce qui est un autre aspect de la Négation: la Négativité.
En logique alternative binaire, la Double Négation,
à savoir Non Non
qui donne Oui,
ou Faux Faux
qui donne Vrai,
est donc aussi le produit logique
Zéro Zéro qui donnc Un.
Autrement dit, nous mettons en évidence un autre produit du Zéro, sans doute ignoré jusqu'ici,
le produit logique du Zéro:
Zéro Zéro = Un ou 0 x 0 = 1
Il n'y a que dans ce cas-là que le Principe du tiers exclu s'applique, car il ne s'agissait pas d'un principe mais simplement de la définition même de cette logique binaire, à savoir qu'on fonctionne avec deux alternatives et que toute troisième alternative est exclue... ou alors il faut changer d'arité et passer par exemple en logique trinaire ou supérieure.
Il n'y a aussi que dans ce cas de logique binaire que le fameux raisonnement par l'absurde s'applique. Mais en Logique alternative, il prend le nom de "Raisonnement par Alternation":
"Si en supposant qu'une chose A a comme valeur l'une des deux alternatives Vrai ou Faux,
cela aboutit cela aboutit à la conclusion que A a comme valeur l'alternative opposée,
ou qu'une chose B à laquelle une des deux alternatives est imposée doit alterner
(passer de Vrai à Faux ou de Faux à Vrai), alors c'est qu'il faut alterner la chose A
(elle doit avoir comme valeur l'alternative opposée à celle qui provoque l'alternation).
Et si en changeant sa valeur en la valeur opposée, cela provoque aussi une alternation de sa valeur
ou d'une valeur B qui ne doit pas alterner, alors c'est que
A est un objet alternatif:
A <=> Non-A
Dans ce cas, la logique binaire ne se prête pas à l'étude de cet objet, car il réclame au moins une troisième alternative,
ou au contraire de le voir en logique unaire, où les deux alternatives Vrai et Faux doivent s'unir en une seule, le Vrai
(cas du Thérème de l'Existence
qui dit en gros que "Tout est vrai dans l'Univers")."
Ainsi par exemple, les paradoxes de types
Paradoxe du Menteur, Paradoxe de Russell, Paradoxe de Burali-Forti,
Paradoxe de l'Ensemble de tous les ensembles, etc., signifiaient simplement
qu'on était devant un objet alternatif, qui réclame une logique à plus deux alternatives ou à une seule alternative,
une logique où le Vrai et le Faux sont équivalents:
Vrai <=> Faux
Et aussi, dans ces paradoxes, se posaient principalement le problème de l'Univers TOTAL (sous la forme de l'Ensemble de tous les ensembles ou l'Ensemble de tous les ordinaux, etc.). La classique logique binaire (elle seule) est horriblement étroite pour traiter de toutes les situations de l'Univers.
Quand l'Univers TOTAL est vu cette fois-ci comme la générescence UUU, c'est-à-dire comme trois Univers (voir la fractale et les explications de l'introduction), on raisonne alors en Alternation 3 ou Logique tri-alternative ou Logique alternative trinaire (logique à trois alternatives).
D'une manière générale, on est en situation de Logique alternative binaire si la situation n'offre que trois possibilités ou trois alternatives, que le choix entre trois choses A, B et E, et seules, toute quatrième possibilité étant exclue (les alternatives sont notées A, B, E, selon le nouvel alphabet du Verba, l'ABECIDO, mais on peut les noter A, B, C selon l'alphabet latin classique)..
Des changements importants interviennent par rapport à la logique binaire. Le premier est que la valeur de vérité Vrai ou 1, qui comptait seulement en valeur absolue (c'est-à-dire comme une valeur neutre du point de vue du signe), se définit maintenant comme +1 et que la valeur de vérité Faux ne se définit plus comme Non-Chose ou Non-Vrai mais comme Anti-Chose ou Anti-Vrai ou -1. On passe alors de la Négation annulante (de type Zéro) à la Négation opposante ou symétrique, à savoir la Négativité. Mais, chose importante, -1 est simplement une autre facette du même Zéro, qui était implicite en logique binaire, mais qui devient manifeste en logique trinaire.
En effet, étant donné que le Vrai était la valeur absolue 1 en logique binaire, dire que le Faux avait pour valeur 0 c'est dire qu'il incarnait un différentiel ou une différence de -1 par rapport à 1. Autrement dit: 1 - 1 = 0. Il incarnait à la fois l'annulation de 1 en divisant 1 par l'Infini (plus exactement une division par ω dans le nouveau paradigme), mais cette annulation est aussi le fait de retrancher tout simplement 1.
Ainsi donc, le 0 naît avec la logique binaire, et le -1 naît avec la logique trinaire. Et nous découvrons que le -1 est fondamentalement un autre aspect du 0 binaire. Et avec cela nous découvrons aussi (et là ce n'est pas une très grosse surprise) que la Positivité est un aspect fondamental du 1, ce qui nous autorisait dans la pratique à omettre son signe, à assimilier +1 et 1, alors que du point de vue de l'Identité, ce sont deux choses bien distinctes, l'une étant de la logique binaire et l'autre de la logique trinaire, chacune ayant une signification propre.
Nous découvrons donc que l'Univers est fondamentalement Positif. Même les choses négatives sont fondamentalement positives. La négativité n'apparaît que dans la comparaison de deux valeurs positives,
Et aussi apparaît une nouvelle notion de Zéro: le Neutre! Le Zéro annulant devient le Zéro du centre. C'est une autre façon d'incarner la nullité, un autre aspect du Zéro: la Neutralité. En logique trinaire, la Neutralité signifie aussi bien "Vrai ET Faux" que "Ni Vrai Ni Faux". Ce n'est qu'en logique trétranaire (quatre alternatives), que la Neutralité à son tour se distingue en Neutralité positive ("Vrai ET Faux") et Neutralité négative ("Ni Vrai Ni Faux").
Et une nouvelle très importante notion de logique naît avec la logique trinaire: la notion de Contraire! En logique binaire, le Faux est la Négation du Vrai, c'est-à-dire l'annulation du Vrai. Mais en logique trinaire, le Faux est le Contraire du Vrai ou l'Anti-Vrai!
En logique binaire, ce qui n'est pas Vrai est obligatoirement Faux, et ce qui n'est pas Faux est obligatoirement Vrai. Mais en logique trinaire, ce qui n'est pas Vrai n'est pas obligatoirement Faux, mais peut être Neutre. Et ce qui n'est pas Faux n'est pas non plus obligatoirement Vrai peut être Neutre. Le Neutre apparaît comme une Fausseté plus faible que l'Anti-Vrai qui est une Fausseté forte, et aussi comme une Vérité plus faible que l'Anti-Faux, qui est une Vérité plus forte.
Bien qu'équivalentes, il est important de distinguer ces deux notions de Faux (la notion binaire et la notion trinaire), car c'est la notion de Faux qui permet de savoir si l'on est dans une situation de logique binaire ou si l'on est dans une situation de logique trinaire. Et selon que c'est l'une ou c'est l'autre, les raisonnements ne pas les mêmes et les conclusions aussi.
Par exemple, la question de l'Amitié n'est pas une situation de logique binaire mais de logique trinaire. Qui n'est pas mon Ami (+1) n'est pas nécessairement mon Ennemi (-1), car il peut être indifférent (0) à moi égard.
Quand l'Univers TOTAL est vu comme la générescence UUUU, c'est-à-dire comme quatre Univers (voir la fractale et les explications de l'introduction), on raisonne en Alternation 4 ou logique tétra-alternative ou logique tétranaire (quatre alternatives).
D'une manière générale, on est en situation de Logique alternative binaire si la situation n'offre que quatre possibilités ou quatre alternatives, que le choix entre quatre choses A, B, E et C, et seules (les alternatives sont notées A, B, E, C selon le nouvel alphabet du Verba, l'ABECIDO, mais on peut les noter A, B, C, D selon l'alphabet latin classique).
La principale nouveauté qui apparaît ici est que le Neutre, en logique trinaire avait deux sens qui ne se distinguaient pas "Vrai ET Faux" et "Ni Vrai Ni Faux" a maintenant les deux sens qui se distinguent. Nous appelons le Neutre Positif le sens "Vrai ET Faux" et le Neutre Négatif le sens "Ni Vrai Ni Faux". Un phénomène s'amorce ici, qui se confirmera à partir de la logique suivante: la graduation de la vérité!
Quand l'Univers TOTAL est vu comme la générescence UUUUU, c'est-à-dire comme cinq Univers (voir la fractale et les explications de l'introduction), on raisonne en Alternation 5 ou logique penta-alternative ou logique pentanaire (cinq alternatives).
D'une manière générale, on est en situation de Logique alternative binaire si la situation n'offre que cinq possibilités ou cinq alternatives, que le choix entre cinq choses A, B, E, C et I), et seules (les alternatives sont notées A, B, E, C, I, selon le nouvel alphabet du Verba, l'ABECIDO, mais on peut les noter A, B, C, D, E, selon l'alphabet latin classique).
Les notions de base de la logique sont apparues avec les quatre premières logique alternatives. Une grande nouveauté et caractéristique fondamentale de la logique alternative s'est amorcée avec la logique tétranaire: la graduation de la vérité (voir aussi La Logique Alternative: la Logique où la vérité est graduée, nuancée, et où elle alterne)! Cette nouveauté se confirme ici de manière plus manifeste. A partir de maintenant on peut commencer à doser la vérité et dire des choses du genre: "Un peu Vrai", "Très Vrai", "Un peu Faux", "Très Faux".
La Logique classique, la Logique négative, est donc normalement seulement un cas particulier de logique alternative, le cas où le nombre des alternatives est de 2. Dans ce cas-là, aucune troisième alternative n'est autorisée, à moins de passer à la logique alternative trinaire, celle à trois alternatives.
La Logique binaire ne se justifie que dans les situations où il faut trancher, les situations où il faut prendre une décision de type "Oui ou Non", "Vrai ou Faux": Par exemple : "Je me rends au carnaval de Rio" ou "Je ne me rends pas au carnaval de Rio", "Je vais prendre le train de 8 heures" ou "Je ne vais pas prendre le train de 8 heures". Dans ces cas-là, une troisième voie n'est pas possible. Et il n'y a que dans ces cas-là que la logique habituelle s'impose.
Mais toutes les situations de l'Univers ne se traitent pas en termes ou "Oui ou Non" ou "Vrai ou Faux"! Par exemple, la question de l'Amitié n'est pas une situation de logique binaire mais de logique trinaire. Qui n'est pas mon Ami (+1) n'est pas nécessairement mon Ennemi (-1), car il peut être indifférent (0) à moi égard. Il n'y a que quand on impose de se positionner "Pour" ou "Contre" (comme dans la célèbre phrase de Jésus "Qui n'est pas avec moi est contre moi"), que cette situation trinaire (trois alternatives) devient binaire (deux alternatives).
C'est une ERREUR MONUMENTALE d'utiliser la logique classique pour étudier l'Univers! Elle se prête très mal à l'étude des objets alternatifs. On entend par là les objets qui présentent deux aspects contraires, qui alternent ou oscillent entre deux états contraires, bref les objets dynamiques, physiques en général! Quand on a connaissance du fait qu'on est en présence de ce type d'objet, on adopte automatiquement la bonne logique, et il ne viendrait jamais à l'idée d'appeler paradoxe un état oscillatoire!
A ∈ A <=> A ∉ A
Un objet ou une situation que l'on dit contradictoire
dans le paradigme de l'Identité.
Mais c'est ce que nous appelons un objet alternatif
dans le paradigme de l'Equivalence.
Mais le problème se pose quand on se trouve devant un objet dont on ignore l'alternativité ou le dynamisme,
croyant qu'il s'agit d'un objet statique, comme c'est le cas souvent des objets mathématiques actuels.
Dans ce cas le dynamisme peut être mal interprété par la logique négative comme un paradoxe.
C'est le cas par exemple de
l'Ensemble de tous les ensembles dans les actuelles théories des ensembles.
Il est déclaré comme paradoxal, car il entraîne des paradoxes de type Paradoxe de Russell:
A ∈ A <=> A ∉ A
On ignorait que l'Ensemble de tous les ensembles
était tout simplement une autre façon de parler de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
donc d'un objet physique, l'objet le plus alternatif qui soit, qui présente tous les aspects et les aspects contraires.
C'est cette propriété qui se traduit par des situations du genre:
A ∈ A <=> A ∉ A
Ce situations sont appelés à tort des paradoxes, alors qu'elles expriment simplement une alternativité.
De même, si un objet mathématique ou physique décrit un être humain sans qu'on sache que c'est un être humain, on peut à tort le déclarer paradoxal. En effet, par exemple "Moi assis" et "Moi debout" ou encore "Moi bébé" et "Moi adulte", sont deux choses bien distinctes si l'on raisonne strictement en termes d'identité. L'une est comme 1 ou "Vrai" ou "Oui" et l'autre est comme 0 ou "Faux" ou "Non". Donc si l'on raisonne en stricte logique classique, c'est-à-dire en termes d'identité, ces deux choses ne sont pas égales, elles ne peuvent être la même chose, à savoir Moi.
Il n'y a qu'en termes d'équivalence, donc de 0 = 1 ou de Faux <=> Vrai, qu'on peut dire qu'on parle toujours de Moi, que je sois assis ou debout, bébé ou adulte. La logique classique, dans laquelle 0 = 1 est un paradoxe, est donc en contradiction cachée avec la réalité, les objets physiques, les objets qui varient, le dynamisme et le mouvement.
Cette logique est encore moins adaptée pour répondre aux questions fondamentales du genre: "Est-ce que le boson de Higgs existe? Oui ou Non? Est-ce que Oui ou Non la vie existe ailleurs dans l'Univers? Est-ce qu'il existe dans l'Univers une chose qui correspond à ce qu'on appelle Dieu? La logique classique n'est vraiment pas faite pour cela! C'est la logique unaire qui s'impose dans ces cas, ce qui veut dire le Thérème de l'Existence qui répond directement et dans l'absolu à ce genre de questions en disant: "Toute chose existe dans l'Univers TOTAL". A ce niveau, la chose n'a pas d'autre choix que d'exister quelque part dans l'Univers TOTAL. Peut-être pas en France, sur Terre ou dans notre galaxie, mais elle existe quelque part!
Pour les questions de ce niveau fondamental, la logique négative est tout simplement dangereuse, diabolique, à éviter! Il pleut toujours quelque part dans l'Univers TOTAL, et quelque part Il ne pleut pas! Quelque part les humains ne volent pas comme des oiseaux, et quelque part c'est le cas! Toute chose est vraie dans l'Univers TOTAL, et le contraire de tout aussi. Toutes les alternatives y existent, toutes les possibilités, toutes les configurations, toutes les combinaisons, toutes les situations possibles et imaginables! Il n'y a que dans des contextes restreints de l'Univers TOTAL que des choses peuvent ne pas exister, être vraies, être possibles. C'est pourquoi donc c'est carrément catasptrophique de faire la science en logique classique!
En logique négative, la vérité mathématique est que "0 = 0" ou "1 = 1" ou "2 = 2", etc. c'est-à-dire "0 est 0" ou "1 est 1" ou "2 est 2", etc. Une fois qu'on a dit cela, on ne peut pas dire aussi en même temps que "0 &ne 0" "1 &ne 1" ou "2 &ne 2" etc., c'est-à-dire "0 n'est pas 0" ou "1 n'est pas 1" ou "2 n'est pas 2", etc. Donc par exemple, dans la logique classique, il est impossible qu'on ait: "0 = 1", "0 = 2π", "7 = 15", etc.
Les égalités du genre "0 = 1", "0 = 2", "0 = 3", "0 = 4" ou encore "0 = 2π", qui sont des égalités typiques du cycle ou du cercle, sont fausses au sens de l'identité (le paradigme classique). Mais ces égalités sont éminemment vraies quand on raisonne en logique cyclique. Ce sont toutes des équivalences, et chaque équivalence correspond à un cycle précis. Par exemple, "0 = 4" est appelé le "Cycle 4" (pour plus de détails, voir Nombres Cycliques, Algèbre Fractale, Algèbre Universelle).
La générescence ou la structure fractale
est la situation par excellence où la notion
d'Equivalence
a toute son importance.
Ici, A et B ne sont pas la même chose
au sens de l'Identité,
car ils ne sont pas le même objet dans l'absolu,
l'un est dans l'autre, il en est un modèle réduit, etc.
Et pourtant, A et B
sont la même chose au sens de l'Equivalence!
Ils le sont autant qu'on puisse dire par exemple que toutes les lettres "a" de la page que vous êtres en train de lire
sont la même lettre "a", elles répondent à un même modèle, et de ce point de vue elles sont interchangeables!
Ici, A et B sont tout simplement le même Triangle de Sierpinski.
Si l'on cherche à voir un Triangle de Sierpinski sans aucune autre précision, l'un comme l'autre fait l'affaire!
Dans ce paradigme de l'Equivalence,
de la générescence ou structure fractale
(un paradigme infiniment plus puissant et plus fécond pour la science que celui de
l'Identité),
les deux phrases contraires "A EST B" et "A N'EST PAS B" sont vraies
sans qu'il y ait la moindre contradiction!
Pour la logique négative (la logique identitaire), une chose n'est égale qu'à elle-même ("7 = 7", "15 = 15", mais jamais "7 = 15"!), ce qui implique qu'elle ne peut pas être supérieure à elle-même. Il est donc impensable pour cette logique qu'une chose soit égale à elle-même (ce qui est le cas pour toute chose en vertu de l'Identité), et en même temps ne soit pas égale à elle-même, soit plus grande qu'elle-même, plus petite qu'elle-même, etc. De même, il est absurde ou contradictoire pour cette logique de dire qu'une chose A est à l'intérieur d'une chose B, et en même temps que A soit à l'extérieur de B, etc. Il faut se placer en logique alternative (la logique équivalencielle) pour qu'un énoncé et son contraire soit tous les deux vrais sans pour autant qu'on ait une contradiction! La contradiction vient en fait de l'Identité ou de la Négation, du fait qu'on raisonne dans ce paradigme étroit!
Les images ci-dessus montrent une structure fractale similaire au Tapis de Sierpinski, une structure bi-fractale appelée "Carré d'Eden" pour le Vert et le "Carré d'Enfer" pour le Rouge. Elle est bi-fractale en ce sens que la partie enlevée dans le Tapis de Sierpinski a elle aussi la même structure fractale, mais inversée par rapport à la première. Si l'une est une fractale blanche l'autre est une fractale noire, et vice-versa. Et si (comme ici) l'une est une fractale verte l'autre est une fractale rouge, et vice-versa.
En considérant par exemple la phrase "Le Carré d'Eden est Vert", on peut définir sa véracité comme étant à 8/9 et sa fausseté comme étant 1/9, et ce sur la base de l'étape 2 où le carré initial est partagé en 9 plus petits carrés et où on inverse le carré du milieu. A l'inverse, la phrase "Le Carré d'Enfer est Rouge" a une véracité de 8/9 et une fausseté de 1/9.
Ici le nombre 9 est obtenu avec la formule (2n + 1)2, avec n = 2. Mais en prenant n très grand, par exemple n = Lhorizon 3, la véracité et la fausseté sont pratiquement ou pragmatiquement de 1 et 0.
C'est ici qu'intervient un des aspects importants de la Logique alternative, à savoir l'Equivalence par Alternation, qui traduit ici par l'Equivalence par Symétrie. En effet, les deux carrés sont parfaitement symétriques, ce qui signifie que quel que soit n, les phrases que l'on peut dire sur l'un ou l'autre des deux carrés sont aussi vraies que leurs contraires.
Par exemple, il est tout aussi vrai de dire que le Carré d'Eden est Vert que de dire qu'il est Rouge, ce que montrent clairement les animations. Cela veut dire alors que l'on voit la vérité de manière globale, à l'échelle de l'Univers TOTAL, et non plus seulement dans le contexte du Carré d'Eden seul ou du Carré d'Enfer seul. Et alors la véracité et la fausseté est de 1/2 et 1/2.
En logique négative, les deux droites parallèles (représentées par des rails ici)
ne se rencontrent jamais au sens
le plus négatif et le plus absolu du mot "JAMAIS",
donc ce point Oméga (ω) à l'Horizon n'existe pas,
là encore en un sens le plus absolu de cette négation.
Mais il suffit de définir ce point à l'Horizon comme étant situé à une distance de
Lhorizon 3 par exemple...
Autrement dit, ω = Lhorizon 3 = 1010 000 000 000.
Et alors la fausseté de la phrase "Les deux droites parallèles se coupent
à Lhorizon 3",
qui est de ε = 1/ω, est quasiment 0 en logique négative
et sa véracité, qui est de 1 - ε, vaut quasiment 1 toujours dans cette logique.
Mais cette phrase est tout simplement vraie en logique alternative
(le paradigme de l'équivalence)
où l'on dit "0 = 1"
et même "0 = ω",
et à plus forte raison "0 = ε"!
Avec l'ontologie de l'Identité ou de la Négation, un énoncé vrai donné A n'autorise jamais la véracité de son contraire ou négation non A. Tandis qu'avec l'Equivalence ou l'Alternation, pour un énoncé vrai A donné, il existe toujours un contexte, un point de vue, une échelle, une certaine facette de l'Univers, etc., où l'énoncé A cesse d'être vrai (et en règle très générale sa véracité diminue graduellement) et où c'est son contraire non A qui devient vrai (et en règle très générale sa véracité augmente graduellement au fur et à mesure que la véracité de A diminue).
En Logique négative, où l'on ne raisonne pas en termes d'équivalence mais toujours en termes d'identité, on ne dit donc jamais des choses comme 0 = 1, qui sont pourtant de simples vérités exprimées par le Cercle.
Dans cette logique aussi, quel que soit le nombre entier naturel n considéré, on dira toujours de la phrase "n est INFINI" (que nous notions "ω = n") qu'elle est FAUSSE, sans autre forme de procès. On dira donc que "10 est INFINI" est faux, que "100 est INFINI" est faux, que "1000 est INFINI" est faux, que "10 000 000 000 est INFINI" est faux, etc.
Or, au fur et à mesure que le nombre n considéré est grand (donc "tend vers l'INFINI" comme on dit actuellement), la phrase "ω = n" (c'est-à-dire "n est INFINI") est évidemment de moins en moins fausse et de plus en plus vraie! C'est ainsi que l'on voit les choses dans le nouveau paradigme.
En Logique alternative donc, on dit simplement que la fausseté de la phrase "ω = n" (ou "n est INFINI") est très exactement de 1/n et que sa véracité est de 1 - 1/n ou (n - 1)/n.
Ainsi:
- "ω = 10" (ou "10 est INFINI") est fausse à 1/10 et vraie à 9/10.
- "ω = 100" (ou "100 est INFINI") est fausse à 1/100 et vraie à 99/100.
- "ω = 1000" (ou "1000 est INFINI") est fausse à 1/1000 et vraie à 999/1000.
- "ω = 10 000 000 000" (ou "10 000 000 000 est INFINI") est fausse à 1/10 000 000 000 et vraie à 9 999 999 999/10 000 000 000.
- Et ainsi de suite..
Et maintenant, considérons comme définition de l'INFINI ω le nombre:
Lhorizon 3
= 10Lhorizon 2 = 1010 000 000 000
ou "10 puissance 10 000 000 000", c'est-à-dire le nombre écrit avec 1 suivi de dix milliards de zéros!
Là, la fausseté de la définition est:
1/ω = 1/Lhorizon 3 = 0. 000 000 000 000...
et sa véracité est par conséquent de:
1 - 1/Lhorizon 3 = 0.9 999 999 999 999....
Bref, il faut avoir le courage de mettre tous les 0 et tous les 9!
On peut donc déjà considérer Lhorizon 3 comme une bonne définition de l'INFINI, à plus forte raison Lhorizon 4, Lhorizon 7, Lhorizon 1000, Lhorizon 10000000000000000!
Moralité: la notion d'INIFINI n'avait pas besoin d'être autre chose qu'un nombre fini, mais AUSSI GRAND QUE L'ON VEUT!. C'est la simple et bonne définition de l'Inini dans la Science de l'Univers TOTAL. C'est nous qui décidons si telle définition ou telle autre est satisfaisante ou non. Tout dépend de ce que l'on veut faire. Et à chaque définition correspond une erreur mesurée avec une grand précision, qui est d'autant plus faible que le nombre choisi est plus grand.
Ainsi donc, les phrases: "ω est INFINI", "ω est INFINIMENT GRAND", "ω tend vers l'INFINI", "ω est AUSSI GRAND QUE L'ON VEUT", sont des manières différentes de dire exactement la même chose dans la Science de l'Univers TOTAL. Ce n'est pas une convention, mais c'est tout simplement la simple et bonne conception de l'INFINI, la conception la plus naturelle, la plus intuitive qui soit.
C'est parce que l'on ne concevait pas les choses ainsi que l'on raisonnait seulement en terme d'Identité et pas d'Equivalence que l'on se trouve devant des paradoxes comme le Paradoxe Sorite. Le problème est simple: "Si l'on considère que 10 est un petit nombre et que Lhorizon 3 est un grand nombre, alors où s'arrêtent les petits nombres et où commencent les grands? Plus généralement, étant donnée une notions quelconque X, où s'arrête le X et où commence le Non X? C'est l'un des innombrables paradoxes que cause la Négation absolue. Ce type de problème ne se pose plus en logique alternative ou la vérité est graduée.
Le Paradoxe Sorite se cache dans nombre de concepts des mathématiques et des sciences actuelles, considérés pourtant comme des vérités absolues.
Par exemple, il est établi que le nombre pi ou π est un nombre irrationnel, donc la phrase "π est rationnel" ou "π est une fraction est toujours fausse. C'est donc le problème Sorite ici (le problème X et Non-X) sous la forme de la séparation entre Rationnel et Non-Rationnel. Mais en Logique alternative, la question est plus nuancée que cela, exactement pour les raisons présentée ci-dessus.
Il suffit par exemple de mettre à 0 toutes les décimales de π à 0 à partir de la Lhorizon 1000 ème décimale pour obtenir un nombre rationnel q tel que la fausseté de la phrase "π = q est quasi nulle donc sa véracité quasiment 1! L'erreur est en effet de l'ordre de ε = 1 / Lhorizon 1000. Dans le paradigme de l'équivalence où l'on dit 0 = 1, on dit à plus forte raison: 0 = ε! Dans ce paradigme, la phrase "π = q est vraie tout simplement, π est un rationnel!
Au-delà des nombres comme Lhorizon 3 et à plus forte raison Lhorizon 1000, oui, au-delà des Horizons, on ne pinaille plus comme avec de nombreuses questions qu'on se pose dans les sciences actuelles, parce que les choses n'ont plus du tout le même sens qu'elles ont à nos échelles. On ne le savait pas, mais au fur et à mesure qu'on s'approche de nombres comme Lhorizon 3, les choses changent de nature, la vérité change, elle ALTERNE!
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