Le triomphe de YHWH l'Etre TOTAL, le "Je SUIS"

Article basé sur un extrait d'un mail à Paul Ponssot

L’extrait qui va suivre est tiré d’une réponse aux enseignements de Paul Ponssot, qui s’inscrit dans le courant de la gnose et de l’ésotérisme. Bien que j’ai une estime pour lui et que je suis d’accord avec lui sur un certain nombre de points, je suis par contre complètement en désaccord avec lui sur bien d’autres points, comme par exemple le fait de qualifier de « Démiurge » le Dieu de l’Ancien Testament, YHWH. Ou encore sa cosmogonie gnostique, ésotérique.

Et de manière générale, ma réponse s’adresse à tous les tenants d’idéologies anti-bibliques, qui ont tous en commun d’être anti-YHWH ou anti-Yahvé, et d’incarner ou de véhiculer en tout cas l’idéologie du Serpent d’Eden. 

Paul Ponssot parle beaucoup des reptiliens, des entités sans âme, etc., mais paradoxalement il est contre YHWH le Dieu de la Genèse qui condamne le Serpent d’Eden, qui est précisément la manière dont la Bible parle de la même chose. Et Paul Ponssot dénonce beaucoup le satanisme et les élites ou lignées royales sataniques. Or c’est précisément aussi ce que condamne YHWH le Dieu de l’Ancien Testament, et aussi les pratiques de magie, de spiritisme, de sorcellerie, etc., et tout ce qui s’y apparente. Or Paul Ponssot qualifie d’entité négative YHWH qui, par son peuple Israël, mène un combat contre ces pratiques et contre les peuples et civilisations qui s’y livrent, notamment les cananéens.

Mais Paul Ponssot s’accommode bien avec ce genre de pratiques, et il tient d’ailleurs une boutique où il vend des accessoires de magie, de spiritisme, d’ésotérisme, d’occultisme, etc. Et étrangement, cela ne semble pas le déranger, oui il ne rapproche pas cela du satanisme qu’il dénonce par ailleurs…. Un bel exemple donc de dissonance cognitive.  Voici donc la réponse que je lui ai faite. 

"Le Serpent d'Eden n'est autre que les entités reptiliennes dont vous parlez"

D’abord je tiens à vous dire que ce dont vous parlez et dénoncez n’est pas si différent que cela de ce dont la Bible parle et dénonce. Ne vous arrêtez pas à certains épisodes de l’Ancien Testament, notamment l’incompréhension des actions du Dieu des hébreux, comme par exemple le culte au temple, qui va de paire avec la guerre aux nations confrontées à Israël, sans comprendre la raison de ces guerres (à savoir le culte satanique de ces peuples) et en oubliant que ce Dieu punissait constamment Israël quand il se laissait aller à ces mêmes cultes sataniques, au point que Dieu a fini par abandonner ce peuple, le livrant aux babyloniens, puis aux romains, bref le condamnant à ce qu’on appelle la diaspora (voir Deutéronome 30: 15-20; 2 Rois 17 : 7-20).

L’Israël désormais abandonné pour avoir tué Jésus Christ (voir Matthieu 23: 37-39), l’Israël qui est désormais plus que jamais guidé par la Kabbale (une forme de satanisme, racine de la franc-maçonnerie), et qui est revenu sur son ancien territoire, a été réinstallé par les sionistes talmudistes, kabbalistes et satanistes, et cela n’a plus rien à voir avec Dieu, le vrai. C’est manquer de connaissance ou faire preuve de mauvaise foi que de voir le Dieu de l’Ancien Testament comme une entité négative, alors qu’au contraire il combattait les peuples adorant des entités négatives, jusqu’à condamner son propre peuple pour cela.

Depuis les symboles de la Genèse, le Serpent d’Eden dont la Genèse parle n’est autre que les entités reptiliennes dont vous et d’autres parlez (voir Genèse 3 : 1-24). Il ne faut donc pas être braqué dans une vision anti-biblique (un anti-biblisme primaire, que je note aussi chez d’autres, comme par exemple Laura Marie à l’intention de qui j’ai écrit ceci: A Laura Marie, pour l’Ascension et la Timeline Divine, qui pourrait vous intéresser aussi), parce que d’une part on ne sait pas faire la différence entre la Bible (qui est une formidable source de connaissance, au moins autant que les autres, sinon plus) avec les religions fondées sur la Bible (judaïsme, catholicisme, oui j’ai dit catholicisme, qu’il faut distinguer là aussi du vrai christianisme), qui sont des distorsions de la révélation biblique. Celle-ci est tout simplement la révélation de ce que vous appelez la Source, et que j’appelle l’Univers TOTAL ou Dieu.

Dans vos conceptions, vous voyez la Source comme une chose passive, qui ne jouerait aucun rôle actif en faveur des humains et aucun rôle actif contre les entités sans âme. C’est une très grave erreur de conception! Pourquoi donc les entités déconnectées de la Source seraient-elle toutes puissantes, et la Source inactive face à elles?

La Source ou Dieu est à la fois en nous et hors de nous, c’est l’Univers TOTAL, comme je dis, et évidemment l’Univers TOTAL n’est pas que la partie en nous. La Source est aussi hors de nous, exactement comme ces entités sans âme, et la Source fait une action contre elles, pour nous aider dans notre volonté de nous reconnecter à la Source, tout simplement.

La Source est synonyme d’amour, et la moindre des choses, quand on incarne l’amour, est d’aider ceux qui veulent se reconnecter à elle, mais font face à des entités négatives, qui elles oeuvrent pour les déconnecter. C’est normal qu’une Source d’amour et digne de ce mot aide non?

Si on dit le contraire, alors on n’est pas du tout cohérent dans sa vision des choses. Soyez donc juste cohérent avec vous-même Paul.

Par conséquent, votre refrain que vous répétez qu’il n’y a pas de « sauveur externe » n’a pas de sens, c’est absurde, c’est une idée de Négation, exactement comme la Négation incarnée par ces entités. On n’a rien à leur reprocher si l’on fait preuve d’une forme de Négation nous aussi.

Car il faut savoir qu’il existe des êtres en dehors de nous (oui EXTERNES à nous!!), qui sont connectés à la Source, qui sont hors de notre matrice, et qui depuis toujours oeuvrent pour nous sortir de la matrice, selon un programme, un protocole et un agenda qui suit son cours, étape par étape. Nous vivons la dernière étape présentement. Et ma mission de vie, comme celle d’autres, et même la vôtre (vous qui dénoncez les entités sans âme et contribuez à l’éveil des consciences), font toutes partie de cette dernière étape du programme du salut auquel travaillent ces sauveurs externes (ou aides externes tout simplement). Il ne faut donc pas nier leur travail. En comparaison, il vaut mieux de loin nier l’ésotérisme, la magie, le satanisme ou la sorcellerie, que de NIER les êtres de lumière externes qui combattent les entités sans âme à la base de ces choses typiquement de la matrice (qui nous maintiennent donc dans la matrice).

Une fois encore, je vous prie, ouvrez complètement les yeux, ne les fermez pas sur l’aspect où ces entités que vous combattez par ailleurs, vous tiennent à votre insu ou à l’insu de votre plein gré (selon la fameuse formule depuis un certain Richard Virenque…).

La Bible n’est rien d’autre que les deux premières phases du protocole pour sortir de la matrice, autrement dit pour échapper à l’emprise des entités reptiliennes, les entités sans âme. Ce sont ces deux premières phases qu’on appelle improprement l’Ancien et le Nouveau Testament, ce qui laisserait entendre qu’il n’y a pas d’autres phases. Or, au troisième millénaire, à l’heure du numérique et d’internet, à l’ère donc où nous faisons des sites, et, comme Christ, nous faisons maintenant nos sermons sur la montagne avec nos vidéos ou nos visioconférences, oui, au troisième millénaire donc, nous vivons bel et bien la troisième phase du programme, le Troisième Testament donc.

Et, sans le savoir, par votre combat, vous contribuez à cette troisième phase. C’est ce qu’ont fait ceux qui nous ont précédé, et les oeuvres des plus visionnaires d’entre eux, sont tout simplement le recueil qu’on appelle la Bible. C’est donc aussi simple que cela. Je sais de quoi je parle, et mon livre L’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga que je vous ai proposé, fait tout simplement partie de la suite de la Bible.

Si vous le lisez et le comprenez, ne serait-ce que les deux parties que je vous ai indiquées, vous aurez lu une partie de la suite de la Bible, et vous comprendrez mieux la Bible, qui, expliquée par la bonne personne, n’est donc pas si méchante que vous et d’autres le pensez. Ne soyez pas méchant avec la Bible, ne soyez pas méchant, tout simplement, car en plus ce n’est pas votre nature Paul.

Il ne faut pas confondre la révélation divine d’hier et d’aujourd’hui (comme la Science de l’Univers TOTAL que je fais, la Science de la Source ou Dieu donc), avec les distorsions dues aux entités négatives, qui sont les religions, telles le judaïsme et le catholicisme. De même que je ne fonde pas une religion mais ajoute simplement à la connaissance de la Source ou Dieu, de même aussi ceux qui nous ont précédé n’ont pas fondé de religion, mais c’est après eux qu’ont été fondées le judaïsme, puis le catholicisme, etc., à ne pas confondre avec le fait d’être un chrétien, un vrai chrétien, comme moi par exemple et d’autres, qui vivons un christianisme (c’est-à-dire suivons la Bible et la sagesse du Christ) mais sans religion.

Et si dans 100 ans par exemple des gens faisaient de mes écrits une religion, ce ne sera pas de ma faute, n’est-ce pas? Vous feriez la différence entre mes écrits ou ce que je vous dis en ce moment, avec cette religion-là, pas vrai? Alors faites pareil avec la Bible, et les religions que vous connaissez. Ne les confondez plus.

Je répète donc que le Serpent de la Genèse, le Dragon de l’Apocalypse, Satan le Diable, les démons combattus tout au long de la Bible, etc., ne sont rien d’autres que les reptiliens ou les entités sans âme dont vous parlez (voir Apocalypse 12: 7-12).

Et de ce point de vue, sans vous en rendre compte, vous adhérez naturellement à la Bible, à son vrai sens. Le reste est une simple affaire de mots.

Plus d’infos dans le livre PDF gratuit :

« Lettre à Paul Ponssot et Léna Ponssot »

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Commentaire du talmudo-kabbaliste Alexandre Jérus (27 mars 2022):

Le diable c’est nous qui le créons par nos mauvaises pensées et comportements. Satan est une entité qui fait partie de la cour céleste. Le serpent d’Eden est un Elohim et généticien, le créateur de l’homme, et symbolisé par la lettre Ayïn ע, l’arbre de la connaissance et de l’arbre de la vie. El Elyon est son nom. La tentation de la femme Yshah est une initiation à l’arbre des séphiroth. Elle échoue au niveau de Tipheret, d’où le changement de son nom en Haoua חוה avec le symbole du Fils de Dieu, le vaw ו et son Esprit signifié par le hé ה. La lettre rèth ח est celle de l’initiation, elle est le symbole de la lumière infinie et la dernière barrière pour accéder au Royaume divin.

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Notre réponse à Alexandre Jérus (28 mars 2022):

Merci pour vos explications, mais, nous sommes navrés, ce sont les enseignements et les interprétations de la tradition du Talmud et de la Kabbale. Et l’une des particularités du Talmud et de la Kabbale, et pas qu’eux d’ailleurs (car c’est le cas de toutes les idéologies anti-bibliques), c’est d’inverser les rôles du vrai Dieu, YHWH ou Yahvé, et du Diable, qui est le Serpent d’Eden. C’est YHWH, le Dieu de Moïse et des prophètes qui est le vrai Dieu, et qui est le créateur de l’homme et de la femme, du Paradis ou Eden où il les a placés (Genèse chapitres 1 et 2). Ils avaient devant eux la vie éternelle, raison pour laquelle l’arbre de vie, qui était l’un des arbres d’Eden, n’était pas interdit. L’autre arbre est l’arbre de la connaissance du bien et du mal, donc l’arbre du mal. C’est lui qui était interdit, mais c’est le Serpent ou Nahash qui le leur a fait manger, ce qui leur a fait perdre le Paradis et donc aussi l’arbre de vie (Genèse 3: 1-24).

Ne lisez plus le Talmud et la Kabbale et la grande montagne de déformations et de distorsions de la vérité divine que c’est, mais lisez simplement la Torah, le Tanakh. Car là je viens de vous présenter les premiers chapitres de la Genèse ou Béréshit, qui est le premier livre de la Torah, la vraie, et qui est aussi le début du Tanakh, ou Bible hébraïque, appelé encore l’Ancien Testament, la première partie de la Bible. Et la Torah et le Tanakh en général dit donc que le Serpent ou Nahash est Satan le Diable, encore nommé Lucifer, Béelzébuth.

Car aussi vous faites la différence entre le Diable et Satan, qui seraient donc deux choses différentes, et vous dites que c’est nous qui créons le Diable par nos pensés mauvaises et comportements, et que Satan par contre est une entité céleste. Et enfin, pour ce qui est du Serpent, il est un Elohim, dites-vous, ce qui veut dire un « Dieu », et que c’est lui qui aurait créé les humains. Or dans le Tanakh et à plus forte raison dans toute la Bible, le Diable, Satan, le Serpent, Lucifer, Béelzébuth, etc., ne sont que différents noms pour désigner une seule et même entité, qui a menti à Eve concernant Dieu (Genèse 3: 1-5), et qui est même le père du mensonge, comme Yéshoua le vrai Machiah l’a dit il y a 2000 ans (Jean 8: 44).

C’est le Serpent d’Eden (le Diable ou Satan donc) qui depuis le début inverse la vérité, inverse les rôles de Dieu et du Diable. Autrement dit il est l’auteur de l’idéologie que vous exposez, à savoir l’idéologie du Talmud et de la Kabbale. Celle-ci est donc tout le contraire même de la pensée des prophètes! Cette idéologie, qui est donc la vôtre aussi, fait tout simplement l’avocat du Diable, puisqu’elle impute à l’homme la responsabilité de ce qu’est le Diable. Elle fait de Satan une entité céleste normale, et elle fait du Serpent un « Dieu ». C’est tout simplement abominable comme idéologie, c’est satanique, c’est du satanisme pur! Ce n’est pas moi, Hubertelie ou Hubert Elie qui le dis, mais c’est vous mêmes qui le démontrez par vos paroles, qui sont du pur poison spirituel et du venin du Nahash le Serpent d’Eden.

Mais nous, nous ne sommes pas des adorateurs de Satan le Diable (ou le Serpent) et de son idéologie, comme vous. Nous défendons la Torah, la vraie, le Tanakh, nous expliquons son vrai sens, tel que les prophètes le comprenaient, et tel qu’il y a 2000 ans Yeshoua de Nazareth ou Jésus Christ, le Machiah ou Messie, le vrai, l’unique, l’a expliqué, ainsi que ses apôtres. Les pharisiens et les sadducéens, les précurseurs des talmudistes et des kabbalistes, dont vous exposez les idéologies d’inversion, ont assassiné Jésus le Messie, ce qui est un très grand crime contre Dieu, dont ils doivent se repentir. Et pourquoi l’ont-ils assassiné? Pour la même raison que leurs prédécesseurs ont assassiné des prophètes, car ils disaient la vérité divine qui dérangeait ces progénitures du Nahash ou Serpent d’Eden. Jésus l’a bien dit en Matthieu 15: 3-9, et Matthieu 23: 1-39, et Jean 8: 44.

Nous poursuivons aujourd’hui l’oeuvre de la Bible (Ancien et Nouveau Testament) avec la Science de l’Univers TOTAL et Science de Dieu.

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Nouveau commentaire du talmudo-kabbaliste Alexandre Jérus (25 avril 2022):

Je n’ai jamais étudié le Talmud, par contre la Qabale m’est familière (écrit Q comme un germe). La Qabale et non Kabbale est écrit avec un Qof et non avec un Kaf, pour le germe et la tradition transmise. YHWH est notre Dieu et le Dieu des Elohim. Le diable c’est nous qui le créons par nos mauvais instincts et nos mauvaises pensées à l’inverse de Satan qui fait parti de la cour céleste voir Job 1/6. YHWH est le créateur de l’univers et de tout ce qui existe, alors qu’Elohim n’est qu’une créature de l’Eternel YHWH au même titre que l’homme que Elohim a créé. Vous PARLEZ comme un Catholique ou un chrétien d’une autre confession.

On ne parle pas de vie éternelle dans la bible il est simplement dit au verset Gen 2/17 – mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras point: car le jour où tu en mangeras, tu mourras ! L’Arbre de la Connaissance est l’arbre qui rend conscient de ce qui est juste ou qui ne l’est pas. Pourquoi Elohim dit en Gen 3/22 – Voici l’Adam est devenu comme Un de Nous, en ce qu’il connaît le bien et le mal. Et maintenant, il pourrait étendre sa main et cueillir aussi du fruit de l’arbre de vie il en mangerait, et vivrait à jamais. Vous constatez qu’il n’y avait rien de promis. En outre les humains étaient les esclaves-travailleurs (Oved) des Elohim dans le fameux jardin d’Eden.

Oui comme vous le soulignez le Diable c’est nous qui le créons à l’inverse de Satan. Attention il n’est pas dit que le Serpent Nahash נָּחָשׁ est Lucifer (lucifer c’est chrétien), Belzébuth c’est le dieu des Cananéens, il n’a rien à voir avec Satan, ni avec le Serpent. Oui le Serpent est un Elohim et le plus grand parmi les Elohim, c’est un généticien, son nom est El Elyon celui qui a aménagé notre planète. Il est les deux arbres עֵץ du jardin et est représenté par la lettre Ayin עֵ, le Tsadiq ץ . (Arbres des Séphiroth)

Enfin pour clore ce débat je vous expose ce que j’ai compris des textes du Tanak :Dans cette histoire ou mythe il y a plusieurs explications psychanalytiques et autres. L’important c’est de ne pas sortir, complètement, du contexte de la Torah ou Tanak. Le Serpent s’est adressé à la femme Ysha qui est plus perfectionnée qu’Adam, car elle fut tirée d’Adam.

Le Serpent est un Elohim( le Premier des Elohim). Il essaie d’ouvrir la conscience de la femme par un cheminement intérieur (à l’arbre de la connaissance Etz haDaat et à l’arbre de vie Etz haHaïm). Mais elle échoue au niveau de Tipheret ( chakras du coeur – Anahata ), entre temps, elle a vu le » Fils de Dieu – le divin Soi « . D’où le fait du changement de son nom en Haoua חַוָּה avec le Vaw וָּ et l’esprit (ה ) du Fils de Dieu יהוה. La lettre rèth חַ est celle de l’initiation.

A partir de cette instant elle annonce son initiation au nom de YHWH : elle dit : J’ai acquit un homme, avec, YHWH – Gen 4/1. Posons-nous la question ? Qui a donné le nom de l’Eternel YHWH à Eve, si ce n’est le Serpent. La révélation du nom de Dieu YHWH ne se fera que quelques milliers d’années plus tard avec Moïse dans le Sinaï?

Auparavant les humains n’étaient qu’à l’image de Elohim Gen 1/27, ce n’est qu’après la transgression que l’homme sera à la ressemblance : Voici que l’homme est devenu comme l’un de nous – Gen 3/22. L’homme est consanguin avec Elohim par le mot demout דמות ressemblance dont la racine est issu du mot sang dam דמ. Apparemment le serpent est le maître du jardin et de l’Eden, il ne peut être qu’El Elyon, l’Ange suprême, créateur de l’homme.

En ce qui concerne Qaïn, il est le "Fils du Serpent" d’où la connaissance du Tétragramme qui sera transmis à un de ses descendants Jéthro – Hobab le Qaïnite (Kaïnite). Son fils Hénoc signifie » initié » au nom divin YHWH.

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Notre réponse à Alexandre Jérus (26 mars 2022):

Merci, Alexandre, pour vos explications. Même si notre lecture, notre compréhension et interprétation des mêmes textes, convergent sur pas mal de points mais divergent sur beaucoup d’autres points, il est intéressant de savoir ce que l’autre pense. Par exemple, c’est bien en écoutant les rabbins talmudistes sur Youtube entre autres que j’ai appris des choses très intéressantes, certes, mais aussi j’ai vu ce qui selon moi constitue les graves erreurs du Talmud mais aussi de la Kabbale, ou Qabale si vous préférez. Mais au moins je sais ce que les talmudistes disent, et je commence à mieux comprendre aussi la vision de la Qabale, même si je ne suis pas d’accord avec beaucoup des enseignements du Talmud et de la Qabale, comme je vais le montrer sur la base de ce que vous venez d’expliquer. Est sage celui qui juge après avoir écouté. Je m’intéresse à la racine hébraïque du Tanakh, mais néanmoins je tiens à ce que les idées soient justes et vraies, tout simplement. Je tiens à distinguer l’hébreu, notamment biblique, avec le Talmud et la Kabbale (ou Qabale si vous voulez) avec lesquels les talmudistes et kabbalistes veulent faire confondre, notamment dans leurs échanges avec les non-juifs.

Sur ce point de la compréhension de la Torah et du Tanakh, qui sont originellement écrits en hébreu et araméen, pour ce qui est de la Torah et du Tanakh, j’aimerais dire un point très important, qui est universel, et qui est valable pour n’importe quel écrit de n’importe quelle langue. Le point est que la langue dans laquelle une oeuvre est écrite est une chose, et le sens de l’oeuvre est une toute autre chose! Ce n’est pas parce qu’on ne parle pas la langue originelle d’une oeuvre, ici l’hébreu, qu’on ne peut pas comprendre le sens de cette oeuvre mieux qu’une personne qui parle la langue originelle de l’oeuvre.

Par exemple, l’oeuvre d’Aristote ou de Platon a été écrite en grec, et traduite en français entre autres. Moi qui parle français, je peux tout à fait comprendre le sens de la philosophie d’Aristote plus qu’une personne parlant le grec, même si elle étudie l’oeuvre d’Aristote (voir Le Principe de Non-Contradiction, le Principe de la Négation de l'Univers TOTAL). Même si donc la langue originelle aide à la compréhension, la langue et le sens sont deux choses complètement différentes.

L’argument implicite ou explicite qui consiste à dire: «Je m’y connais dans la langue originelle donc je comprends mieux l’oeuvre que vous qui ne connaissez pas la langue», ne tient pas du tout devant moi, cet argument est fallacieux. Je ne dis pas que vous avez exprimé explicitement cet argument, mais juste que je le ressens implicitement chez vous, comme aussi c’est en toile de fond dans les enseignements des talmudistes. L’idée donc que: «Vous qui ne parlez pas l’hébreu ce n’est pas vous qui allez nous enseigner le Tanakh. Vous êtes des ignorants, et laissez-nous vous expliquer le Tanakh».

[J'ajoute la précision suivante, sur ce qu'a annoncé le prophète Isaïe 28: 9-11: "C'est par ceux qui bégaient des lèvres et par une autre langue qu'il parlera à ce peuple". Ainsi donc, comme au temps de Jésus de Nazareth il y a 2000 ans, vous avez montré que vous ne compreniez pas la Torah et le Tanakh dans son ensemble, et que même vos plus brillants rabbins de tous les temps sont dans des ténèbres profondes (car si vous compreniez la Torah et le Tanakh) vous auriez reconnu le Messie annoncé par les prophètes, Messie que vous ne reconnaissez toujours pas même 2000 ans après), de même donc maintenant, c'est par des goyim ou non-juifs, ceux qui donc bégaient et balbutient seulement l'hébreu que Dieu va vous expliquer la Torah et le Tanakh. Soyez enfin sages à présent, laissez-vous enfin enseigner le Tanakh. Voir aussi ce que Jésus a dit en Matthieu 23: 37-39: "Vous ne me verrez plus, jusqu'à ce que vous sachiez dire: 'Béni est celui qui vient au nom du Seigneur'"]

Au contraire donc, on peut être porteur d’un grand mensonge ou d’une grande erreur, qu’on impose aux autres en se réfugiant derrière l’axiome faux selon lequel on comprend mieux le sens d’une oeuvre parce qu’on parle la langue originelle de l’oeuvre, ou parce qu’on s’y connaît dans cette langue. Ici, nous sommes dans une logique divine, et pas dans une logique d’une langue ou d’une ethnie ou d’une race. Et dans la logique divine, c’est l’Esprit de Dieu, l’Esprit Saint ou Rouah Akkadosh (comme vous diriez en hébreu mieux que moi) qui donne le SENS et la Pensée de Dieu ou de YHWH, et non pas les mots d’une langue, quelle qu’elle soit. Et là aussi on ne va pas jouer sur les différents mots qui désignent l’Etre Suprême YHWH pour noyer le poisson et embrouiller les esprits.

En ce qui me concerne donc, c’est par l’Esprit de Dieu, qui a parlé aussi par les prophètes (Abraham, Isaac, Jacob ou Israël, par Moïse, David, Salomon, Isaïe, Jérémie, Ezékiel, Daniel, etc.), et qui a parlé par Elie, Elisée, Jean-Baptiste, Jésus, les apôtres et de nos jours par moi Hubertelie ou Hubert Elie, oui c’est par cet Esprit de la Vérité que je comprends la Parole de Dieu. Il importait de clarifier ce point.

Votre compréhension est donc celle de la Kabbale ou Qabale, peu importe, et quant à moi j’exprime le sens de la Torah et du Tanakh plus généralement, avec l’Esprit qui a parlé par les prophètes. Je suis chrétien, parce que pour moi Jésus ou Yéshoua de Nazareth que les prédécesseurs des talmudistes ont crucifié il y a 2000 ans, était et est bel et bien le Messie ou Machiah annoncé par les prophètes. Ils ont donc raté le rendez-vous, à cause de leurs mauvaises compréhensions du Tanakh, peu importe s’ils parlent l’hébreu. Comme déjà dit, on peut se tromper sur une oeuvre, même en parlant la langue originelle de l’oeuvre, mais on peut avoir raison en parlant une autre langue que celle de l’oeuvre. Rien à voir donc.

Je suis donc chrétien en ce sens là, mais je ne suis pas catholique. Ce n’est donc pas l’enseignement catholique que je donne, mais celui de la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu (voir https://hubertelie.com/) .

Et pour rentrer un peu dans le fond de vos idées, il est vrai que le mot Diable ne se trouve pas dans le Tanakh, mais il est parlé du Serpent dans la Genèse, le reste du temps on parle le plus souvent de Satan dans le Tanakh, comme effectivement dans les deux premiers chapitres du livre de Job, et là vous avez parfaitement raison. Il y a aussi par exemple Zacharie ou Zekariah 3: 1, 2, où il est dit que le grand prêtre ou grand cohen Yoshouah était devant l’Ange de YHWH, et Satan se tenait à sa droite pour l’accuser. Et l’Ange de YHWH dit à Satan: « Que YHWH te blâme, ô Satan, oui que YHWH te blâme ». Le moins qu’on puisse dire est que Satan n’a pas un comportement positif, il est clairement un Opposant à YHWH et à son Ange, ici au passage le grand prêtre ou cohen Yoshouah, qui représente le Messie dans sa condition humaine, où Satan l’accuse comme aussi il accusa Job. Mais passons….

Le mot Diable, du grec « Diabolos » (j’y reviendrai) signifie « Calomniateur » ou « Accusateur » ou encore « Menteur », comme justement le Serpent d’Eden. Mais il est vrai que la Qabale donne une autre vision de Satan mais aussi du Serpent, et une autre interprétation de la notion de Diable. On voit clairement que Satan se comporte en Accusateur, c’est-à-dire en Diable au sens propre du terme Diable. On peut faire la même remarque pour le Serpent, qui du fait d’avoir contredit YHWH, a fait perdre le Paradis à Adam et Eve. Il est vrai que Genèse chapitre 1 parle de Elohim ou Dieu, et pas encore de YHWH, ce qui ne veut pas dire qu’il faille séparer Elohim et YHWH. Ce qu’il faut distinguer de YHWH c’est Eloah le singulier de Elohim, car Elohim est un mot pluriel de Eloah (j’y reviendrai). Quand donc Elohim est employé comme pluriel de majesté qui signifie littéralement « Dieux », si l’on traduisait correctement le sens du mot hébreu Elohim, cela désigne YHWH. Il y a une raison profonde à cela que la Science de Dieu permet de comprendre aujourd’hui. C’est que YHWH l’Etre Suprême est de nature FRACTALE, ce qui implique une Infinité de Dieux dans un seul Dieu Unique. C’est donc plus qu’une simple question de Trinité comme chez les catholiques, mais d’une question de Nature FRACTALE de Dieu, tout simplement. Dans une Structure FRACTALE, chaque modèle de la FRACTALE représente la FRACTALE entière. Pour comprendre la logique FRACTALE, voir cette page:

La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l'Univers:
https://hubertelie.com/u_phy_scien-fr-410-000-fractal-clef-univers.html

Voilà donc la raison profonde pour laquelle Dieu est un mot pluriel, Elohim. Chaque Eloah est un modèle ou représentant de la FRACTALE qu’est Elohim, qui est l’Infinité des Eloah, chaque Eloah représentant Elohim et agissant et parlant en son nom. Je ne sais pas si vous suivez la logique. Le mot hébreu Elohim ne fait donc que rendre compte d’une Vérité Divine, Universelle, qui est fondamentalement scientifique, celle de la Science de Dieu, parfaitement en accord avec non seulement le sens du Tanakh, mais aussi de toute la Bible. C’est ce qui n’est pas le cas de la Qabale, qui comme le Talmud déforme au contraire le sens du Tanakh et la révélation des prophètes. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas des choses intéressantes dans la Qabale ou le Talmud, mais juste que ce que nous recherchons, c’est la Vérité pure et simple, lumineuse, compréhensible par tous, et non pas ésotérique, compréhensible uniquement pour les initiés de la Qabale.

Les traducteurs ont fait le choix de ne pas traduire Elohim par « Dieux », tout simplement par peur d’une confusion faisant penser à un polythéisme, alors que Elohim ou « Dieux » désigne bel et bien YHWH le Dieu Unique, celui d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Il n’y a aucune ambiguïté là-dessus (voir Exode 3: 13-15). Ecoutons juste le Tanakh.

Dans le premier chapitre de la Genèse, le premier livre de la Torah et du Tanakh, il est donc question de Elohim ou « Dieu(x) », certes, mais dès le chapitre 2, il est question de YHWH Dieu aux versets 4 et 5 par exemple. L’équivalence entre YHWH et Elohim ou Dieu est ainsi établie dès le départ. Il y a d’autres équivalents dans le Tanakh, comme par exemple Tout-Puissant (qui traduit Shadaï, si ma mémoire est bonne) ou Seigneur ou Adonaï, qui est un terme générique comme Eloah, mais qui désigne aussi YHWH dans les contextes où il faut lui donner un sens exclusif.

Plusieurs noms désignent donc YHWH, c’est-à-dire l’Etre Suprême, l’Etre TOTAL, qui dans la Science de l’Univers TOTAL est l’Ensemble de toutes les choses et de tous les êtres, le « Je SUIS l’Alpha et l’Oméga » du livre de l’Apocalypse du Nouveau Testament (Apocalypse 1: 8; 21: 6; 22: 13) qui s’est révélé à Moïse sous sa forme abrégée « Je SUIS » (voir Exode 3: 13-15). Autrement dit YHWH. Plusieurs noms soit le désignent directement soit sont des entités qui le représentent, comme par exemple l’entité qui parla à Moïse dans le buisson au Sinaï, qui n’est pas YHWH dans toute sa TOTALITE mais simplement un Ange, oui un Ange de YHWH ou Eloah, qui le représente.

Chaque Ange qui représente YHWH est appelé un Eloah ou « Dieu » au singulier. Mais, comme déjà dit, Elohim, qui est donc un mot pluriel, signifie « Dieux », et cela désigne tout le Corps des Anges qui représentent YHWH le Dieu Unique, la FRACTALE, et agissent en son nom. C’est aussi simple que cela, et pas besoin vraiment de parler hébreu ou d’ergoter sur les mots, pour comprendre l’Essence Divine, sa Logique, son Esprit. Il est juste nécessaire de comprendre la logique divine ou celle de la Science de Dieu qui se cache dans les mots hébreux pour parler des choses de Dieu. Mais malheureusement, c’est cette logique que la Qabale, qui est la principale des gnoses juives, déforme, comme le font les gnoses en générale. C’est ainsi par exemple aussi que les gnoses chrétiennes, qui sont nées à partir du deuxième siècle après Jésus Christ, déforment le sens de l’enseignement de Jésus ou Yeshoua le Messie ou Machiah.

[J'ajoute ceci: les gnoses, notamment lucifériennes, les enseignements initiatiques ou à mystères, comme l'initiation que la Qabale dit qu'Eve aurait subie en ce qui concerne le nom YHWH, oui ces gnoses, ésotérismes et autres initiations à des mystères, etc., ce qu'est ni plus ni moins la Kabbale ou Qabale, sont tout simplement des initiations à la sorcellerie, ce qu'interdit la Torah et tout le Tanakh, et aussi le Nouveau Testament. Tout cela est l'oeuvre du Serpent d'Eden, qui est Satan le Diable, comme l'explique clairement le Nouveau Testament la suite du Tanakh inaugurée par Jésus le Messie. La Kabbale est tout bonnement la sorcellerie juive. Le but de la Kabbale c'est déjà de commencer à brouiller la vérité divine concernant Satan le Diable, le Serpent donc, et d'inverser les rôles de Dieu et du Diable, et d'inverser les valeurs divines.]

De la même façon, plusieurs noms différents désignent donc Satan dans le Tanakh. Même si on n’y trouve pas explicitement le mot Diable, cela ne veut pas du tout dire que la notion de Diable n’y est pas, et précisément, plusieurs noms différents, à commencer par Satan, traduisent dans le Tanakh le sens du mot Diable. Le plus commun est donc Satan, qui signifie littéralement « Adversaire » ou « Opposant ». Le Diable n’est donc pas la création de l’homme par ses mauvaises actions ou autres, car cette idée de la Kabbale ou Qabale vient justement de Satan, d’abord pour décharger la responsabilité du MAL sur l’homme et non pas sur le Diable, et ensuite pour distinguer Satan de Satan, pour faire de Satan une « noble » entité céleste, sous prétexte que le livre de Job parle spécialement de son existence dans les sphères célestes. Mais il faut voir comment il s’oppose à YHWH, et plus exactement à l’Eloah ou « Dieu » qui représente YHWH dans le livre de Job. Il suffit de lire pour voir qu’il s’agit d’une relation d’opposition entre Satan et ce représentant de YHWH qui défendait la cause de Job, tandis que Satan oeuvrait pour sa ruine et le soumettait à des souffrances! Satan est une incarnation du MAL, et c’est cela la définition du Diable.

Et si le mot « Diable » ne se trouve pas comme tel dans le Tanakh (Ancien Testament) c’est tout simplement aussi que le mot « Diable », qui veut donc dire Calomniateur ou Accusateur (tandis que Satan veut dire Adversaire ou Opposant) est d’origine grecque, « Diabolos »! Il est donc logique qu’on ne trouve pas Diable dans le Tanakh, écrit en hébreu-araméen et non pas en grec. Mais Diable ou Diabolos (en tant que nom propre et non pas le nom commun diable ou démon) est un mot grec désignant la même entité appelée Satan. Même logique que par exemple pour le mot « ange » qu’on ne trouve pas dans le Tanakh, pour la bonne et simple raison que le mot ange vient du grec aggelos, qui correspond à l’hébreu malak. Quand dans le Tanakh on lit les « anges », c’est écrit en fait les « malaks ». De même, si les traducteurs avaient choisi d’employer le mot « Diable » dans le Tanakh, il faut comprendre que là ils veulent dire « Satan ». C’est aussi simple que cela.

Et maintenant, concernant Lucifer, c’est là encore un surnom de Satan, en tant que l’entité appelée le Brillant en Isaïe 14: 12-20, et dont il est dit qu’il est tombé ou est déchu. « Lucifer » signifie « Porteur de lumière », ce qui signifie qu’il s’agissait d’un Eloah ou « Dieu » qui portait la lumière de YHWH le Dieu Unique, mais qui s’est écarté de Dieu et a chuté.

C’est de la même entité qu’il est question en Ezékiel 28: 11-19, et il est dit d’elle qu’elle était brillante et resplendissante physiquement, faite de « pierres précieuses », qu’elle était placée en Eden le Jardin de Dieu, qu’elle était fidèle dans ses voies, jusqu’au jour où elle s’est mise à pécher et à ruiner son héritage. Là encore on parle de Satan d’une autre façon, et c’est encore de Satan qu’on parle en Eden, en tant que le Serpent qui a fait pécher Adam et Eve. Et pour Béelzébuth, il désigne effectivement le Baal des cananéens, qui n’est pas directement synonyme de Satan, mais désigne un démon ou ange de Satan adoré à Canaan, et donc c’est Satan qui est indirectement adoré. Voilà pourquoi dans la période du Nouveau Testament, Béelzébuth, qualifié de chef des démons par les pharisiens en Luc 11: 14-23 est devenu un des surnoms de Satan. Les pharisiens accusaient Jésus d’expulser les démons par Béelzébuth ou Béelzéboub le chef des démons. Et Jésus leur objecte en disant: « Comment Satan peut-il expulser Satan? » Et il ajoute que si c’est par le pouvoir de Satan qu’il expulse les démons, alors Satan est divisé contre lui-même, et comment alors son royaume tiendrait-il? On voit donc que dans la culture juive de l’époque, Béelzébuth est devenu un surnom de Satan.

Tous ceux qui ont un tant soit peu d’intelligence divine, comprennent tout cela. Sous prétexte des mots hébreux, vous compliquez inutilement les choses avec votre Kabbale ou Qabale, de même qu’avec le Talmud. Vous enténébrez la pensée divine, qui est pure lumière et vérité. Vous préférez l’ésotérisme, qui est l’oeuvre de Satan pour brouiller la connaissance de YHWH, à la simplicité de la Pensée Divine. Et votre problème aussi est que, du fait justement de votre enfermement dans une langue ou dans une question de race, votre compréhension de l’Univers et des choses, et du monde, ne dépasse pas l’horizon culturel propre à cette langue. Cela rend hermétique votre compréhension. L’hébreu est une langue très expressive et puissante, certes, mais ça reste une langue comme les autres, comme aussi le grec, comme le latin, comme le français ou l’anglais, etc., avec les limitations des langues pour comprendre tout le trésor divin. Vous avez fait de l’hébreu le centre de compréhension de tout, je dirais même un fétiche ou une idole. Au lieu donc d’être juste un outil de communication. C’est à un point qu’une expression courante en France pour dire qu’on ne comprend rien à quelque chose, est de dire: « C’est de l’hébreu pour moi ». L’autre langue du monde pour laquelle les français ont le même genre d’expressions, c’est le chinois, quand un français dit par exemple: « Tout ça c’est du chinois pour moi ». Alors qu’en fait l’hébreu est une langue facile, quand on se donne la peine de comprendre sa logique, et pour cela en s’aidant justement du Tanakh, et surtout pas de la Qabale ou du Talmud, qui fait injustement fuir l’hébreu.

Rien que le mot Kabbale ou Qabale fait peur à beaucoup. Et dès qu’on parle aussi de YHWH ou de Yahvé selon une transcription populaire, cela repousse beaucoup aussi, ils préfèrent Jésus du Nouveau Testament, qu’ils associent à l’amour, tandis qu’ils voient le contraire chez YHWH. Et je me donne beaucoup de peine à leur expliquer que YHWH n’est pas aussi « terrible » qu’ils le pensent, et que Jésus n’est qu’un Eloah ou l’Ange de YHWH fait chair, pour manifester YHWH sur terre. En effet, Jésus ou Yéshouah signifie « YHWH est Salut » ou le « Salut de YHWH ». Et donc en fait c’est de YHWH que l’on parle encore en parlant de Jésus. Si les ancêtres des talmudistes, les pharisiens donc, avaient compris cela, il n’auraient jamais crucifié Jésus il y a 2000 ans.

YHWH est en fait le Dieu Universel, qui s’est juste révélé au monde par Israël, car il faut bien se révéler par un peuple, comme il s’est révélé ensuite en grec avec le Nouveau Testament, et maintenant en français au troisième millénaire. Mais vous, vous restez donc prisonniers de l’hébreu et ne voulez pas sortir de ce Carcan pour ouvrir enfin les yeux sur l’Universel, l’Univers TOTAL dont je parle à présent. Je ne parle pas de Catholicisme mais simplement de la pensée scientifique, universelle, oui la Science de Dieu maintenant. Vous avez raté le rendez-vous avec Jésus ou Yéshoua de Nazareth, l’unique et vrai Messie ou Machiah. C’est donc lui qui a été annoncé par les prophètes, qui a apporté beaucoup, beaucoup, et beaucoup d’éléments nouveaux, de compréhension du Tanakh, beaucoup d’enseignements de vérité et de lumière, ce qui est normal pour le Messie!

Rien que sur la base du Tanakh lui-même, je vous démontre vos erreurs. Et que dire maintenant si je le faisais avec toutes les lumières de Jésus le Messie, toutes les lumières du Nouveau Testament! Et que dire encore si je vous éclairais de toutes les lumières de la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu?

C’est par ici:
Science de l'Univers TOTAL, l'Univers-DIEU:
https://hubertelie.com/.
Et si vous voulez une page en exemple, la voici:
L'Univers TOTAL, le nouveau Paradigme de la Science:
https://hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html.
Et si vous vous sentez de lire un livre PDF de 450 pages exposant cette Science en profondeur, le voici:

L'Univers TOTAL l'Alpha et l'Oméga:
https://hubertelie.com/alter/univers-total-alpha-et-omega.pdf

Shalom, Alexandre

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Nouveau commentaire du talmudo-kabbaliste Alexandre Jérus (26 avril 2022):

Epilogue des échanges

Il dit donc: "Je vous remercie pour la réponse que vous m’accordez. La Torah est souvent mal traduite par les chrétiens.. il serait impossible de vous signalez tous les passages qu’ils ont arrangés à leur convenance pour faire concorder sur le Machiah. "

Nous n'avons pas répondu à ce commentaire car nous estimons que cela n'en vaut plus la peine. Ici est donc l'épilogue des échanges avec Alexandre Jérus. Si j'osais (et je vais oser) je dirais que cette personne montre qu'elle est un nahash, ou serpent, progéniture du Nahash le Serpent d'Eden, comme Jésus et avant lui Jean-Baptiste le déploraient il y a 2000 ans, face aux pharisiens et sadducéens (Matthieu 3: 7; 23: 33; Jean 8: 44). Ils restent bornés dans leurs visions du Talmud et de la Kabbale, et pas moyen d'avancer avec eux dans une discussion ou des échanges, même avec les meilleures volontés de l'Univers.

Prendre le temps de répondre à une personne, et lui dire ce qu'on a retiré de notre côté de la discussion, pour à la fin constater que de son côté, rien n'a avancé d'un iota! Elle reste dans l'idée qu'elle a raison, et qu'on a tort, quoi qu'on lui dise ou lui démontre. Une discussion saine et constructive avec une personne part de bases sur lesquelles on est d'accord ou on devrait être d'accord. Ici donc les Ecritures, le Tanakh, qui commence par la Torah.

Comme je l'ai rappelé dans mes explications, ces textes (le Tanakh donc), qui sont la révélation divine pour l'humanité (et pas que pour les juifs, voyons!) sont originellement écrits en hébreu et en araméen, et traduits dans les autres langues du monde, à commencer par le grec, qui est la langue du Nouveau Testament. Fort heureusement que c'est ainsi, sinon comment les autres peuples et langues auraient accès à la révélation divine?

Sur cette base donc, on devrait pouvoir discuter et se comprendre, même si on ne parle pas la même langue, même si donc nous ne parlons pas ou ne lisons pas l'hébreu, comme notre interlocuteur. Autrement dit, nous pouvons demander au Tanakh d'être l'arbitre entre notre vision des choses de notre côté, et celle de ce talmudo-kabbaliste de l'autre. Mais seulement voilà: si cette base commune est elle-même remise en question, avec cet abominable et sempiternel argument de la langue (ici l'hébreu donc), de la traduction, etc., on ne peut plus s'en sortir, plus aucune discussion n'est possible dans ces conditions. Car que dire à une personne, quand on lui montre ses erreurs sur la base des textes qui doivent être l'arbitre, si sa seule argumentation à tout ce qu'on lui a expliqué, est, en gros, que cela n'aurait aucune valeur, car le texte que nous avons serait une mauvaise traduction?

Ainsi donc, si l'humanité créée par Dieu veut comprendre la Bible, et notamment le Tanakh ou Ancien Testament, on devrait tous apprendre l'hébreu, sinon notre compréhension des textes ne peut qu'être mauvaise, en raison des supposées mauvaises traductions. Je ne suis pas en train de dire qu'il ne peut exister une traduction approximative ici ou là, mais franchement, avec le nombres d'experts, d'exégètes, de linguistes, etc., qui s'intéressent aux textes bibliques depuis des siècles voire des millénaires, dont même des gens qui ne sont pas forcément croyants mais juste des intellectuels, comment peut-on encore avancer ce genre d'arguments foireux? Oui comment peut-on dire que les textes traduits que nous avons de nos jours dans toutes les langues sont l'oeuvre de gens forcément malhonnêtes, qui ont par exemple traduit les idées de telle manière à appuyer la thèse que Jésus de Nazareth est le Messie?

J'ai pourtant pris le temps dans mes explications de dire que ce genre d'arguments ne tient pas devant moi! Notre interlocuteur a balayé du revers de la main nos explications, pour à chaque fois ramener ses poisons et venins de kabbaliste, car au fond, il n'a qu'un objectif: tenter de nous enfoncer ces venins du Serpent d'Eden dans nos esprits. Et ce sous prétexte que lui parle ou lit l'hébreu, donc en saurait forcément plus que nous. Il n'a que faire de ce que nous lui disons, c'est uniquement ce qu'il nous dit qui compterait. Face donc à la même mauvaise foi que les pharisiens il y a 2000 ans, aucune poursuite des discussion n'est possible, hélas. Le temps est précieux, nous n'avons pas de temps à perdre encore, nous avons mieux à faire. Nous lui avions dit "Shalom" ("Paix" en hébreu), mais c'est lui-même qui montre qu'il n'est pas digne de ce Shalom.

Réponse a Pierre Hillard, pour comprendre les vraies raisons du rejet du Christ

Le rejet du Christ par les talmudistes, on l'entend.

Partie basée sur le X-tweet d'Hubertelie:
https://x.com/AbliBouyo74535/status/1796739179092509091

Voir aussi: – Benyamin Nétanyahou et ses alliés les talmudistes et les « chrétiens » protestants
Et aussi: – Ceux qui ont sacrifié Jésus le Messie à Satan pour s’asseoir sur son trône…

Je ne suis pas du tout d’accord avec l’analyse de @HillardPierre ici, et aussi nombre de ses analyses géopolitiques, notamment quand il ne fait pas de nuances entre la vision géopolitique de Poutine et de Trump d'une part, et celle des mondialistes israélo-occidentaux d'autre part.

L’ordre mondial est en train de changer très profondément, et ce ne sera ni le Nouvel Ordre Mondial unipolaire de l’hégémonique empire israélo-occidental, ni vraiment l’ordre mondial multipolaire des BRICS, mais une troisième voie en fait, quelque chose de nature très différente!

C’est un ordre divin qui est en marche et dont les BRICS n’en sont qu’un des nombreux symptômes mondiaux, ou signes avant-coureurs. C’est un Nouveau Paradigme scientifique et dans tous les domaines qui est en train de se manifester. Il est si différent de tous les systèmes connus en ce bas monde jusqu’à présent, que je le nomme le Cygne Noir (voir l’article: Nous sommes le Cygne Noir).

Mais entre les deux ordres mondiaux, celui des BRICS est nettement meilleur, car basé sur des principes de plus d’équité entre les peuples souverains et les civilisations souveraines. Ceci ne peut pas être plus mauvais que l’ordre israélo-occidental, qui repose sur le principe de la négation et de la destruction des autres peuples et civilisations, au profit d’un seul, comme c’est exprimé dans le Protocole des Sages de Sion.

Il est absolument inutile de nier la réalité de ce Protocole, puisque le monde voit tout simplement devant ses yeux l’accomplissement étape par étape de ce Protocole. Il est donc inutile d’essayer de nier ce que même des aveugles voient à présent, de tenter (encore) d’hypnotiser le monde avec de fausses accusations d'« antisémitisme » à l’encontre de ceux qui disent la vérité sur ce qui se passe vraiment sur cette terre. Comme les horreurs auxquelles le monde entier assiste en ce moment au Proche-Orient, le génocide des palestiniens à Gaza, à Rafah, etc., le maître d’oeuvre de cette abomination étant Benyamin Nétanyahou, que je surnomme Benyamin Satanyahaou, le Barabbas d’Israël.

Et quand je dis Barabbas, je fais référence à ce malfaiteur et criminel qu’il y a 2000 ans, l’élite juive, notamment les pharisiens, a demandé à Pilate le gouverneur de l’empire romain de libérer mais de crucifier « Jésus de Nazareth le Roi des Juifs » (c’est Pilate qui, inspiré par Dieu pour la circonstance l’a nommé ainsi à juste raison), le Messie et Fils de Dieu qui pourtant prêchait l’amour du prochain (Jean 18: 33-40; 19: 8-22).

Il prêchait tout simplement le Royaume de Dieu, qu’il appelait aussi le Royaume des Cieux, que nous appelons la Civilisation de l’Univers TOTAL, et qui est très précisément le Cygne Noir qui est en train de se manifester au troisième millénaire, dans beaucoup de douleurs de l’enfantement.

Assez de pharisaïme depuis 2000 ans, assez de talmudisme, ce faux judaïsme qui a demandé de libérer un criminel, mais de crucifier un juste, qui prêchait l’amour du prochain, comme on peut le lire par exemple dans la célèbre Parabole du Bon Samaritain (Luc 10: 23-37). Aujourd’hui on dirait la parabole du Bon Palestinien, amalgamé avec le Hamas et massacré, qu’il soit enfant, femme ou homme, vieillard ou jeune! Un innocent ou une innocente massacré (e), c’est un Jésus de Nazareth qui est crucifié de nouveau, comme il l’a fait savoir dans la Parabole des brebis et des chèvres (Matthieu 25: 31-46).

Assez de mensonges de ce faux judaïsme pendant 2000 ans concernant la Torah et le Tanakh (Bible juive) que ce talmudisme dit représenter, alors que son esprit en est l’exact contraire! Oui, le talmudisme ou pharisaïsme est le fossoyeur du vrai judaïsme, comme Jésus lui-même le dénonçait déjà il y a 2000 ans (Matthieu 15: 3-9; 23:1-39). Et 2000 ans après, ce n’est que pire!

Assez de mensonges pendant 2000 ans aux juifs, de ce pharisaïsme sur Jésus et sur ce que lui et ses apôtres et disciples ont dit et fait au premier siècle, avant qu’à leur tour, dès le quatrième siècle, parce qu’ils ont été très infiltrés par le pharisaïsme faussement converti au christianisme mais aussi par d’autres mauvaises idéologies (voir 1 Jean 2: 18), ils ne se mettent à dévier, ce qui commença à donner ce qui sera appelé l’église catholique (nous y reviendrons justement aussi, pour maintenant distinguer le bon grain de l’ivraie).

Assez de mensonges pendant 2000 ans du talmudisme, qui ne dit pas les vraies raisons de la destruction par les romains en l’an 70 du temple de Jérusalem, haut-lieu du judaïsme biblique:

Les gens n’étaient pas nécessairement riches, et ce n’était pas une société sans maladies ou sans problèmes (Jésus guérissait justement des malades, expulsait les démons de gens possédés, nourrissait des affamés, etc.), mais en comparaison de maintenant et malgré le modernisme de maintenant qui est très trompeur, l’énergie n’était pas du tout la même. Il y avait un flux divin, une inspiration divine, une ambiance globalement divine, des valeurs divines, etc., qui a disparu depuis, et qui reviendra, après le travail de Nouveau Paradigme que nous faisons, et dont les fruits se manifesteront plus tard.

Et alors ceux qui profitent le plus du système actuel, et qui sont comme l’homme riche d’une des paraboles de Jésus, verront leur système s’effondrer et eux avec, parce que c’est dans cette catégorie sociale qu’il y a le plus de progénitures du Diable, tandis que les défavorisés de ce système, comme Lazare dans cette parabole, seront relevés et seront dans la gloire et la lumière divine (Luc 16: 19-31). Jésus avait tout dit et nous portons plus loin ce qu’il a dit, avec la Science de Dieu, qui est en fait la Science du Christ, celle qu’il inspire à son serviteur qu’il a appelé l’Esprit de la Vérité (voir Jean 16: 7-15).

Mais transportons-nous à 2000 ans en arrière, à l’époque de Jésus donc, quand le second temple était encore debout, et quand le christianisme naissait et quand l’ambiance était encore celui du judaïsme biblique. C’était le judaïsme lumineux et divin, dont le christianisme primitif avait gardé l’Esprit et l’Energie jusqu’à au moins l’an 100 de notre ère, même après la destruction du temple par les romains en 70. Judaïsme biblique à son âge d’or avec lequel ce qu’on appelle de nos jours « judaïsme », le talmudisme donc, qui est sombre, ténébreux, souvent méchant, n’a plus rien à voir. Seule ombre et noirceur à cette époque (surtout noirceur de l’âme), il y avait des gens comme les pharisiens, ceux qui ont martyrisé par exemple Etienne le très lumineux disciple de Jésus (voir Actes chapitre 7).

Oui, Etienne face aux visage de la Shoah bien avant la Shoah, les démons et enfants du Diable infiltrés dans le peuple juif depuis l’époque de Moïse et même avant. Dans les siècles avant Jésus, il y avait des épisodes lumineux, comme par exemple aux temps des bons rois comme Salomon, Ezéchias etc., où cette espèce démoniaque était en veilleuse et en clandestinité dans l’ambiance divine et lumineuse globale.

Mais à d’autres époques, comme par exemple au temps des prophètes de Baal au temps d’Achab et de la reine Jézabel, c’est cette progéniture du Diable qui sortait de l’ombre et prenait le dessus. Alors aussi l’énergie globale n’était plus la même, l’ambiance était ténébreuse, le peuple soupirait et gémissait en raison de la baisse du flux divin. Après des temps de ténèbres, Dieu suscitait un prophète et même plusieurs, comme par exemple le prophète Elie puis Elisée au temps d’Achab, pour rétablir le flux divin et ramener le peuple sur la bonne voie (voir 1Rois chapitres 17 à 20, et 2Rois chapitres 1et 2). Le diagramme suivant donne les grandes époques d’alternance entre les ères de grande ambiance divine (en vert) et les âges sombres (en rouge):

Et chacune de ces grandes ères soit de lumière divine soit de ténèbres du Diable est faite de plus petites ères plus de lumière ou plus de ténèbres, qui alternent aussi. L’histoire du peuple d’Israël avant l’époque de Jésus était ainsi faite. Mais après l’assassinat de Jésus le Messie et après la destruction du second temple par les romains en l’an 70 (le premier temple, celui de Salomon, fut détruit au 6e siècle avant Jésus Christ par les babyloniens, en raison d’une suite de graves péchés contre Dieu et contre la Torah, et c’est toujours la progéniture du Diable infiltrée dans le peuple qui amène ces malheurs sur le peuple, du temps des prophètes jusqu’à nos jours), le peuple juif connaît sa plus longue ère des ténèbres, qui dure depuis 2000 ans, et qui continue en fait, malgré les prétentions de retour des juifs sur leur terre en 1947.

Si ce retour était vraiment divin, les choses ne se passeraient pas du tout comme cela au Proche-Orient. Notamment entre l’état d’Israël (l’Israël entre autres des Rothschild, et pas de Dieu, comme on le reverra justement) et les Palestiniens, mais aussi entre les juifs orthodoxes ou ultra-orthodoxes et les chrétiens.

Voir le lien: Israël: pression des ultra-orthodoxes versus réveil de la jeunesse israélienne.

On est loin de l’Energie divine ou Esprit divin qui régnait en Palestine au temps de Jésus de Nazareth, le Messie, même avec la présence et la très grande influence des ténébreux pharisiens, dont les successeurs sont les talmudistes actuels. Si l’on veut se faire idée de ces visages des ténèbres, qui ne dégagent aucune énergie divine, qui ignorent donc ce qu’est l’amour divin, les voici:

Pour plus de détails, voir le lien: Israël: pression des ultra-orthodoxes versus réveil de la jeunesse israélienne.

Il ne reste de nos jours plus qu’un supposé mur de ce temple de Jérusalem, qu’on appelle le « Mur des Lamentations », devant lequel les talmudistes invitent et même forcent les dirigeants du monde à faire un acte d’adoration, s’ils tiennent à avoir un poste de haut rang dans le monde.

Assez de mensonges sur la vraie raison de l’exil juif et de la diaspora juive pendant 2000 ans, et qui est tout simplement l’assassinat de Jésus le Messie, après l’assassinat de beaucoup de prophètes avant lui (voir Matthieu 23: 33-39; 24: 1-44). Raison (qui est donc une punition divine à cause du crime sur le Messie) pour laquelle les juifs ont quitté une terre d’Israël qu’ils n’auraient jamais dû quitter. Ils y sont revenus en 1947 de manière légitime du point de vue du système du Diable (Diable que les élites juives criminelles incarnent justement depuis le crime sur Jésus le Messie il y a 2000 ans), mais illégitime du point de vue de Dieu, car, comme Jésus l’a exprimé en Matthieu 23: 37-39, la seule condition légitime du point de vue de Dieu est de reconnaître en Jésus le Messie et de se repentir de leur crime il y a 2000 ans (voir Apocalypse 1: 7), ce qu’ils n’ont pas (encore) fait à ce jour, et Dieu seul sait s’ils le feront un jour.

Après leur exil en 70, différents peuples souvent convertis au christianisme et puis majoritairement des arabo-musulmans à partir des temps de l’expansion de l’islam avec le prophète Mohammed, ou ses disciples après lui, ont occupé la Palestine, nom qui viendrait de l’époque des Philistins des siècles avant Jésus Christ, et donné au territoire d’Israël du temps de Jésus, en fait à une région qui va d’ouest en est de la mer Méditerranée à au-delà du Jourdain, et du sud au nord de la mer Morte à la Galilée, où se trouvait Nazareth, là où Jésus a grandi, d’où son surnom « Jésus de Nazareth »:

Ce qui de nos jours est fait aux palestiniens ou aux peuples de Palestine, souvent des arabes, l’autre peuple sémite, descendants d’Abraham par Ismaël, le frère d’Isaac et père de Jacob ou Israël (donc les arabes sont les oncles d’Israël selon la généalogie biblique), est vraiment très injuste! Car, après le péché des juifs (en tant que peuple et pas individuellement, car Jésus et les apôtres étaient juifs aussi) sur Jésus le Messie, péché qui leur a valu leur expulsion de la Palestine, c’est avec le temps les arabes qui ont été en quelque sorte les gardiens des lieux saints, et la célèbre mosquée d’Al Aqsa est un des symboles de la garde des lieux saints par Ismaël l’oncle d’Israël:

Cela signifie qu’en fait les palestiniens sont les meilleurs alliés bibliques d’Israël, ceux qui ont le statut d’oncle d’Israël. Si Israël n’était pas celui des Rothschild, l’élite juive Antichrist, mais s’il était l’Israël de Dieu ou l’Israël repentant qui se réconcilie avec Jésus le vrai Messie, il vivrait simplement avec les palestiniens en paix et sur la même terre, les territoires du Proche-Orient comme le Liban, la Jordanie, la Syrie, etc., et même l’Arabie, formant avec Israël une même grande zone sémite pacifiée, à qui une très grande prospérité divine tend les bras.

Mais la progéniture de Satan, du Diable, du Serpent, du Nahash (Matthieu 3: 7; 23: 33; Jean 8: 44), aussi bien chez les israéliens que chez les palestiniens et ailleurs, ne veulent pas de cette paix divine. Tout simplement parce que ce sont des démons nés humains, des incarnations du Diable. C’est la vérité qu’il faut dire, et elle est biblique. Si ces gens aimaient la paix, la vérité, ou étaient habités par l’amour divin, leurs semblables n’auraient jamais demandé que Jésus soit crucifié et que Barabbas un criminel soit libéré. Et c’est ce que je réponds à Pierre Hillard, et je continue à lui dire ceci:

Nous parlons des talmudo-juifs ou juifs talmudiques, talmudistes ou au sens du talmudisme

Et la vérité, qui dérange beaucoup tous les enfants du Diable de tous les horizons et de toutes couleurs (ils sont en veilleuse au sein des peuples où les enfants de Dieu dominent, et sont ceux qui dominent les enfants de Dieu dans le cas contraire, et alors aussi le mal et le négatif dominent globalement), cette vérité universelle s’applique donc aussi bien entendu dans le cas d’Israël. Sauf que dans ce cas, quand on n’est pas juif (et même quand on l’est) il n’est pas facile de dire la vérité contre ceux qui incarnent le MAL, sans risquer d’être accusé d' »antisémitisme » et de subir des menaces, des persécutions et même risquer sa vie. Les prophètes, puis Jésus et les apôtres sont passés par là.

Et de nos jours, un procureur de la CPI (ou Cour Pénale Internationale), Karim Khan, qui n’est pourtant pas un prophète et qui a émis un mandat d’arrêt aussi bien contre des dirigeants israéliens que contre des dirigeants du Hamas chez les palestiniens, en fait une amère expérience. Quand on demande à Benyamin Nétanyahou (que dis-je, Satanyahou) s’il est inquiet du mandat d’arrêt émis par le procureur de la CPI, il répond que… c’est le procureur qui devait s’inquiéter. Un mafieux, un voyou, un brigand, un malfaiteur, un criminel, bref un Barabbas, ne se comporte pas autrement.

C’est ce genre de progéniture du Nahash (ou Serpent d’Eden) qui depuis 2000 ans au moins font qu’Israël dans son ensemble devient un Barabbas, un Hors-la-Loi. Et sachant que le mot hébreux « Torah » signifie fondamentalement « Loi », les juifs comme Nétanyahou le Satanyahou, sont ceux qui font qu’Israël devient Hors-la-Loi c’est-à-dire Hors-la-Torah. Et pourtant ce sont eux qui prétendent souvent être attachés à la Torah.

Nétanyahou le barbare Barabbas ne cesse de dire en Israël: "C'est moi qui vous protège le plus". Mais en fait ce sont les gens de son espèce démoniaque qui de tout temps conduisent Israël dans l'abîme! Et qui conduisent le monde en Enfer! Nétanyahou s'inscrit dans la longue listes de juifs qui n'aiment pas en fait les juifs, ou ne cherchent pas vraiment leurs intérêts, sauf si ces intérêts rejoignent leurs intérêts propres. Sinon ils n'hésitent pas à sacrifier des juifs pour leurs pouvoirs et avantages personnels. Quand il s'agit de sacrifier des non-juifs, comme les palestiniens par exemple, ils hésitent encore moins.

Et bien sûr, des individus de cette espèce on en trouve dans tous les peuples et toutes les nations. Ils peuvent sacrifier volontiers des concitoyens, pour satisfaire leurs intérêts propres, leurs ambitions ou leur agenda. Ou pour éviter d'avoir à rendre des comptes, comme par exemple Nétanyahou le Satanyahou qui traîne tellement de casseroles derrière lui, qu'il adopte une fuite en avant, pour sa propre survie politique.

Le problème ne concerne donc pas tous les juifs, mais des juifs particuliers dont Benyamin Nétanyahou, le génocideur des palestiniens, est de nos jours une figure très emblématique. Ce genre de juifs, je les nomme les talmudo-juifs ou juifs talmudiques, ce qui veut dire les juifs ayant une culture talmudique, sans nécessairement d’ailleurs pratiquer la religion du judaïsme talmudique. Et certains talmudo-juifs sont même athées, mais ils adhèrent à l’agenda sioniste d’émanation talmudique. Ils sont solidaires de cet agenda, à la différence d’autres juifs qui le dénoncent et qui d’ailleurs sont souvent considérés contre des « traîtres ».

Il existe même un anglicisme pour les étiqueter et qui est « self-hating jews« , ce qui veut dire : les « juifs qui se détestent eux-mêmes ». Et je vous assure qu’il n’est pas facile d’être un juif mais d’être accusé d’être un « traître » pour sa communauté, de « détester » d’être juif, accusation qui vient de gens qui considèrent qu’être juif c’est obligatoirement être un talmudo-juif. La clef du problème est là.

C’est une totale inversion accusatoire, car le pharisaïsme il y a 2000 ans ou sa suite qui est le talmudisme actuel, est une hérésie, c’est lui le faux judaïsme, qui engendre les faux juifs au sens spirituel du terme, comme Jésus l’a dit depuis 2000 ans dans Apocalypse 2: 9 et 3: 9.

Il importe donc à présent de distinguer les talmudo-juifs des vrais juifs, les juifs bibliques, comme l’étaient par exemple Moïse, les prophètes du Tanakh, Jésus et les apôtres. Ou comme le sont encore un certain nombre de juifs en Israël et dans le monde, comme par exemple les Juifs messianiques. Mais, hélas, ce ne sont pas eux qu’on entend le plus en Israël, en France et dans le monde, mais les talmudo-juifs!

Et là encore, même si l’idéologie talmudique est problématique, maléfique, cela ne veut en rien dire que tous les talmudistes sont maléfiques. Pour beaucoup, le talmudisme est juste une religion, à laquelle ils croient sincèrement. Mais cela ne doit pas empêcher de dire la vérité qui doit être dite, malgré toutes les sirènes, trompettes et les alarmes d’accusation d' »antisémitisme » qui sonnent et même retentissent chaque fois que l’on dit les vérités qui dérangent le talmudisme et ses conséquences dans le monde.

Pour revenir à Pierre Hillard, sa vision souffre d’un biais catholique très lourd, qui devient un véritable et très regrettable prisme déformant. J’apprécie quand les catholiques restent dans la catholicité, comme Pierre Barnérias, Richard Boutry, Alexandra Henrion Caude, etc., et non pas dans le catholicisme, comme Pierre Hillard, hélas.

Le mot « catholique » signifie fondamentalement « universel », donc la catholicité c’est l’universalité, ce qu’est justement la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu (https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-060-000-plan-du-site.html).

La catholicité est donc la sensibilité catholique au sens littéral du terme, à savoir donc l’universalité, qui est l’opposé du dogmatisme religieux, qui par contre relève du catholicisme. La catholicité n’empêche pas d’avoir le recul nécessaire par rapport aux dogmes de l’église catholique. Mais quand le biais religieux devient trop lourd comme chez Pierre Hillard, la tentation est alors de tout interpréter pour coller les choses aux dogmes de l’église catholique, auxquels Pierre Hillard réduit le mot « christianisme », et à ce propos il n’est pas le seul à faire cette erreur.

Dans la vidéo suivante, Alexis Cossette-Trudel de Radio Québec déplore aussi ce biais religieux lourd de Pierre Hillard:

Sauf qu’Alexis C-T commet l’erreur: 1) de confondre spiritualité et religion, et 2) de dire qu’il faut détacher la religion (c’est-à-dire donc la spiritualité) de l’analyse politique. Or tout doit être analysé à la lumière de la spiritualité, et le tout est juste de s’assurer d’avoir une bonne spiritualité et la bonne grille de lecture, ce qui est le cas de la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu.

L’autre grande erreur d’Alexis C-T est son fanatisme quasi-religieux à l’égard de Donald Trump, qu’il voit presque comme un Messie, comme un « Jésus Christ » à qui il va jusqu’à comparer Trump, ce qui l’aveugle et le rend incapable de prendre du recul nécessaire pour critiquer au moins un peu Trump. Lui comme Pierre Hillard souffrent donc d’un biais lourd qui aveugle, le biais du catholicisme pour ce qui est de Pierre, et le biais du Trumpisme pour ce qui est d’Alexis.

Et maintenant, pour ce qui est de la vidéo présente où Pierre Hillard est invité à analyser le rejet du Christ par les juifs qui sont sous l’emprise du Talmud, je ne partage pas du tout cette analyse.

L’argument du contexte de « dureté » qu’il évoque pour expliquer certains passages de l’Ancien Testament (Tanakh en hébreu, formé de la Torah, des prophètes et des autres écrits) est en partie vrai, mais est très foireux pour démontrer ce qu’il veut démontrer.

Ce n’est pas du tout ça qui est le sens de l’épreuve d’Abraham de « sacrifier » à Yahvé son fils Isaac. C’est très étonnant que Pierre cite cet exemple pour lui donner le sens qu’il lui donne, alors que le Nouveau Testament donne largement le sens de cet épisode, qui est l’épreuve de la foi, comme c’est largement expliqué en Hébreux 11: 1-40. Et notamment, aux versets 17 à 19, il est justement question de cette épreuve du « sacrifice » d’Isaac, qui n’a rien à voir avec une question de « contexte de dureté ».

Et plusieurs textes du Nouveau Testament montrent aussi que cette épreuve d’Abraham est une prophétie concernant le fait que Dieu allait accepter le sacrifice de son Fils, Jésus le Messie donc, pour sauver l’humanité, comme c’est dit en Jean 3: 16. Même l’enseignement classique de l’église catholique donne ces deux compréhensions que je viens de mentionner.

Pierre Hillard, laissez tomber l’argument de « dureté » dans cet épisode, sinon pour dire que cette mise à l’épreuve de sa foi était effectivement dure pour Abraham. La leçon est uniquement l’amour. Abraham a fait preuve d’une grande foi et d’un grand amour pour son Dieu, ce qui préfigure l’amour incommensurable de Dieu qui donnera plus tard son Fils unique pour sauver l’humanité (Jean 3: 16).

Je pourrais donner des explications semblables pour l’épisode de la négligence de Moïse de circoncire un de ses fils. Il est dit que l' »ange de Yahvé » cherchait à faire mourir l’enfant, et même probablement plutôt Moïse lui-même. Alors sa femme Séphora fit en urgence un geste de circoncision, ce qui arrêta le fléau.

Il faut comprendre que dans l’Ancien Testament, chaque fois que l’on parle d’un « ange de Yahvé », cela ne veut pas nécessairement dire un ange positif. Mais cela peut désigner un ange de Satan que Dieu autorise à faire une certaine action pour une leçon future. C’est le cas par exemple de l’ange étrange avec qui Jacob lutta toute une nuit pour avoir sa bénédiction, mais qui, craignant la venue du jour, se sauve en frappant Jacob d’un handicap au tendon. Il a dit à Jacob que son nom serait désormais « Israël », ce qui signifie « celui qui a lutté avec Dieu et les hommes, et l’a emporté ». C’est-à-dire en fait Jacob, en tant qu’Israël, a lutté contre Dieu et contre les hommes, et a gagné.

Ceci est une prophétie pour dire qu’après avoir été le peuple élu de Dieu, Israël luttera contre Dieu, en l’occurrence Jésus le Messie et Fils de Dieu, et contre les hommes, et l’emportera. Et effectivement Israël a « vaincu » Jésus le Messie il y a 2000 ans, en le crucifiant, et de nos jours il défie toute l’humanité.

Pour dire donc que le vrai sens des textes bibliques, notamment de l’Ancien Testament, n’est pas du tout ce que l’on croit. C’est souvent très profond, plein de prophéties et de leçons, à côté desquelles beaucoup passent, par manque d’intelligence biblique, mais en succombant aux pièges de l’intellectualisme académique. Ce que je reproche aussi à Youssef Hindi, et aussi à Alain Soral . L’intellectualisme académique (le fait de trop prendre pour sources des ouvrages académiques ou des auteurs de renom, pour, pense t-on, avoir plus de crédibilité) est à consommer avec beaucoup de modération. Il faut lui préférer l’intelligence biblique.

Dans cet épisode de Jacob avec l' »ange de Yahvé », c’est en fait un ange négatif que Dieu a envoyé dire à Jacob qu’il deviendrait Israël qui lutte contre le Messie, donc Israël au sens négatif du terme. A l’époque, Dieu n’a pas voulu formuler explicitement cet avenir négatif pour le peuple qui va sortir de Jacob, Israël donc. Ils restent sur l’interprétation positive du nom « Israël », à savoir : « qui lutte AVEC Dieu et AVEC les hommes, et l’emporte », autrement dit « qui lutte en collaboration ou union avec Dieu et les hommes ». Mais quand on lutte en collaboration AVEC une personne, il n’est pas question de l’EMPORTER ou de GAGNER. Cette idée ne prend sens que quand au lieu de « AVEC » il faut comprendre « CONTRE ».

Dieu voulait laisser ouvertes les deux interprétations, qui se sont toutes les deux réalisées, en ce sens qu’Israël, après avoir au début de son histoire commencé à lutter AVEC Dieu, a fini par lutter CONTRE Dieu.

C’est quelque chose de semblable avec l’ange étrange qui a voulu tuer Moïse. Cela ne pouvait pas être un ange positif, comme celui qui a parlé à Moïse dans le buisson ardent pour lui confier sa mission de sauver les enfants d’Israël en Egypte. L’ange avait demandé à Moïse d’ôter ses sandales avant de fouler la montagne qui est sainte. Si c’était donc un ange positif qui voulait signifier à Moïse sa négligence de l’ordonnance de circoncision donnée à Abraham, il le lui aurait dit aussi en ce moment-là. Mais en fait, c’est un ange de Satan qui voulait profiter de cette négligence de Moïse pour l’empêcher d’accomplir sa mission de délivrance d’Israël.

Sa femme Séphora a été inspirée par Dieu pour sauver la situation, et elle a dit à Moïse après son bon geste: « Tu es pour moi un époux de sang ». Moïse, qui était un homme humble, a compris la leçon que Dieu lui donnait par sa femme, tout comme aussi Abraham a écouté la leçon que Dieu lui donna par sa femme Sara, quand il était réticent à l’idée de chasser sa servante Agar et son fils Ismaël.

Je ne donne pas les références bibliques de tous ces épisodes, qu’on pourra retrouver si on le veut. Car moi aussi je fais des recherches pour trouver ou retrouver les textes bibliques concernant un sujet donné.

Et maintenant, quelques derniers éléments qui répondent à la question posée à Pierre Hillard: pourquoi les talmudistes aujourd'hui rejettent le Christ? Là aussi je suis déçu de sa réponse, que je trouve foireuse. Notamment quand il tombe dans le piège du narratif des talmudistes, qui fait partie de leurs nombreux stratagèmes pour justifier leur rejet du Christ.

C’est vrai que Jésus n’était pas le Messie guerrier qu’ils attendaient, à l’image de David, pour les délivrer du joug de Rome, et leur donner le pouvoir sur le monde. Mais là où Pierre se trompe, c’est déjà de savoir pourquoi les juifs se sont retrouvés sous le joug romain, alors que Dieu leur avait promis que s’ils ne transgressaient pas contre la Torah de Moïse, ils resteraient éternellement en Terre promise, sans qu’aucune puissance ne les domine.

La vraie question elle est là, et c’est la transgression contre la Torah qui eu pour conséquence au 6e siècle avant Jésus Christ, de voir le premier temple détruit par les babyloniens, et d’être menés en exil à Babylone. Le Talmud de Babylone est lié à ça. Et en fait, la tradition talmudique remonte aussi loin que la Torah elle-même.

Le Talmud est censée être l’interprétation de la révélation divine, de la Torah donc et des paroles des prophètes. Sauf que cette compréhension des textes de révélation, des enseignements donc, est peu à peu devenue déviante du fait de Satan, bien sûr, et les prophètes corrigeaient ces enseignements frelatés tout au long de l’histoire des israélites. Mais ces déviances revenaient périodiquement, jusqu’à finir par s’imposer il y a 2000 ans, après le rejet puis l’assassinat de Jésus le Messie.

L’épisode du culte du Veau d’Or à l’époque de Moïse, et ce pour retourner en Egypte d’où Dieu les a sauvés, c’était déjà les germes de l’esprit du Talmud, qu’il faut voir comme la déviance par rapport à la Pensée du vrai Dieu. Les cultes de Baal, de Moloch, etc., faisaient partie de déviances, qui ont valu aux israélites de se voir détruire leur temple (le premier temple et temple de Salomon), et d’être déportés en Assyrie pour 10 tribus à l’époque du prophète Isaïe au 8e siècle avant Jésus Christ, puis à Babylone pour deux tribus (Juda et Benjamin) au 6e siècle. C’est ce qui a fait qu’Israël fut ensuite sous domination perse, puis grecque, puis romaine, etc.

Le rejet du Messie, c’est fondamentalement l’esprit de rejet des prophètes, depuis Moïse. Et donc la déviance par rapport à la révélation de Dieu par eux. Beaucoup de prophètes ont été tués, comme Jésus l’a dit en Matthieu 23: 33-39. Et avant, il a reproché aux pharisiens en Matthieu 15: 3-9 d’avoir annulé la Parole de Dieu au profit de leurs traditions. Au temps de Jésus, une certaine tradition déviante était déjà formée, un pré-Talmud à l’époque donc.

C’est cela qui les empêchait de reconnaître en Jésus le Messie. Et après l’assassinat du Christ, ils ont subi en l’an 70 de la part des romains un sort semblable à celui au temps de la déportation à Babylone. Sauf qu’après ce péché ultime, ils ont cessé d’être le peuple élu de Dieu.

Et reconnaître en Jésus le Messie ou Christ, c’est reconnaître leur grave péché contre Dieu et contre le Messie, l’Envoyé de Dieu. Et plus que jamais l’enseignement pharisaïque est devenu déviant, éloigné de la Pensée de Dieu et des prophètes. Elle s’est construite contre le Christ, et surtout pour justifier le rejet du Christ, et pour un autre Messie, qu’ils attendent toujours. Ce qu’on appelle judaïsme de nos jours est donc en fait le talmudisme, qui est donc la suite du pharisaïsme.

Et plus les siècles passaient et plus le fossé se creusait, et il n’était même plus nécessaire de développer le Talmud en opposition au christianisme. Il est devenu une tradition diabolique, anti-Dieu ou faussement divine, tout simplement. Reconnaître le Christ c’est reconnaître au moins 2000 ans d’erreurs dans le meilleur des cas, de mensonges dans le pire des cas.

Et, chose très importante, si les talmudistes devaient reconnaître en Jésus le Messie ou Christ, il n’est absolument pas nécessaire qu’ils adoptent les doctrines et dogmes de l’église catholique, car elle aussi est une déviance au fil des siècles par rapport au christianisme primitif. Déjà, réduire le christianisme à la seule doctrine catholique est une grave erreur, car le christianisme se décline en plusieurs religions plus ou moins déviantes elles aussi, à savoir le protestantisme, tous les courants de l’évangélisme, etc.

Pour plus de détails, voir:
https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-044-000-sempiternelle-predation-de-l-afrique-pourquoi-troisime-guerre-mondiale-aura-lieu.html#satan

Ce qu’il faut de nos jours, ce n’est plus le catholicisme mais la catholicité, c’est-à-dire la vraie universalité. Et ce qu’il faut, ce n’est même plus le christianisme, mais la christianité ou la christicité, autrement dit être ce que Jésus Christ aurait été s’il vivait à notre époque.

Cette nouvelle révélation divine pour le troisième millénaire, est la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu:
https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-060-000-plan-du-site.html

Hubertelie, le 31/05/2024