Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
On va y revenir, mais auparavant quelques petites bases
de la Science de l'Univers TOTAL ou Science de Dieu,
la Science cachée dans la Torah, dans tout le Tanakh, dans toute la Bible.
Il est de la plus haute importance à présent de distinguer d'une part le TALMUD (et son corollaire la KABBALE) et d'autre part du TANAKH (et son corollaire la TORAH).
Il ne faudrait surtout pas penser que les questions que nous allons aborder ici ne vous concernerait pas, n'aurait aucun intérêt ou aucune importance pour votre quotidien, mais ne serait que des discussions bibliques ou théologiques loin de vos préoccupations. Mais détrompez-vous! En effet, tout ce qui se passe dans le monde depuis AU MOINS 2000 ans dépend très intimement de ces questions! Tout cela affecte vos vie à un point dont vous n'avez pas idée!
Cet article est spécial, il s'inscrit dans la même logique qu'une liste désormais longue d'articles dont voici les principaux jusqu'à cette date du 17 mars 2023 où je mets à jour sa version initiale. Une sélection de 12 articles, comme les 12 tribus d'Israël ou les 12 apôtres de Jésus.
En parcourant ces pages, on constatera un élément constant qui revient, qui est la thématique du Tanakh opposé au Talmud, la nécessité absolue maintenant de distinguer les deux et donc aussi les deux judaïsmes correspondants. A savoir donc d'une part le judaïsme tanakhite, c'est-à-dire le judaïsme biblique, le vrai judaïsme, qui repose sur la Torah de Moïse ou Loi de Moïse, qui est les cinq premiers livres du Tanakh ou Bible hébraique. Cette Bible hébraïque, le Tanakh donc, est tout le support du judaïsme biblique, tel qu'il se pratiquait du temps de Moïse jusqu'au temps de Jésus et même jusqu'à le destruction du second temple. Je devrais préciser tel qu'il se pratiquait hors les grandes périodes d'apostasie, et c'est cela le problème justement.
Par exemple le culte du Veau d'Or, le culte de Baal, de Moloch, de Mamon, d'Astarté, etc., dont le Tanakh parle aussi, qui a prévalu à certaines périodes, ne font pas partie du judaïsme biblique, et bien au contraire, ce sont ces pratiques que condamnaient les prophètes du Tanakh envoyés périodiquement pour ramener sur la bonne voie, à la Torah donc, un peuple égaré par les forces obscures, occultes, démoniaques, sataniques, qu'on va eppeler simplement le Nahash ou Serpent d'Eden, Satan le Diable donc.
Ce qui nous amène justement au second judaïsme, à savoir le judaïsme talmudique ou rabbinique, qui repose sur le Talmud, et (je ne cesserai de le répéter) qu'il faut s'habituer à appeler le talmudisme ou encore le pharisaïsme, pour éviter toute confusion à partir de maintenant. C'est ce que de nos jours on appelle couramment le judaïsme, mais qui en réalité n'en est pas ou n'en est plus depuis au moins 2000 ans. Et pire, c'est même tout tout le contraire du vrai judaïsme! C'est une très grave déviance par rapport au judaïsme originel, une imposture, une inversion, une perversion. Pire que cela, c'est carrément une annulation de la Torah, du Tanakh, du judaïsme biblique. Cela ne date pas d'aujourd'hui, car l'esprit qui annule le vrai judaïsme ou tente de l'annuler (avec maintenant un réel succès depuis 2000 ans), remonte aussi loin que le judaïsme lui-même. Il remonte à l'époque de Moïse, avec le fameux culte du Veau d'Or, pendant la réception même de la Torah sur le mont Sinaï (voir Exode 32: 1-35).
Moïse et les tablettes des Dix commandements de la Torah.
Le problème de l'annulation de la Parole de Dieu, qui remonte donc à la genèse même de cette Parole, a été posé au temps de Jésus, il y a 2000 ans donc, en ces termes, comme c'est rapporté en Matthieu 15: 1-9:
"Alors des pharisiens et des scribes vinrent de Jérusalem
auprès de Jésus, et dirent:
Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens?
Car ils ne se lavent pas les mains, quand ils prennent leurs repas.
Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous
le commandement de Dieu au profit de votre tradition?
Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et:
Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.
Mais vous, vous dites: Celui qui dira à son père ou à sa mère:
Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu,
n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère.
Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition.
Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit:
'Ce peuple m'honore des lèvres, mais son coeur est éloigné de moi.
C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes
qui sont des commandements d'hommes.'"
Une chose est très évidente: depuis 2000 ans où il n'y a pas de prophète ni de Jésus ni d'apôtre au sein du peuple juif, et pour redresser les déviances, on comprend que la situation n'est que pire! Et cette situation donc, c'est le Talmud et le talmudisme actuel! Et pour tout dire, l'envoyé au troisième millénaire pour essayer de redresser la situation avant le retour du Messie (voir Malachie 4: 4-6 (3: 22-24) selon d'autres versions) c'est votre serviteur. Je dis bien "essayer de redresser la situation", et cela se passe maintenant via internet.
Car à notre époque, on peut parler au monde entier via internet, en étant physiquement en n'importe quel point du monde. Plus besoin maintenant d'être physiquement là où on redresse la situation, et de toutes les façons, la question est maintenant MONDIALE et non plus circonscrite à un petit territoire, comme il y a 2000 ans. On parle dans une langue, en l'occurence le français, et il y a moyen maintenant moyen de traduire dans n'importe quelle autre langue, avec les traducteurs de la dite IA ou Intelligence Artificielle, mais en réalité sont l'extension de l'IN ou Intelligence Naturelle, ou mieux l'IU ou Intelligence Universelle ou encore l'ID ou Intelligence Divine. Le ton est donné dans cet article qui s'annonce chaud. Oui ça va chauffer! Pour qui? Rassurez-vous, pour l'esprit du Mensonge et tous ceux et toutes celles qui incarnent cet esprit, et qui depuis la nuit des temps détestent la vérité, oui la vérité divine et divine vérité. Mais pas pour les Esprits de la Vérité, qui aiment la Vérité, la Lumière.
Voir Jean 16: 7-15.
C'est le Jour du Jugement tant annoncé, notamment par Jésus il y a 2000 ans (Matthieu 12: 31-37) qui commence doucement ainsi. Le temps de toutes les révélations finales a sonné, le temps de tous les éclaircissements. Ce n''est que le début, et c'est dé insippurtable pour les esprits du mensonge, oui le feu de la vérité les brûle! Qu'est-ce que ça va être alors dans quelques années, quelques décennies, quelques siècles? J'entends sur internet beaucoup de rabbins talmudistes enseigner et parler de leur attente du Machiah ou Messie, car pour eux justement le Messie n'est pas encore venu, et Jésus de Nazareth venu il y a 2000 ans n'est pas le vrai Messie. Eh bien c'est ce qu'on va voir aussi, dans l'ère qui s'ouvre par le travail de votre serviteur (revoir Malachie 4: 4-6 (3: 22-24 selon d'autres versions), et voir Jean 16: 7-15; Apocalypse 1: 7, 8; 10: 5-7).
On reprend donc les choses dépuis la Torah, depuis la Genèse. Et je commence par dire mon leitmotiv répété dans les pages listées plus haut, et qui sera répété ici aussi, tellement c'est très important: Il ne faut plus du tout confondre le talmudisme ou pharisaïsme avec le premier judaïsme défini plus haut. Et il faut maintenant toujours garder à l'esprit aussi ce grand repère temporel de 2000 ans en arrière, qui nous ramène donc à l'époque de Jésus et des apôtres, où le second temple était encore en place et fonctionnel. Ce repère temporel est FONDAMENTAL pour enfin comprendre vraiment toute l'histoire juive, toute l'histoire du monde, tout simplement, et notamment l'histoire de ces derniers 2000 ans.
En hébreu le mot "torah" signifie simplement "loi". Et employé en un sens spécifique, pour dire par exemple "La Torah", cela désigne la Loi de Moïse, nom donné aux cinq premiers livres de la Bible hébraïque, couramment appelés aussi le Pentateuque, et qui comprennent: la Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome. Et le Tanakh est toute la Bible hébraïque, qui commence donc par la Torah, et qui est couremment appelée aussi l'Ancien Testament, mais aussi la "Loi et les Prophètes":
C'est la première partie de la Bible, la seconde partie étant le Nouveau Testament. Le Tanakh est la révélation divine, c’est l’Essence Juive, celle sur laquelle repose le judaïsme biblique, dont le prolongement est le christianisme.
Et quant au Talmud, c’est la tradition juive qui passe pour être une explication et une interprétation du Tanakh, mais qui en réalité a supplanté le Tanakh, l’Essence Juive, l’a même carrément annulé, comme Jésus le reprocha aux pharisiens il y a 2000 ans, ceux qui à l’époque incarnaient cette tradition déviante. Jésus leur reprochait d’avoir annulé la Parole de Dieu au profit de leur tradition (Matthieu 15: 3-9). Ce sont donc les successeurs des pharisiens qu’on appelle de nos jours les talmudistes.
Voici une représentation de Jérusalem et son temple au temps de Salomon, l'âge d'or de la civilisation hébraïque, vers l'an 1000 avant Jésus-Christ, il y a 3000 ans donc.
On y voit la grande esplanade du temple, avec la Grande Cour pour accueillir le peuple qui va rendre un culte au temps. Et on voit la seconde enceinte, qui entoure le sanctuaire proprement dit, auquel s'applique souvent le terme "temple" en un sens très restreint. Mais tout le monde n'est pas autorisé à pénétrer cette enceinte intérieure, à moins d'être assez pur ou saint. Seuls donc les prêtres ou les cohens" officiaient là, et plus encore dans le bâtiment du sanctuaire, appelé justement aussi le "saint". Et une enceinte encore plus intérieur est appeée le "très sainr" ou le "saint des saint". Seul le grand prêtre ou grand cohen avait le droit de s'y rendre pour y officier, une fois par an, lors d'une fête de purification appelée les propitiations.
Transportons-nous dans le temps, jusqu'à l'époque de Jésus, il y a 2000 ans donc.
Jésus de Nazareth, le galiléen donc, parcourait le pays, de la Galilée au nord où se trouve Nazareth, à la Judée au sud, où se trouvent Jérusalem et son temple. Le mont du temple semble ici dans une vallée ou en contre-bas, mais réalité c'est qu'on l'observe d'un autre mont, le mot des Oliviers, sur le flan duquel Jésus a donné de nombreux enseignements, dont la fameux sermon sur la montagne, qu'on trouve en Matthieu chapitres 5 à 7. C'est de ce mont aussi qu'il prononcera ses célèbres prophéties eschatologiques, rapportées en Matthieu chapitre 24, en Marc chapitre 13, en Luc chapitre 21.
Ci-dessous le reconstitution d'une vue vue sur le sanctuaire à l'époque de Jésus. On parle uniquement du sanctuaire, car l'esplanade du temple beaucoup plus large.
Et voici maintenant les mêmes lieux à notre époque. L'esplanade du temple est occupée par la mosquée Al Aqsa, une des pommes de discorde entre juifs et arabes:
Mais la première question à se poser est: comment se fait-il que que ce haut-lieu de la civilisation juive, ait fini par être occupé un grand symbole de l'islam? Les musulmans ou les arabes auraient-il chassé les juifs de la terre promise, donnée par Dieu lui-même, pour occuper leur place? Que s'est-il passé pour que la situation soit ainsi maintenant?
La réponse est donné par Jésus en Matthieu 23: 29-39, peu avant son assassinat:
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les sépulcres des justes,
et que vous dites: Si nous avions vécu du temps de nos pères, nous ne nous serions pas joints à eux pour répandre le sang des prophètes.
Vous témoignez ainsi contre vous-mêmes que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes.
Comblez donc la mesure de vos pères.
Serpents, race de vipères! comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne?
C'est pourquoi, voici, je vous envoie des prophètes, des sages et des scribes.
Vous tuerez et crucifierez les uns, vous battrez de verges les autres dans vos synagogues,
et vous les persécuterez de ville en ville, afin que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre,
depuis le sang d'Abel le juste jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie,
que vous avez tué entre le temple et l'autel. Je vous le dis en vérité, tout cela retombera sur cette génération.
Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés,
combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes,
et vous ne l'avez pas voulu! Voici, votre maison vous sera laissée déserte;
car, je vous le dis, vous ne me verrez plus désormais, jusqu'à ce que vous disiez:
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!
Voilà donc la raison: Jésus a rappelé ce que l'esprit ennemi de la Torah et du Tanakh, et qui s'est clairement manifesté comme l'esprit des pharisiens, puis du Talmud, a toujours fait dans l'histoire juive. A savoir donc tuer les prophètes, lapider les envoyés de Dieu, les crucifier, etc. C'est le sort qui attend lui-même peu de temps après. Puis le même sort pour les envoyés chrétiens, comme par exemple le martyr Etienne (on y reviendra).
Et pour tous ces crimes il indique les conséquences, qui seront plus graves que celles de tous les crimes précédents: leur maison sera laissée déserte, à comprendre la terre d'Israël, Jérusalem, son temple, etc. Il donnera plus de précision dans sa grande prophétie eschatologique en Matthieu 24, Luc 21, Marc 13.
Jésus de Nazareth correspondait au profil du Messie (ou Machiah en hébreu) tel qu'annoncé par la Torah et tout le Tanakh. Un Messie à l'esprit universel, qui vient manifester l'amour de Dieu, unifier juifs et non-juifs, faire entrer la révélation du Tanakh dans une nouvelle dimension, mondiale, universelle. Autrement dit, il ne s'agissait pas d'un Messie uniquement pour les juifs, mais un sauveur du monde. Mais le problème est qu'il ne correspondait pas du tout au profil du Messie selon l'esprit du Talmud, qui est un Messie ethnocentrique, tribal. Un roi guerrier à l'image du roi David, plus de 1000 ans auparavant qui vient guerroyer contre l'empire occupant romain pour délivrer Israël et restaurer un nouvel âge d'or semblable au règne de David puis de Salomon...
Il suffit juste, 2000 ans après, d'écouter les rabbins talmudistes enseigner sur internet pour comprendre vite cette image du Messie selon l'esprit du Talmud, qui n'a pas varié depuis les pharisiens. Ah si, quand même, car à la mission du Messie telle que les pharisiens l'avaient taillée pour lui (oui, ce sont eux qui décident maintenant ce que doit faire le Messie et pas Dieu, de sorte que si Dieu envoie un Messie qui n'est pas à leur goût, alors ce n'est pas le vrai Messie), oui à la mission du Messie telle que les pharisiens avaient forgée à leur goût, s'est ajoutée, en ce qui concerne les talmudistes, leurs désirs spécifiques, dont entre autres construire le troisième temple.
En effet, après avoir crucifié Jésus car il ne correspondait pas à leur conception du Messie, ils ont continué à attendre un Messie selon cette image. Comme avant l'apparition de Jésus, plusieurs agitateurs juifs se sont présentés comme le Messie. Mais à chaque fois le scénario était à peu près le même: le Messie ne doit rien dire qui heurte leurs conception, sinon il était élminé purement et simplement. Plusieurs ont donc connu le même sort avant Jésus, comme d'ailleurs eux-mêmes l'ont dit en Actes 5: 27-40.
Pour poser le contexte, les apôtres Pierre et Jean ont été arrêtés dans leurs activités de prédication, et ont été conduits devant le fameux Sanhédrin, le tribunal juif qui a jugé Jésus. Il délibéraient pour savoir que faire de ces apôtres dont les oeuvres montaient en notoriété. L'un d'eux, Gamaliel (qui soit dit en passant est le rabbin pharisien qui a formé dans le judaïsme le pharisien Saul de Tarse avant qu'il se convertisse plus tard à Jésus ou plutôt par Jésus et devienne l'apôtre Paul) prit la parole et rappela le sort qu'ils ont fait subir jusque là à tous ceux qui se présentés comme le Messie.
Parmi eux, il y eut un certain Theudas, dit-il, qui entraînait à sa suite environ quatre cents disciples. Mais, dit-il, ils ont supprimé le chef de cette mouvance, et les disciples se sont dispersés sans laisser aucun souvenir derrière eux. Puis apparût aussi Judas dit le Galiléen (Jésus était Galiléen aussi, soit dit en passant), à l'époque d'un récencement général ordonné par l'empire romain. Cette précision n'est pas anodine, car le sous-entendu est que, comme c'est souvent le cas, les candidats Messie apparaissent pour se rebeller contre l'empire romain. Sachant que les recensements n'ont pas uniquement pour but de compter la population de l'empire, mais aussi et surtout pour dénombrer les forces vives au service de l'empire, qui comme soldat potentiel, qui comme appelé à jouer tel ou tel rôle. Et pour les nationalistes juifs, servir un emprire non-juif est toujours vécu comme un affront ou un esclavagisme duquel ils ne rêvent que de libérer leur nation.
Les candidats Messie jouaient aussi sur cette corde pour être acceptés mais, hélas, cela ne suffisait pas. Soit parce qu'un éventuel discours moralisateur par ailleurs ne passait pas, soit parce qu'ils ne répondaient pas à toutes les exigences des élites juives. Comme Gamaliel le rappela donc, ils étaient à chaque fois éliminés, et on n'en entendait plus parler. Ce fut donc là aussi le cas de ce Judas le Galiléen, qui a entraîné une foule derrière lui. Il faut préciser que certaines prophéties, comme Isaïe 9: 1-3 ou 8:23 selon certaines versions, disaient que le Messie, ou en tout une "grande lumière" sortirait de Galilée, jugée par les Judéens comme un lieu de ténèbres. En effet, la Galilée était le territoire des tribus sans prestige comme Zabulon ou Naphtali, et le nom "Nazareth", qui signifie littéralement "Pouce", "Semence", "Germe", etc., était souvent employé aussi pour parler de quelque chose d'insignifiant. Voilà aussi pourquoi, quand en Jean 1: 43-50 Jésus a commencé à récruter ses apôtres, et ils viennent pour la plupart de Galillée, une nouvelle recrue, Pilippe, informa un compagnon nommé Nathanael, dit aussi Barthélémy, qu'ils ont trouvé le Messie dont a parlé Moïse et les prophètes, et c'est Jésus le fils de Joseph de Nazareth. Et alors Nathanaël s'en étonna et dit: "Peut-il sortir quelque chose de bon de Nazareth?" (Jean 1: 46). Dans le même ordre d'idée, quand Nicodème, un pharisien qui avait foi en Jésus et était même allé secrètement la nuit entendre son enseignement (Jean 3: 1-21) et qui essayait en vain de défendre sa cause auprès des autres pharisiens, essaya en Jean 7: 45-52 de les raisonner, il se vit répondre très sèchement: "Tu n'es tout de même pas de Galilée, toi aussi? Examine les Ecritures et tu verras que de Galilée ne se lèvera aucun prophète!"
A vrai dire, Jésus est né à Bethléem de Judée, la ville d'origine de David aussi, mais il a grandi à Nazareth en Galilée, d'où ce qualifiquatif de Jésus le Galiléen. Mais tout cela montre donc le mépris de l'élite de Judée et de Jérusalem pour la Galilée, et pire, pour une ville de Galilée, Nazareth donc, dont le nom veut dire en gros "Insignifiant". Quand de nos jours nous disons "Jésus de Nazareth", ça nous paraît très normal. Mais à l'époque, cela sonnait comme "Jésus de la Ville Insignifiante".
Juste pour dire que plus d'un candidat à jouer le Messie, connaissant la prophétie que le Messie ne doit pas sortir d'un lieu glorieux, et surtout la prophétie d'Isaïe 53 qui est le summum même des prophéties que le Messie ne devait pas être de haute naissance, sortir d'une des grandes familles de Jérusalem ou de Judée, mais d'un trou perdu d'Israël, comme la Galilée, jouaient aussi sur ce tableau. Mais cela ne les a pas servi, mais n'a ajouté que plus au mépris pour eux, comme on le ressent aussi dans les propos de Gamaliel.
Il termine donc en disant que comme ils venaient d'éliminer ce Jésus de Galilée, la suite devrait être comme les autres candidats Messie.
On a nommé "Shoah" le génocide des juifs pendant la second guerre mondiale.
Mais en réalité, les Shoah, il y en a eu durant toute l'histoire juive,
certaines Shoah perpétrées par des emprires non juifs,
mais d'autres Shoah perpétrées par des juifs eux-mêmes.
On va aujourd'hui, avec la Science de Dieu l'Univers TOTAL l'Alpha et l'Oméga,
voir clair dans cette affaire des Shoah et dans toutes les affaires!
Je débute le phénomène du génocide des juifs et plus généralement des israélites
(car là aussi il y a une très grande nuance, de grande importance,
entre la notion d'israélite et celle de juif, qui est un cas particulier d'israélite,
le nom donné aux descendants des deux tribu de Juda et de Benjamin;
et plus généralement, il faudra faire la lumière sur l'arnaque
qui consiste à réduire l'adjectif "sémite" aux seuls juifs,
alors que selon la Torah les arabes et même aussi les romains étaient des sémites!),
oui, je commence donc l'étude du phénomène du génocide des israélites, à savoir les Shoah,
Par celui mentionné dans la Torah en Exode 1: 1-22,
avant la naissance de Moïse (Exode 2: 1-10).
C'était une Egypte et une ère différente de l'Egypte du temps de Jacob et de Joseph,
sur laquelle sur nous reviendrons plus loin.
Le pharaon de l'époque de Jacob (patriarche dont le second nom est Israël)
et de Joseph vendu aux égyptiens mais devenu, du fait de YHWH ou Yahvé le vrai Dieu
un haut personnage de l'Egypte que Dieu utilisa pour sauver sa famille de la famine,
oui ce pharaon accuillit avec grande bienveillance Israël et ses fils en Egypte.
C'est de là que le peuple d'Israël s'est accru jusqu'au temps de Moïse.
Et là c'est un autre pharaon, qui, avec les égyptiens,
commençaient à s'inquiéter de l'accroissement numérique et de la prospérité d'Israël.
Ils se mirent à craindre une chose connue de nos jours par "théorie du remplacement",
à savoir donc que, s'ils laissaient Israël continuer à s'accroître ainsi,
les "égyptiens de souche" (pour dire la chose ainsi)
finiraient par être en infériorité numérique,
et seraient dominés par les israélites, notamment en cas de guerre.
L'ordre fut donné alors de faire mourir à leur naissance les israélites de sexe masculin
(voir donc Exode 1: 1-22).
Ce que j'appelle l'antisémitisme au sens biblique ou tanakite, était né,
et avec lui le premier phénomène de Shoah ou génocide des israélites.
Il eut d'autres Shoah perpétrées par des empires non-juifs,
comme par exemple celle au temps de la reine juive Esther,
épouse du roi perse Assuérus (Esther chapitres 1 et 2).
C'était aussi l'époque de Mordekaï ou Mardochée,
mais aussi de Haman qui complotait contre les juifs pour les exterminer.
C'est plutôt un cas d'antisémitisme au sens biblique ou tanakite
que véritablement d'une Shoah.
Par contre, ce dont parle Jérémie 7: 31 est bel et bien une Shoah aussi,
elle par contre perpétrée par des juifs sur des juifs!
C'était une ère du culte de Moloch, une idole cananéenne du feu,
à qui les juifs sacrifiaient leurs fils et filles,
et cela donc pour avoir les bénédiction de cette idole,
qui cache tout simplement un démon, bref Satan le Diable!
Cette abomination, qui est une forme suprême du culte du Veau d'Or,
et qui est aussi un holocauste au sens propre,
est avant l'heure une Shoah du type de celle de la seconde guerre mondiale.
Sauf que pour ce sacrifice de juifs à Moloch perpétré par les habitants de Juda,
il est spécifié clairement qu'il s'agit d'un grave péché contre YHWH le vrai Dieu,
contre la Torah, contre le Tanakh l'Essence Juive.
Le moins qu'on puise dire, c'est que ce n'est pas commis par de vrais juifs,
puisque c'est contre l'Essence Juive même, point extrêmement important!
C'est l'exemple typique même des crimes de l'esprit du Talmud,
autrement dit le Serpent d'Eden, Lucifer, Baphomet, Belzébuth, Satan le Diable!
Les cultes qui souillent le temple de YHWH ou Yahvé le vrai Dieu,
il y en a malheureusemet eu tout au long du Tanakh,
tout au long de l'histoire juive,
et c'est précisément contre cela que les prophètes successifs ont combattu
souvent au péril de leur vie (car ils finissaient souvent eux-mêmes sacrifiés à Satan)
pour ramener les juifs ou les les israélites sur la bonne voie,
à la Torah, à la Loi de Moïse qu'ils abandonnaient en faisant cela!
C'est exactement aussi le problème au temps du prophète Élie
(un de mes prédécesseurs pour tout dire)
face aux adorateurs de Baal et aux prophètes de Baal (voir 1 Rois 18: 1-40)
au temps du roi Achab et de la reine Jézabel,
qui voulaient tuer le prophète Élie (voir 1 Rois 19: 1-21),
comme plus tard Hérodiade fera tuer Jean-Baptiste
l'Élie du temps de Jésus (Matthieu 11: 1-5; 14: 1-12).
C'est exactement le culte de type Veau d'Or, Moloch, Baal, etc.
qui se pratiquait au sens même du temple de YHWH le vrai Dieu,
au temps du prophète Ezékiel (Ezékiel 8: 1-18; 9: 1-11).
Des choses absolument abominables, qui incluent des sacrifices humains,
dont des sacrifices de juifs ou d'israélites à Satan, caché derrière différentes idoles.
Ce sont ces péchés contre YHWH le vrai Dieu, contre la Torah, le Tanakh,
qui ont pour conséquences les punitions divines et les différents exils,
comme Dieu l'a stipulé dans la Torah elle-même, par Moïse (Deutéronome 30: 15-20).
Il a dit à Israël qu'il habiterait indéfiniment sur la terre promise
tant qu'il obéirait à la Torah, et ne pratiquerait aucune des choses abominables
que pratiquaient les nations cananéennes que Dieu expulsait de la terre promise,
pour purifier cette terre et la donner à Israël.
Mais si Israël lui aussi se mettait à faire ces choses immondes,
et s'il n'écoutait pas après maintes avertissements des prophètes,
il finirait pas subir le même sort que ces nations cananéennes,
la terre promise les vomirait, ils en seraient expulsés et conduits en exil.
C'est ce qui se passa à plusieurs reprise dans l'histoire d'Israël,
le dernier exil étant consécutif au sacrifice à l'empire romain,
du juif et prophète et Messie et Fils de Dieu, Jésus de Nazareth.
A noter que jusqu'à il y a 2000 ans, et même maintenant,
à chaque retour d'exil les juifs restaient toujours sous la domination
de l'empire qui a servi à les ramener d'exil, puis des empires successifs.
Essentiellement deux ont opéré pour le retour d'exil des juifs,
l'un du fait de Dieu, l'empire médo-perse,
pour le retour d'exil de Babaylone, aux sixième siècle avant notre ère,
et l'autre en 1947 du fait des intrigues talmudo-politiques des juifs,
à savoir l'empire anglo-saxon (ou anglo-américain).
Le retour donc après la Shoah de la seconde guerre mondiale.
Maintenant donc, après ces éclairages, le mot Shoah devra prendre un autre sens.
Il y a une que je n'ai pas menstionné et dont on reparlera plus loin,
et qui est du même type que le Shoah d'avant la naissance de Moïse,
à savoir le massacre de bébés masculins juifs par Hérode le gouverneur romain,
au moment de la naissance de Jésus de Nazareth (Matthieu 2: 1-18).
Il s'agit donc d'une Shoah au sens biblique ou tanakhite,
et non pas d'une Shoah au sens talmudique et kabbaliste,
c'est-à-dire le sacrifice à Satan de juifs par des juifs,
pour avoir une bénédiction de Satan,
bref une Shoah de type "sacrifice à Moloch".
Et maintenant, quel est le type de la Shoah de la seconde guerre mondiale?
C'est la très grande question, dont la réponse est assez facile
maintenant qu'on a les éléments très précis pour répondre à la question.
Ici donc, il s'agit d'une Shoah hybride.
Ici, le but pour les vrais coupables de cette Shoah
est tout simplement de revenir en terre d'Israël
sans vraiment remplir les conditions divines du retour.
Pour comprendre pourquoi les juifs reviennent en terre promise,
il faut comprendre pourquoi ils en sont partis.
Les raisons de l'exil et les conditions du retour sont énoncées en Matthieu 23: 37-39.
Il s'agit de toutes les Shoah de type talmudiques ou "sacrifice à Moloch",
perpétrées sur les prophètes du Tanakh, puis sur Jésus et des apôtres.
Cela se résume par une seule Shoah de type talmudique ou "sacrifice à Moloch",
à savoir donc le sacrifice de Jésus de Nazareth le Roi des Juifs,
le sacrifice du Messie ou Fils de Dieu à Satan donc, via l'empire romain
(Matthieu 27: 15-26; Jean 19: 8-22).
Je l'appelle la Shoah O ou 0 ou zéro, la Mère des Shoah.
Pour les talmudistes c'est insignifiant, c'est presqu'un non-évenement.
Ou alors un simple épisode dans l'histoire juive,
un épisode anecdotique qui me mérite pas plus d'attention que cela.
C'est tout juste s'il y a un passage dans le Talmud
disant qu'un certain "bâtard" nommé Yéshoua
s'est présenté il y a 2000 ans à l'époque du second temple, disant qu'il est le Machiah.
Mais les "pères" ou les "sages d'Israël" l'ont puni.
La vidéo suivante intitulée: Le chapitre interdit de la Bible juive
montre un juif, chrétien, israélien, essayant de faire comprendre le texte Isaïe 53
à diverses personnes dans un univers talmudique, de leur démontrer
que Jésus de Nazareth qui est venu il y a 2000 ans,
mais qui a été assassiné par l'esprit du Talmud, est bien le Machiah ou Messie.
Ce juif chrétien a beaucoup de mérite, je lui souhaite beaucoup de courage.
Il faut continuer à expliquer, pour ceux qui veulent comprendre vraiment,
et savoir vite receonnaître ceux qui de toutes les façons ne voudront paa comprendre.
Pour ma part, ayant visionné énormément de vidéos comme celle que je propose ci-après,
intitulée: "
Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus? - Épisode 1 (Introduction)",
j'en suis venu à la conclusion que les confrontations théologiques, philosophiques, etc.
telles qu'on les pratiquait jusqu'à présent, ont fait leur temps au troisième millénaire.
Ce que beaucoup de gens, et beucoup trop de gens, ignorent encore au troisième millénaire,
c'est que, contrairement à ce qui nous a été enfoncé dans les crânes depuis la nuit des temps,
toutes les questions, et absolument toutes, y compris les question de Dieu, du Diable,
des anges, des démons, du bien, du mal, de la loi, de l'amour, etc.,
peuvent faire l'objet d'une science exacte, d'une simplicité biblique.
Il suffit pour cela de trouver ou de retrouver le bon Paradigme,
à savoir le concept d'Univers TOTAL, qui est la définition scientifique de la notion de Dieu.
C'est le Paradigme perdu, et qui est aussi le Paradis perdu.
C'est de cela que parle en fait le livre biblique de la Genèse,
le premier livre de la Torah, qui est les cinq premiers livres du Tanakh,
qui est la première partie de la Bible, dont la suite est maintenant la Science de Dieu.
C'est cette Science qu'il s'agit de comprendre à présent,
qu'on soit juif ou pas juif, arabe ou pas arabe, européen ou pas européen,
slave ou pas slave, noir ou pas noir, indien ou pas indien.
La Science de Dieu est universelle, et n'est plus une question tribale.
Au troisième millénaire, il faut dépasser maintenant les idées du genre:
"Pourquoi nous juifs nous croyons..." ou "Pourquoi nous juifs nous ne croyons pas..."
Et si les autres faisaient pareil cela donne:
"Pourquoi nous arabes nous croyons..." ou "Pourquoi nous arabes nous ne croyons pas..."
Ou de la même façon:
"Pourquoi nous blancs nous croyons..." ou "Pourquoi nous blancs nous ne croyons pas..."
Ou de la même façon:
"Pourquoi nous slaves nous croyons..." ou "Pourquoi nous slaves nous ne croyons pas..."
Ou encore de la même façon:
"Pourquoi nous noirs nous croyons..." ou "Pourquoi nous noirs nous ne croyons pas..."
Et ainsi de suite.
Sans parler des subtils problèmes et ambigüité que pose ici
le fait de toujours assimiler le mot "juif" en tant que tribu ou ethnie ou race,
avec le mot "juif" en tant de religion ou idéologie.
Comme si un arabe doit nécessairement être musulman, un blanc nécessairement chrétien, etc.
Et alors un jaune ou un slave ou un noir doit nécessairement être quoi alors?
Quand on emploie donc le mot "juif" par-ci, "juif" par là,
et avec le doigt constamment sur la gâchette prêt à tirer une balle sur l'accusé d'"antisémitisme",
on ne sait plus trop si l'on parle de "juif" au sens de race ou au sens de "judaïsme".
On reviendra en seconde partie sur cette question remplie de tous les pièges.
Il faudra qu'un de ces jours on songe sérieusement à créer un nouveau mot,
comme par exemple "judaïsant", "judaïste", "judaïen",
"juivan" (au féminin "juivane"), etc.,
pour désigner un pratiquant, un adepte, un sympatisant, du judaïsme.
Et même bien mieux, le mot "talmudien" ou à la rigueur simplement "talmudiste",
pour éviter ce piège constant de la confusion entre l'appartenance à la religion du judaïsme,
et l'appartenance à la tribu, à l'ethnie ou à la race juive,
pour qu'on sache de quoi on parle au juste (on y reviendra, notamment en seconde partie.).
De même quand on entend des gens qui n'ont qu'à la bouche:
"nos sages ont dit", ou "nos pères ont dit", etc.,
on se demande si dans l'esprit des gens qui parlent ainsi
un "sage" ou un "juste" ou un "père", etc., ça peut être aussi un goy ou non-juif?
Sont-ils capables de se référer à un "sage" blanc, un "sage" noir, un "sage" slave,
ou uniquement aux "sages" dont il est question dans les
"
Protocoles sages de Sion"?
La question est donc: "Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus?"
Sous réserve toujours de préciser si l'on parle des "juifs" au sens tribal,
ou des "juifs" au sens religieux, ou les deux,
je fais observer, et je le démontre même, que la vocation de la Torah, du Tanakh,
a toujours été de devenir de devenir universelle
(Genèse 22: 15-18; Isaïe 2: 1-4; Hoshéa ou Osée 1: 10, 11).
Et d'une manière très générale, la vocation de toute révélation divine,
c'est de servir ou de profiter tôt ou tard à toute l'humanité.
La révélation est donnée à une personne, un prophète donc,
à un groupe de personnes, un peuple, une nation, comme Israël par exemple,
et elle est donnée dans une certaine langue,
comme l'hebreu à l'ère du Tanakh ou Bible hébraïque,
le grec à l'ère de Jésus, des apôtres, du Nouveau Testament,
le français maintenant au troisième millénaire, l'ère du Troisième Testament.
La révélation n'a pas pour but de rester égoïstement l'excusivité du prophète,
l'exclusivité d'une tribu, d'une ethnie, d'une race, d'une nation,
et de rester enfermée dans une langue, comme l'hébreu par exemple.
Même les mots apparemment spécifiques comme "Israël", "juif", "Jérusalem", "torah", etc.,
bref toutes les notions fondamentales de la Bible, le mot "Dieu" y compris,
sont toujours appelées tôt ou tard à prendre un sens universel.
La raison est toute simple: toute notion est un modèle,
qui annonce toujours des modèles plus grands,
ce qui est logique même de la notion de prophétie et de l'accomplissement des prophéties.
Pour le dire autrement, toute notion de la révélation divine
est une graine plantée, appelée à devenir un jeune plant, puis tout un arbre.
La notion doit donc évoluer, grandir, devenir générale, universelle.
Par exemple, la notion de "Dieu hébreu" n'a jamais été de rester une "exclusivité juive",
car Dieu n'est la propriété privée des juifs, il ne manquerait plus que cela!
Dieu est au-delà de toute limitation, il est transcendant, il est universel.
De même, on peut ajouter le mot "universel" à toute notion spécifique juive,
pour comprendre quelle est la finalité de la notion.
Ainsi, les mots "Israël", "juif", "Jérusalem", "torah", etc.,
ont pour but d'évoluer pour devenir "Israël universel",
"juif universel", "Jérusalem universel", "torah universelle", etc.,
Je n'arrive pas à comprendre que de soi-disant enseignants de la Torah
ne comprennent pas ce point fondamental de la Torah!
Il ne s'agit pas ici de guerre des interprétaions,
de combat de coq verset contre verset, mot contre mot, etc. ?
mais de comprendre la logique générale de la Torah, du Tanakh, de la Bible,
bref l'Esprit de la Torah, du Tanakh, de la Bible, de la révélation divine!
Je trouve vraiment désolant les raisonnements et la logique
de la personne qui parle dans le vidéo plus haut
intitulée: "Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus?"
Juste une question: est-ce que les nombres entiers naturels:
N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ...}
sont juifs, arabes, slaves, chinois, noirs, indiens, etc.?
Non, non, je ne parle pas des chiffres arabes, mais des nombres en eux-mêmes:
N = {zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, ...}
Ils sont de quelle tribu? De Ruben, de Siméon, de Juda? d'Issakar, de Naphtali? Hein?
Et si Jésus de Nazareth donne un enseignement vrai sur les nombres, les juifs vont croire ou pas?
Vont-ils accepter ou non cette vérité, ou vont-ils dire:
"Ce n'est pas ce que nos sages ont dit", ou: "Ce n'est ce que nos pères ont dit?"
Il faut donc qu'une connaissance, notamment si elle est nouvelle, oui une nouvelle révélation,
soit dans le Zohar, dans le Rambam, dans le Sanhédrin, avant de l'accepter ou d'y croire?
Et si Dieu apporte cette connaissance par Jésus de Nazareth ou par Hubert de Kétao,
un noir, du Togo, de l'Afrique noire,
On va me dire: "Nous les juifs, nous n'y croyaons pas, car cette connaissance n'est pas juive,
ce n'est pas ce que nos "sages" ont dit, ce n'est pas ce que nous disent nos "pères"?
Leurs "sages", leurs "pères", la notion de "juif", etc.
sont de devenus de véritables idoles qu'ils adorent,
des veaux d'or, des autels de Baal, de Moloch, devant lesquels ils se prosternent!
La science, la vraie, est universelle, oui c'est une vérité universelle
et pas une vérité juive, tribale, ethnique, etc.
Avec Jésus de Nazareth il y a 2000 ans la connaissance de Dieu
a commencé à sortir du tribalisme et du racialisme juif
pour commencer à devenir universelle, à parler au monde entier.
Nous sommes au troisième millénaire, à l'ère de l'information, du numérique.
L'ère de la science donc, au vrai sens du terme maintenant,
la Science de Dieu l'Univers TOTAL, l'Alpha et l'Oméga, qui arrive à présent.
On entre dans une ère où Dieu ne sera plus une question de croyance mais de science.
Car en fait, la Torah, le Tanakh, la Bible, sont des livres de science,
oui de Science de Dieu, fondée sur un paradigme une logique transcendants,
qui sont très supérieurs aux paradigmes et la logique des sciences classiques.
Pour plus de détails, voir la page:
La fin du mythe selon lequel Dieu ne peut être objet de science exacte
Nos allers et retours entre le passé et le présent, ou les parallèles que nous faisons, vous fait voir l'esprit du Talmud, avant-hier comme hier, hier comme aujourd'hui. Revenons donc 2000 ans en arrière, quand le Sanhédrin venait de faire crucifier Jésus de Nazareth, et était maintenant aux prises avec ses apôtres, ses disciples. C'est donc le pharisien Gamaliel qui a pris la parole. Il conseilla donc de ne pas trop s'en faire des activités de ses apôtres, car si l'oeuvre ne vient pas de Dieu, cela tomberait dans les oubliettes, maintenant que le chef a été éliminé. Mais si l'oeuvre perdurait dans le temps, cela pourrait être que cela vient de Dieu, et dans ce cas il ne fallait pas qu'ils prennent le risque de combattre Dieu en s'acharnant contre les disciples du Nazaréen. Sages paroles (Actes 5: 34-39).
Car 2000 ans après, on parle toujours de Jésus de Nazareth et dans le monde entier! Aucun juif n'a autant influencé et même bouleversé l'histoire, comme Jésus, c'est le moins qu'on puisse dire. Rien que cela devrait faire réfléchir les talmudistes. Mais pour avoir entendu leurs enseignements, et aussi incroyable que cela puisse paraître, ils ont réponse à tout, explication à tout, justification à tout, même du pire!
C'est ce qui arrive quand on a commis un acte qui fait qu'on a été adombré par Satan! Ici donc l'assassinat des prophètes successifs, et particulièrement du Messie, puis beaucoup de ses disciples. Dans ces cas, ce n'est plus tellement l'intelligence, le raisonnement, qui peut sortir une telle personne des ténèbres et du pouvoir de Satan, mais le coeur touché, ou une grâce exceptionnelle.
Un puissant exemple biblique montre ce que je viens de dire, c'est celui de du pharisien Saul de Tarse devenu le bien-aimé apôtre Paul. Comme lui-même l'a écrit, il était animé d'un esprit de haine contre les chrétiens, se livrait à une vraie croisade contre eux, de persécutions et souvent d'excécution. Jusqu'au jour où, sur la route de Damas où il partait en chasse contre les chrétiens pour en ramener liés à Jérusalem, une grande lumière le foudroya pour ainsi dire, et par terre et devenu aveugle, il entendit une voix dans la lumière lui demander: "Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu?" Sonné il demande: "Qui es-tu, Seigneur?" Et la voix lui répondit: "Je suis Jésus, ton Seigneur, que tu persécutes". Puis la voix lui dit ce qu'il fallait faire, à savoir entrer dans la ville, et chercher Ananias, un chrétien, qui priera pour lui, et il retrouvera la vue.
Ceux qui accompagnaient Saul l'ont conduit dans la maison indiquée, mais quand Ananias fut averti par Jésus que Saul venait le voir, il prit peur, et se mit à objecter à cause de la réputation de Saul d'être un ravageur de chrétiens. Mais Jésus le rassura, lui dit que, malgré toutes les apparences, Saul de Tarse est un vase de choix, un spécial et précieux vase réservé pour porter le nom de Jésus aux nations, auprès de rois. Il ajoute que Saul va beaucoup souffrir pour le nom du Jésus qu'il a combattu, mais ce ne sera pas une souffrance négative, mais un vrai honneur d'avoir été jugé digne de souffrir autant pour Jésus.
Chez Ananias, Saul resta dans un état de méditation profonde et de prière pendant des jours, sans manger, et, comme il l'expliquera plus tard, ce qui se passait en fait en ces jours, c'est que Jésus lui a expliqué très profondément le sens de tout le Tanakh, profondeur de révélation qu'on notera en lisant toutes ses lettres aux différentes communautés chrétiennes, dont il a fondé plusieurs. Il était était devenu un autre homme, il était né de nouveau.
Mais le chemin pour que la route pour que toute la communauté croit en sa réelle conversion avait encore un peu longue, et surtout que sa qualité de véritable apôtre dédié aux non-juifs, oui l'apôtre des nations, soit reconnu. Car, comme le dit Actes 8: 1, Saul supervisa avec plaisir le martyr du très angélique et très aimé disciple Etienne.
Autant dire qu'il assassina un véritable ange né humain, ce qu'il avait certainemement en tête quand il dira plus tard: "Je suis le plus indigne des apôtres, car j'ai persécuté l'église du Seigneur". Voir cet extraordinaire récit de la conversion de Saul et Actes 9: 1-31, récit fait par Luc, l'écrivain de l'évangile du même nom, et qui est aussi celui qui écrit le livre des Actes. Et lui-même donnera des précisions complémentaire dans sa lettre aux Galates 1: 10-24; 2: 1-14.
Dans ce passage et plus rarement dans d'autres lettres, il expliqua aussi ses "petites" épreuves internes, dans la communauté des disciples de Jésus, notamment son image passée de persécuteur des chrétiens qui lui connaient toujours à la peau, de la part de certains chrétiens manquant de maturité. Et tout simplement, oui tout simplement, il n'y a pas une oeuvre divine que Satan n'essaie d'infiltrer par des suppôts pour la miner de l'intérieur, semer la division. Il faut alors en permanence faire oeuvre pastorale pour la communauté, et notamment à l'intention des membres sincères séduits par ces serpents infiltrés.
C'est précisément le rôle de prophètes et des enseignants dans le Tanakh, et c'est rôle des apôtres et des pasteurs dans le Nouveau Testament. Et tant qu'on sera toujours dans le monde du Diable, la règle est que tôt ou tard Satan finissent par corrompre la nouvelle oeuvre divine. C'est précisément cette corruption qu'est le talmudisme en ce qui concerne le Tanakh, et c'est ce qu'est entre autre le catholicisme pour le Nouveau Testament.
Le reste est une question de personnalité, de qualité humaine. Je veux dire par là que par exemple Nicodème, bien qu'étant un pharisien, était un homme bon, qui reconnaissait en Jésus en homme de Dieu, et il a même eu foi en lui est un devenu chrétien. De même ici justement, si Saul de Tarse a été choisi par Jésus pour sa mission, c'est que Jésus voyait dans son coeur, au-delà donc de toutes les apparences dues aux formatages des idéologies du Diable. Saul n'était pas le diable qu'il paraissait, mais c'est sa possession par le Diable qui le faisait passer pour être ainsi. D'ailleurs un détail très intéressant dans sa transformation en chrétien, était que quand la lumière du Christ l'a frappé et qu'il est devenu aveugle, quand Ananias pria pour lui et posa ses mains sur lui, des écailles lui sont tombes des yeux et il retrouva la vue. C'est d'ailleurs de cet épisode que vient l'expression: "Des écailles me sont tombées des yeux" (Actes 9: 17, 18).
De la même façon donc, nous parlons ici de l'esprit du Talmud et du talmudisme, et pas de ce que les humains peuvent être sur le plan de leur personnalité. Ce sont deux choses différentes, et ceci est valable dans toutes les idéologies négatives, quelles qu'elles soient, comme par exemple aussi le franc-maçonnerie, un corollaire du talmudisme et de la Kabbale. C'est de l'idéologie que l'on parle, et non pas de ce qu'un franc-maçon peut être individuellement. Donc évidemment aussi, je parle du catholicisme en tant que système idéologique, et pas de ce qu'un(e) catholique peut être en tant qu'humain(e).
Saul devenu donc le bien-aimé apôtre Paul, a véritablement souffert pour le Christ, tant et si bien qu'il écrira plus tard, presque vers la fin de sa vie, à Timothée l'un de ses enfants spirituels en Christ: "J'ai combattu le beau combat" (2 Timothée 4: 7). Mais d'ici là quelle aventure, oui quelle aventure, quel ministère! Ses lettres d'une grande richesse et profondeur spirituelle constituent à peu près la moitié du Nouveau Testament.
Mais comme dit aussi, en plus de ses grandes épreuves externes, il a fait face aussi à des épreuves internes, et il ne faut pas s'en étonner, car, comme déjà dit, c'est le lot de toute oeuvre divine. Satan y sème toujours ses graines ausi, les graines de la division. Certains renvoyaient toujours à Paul son passé, et quand ce n'était pas cela, il était souvent comparé aux autres apôtres, et à son détriment. Dans ces conditions le piège de l'ego n'est pas loin, un des pièges favoris du Diable, pour faire trébucher. Paul a dû rappeler on appel spécial par Christ, mettre son point d'honneur à dire qu'il n'a reçu ses révélations d'aucun humain, mais de Jéus directement. Et donc il n'a rien à envier aux apôtres, même s'il se considère indigne de l'être, pour avoir persécuté l'église du Christ dans le passé. Il rappelle que ce qui comptait, c'est ce que le Christ a fait de lui. Il a dû justifier son ministère, sa mission d'apôtre des nations, qu'il a remplie merveilleusement. C'est de tput cela qu'il parle entre autres en Galates 1: 10-24; 2: 1-14.
En ce qui me concerne, que souhaiter sinon que tout ce que j'explique sur le Tanakh, Jésus, avec maintenant la sagesse du Troisième Testament qu'est la Science de Dieu l'Univers TOTAL, l'Alpha et l'Oméga, Esprit de Dieu qui fait de moi à la fois un Élie des temps de la fin et un apôtre spécial du troisième millénaire (Malachie 4: 4-6 (3: 22-24 selon certaines versions); Jean 16: 7-15; 1Corinthiens 13: 8-13; Apocalypse 10: 5-7), oui, puisse et même si je n'indiquais pas mes références justifiant mon travail, toucher le coeur à au moins un(e) certain(e) Nicodème parmi les talmudistes. Lui permettre de comprendre que Jésus de Nazareth est bel et bien le Messie annoncé par les prophètes du Tanakh. S'ils pouvaient en douter à l'ère du Deuxième Testament, qu'ils n'en doutent plus à l'ère où le Troisième Testament commence à se manifester avec donc la Science de Dieu l'Univers TOTAL l'Alpha et l'Oméga (Apocalypse 21: 1-7).
Il y a 2000 ans, Gamaliel a terminé (Actes 5: 34-39), en disant qu'étant donné qu'ils avaient éliminé tous ceux qui disaient être le Messie annoncé par les prophètes, et que leurs oeuvres sont tombées alors dans les oubliettes, et qu'ils venaient de supprimer aussi ce Jésus de Nazareth, alors on oeuvre tombera dans les oubliettes aussi. Et si ce n'est pas le cas, c'est qu'elle venait vraiment de Dieu, oui Jésus était bien le Messie annoncé. Mais Gamaliel n'est plus là au troisième millénaire pour constater qu'on parle toujours de Jésus. Gamaliel n'est plus là pour découvir la Science de Dieu qui prolonge l'oeuvre de Jésus. Par contre, les descendants de Gamaliel, les talmudistes donc, sont là pour le constater. Qu'ils en tirent conséquence et entrent dans le Nouveau Paradigme.
Je reviens à cette image et pose de nouveau la question concernant la mosquée Al Aqsa sur l'esplanade du temple:
Que s'est-il passé pour que la situation soit ainsi maintenant?
Et la réponse est que ce que Jésus a annoncé avant d'être crucifié par les pharisiens s'est accompli (Matthieu 23: 37-39; 24: 1-21). En l'an 70 de notre ère, les romains sont venus détruire le temple de Jérusalem et amener des juifs en exil. Et l'exil a duré 2000 ans, le plus long de l'histoire juive, et à vrai dire il n'est pas terminé, puisque la condition énoncée en Matthieu 23: 39 n'est pas encore accomplie, à savoir donc reconnaître que Jésus est bien le Messie annoncé, et que quelqu'un viendrait en son nom le prouver à ceux qui l'ont rejeté, et leur donner à comprendre enfin le Tanakh.
Le talmudisme ou le judaïsme talmudique ou rabbinique a crucifié l'Essence Juive incarnée par le Messie, Jésus de Nazareth le Roi des Juifs. Le talmudisme est donc l'imposture qui depuis ce crime contre le Messie a plus que jamais revêtu les habits de la victime, le judaïsùe biblique donc, et se passer depuis pour le judaïsme biblique, le vrai judaïsme donc. Puisse tout talmudiste sincère, qui a connaissance maintenant de ce que je dis, comprendre que c'est l'Esprit de Jésus qui leur parle de nouveau, et donc faire comme Nicodème.
Si je demandais: quel est l'événement le plus dramatique et aussi le plus important sur cette terre pendant les 2000 ans écoulés, disons de l'an 23 de notre ère à 2023, vous penserez peut-être la Shoah, et vous n'aurez pas tort. A moins que ce ne soit les 250 ans de l'esclavage des noirs. Ou le martyr d'Etienne. Il y a une grande part de vérité dans toutes ces réponses.
Mais l'événement le plus dramatique est en réalité ce que l'image ci-dessus illustre. Tous les autres drames du monde sont depuis 2000 ans connectés à celui-là, et ce que je suis en train de dire est d'une grande importance. En effet, qui a tué le Fils de Dieu a pour ainsi dire tué Dieu, et qui a fait cela a tué toute l'humanité. Il est condamné à génocider le monde, à moins de faire maintenant ce qu'il doit faire en urgence, et nous verrons ce qu'il dit faire. Sinon, qu'il le veuille ou non, il est condamné a accomplir ou à terminer cette funeste malédiction, et c'est bien ce que nous constatons de nos jours d'abord avec la première guerre mondiale, puis la deuxième avec la Shoah, puis maintenant avec le Covidisme, puis l'Ukrainisme, tout ce qui conduit donc l'humanité au bord de la troisième guerre mondiale:
Je suis donc en train de révéler un grand secret: qui a assassiné le Messie, sacrifié donc le Fils de Dieu, l'a offert en holocauste à Satan, s'est programmé lui-même, qu'il le veuille ou non, pour assassiner toute l'humanité, l'offrir en holocauste à Satan aussi. Voilà donc pourquoi, qu'il l'ait voulu ou non, c'est Einstein, un juif, qui a découvert la formule: E = mc2.
Bien sûr, si un juif n'avait pas trouvé la formule, quelqu'un d'autre l'aurait trouvée. Je veux donc simplement dire que ce n'est pas du tout un hasard que ce soit un juif qui l'ait trouvé, et que ce soit des juifs, comme par exemple aussi John Von Neumann, l'un des père de Little Boy avec Robert Oppenheimer, qui aient été des éléments clefs dans l'élaboration de la bombe atomique.
Le juif Einstein a été l'un des père de la bombe atomique mais malgré lui. Il n'a pas fait sa théorie de la relativité pour la bombe atomique, mais elle a été utilisée pour cela. Par contre, le juif John Von Neumann savait bien ce qu'il faisait, de même que Robert Oppenheimer et d'autres. John Neumann est aussi l'un des pères de l'ordinateur, qu'il a conçu justement dans le but de faire les calculs nécessaires pour que la bombe fasse le plus de morts et de dégats possibles. Scientifique génial mais froid ou sans état d'âme comme un ordinateur, ainsi qu'il est décrit, il n'a pas ému plus que cela après l'explosion de Little Boy. Il était au contraire très satisfait que l'engin ait techniquement fonctionné comme il l'avait prévu. La route vers l'apocalypse nucléaire était ouverte... Et à côté du grand drame que serait l'extinction de l'humanité, tous les autres drames depuis 2000 ans sont juste un pipi de chat...
Quand donc on est issu du peuple héritier de la Torah, de la Genèse, le livre qui parle de la création du monde, mais qu'on s'est programmé pour être celui par qui arrive l'apocalypse, l'extinction de l'humanité créé par Dieu, que faire sinon simplement arrêter la malédiction? Je puis dire que ce miracle ce qui se produira à coup sûr si les talmudistes reconnaissent collectivement que Jésus était le Messie, qu'ils ont assassiné, chose dont ils se repentent. Pour le dire en hébreu, ils font Téchouva (Repentance) pour ce crime qui vaut crime contre l'humanité.
Je sais, pour beaucoup de talmudistes, très fidèle à l'esprit du Talmud, la perpective de génocider les goyim ou non-juifs, n'est pas un drame mais bien au contraire c'est accomplir le "messianisme" talmudique. Mais fort heureusement aussi, il y a parmi eux des Nicodème, j'en suis persuadé, qui ne pensent pas du tout comme cela. Bien au contraire donc, ce que je viens de dire leur fait encore plus comprendre qui était vraiment Jésus de Nazareth et la gravité d'avoir tué le Messie par ignorance.
Mais la bonne nouvelle pour eux aussi, c'est que dans sa Providence et Préscience, Dieu a reproduit en grand modèle une situation semblable à celle de Joseph vendu par ses frères pour être esclave en Egypte. Pour le père Jacob ou Israël, son fils préféré Joseph était tout simplement mort, dévoré par une bête sauvage, ainsi qu'il le lui ont fait croire. En effet, pour expliquer au père pourquoi Joseph qui gardait le bétail avec eux dans les lieux de pâturage n'était pas revenu, ils ont tué un bétail, et versé son sang sur le vêtement de Joseph, et revinrent le montrer à leur père, faisant mine d'être atteré par le drame. Et le pauvre père Jacob a donc conclu en voyant le vêtement ensanglanté de son fils chéri, qu'un fauve la déchiqueté et dévoré. Et il était depuis lors inconsolable (Genèse 37: 1-36)..
Mais la Torah, en l'occurrence ici le livre de la Genèse, dit que Dieu transforma ce qui était pour ainsi dire un crime contre leur frère en quelque chose de positif. Joseph, d'abord esclave, fut jeté en prison par la suite d'une machination de la femme de Potiphar le maître de Joseph. En effet, la femme désirait Joseph qui était un bel homme, lui faisait des avances, mais lui ne voulait pas trahir son maître qui lui a tout accordé dans la maison excepté sa femme. Pour se venger du refus de Joseph de céder à ses avances, refus qu'elle ressentait comme une humiliation, elle accusa Joseph au près de Potiphar d'avoir voulu la violer. C'est ainsi que JOseph se retrouvé en prison, et n'en sortit que grâce à une action divine qu'on ne racontera pas ici, pour ne pas faire trop long. En tout cas cela eut pour conséquence que Joseph devienne un haut personnage d'Egypte, en charge des magasin de céréales de l'Egypte. (Genèse chapitres 38 à 41).
Une grande famine frappa tout l'empire, ce qui obligea les frères de Joseph de se rendre en Egypte pour acheter des céréales pour leur survie et celle de leur père Jacob ou Israël. C'est ainsi qu'ils se retouvèrent face à Joseph le haut personnage de l'Egypte. Joseph, un homme très intelligent et surtout un prophète ou visionnaire, a reconnu ses frères du premier coup d'oeil, mais eux ne le reconnurent pas. Il les a mis à l'épreuve pour évaluer si leurs sentiments à son égard avaient évolué. Il s'arrangea pour les accuser de vol, fit garder l'un entre eux en prison en Egypte, et posa comme condition que celui-ci ne serait libéré que si les autres revenaient avec Benjamin, le benjamin resté avec le père Jacob. Celui-ci, avec Joseph, étaient les deux enfants de Rachel la femme préférée de Jacob morte en accouchant de Benjamin. Raison pour laquelle donc Joseph et Benjamin sont devenus la prunelle des yeux de Jacob, ce qui ne manquait pas de rendre les autres frères jaloux, d'où leur complot.
Oui, à l'ère où le mot "complotisme" est tant à la mode, c'est l'occasion de souligner que le complot existe. Cette histoire est un remarquable modèle de prophétique de ce qui arrivera au Messie, que Joseph représente donc. C'est bien de ce complot que Jésus fut victime, de la part de ses frères, ici l'élite juive de l'époque, dont les pharisiens. Le fait que Joseph fut donné pour mort et pourtant était vivant, représente le fait Messie sera tué, et pourtant ressuscitera. Mais là nous sommes environ 2000 ans avant Jésus Christ, et cette histoire ne pouvait pas être inventée pour coller si bien au complot dont Jésus sera victime dans environ 2000 ans. Enfin bref.
Déjà que le père Jacob ou Israël a été très affecté par la mort de sa femme préférée Rachel quand elle enfantait de Benjamin (et justement ce nom biblique vient de cet épisode dramatique de la mort de Rachel en enfantant de ce fils), et qu'il était devenu inconsolable à la disparition de Joseph, fils de cette défunte femme, sur lequel Jacob projeta son amour pour Rachel, et maintenant Joseph va faire quelque chose d'encore plus douloureux pour le pauvre Jacob, mais en fait pour le bien de tous. Il fit garder un des frères en prison en Egypte, et la condition qu'il posa est qu'ils prouvent leurs dires, à savoir qu'ils sont des honnêtes enfant d'un vieil homme hébreu.
Au passage à l'époque on ne parlait pas encore ni de juif ni même d'israélite, même si c'est à Jabob que Dieu a donné comme second nom Israël. On parlait alors bien sûr des fils d'Israël ou des enfants d'Israël, mais juste au sens d'enfants de Jacob, à savoir ses douze fils et leurs soeurs, qui dans un système patriarcal n'étaient pas comptées...
Le genre de choses qui font s'indigner les féministes, notamment contre la logique biblique. Mais c'est aussi parce que, dans une civisation devenue talmudo-maçonnique, luciférienne, les gens sont devenus aussi tellement déconnectés du divin, qu'ils ne comprennent plus la logique biblique, le sens et le pourquoi de ceci ou cela. Ils ne comprendront pas toute la symbolique de Léa et Rachel, l'amour de Jacob pour Rachel, ce que représentent spécialement Rachel, et par conséquent ses fils Joseph et Benjamin, etc. Et quel lien avec Eve, elle-même qui renvoie au Serpent d'Eden (Genèse 3: 1-5).
Les féministes diront que le Dieu de la Bible accable la femme, alors qu'en réalité c'est le Serpent, qui est d'essence masculine, qui cache Lucifer ou Satan le Diable, qui est le vrai ennemi de la femme, comme Dieu le dit en Genèse 3: 15, justement, mais aussi plus tard Apocalypse 12: 1-6, 13-17. C'est donc le Serpent qui a fait perdre à la femme son Essence Divine et l'humanité avec! La femme est la procréatrice, ce qui n'est pas du tout un rôle inférieur, bien au contraire! Non seulement cela signifie un rôle de créatrice, mais en plus de la vie, du vivant! C'est le Serpent qui a fait perdre à la femme son Essence Divine, et, comme le dit Genèse 3: 16, a instauré le patriarcat et la domination de l'homme sur la femme, du fait du déséquilbre relationnel qu'il a induit, alors qu'à l'origine c'était équilibré. C'est le Serpent qui a rendu difficile la procréation comme le dit ce texte et aussi Apocalypse 12: 1-6.
Cela signifie aussi toute le programme biblique en cours a pour but de rétablir toute la divinité de la femme, mais aussi la relation avec l'homme, et tout cela est synonyme de retour au paradis perdu (Apocalpyse 21: 1-4; 22: 17). En attendant, tout ce qui se passe aussi bien dans la Bible que dans le monde n'est que le constat de ce déséquilibre dû au Serpent d'Eden. Il est l'esprit talmudo-maçonnique, c'est lui le véritable ennemi même de la femme depuis la Genèse, c'est donc lui la cause du patriarcat et de la domination de la femme, mais qui fait imputer à Dieu ce qui n'est que son oeuvre à lui. Le Serpent est le champion de toutes les inversions accusatoires, avec lui tout est inversé, tout simplement, toutes les valeurs sont inversées.
C'est le même qui crée la pseudo-défense de la femme qu'est le féminisme, alors que la vraie défense et la vraie réparation du problème est ce que Dieu est en train de faire, étape par étape, sans brûler les étapes. Toutes ces idéologies talmudo-maçonniques, lucifériennes, dont le summum est atteint de nos jours avec le LGBT et autre transgenrisme, ne sont en réalité que les nouvelles formes du même déséquilibre orginal, son aggravation. Et croyant se libérer, en laissant le Serpent leur faire croire que c'est Dieu le responsable de leurs problèmes, les femmes ne font qu'être encore plus esclaves du Serpent. Puissiez-vous entendre ces paroles libératrices, qui vous dévoilent à présent le vrai coupable.
C'est donc tout cela qui se cache dans la Genèse, dans la Torah, entre autres dans l'épisode sur Rachel, d'abord dans l'affaire des fétiches de son père Laban, qu'elle a dérobés, puis cachés sa selle de cheval. Laban est une des nombreuses figures de Satan dans la Bible. Jacob a été roulé par Laban, qu'il a servi avec loyauté comme un père pendant beaucoup d'années pour pouvoir avoir pour femmes ses deux filles Léa et Rachel. Et Jacob a dû aussi ruser avec Laban sinon il repartirait peut-être avec ses filles mais sans aucun héritage pour elles et les douze fils, les douze tribus naissantes d'Israël.
Quand Laban, s'apercevant de la disparition de ses fétiches, fut furieux et a lancé des maldictions puis a ordonné de rattraper le voleur de ses fétiches, soupçonnant sans doute un coup de Jacob ou Israël, les serviteurs de Laban ont fouillé tout le monde. Mais en arrivant près de Rachel la femme préférée de Jacob et en lui demandant de se lever sur sa selle pour être fouillée aussi, elle prétexta avoir ses menstruations (ses règles), qu'elle avait donc des pertes de sang. Et elle demanda si les hommes allaient le déshonorer au point de la faire se lever aussi, dévoilant son sang. Et les hommes lui épargnèrent cela.
Et le fait que Rachel meurt en accouchant de Benjamin, est étroitement connecté à la malédiction associée à ces fétiches de son père, un symbole de Satan le Serpent d'Eden. Tout cela a un sens spirituel profond, qui serait trop long à expliquer en détail. Comme par exemple le dit le texte de Jérémie 31: 15, cité en Matthieu 2: 13-18. Dans le texte de Matthieu parle de l'épisode où Hérode le gouverneur de la Palestine au temps de Jésus quand il venait de naître, a reçu la visite de rois mages (en fait des astrologues-magiciens) venus adorer l'enfant. Mais ils passèrent d'abord informer Hérode qu'ils ont vu l'étoile du Messie depuis chez eux en babylonie.
Et Hérode, jaloux que le roi des juifs soit né, leur demanda d'aller se renseigner où est l'enfant-Messie, pour qu'il aille l'adorer aussi. Mais ce suppôt de Satan voulait éliminer le Messie des juifs en réalité, et l'ange de Dieu prévint ces rois mages de repartir chez eux sans passer renseigner Hérode. Et celui-ci, furieux d'avoir été roulé, ordonna de tuer tous les bébés juifs nés dans la période indquée par les rois mages. Et cet épisode rappelle aussi celui du pharaon qui a ordonné un massacre semblable pour s'assurer d'avoir éliminé l'enfant Moïse annoncé comme le libérateur des israélites, alors devenus une nation nombreuse en Egypte (Exode 1: 1-22).
Le texte de Matthieu 2: 13-18 cite le texte précis de En Jérémie 31: 15 qui dit: "Il y a des pleurs et une grande lamentation à Rama, Rachel pleure ses enfants". Cela montre que ces épisodes concernant Israël, les libérateurs ou messies, Moïse et Jésus, et impliquant les magiciens-astrologues dans le cas de Jésus, sont liés à l'épisode de Rachel et des fétiches de son père Laban. Et tout cela est aussi concerne aussi à la condition de la femme, à Eve et l Serpent d'Eden, Ne nous étendons pas davantage sur le sujet.
Revenons donc à Jacob, quand il a appris qu'un mystérieux haut personnage de l'Egypte a gardé un de ses fils en otage, exigeant que ses autres fils prouvent leur bonne foi en revenant avec Benjamin, supposé resté avec leur père. Avant de retourner vers le père, ils se sont mis à parler entre eux en hébreu, disant que tout cela leur arrive à cause de leur péché contre leur frère Joseph. Et l'aîné se défendait en disant: "Ne vous avais-je pas dit de ne pas faire du mal à notre frère?" Mais ils ne savaient pas que le haut personnage de l'Egypte comprenait l'hébreu, et encore moins que c'était Joseph. Celui-ci pu mesurer leur repentir sincère, et c'est là où je veux en venir, en comparant avec ce qui va se passer 2000 ans plus tard avec Jésus le Messie, que Joseph représentait tout simplement.
Ils revinrent donc vers Jacob pour lui dire le mystérieux haut dignitaire de l'Egypte, qui leur causait des soucis, et qui se renseignait étrangement sur leur père, leur famille, réclamait Benjamin... Alors là, le pauvre Jacob était comme mort, achevé. La fin de l'histoire, riche en leçons, c'est que quand Joseph vit son frère Benjamin, qu'il était réellement vivant, il ne pouvait plus faire semblant, continuer de s'absenter pour aller pleurer en cachette, pour que ses frères ne le remarquent pas. Il finit donc par leur dévoiler qu'il est Joseph, mais qu'ils n'avaient pas à s'inquiéter d'une quelconque intention de vengeance, car il a eu les preuves qu'ils se sont repentis de leur crime. Il ajouta que c'est Dieu qui a fait que les choses se passent ainsi, pour conserver leur famille en vie. Il leur demanda d'aller faire venir leur père, et c'est ainsi que commençèrent les quatre siècles de l'histoire d'Israël en Egypte. D'abord une hostoire heureuse, puis celle sous un pharaon pas aussi bienveillant que celui de l'époque de Joseph. Ce fut alors l'histoire du peuple d'Israël esclave en Egypte.
En lisant cela, on peut penser qu'il s'agit d'un conte biblique, ce que pensent en général les gens qui ne comprennent pas la logique biblique, une logique en général très cachée, que l'on ne comprend que suite à une étude et une méditation profondes! Les écrivains bibliques ne peuvent pas avoir inventé cette logique profonde, et tant de modèles parallèles sur des siècles et même millénaires, appelés les prophéties. Une intelligence supérieure est nécessairement derrière tout cela. Une autre raison qui prouve cela aussi, c'est pourquoi cette logique, si elle était inventée par des humains, échappe si souvent aussi à tant d'humains qui lisent et étudient la Bible?
Est-ce par exemple, comme certains le disent, les chrétiens qui, dans les évangiles, ont inventé un personnage nommé Jésus de Nazareth, lui ont taillé une vie de manière à ce qu'elle se calque sur celle de Joseph dans le Tanakh? Ou est-ce eux qui ont inventé l'histoire de Joseph dans le Tanakh pour qu'elle se calquent sur celle de Jésus?
Ceux qui ne comprennent pas l’Esprit du Tanakh ou Bible hébraïque dit Ancien Testament (il est nommé ainsi mais est toujours d’actualité, ou en tout cas son Esprit), voient YHWH ou Yahvé le Dieu de l’Ancien Testament, couramment traduit par l’Eternel (comme par exemple en Psaumes 23: 1, texte bien connu qui dit: ‘L’Eternel est mon berger’), comme un « Dieu guerrier, qui ordonne non seulement le « sacrifice » d’animaux au temple, mais surtout ordonne le massacre des peuples non juifs.
Alors qu’en réalité, le Serpent d’Eden, c’est Satan le Diable, qui a fait perdre à l’humanité le paradis créé par Dieu pour eux (le fameux péché originel de Genèse 3: 1-24), qui a fait basculer le monde dans la violence. C’est lui qui réclame le sang, notamment humain, et Dieu lui donne les animaux comme prix de rachat des humains déchus, en attendant le meilleur prix de rachat et de salut de l’humanité, qui a été payé justement par Jésus le Messie et Fils de Dieu (Jean 3: 16). Et qui a exécuté Jésus le Fils de Dieu, l’a sacrifié justement à Satan? Ce sont précisément les pharisiens, les prédécesseurs des talmudistes, et leurs prédécesseurs à tous étant les adorateurs du Veau d’Or, de Baal, de Moloch, etc., et Moloch, le Dieu du Feu, à qui le peuple juif égaré par ces guides adorateurs de Satan, sacrifiaient des enfants juifs (voir Jérémie 7: 31).
Et ce qui est présenté comme l’ordre de YHWH ou Yahvé de massacrer les peuples non juifs est là aussi une grave incompréhension de l’Esprit du Tanakh. Car YHWH ou Yahvé ou l’Eternel menait une guerre précisément contre les peuples adorateurs des idoles, ce qui veut dire en fait adorateurs de Satan, qui se livraient à des pratiques sataniques ou impures, que Dieu interdisait précisément à Israël d’imiter. Et chaque fois qu’Israël déviait de la Loi de Dieu, celui-ci suscitait des prophètes pour les remettre sur le droit chemin. Tout le Tanakh ou Ancien Testament n’est fait que de cela.
C’est donc toujours Satan (le Serpent d’Eden donc) et le satanisme que YHWH ou Yahvé ou l’Eternel combattait, à commencer par celui de l’Egypte où Israël était en esclavage. Dieu l’a délivré de l’Egypte, l'a conduit à une terre promise à ses ancêtres (Abraham, Isaac, Jacob), terre de laquelle il chasse les peuples adorateurs de Satan (ou des idoles, qui cachent en fait des démons ou Satan), en ordonnant donc à Israël de ne pas faire comme les peuples chassés, sous peine d’être chassé à son tour et de connaître des exils (voir Deutéronome 30: 15-20).
C’est ce qui finit par arriver au huitième siècle avant notre ère pour 10 tribus d’Israël, déportées en Assyrie, puis au sixième siècle avant notre ère pour les deux tribus restantes, celles qui sont les juifs au sens propre du terme, déportées à Babylone. Et depuis, malgré le retour des juifs 70 ans plus tard, les choses ne furent jamais pareilles pour eux et pour les dix autres tribus. Le terre d’Israël a été sous domination médo-perse, puis grecque, puis romaine à l’époque de Jésus.
Et après avoir péché en assassinant Jésus le Messie, le sacrifiant à Satan donc (incarné par la puissance romaine), la conséquence fut de nouveau un exil juif en l’an 70 de notre ère (ce sont les romains qui les ont chassés de la terre d’Israël appelée entre-temps la Palestine), le plus long exil de leur histoire, qui a duré 2000 ans. Et à vrai dire, du point de vue divin, l’exil continue, car leur retour devait se faire sous des conditions énoncées par Jésus avant sa mort, à savoir leur repentance d’avoir tué des prophètes avant lui, puis lui qu’ils étaient sur le point de tuer aussi (voir Matthieu 23: 37-39).
Mais se sont-ils repentis jusqu’ici, ont-ils rempli les conditions exigées par Jésus? Demandez-le au Talmud et aux talmudistes, les successeurs des pharisiens, et vous verrez s’ils reconnaissent en Jésus le Messie annoncé par les prophètes, qu’ils ont sacrifié aux romains, disant que c’est César leur roi et pas Jésus (Jean 19: 8-22).
C’est donc le problème avec l’esprit du Talmud, quand c’est lui qui guide Israël (et maintenant le monde, au-delà d’Israël), au lieu que ce soit l’Esprit du Tanakh, qui est celui de Jésus et des apôtres, l’Esprit du christianisme donc, avant que celui-ci ne s’égare à son tour, son « talmudisme » à lui étant le catholicisme. On a donc une version chrétienne du même problème que le judaïsme. Et ironie de l’histoire, c’est que l’esprit du Talmud, après avoir combattu les premiers chrétiens et les avoir souvent livrés à la puissance romaine comme ils ont livré leur maître Jésus, et après le triomphe du christianisme et son extraordinaire rayonnement dans le monde entier, malgré les persécutions pharisaïques , ont fini par succomber suite aux ruses du talmudisme pour le détruire de l’intérieur, et ce dans une certaine alliance avec l’empire romain.
En effet, l’empire romain lui aussi, échouant dans sa persécution des chrétiens, a adopté le christianisme (notamment suite à la conversion de Constantin 1er au quatrième siècle) comme religion de l’empire, pour mieux le corrompre de l’intérieur. C’est du reste une vieille stratégie du Diable, qui a réussi auparavant contre le judaïsme pour produire entre autres le pharisaïsme, l’ancêtre du talmudisme.
Tout au long du Tanakh, les puissances qui échouaient à vaincre par la force Israël le peuple de Dieu, pour qui Dieu combattait (comme expliqué plus haut), réussissaient plus facilement en s’intégrant au peuple d’Israël, en nouant des alliances avec lui (notamment par des mariages), en adoptant le judaïsme, pour mieux le corrompre de l’intérieur, lui infusant le culte satanique que YHWH ou Yahvé condamnait. Même le grand et sage roi Salomon a été corrompu par ce piège. Ses épouses étrangères ont fini par incliner son coeur vers leurs dieux et idoles, autrement dit vers les démons, vers Satan. Et de manière générale, l’infiltration, la ruse et la séduction, fonctionnent souvent bien mieux que la force. Le Serpent d’Eden n’a pas fait autrement avec Eve.
De nos jours, cette vieille ruse du Diable est appelée « ingénierie sociale », et elle est d’une efficacité redoutable! C’est donc elle qui, avec le judaïsme a produit des déviances, dont le courant déviant dominant est le pharisaïsme, appelé de nos jours le talmudisme (enfin, le judaïsme talmudique ou rabbinique, que nous appelons le talmudisme). Avec le christianisme, cette ruse de la part de l’alliance entre l’esprit du Talmud et l’empire romain, a eu raison du christianisme originel, et a produit le catholicisme, le courant dominant du christianisme. Les réformes protestantes puis évangéliques n’ont jamais réussi à redonner son âme originelle au christianisme. Le ton était donné dès le départ, avec l’alliance entre les pharisiens et le gouverneur romain Pilate pour crucifier Jésus de Nazareth. Bien que Pilate ne voulait pas vraiment faire ce qu’on lui demandait. Mais quand la ruse des pharisiens échouait, le chantage a pris le relai et il a cédé.
Ils ont joué sur une loi de crime de lèse-majesté stipulant que quiconque se déclarait roi se constituait ennemi de César. Et Jésus de Nazareth qui, prêchant le Royaume de Dieu et disant être le roi de ce Royaume, se faisait selon ses accusateurs le roi des juifs, qui étaient sous la domination de César. Quand Pilate, qui cherchait un moyen de relâcher Jésus leur demanda s’il devait crucifier leur roi, ils répondirent que leur roi était César. Et quand malgré tout Pilate insistait, ils ont sorti la menace suprême, que s’il n’exécutait pas Jésus qui se déclarait roi, c’est que Pilate se faisait ennemi de César. Pilate céda, mais insista pour qu’on inscrive comme motif d’exécution: « Jésus de Nazareth le Roi des Juifs ». Ils protestèrent disant: « N’écrit pas: ‘Le Roi des Juifs’, mais qu’il a dit: ‘Je suis le Roi des Juifs' ». Mais Pilate leur répond: « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit » (Jean 19: 8-22).
Ainsi fut sacrifié Jésus à Satan via l’occupant romain, et ainsi seront sacrifiés aussi de nombreux disciples de Jésus, suite à des intrigues entre les pharisiens et l’occupant romain. Et là où ces persécutions ont souvent échoué à leur faire perdre la foi en Jésus (ils préféraient mourir que de renier Jésus), l’infiltration et la ruse réussiront donc.
Ils passent pour être le prolongement du judaïsme biblique, alors qu’en réalité ils incarnent tout le contraire même du judaïsme et de son Esprit, à savoir donc l’Esprit du Tanakh, qui est pleinement révélé par Jésus et tout le Nouveau Testament. La preuve que le pharisaïsme, qui est donc de nos jours le judaïsme talmudique (que nous préférons appeler le talmudisme, pour éviter les confusions qui ont gravement nuit à la cause juive depuis 2000 ans et même avant), est contraire à l’Esprit du Tanakh incarné par Jésus et pleinement manifesté dans le Nouveau Testament, c’est justement que les pharisiens ont fait crucifier Jésus, qui prêchait l’amour du prochain.
Le Talmud c’est le gros problème, et c’est son esprit qui dirige le monde de nos jours. Tous ceux qui ne comprennent pas cette différence capitale présentent cela comme un problème « juif » alors qu’il n’y a rien de plus anti-juif et anti-Christ que l’esprit du Talmud.
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