Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
Source: https://twitter.com/AbliBouyo74535/status/1679687234792878080
Lien de la vidéo mentionnée: https://odysee.com/@alternation:5/LE-CHAPITRE-INTERDIT-de-la-bible-juive:c
Vidéo également disponible sur Twitter: https://twitter.com/AbbyEve777/status/1679574814850416646
Cette introduction parce que nous avons partagé sur Twitter une vidéo dont la version originale, en anglais: « The Forbidden Chapter: Isaïe 53 in the Hebew Bible« . Et en ce sens cela se traduit: « Le Chapitre Interdit: Isaïe 53 dans la Bible Hébraïque« .
Nous sommes des chrétiens, et tout simplement, nous chérissons toute la révélation divine, toute la Bible: le Premier testament, qui est le Tanakh ou Bible hébraïque, ce que l’on appelle couramment l’Ancien Testament. Et à sa suite le Deuxième Testament, couramment appelé le Nouveau Testament, qui commence par l’oeuvre de Jean-Baptiste, de Jésus, puis se poursuit avec celle de ses apôtres, tous des juifs, s’il est encore nécessaire de le rappeler. A cette oeuvre ont adhéré beaucoup de disciples de Jésus gréco-romains, puis des gens de toutes les nations et peuples, qu’on appelle les chrétiens, dont nous faisons donc partie.
Et au troisième millénaire, nous travaillons à un Nouveau Paradigme, la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, dont nous parlerons aussi, et qui inaugure l’ère du Troisième Testament. C’est l’objet de tout ce blog de Nouvelle Genèse (le livre de la Genèse, en hébreu Béréshit, est le premier livre de la Torah, elle-même les cinq premiers livres de la Bible hébraïque, on y reviendra largement), et pour cela voir: Les notions élémentaires de la Science de l’Univers TOTAL permettant de mieux comprendre ce site Nouvelle Genèse. Et c’est publié aussi à notre site principal de la Science de l’Univers TOTAL, hubertelie.com.
Pour nous donc, au troisième millénaire, à l’ère de l’INFORMATION, nous sommes au Troisième Testament. Mais nous sommes face à des gens, les talmudistes donc, classiques, orthodoxes ou ultra-orthodoxes, qui sont bloqués au Premier Testament, qui ont donc deux Testaments de retard, et pire que cela, qui ne sont même pas encore vraiment rentrés dans le Premier Testament, le Tanakh ou Bible hébraïque. Ils sont bloqués dans la pensée pharisaïque, ce que Jean-Baptiste et Jésus reprochaient déjà aux pharisiens il y a 2000 ans. Voir Matthieu 3: 7-12; 15: 3-9; 33-39. Nous reviendrons souvent sur ces textes et d’autres, dans notre exposé.
Notre tweet a été « assailli » par des talmudistes, qui en plus nous tweetent en anglais, alors que nous parlons français et justement nous partageons la vidéo, faites par des juifs chrétiens, comme celui qui interviewe ses concitoyens en Israël.
Ici, c’est quelqu’un d’autre qui partage la vidéo, et comme on le voit, il a mis un titre erroné, à savoir « Le chapitre interdit de la Bible juive », qui ne reflète pas vraiment le sens du titre de la vidéo précédente: « The Forbidden Chapter: Isaïe 53 in the Hebew Bible » ou : « Le Chapitre Interdit: Isaïe 53 dans la Bible Hébraïque« .
A ce que nous avons découvert à propos de deux des talmudistes qui nous ont assaillis sur Twitter, @ZevSteinhardt et @LeviIsraelson, en faisant des recherches de l’un d’eux à son site, il est missionné pour attaquer cette vidéo. Qu’à cela ne tienne nous démontrons que ses méthodes sont fallacieuses, spécieuses. Méthodes typiquement talmudiques, pharisaïques, justement, que nous connaissons bien (notamment moi Hubertelie qui écris ces lignes) pour les avoir souvent vues avec des enseignants talmudistes sur Youtube et ailleurs. Comme par exemple avec cet enseignant de Torah-Box, dans cette vidéo intitulée: « Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus?« :
Vous avez vu ce qui déjà ne va pas dans le titre, et qui vraiment est un des problèmes majeurs avec la pensée talmudique, c’est-à-dire pharisaïque? C’est important aujourd’hui de comprendre qu’on a vraiment affaire au pharisaïsme, un judaïsme fallacieux, qu’il ne faut plus confondre avec le vrai judaïsme, celui de Moïse et des prophètes, dont vous allez découvrir à présent l’Esprit, l’Essence.
Il y a en effet déjà trois mensonges rien que dès le titre, et ici il ne s’agit pas d’une erreur de traduction de l’hébreu vers le français, ou de l’anglais vers le français, mais vraiment une des idées typiques du talmudisme, c’est-à-dire du pharisaïsme.
Déjà le problème de vocabulaire, une grande arnaque que je dénonce depuis longtemps, et qui n’est pas de la faute de cet enseignant talmudiste particulier, mais celle de tout un système mensonger, hypocrite, c’est l’utilisation du même mot « juif » pour parler de la notion ethnique, tribale, raciale, comme le fait de dire blanc, noir, arabe, slave, etc., et pour parler de la religion, à savoir le judaïsme. Cela permet déjà de jouer hypocritement sur les mots et de faire des amalgames quand ça arrange, et ça arrange justement très souvent, notamment les talmudistes. Ainsi, ne pas aimer une idéologie, qui n’est que l’idéologie talmudiste (comme on a le droit de ne pas aimer l’idéologie islamiste, mondialiste, nazie ou autres), ou l’agenda ou le messianisme associé, se transforme très vite en ne pas aimer les juifs en tant qu’ethnie ou race, ou être « antisémite ».
Et plus spécifiquement chez cet enseignant talmudiste (encore que…), le premier mensonge et manipulation et empoisonnement subliminal des esprits, c’est d’opposer la noton de Juif à Jésus, alors que, sur le plan ethnique comme religieux, Jésus était Juif, et… il croyait en Jésus, en lui-même donc! L’axiome sur lequel le discours de ce talmudiste repose est faux.
Mais donnons d’autres exemples de juifs qui croient en Jésus. Je vais citer des sources juives, les évangiles, à moins que ces talmudistes aillent pousser le mensonge contre l’histoire jusqu’à dire que les auteurs des évangiles et plus généralement du Nouveau Testament, n’étaient pas des juifs. Qu’ils ne les confondent pas avec les chrétiens tardifs, à partir du IVe siècle après Jésus Christ (après donc la conversion de l’empereur romain Constantin), conversion qui donna véritablement naissance à l’Eglise de Rome, c’est-à-dire l’église catholique. Je parle donc des chrétiens du premier siècle, qui étaient pour la plupart des juifs.
Oh je sais, dans sa vidéo, cet enseignant donne une étrange chronologie, concernant la date d’apparition de Jésus, mais peu importe. C’est éminemment FAUX de dire que « LES juifs ne croient pas en Jésus ». C’est implicitement affirmer que Jésus n’était pas juif, ni le pharisien Nicodème dont l’évangile de Jean dit qu’il est venu voir Jésus de nuit (Jean 3: 1-16) . Ou que le phasrisien Saul de Tarse qui devint l’apôtre Paul n’était pas juif (Actes chapitre 9). Ou encore qu’Etienne (Actes chapitre 7) qui faisait partie des chrétiens que Saul de Tarse persécutait avant de devenir chrétien lui-même, ayant écrit 14 des livres du Nouveau Testament, n’était pas juif.
J’appelle cela la Shoah numéro 1, car la Shoah numéro 0, la mère des Shoah, est celle-ci:
C’est le rappel de ce crime que la pensée pharisaïque, talmudiste donc, n’aime pas qu’on lui rappelle, et tout est bon pour nier cette réalité historique, jusqu’à laisser le sujet de fond, concernant Isaïe 53, qui parle du rejet du Messie par la majorité des membres de son peuple, sa souffrance et sa mise mise à mort (à noter que je dis le rejet du Messie, pas nécessairement de Jésus, car Isaïe 53 n’emploie pas le nom de Jésus, mais nous sommes simplement en train de dire que la vie de Jésus de Nazareth répond beaucoup au descriptif que fait Isaïe du serviteur de Dieu rejeté et même tué), oui laisser le sujet de fond donc pour ergoter sur la forme. Et jusqu’à déformer les réalités historiques.
L’argumentaire de cet enseignant talmudiste, et en règle générale des talmudistes, se résume à ceci: « Ce que vous dites est faux, car ce n’est pas écrit dans le Talmud, ce n’est pas ce que disent nos ‘pères' ».
YHWH le vrai Dieu, le Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, de Moïse, des prophètes, de Jean-Baptiste, de Jésus, des apôtres, l’Unique Dieu (voir Le triomphe de YHWH l’Etre TOTAL, le « Je SUIS »), notre Dieu, l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, m’est témoin que ce n’est pas ainsi que je cite les évangiles et le Nouveau Testament, dans mon argumentaire. Malgré le fait que mon Dieu sait à quel point je chéris dans mon coeur la Torah de Moïse, la parole des prophètes, bref tout le Tanakh, que je chéris les évangiles, tout le Nouveau Testament, et la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu que je fais aujourd’hui, je ne dis à aucun de mes interlocuteurs: « Ce que vous dites est faux, car ce n’est pas écrit dans les livres que je chéris ». Or l’argumentaire de cet enseignant de Torah-Box et de beaucoup de talmudistes, se résume à cela.
Mais c’est ainsi que raisonnent les esprits fermés, sectaires, tribaux, qui n’ont de vraie référence qu’eux-mêmes., leur ethnie, leur race, leur communauté, etc. Et encore, et c’est ce qui est pire, jusqu’à NIER une partie de sa communauté, de son identité, de son histoire, etc., prétendre que l’on représente l’ensemble dans toute sa diversité!
Cela amène au deuxième mensonge de cet enseignant: ceci montre qu’il y a de nos jours, au moins un juif qui croit en Jésus, celui de gauche sur l’image ci-après:
Il y a par exemple en Israël, à Tel Aviv, une congrégation de Témoins de Jéhovah, des chrétiens très attachés à l’histoire du peuple juif, et qui prononcent « Jéhovah » le tétragramme « YHWH », le nom hébreu du Dieu de la Bible hébraïque, généralement prononcé Yahvé, et traduit dans beaucoup de Bibles par l’Eternel (on va y revenir):
La prononciation importe peu, mais c’est le sens. Mais justement la pensée pharisaïque ou talmudique, qui monte en épingle le détail et pèche contre l’essentiel, comme Jésus le déplorait il y a 2000 ans disant: « Guides aveugles, qui filtrez le moustique mais avalez le chameau » (Matthieu 23: 24), fait de l’hébreu ou de l’appartenance à la race juive une vraie idole, un fétiche, une vraie divinité adorée, au détriment de la qualité divine, ou de la qualité humaine, tout simplement.
C’est même pire que cela: si vous êtes juif, et adhérez à l’idéologie talmudiste, à la tradition des pères (à comprendre les pères du talmudisme) ou qui revient au même, à la tradition pharisaïque, ça va, même si vous êtes un criminel, un Barrabas. Mais si vous n’adhérez pas à l’idéologie talmudiste, vous avez beau être être juif, on commence avec subtilité à nier votre judéité, comme on le voit dans ce titre: « Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus ». Donc Jésus ne serait pas juif.
Et surtout, oui surtout, vous avez beau être l’ incarnation même de l’amour divin, si vous critiquez la pensée talmudique, ou dites la vérité qui la dérange, même en étant juif, l' »accusation d’antisémitisme » ou d' »ennemi du peuple juif » vous guette, selon le degré du dérangement, si ça dérange le pouvoir talmudiste, ses intérêts, ses profits ou moyens de gains, son agenda, etc. Et si vous n’êtes pas juif ou êtes un goy ou « non-juif », alors la guillotine d’accusation d' »antisémitisme » tombe lourdement sur vous! Ce qui peut encore vous épargnez le châtiment d’exécution publique, c’est le fait d’être juif. Mais il ne faut quand même pas abuser en matière de vérité qui dérange, car vous allez vite rejoindre Jésus, les apôtres, et beaucoup de prophètes avant eux.
Il faut dire aussi qu’en cela il y a énormément d’hypocrisie, comme dans tout ce qui a trait à la pensée pharisaïque ou talmudique. Car votre sort va beaucoup dépendre aussi du fait que vous êtes un juif d’en haut ou un juif d’en bas, si vous êtes un Caïphe ou un Gamaliel, ou si vous êtes Jésus de Nazareth le fils (officiel) du charpentier de Nazareth. Un Rothschild, un Harari, un Nétanyahou, un Attali, un BHL, etc., ou si vous êtes un Zelenko, ou un humble vendeur de figues à Béer-Shéva. En fonction de votre pouvoir ou de votre statut social, tout ou presque est supporté chez vous ou même vous êtes glorifié, ou alors vous être sacrifié à Belzébuth, ou offert en holocauste à Moloch!
Car ce sont les juifs d’en bas qui sont surtout sacrifiés pour les intérêts des juifs d’en haut. Si vous êtes un juif d’en bas, et n’êtes pas d’une manière ou d’une autre utile aux intérêts des juifs d’en haut, et au contraire dérangez leurs intérêts, vous êtes crucifiés comme Jésus, et on préférera un autre juif d’en bas plus utile que vous, un Barrabas ou un Zelensky, même s’il est un criminel. Du moment où ce sont les goyim (non-juifs) qu’il tue, les romains, les français, les russes, les africains, etc., tout va bien. Cette logique est typique pharisaïque, talmudique, est tout le contraire de la pensée des prophètes, de Jésus, des apôtres. C’est parce que ceux-ci s’opposaient à cela et rappelaient la pensée divine, qu’ils étaient souvent assassinés, en fait sacrifiés.
Le troisième mensonge caché dans le titre: « Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus », est qu’en fait le vrai titre qu’il fallait dire et qui éclaire les choses, est: « Pourquoi les talmudistes ne croient pas en Jésus« , ou: « Pourquoi les pharisiens ne croient pas en Jésus« .
Car, que l’on prenne le mot « juif » au sens de l’appartenance ethnique ou tribale, ou au sens religieux ou du judaïsme, ceci ne s’applique qu’à une catégorie de juifs, surtout pas à tous! Et un mensonge encore plus subtil dans ce mensonge, et qui est savamment entretenu par les talmudistes, c’est que le talmudisme et le judaïsme seraient automatiquement synonymes. Mais c’est tout aussi faux que de dire que le catholicisme et le christianisme sont automatiquement synonymes, niant le protestantisme et toutes les formes de l’évangélisme! Et c’est aussi faux que de dire que l’islam et le wahabisme ou le sunnisme sont automatiquement synonymes, alors qu’il y a les autres courants, comme par exemple le chiisme, le soufisme, etc.
D’autant plus qu’en réalité, c’est le judaïsme biblique, le vrai judaïsme, qui a évolué pour devenir le christianisme primitif, lui-même s’étant par la suite subdivisé en plusieurs courants dont le principal est le catholicisme. Et ce n’est pas parce le tronc commun d’un arbre donne plusieurs branches dont une plus grosse que les autres, que la plus grosse va dire qu’elle est le prolongement naturel du tronc principale. Car une branche d’un autre arbre, greffée sur le tronc, peut tout à fait devenir plus grosse que les autres, et pourtant être bel et bien une greffe, qui n’est en rien le prolongement naturel du tronc.
A l’époque de Jésus, le judaïsme biblique était celui pratiqué dans le temple de Jérusalem, et il était incarné par des enseignants qui n’étaient pas nécessairement le courant majoritaire à l’époque. Car l’histoire d’Israël est faite de périodes, qui durent parfois des décennies voire des siècles, qui sont des périodes d’apostasie et d’hérésie. Il n’y a qu’à lire dans le Tanakh ou Bible hébraïque par exemple les livres de Samuel, des Rois ou des Chroniques, pour s’en convaincre très vite!
Dans 1 Rois chapitres 17 à 19, le prophète Elie déprimait presque de voir la grande apostasie qui régnait en Israël, et était persuadé d’être resté seul fidèle à YHWH le vrai Dieu. D’ailleurs son nom Elie ou Eliyah ou Elihahou, veut dire: « Mon Dieu, c’est YHWH », par opposition à la plupart des gens, à commencer par le roi Achab et la méchante reine Jézabel, qui ont succombé au culte de Baal.
Après qu’il ait magistralement démontré à Israël que YHWH est le vrai Dieu, et détruit les prophètes de Baal et l’apostasie que la reine Jézabel a introduite dans le pays, celle-ci voulait le tuer, il s’est enfui et est allé se plaindre au Sinaï ou Horeb, la montagne où Moïse des siècles plus tôt à reçu la Torah. Il disait: « Ôte ma vie, car je ne vaux pas plus que mes ancêtres. J’ai été d’un zèle ardent pour ton nom. Car les fils d’Israël ont abandonné ton alliance, renversé tes autels, passé tes prophètes par l’épée, si bien qu’il ne reste que moi seul, et ils me cherchent pour m’ôter la vie ». Et Dieu le rassura en lui disant: « J’ai fait qu’il reste en Israël 7000 âmes qui n’ont pas plié le genou devant Baal et ne lui ont pas donné de baiser » (1 Rois 19: 14-18).
Il y a donc des périodes de l’histoire d’Israël comme cela où presque toutes les branches sur le tronc de l’arbre sont pourries, à l’exception de quelques unes qui prolongent la nature du tronc. Toutes les lumières de YHWH le vrai Dieu sont éteintes, à l’exception de quelques bougies encore allumées dans ces temps des ténèbres!
C’était ainsi à l’époque au temps de Jean-Baptiste, qui était l’Elie de son temps, et il avait justement la mission de ramener suffisamment de juifs au vrai Dieu pour accueillir le Messie (Matthieu 3: 1-17). Autrement dit, de rappeler ce qu’est le vrai judaïsme (Luc 1: 5-38). Et il faut préciser aussi que, du fait de ses péchés répétés contre le vrai Dieu, et des schismes et des exils qui en ont résulté, la royauté n’existait plus en Israël, le peuple était sous domination d’empires successifs: Babylone, Médo-Perse, Grèce, puis Rome au temps de Jésus.
Le temple de Salomon, le premier temple donc, avait disparu, et le temple qu’il y avait était le second temple, construit ou plutôt achevé par Hérode, condition pour un occupant d’avoir un minimum de paix avec les juifs. Rien que ceci était la preuve que l’apostasie a fait des ravages, et que l’âge d’or d’Israël, le temps du roi David et de son fils Salomon, était derrière. Raison pour laquelle justement aussi, les enseignants disaient au peuple que le Messie devait être un roi guerrier comme David qui devait délivrer Israël du joug romain. Mais Jésus était tout sauf le profil préjugé par les pharisiens, selon leur désir et pas selon la pensée de Dieu.
A l’époque, il y avait une multitude de sectes du judaïsme, dont les deux principales que sont les pharisiens et les sadducéens (Matthieu 3: 7-12; 15: 3-9; 22: 15-40)? Beaucoup de ceux en qui la flamme du vrai judaïsme fut rallumé, suivirent Jésus et devinrent chrétiens, si bien qu’on peut dire que le christianisme succéda au judaïsme. Mai Jésus ayant été rejeté par les autres, crucifié même, la punition divine survint en l’an 70, quand les juifs guidés par l’idéologie pharisaïque se révoltèrent contre Rome. Le temple de Jérusalem fut détruit par les romains, et le judaïsme biblique disparut avec lui, et les chrétiens qui en incarnaient désormais l’essence, furent dispersés aux quatre vents, portant l’évangile du Christ mort et ressuscité.
Et c’est donc pendant l’exil que l’idéologie pharisaïque devint l’hérésie judaïque dominante, qui évolua pour devenir le talmudisme actuel. C’est ça que l’on appelle de nos jours le « judaïsme », parce qu’aussi les talmudistes réclament l’héritage du judaïsme biblique. Mais c’est en fait le judaïsme talmudique ou judaïsme pharisaïque ou judaïsme rabbinique, que nous préférons appeler simplement le talmudisme. Et ce pour ne plus laisser croire que le talmudisme et le judaïsme sont systématiquement synonymes.
Isaïe 53 pose la question du Messie rejeté et tué, qui dérange la pensée néo-pharisaïque, talmudique donc, qui, quand elle n’occulte pas le phénomène Jésus, ne continue pas à le nier, comme depuis 2000 ans, déplace le fond du sujet sur un autre terrain. Et tout cela avec l’objectif de maintenir la plupart des juifs ignorants des vraies questions et de la vraie histoire. La question du Messie est vue à travers le prisme du Talmud et non plus du Tanakh, ou alors le Tanakh lui-même est vu à travers le prisme du Talmud.
Revenons donc à cette vidéo des juifs chrétiens sur Isaïe 53, que des mousquetaires talmudistes, avec les méthodes pharisaïques que nous commençons à comprendre, sont chargés de combattre, comme il y a 2000 ans des pharisiens étaient chargés de combattre les chrétiens sous tous les cieux:
Le titre interne de la vidéo, qui diffère de la formulation du titre de la vidéo est intéressant aussi. Il est: « The ‘Forbidden Chapter’ in the Hebrew Bible« , ou « Le ‘Chapitre Interdit’ dans la Bible Hébraïque« . On note que l’expression « Chapitre Interdit » est mise entre guillemets, pour mettre en évidence l’idée que le chapitre n’est pas interdit au sens d’avoir été enlevé, mais que toute la vérité n’est pas dite à son sujet. Et on note la question qui suit: « What’s hidden for us?« , ou: « Qu’est-ce qui nous a été caché? » La question n’est donc pas de savoir si le chapitre est lu ou non dans les synagogues des juifs orthodoxes ou pas orthodoxes. La question est donc de savoir si tout ce qui devait être dit sur ce chapitre a été dit.
Ce titre ne souffre d’aucune ambiguïté, il invite clairement à découvrir Isaïe 53 dans la Bible Hébraïque, et voir aussi qu’il s’agit d’un « chapitre interdit », c’est-à-dire un chapitre dont on ne parle pas, qui est tabou ou couvert d’un secret, et notamment dans les enseignements talmudiques. Et honnêtement c’est vrai qu’il s’agit d’un chapitre « interdit » au sens de tabou ou de chapitre à propos duquel règne une grande désinformation pour ne pas dire un grand mensonge, de la part de la pensée talmudique ou néo-pharisaïque.
Ce sujet d’Isaïe 53 et du Messie dérange vraiment l’esprit talmudiste, ça oui alors! On le voit bien à leurs réactions, à leurs techniques de mauvaise foi, qui consistent à laisser l’essentiel, la question de fond, pour ergoter sur les détails et chercher la petite bête. Ce qui compte pour l’esprit pharisaïque, ce n’est pas la vérité, mais d’avoir raison contre l’adversaire. Mais c’est la vérité qui compte avant tout. Et les argumentaires d’esprits fermés du genre: « Ce que vous dites est faux parce que ce n’est pas écrit dans le Talmud, ce n’est pas ce que nos pères ont dit », ou « ce n’est pas ce que nos sages ont dit », n’ont aucune valeur de logique.
Ce qui est le plus important donc, c’est ce que YHWH le vrai Dieu a dit, c’est ce que dit vraiment la révélation divine, la Torah, la vraie, le Tanakh. C’est la vérité universelle, la loi universelle, peu importe de quelle source cela vient, juive ou pas juive, et à plus forte raison si c’est la vraie essence juive, et pas la pensée talmudique ou pharisaïque, qui tue les prophètes, les Messies, les esprits de vérité.
Comme déjà dit, une des grandes arnaques du talmudisme est de s’approprier la judéité, d’en faire une exclusivité, de dire à tout bout de champ « nous juifs », « nous juifs », « nous juifs », comme s’il n’y a que la pensée talmudique qui est juive! La vraie pensée juive, qui est la pensée des prophètes, de Jésus, des apôtres, notre pensée aujourd’hui avec la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu, est une pensée universelle, donc divine. C’est ce que nous allons démontrer par la suite aussi. Au troisième millénaire, à l’ère de l’INFORMATION, toute pensée sectaire, ségrégationniste, tribale, et à plus forte raison raciste, n’est pas divine, universelle, donc ne peut être réellement juive! Talmudique oui, pharisaïque oui, mais juive non!
C’est honnête de dire: « Pourquoi les talmudistes ne croient pas en Jésus« , ou: « Pourquoi les pharisiens ne croient pas en Jésus« . Mais c’est très malhonnête de dire: « Pourquoi les Juifs ne croient pas en Jésus« , comme si Jésus n’était pas Juif! Ou comme si les Juifs chrétiens ne sont pas Juifs! Ou comme si les Juifs messianiques ne sont pas Juifs, etc.!
Il faut dire aussi qu’à l’époque de Jésus le peuple juif était dans l’attente du Messie, car les prophéties pointent vers cette époque pour son apparition (Luc 3: 15; Actes 5: 34-40). Ce sont des juifs aussi qui ont rapporté ces témoignages des évangiles et du Nouveau Testament. Pourquoi les écouter moins que ceux de la tradition pharisaïque, connue aujourd’hui comme la tradition talmudiste?
Dans les siècles après Jésus, des rabbins qui, constatant que le Messie qui devait venir depuis des siècles n’était pas venu, et que non seulement cela
ils sont en exil depuis des siècles, se sont mis à s’interroger et à se demander s’ils n’ont pas manqué le rendez-vous avec le Messie. Et plus d’un rabbin a confessé à la fin de sa vie que la logique voudrait qu’ils reconnaissent que Jésus de Nazareth était le Messie.
A ces époques, Isaïe 53 était encore lu dans les synagogues comme texte s’appliquant au Messie, et j’ai dit au Messie, et pas à Jésus, à moins qu’on parle de Juifs messianiques ou de Juifs chrétiens. Mais progressivement, ce chapitre était de moins en moins enseigné par des rabbins, et d’autres rabbins étaient d’avis qu’il ne s’appliquait pas en fait au Messie, et d’autres encore qu’il s’appliquait au Messie, mais qu’il ne s’agit pas d’une personne unique, mais au peuple juif dans son ensemble.
C’est la notion d’Israël en tant que Messie collectif. Etant en exil à l’époque, leurs rejets et leurs souffrances vécues en exil, étaient réinterprétées comme étant l’accomplissement d’Isaïe 53, parlant des souffrances du Messie. Mais c’est mettre la charrue devant les boeufs, car la vraie question est: pourquoi ils étaient en exil, alors que Dieu leur a promis dans la Torah en Deutéronome 30: 15-20, que s’ils respectaient la Torah leur séjour serait perpétuel sur la terre promise où Dieu les conduit. Pourquoi alors les nombreux exils juifs de l’histoire dont le grand exil de 2000 ans après la destruction du second temple en l’an 70? Quel péché contre la Torah ils ont pu commettre pour subir un tel malheur?
C’est ça la vraie question, mais c’est elle justement qu’ils ne veulent pas se poser ou usent de tous les contours et détours pour ne pas se remettre en question, notamment les enseignants talmudistes! Et la question est aussi: si le Messie dont parle Isaïe 53 est collectif, et si Israël est ce Messie, alors pourquoi Dieu laisse détruire le temple du Messie par les romains en l’an 70 et fait partir le Messie dans un exil de 2000 ans, hors de sa terre?
Isaïe 53 ne parle donc pas d’un Messie collectif, mais bel et bien d’un Messie particulier. Mais alors pourquoi 2000 ans après l’époque où tous les prophètes du Tanakh indiquaient qu’il devait venir, et que le peuple l’attendait, il n’est toujours pas encore venu? Où est donc l’erreur? Le peuple juif collectivement parlant aurait-il donc manqué le rendez-vous avec le Messie? C’est ça la question pertinente! Inutile de plonger sa tête dans le sable comme une autruche pour ne pas regarder la question en face, ou user de tous les artifices d’interprétation, toutes les torsions et contorsions pour tout justifier, et éviter de voir la vérité en face. Et c’est cette question que pose simplement la vidéo.
La destruction du second temple et l’exil du peuple juif étaient les conséquences du rejet du vrai Messie par les élites pharisaïques, tout simplement. Le moins qu’on puisse dire, c’est que les enseignants pharisaïques et leurs successeurs les talmudistes n’ont pas donné aux peuple juif tous les éléments nécessaires pour comprendre vraiment Isaïe 53, que ça parle du Messie, que la vie de Jésus de Nazareth répond à cette description.
C’est ce que démontre cette vidéo. La question est donc: « Que nous a t-on caché? » C’est clair non? Le but de la vidéo est de faire réfléchir les gens sur le sujet.
Mais est-ce ce que font les talmudistes dans leurs enseignements? La réponse bien évidemment est non.
Le but de ce système est de faire croire aux gens que… tout ce dont nous discutons est jute une affaire de croyance, de cultures ou de traditions, sans importance. Et les gens croient donc que tout cela ne sont que des détails de juiveries, ils ignorent à quel point cela impacte leur vie au quotidien, ils subissent un agenda, ressentent un mal-être, sans comprendre ce qui leur arrive. Ils sont sous le poids d’un pouvoir très puissant, sans comprendre quelle est la nature de ce pouvoir, avec quelles logiques ça marche. Parce qu’ils ignorent que tout ça, c’est une affaire de Dieu et de Diable, que Dieu existe, que le Diable existe aussi, que ce n’est pas banal du tout! Ils ignorent à quel point ils sont naïfs et sont les jouets entre les mains de ceux qui savent ce qui se cache derrière tout ça, les secrets profonds de l’Univers TOTAL, oui de Dieu, qui leur ouvre les yeux, là où le Diable, les forces obscures, les ferment constamment.
La Bible « juive » c’est-à-dire hébraïque, au sens strict de la définition, est le Tanakh, couramment appelé l’Ancien Testament.
Il est le fondement du judaïsme biblique, tel qu’il se pratiquait par exemple il y a 2000 ans, au temps de Jésus et des apôtres. Il contient bel et bien le chapitre d’Isaïe 53, que d’ailleurs les chrétiens appliquent à Jésus. Ce chapitre 53 est toujours dans le Tanakh, la Bible hébraïque.
Et voici le Talmud:
C’est le fondement du talmudisme ou judaïsme talmudique qu’il ne faut plus confondre avec le judaïsme biblique:
Les précisions que nous donnons sont très importantes pour ne pas offrir de prise à des gens, des talmudistes en l’occurrence à l’esprit plus pharisaïque que les autres (car les talmudistes de nos jours ne sont rien d’autre que les successeurs des pharisiens qui, il y a 2000 ans ont crucifié Jésus de Nazareth, qui est l’unique et vrai Messie annoncé par les prophètes), qui sont des champions de la mauvaise foi, comme leurs prédécesseurs face à Jésus, et qui, face à la vérité, ne cherchent que la « petite bête » pour accuser leurs victimes de tous les maux de l’univers, et pourquoi pas les crucifier! Jésus de Nazareth en sait quelque chose.
Nous parlons de lui au présent, car il est ressuscité après avoir été crucifié pour la vérité. Il est vivant, la preuve étant que son Esprit parle par nous aujourd’hui, ses serviteurs. Nous, nous le voyons, avec les yeux spirituels. Et, comme il l’a lui-même annoncé, très bientôt le monde le verra venant avec les nuées des cieux et une grande gloire (Matthieu 24: 29-31; Apocalypse 1: 7, 8).
Joie et allégresse pour ceux qui aiment le Machiah ou Messie (en hébreu) ou Christ (en grec), le vrai, l’unique. Mais honte éternelle, tristesse, chagrin et effroi (Apocalypse 1: 7, 8) pour ceux qui le haïssent et aussi haïssent tous ceux qui aiment Jésus de Nazareth le Roi des Juifs (Matthieu 27: 15-26; Jean 19: 8-22). Comme par exemple les députés talmudistes ultra-orthodoxes Moshe Gafni et Yaakov Asher, qui ont récemment déposé un projet de loi pour punir d’emprisonnement toutes personnes prêchant Jésus sur le sol d’Israël, la « terre sioniste », comme ils disent aussi.
Mais heureusement que même Benyamin Nétanyahou, si extrême-droitiste soit-il, a rejeté ce projet de loi immonde et très honteux pour Israël (pour plus de détails, voir l’article: Israël sous pression des ultra-orthodoxes versus le réveil de la jeunesse israélienne).
Car comment interdire de parler d’un juif sur sa terre natale, quel que soit ce qu’on peut lui reprocher, et encore faut-il que le reproche soit justifié? S’ils pensent que Jésus était un simple humain, que leurs prédécesseurs ont tué il y a 2000 ans, pourquoi parler d’un mort les inquiète tant, au point de vouloir emprisonner ceux qui en parlent? C’est la chose la plus grave en Israël, qui mérite une peine de prison? Quand déposeront-ils un projet de loi pour punir d’emprisonnement des gens si méchants qu’ils interdisent qu’on parle de quelqu’un que leurs camarades pharisiens ont tué il y a 2000 ans?
Que ces gens cessent de lire le Talmud et commencent un peu à lire la Torah de Moïse (oui Moshe Rabbinou, entendez-vous, Moshe Gafni, vous qui par votre prénom donné par vos parents, êtes censés représenter Moshe Rabbinou et être dignes de porter son nom), qu’ils commencent à lire le Tanakh, la Bible hébraïque dont nous parlons justement, et qui plus que jamais est à l’ordre du jour en ce Jour du Jugement où Dieu fait sortir toute la vérité cachée.
Le Tanakh, la Bible hébraïque ou Bible juive, le livre de la Loi et des prophètes, fait partie de la révélation divine, le Premier Testament. Il commence par la Torah de Moïse (pour ceux qui ne le sauraient pas). Il est communément appelé improprement l’Ancien Testament. Et justement il n’est pas si ancien que cela, car il est de nouveau plus que jamais d’actualité! Un adage populaire dit: « Si l’histoire ne se répète pas, en tout cas elle bégaye ». Pour dire que l’histoire est une affaire de cycles. Tout dans l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, la définition scientifique maintenant de la notion biblique de Dieu, est une affaire de cycles. Pour plus de détails, voir: Les notions élémentaires de la Science de l’Univers TOTAL permettant de mieux comprendre ce site Nouvelle Genèse.
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Dans cette partie la péponse à un tweet d’un talmudiste orthodoxe, ayant objecté sur notre tweet de la vidéo: « Le chapitre interdit de la Bible juive »
@ZevSteinhardt objecte et dit que le chapitre 53 d’Isaïe n’est pas interdit chez les juifs. Il dit que ce chapitre fait partie des cercles d’étude des Orthodoxes, c’est-à-dire du judaïsme talmudique orthodoxe.
Ceux-ci, malgré leur extrémisme à bien des égards, ont au moins l’avantage d’être plus attachés à la lettre ou à l’écriture, exactement comme les Témoins de Jéhovah pour le monde chrétien.
Donc de manière générale, les orthodoxes sont plus attachés au Tanakh ou Bible hébraïque, couramment appelée l’Ancien Testament, et qui est la première partie de la Bible chrétienne, celle qui parle de la Loi de Moïse appelée Torah en hébreu (et qui est les 5 premiers livres de la Bible: Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome), Torah qu’un chrétien digne de ce nom tient en haute considération.
En plus de la Torah ou Loi donc, le Tanakh ou Bible hébraïque, contient tous les livres des prophètes, ainsi que les livres poétiques et historiques. A part des exceptions comme les Témoins de Jéhovah et d’autres, le monde chrétien et le langage courant désignent couramment par « Ancien Testament » le Tanakh, mais franchement cette appellation est incorrecte, car il s’agit simplement du Premier Testament.
A lui s’ajoute ce qui est couramment appelé le « Nouveau Testament », qui commence avec l’oeuvre de Jean-Baptiste, puis de Jésus et ses apôtres. Cela commence donc par les évangiles, puis les livres des Actes, puis les épitres des apôtres, la plupart des épîtres étant écrits par l’apôtre Paul. Le tout se termine par le livre de la Révélation, couramment appelé Apocalypse de Jean.
Là aussi, l’appellation « Nouveau Testament » est incorrecte, car cela laisse croire que l' »Ancien Testament », le « Premier Testament » donc, est obsolète ou désuet. Et aussi cela installe la très fausse idée qu’après le « Nouveau Testament » il n’y aurait plus de révélation divine. Alors que ce Deuxième Testament, comme il faudrait l’appeler en fait, prolonge juste le Premier et apporte la révélation divine dans sa deuxième phase, les deux Testaments formant ce qu’on appelle la Bible. Celle-ci comprend donc la Bible juive ou Tanakh.
Et maintenant au troisième millénaire, arrive l’ère du Troisième Testament, que nous appelons la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu.
Voir par exemple les liens:
Site Hubertelie de la Science de l’Univers TOTAL:
https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-060-000-plan-du-site.html
Blog Nouvelle Genèse:
https://nouvellegenese.wordpress.com
Blog Pour notre Monde d’Alternation:
https://mondealternation.wordpress.com/
Blog Amour de la Vérité:
https://alternation106244114.wordpress.com/
Voir aussi:
https://twitter.com/Science_UT_NP
Donc @ZevSteinhardt objecte à juste raison en disant que le chapitre 53 d’Isaïe n’est pas interdit de la Bible juive, ce qui est exact. Mais l’expression « Bible juive » que l’auteur de la vidéo que nous partageons emploie, n’est pas correcte non plus, s’il parle du Tanakh ou Bible hébraïque. Car celle-ci contient Isaïe 53. Il nous informe que dans les cercles d’étude du judaïsme talmudique orthodoxe, on lit Isaïe 53. Pour les chrétiens, ce chapitre annonce les souffrances et la mort du Messie, ce que le juif chrétien dans la vidéo que nous partageons, s’emploie à démontrer aux gens dans la rue. A savoir donc qu’Isaïe 53 parle de Jésus Nazareth, oui Yéshoua de Nazaeth, qui, pour nous les chrétiens, est le Messie ou Christ annoncé par les prophètes, mais que les pharisiens, les prédécesseurs des talmudistes, ont crucifié il y a 2000 ans.
Qu’ils ne se fatiguent pas à dire que c’est parce que nous les chrétiens on ne parle pas l’hébreu, que l’on ne comprendrait pas bien le Tanakh ou Bible hébraïque ou Premier Testament, la Torah et les prophètes donc. Ou que l’hébreu est « mal traduit » dans nos Bibles, etc., ce qui fait partie de la panoplie des arguments pharisaïques et talmudiques, pour expliquer pourquoi les pharisiens on rejeté Jésus et même l’ont livré au gouverneur romain Pilate pour être crucifié (Matthieu 27: 15-26; Jean 19: 8-22).
Car Jésus et ses apôtres qui ont écrit le Deuxième Testament, parlaient hébreu aussi, ainsi que de nos jours les juifs chrétiens comme celui dans la vidéo. La compréhension des textes hébraïques n’est donc pas l’exclusivité des pharisiens ou de leurs successeurs les talmudistes actuels, classiques ou orthodoxes ou ultra-orthodoxes. Eux suivent une longue tradition des pères (Matthieu 15: 3-9).
Pas des pères du judaïsme biblique, les prophètes, les prêtres, les enseignants, etc., mais une longue tradition de déviances que justement les prophètes successifs condamnaient. Il suffit de lire le Tanakh pour voir la confrontation entre les envoyés de Dieu pour faire avancer sa révélation, et les figures des traditions et enseignements déviants. Les confrontations se soldaient souvent par l’assassinat du prophète qui dérangeait la tradition, et au temps de Jésus ce fut son tour d’être crucifié par les pharisiens (Matthieu 27: 15-26; Jean 19: 8-22), puis le tour de nombre de ses disciples de subir le martyr, comme par exemple Etienne (Actes chapitre 7).
Mais Dieu merci, l’esprit et l’âme des prophètes, puis de Jésus, puis des disciples de Jésus, n’est pas complètement éteint par le pharisaïsme en Israël, comme on le voit avec ce chrétien juif ou juif chrétien.
Car, ah oui, il y a des juifs chrétiens aussi, qui ne sont pas nécessairement talmudistes classiques ou talmudistes orthodoxes. Et il y a même des juifs athées et blasphémateurs, comme Yuval Noah Harari, qui piétinent non seulement la Bible entière, le Tanakh et Deuxième Testament, mais même aussi le Talmud. Non seulement donc ils piétinent la Torah, tout le Tanakh, mais ils n’ont même pas le respect du Talmud, qui est une déviation pharisaïque par rapport au Tanakh, certes, mais qui a le mérite d’être un moindre mal comparé à la Négation des gens comme Harari.
Le talmudisme classique s’accommode bien avec des gens comme Harari, et leur agenda mondialiste, blasphématoire, mais une faction des orthodoxes et des ultra-orthodoxes sont totalement allergiques à ces blasphèmes qui pour eux sont la cause de tous les malheurs historiques du peuple juif, et en cela au moins ils n’ont pas tort. Certains vont même jusqu’à être anti-sionistes, dire que l’état moderne d’Israël n’est pas l’oeuvre de Dieu, cet état ne devrait pas exister, disent-ils, car les péchés d’Israël n’ont pas été réparés pour mériter de nouveau la terre d’Israël. Ces talmudistes ultra-orthodoxes trouvent les talmudistes classiques ou orthodoxes encore trop laxistes, trop déviants.
Même si à bien des égards je ne partage pas leurs extrémismes et intégrismes (car ils sont en retard d’un Testament et entre-temps Jésus et ses apôtres ont fait entrer la révélation divine dans une nouvelle ère, celui de l’amour de Dieu), ils n’ont, hélas, pas tort sur ces points, quand ils parlent des péchés contre la Torah et le Tanakh.
Que @ZevSteinhardt nous informe que dans leurs cercles d’étude de la Torah, du Tanakh, ils lisent Isaïe 53, je m’en réjouis. Et quant à savoir l’interprétation qu’ils en donnent, c’est une toute autre affaire, sur laquelle je ne m’attarderai pas.
Je corrige juste le malentendu sur le titre de la vidéo, qui est que le chapitre 53 d’Isaïe serait interdit dans la « Bible juive ». C’est du Talmud qu’il veut parler, et du judaïsme talmudique ou rabbinique. On ne parle donc pas de la Bible juive au sens propre, à savoir donc le Tanakh. Il est vrai que beaucoup d’enseignants talmudiques classiques ne parlent pas d’Isaïe 53 dans leur enseignement talmudique à la synagogue, alors que dans un certain passé, ils le faisaient, comme l’explique bien le chrétien dans la vidéo.
Et on voit dans la vidéo que même des enseignants talmudistes de la jeune génération à qui le chrétien parle de ce chapitre d’Isaïe 53, ne le connaissent pas, et quand il leur demande s’ils ont la moindre idée de qui ce chapitre parle, en disant qu’il a été méprisé et rejeté des siens, qu’il a porté les souffrances du peuple, qu’il a été tué, et que par sa mort sacrificielle, le peuple est guéri, etc., ils n’en n’ont aucune idée.
Autrement dit, même si ces enseignants talmudistes ne croient pas en Jésus, comme leurs prédécesseurs les pharisiens n’y ont pas cru et l’on crucifié (et tout ça peut encore se comprendre), mais ne pas savoir que les chrétiens voient en celui dont parle ce texte Jésus et ce qu’il a subi il y a 2000 ans, c’est moins excusable.
Pour donner mon témoignage personnel, il y a des années j’ai réalisé une vidéo qu faisait une compilation des enseignements de divers enseignants talmudistes sur Youtube, vidéo censurée par Youtube depuis. Dans celle-ci, on voit une séquence où le rabbin Ron Chaya raconte son entrevue dans un train avec une chrétienne. Celle-ci l’ayant reconnu dans le train, lui dit qu’ elle l’apprécie et est contente de le voir en vrai. Elle lui dit qu’elle est une grande philosémite (une amie des juifs, le contraire d’antisémite donc), qu’elle aime Israël, etc.
Dans la discussion qui s’en suivit, elle lui a demandé pourquoi ils ne croient pas en Jésus, alors que l' »Ancien Testament », le Tanakh donc, a annoncé ce que le Messie devait accomplir et subir, et notamment en Isaïe 53, et cela s’est accompli en Jésus.
C’était la question à ne pas poser, car le visage du « gentil » et « souriant » rabbin s’est transformé en dragon méprisant cette chrétienne, l’humiliant, si bien que, la pauvre, qui était venue vers le rabbin avec tant d’amour, est partie en pleurant. Elle ne comprenait pas pourquoi le rabbin l’a traitée comme cela, a été si monstrueux avec elle.
Le rabbin a peut-être réussi à transformer une philosémite en antisémite, mais quoi qu’il en soit, si cette chrétienne un jour tombait sur ce tweet et reconnaît son expérience amère, qu’elle comprenne qu’il ne faut pas en vouloir au rabbin, et encore moins aux juifs en général, car ce qui s’est passé n’a rien à voir avec le vrai judaïsme, le judaïsme biblique, celui de Moïse et des prophètes, puis celui de Jésus et des apôtres.
Elle a juste été confrontée à l’esprit du Talmud, qui est aussi l’esprit des pharisiens qui il y a 2000 ans ont crucifié Jésus et martyrisé beaucoup de ses disciples. Ce démon s’est réveillé dans le rabbin, quand elle a osé parler d’un des chapitres du Tanakh qui l’irritent, qui condamnent son crime sur le Messie annoncé par les prophètes. C’est cet esprit méchant qui aussi a récemment animé deux députés ultra-orthodoxes, Moshe Gafmi et Yaakov Asher, qui ont déposé un projet de loi pour punir d’emprisonnement toute personne prêchant Jésus sur le sol d’Israël. Benyamin Nétanyahou s’est opposé à cette loi, et les chrétiens en Israël peuvent dire « Ouf! » en tout cas pour l’instant. (Voir l’article : Israël sous pression des ultra-orthodoxes versus le réveil de la jeunesse israélienne)
Que cette chrétienne comprenne que c’est à ce démon, cet esprit des ténèbres, loin de la lumière de Dieu et de l’amour du Christ, bref c’est à Satan le Diable, qu’elle a eu affaire dans ce rabbin, par ailleurs humain et gentil.
Et le plus triste est que le rabbin, dans l’un de ses cours, raconte son entrevue avec la chrétienne dans le train, l’insultant allégrement. Il dit: « Tout ce qu’elle a trouvé comme preuve dans la Bible pour essayer de me prouver que leur Jésus est le Machiah (le Messie) est un passage de Jérémie qui dit que quelqu’un souffre« .
Et il a pris une Bible, et essaie de trouver le passage que lui a montré la chrétienne. Il tourne un moment les pages en vain, il ne trouve pas le passage… Il change de chapitre dans la prophétie de Jérémie, mais sans succès non plus… Puis il abandonne lamentablement les recherches, en prononçant une dernière fois des paroles de mépris à l’égard des chrétiens.
Il n’avait aucune chance en effet de trouver le passage dans Jérémie, puisqu’il se trouve dans Isaïe, et au chapitre 53! Un rabbin et enseignant juif, qui ne sait pas trouver ou retrouver ce passage montré par la chrétienne, qui ne sait même pas l’un des textes clefs qui pour les chrétiens montre que Jésus était le Messie, c’est vraiment lamentable!
Quand il est dit qu’Isaïe 53 est le « chapitre interdit de la Bible juive« , c’est ce que ça veut dire exactement. A savoir que c’est le chapitre « interdit » dans le Talmud et pour les rabbins talmudistes! Autrement dit, un chapitre que la plupart des talmudistes ignorent, même certains rabbins!
La raison est simple: pour les talmudistes, le Talmud et la tradition rabbinique héritée des pharisiens (du temps de Jésus) sont beaucoup plus importants que le Tanakh, qui est la révélation divine! C’est même plus important que la Torah de Moïse, ou Loi de Moïse, qui est encore appelée la Torah écrite. Et le Talmud est appelé la Torah orale, mise par écrit aussi par la suite (notamment par le rabbin Akiva après Jésus Christ), mais à l’origine c’était un enseignement oral. Quand donc les rabbins talmudistes disent « Torah », c’est du Talmud qu’il s’agit. Et quand ils parlent d' »étudier la Torah », c’est de l’étude du Talmud qu’ils parlent.
Que certaines factions du talmudisme ou judaïsme talmudique ou rabbinique accordent plus d’intérêt à la Torah écrite ou Loi de Moise, et plus généralement accordent plus d’importance au Tanakh, soit. Mais cela ne change pas le fond de la question, qui est que pour les talmudistes, le Talmud est de loin ce qui est le plus important.
C’est en détail ce que j’ai répondu succinctement à @ZevSteinhardt.
Shalom!
Hubertelie, le 14/07/2023
Et d’ailleurs la fameuse expression biblique: « Je suis l’Alpha et l’Oméga » (Apocalypse 1: 7, 8; 21: 6; 22: 13), exprime une idée de Cycle! Cela évoque en effet l’idée que le commencement d’un cercle ou cycle est aussi la fin de ce cercle ou cycle. Et l’Alpha et et l’Oméga, ainsi que tout ce qu’il y a entre ces deux extrêmes, forment un seul objet, unique, appelé le Cercle ou le Cycle, un puissant symbole du TOUT, de l’Univers TOTAL, la définition scientifique donc de DIEU, de l’Unique!
Comme c’est stipulé dans le deuxième livre de la Torah, l’Exode, en Exode 3: 13-15, où le vrai Dieu explique à Moïse au Sinaï le sens de son nom, le tétragramme hébreu transcrit pat YHWH:
Ce tétragramme est souvent prononcé Yahvé, mais nous le prononçons Yahuwah ou Yahouwah. Dans l’Ancien Testament, le Tanakh donc, il est souvent traduit par l’Eternel, comme par exemple dans le psaume 23: 1 où le roi David, qui a écrit ce psaume, dit: « L’Eternel est mon berger ».
On a l’habitude de dire que c’est le nom du « Dieu hébreu », ce qui en fait est un raccourci exclusiviste, car c’est le « nom hébreu » de Dieu, ce qui n’est pas du tout la même chose! L’erreur est comme de dire que le mot « DIEU« , en quatre lettres, est le nom du « Dieu français ». Mais c’est évidemment juste le « nom français » de Dieu. Ou comme de dire que le mot « GOD« , en trois lettres, est le nom du « Dieu anglais ». Ou encore que le mot « ESSO« , en quatre lettres, est le nom du « Dieu kabyè » (une ethnie du nord du Togo en Afrique de l’Ouest, d’où Hubertelie est originaire). Mais il ne s’agit que du « nom kabyè » de Dieu, etc.
A chaque fois donc, on exprime le nom du Dieu Universel, l’Unique, à savoir l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, le « Je SUIS » ou « Je SUIS TOUT, toute chose et tout être », dans une langue donnée, celle d’un peuple donné, ici le peuple hébreu, comme tout autre peuple.
Le philosophe juif Baruch Spinoza (1632-1677), en son temps, fut persécuté par les talmudistes et leur pensée loin de la vraie Torah. Pour eux, c’est lui l' »hérétique », qui a abandonné son éducation talmudique pour une philosophie de « goyim » (ou « non-juifs ») contraire à la Torah. Or, comme nous le démontrons depuis des années, ce sont les idées de Baruch Spinoza qui sont plus conformes à la vraie Torah, que celles du Talmud! Il disait ceci:
« TOUT EST DIEU », disait-il. Mais c’est dans l’autre sens que cette idée est la plus puissante: « Dieu est le TOUT, et Dieu est toute chose et tout être, l’Etre Suprême ». Car Baruch Spinoza améliore aussi grandement la pensée du philosophe français René Descartes (1596-1650), célèbre pour sa phrase: « Je pense donc Je SUIS », et considéré comme le père de la philosophie moderne, dont Baruch Spinoza était un grand admirateur.
A noter que le « Je SUIS » de « Je pense donc Je SUIS », nous rapproche vers le « Je SUIS » ou « Je SUIS TOUT » ou « Je SUIS l’ETRE », le sens de YHWH, le nom hébreu de Dieu, tel que Dieu l’a révélé à Moïse. Et près de 16 siècles plus tart, le sens plus complet sera révélé d’abord à Jean dans son évangile sous forme de la phrase d’une lumière inouïe: « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu » (Jean 1: 1).
Si nous devions dire la même chose au troisième millénaire, à l’ère de l’information, l’ère du Troisième Testament, nous dirions: « Au commencement était l’Information, et l’Information était avec Dieu, et l’Information était Dieu ».
Réfléchissez à ça, jamais une vérité dite en ce monde n’a eu cette puissance. Pour plus de précisions, voir l’article: TOUT et absolument TOUT est INFORMATION.
Une des caractéristiques de la pensée talmudique, c’est-à-dire néo-pharisaïque, est d’abord de s’approprier le Dieu Universel, à savoir l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, le « Je SUIS » ou « Je SUIS TOUT, et d’en faire une exclusivité juive, contredisant ainsi la Genèse, le premier livre de la Torah, qui dit que le Dieu Universel, appelé YHWH ou l’Eternel en hébreu, a tout créé, toute l’humanité, et pas que les juifs. A l’époque de la création du monde, il n’était même pas encore question de Noé et de ses trois fils Sem, Cham et Japhet, Sem de qui vient l’adjectif « sémite ».
Et soit dit en passant, contrairement à ce que la pensée exclusiviste pharisaïque puis néo-pharisaïque, c’est-à-dire talmudiste, le fera croire à travers son accusation favorite d’antisémitisme, qui se réduit aux juifs, et qui fait croire qu’ils sont les seuls sémites sur terre, la Torah quant à elle révèle complètement autre chose. Elle révèle que Sem est l’ancêtre de plusieurs peuples, les enfants d’Eber, les descendants de son fils Eber, et aussi les descendants de son fils Elam, ceux de son fils Ashour, ceux de son fils Arpakshad, ceux de son fils Loud, et ceux de son fils Aram (voir Genèse 10: 1-32, et notamment ici les versets 21 à 23, pour ce qui est des principales branches de la généalogie de Sem, selon la Torah).
Et ce n’est pas tout, car la route généalogique est encore très longue, avant de commencer à parler d’Israël et puis des juifs. Car des nombreux grands peuples issus de Sem, tous les sémites, il y en a un spécial qui s’appelle le peuple d’Eber, les ébérites donc, qui sont les proto-hébreux, autrement dit les hébreux primitifs, ceux dont vont descendre à une époque plus tardive un peuple appelé les hébreux. Le patriarche Abraham, qui s’appelait alors Abram (Genèse 10: 25; 11: 10-31), est le premier à être explicitement appelé l' »hébreu » (voir Genèse 14: 13).
Et par conséquent, tous les descendants d’Abram, qui sera renommé Abraham par Dieu, sont des hébreux, puisqu’il en est un. Les deux principaux fils d’Abraham sont Ismaël pour le premier, et Isaac pour le second. Et Ismaël est l’ancêtre de très importants peuples, les ismaélites donc, dont les arabes, qui selon la Torah, sont donc aussi… des hébreux! Et ils sont donc aussi des sémites, via Abraham et via Eber. Et même les babyloniens, dont les irakiens sont des vestiges (comme les iraniens sont les vestiges des perses), sont des sémites aussi! Est-ce que c’est ce qu’on vous dit? Non, bien sûr. La pensée exclusiviste vous présente les choses différemment.
Abraham a pour femme légitime Saraï mais que Dieu renomma Sara (dans la logique divine, les noms ont une grande importance, de par leur sens et leur portée souvent prophétique). Sara était stérile au départ, et désespérant de donner un héritier à son mari bien-aimé Abraham, l’autorisa à avoir un fils avec sa servante égyptienne Agar. Celle-ci donna naissance à Ismaël le fils aîné d’Abraham, et l’héritier en principe, et Ismaël donc qui va être l’ancêtre entre autres des arabes et donc des arabo-musulmans.
Ces détails de la Genèse, le premier livre de la Torah de Moïse sont d’une extrême importance pour comprendre toute la suite de l’histoire du monde, qui est étroitement liée à l’histoire biblique du peuple juif et tous les autres peuples du monde. Si vous voulez vraiment comprendre le monde depuis toujours, ouvrez la Bible! Oui, ouvrez la Bible, avant tout autre livre d’histoire, car c’est Dieu qui vous raconte la vraie histoire du monde, du vrai monde, celle de sa création, de ses enfants, comment et pourquoi ils ont perdu le Paradis, et comment Dieu opère pour qu’ils retrouvent la nature divine perdue à cause du Diable, le Serpent d’Eden (Genèse 3: 1-24):
Tandis que le Diable, le Serpent donc, raconte SON histoire et celle de ses enfants, comme par exemple les Yuval Noah Harari, et leurs livres tels que « Homo Sapiens » ou « Homo Deus ». Les Harari, les progénitures du Serpent donc, qui nient YHWH le vrai Dieu, le créateur de toutes choses. Et bien plus que cette définition classique de Dieu, il est le Grand TOUT, l’Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. Il EST donc TOUT, toutes choses et tout être (une fois encore, pour plus de détails, voir l’article: Les notions élémentaires de la Science de l’Univers TOTAL permettant de mieux comprendre ce site Nouvelle Genèse).
Ne vous laissez plus tromper par les sciences du Serpent, car il n’existe pas qu’un seul univers, mais une infinité d’univers dans l’Univers TOTAL, les univers que la Bible appelle les « cieux », comme quand la Genèse, le premier livre de la Torah donc, commence en disant: « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1: 1). Les « cieux » dont il est question ce sont donc l’infinité des infinités d’univers dans l’Univers TOTAL, l’Univers INFINI.
Nous parlons bien de la Torah, pas du Talmud des pharisiens et de la pensée pharisaïque, talmudiste donc, qui très souvent déforme la révélation divine.
Par le miracle divin Sara devint mère de l’héritier Isaac. Et ce n’est pas tout, Isaac devint le père d’Esaü et Jacob. Esaü, encore appelé Edom, est l’ancêtre des romains, selon la Torah. Et Jacob, renommé par Dieu Israël, est le père de douze fils: Ruben, Siméon, Lévi, Juda, Dan, Naphtali, Gad, Asher, Issakar, Zaboulon, Joseph, Benjamin. Ce sont donc les ancêtres des fameuses 12 tribus d’Israël, 12 fils qui, avec leur père Jacob ou Israël, suite à une grande famine, ont dû quitter le territoire de la terre de Canaan que Dieu promit en héritage à l’ancêtre Abraham, pour aller s’établir en Egypte.
C’est l’épisode aussi de Joseph vendu par ses frères jaloux de lui, à des caravaniers madianites. Joseph est une figure du Messie, et son rejet par ses frères, le fait qu’il soit vendu pour devenir esclave en Egypte, ses frères ayant raconté au père qu’il a été dévoré par une bête sauvage, représente le rejet du Messie par ses frères, les enseignants d’Israël (les pharisiens donc), le fait d’avoir été livré aux romains (l’équivalent il y a 2000 ans de l’empire égyptien) pour être crucifié. Et les retrouvailles de Joseph et ses frères en Egypte représentent le fait qu’à la fin c’est bien Jésus qui se sera révélé l’unique et vrai Messie.
Et ses frères qui l’ont rejeté et tué verront qu’il est vivant en Egypte, ce qui représente la résurrection du Messie, et son retour dans la gloire, comme Joseph fut glorifié en Egypte. De même que les frères de Joseph furent honteux pour leur crime, et suite à leur repentance, heureux de voir que le rejeté est devenu le moyen de salut, de même aussi une honte finale attend ceux qui ont crucifié Jésus, et seule une repentance leur fera voir de nouveau le visage du Messie (voir ce que Jésus a dit en Mathieu 23: 37-39, en ces termes:
« Jérusalem, Jérusalem, toi la ville qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, mais vous ne l’avez pas voulu! Voici, votre maison vous sera laissée déserte; car, je vous le dis, vous ne me verrez plus désormais, jusqu’à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!«
C’est suite à ce très important épisode de Joseph donc (Genèse chapitres 37 à 49), hautement prophétique sur ce qui arrivera au Messie et dont parle aussi Isaïe 53, que les fils d’Israël s’établirent en Egypte pendant 4 siècles et devinrent une nation, qui revint en terre promise sous la direction de Moïse. Tous les quatre autres livres de la Torah, d’Exode à Deutéronome, ne traitent que de cela, et aussi de la Loi ou Torah reçue au Sinaï et largement complétée pendant les 40 ans passés au désert.
Puis l’entrée en terre promise sous la direction de Josué, une autre figure du Messie, tout comme aussi Moïse en était une. Puis ce sera le cas du roi David, puis de son fils Salomon, dont le nom qui vient de la racine « Shalom », signifie « Paix ». De même que le nom de Jérusalem ou « Yérushalaïm », qui signifie « Ville de Paix ». Mais évidemment la pensée pharisaïque puis néo-pharisaïque de nos jours, c’est-à-dire talmudique, en décide toujours autrement, comme Jésus l’a déploré dans le texte de Matthieu 23: 37-39 reproduit plus haut. La ville qui tue donc les prophètes, et qui doit souvent être abandonnée pour cause d’exil de ses enfants.
Le plus grand et le plus long exil est celui consécutif à l’assassinat du Messie, et l’exil dure depuis 2000 ans, malgré le retour artificiel de 1948, qui a été fait mais non dans les conditions divines. Signe qui ne trompe pas: si c’était selon les conditions divines et suite à une repentance du crime contre le Messie, Jérusalem serait enfin la « Ville de Paix » telle que son nom l’indique. Et la prophétie d’Isaïe 2: 1-4 s’accomplirait aussi. Or nous savons ce qui s’y passe avec les palestiniens par exemple. L’exil continue donc.
Et maintenant, à propos du mot « juif », à proprement parler, au sens strict, cela ne désigne que deux des douze tribus d’Israël. Ce sont les descendants de Juda et de Benjamin qu’on appelle les juifs au sens propre. Mais c’est vrai aussi que le plan divin dans la Torah et tout le Tanakh, est que la symbolique du mot « juif » s’applique d’une manière générale à tous les israélites. Et pour la bonne et simple raison que le plan divin indiqué dans le Tanakh, par ses prophètes, est aussi que les notions de « juif » et d' »Israël » deviennent universelles! Des notions qui s’appliquent à tous ceux qui acceptent le Messie, le Fils de Dieu. Ils deviennent alors des enfants de Dieu, comme l’a annoncé le prophète Hoshéa ou Osée:
« Et le nombre des enfants d’Israël sera comme le sable de la mer, qui ne peut ni se mesurer ni se compter; et au lieu qu’on leur disait: Vous n’êtes pas mon peuple! on leur dira: Fils du Dieu vivant! » (Osée 1: 10).
C’est ici encore que l’on voit une différence fondamentale entre la pensée du Tanakh, du judaïsme biblique, du vrai judaïsme donc, et l’idéologie pharisaïque, talmudique: la logique de Dieu exprimée dans le Tanakh est simplement que l’humanité déchue, qui a perdu le Paradis à cause du Serpent d’Eden, retrouve sa nature divine perdue, retrouve l’héritage qui était le sien quand il n’était même pas encore question de Noé, et à plus forte raison de Sem (donc de sémite ou d’antisémite), d’Abraham, d’Isaac, de Jacob ou Israël, de juif. Tout cela n’était que des étapes intermédiaires pour atteindre le but final, le retour de l’humanité au Paradis perdu.
Par conséquent, les notions comme « Israël », « juif », « Jérusalem », etc., devaient tôt ou tard prendre un sens général, universel, et s’appliquer au monde entier! La notion intermédiaire de « terre promise » va devenir la notion de « Nouvelle Terre », et la notion de « Jérusalem » va devenir celle de « Nouvelle Jérusalem », etc., comme l’a annoncé le grand prophète Isaïe, oui encore lui (Isaïe 65: 17-19)! Il est décidemment le prophète messianique par excellence, le messianisme biblique, judaïque, du Tanakh donc. C’est tout à fait la pensée de Jésus, des apôtres, de tout le Deuxième Testament (dit « Nouveau Testament » donc), et c’est tout à fait notre pensée au troisième millénaire, à l’ère de l’information, à l’ère du Troisième Testament, l’ère de la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu. Nous sommes donc la continuité du Tanakh, du vrai judaïsme.
Mais la pensée du Talmud et le messianisme pharisaïque ou talmudique est sur tous les plans tout le contraire de l’Esprit de la Torah, du Tanakh! En effet, le talmudisme (ou ce qui revient au même, le pharisaïsme) reste centré sur la judéité ethnique, tribale, et tient à la séparation éternelle entre juifs et goyim, c’est-à-dire entre juifs et non-juifs. Selon la pensée talmudique, les goyim ou non-juifs sont au mieux des esclaves faits uniquement pour servir les juifs et le messianisme talmudique, et au pire des animaux à qui il est autorisé de faire à peu près tout ce qu’ils veulent, y compris le génocide de l’humanité pour que tout le trésor de la planète revienne aux talmudo-mondialistes et à leurs esclaves. Je répète qu’on parle de la pensée talmudique, et pas juive, il ne faut plus confondre!
Ceci explique beaucoup de choses quant à la manière dont l’agenda mondial est conduit, notamment par les élites démoncrates (oui le gouvernement par des démons nés humains) dont les visages suivants n’en sont que les plus importantes:
Dans le livre du prophète Ezékiel, une formule revient souvent: « Les nations sauront que je suis YWHW », ou « Ils sauront que je suis YHWH » (Ezékiel 36: 23). C’est aujourd’hui le triomphe de YWHW sur ses ennemis, et paradoxalement, ses plus grands ennemis se révèlent être des gens de son ancien peuple élu. Pour la bonne et simple raison que Satan le Serpent d’Eden ou le Nahash en hébreu, est le pire ennemi d’Israël, des juifs et de l’Essence juive.
Transformer Israël en son peuple a toujours été le plus grand rêve de Satan, ce contre quoi les prophètes se sont toujours opposés, au péril de leur vie. Jusqu’au Messie, le Fils de Dieu, qui fut sacrifié par Satan incarné en des juifs. Et c’est quand Satan se déguise en juifs qu’il est le pire ennemi des juifs, tout en passant pour le bienfaiteur des juifs, le défenseur de la Torah:
Le nom divin YHWH sera aujourd’hui le pire cauchemar de tous les faux juifs (Apocalypse 2: 9, 10; 3: 9), qui ont renié le vrai Dieu, l’Unique, comme le stipule le premier des Dix commandements (Exode 20: 1-17), et l’ont remplacé par toutes sortes d’appellations ésotériques et kabbalistiques, comme par exemple « Hachem » (qui signifie juste « Le Nom », c’est-à-dire « Le Nom qu’on ne prononce pas » ou « Le Nom tabou », le Nom du Dieu de la Torah donc), appellations occultes ou occultées, qui cachent en réalité Satan le Diable, l’Idole, le Veau d’Or, Baal, Béelzébuth, Moloch, Mammon, etc., bref tout ce que la Torah ou plus généralement le Tanakh interdit, tout ce contre quoi ont lutté les prophètes (voir 1Rois 18: 11-40; Jérémie 7: 31), souvent au péril de leur vie (voir Matthieu 23: 37-39, où Yéshoua de Nazareth, Jésus donc, qui parle, en sait quelque chose).
Isaïe 53 parle bien du Messie, et Jésus est le Messie en question. Ce que ce chapitre décrit, c’est ce que Jésus a subi il y a 2000 ans de la part des pharisiens, et c’est ce que leurs successeurs impénitents perpétuent de nos jours.
Vouloir interdire de parler de Jésus en Israël, la terre natale de Jésus de Nazareth le Roi des Juifs, c’est bel et bien comme enlever le chapitre d’Isaïe 53 du Tanakh.
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