Couleur de U selon la catégorie

Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.


NOTE: Si ce site ne s'affiche pas correctement sur votre écran de smartphone, alors cliquez ici pour avoir des informations à ce sujet.
...

Vous êtes ici  >  Accueil : U_Science  >  U_Mathématique  >  Nombres Cycliques, Algèbre Fractale, Algèbre Uni...  >  Les nombres entiers variables et la bonne conception de l’infini

Les nombres entiers variables et la bonne conception de l’infini

Les nombres entiers variables et la bonne théorie des ordinaux et des cardinaux finis et infinis

Les nombres entiers finis sont comme des cordes rigides de longueurs fixes, et les nombres entiers infinis sont comme des cordes élastiques étirables indéfiniment! Une autre manière de dire cela est que les nombres entiers finis sont comme des voitures à l’arrêt par exemple tous les kilomètres au bord d’une route de longueur indéfinie, et les nombres entiers infinis sont comme des voitures en mouvement sur la route, et qui vont toujours dans le sens de distance croissante, autrement dit ne reculent pas.

On me dira: « Et alors, qu’est-ce qu’il y a d’extraordinaire dans ça? C’est bien la notion d’infini comme on l’a toujours pensé, non? Qu’y a t-il de si nouveau dans ça? ». La première idée est le mot « indéfini » qui est la base de la nouvelle notion d’infini. Autrement dit, la notion de fini est celle de finité, comme il faudrait dire aussi, et la notion d’infini est celle d‘indéfinité, comme il faudrait dire aussi, mot qui a pour synonyme perpétuité, continuité, etc., ce que je nomme maintenant aussi générité, de l’opérateur GENER, que vous avez le privilège de connaître aussi, et qui est le symbole « « ,  comme dans la liste: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, … , où donc le symbole du GENER ou «  »  indique que la liste se poursuit indéfiniment, encore ce mot incontournable!

L’infinité donc qui est par définition l’indéfinité, un cas très particulier de la notion de variabilité. Ce qui est indéfini est forcément variable, car « indéfini » dit simplement « ce qui augmente sans cesse« , donc forcément varie. Mais ce qui est variable n’est pas forcément indéfini, car par exemple ça peut augmenter, puis s’arrêter, diminuer, s’arrêter, augmenter, etc. C’est variable donc, mais sans forcément être indéfini, en ce sens que cela n’augmente pas sans cesse. Par contre, ce qui est variable, varie forcément indéfiniment, sinon cela signifie que c’est constant à partir d’un certain moment, donc c’est finalement constant. Comme par exemple une voiture qui roule, puis s’arrête au bout d’un moment et se gare indéfiniment. Encore cet important mot « indéfini » ou « indéfiniment » qui se cache quelque part, et la notion d’infini qui va avec, et qui est le vrai infini!

Il faut savoir que dans la Bible, le mot traduit par « éternel » ou « éternité » signifie « temps indéfini« , rien de plus! La notion d’infini de la Science de Dieu est donc la notion biblique, l’indéfinité donc. On peut croire que c’est de cet infini dont parlent les sciences actuelles et notent par l’Ouroboros « 8 couché ». Mais pas du tout! Sinon déjà on ne dirait pas que la division par 0 est « impossible ». Car, en commençant le comptage par 1, dire qu’un nombre w est indéfini, c’est dire simplement qu’il prend les valeurs: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …, et augmente indéfiniment, donc est infini au sens naturel du terme qu’on est en train de voir. Et le nombre 1/w, qu’on va appeler 0, est lui aussi le nombre variable: 1/1, 1/2, 1/3, 1/4, 1/5, 1/6, 1/7, …. Et on comprend alors qu’on peut diviser 1 par le nombre indéfiniment grand ou simplement indéfini w, donc faire 1/w, et c’est la définition de 0, qui est donc ici juste la suite: 1/1, 1/2, 1/3, 1/4, 1/5, 1/6, 1/7, …, qui est un nombre indéfiniment petit.

Et inversement, faire 1/0, c’est juste faire: 1/(1/1), 1/(1/2), 1/(1/3), 1/(1/4), 1/(1/5), 1/(1/6), 1/(1/7), …, ce qui redonne le nombre indéfiniment grand ou indéfini: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …, c’est-à-dire l’indéfini w, ou l’infini w, mais au sens nouveau où infini veut dire indéfini. En résumé donc, on a: 1/ =  0, et: 1/0 = w. Formules que vous connaissez par coeur maintenant.

Un autre exemple de nombre entier variable, que l’on va appeler pour l’instant n, avant de montrer avec exactitude ce que vaut cette variable n. On définit donc: n = 1, 4, 9, 16, 25, 36, 49, 64, 81, 100, 121, …. il s’agit donc d’un nombre entier variable, puisque sa valeur change tout le temps. Et en plus il s’agit d’un type spécial de nombre entier variable, auquel on commence à s’habituer à présent, à savoir un nombre indéfini, ce qui veut dire donc que sa valeur augmente sans cesse, ou en tout cas augmente sans cesse à partir d’un certain moment. Ici il augmente sans cesse dès le début.

Mais on peut être encore plus précis: car on constate que ces nombres sont les carrés respectifs des nombres: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, …, et là on reconnaît la définition du nombre indéfini w, défini plus haut. Donc un nombre même dit indéfini est défini, hein? On y reviendra.

Donc on a:  n = 1², 2², 3², 4², 5², 6², 7², 8², 9², 10², 11², …, autrement dit, en fait,  n =  w².

On sait donc à présent quel nombre entier variable est n très précisément, à savoir donc w². C’est donc le nombre infini qui est le carré du nombre infini w. Et donc maintenant, sachant qui est exactement n, on l’appellera simplement w². Et donc: 1/n  = 1/w², qui est donc le nombre 0² (je passe les raisonnements intermédiaires qui permettent de dire que: 1/w² = , qui sont très faciles. En gros, pour résumer ces raisonnements dans leurs grandes lignes, 1/w est par définition 0; or  1/w² est (1/w, donc ). Et donc inversement on a aussi: 1/0²  =  w². Là aussi je passe les détails des raisonnements intermédiaires.

On a donc deux nombres infinis au nouveau sens du terme, à savoir deux nombres indéfinis, w et w², et leurs inverses, les zéros correspondants, qui sont 0 et . Mais c’est là où l’algèbre classique, qui manque de finesse, parce que son paradigme n’est pas l’Univers TOTAL, ou ce qui revient au même, celui des nombres entiers variables, ou encore celui du cycle et de la fractale, ou encore celui de l’équivalence mais de l’identité, etc., s’empressera de dire: =  0, en donnant ici au signe « = » le sens de l’identité.  Mais au sens de l’identité, l’égalité: =  0 est fausse, de même que: w² = w. Ce n’est vrai que si le signe « = » désigne une équivalence.

Pour comprendre, il suffit juste de regarder une structure fractale:

Du point de vue de l’identité, tous les modèles de la fractale, de l‘infiniment petit à l‘infiniment grand, sont différents, chacun n’est identique qu’à lui-même, autrement dit chacun a sa propre identité dans la structure générale, identité qui le distingue des autres modèles. Par exemple les modèles appelés 0 et , ou ceux appelés w et w², sont différents, et les quatre différents d’ailleurs. Mais comme on le voit aussi, tous les modèles sont équivalents, tous sont la même fractale, et chacun peut être pris comme la définition de la fractale.

L’algèbre fonctionnant avec les deux types d’égalité, l’identité et l’équivalence, et qui permet de dire quand considérer que deux choses sont distinctes, et quand considérer qu’elles sont la même chose, est infiniment plus fine, plus précise que l’algèbre actuelle qui ne fonctionne qu’avec l’identité, et qui n’utilise l’équivalence que pour certaines choses, et pas pour toutes les choses. Les paradoxes, comme par exemple ceux de la théorie des ensembles de Georg Cantor, surviennent quand on se trouve en gros dans une situation où l’on doit dire que deux choses X et Y sont différentes, et en même temps dire que X et Y sont égales. Mais il n’y a plus de paradoxe quand on comprend que dans ce cas cela signifie que les choses X et Y sont différentes du point de vue de l’identité, mais égales du point de vue de l’équivalence.

Et pour revenir au mot « indéfini » si important dans la nouvelle logique, appelée aussi l’Alternation, ce mot ne veut pas dire « non défini« , on est d’accord? Car « indéfini » veut dire « ce qui augmente sans cesse« . C’est une chose définie, c’est sa définition là. Comme de dire donc qu’une voiture dont la distance parcourue est indéfinie, c’est juste dire que cette distance augmente sans cesse, ce qui est une définition.

La négation n’a rien à foutre dans cette affaire pour faire confondre avec « non défini » ou « ce qui n’est pas défini« , l’arnaque que les sciences actuelles ont faite pour caser leur serpent Ouroboros, représentant un infini non défini, et pour nier la division par 0, et donc le vrai infini, l’indéfini donc, l’infini de la Bible, oui l’Oméga! Vous commencez à comprendre? Et la grande importance du mot indéfini?

C’est pour cela aussi que j’introduis le mot « généri » pour éviter le préfixe « IN » qui fait confondre avec la négation « NON« . La « générité » c’est donc l’indéfinité, c’est-à-dire « ce qui varie en augmentant sans cesse« , point barre! C’est clair, net et précis! Et les synonymes sont « perpétuel« , « continuel« , etc.

Comme on tue les gens, et spécialement les noirs, qui démontrent que les paradigmes des sciences actuelles sont faux, alors si un jour ils me tuent, expliquez le vrai infini aux gens, l’infini divin et le divin infini, l’infini de la Bible. Expliquez aux gens, car un jour cela finira quand même par se savoir, le mensonge ne durera pas indéfiniment, ça finira par alterner! Ou plus exactement, le fait de durer indéfiniment a pour conséquence que cela finira par alterner, ce qui est précisément une loi de l’indéfinité, la Loi d’Alternation à l’Horizon Oméga!

Cette Logique d’Alternation (par opposition à l’habituelle logique de Négation) dit une vérité très simple, qui devrait pourtant être évidente pour tout le monde, et qui est que: L’affirmation qu’une chose X n’alterne jamais (c’est-à-dire ne change jamais) revient à dire qu’elle alterne (ou change) à un certain horizon infini, c’est-à-dire donc indéfini.

Une manière simple d’illustrer cela est cette image:

Dire par exemple que deux droites parallèles ne se rencontrent jamais, revient à dire qu‘elles se rencontrent à un certain horizon infini, ce qui signifie à un certain horizon w, un nombre symbolisant l’indéfinité. On l’a appelé ici w d’une manière générale, mais ça peut être w² ou  w^2, comme ça peut être w^3, ou w^4, etc., ou w^w, ou w^( w^w), etc. Ce sont tous des nombres entiers naturels variables, infinis en ce sens qu’ils augmentent sans cesse. Mais ce sont des nombres entiers naturels variables, exactement comme les nombres constants ou finis, comme par exemple 5, ou 12 ou 1024. La seule différence est que les uns sont constants, et les autres varient, c’est tout! Et en l’occurrence ici, les nombres variables que nous appelons infinis, sont ainsi nommés car ils augmentent sans cesse. Sinon ce sont tous à la base des nombres entiers naturels! Ceci est très important et est très différent des idées fausses que l’on se fait de l’infini! Ce sont en fait des infinis de Négation, autrement dit, en langage biblique, des infinis du Diable, destinés à nier le vrai infini.

La Loi d’Alternation dit ici quelque chose de très simple en fait. Pour se faire il suffit d’imaginer quelqu’un marchant le long des deux droites parallèles, qui sont comme deux rails de chemin de fer, ici en supposant des rails abandonnés, sans train qui passe dessus… On se place sur la traverse appelée 1 pour commencer.  Cette traverse est son propre inverse, c’est-à-dire: 1/1 = 1.  Et à cet endroit, on constate que les deux rails ou droite ne se rencontrent pas. Puis on passe à la traverse 2. Son inverse est 1/2, nombre appelé 0.5, et qui se situe à la moitié du segment entre 0 et 1, noté [0, 1], et que nous appelons le segment des tauréalis, juste pour dire que les nombres de ce segment sont des nombres réels représentant des taux, comme par 0.5 qui représente le taux de 50%. Et au passage la traverse marquée 0 représente le taux de 0%, et celle marquée 1 représente 100%. Les tauréalis sont donc les taux de 0% à 100%. Et les nombres réels à partir de 100% inclus, comme par exemple 1.5 ou 150%, ou 3 ou 300%,ou 47.3 ou 4730%,etc., sont appelés les êtaréalis.

Et maintenant, plaçons-nous sur la traverse 3. Son inverse est le tauréali 1/3 ou 0.33333. On peut tout convertir en pourcentage, mais nous nous limiterons à l’écriture standard des nombres réels pour simplifier.
Et pour la traverse 4,  son inverse est le tauréali 1/4 ou 0.25.
Et pour la traverse 10,  son inverse est le tauréali 1/10 ou 0.10.
Et pour la traverse 5000,  son inverse est le tauréali 1/5000 ou 0.0002.
Et ainsi de suite indéfiniment.

A chaque traverse, on constate que les droites parallèles ne se rencontrent toujours pas. Et quiconque a déjà fait ce genre d’expérience constatera que le point w à l’horizon qui représente le point à l’infini, où les droites se rencontrent, et vers lequel on s’approche, eh bien recule à chaque fois, et apparaît à chaque fois un autre point w à l’horizon infini, apparaît, ce qui signifie qu’après un infini il y a toujours un autre, ou ce qui revient au même, que l’horizon w est un nombre variable indéfini, c’est-à-dire qui augmente sans cesse. On peut alors conclure que dire que deux droites parallèles ne se rencontre jamais, revient à dire qu’elles se rencontrent à un horizon w indéfini.

Autrement dit simplement: ce qui ne se produit jamais se produit à un horizon infini. Autrement dit encore, il revient au même de dire qu’une chose ne se produit jamais, que de dire qu’elle se produit un certain horizon infini. Autrement dit encore: il revient au même de dire qu’une situation n’alterne jamais (ou ne change jamais) que de dire qu’elle alterne (ou change) à un certain horizon infini.

Cette vérité simple, illustrée ici par les deux droites parallèles, est ce que dit la Loi d’Alternation à l’Horizon Oméga. A savoir que toute vérité alterne, et au plus tard à un certain horizon infini ou indéfini.

Il s’agit d’une Loi clef de la Logique l’Alternation, qui est précisément l’alternation de la classique Logique de Négation! Le connecteur logique de la négation est le mot « NON« , couramment utilisé pour dire « non ceci » ou « non cela« , comme par exemple « non vrai », « non faux« , « non existence« , « non possible« , « non réel« , etc. Et le connecteur logique de l’alternation est le mot français « AUTRE« , ou « ALTER » en latin, d’où le mot « alternation« , et aussi le verbe « alterner » qui signifie « devenir autre« , ou « devenir alter« , qui signifie donc « devenir différent« , « changer« , etc.

La logique d’Alternation, basée sur le connecteur ALTER,  est infiniment plus riche et plus puissante que la logique de Négation, basée sur le connecteur NON, couramment utilisé pour dire « non ceci » ou « non cela« ,
comme par exemple « non vrai », « non faux« , « non existence« , « non possible« , « non réel« , etc. Et le connecteur NON numériquement parlant est tout simplement le nombre zéro ou 0, tandis que le connecteur ALTER numériquement parlant est tous les autres nombre, tous ceux différents de 0 donc.

En effet, pour une chose X donnée, « non X« , à savoir donc la négation de X, est l’affirmation de X à 0%. Et « X« , à savoir donc l’affirmation de X, est l’affirmation de X à 100%. La Logique d’Alternation est une logique où finalement on affirme toujours les choses, sauf que le taux d’affirmation, encore appelé valeur d’existence, ou valeur de vérité,  ou de réalité, ou de possibilité, etc., est un tauréali, c’est-à-dire un nombre réel entre 0 et 1, ou entre 0% et 100%.

Par exemple, on affirme à 0%, donc on nie à 100%, ou on affirme à 16%, donc on nie à 84%, ou on affirme à 70%, donc on nie à 30%, ou on affirme à 100%, donc on nie à 0%.

On savait avec les logiques traditionnelles que tout est une affirmation, dans la mesure où même nier, c’est affirmer le contraire! Et aussi, tout est une négation, dans la mesure où même affirmer, c’est nier le contraire! Et une affirmation ou une négation est valuée par un tauréali. Pour tout tauréali t, son tauréali contraire est par définition: 1 – t.

Par exemple le tauréali contraire de 0.3 ou 30%, dit aussi le complémentaire de 0.3 ou 30%, est: 1 – 0.3, ou 0.7 ou 70%. Et donc le tauréali contraire de 0.7 ou 70%, dit aussi le complémentaire de 0.7 ou 70%, est: 1 – 0.7, ou 0.3 ou 30%.

Dans la Logique d’Alternation, l’affirmation et la négation ne sont que deux faces de la même médaille, c’est une simple affaire de tauréali et de tauréali contraire ou complémentaire. Dans ce cas-là, où donc la négation n’est que l’autre face ou l’alter face de l’affirmation, on parle juste de négation relative. Par opposition donc à la négation absolue, que nous écrivons toujours avec « N » majuscule, pour la distinguer de la négation relative.
Pour la négation absolue, ou Négation donc, une chose fausse n’a aucune valeur de vérité, aucune valeur d’affirmation! Tandis que pour la négation relative, une chose fausse a 0 comme valeur de vérité ou valeur d’affirmation!

Mine de rien la différence entre les deux négations est énorme! C’est la différence par exemple entre un élève absent à un devoir de maths et qui n’a donc aucune note, et un élève présent au devoir de maths et a 0 comme note. En logique d’Alternation, l’élève qui a fait acte de présence, même s’il n’a récolté que 0, est toujours mieux que celui qui a fait acte d’absence, sauf s’il a une raison valable! A plus forte raison s’il n’en a pas. S’il a eu un souci grave, est malade, a eu un accident, ou est mort, c’est alors le souci grave, ou la maladie, ou l’accident, ou la mort, qui est à examiner et à blâmer, si la faute de l’élève dans cette affaire est 0 ou 0%. Dans tous les cas, il faut toujours que quelque part un tauréali évalue la situation, donne une note d’examen. L’examen qu’est le devoir de maths se prolonge avec un autre examen de maths aussi, à une autre échelle dans l’Univers TOTAL, pour que tout soit cohérent. Dans le monde d’Alternation, on ne considère pas que (comme on le fait dans le monde de Négation) ce qui peut arriver à un élève pour qu’il soit absent à un devoir de maths ne relève que de sa vie privée, et ne regarde pas l’école, son professeur de maths ou les autres élèves de la classe.

A fonctionner indéfiniment avec la Négation, arrivera fatalement le moment où son alternation arrivera, et c’est précisément l’Alternation.
Et elle arrive avec la bonne notion d’infinité et grâce à elle, à savoir donc l’indéfinité. C’est ce qui montre que la notion d’infini que l’on croyait intuitivement concevoir, n’était pas en fait l’indéfinité ou en tout cas pas la vraie, car celle-ci a été discrètement faussée par la Négation,

[…]

d’envoyer Lazare avertir les frères de l’homme riche de ne pas faire les mêmes bêtises que lui et se retrouver en enfer comme lui,

[…]

Dire que deux droites parallèles ne se rencontrent jamais c’est dire qu’elles se rencontre à un horizon infini, ce qui veut dire un horizon indéfini.

Cette image dit qu’en marchant le long des traverses numérotées 0, 1, 2, 3,, 4, 5, etc., et en allant vers le point où les deux droites se rencontrent, on remarquera que l’horizon w recule lui aussi, au fur et à mesure qu’on avance vers lui. Et si l’on s’arrête à un moment ou, l’horizon w s’arrête aussi. Mais si l’on continue la marche indéfiniment, on s’apercevra que l’horizon w lui aussi recule indéfiniment aussi, et on constatera toujours que les deux droites ne se rencontrent pas, certes, mais, oui mais, il se passe quelque chose que les sciences actuelles n’ont pas comprise. D’abord le fait que l’horizon w recule sans cesse signifie simplement qu’il augmente sans cesse, et donc est indéfini, infini donc. Mais nous aussi on augmente sans cesse, donc on incarne l’horizon w, on est devenu équivalent à lui.

Par conséquent, tant qu’on incarne l’infinité qu’est l’indéfinité, en réalité, ce n’est plus qu’une impression que les deux droites ne se rencontrent pas, chaque point où l’on est, est un point de rencontre des deux droites. Pour s’en rendre compte, il suffit juste d’imaginer un observateur qui s’est arrêté à la traverse 0 ou n’importe quelle traverse, par exemple 58642, et nous regarde, nous, augmentant sans cesse vers l’horizon w. Il est très clair qu’il finira par nous voir disparaître à l’horizon w, nous confondre avec l’horizon, et donc aussi avec le point w où les deux droites se rencontrent!
Et comme nous augmentons toujours sans cesse, nous sommes donc infini par rapport à l’observateur à l’arrêt, nous sortons en fait de son monde, de son univers, et lui aussi du coup sort de notre monde, notre univers. Si nos retournons pour le voir, on constatera aussi que les deux droites se rencontrent là où il est, puisqu’il se situe maintenant à un point à l’infini par rapport à nous. Et aussi, tout se passe comme si c’est nous qui sommes immobiles et que c’est l’observateur qui s’éloigne indéfiniment de nous.

Bref, l’indéfinité fait qu’on est tous les deux dans une réalité globale où une vérité et son alternative sont vraies toutes les deux, l’une étant que les deux droites ne se rencontrent jamais, et l’autre ou l’alter étant qu’elles se rencontrent là où se trouve notre alter.

Ici la Loi d’Alternation s’applique juste à une relativité de perception, comment l’un perçoit la réalité, là où l’autre ou l’alter se trouve. Ce n’est qu’un exemple, mais dans toute sa généralité la Loi est plus profonde que cela. Elle dit par exemple que tous les êtres alternent au plus tard à un certain horizon infini, et c’est là où je veux en venir à propos de l’homme riche et Lazare.

On voit bien que leur situation a fini par alterner à leur mort respective, qui équivaut à dire qu’un certain horizon infini a été franchi par tous les deux.
Et à cet horizon, c’est Lazare qui est dans la richesse, et l’ancien riche dans une situation de pauvreté terrifiante, où il commence à comprendre les conséquences de son manque d’amour dans la vie antérieure, située maintenant à un horizon infini. Et en comprenant la logique de la Loi d’Alternation à l’Horizon Oméga, cela signifie que, dire que l’ancien homme riche est en enfer pour l’éternité, ce qui signifie donc en fait pour des temps indéfinis, c’est dire qu’il existe forcément un certain horizon infini où il ne sera plus en enfer, où sa situation aura de nouveau alterné, et où par exemple il aura appris les leçons à apprendre sur son manque d’amour.

Quand il demande ensuite à Abraham d’envoyer Lazare avertir ses frères de ne pas faire la même erreur que lui et venir en enfer, Abraham lui répond que ses frères ont Moïse et les prophètes, ils n’ont qu’à les écouter. Et il répond que si un revenu d’entre les morts va leur parler, ils écouteront. Et Abraham lui répond que s’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils n’écouteront pas non plus un revenu d’entre les morts.

Cette idée cache quelque chose de profond, que j’ai souvent expliqué, et qui est qu’en fait Moïse et les prophètes étaient des revenus d’entre les morts.
Tout être dans son parcours dans l’Univers TOTAL, d’alternation en alternation, d’horizon infini en horizon infini, revient à un moment donné d’entre les morts. Donc c’était aussi déjà le cas de Moïse et des prophètes. Et donc aussi ce sera le cas de l’anciennement homme riche, qui commence simplement à recevoir les enseignements nécessaires pour aller dans un certain monde, pas forcément celui d’où il vient et aussi Lazare, pour être un prophète! C’est cela la nouvelle révélation du jour que j’ai eu.

Soyons donc les Lazare qui, dans la future vie donneront les enseignements à Mémère et Papy, qui fera d’eux des prophètes dans un certain monde, et à la vie suivante iront dans un monde d’Alternation.

(A suivre…)

Menu de la rubrique

Cliquez ici pour revenir au début de la page.