Nous voyons les choses telles qu'elles sont dans le Néant,
et nous les prenons pour les choses telles qu'elles sont dans l'Existence.
Mais puissent les choses telles qu'elles sont dans le Néant
nous servir à connaître les choses telles qu'elles sont dans la vraie Existence, la vraie Vie:
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, l'Ensemble de toutes les choses.
Nous ouvrons donc un Nouveau Paradigme: la Science de l'Univers TOTAL,
la Science de l'Existence, de l'Etre, de l'Univers-DIEU, l'Alpha et l'Oméga.
Sommaire du sous-titre
Le Chou de Romanesco et l'Arbre, des exemples naturels de générescence
et de structure fractale.
Le Chou de Romanesco, l'ensemble,
est constitué d'éléments qui répondent au même modèle que le Chou,
et ces éléments à leur tour sont constitués d'éléments qui répondent au même modèle, et ainsi de suite.
Et ici on a un modèle d'arbre à trois branches (que nous appelons arbre trinaire ou trinitaire),
qui à leur tour ont trois branches, et ainsi de suite.
L'Arbre est sans aucun doute la plus familière des générescences
et des structures fractales,
celle qui raconte l'Univers TOTAL, avec une simplicité biblique,
celle qui nous invite à comprendre que c'est tout simplement ainsi que l'Univers est structuré!
Le mot générescence est un mot contracté formé à partir de deux mots qui sont ses deux idées clefs:
le mot "génération" (du verbe "générer" ou "engendrer" ou "créer")
et le mot "arborescence", comme justement l'arbre que montre l'image ci-dessus.
Le mot générescence désigne à la fois la structure de l'arbre, la nature d'arbre,
et aussi et surtout la manière dont cette structure est générée, engendrée,
créée, fabriquée, construite,
et par conséquent aussi sa logique profonde, son fonctionnement, son dynamisme,
sa VIE!
C'est ici que réside toute la puissance de la notion de générescence,
son aptitude à nous faire comprendre l'Univers et ses grands secrets ignorés ou mal compris jusqu'ici!
Et enfin, quelque chose de très important manquerait à la notion de générescence si je ne disais pas ceci:
d'un point de vue informatique, une générescence
est ce que j'appelle une information unaire,
c'est-à-dire une information codée avec une seule information de base, U par exemple:
U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUUU, ...
C'est le système d'informations le plus simple qu'on puisse imaginer.
L'Informatique correspondant à ce type simple d'information est ce que nous appelons
l'Information Unaire.
L'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, fonctionne avec cette Informatique
et ce pour une raison très simple à comprendre:
de par sa définition même, il est Unique, donc il n'a que lui-même pour créer toutes les choses,
pour faire fonctionner toutes les choses, pour jouer tous les rôles.
L'Univers TOTAL est la grande Machine Informatique Vivante.
Le fonctionnement de cette Machine, qui est le fonctionnement des générescences, est vraiment extraordinaire!
Et le secret de la puissance des générescences (des informations unaires donc)
est tout simplement aussi le secret du Zéro et de l'Infini.
A la question: "Quelle est la chose qui ajoutée à elle-même reste toujours elle-même?"
les deux choses fondamentales qui répondent à ce signalement sont tout simplement le Zéro et l'Infini.
En effet, ajouter Zéro à lui-même donne toujours Zéro,
et ajouter l'Infini à lui-même donne aussi toujours l'Infini.
Pas étonnant que les deux aient cette même propriété magique,
parce qu'en réalité le Zéro et l'Infini
ne sont que deux facettes différentes d'une même réalité: l'Univers TOTAL!
C'est ce que nous enseigne un Chou de Romanesco ou un simple Arbre!
Le secret s'appelle donc la Générescence et la Structure FRACTALE.
Et c'est donc aussi le secret des information unaire.
Nous appelons le Zéro l'Alpha et l'Infini l'Oméga.
C'est en vertu de cette propriété magique que l'Univers TOTAL
peut se répéter (ou s'itérer) autant de fois que nécessaire pour engendrer les différentes choses.
L'Univers TOTAL, l'Univers-DIEU,
est l'Alpha et l'Oméga, le Commencement et la Fin (Révélation 22: 13).
On peut considérer qu'avec la générescence,
l'Univers TOTAL,
l'Univers-DIEU,
nous ouvre enfin ses portes, son Sanctuaire,
son Saint des saints,
et nous explique comment il se crée lui-même et crée toutes les choses!
D'un point de vue technologique,
la Science de l'Univers TOTAL
est ce qu'il faut appeler la cosmo-technologie ou cosmo-ingénierie...
Qu'est-ce que cela veut dire? Très simple: c'est la technologie de la création des univers...
Vous avez bien lu: la technologie de la création des univers...
Pour d'importants autres détails sur la question
(pour ne pas trop charger le présent document dont le menu est déjà trés vaste),
voir aussi l'important document: La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l'Univers.
Vous est-il déjà arrivé de passer chaque jour à côté d'une chose sans la voir, d'ignorer même son existence? Puis un jour quelqu'un vous en parle pour la première fois ou vous la découvrez vous-même. C'est alors comme une vraie révélation, et vous vous dites: "C'était évident, ça crêve les yeux! Mais comment n'ai-je pas remarqué cette chose plus tôt?"
Puis alors c'est le changement du tout au tout: cette chose que vous ne voyiez pas, vous vous mettez à la voir partout, à ne voir qu'elle seule ou presque... Oui, cela vous est-il déjà arrivé?
Alors sachez que la générescence est ce genre de chose! Elle était jusqu'ici invisible, parce qu'elle était trop visible! Elle est omniprésente, on ne peut pas diriger les yeux sur une chose, quelle qu'elle soit, sans qu'elle nous dise silencieusement: "Je suis une générescence, et vous aussi..."
Bref, toute chose est une générescence! Le présent document a pour but de faire découvrir cette très puissante et pourtant très simple chose, qui nous révèle les plus grands secrets de l'Univers, de l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Il s'agit d'un phénomène universel (et quel phénomène!) très mal connu jusqu'ici, et mal identifié en tant que tel.
Poupées Gigogne (image Wikipedia).
Quand l'Univers TOTAL est silencieusement raconté par des poupées...
Elles ont l'air muettes, mais pour qui sait bien les écouter, elles sont très bavardes!
Comme les arbres qui nous environnent ou le Chou de Romanesco,
elles nous racontent
la nature, la structure, la vie de l'Univers TOTAL...
Elles ne le font pas avec des mots que les oreilles puissent entendre,
mais elles parlent directement à notre intelligence...
La notion actuelle, découverte par le mathématicien Benoît Mandelbrot en 1974 (donc ce n'est que très récent, et pour cause!), qui se rapproche le plus de la générescence dont nous allons parler, est la notion de structure fractale. Et plus généralement, la notion de structure gigogne, nom de poupées russes de tailles décroissantes placées les unes à l'intérieur des autres.
De gauche à droite: Fractale de Mandelbrot, Fractale de Julia, Galaxie spirale.
Et qu'on observe la fractale de Julia pour comprendre pourquoi
les galaxies spirales (comme par exemple la nôtre la Voie Lactée) ont la forme de cette générescence.
La notion de fractale que nous allons découvrir maintenant (et qui est synonyme de générescence) est infiniment plus générale, plus universelle, plus existentielle, plus fondamentale, plus naturelle, plus vitale, plus vivante!, plus puissante que la notion actuelle du même nom, que tout ce qu'on a pu connaître jusqu'ici en la matière!
Pour d'importantes explications sur l'Unergie,
voir par exemple le document PDF: L'Univers TOTAL, l'Alpha et l'Oméga.
Cette vidéo développe le thème suivant: L'Oméga: l'Ensemble, la Réalité TOTALE.
Cette vidéo développe le thème suivant: L'Alpha: l'Élément, le Générateur de toutes les choses.
Cette vidéo développe le thème suivant:
Le XERY: l'Équivalence Universelle, l'Union, l'Unité, l'Amour.
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Une structure fractale est comme le fait de tracer un cercle,
puis un cercle à l'intérieur, puis un cercle à l'intérieur de celui-ci, et ainsi de suite.
Tout ensemble dont la structure ou la logique peut être décrite comme ce modèle simple,
tout ensemble imbriqué dans lui-même comme ces cercles,
est donc appelé une structure fractale
ou structure auto-appartenante ou cyclo-générescence.
"Nous appelons une structure fractale ou une cyclo-générescence, un ensemble E donné, dont AU MOINS un de ses éléments ou une de ses parties est une nouvelle version de lui-même, un petit modèle de lui-même. Il en résulte donc que ce dernier à son tour possède de la même façon AU MOINS un de ses éléments ou une de ses parties, qui est un petit modèle de lui-même, et ainsi de suite indéfiniment ou un certain nombre de fois. On dit alors que E s'auto-appartient ou est une structure auto-appartenante, et on écrit: E ∈ E, qui se lit: 'E appartient à E' ou 'E est un élément de E'. "
L'Eponge de Menger ou Tapis de Sierpinski 3D,
un exemple de structure fractale.
L'ensemble e est un petit modèle de E,
c'est-à-dire tout simplement une autre version du même ensemble E.
Les deux ne sont pas la même chose au sens de
l'Identité,
mais les deux sont la même chose au sens de
l'Equivalence,
et c'est ce qui est le plus important dans la logique de la générescence.
Ainsi donc, E et e sont équivalents
ou égaux au sens de la nouvelle conception de
l'Egalité.
C'est en ce sens que l'on dit que E est élément de lui-même et on écrit: E ∈ E.
L'auto-appartenance E ∈ E signifie donc que E a un élément qui est sont petit modèle, qui lui-même possède un élément qui est son petit modèle, et ainsi de suite, ce qui donne la chaîne infinie d'auto-appartenance suivante:
... E ∈ E ∈ E ∈ E ∈ E ∈ E ∈ E ∈ E ∈ E ∈ E ...
Cette chaîne est tout simplement l'écriture de la cyclo-générescence E, c'est l'écriture de la structure de E, qui revient simplement à dire: ...EEEEEEEEEE....
Un exemple très simple de structure fractale ou cyclo-générescence, consiste à tracer un cercle (et plus précisément un disque, un cercle et sa surface comprise), puis de tracer un autre cercle à l'intérieur, puis un autre cercle à l'intérieur de celui-ci, et ainsi de suite.
Dans l'exemple de l'image, il existe un même rapport de similitude d'un cercle à un autre, ce qui signifie que chaque cercle est un aggrandissement du cercle intérieur, selon le même rapport et le même coefficient, et toujours dans la même direction. Mais ceci est un cas particulier de cyclo-générescence, car dans le cas général, les cercles peuvent être absolument quelconques. La seule condition pour qu'on puisse parler de cyclo-générescence ou de cyclo-fractale est simplement que les cercles soient imbriqués comme les poupées gigogne. Cela veut dire simplement qu'on s'intéresse seulement au mèdèle Cercle et que ce qui compte c'est que l'on trouve au moins un petit modèle du cercle à l'intérieur de lui-même, comme le montre le schéma suivant:
Le mot cyclo-générescence signifie que l'on prendre comme modèle de référence le Cercle, mais on a par définition une cyclo-générescence quelque soit le modèle qu'on imbrique, par exemple des triangles, des carrés, des cubes, etc.
C'est très simple donc: une cyclo-générescence est n'importe quel modèle, n'importe quelle objet, n'importe quelle chose, imbriquée en elle-même, comme les poupées Gigogne, c'est-à-dire dont au moins un élément ou une partie est un petit modèle de la chose. La logique est tout simplement le fait de tracer un cercle, puis un cercle à l'intérieur, puis un autre à l'intérieur du deuxième, etc. La logique est donc extrêmement simple et enfantine.
Une antenne télescopique est tout simplement une structure fractale, une cyclo-générescence.
un exemple qui montre que tout ensemble (bien) ordonné est une structure fractale.
L'exemple de l'antenne télescopique permet de comprendre un aspect très simple mais très important de la notion structure fractale ou de cyclo-générescence: à savoir que la notion de structure fractale est tout simplement équivalente à la notion d'ordre.
L'ordre dont nous parlons est ce qu'on appelle techniquement le bon ordre ou l'ordre des ordinaux, ce qui signifie simplement que cet ordre obéit à une logique fondamentale qui est celle des nombres entiers naturels. Mais dans le paradigme de l'Univers TOTAL, qui est le paradigme de l'Equivalence et du Cycle, tout ordre se ramène à ce bon ordre (pour en savoir plus, voir Tout nombre réel est un nombre entier naturel).
Autrement dit simplement, on ne se casse plus la tête maintenant avec l'Univers TOTAL, les choses se simplifient considérablement désormais, parce qu'elles étaient en fait compliquées par la Négation et même simplement faussées par elles (pour plus de détails, voir La Négation Absolue: la vraie cause de tous les Paradoxes)!
On travaille maintenant avec une seule notion d'ordre, celle des bons vieux nombres entiers naturels, oui tout est naturel maintenant... On a une auto-appartenance (donc une structure fractale) chaque fois que des choses (en particulier chaque fois que plusieurs versions d'un même modèle A) sont disposées dans l'ordre. Cet ordre à lui seul est tout simplement synonyme d'une chaîne d'appartenances, donc d'une cyclo-générescence.
Par exemple, considérons le simple fait de répéter un certain nombre fois la lettre A, dix fois par exemple: AAAAAAAAAA. Les dix exemplaires de la lettre A s'enchaînent exactement comme les segments de l'antenne télescopique illustrée ci-dessus. Cela suffit pour dire qu'on a une structure fractale ou une cyclo-générescence, même si apparemment on ne voit pas là où se trouve l'auto-appartenance permettant de le dire. Celle-ci se cache tout simplement dans l'ORDRE des A, dans le simple fait de les aligner comme on l'a fait.
En effet, on voit bien que chaque A a un numéro d'ordre qui l'identifie très précisément et le distingue des autres, un numéro facile à déterminer quand le A est dans la séquence. Mais quand on le sort de la séquence, il devient juste A et on perd la très précieuse INFORMATION d'ordre. C'est pourquoi il ne faut pas voir chaque A comme un individu isolé dans la séquence, mais comme l'ensemble des A depuis le début de la séquence jusqu'à sa position. Pour le premier A, l'ensemble est A, pour le deuxième, il faut le voir comme AA, pour le troisème comme AAA, etc.
Chaque A est donc équivalent
à une séquence de A (on raisonne maintenant en termes d'équivalence),
ce qui signifie que chaque A est une générescence au sens le plus général et fondamental
qu'on verra par la suite. Mais surtout (et c'est ce qui nous intéresse ici),
cet ordre signifie que cette séquence de A cache la chaîne d'appartenances suivante:
A ∈ AA ∈ AAA ∈ AAAA ∈ .... ,
qu'on peut écrire simplement: A ∈ A ∈ A ∈ A ∈ .... .
Autrement dit simplement, même si cela ne saute pas aux yeux, le simple ordre des A
signifie que chaque A de la séquence d'un numéro d'ordre donné est un élément
du A de numéro d'ordre suivant et plus généralement de tous les A qui le suivent.
La relation d'infériorité entre les nombres entiers naturels
(1 < 2 < 3 < 4 <...)
se transforme donc tout simplement en relation d'appartenance entre les A de numéros d'ordre correspondants.
Pour le dire plus technquement, chaque A est un ordinal (il incarne un numéro d'ordre) et il est un élément des ordinaux suivants. Cela se traduit physiquement par le fait que la séquence qu'il incarne (toute la séquence des A depuis le début jusqu'à sa position) est un morceau de la séquence suivante. Par exemple, le troisième A, donc AAA, est un morceau du quatrième A, donc de AAAA. Donc entre le troisième et le quatrième A on a la relation A ∈ A, ce qui signifie simplement que le simple fait d'avoir aligné les A fait que A est auto-appartenant et donc est une structure fractale, une cyclo-générescence.
Toute les fois donc que plusieurs versions d'une chose donnée (quelle qu'elle soit!) sont considérées dans l'ordre, on est en présence d'une structure fractale, ce qui veut dire que, vu de l'Univers TOTAL, cette séquence obéit aux lois des structures fractales, aux lois des générescences. C'est donc dire simplement que tout dans l'Univers obéit à ces lois fondamentales. Ce sont les lois à connaître AVANT toute autre loi, sinon on ne comprend pas l'Univers, on ne sait pas ce qu'il est, comment il est fait et comment il fonctionne!
L'Univers TOTAL est la plus fondamentale des cyclo-générescences (ou structures fractales), tout simplement parce qu'il est auto-appartenant.
En effet, l'Univers TOTAL, U, est l'Ensemble de toutes les choses. Et U est lui-même une chose, donc il est un élément de l'ensemble qu'il est. En d'autres termes, on a U ∈ U. L'Univers TOTAL est donc auto-appartenant, il est une cyclo-générescence, il est une structure fractale, la plus fondamentale de toutes. L'Univers TOTAL en tant qu'élément est auto-appartenant lui aussi, puisqu'on parle du même Univers TOTAL. La cyclo-générescence de l'Univers TOTAL s'écrit donc:
... U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ...
Voici un exemple informatique simple illustrant la cyclo-générescence de l'Univers TOTAL.
On peut créer par exemple un dossier nommé U
dans lequel on met des fichiers représentant les choses de l'Univers,
et aussi éventuellement d'autres dossiers, mais on s'en tient au modèle basique.
Dans ce dossier U, on crée une nouvelle version du dossier U,
dans lequel on met des copies des mêmes fichiers et encore un autre dossier U, etc.
Le premier dossier U créé, qui contient dont le tout, est appelée l'Oméga.
Et le dernier U créé est appelé l'Alpha.
Il doit être Vide si l'on ne veut poursuivre la structure indéfiniment.
L'auto-appartenance de l'Univers TOTAL et sa logique fondamentale sont ainsi illustrées.
Les termes "structure fractale", "ensemble auto-appartenant" et cyclo-générescence sont dont parfaitement synonymes. Personnellement, je n'aime pas le mot "FRACTAL" (même si je l'emploie très souvent), car je trouve qu'il est trop restreint, il ne couvre pas le phénomène dans toute son étendue, il ne rend pas compte de ce qu'il signifie vraiment. Tel qu'on l'emploie et l'étudie couramment, on se focalise plus sur les considérations de "structures géométriques fractionnées ou brisées", ou de dimension fractionnaire, d'où l'éthymologie même du mot "fractal".
J'emploie le terme "fractal" ou "fractale" juste par obligation, car c'est sous ce terme que le phénomène est actuellement le plus connu. Il faut donc maintenant comprendre que cela signifie dans toute sa généralité un ensemble auto-appartenant.
En effet, la vraie nature du phénomène dans toute sa généralité ne réside pas forcément dans le fait qu'on a une "structure fractionnée", mais plutôt une struture auto-appartenante, une "structure imbriquée" (comme les pouplées gigogne), auto-similaire, auto-génératrice (elle se génère elle-même), récursive ou auto-référente (qui fait référence ou appel à elle-même), etc. C'est là le point clef de tout le phénomène.
Le terme générescence combinant génération et aborescence (donc qui dit simplement qu'une structure fractale est comme l'ensemble auto-appartenant qu'est un arbre) est plus parlant pour décrire aussi le phénomène. Parler d'un Univers FRACTAL ne permet pas de se rendre compte immédiatement que c'est d'un univers VIVANT. Mais parler d'un Univers GÉNÉRESCENT permet de mieux comprendre ce que cela implique, car on dit en somme que l'Univers est comme un Arbre, comme les arbres du Jardin d'Eden ou l'Arbre de Vie qui symbolise DIEU (Genèse chapitre 2). Un arbre, c'est vivant, ça naît, ça pousse, ça meurt, ça renaît, etc. C'est cela que signifie la générescence, la structure fractale dont nous parlons.
Ce n'est pas pour rien que nous avons donné un exemple informatique pour illustrer la cyclo-générescence de l'Univers TOTALE, car la notion de générescence ou de structure fractale dont nous parlons est une notion informatique, nous parlons de la notion d'INFORMATION la plus fondamentale qui soit, celle de l'Univers TOTAL. oui, nous découvrons l'INFORMATIQUE de l'Univers TOTAL, l'Informatique universelle, celle qu'EST le Saint-Esprit, celle de Dieu.
Une Feuille de Fougère: une magnifique et très simple
structure fractale:
nous entendons par là simplement que la Feuille possède au moins un élément ou une partie
qui est un petit modèle de la Feuille.
On dit alors aussi que la Feuille est auto-appartenante, c'est-à-dire est élément d'elle-même,
ou que la Feuille est une cyclo-générescence, un cas particulier de la notion de générescence.
Et la Feuille de Fougère est aussi un remarquable exemple de générescence au sens large du terme:
cela veut dire que la Feuille tout entière est constituée
d'UN SEUL petit modèle d'elle-même.
Autrement dit, on a d'abord un modèle de la Feuille de Fougère,
appelé l'Unit ou l'Alpha.
Une certain nombre d'exemplaires de ce modèle élémentaire
s'assemblent pour former ou "générer" une version plus grande du modèle.
Et un certain nombre d'exemplaires de ce nouveau modèle
s'assemblent de la même façon pour "générer" une version encore plus grande du modèle, etc.,
jusqu'à un certain grand modèle, aussi grand que l'on veut.
Ce terminus est alors appelé le Genit ou l'Oméga, une nouvelle version de l'Unit.
"Une générescence est une ensemble formé d'une seule chose élémentaire, un seul modèle de base, appelé l'Unit ou l'Alpha, et qui est un petit modèle de l'ensemble, appelé le Genit ou l'Oméga. Un certain nombre d'unités élémentaires du modèle s'assemblent pour former un modèle plus grand; et un certain nombre de ceux-ci s'assemblent pour former un modèle plus grand, ainsi de suite. Et le modèle que l'on décide de considérer comme un terminus, est donc le Genit ou l'Oméga, la générescence. On dit alors que le petit modèle génère le plus grand, ou que le grand modèle se génère lui-même à partir de sa version élémentaire. Ceci fait qu'une générescence est donc obligatoirement une structure fractale, c'est-à-dire une cyclo-générescence. "
"Une générescence est encore appelée une information unaire, parce que l'ensemble peut être décrit comme étant constitué par UNE SEULE information, une information élémentaire, qui est l'ensemble lui-même. En tant qu'information élémentaire ou Elémént l'ensemble est donc l'Unit ou l'Alpha; et en tant qu'Information totale ou Ensemble l'ensemble est donc le Genit ou l'Oméga. "
"Au sens le plus fondamental de la définition, une générescence est une information constituée d'une seule information élémentaire U qui désigne l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. L'Univers TOTAL U est alors l'Unit et le Genit, l'Alpha et l'Oméga. Les générescences sont donc les informations: U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUUU, ... "
Dans l'informatique traditionnelle, toute l'information est codée avec deux informations élémentaires distinctes, couramment notées 0 et 1, mais qu'on aurait pu tout aussi bien noter A et B, U et V, Théophile et Angélique, Adam et Eve, etc. L'information est alors dite binaire, et chacun des deux informations élémentaires est appelée un BIT. Par exemple, 0110, 110001, 00111010, etc., sont des informations binaires écrites avec les deux bits.
Comme le mot BIT pour l'information binaire, nous parlons maintenant d'UNIT pour l'information unaire, pour dire donc que l'information est codée avec UNE SEULE information élémentaire, l'unit donc, qu'on peut noter 0, mais aussi A, U, Théophile, Adam, etc. Dans ce cas, les informations sont tout simplement la séquence: 0, 00, 000, 0000, 00000, ....
Comme tout se ramène à une seule information de base, cela veut dire alors que la seconde information (comme toutes les autres) est formée à partie de l'unique information, l'Unit. Le 1 est formé à partir du 0 (le 1 est simplement l'information 00), comment B est formé à partir de A (le B est l'information AA), V à partir de U (le V est le UU), etc. Ainsi donc, Angélique est formée à partir de Théophile, Eve à partir d'Adam (Genèse 2: 21-24), bref le Deuxième à partir du Premier, l'Autre (ou l'Alter) à partir de l'Un.
La Feuille de Fougère, l'Arbre, le Chou de Romanesco, etc., nous enseignent tout simplement l'Informatique unaire, l'Informatique de l'Univers TOTAL, de la Nature, de la Vie (pour plus de détails, voir Générescence, Génétique, Organisme et Vie).
Le Triangle de Sierpinski est une générescence régulière de générande 3.
Trois exemplaires du Triangle de Sierpinski, trois modèles modèles g de même génération
forment une nouvelle version du modèle g, le grand modèle G,
qui est alors qualifié de modèle de la génération suivante.
Et trois modèles de cette nouvelle génération,
formeront de la même façon un modèle de la génération suivante.
On dit que g génère G ou que g engendre G ou encore que g crée G.
Mais on dit aussi que G se génère lui-même.
Et quelle que soit la génération, c'est toujours le SEUL et MÊME Triangle de Sierpinski.
Sa formule de générescence
s'exprime par l'équivalence suivante:
G = GGG ou plus simplement: G = 3G.
Mais on peut tout à fait voir le même Triangle comme généré par 9 modèles de même génération!
Dans ce cas le générande est 9 et
la formule de générescence est G = 9G.
Et on peut aussi simplement voir le Triangle
comme généré par un seul modèle qui est lui-même, le SEUL de sa génération!
Dans ce cas le générande est 1 et la formule de générescence est G = G.
Et de manière générale, toute générescence peut être vue
comme étant régulière de générescence régulière de générande 1.
Cela signifie alors qu'on se dit qu'on a UNE SEULE chose, qui se répète indéfiniment,
qui est toujours égale à elle-même, qui reste toujours la même chose,
qu'on ait un, deux, trois, quatre, etc., ou une infinité d'exemplaires,
qu'on la répète dans l'espace, dans le temps ou autre.
Dans ce cas, on dit seulement: G = GG = GGG = GGGG = GGGGG = ....,
ou encore: G, GG, GGG, GGGG, GGGGG, ...,
ou plus simplement: GGGGGGG...,
ou plus simplement encore: G... ou "G GENER"
(voir Le HENER et le GENER: les opérateurs de générescence).
Si un nombre N de petits modèles A génèrent un plus grand modèle B, le nombre N est appelé un générande, les petits modèles A sont dits de même génération, et le grand modèle B qu'ils génèrent est dit de la génération suivante.
Par exemple, si 3 petits modèle A forment un grand modèle B, alors le générande est ici 3, et les trois petits modèles sont de la même génération (la génération des A), et le B est un modèle de la génération suivante. Et si 5 modèles de B forment un plus grand modèle B, alors le générande est ici 5 et on a 5 modèles de la génération des B dans cette opération, et ainsi de suite.
Le générande peut rester le même d'une génération à l'autre et être fixé pour toute la structure, comme pour l'arbre trinaire ou pour le Triangle de Sierpinski, où à chaque fois trois petits modèles génèrent un plus grand. Dans ce cas la générescence est dite régulière.
Mais le générande peut changer d'une génération à l'autre, comme dans un arbre en général où chaque branche a son propre nombre de sous-branches qui le forment. Dans ce cas la générescence est dite variée.
En un sens premier, le mot génération signifie "action de générer" ou "opération aboutissant à une générescence". En un deuxième sens, le mot génération a le sens qu'on vient de définir, à savoir un ensemble donné des modèles qui constituent un plus grand modèle. Leur nombre est un générande, et ils sont eux-même créés par des modèles de la génération d'avant. Ce second sens de la génération est comme on l'emploie couramment dans la vie. Car le langage de la générescence est tout simplement aussi le langage de la vie.
Dans la logique de la générescence, la taille des modèles importe finalement peu, mais ce qui compte c'est simplement d'avoir le même modèle. Si par exemple nous disons "Quatre humains", on ne se préoccupe pas de la taille des humains en question pour pouvoir dire qu'on a QUATRE humains, quatre exemplaires du modèle. Si ces humains sont un père, une mère, un fils et une fille, quel que soit leur âge, leur taille, leur poids, leur sexe, etc., on dira qu'on a "QUATRE humains" parce qu'on s'intéresse uniquement au modèle Humain.
Et si l'on veut apporter des précisions, on change tout simplement de modèle et dire par exemple: "Humain de sexe masculin". Et à chaque fois on compte les choses vérifiant le modèle qu'on a défini, sans tenir compte des critères qui n'entrent pas dans la définition du modèle. Et chaque chose vérifiant le modèle compte pour UNE unité à part entière. On dit pour cela que chacune de ces choses est un quantum, notion fondamentale de la nouvelle physique quantique et de la nouvelle science de la matière.
Tous les exemplaires d'un même modèle sont équivalents; dans le langage de la générescence on raisonne en termes d'équivalence et non plus d'identité comme actuellement! L'équivalence est la nouvelle conception de l'égalité, elle est plus générale et plus puissante que l'identité, c'est désormais avec elle qu'on écrit les formules.
La Feuille de Fougère, qu'on appelera ici U, nous apprend simplement que l'ensemble est tout entier formé par un seul modèle qui est l'ensemble
lui-même. Si donc l'on veut écrire la formule ou la recette de fabrication de la Feuille de Fougère,
la formule sera tout simplement une
équivalence du genre:
U = UUU...U ou U = N x U,
qui signifie que
U est constitué d'un certain nombre N d'autres modèles de U.
En particulier, N peut désigner simplement le générande dans le cas d'une générescence régulière, et la formule signifie alors qu'il faut N petits modèles pour former un plus grand modèle, ou qu'il faut N modèles d'une génération donnée pour former un modèle de la génération suivante. Ce genre d'équivalence ou de formule est ce que nous appelons une formule de générescence.
Par analogie au langage de la chimie, la formule est dite brute si l'on s'intéresse seulement au nombre de modèles élémentaires qui constituent un plus grand modèle, et plus généralement une partie quelconque X du grand modèle. On dit alors: X = Q x U. On dit aussi que l'on mesure la quantité d'information de X ou la quantité de matière de X, l'énergie de X, la masse de X. Cette quantité est mesurée par le nombre Q.
La formule est dite développée si l'on s'intéresse à la structure des units, donc à la structure du nombre N ou du nombre Q. Par exemple, l'Eponge de Menger est une générescence de générande 20. Il faut 20 Eponges de Menger de même génération pour constituer une Eponge de Menger de la génération suivante. Sa formule brute est donc: U = 20 x U. Sa formule développée consiste à expliciter la structure des 20 modèles de même génération, qui est: (3 + 2 + 3) + 4 + (3 + 2 + 3) ou: U = (UUU.UU.UUU).(UUUU).(UUU.UU.UUU). L'information "Eponge de Menger" est ainsi décrite (pour plus de détails, voir Les opérateurs de la générescence, et la Formule développée et la structure informatique des choses).
La Feuille de Fougère vient de nous livrer la Formule de l'Univers TOTAL!
Elle nous a dit que toute chose est constituée d'un seul matériau de base: U!
Toute chose X est faite d'un certain nombre N d'units.
La formule brute de X est donc: X = N x U.
Et l'Univers TOTAL U, l'Ensemble de toutes les choses.
Sa formule brute est donc: U = ω x U,
où ω (ou Oméga)
signifie l'Infini,
mais au sens nouveau du terme, celui du paradigme de l'Equivalence et
du Cycle.
Dans le nouveau paradigme, cette formule revient à écrire la chaîne
d'équivalences suivantes:
U = UU = UUU = UUUU = UUUUU = UUUUUU = UUUUUUU = ...
ou simplement: U = UUUUUUU....
Comme exemple de générescence, les maisons se regroupent pour former les quartiers, qui se regroupent pour faire les villes, qui se regroupent pour faire les régions, qui se regroupent pour faire les pays, qui se regroupent pour faire les continents, qui se regroupent pour faire les planètes (ou les mondes) qui se regroupent pour faire les systèmes, puis les galaxies, puis les univers, etc. De petits modèles s'assemblent pour faire de plus grands modèles, qui s'assemblent pour faire de plus grands modèles encore, etc. Ici c'est le modèle de base Maison qui se généralise ainsi au fur et à mesure. Une ville par exemple est une grande maison où l'on habite, la planète est une plus grande maison encore, la galaxie une plus grande maison encore, etc.
D'une manière générale, tout ce qui obéit à la logique des ensembles est une générescence, donc autant dire TOUTE chose! Le modèle de base et le modèle général est la notion d'ensemble. Le modèle Ensemble, qui est tout simplement aussi le très important et très fondamental modèle Chose. C'est très simple: les choses s'assemblent pour former (ou générer) des choses plus grandes, qui s'assemblent pour former des choses plus grandes encore, etc. Et quels que soient les modèles desquels on part et quels que soient les modèles auxquels on aboutit, ce sont toujours des CHOSES.
Le modèle Chose est la générescence fondamentale, et le modèle Ensemble n'est en qu'un simple synonyme. Il s'agit d'une générescence variée, la plus variée qui soit, car on trouve de toutes les situations: 0 chose pour faire une nouvelle chose (eh oui, même le rien est une chose!), 1 chose pour faire une nouvelle chose, deux choses pour faire une nouvelle chose, 3 choses pour faire une nouvelle chose, etc. Les ensembles forment des ensembles plus grands, qui à leurs tour forment des ensembles plus grands encore, et ainsi de suite, jusqu'au plus grand des ensembles, l'Univers TOTAL U, l'Ensemble de toutes les choses (voir La Théorie universelle des ensembles).
Derrière tout ce qu'on dira, tout exemple de générescence qu'on peut donner se cachera toujours la générescence suprême qu'est l'Univers TOTAL, car c'est lui qui en arrière plan imprime sa logique à toute chose, à tous les modèles. Qu'on parle du modèle Chose ou du modèle Ensemble, on parle du seul et même l'Ensemble de toutes les choses. C'est lui que toute chose, tout ensemble, tout modèle raconte silencieusement, c'est de lui que témoigne directement ou indirectement tout autre exemple générescence qu'on peut donner.
Au fur et à mesure que nous découvrirons les notions profondes et extraordinaires de la générescence, l'Univers TOTAL, U, reviendra comme un refrain pour nous rappeler qu'avant tout et après tout c'est de lui qu'on parle! Cette générescence, le Générateur de toutes choses, la Génératrice de toutes choses, sera l'objet de toute la deuxième partie de ce document.
1
1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 = 10
10 + 10 + 10 + 10 + 10 + 10 + 10 + 10 + 10 + 10 = 100
100 + 100 + 100 + 100 + 100 + 100 + 100 + 100 + 100 + 100 = 1000
...
Comme segond exemple courant de générescence, il y a le fait d'organiser les nombres dans un système de numération, comme par exemple le classique système décimal, qui est tout simplement une générescence: on additionne les unités pour former les dizaines, puis on additionne les dizaines selon exactement le même modèle pour dormer les centaines, puis les centaines exactement de la même façon pour faire les milliers, et ainsi de suite. Le générande est donc ici 10, le générande du système binaire est 2, et plus généralement le générande d'un système de numération de base N est N.
Voici maintenant une générescence très familière: les mots, oui les MOTS! A t-on un jour joué au Scrabble? A t-on un joué à Motus? Alors on a joué à la générescence! A t-on un jour fouillé dans un dictionnaire pour chercher un mot? Alors on a regardé dans une générescence (un ensemble de mots) pour chercher une générescence particulière (un mot particulier).
Les lettres de l'alphabet s'assemblent pour former des mots, qui s'assemblent pour former des phrases, qui s'assemblent pour former des paragraphes, puis des titres, puis des chapitres, puis des tomes, puis des bibliothèques, etc. Voilà la générescence de la Lettre, du Mot, la générescence de l'Expression, de la Parole!
Ici le générande est variable (ce sont donc des générescence variées), car le nombre d'units qui forment un modèle supérieur varie. Les mots par exemple n'ont pas les mêmes nombre de lettres, et les phrases les mêmes nombres de mots, etc.
L'alphabet et les mots nous conduisent à un cas particulier très fondamental de générescence, le plus fondamental de tous: l'alphabet unaire: l'alphabet ne compte qu'une seule lettre, par exemple A. Alors les mots (les générescences donc) sont tout simplement: A, AA, AAA, AAAA, .... On les appelle A Générescences. Ce n'est qu'une autre manière de dire que A est une cyclo-générescence ou une structure fractale (voir Toute répétition d'un même modèle donné est une strutcute fractale).
C'est comme le début de la numération romaine: I, II, III, ..., comme les "primitifs" qui, pour indiquer le nombre de leurs moutons, tracent tout simplement un trait pour dire 1, deux traits pour dire 2, trois traits pour dire 3, etc.
C'est le système même d'Adam et Eve qui se promenaient dans le Jardin d'Eden dans le plus simple appareil (Genèse 2: 25), un système que des gens de l'époque actuelle qualifieraient de "primitif" Et pourtant ce système n'est pas si "primitif" que cela, il détient tous les secrets divin, toute l'intelligence divine se trouve dans ce système unaire. Toutes les générescence, quel que soit leur générande, régulière ou varié, peuvent se décrire comme une générescence de générande 1.
La Générescence Horizon, la Répétition d'une même Unité de l'Alpha à l'Oméga.
L'ignorance de la physique actuelle de la générescence et de la structure fractale de l'Univers
a pour conséquence qu'elle fait des
mesures improres de l'Univers,
des mesures qui ne disent pas ce que la science actuelle pense qu'elles disent,
des mesures qui disent quelque chose de fondamental que la science ignore qu'elles disent!
L'une des nombreuses erreurs que l'on peut commettre en ignorant la générescence
est d'être victime de l'Effet Horizon.
La prise en compte de la générescence permet de corriger très simplement ces erreurs,
ou en tout cas de comprendre enfin le vrai sens des mesures de la physique, de la biologie, de la science.
A t-on un jour gradué une Droite ou un Segment dans sa vie (quelle que soit l'échelle de graduation, normale, logarithmique ou autre)? A t-on un jour regardé une tige de Bambou ou de canne à sucre? A t-on observé une queue de Scorpion? A t-on regardé des Rails fuir et se rejoindre à l'horizon? Alors on a fait ou regardé une générescence régulière de générande 1, la générescence sous sa forme la plus fondamentale. Cela consiste simplement à répéter "bêtement" (c'est-à-dire très intelligemment comme Dieu) un certain même modèle, comme le fait de dire UUUUUUU..., donc: U, UU, UUU, UUUU, .... Dieu crée toutes choses tout simplement ainsi. Et comme on dit: "C'est bête, mais il fallait y penser!"
Mais en fait, l'Univers TOTAL, U, oui Dieu, ne pouvait qu'y penser, c'était obligé, il n'avait pas beaucoup d'autres choix, même pas deux! En effet, de par sa nature même, il est UNIQUE. Donc il n'a que lui-même comme matériau de base pour tout créer. Et alors, la technique est simple: se répéter en disant: U, UU, UUU, UUUU, ....
Comme on le verra dans ci-après, cette générescence UUUUUUU... ou cette séquence de générescences U, UU, UUU, UUUU, ... est l'opération de récurrence la plus fondamentale, aussi fondamentale que de compter et de dire: 1, 2, 3, 4, 5, .... Si le premier est appelé 1, alors c'est un comptage ordinal, car on indique simplement l'ordre (Premier, Deuxième, Troisième, ...) en comptant ainsi. Mais si le premier est appelé le 0, alors le comptage est cardinal (on donne la liste des nombres qui servent à exprimer la quantité ou la mesure, à commencer par la quantité nulle ou l'"absence de quantité").
La logique de générescence est la logique même de la Nature. S'il y a un premier symbole pour la mettre en évidence, c'est le modèle Arbre. Rappelons pour cela que le mot générescence est formé à partir des deux mots génération et arborescence.
Un Arbre en effet est constitué de branches, qui sont tout simplement de petits modèles de l'Arbre. L'Arbre est donc fait d'un seul modèle, à savoir l'Arbre! L'Arbre engendre ou génère ses branches selon le modèle qu'il est. Et réciproquement des branches plus petites(des arbres plus petits donc) génèrent des branches plus grosses, qui génèrent des branches plus grosses encore, jusqu'au tronc de l'Arbre. Cette très importante caractéristique de l'Arbre fait qu'à la question de savoir ce qu'est un arbre, la réponse, qui peut paraître étrange, est simplement celle-ci:
"Un arbre est un ensemble constitué d'autres arbres appelés ses branches".
C'est la définition récursive d'un arbre. Un modèle est récursif s'il fait appel à lui-même pour se construire, autrement dit le modèle fait appel à des versions plus petites du modèle; une définition est récursive si la notion définie est utilisée dans la définition; un problème est récursif si pour être résolu il faut d'abord résoudre des versions plus petites du même problème, etc..
La récursivité est un des aspects fondamentaux de la générescence, c'est elle qui fait que le langage de la générescence consiste à ne parler que d'UN SEUL modèle. Elle est synonyme d'auto-appartenance ou de cyclo-générescence. L'autre aspect fondamental de la récurrence:
La génération du Triangle de Sierpinski ci-dessus se fait ici par récurrence.
En partant d'un triangle quelconque (on prend un triangle équilatéral pour faire simple),
on applique l'algorithme suivant:
1) On relie les milieux des trois côtés du triangle, ce qui donne 4 triangles d'échelle 1/2,
puis on enlève le triangle du milieu; il reste donc 3 triangles, qui sont trois petits modèles d'échelle 1/2 du triangle initial.
2) On recommence la même opération avec les trois triangles restants.
3) Et ainsi de suite...
Si on doit définir la récurrence de la manière la plus simple et la plus intuitive, on dira que c'est "L'art même de faire une infinité de choses en n'en faisant que quelques unes et même UNE seule! Sa philosophie peut se résumer ainsi: "Ce qu'on sait faire une fois, on sait aussi le répéter autant de fois que l'on veut, on sait le répéter indéfiniment." C'est la technique même de l'automatisation d'une tâche répétitive. "
De manière plus détaillée, la récurrence est une manière d'obtenir une générescence ou de créer un modèle en un nombre fini ou infini d'étapes:
"La récurrence, est le processus ou la technique qui consiste, avec une chose de départ (ou étape initiale) appelée l'alpha ou encore la genèse, d'indiquer COMMENT genérer une séquence finie ou infinie de choses équivalentes à la chose alpha; pour cela on indique loi de passage d'une chose de la séquenceà la chose suivante, ou la loi de passage d'une étape à la suivante. Cette loi est applée l'hérédité ou la génétique. Le dernière chose de la séquence (ou l'étape finale) est appelée l'oméga ou la générescence. On dit alors que tous les éléments de la séquence sont ses éléments par récurrence."
Dans le cas du Triangle de Sierpinski, l'alpha est le triangle de départ et la loi d'hérédité est définie par les opérations 1) et 2).
L'exemple le plus simple et le plus fondamental de création d'une générescence par récurrence est la génération de l'ensemble N des nombres entiers naturels. Pour cela, on part d'un élément alpha appelé le zéro ou 0. La loi d'hérédité est l'opération : "Ajouter 1". Il suffit d'avoir dit cela, pour avoir créé la séquence: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, .... Comme chaque élément de la séquence est obtenu à partir du prémier en appliquant une même loi d'hérédité (ils sont tous sorti d'un même moule en quelque sorte), alors ils sont équivalents de ce point de vue, ils peuvent tous recevoir un même nom commun qui est "nombre entier naturel". Ils sont tous de la famille de 0.
Et si au lieu de 0 comme alpha on avait pris 0.5, on aurait eu la séquence: 0.5, 1.5, 2.5, 3.5, 4.5, 5.5, 6.5, ..., qui sont de la famille de 0.5, qu'on appelle alors les demi-entiers. Et à chaque fois l'ensemble des choses ainsi crées, l'oméga, est une générescence, car il est obtenu par la répétition d'un certain même modèle.
Et maintenant, considérons un objet initial M, un second objet U, et la loi d'hérédité "Ajouter U". On a alors la séquence: M, MU, MUU, MUUU, MUUUU, ... qui est une générescence oméga, l'alpha étant ici M. Tous les éléments de cet ensemble, les générescences intermédiaires, ont tous quelque chose en commun, un air de famille, qui est tout simplement M. On dit qu'ils sont les différentes versions du modèle M (voir Le HENER et le GENER: les opérateurs de la création de modèles, les opérateurs de la générescence). On dit aussi que l'ensemble (la générescence oméga) est un Arbre dont la racine est M.
En particulier, si l'alpha est la chose U, on a donc les générescences: U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, ..... C'est la manière la plus simple, la plus fondamentale, la plus puissante, de créer des générescences par récurrence. C'est tout simplement ainsi que l'Univers TOTAL crée toutes choses. Tous les secrets de l'Univers TOTAL, sa logique et son fonctionnement se trouve dans cette arborescence hyper-simple, cet Arbre dont la racine est U, cet Arbre unaire, cette générescence régulière de générande 1. On en reparlera tout au long de ce document.
Le Triangle de Sierpinski est une structure fractale, une générescence,
qui possède de nombreuses qualités. Il est tout simplement un équivalent géométrique de l'arbre à trois branches
(ou arbre trinaire ou trinitaire).
Cette fractale est d'un très grand intérêt pédagogique:
- pour comprendre la notion de générescence,
- pour découvrir la logique fractale, cyclique ou alternative,
la logique de l'Univers TOTAL,
qui défie toutes les logiques traditionnelles.
Jusqu'à présent, dans les générescences ou structures fractales que nous avons considérées, les générandes considérés permettaient d'obtenir une nouvelle version parfaite du modèle. En prenant par exemple 3 Triangles de Sierpinski, on formait de nouveau un Triangle de Sierpinski, une parfaite nouvelle version de l'orginal. Et en prenant 20 Eponges de Menger, on a de nouveau une Eponge de Menger, etc.
La question abordée maintenant est de savoir ce qui se passe quand par exemple, on ne considère que 2 Triangles de Sierpinski au lieu de 3, ou 4 ou 8, 100, bref un nombre qui n'est pas un cube de 3? Et qu'obtient-on si au lieu des 20 Eponges de Menger pour former une nouvelle Eponge on en prenait 19, 21, 55 etc.?
C'est ici que la générescence va révéler un autre de ses puissants aspects, lié à la nouvelle notion même de modèle, que l'on comprendra davantage lors de l'étude plus détaillée de cette notion. Cette très simple, très puissante et probablement surprenante idée est se résume en ceci:
"En considérant deux choses quelconques A et B, l'ensemble E que ces deux choses forment est, du point de vue de l'Univers TOTAL, un nouveau modèle de la chose A, et aussi un nouveau modèle de la chose B. Autrement dit, E est une nouvelle version de A, et aussi une nouvelle version de B. Et plus précisément, on dit que E est la version B de A, et que E est la version A de B. "
Par exemple, si l'on voit un Lapin près d'une Fleur, l'ensemble Lapin-Fleur (noté plus précisément Lapin . Fleur avec l'opérateur de générescence HENER) est du point de vue de l'Univers TOTAL un nouvel être qui est à la fois Lapin et Fleur, qui est la version Lapin de la Fleur et la version Fleur du Lapin. Pour le dire dans un autre langage, cet être est un "Lapin fleuri" et une "Fleur lapinée", même si apparemment la Fleur n'est pas sur le Lapin ou le Lapin sur la Fleur. Cette logique est valable même si apparemment le Lapin et la Fleur sont séparés dans l'espace et dans le temps, même si l'un est à un bout de l'Univers et l'autre complètement à l'autre bout de l'Univers!
Notre logique habituelle (et précisément la Logique de Négation ainsi que la psyché de Négation dont nous étions victimes) nous faisait voir ce qui séparait les choses et non pas ce qui les unissait, elle nous empêchait de voir que toutes les choses ont un très puissant et très important trait d'union qui est l'Univers TOTAL, et qu'à l'échelle de l'Univers TOTAL les choses ne sont pas si séparées et si indépendantes qu'elles le paraissent à nos échelles habituelles. C'est pour cela que l'objet Lapin . Fleur ou Lapin-Fleur ou "Lapin fleuri" ou "Fleur lapinée" nous échappait jusqu'à présent. Mais c'est cette vision de l'Univers et des choses que change maintenant la générescence.
Un cas particulier de la vérité que nous venons d'énoncer est quand on considère un certain nombre d'exemplaires d'un même modèle. Alors les questions que nous avons soulevées à propos des 2 Triangles de Sierpinski ou des 19 Eponges de Menger trouvent immédiatement leurs réponses! Du point de vue de l'Univers TOTAL, en prenant un nombre quelconque de Triangles de Sierpinski, c'est une nouvelle version de ce Triangle, même si cela n'a pas les apparences du modèle original. On a une variante du modèle.
Et de même 19 Eponges de Menger forment une nouvelle espèce d'Eponge de Menger, qui n'est pas tout à fait comme l'Eponge standard, certes, mais on ne peut pas dire que cela n'a rien à voir avec une Eponge de Menger! En effet, c'en est une variante, une nouvelle version de la chose, une nouvelle espèce. Tout bien réfléchi, cela paraît évident après coup, et pourtant nous n'avons pas l'habitude de raisonner ainsi, de voir ainsi les choses.
Voici donc la loi dans sa généralité:
"En prenant un nombre N absolument quelconque d'exemplaires de n'importe quelle chose A qui sert de modèle, l'ensemble que l'on obtient est une nouvelle version du même modèle A, Et ce, peu importe la manière dont on dispose les éléments dans l'espace, dans le temps ou autre. La seule information qui compte pour dire qu'on a une nouvelle version du modèle A, est le nombre N d'exemplaires de A, appelé un générande. "
Par exemple, à la question: "Existet-il sur terre des humains qui ont 3 têtes, six bras, six jambes, etc.?", la réponse que nous conduit à donner spontanément nos logiques habituelles est de dire non! De tels humains tricéphales n'existent pas sur terre, dirons-nous. Et pourtant si!
En effet, la générescence nous fait tout simplement comprendre qu'en prenant par exemple 3 exemplaires du modèle Humain, modèle qu'on appelera par exemple H on obtient une nouvelle version du modèle Humain, le modèle HHH ou 3H, qui commence à avoir des caractéristiques que ne possède pas un modèle Humain de base H, mais qui sont les caractéristiques d'un tout nouveau genre d'humain, qui a effectivement 3 têtes, six bras, six jambes, etc. Et avec cela nous devons sérieusement commnencer à relativiser la négation selon laquelle cette espèce d'humain n'existe pas sur terre! Avouons plutôt que nous ne voyions pas les choses ainsi...
Nous commençons à découvrir ainsi tout simplement l'un des aspects les plus puissants de la notion de générescence, la notion d'émergence, un des grands secrets de l'Univers TOTAL, comment il crée de nouveaux modèles à partir de modèles déjà créés, ici en multipliant ou en répétant tout simplement le modèle. Cette simple répétition fait apparaître de nouvelles propriétés que ne possède pas un modèle pris seul.
Nous connaissions ce que cela peut constituer de nouveau d'avoir trois humains au lieu d'un, ou plutôt nous pensions tout savoir. Mais en réalité, nous ne connaissions qu'une infime partie des propriétés du modèle HHH, nous vivions beaucoup de phénomènes sur terre, mais sans établir le lien avec l'existence sur terre du modèle HHH. Certaines propriétés et phénomènes apparaissent quand on a exactement trois humains, quand on a HHH donc, d'autres ne se manifestent qu'avec le modèle HHHH ou 4H, etc. Et quand le nombre d'exemplaires est suffisamment grand (un million, un milliard, etc.), il apparaît des phénomènes très nouveaux, très différents des propriétés d'un humain seul!
Et d'autres propriétés et phénomènes encore n'apparaissent que si l'on a atteint un certain nombre d'Units, par exemple avec un million d'humains. Nous vivons sur terre des phénomènes dus au fait que la terre compte au moins un milliard d'individus. Nous connaissons des notions comme celle de marée humaine, l'effet produit par une grande foule d'humains... Mais nous sommes très loin encore de comprendre les secrets de l'Univers, dont la révélation ne fait que commencer avec la Générescence...
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La Création de toutes choses, c'est aussi simple que de dire: UUUUUUUUUUUU....!
La Génération de tous les modèles, c'est aussi simple que de dire: UUUUUUUUUUUU....!
L'Univers TOTAL U, l'Ensemble de toutes les choses,
est à la fois le plus grand Ensemble et à la fois l'Element par excellence qui constitue tout l'Ensemble,
le plus grand Modèle et le plus petit modèle qui forme tout modèle,
la plus grande INFORMATION et information élémentaire, l'Unit, U,
l'information qui constitue tous les autres.
Bref, l'Univers TOTAL U est l'Univers-DIEU,
le Dieu Générateur de toutes choses qui dit:
"Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Premier et le Dernier, le Commencement et la Fin..."
(Révélation ou Apocalypse 22: 13)
La notion de modèle est d'une extrême importance dans le langage de la générescence qui, on le rappelle, est aussi tout simplement le Langage universel des ensembles, le langage de l'Univers TOTAL, qui s'articule autour du mot clef CHOSE.
"On appelle un modèle n'importe quelle chose M donnée. Et le modèle par excellence est U, à savoir l'Univers TOTAL."
"Et puisque nous parlons de générescence, en un sens plus précis, plus simple, et plus fondamental, on appelle un modèle tout simplement une générescence: UUU...U, constituée d'un nombre quelconque M d'Units U. En Verba (la langage de la générescence), le mot modèle se dit "model". La formule brute du modèle est: Model = M x U, pour dire donc qu'un modèle est constitué d'un nombre M d'Units U. "
"En particulier, la formule brute du modèle qu'est l'Univers TOTAL est: U = ω x U, où ω (ou Oméga) signifie l'Infini. Ce modèle s'écrit aussi: U = UUUUUUU.... C'est la formule de la générescence et de la structure fractale de l'Univers TOTAL. "
"Parce qu'on raisonne maintenant dans le paradigme de l'Equivalence et du Cycle (où l'on a la chaîne d'équivalences: 0 = 1 = 2 = 3 = 4 = ... = ω), cette formule U = ω x U signifie aussi qu'on peut remplacer ω par n'importe quel nombre entier naturel, la formule reste vraie. Autrement dit, on a la chaîne d'équivalences: Ø = U = UU = UUU = UUUU = UUUUU = ... = UUUUUUU.... Et cette chaîne veut dire que l'Univers TOTAL est le modèle universel, le modèle qui est tout autre modèle! Autrement dit encore, tout autre modèle est un cas particulier du modèle qu'est l'Univers TOTAL, tout modèle est une particularité de l'Univers TOTAL, une de ses infinités d'aspects. "
Intuitivement, le terme modèle signifie simplement qu'on s'intéresses aux propriétés de la chose M en question, à ses caractéristiques à ses qualités, etc. Il y a les caractéristiques qui lui sont propres, celles-là la distinguent des autres choses, elles constituent son identité. Et une identité se réprésente par un nom propre, par exemple "3", "L'Etoile polaire", "Théophile", "Angélique", L'"Univers TOTAL" ou "U", etc. Dans ce cas, la chose est un modèle unique. Si deux choses A et B obéissent à ce modèle, alors il s'agit de la même chose au sens de l'identité.
Et il y a les caractéristiques que chose M partage avec d'autres choses. Ces caractérisques communes se représentent par un nom commun, par exemple: "Nombre", "Humain", "Etoile", "Galaxie", "Proton", "Arbre", "Chose", etc. Si deux choses A et B obéissent à ce modèle, alors il s'agit de la même chose au sens de l'équivalence (pour plus de détails sur la nouvelle notion d'équivalence, voir Identité et Equivalence, Négation et Alternation).
Il faut maintenant comprendre une très simple et très nouvelle chose: un nom propre ou un modèle propre, comme par exemple Théophile, Angélique, Humain (en tant que nom propre), Etoile (là encore en tant que nom propre), etc., est tout simplement une certaine une générescence: UUU...U ou M x U. La formule générale des noms propres (ou modèles propres) est Model = M x U. Un modèle propre est encore appelé une racine.
Et un nom commun ou un modèle commun est toujours formé à partir d'un certain nom propre ou racine donnée, qu'on appelera d'une manière générale Model. La formule d'un nom commun est la séquence: Model, Model.U, Model.UU, Model.UUU, Model.UUUU, etc.. Le Point "." est l'opérateur HENER détaillé ci-après. Une de ces générescences est appelée UN Model, et tous sont appelés LES Model.
Par exemple, Théophile est une certaine générescence qu'on notera Théophile = T x U. C'est un nom propre ou un modèle propre, la racine qui servira à créer tous les Théophile de l'Univers TOTAL. Leurs formules sont: Théophile, Théophile.U, Théophile.UU, Théophile.UUU, Théophile.UUUU, etc.. L'une quelconque de ces générescences est appelée UN Théophile, cette fois-ci donc en tant que nom commun ou un modèle commun. Et leur ensemble constitue donc: LES Théophiles ou l'Ensemble de tous les Théophiles.
Cette séquence infinie de générescences Model, Model.U, Model.UU, Model.UUU, Model.UUUU, etc., est appelé l'arbre dont la racine est Model, ou l'Arbre des Model. Et chacun des éléments de cette séquence est donc logiquement appelé une branche de l'arbre. Et on voit très facilement qu'une branche donnée, Model.UUU par exemple, est à son tour une nouvelle racine à partir de laquelle un nouvel arbre (la branche donc), se déploie exactement de la même manière: Model.UUU, Model.UUU.U, Model.UUU.UU, Model.UUU.UUU, Model.UUU.UUUU, etc.
C'est ainsi qu'à partir des générescences se créent tous les modèles de l'Univers TOTAL, les LES Etoiles, LES Planètes, LES Protons, LES Atomes, LES Molécules, LES Humains, etc.. Deux individus A et B d'un modèle donné, par exemple Humain.UUU et Humain.UUUUU sont équivalents, tout simplement parce qu'ils ont la même racine, le même modèle propre, ici Humain. Ceci donne un sens encore plus précis à la très importante notion d'Equivalence (voir Identité et Equivalence, Négation et Alternation). C'est la seconde partie de la générescence (ici UUU et UUUUU pour l'exemple) qui les différencie et fait la spécificité de chacun.
Il faut préciser que les générescences dont nous parlons doivent être très, très grandes, infiniment grandes (voir à ce propos les nombres Horizon), pour produire des êtres comme les humains par exemple, et les secondes parties des génrescences doivent présenter elles aussi une grande différence pour que les versions du modèle se différencient de manière significative, comme un Homme et une Femme par exemple...
Deux humains A et B, peu importe leur race, leur couleur, leur sexe, leur rang social, etc.
sont équivalents
du seul point de vue de leur appartenance commune à l'ensemble H des humains.
Ils appartiennent au même modèle Humain.
Cette notion d'équivalence
(ou d'égalité), ainsi que cette notion de modèle
est la plus naturelle, la plus intuitive, la plus simple.
C'est celle du Langage de la Générescence,
du Langage universel des ensembles,
le langage de l'Univers TOTAL,
le langage de la Vie,
le Verba...
Des protons (ici en rouge-rose dans le noyau de l'atome) appartiennent au même modèle Proton .
Ils sont équivalents du point de vue de leur appartenance commune à l'ensemble des protons de l'Univers TOTAL.
De même pour les neutrons (ici en bleu dans le noyau de l'atome), du même modèle Neutron .
Des électrons du même modèle Electron (les petites particules jaunes gravitant autour du noyau de l'atome).
Des étoiles du même modèle Etoile (ici dans une des galaxies de notre univers).
Deux étoiles sont équivalentes du point de vue de appartenance commune à l'ensemble des étoiles de l'Univers TOTAL.
Des éponges de Menger du même modèle Eponge de Menger, etc.
Langage de modèle, langage d'équivalence, langage de générescence, langage des ensembles...
Avec la notion de modèle que nous venons de découvrir en toute simplicité biblique, ainsi que la définition très précise des notions de nom propre, de nom commun, de nom commun, de racine, d'arbre, de branche (comme si nous étions revenus au Jardin d'Eden), la générescence vient de monter considérablement en puissance! Notre compréhension de l'Univers TOTAL, le Dieu Générateur de toutes les choses a fait un grand pas en avant. Nous pourrions encore dire une infinité de choses sur les modèles (car ce qu'on vient de voir n'est que les bases!), mais d'autres documents détaillent un aspect ou un autre, pour délester et soulager un peu ce document fondamantal sur les générescences (voir entre autres par exemple Générescence et codage de toutes choses, ainsi que Le Verba, le Langage Informatique de l'Univers TOTAL).
Mais pour l'heure, poursuivons avec les généraliltés sur les modèles, et en particulier les modèles que sont le nom commun Chose et le nom propre Univers TOTAL ou U.
Le plus grand modèle, le modèle le plus fondamental, est le modèle CHOSE. LA CHOSE, l'Unique, est l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Deux choses A et B obéissent à ce modèle fondamental, elles sont donc toujours équivalentes entre elles. Cela implique tout simplement que toute chose est équivalente... à l'Univers TOTAL (voir la Loi d'Equivalence universelle )!
Cette Equivalence universelle due au modèle Chose signifie aussi que LA Chose qui constitue le modèle pour toutes les choses est tout simplement l'Univers TOTAL U. De par sa nature et sa définition même, il est UNIQUE, ce qui veut dire tout simplement que l'Univers TOTAL U est finalement le SEUL modèle. Tout autre modèle est construit à partir de ce modèle UNIQUE, appelé l'Unit.
C'est là où réside toute la base même de la générescence, à savoir que:
"Toute chose est générée par une seule chose fondamentale, tout modèle est construit à partir de ce modèle-là, qui est l'Univers TOTAL, U".
Autrement dit plus simplement encore, le modèle Chose est le modèle Univers TOTAL ou modèle U en tant que nom commun ou un modèle commun: U, U.U, U.UU, U.UUU, U.UUU, ..., qu'on peut écrire aussi: Chose, Chose.U, Chose.UU, Chose.UUU, Chose.UUU, .... Autrement dit, le modèle Chose est le modèle dont la racine est l'Univers TOTAL, qui est LA Chose, la chose fondamentale, la première de toutes et la dernière de toutes.
L'opérateur HENER forme un nouveau modèle à partir de deux ou plusieurs modèles,
et l'opérateur GENER forme un nouveau modèle en répétant indéfiniment un modèle donné.
Pour tout modèle M1 donné (donc une certaine générescence),
la liste de toutes les versions et des variations du modèle,
la liste de toutes ses variantes, de toute ses déclinaisons, etc., est la suivante:
M1, M1.U, M1.UU, M1.UUU, M1.UUUU, M1.UUUUU, ....
On dit que M1.U est la version U du modèle M1,
que M1.UU est la version UU du modèle M1,
que M1.UUU est la version UUU du modèle M1, etc.
Tous ces modèles ont la même souche, racine ou tronc commun M1,
et ne différent donc que par la seconde partie qui détermine les différentes versions du modèle.
Alors, soit une générescence ou modèle M2,
il est clair qu'on a une certaine générescence de la forme M1 . M2,
qui est donc la version M2 de M1,
et donc aussi la version M1 de M2.
Par exemple, si M1 est UUU, alors les différentes versions de
M1 sont:
UUU.U, UUU.UU, UUU.UUU, UUU.UUUU, UUU.UUUUU, UUU.UUUUUU, etc.
Et si M2 est UUUUU,
on voit alors que la cinquième version de M1,
à savoir la générescence UUU.UUUUU,
est donc la version M2 de M1,
mais aussi la version M1 de M2,
car en permuttant les rôles cette version est aussi: UUUUU.UUU.
C'est ainsi que se créent et se génèrent tous les modèles de l'Univers TOTAL, toutes les choses!
C'est ainsi que tout et absolument tout se crée à partir d'un seul modèle de base, l'Unit, U.
Cela peut avoir l'air technique ou compliqué pour certains,
mais honnêtement c'est d'une simplicité biblique!
Tout est une affaire de compter les Units U, de les additionner, de les enchaîner,
de les regrouper de telle manière ou de telle autre, de leur donner telle structure ou telle autre.
Et selon leur nombre, leur structure et les modifications qui interviennent dans la structure, etc.,
cela donne des protons, des neutrons, des électrons, des molècules, de l'eau,
les univers, les mondes, la vie, les animaux, les humains, l'amour, la haine, etc.!
Si par exemple aussi on considère les trois générescences:
Humain, Mâle, Femelle,
ce sont trois modèles différents: un humain n'est pas nécessairement un mâle,
et un être une femelle n'est pas nécessairement être un humain, etc.
Il est clair que Humain . Mâle et Humain . Femelle,
sont de nouveaux modèles, qui ont la même souche commune Humain.
Humain . Mâle est la version Mâle de Humain appelée Homme,
et Humain . Femelle est la version Femelle de Humain appelée Femme.
Et plus généralement, les générescences de toutes les versions du modèle Humain
qui existent dans l'Univers TOTAL, oui de toutes les sortes de l'Humain,
mais aussi de toutes les variations de l'Humain (Petit, Grand, Assis, Debout, etc.),
sont: Humain, Humain.U, Humain.UU, Humain.UUU, Humain.UUUU, Humain.UUUUU, ....
Tout ce qu'on peut dire impliquant la notion d'Humain est l'une de ces générescences.
Et il suffit de remplacer la notion d'Humain par n'importe quel autre modèle...
Nous avons déjà rencontré et utilisé plus haut les deux opérateurs fondamentaux de l'Univers TOTAL, en particulier le HENER (ou opérateur H). Quant à l'opérateur GENER (ou opérateur G), c'est lui que nous utilisons tout simplement chaque fois que nous disons "Ainsi de suite", "Etc.", ou chaque fois que nous employons les "Trois points", à savoir "...", pour dire que ce qu'on a commencé peut être poursuivi indéfiniment, car on en connaît le modèle ou la logique.
Le premier opérateur, le HENER, permet d'assembler deux modèles M1 et M2 pour former un troisième modèle M1 . M2, qu'on lit : "M1 Hener M2" ou "M1 Point M2" ou "M1 Version M2". En effet, M1 . M2 est la version M2 du modèle M1, mais aussi (par symétrie des rôles) la version M1 du modèle M2.
Le second opérateur, le GENER, permet d'assembler indéfiniment un seul modèle M, ou d'asssembler un très grand nombre de fois M, un nombre pratiquement infini défini à l'avance, comme comme par exemple Lhorizon 3 ou 1010 000 000 000 ou "10 puissance 10 000 000 000". On forme alors un nouveau modèle noté MMMMMMM... (pour plus de détails sur les opérateurs de lé générescence, voir Générescence et codage de toutes choses).
Par exemple, considérons les choses nommées Etoile et Jaune. Chacune des deux choses est une générescence, est un modèle, le modèle Etoile et le modèle Jaune (une couleur). A partir de ces deux modèles, l'Univers TOTAL forme un nouveau modèle, qui est Etoile . Jaune, qui est donc... l'étoile jaune! Cet objet est donc la version Jaune du modèle Etoile, mais aussi la version Etoile du modèle Jaune.
C'est à cette logique de générescence qu'obéit par exemple en informatique actuelle une expression comme "hubertelie.com" ou "hubertelie point com". On a donc deux modèles, le modèle "hubertelie" et le modèle "com". Et "hubertelie.com" est un nouveau modèle, qui signifie donc "hubertelie" version "com", au cas où il faudrait distinguer cette version de la version "fr" par exemple. Et le modèle "hubertelie.com" est aussi la version "hubertelie" du modèle "com", au cas où il faudrait distinguer cette version de "microsoft" par exemple.
La notion d'information qu'est la générescence est donc tout simplement une notion d'une informatique, mais à l'échelle de l'Univers TOTAL. Le langage de la générescence est aussi le langage de cette informatique, une informatique psychique ou cognitive, plus fondamentale que l'informatique électronique, mais pouvant tout à fait avoir des applications électroniques. Le langage de la générescence est ce que nous appelons le Verba.
Avec l'informatique électronique, ce sont les microprocesseurs qui parlent, et leur information de base est 0 et 1. Mais avec l'informatique psychique ou cognitive (qui est celle à grande échelle), ce sont les cerveaux qui parlent, les cerveaux qui font donc les microprocesseurs et les font parler. Là, l'information de base est U. Connaître les lois fondamentales auxquelles on obéit soi-même ainsi que tout ce qu'on fait, ne peut que permettre de tirer un meilleur parti de soi et de ce qu'on fait...
Le modèle de base, le modèle élémentaire qui sert à créer ou à générer tous les modèles, quel qu'il soit, toutes les choses, quelles qu'elles soient, est le modèle U, l'Unit, l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses. Une chose X est donc de la forme: X = U . U . U . ... . U, ou simplement X = N x U, où N est un certain nombre entier naturel. Cette seconde forme de l'écriture de X est appelée la formule brute de X, ce qui veut dire qu'on ne considère pas la structure de la générescence X mais seulement la quantité de matériau de base U qui sert à formé X, autrement dit la quantité de matière, d'énergie ou d'information.
C'est exactement comme le fait de dire que Théophile est un homme de 80 kilos sans se préoccuper de comment cette matière est organisée pour former Théophile, pour le distinguer d'un autre homme de 80 kilos nommé Gabriel. Les deux ont la même formule brute en tant que générescences, mais se différencient par leur formule développée, c'est-à-dire par l'indication de comment les Units U s'organisent pour former l'un ou l'autre, quelle est la structure des Units (pour plus de détails, voir La Formule développée et la structure informatique des choses).
L'Univers TOTAL U est l'Ensemble de toutes les choses. La notion de chose est pour celle de l'Univers TOTAL tout simplement ce que la notion d'élément est pour celle d'ensemble. Univers U et Chose X sont exactement la même notion, sauf qu'Univers désigne la notion en tant qu'ensemble et que Chose désigne la notion en tant qu'Elément.
Et aussi, comme déjà vu dans la première partie, une propriété très importante de l'Univers TOTAL, qui résulte de sa définition même, est son auto-appartenance: il est l'Ensemble de toutes les choses, et lui-même est une chose, donc il est un élément de lui-même.
Auto-appartenance de l'Univers TOTAL, il est élément de lui-même.
L'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses,
est donc à la fois l'Ensemble par excellence, et à la fois l'Elément par excellence.
Ceci fait de l'Univers-TOTAL la Cyclo-Générescence fondamentale,
la structure fractale la plus basique de toutes.
Et ceci signifie tout simplement que l'Ensemble qu'est l'Univers TOTAL
est constitué d'un Elément fondamental qui n'est autre que lui-même.
Il est à la fois le Constituant le plus fondamental, et à la fois le Constitué par excellence!
Il est à la fois le Générateur de toutes les choses et le Généré par une seule chose, lui-même!
L'auto-appartenance "U ∈ U" implique qu'on a cette chaîne infinie d'appartenance :
... U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ∈ U ...
La chaîne d'auto-appartenance de l'Univers TOTAL signifie l'Univers se repète en lui-même indéfiniment. Cette répétition peut être écrite:
... UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU ...
La très fondamentale notion
de CHOSE
possède une propriété extraordinaire ignorée jusqu'ici,
ou en tout cas dont on n'a pas mesuré l'importance:
Non seulement c'est une notion récursive
(elle fait appel à elle-même,
elle se définit elle-même),
mais elle possède un pouvoir qu'on appeler "Pouvoir de Multiplication des Pains",
en référence évidemment à l'Evangile où Jésus multiplie quelques pains pour nourrir une foule!
En effet, que l'on prenne un nombre de choses que l'on veut, aussi grand soit-il,
ces choses constituent un ensemble qui compte à son tour pour... UNE chose!
A l'inverse, que l'on partage une chose donnée en un nombre que l'on veut,
chacune des fractions de la chose compte à son tour pour... UNE chos!
Ainsi donc, si l'on prend un pain et qu'on lui donne ce pouvoir de la notion de chose,
on peut nourrir tout un Univers avec ce pain!
Ce pouvoir divin que possède la notion de chose, c'est tout simplement la générescence,
qui est tout simplement la générescence de l'Univers TOTAL.
Voici une chose extraordinaire à laquelle nous n'avons sans doute jamais prêté attention: la générescence du mot CHOSE oui sa structure fractale! Elle se résume à ces simples vérités fondmentales, dont nous avons une forte intuition: "Une chose est toujours constituée d'autres choses". Et à l'inverse: "Un nombre quelconque de choses constituent une nouvelle chose".
Cette générescence et cette structure fractale, c'est tout simplement aussi celle de la notion d'ensemble, dont voici la très simple, très intuitive, très naturelle et très générale définition:
"Un ensemble est une chose constituée d'autres choses appelées ses éléments"
Ainsi donc, en prenant deux choses, trois choses, dix choses ou un nombre quelconque de choses, cela constitue un ensemble, qui est une nouvelle chose, qui compte donc pour UNE chose, oui 1 chose!
Et prenons une chose (1 chose), et partagez-là en deux parts, trois parts, dix parts, ou en le nombre de parts que nous voulons. Nous obtenons une fraction de chose: une demi chose, un tiers de chose, un dixième de chose, etc., mais à chaque fois ces fractions constituent UNE chose, oui 1 chose! Le mot CHOSE, c'est le mot aux pouvoirs miraculeux, qui reste toujours entier et même qui reste toujours UN ou 1, qu'on prennent des multiples de la notion ou des sous-multiples, un nombre fini ou infini! Oui, ça fait toujours UNE chose (1 chose)!
Pour se rendre compte à quel point cette propriété de générescence de la notion est extraordinaire, il suffit par exemple de la transposer sur d'autres notions, par exemple la notion de chose. Que l'on considère par exemple cette idée: "Un humain est toujours constituée d'autre humains", sur le modèle donc: "Une chose est toujours constituée d'autres choses". Et à l'inverse: "Un nombre quelconque d'humains constituent un nouvel humain", sur le modèle donc: "Un nombre quelconque de choses constituent une nouvelle chose".
Avec la notion de chose ces vérités nous sont évidentes. Et avouons qu'elles sont plutôt surprenantes avec la notion d'humain, la générescence de la notion d'humain nous paraît fausse. Et pourtant, cette générescence est aussi vraie que celle de la notion de chose. Si elle nous a semblé fausse jusqu'ici, c'est parce que nous ne voyions pas les choses à l'échelle de l'Univers TOTAL, au-delà de NOTRE univers et au-deça du monde des particules comme par exemple les quarks. Nous ne voyions pas suffisamment loin pour nous apercevoir que l'Univers a une structure générescence (une structure fractale), et donc que dans les profondeurs de la structure d'un humain, en voyageant toujours vers l'Infiniment petit, on débouche sur de nouveaux mondes, sur de nouvelles versions de l'Univers TOTAL, donc sur de nouveaux humains!
La générescence de la notion de chose, qui est aussi tout simplement la générescence de l'Univers TOTAL, nous donne donc aujourd'hui une vision nouvelle et pleine de surprises de l'Univers!
Dans le paradigme de l'Univers TOTAL et la Générescence,
on ne sépare plus les unités (les unités mathématique, physiques, informatiques, etc.),
mais toutes les unités se ramènent à une seule unité fondamentale, l'Unit, U,
qui est l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses.
La notion de générescence consiste à dire simplement
que tout et absolument tout s'exprime avec cette SEULE unité fondamentale,
que ce soit les objets mathématiques, de la physiques, de l'informatique ou autres.
Le paradigme de l'Univers TOTAL, de la générescence et de la structure fractale est le paradigme de l'unification de toutes les notions mathématiques, physiques, scientifiques et technologiques. Partout, on utilise différentes notions, on emploie différents mots, qui en réalité sont les même notions fondamentales, et même qui sont tout simplement des aspects de la seule et même générescence!
Par exemple, on parle de "Point " en géométrie (notion de l'Espace mathématique) et en physique (notion de l'Espace physique). Mais cette notion est la seule et même notion. Il n'y a pas de "Point géométrique" séparé du "Point physique", mais une seule notion de "Point", l'Unit, U!
Cette structure fractale montre
que le plus petit modèle est toujours aussi le grand modèle,
que l'Infiniment Petit est toujours aussi quelque part l'Infiniment Grand,
que la Particule est toujours aussi quelque part tout un Univers,
que le Point est toujours quelque part aussi tout un Espace,
que Vide est toujours aussi quelque part un Plein, etc.
Et on connaît la propriété géométrique selon laquelle entre deux points voisins, il en existe toujours un troisième. Et surtout, dans la réalité, dans le monde physique, un Point est toujours aussi tout un ensemble de Points. Si l'on en doute, que l'on prenne un crayon et que l'on dessine le point le plus minuscule que l'on veut. Au microscope ou à la loupe, ce point apparaîtra toujours comme tout un monde! Et on a beau faire ce que l'on veut, en prenant quelque chose aussi petit qu'une particule (un quark par exemple), ce sera toujours la même logique! Cette chose vue à une autre échelle sera toujours un Univers!
Derrière cette réalité dont nous avons une claire intuition, se cache simplement la structure fractale de l'Univers, qui implique que même le "Point" ou le "Vide" (l'espace entre deux point voisins) est toujours aussi Univers! Si l'on ne tient pas compte de cette vérité, la notion de "Point ", surtout en mathématique est paradoxale, et c'est ce paradoxe qui se manifeste sous la forme de la dite impossibilité de diviser par 0.
En effet, comment peut-on accumuler des objets sans dimension appelés "points", des objets de longueur 0 donc, pour former par exemple un segment de longueur 1? Autrement dit, comment en additionnant que des 0 on arrive à obtenir 1, si ces 0 quelque part ne cachent pas une dimension? La réponse est simple: un Point est toujours aussi tout un Univers, le Point est l'Univers TOTAL, l'Unit, U! Même le Zéro (ou 0) est lui aussi l'Unit, U, donc quelque part Un!
En effet, le Zéro est tout simplement un Unit, un U, que l'on décide de prendre pour Origine, que l'on décide de ne pas compter mais de compter à partir du suivant.
Et enfin, la notion de "Point " en informatique est le "Pixel", et on parle de "résolution", de "définition", de "haute définition" (HD), etc. A l'échelle de l'Univers TOTAL, cette notion n'est autre que la seule et même notion géométrique ou physique de "Point ". Le Pixel" absolu est tout simplement l'Unit, U! C'est avec lui que tout se génère, se définit, aussi bien les choses géométriques, physiques (quantiques) ou informatique.
C'est ici qu'interviennent les opérateurs de générescence vus plus haut, le HENER (opérateur H) et le GENER (opérateur G), sans oublier les bonnes vieilles parenthèses, "(" et ")", qui sont les plus basiques d'une famille d'opérateurs appelés les IDENER ou "Opérateurs d'Identité" dont le rôles est de regrouper les Units qui doivent être considérés comme un seul Unit, une seule identité, un seul individu, un seul ensemble, bref une seule chose (pour plus de détails sur les opérateurs de lé générescence, voir Générescence et codage de toutes choses).
Le HENER et le GENER, associés aux parenthèses permettent d'écrire n'importe quelle structure des Units. Comme d'autres opérateurs, ils sont appelés des méta-générescences, ce qui veut dire simplement qu'ils sont eux-mêmes des générescences, mais des générescences spéciales, dont ni la formule brute ni la formule développée n'est pas indiquée, mais dont le rôle dans l'Univers TOTAL est justement de permettre de créer de nouveaux modèles, de définir la structure d'un modèle donné, de lui donner une identité qui est la sienne. Prenons l'exemple du Cube pour commencer à comprenpre le fonctionnement et le rôle des opérateurs.
Il faut des Cubes pour former un nouveau Cube!
C'est la constitution récursive ou générescente d'un Cube.
Il faut par exemple 27 units de Cube pour constituer l'information Cube.
Trois units forment une Ligne, trois Lignes forment un Plan,
et trois Plans forment un nouveau Cube!
Et la formule générescence développée est donc:
U = (UUU.UUU.UUU).(UUU.UUU.UUU).(UUU.UUU.UUU).
Cette structure fait que l'information "U" est à lire "Cube".
La formule brute d'une Ligne est: Ligne = 3 x U ou Ligne = 3 x Cube.
La formule brute d'un Plan est: Ligne = 9 x U ou Ligne = 9 x Cube.
La formule brute du Cube est: Cube = 27 x U ou Cube = 27 x Cube ou U = 27 x U.
Ce sont les formules avec 3 units par ligne.
Mais on peut tout à fait générer le même Cube
avec une formule avec 2, 4, 5 units par ligne, etc.
Avec par exemple 5 units par ligne la formule brute sera: U = 53 x U ou U = 125 x U.
Une des infinités de manière d'indiquer la formule brute du modèle Cube est Cube = 27 x U. D'autres manières d'indiquer la formule brute du même Cube sont: Cube = 8 x U, Cube = 64 x U, etc., et d'une manière générale: Cube = N3 x U, où N est un nombre entier naturel quelconque.
Le Cube est généré par 27 Cubes d'échelle 1/3,
mais le même Cuble est généré par 8 Cubes d'échelle 1/2,
par 64 Cubes d'échelle 1/4,
par 125 Cubes d'échelle 1/5, etc.
et plus généralement il est généré par n3 Cubes d'échelle 1/n.
Et le Cube lui-même génère des Cubes de plus en plus grands:
8 exemplaires de ce Cube génèrent un Cube d'échelle 2,
27 exemplaires génèrent un Cube d'échelle 3,
64 exemplaires génèrent un Cube d'échelle 4, etc.
et plus généralement n3 exemplaires génèrent un Cube d'échelle n.
C'est ici que l'on comprend toute l'importance des propriétés mathématiques des nombres, car ce sont ces propriétés fondamentales qui se traduisent aussi par les propriétés physiques des choses. Ainsi par exemple, le nombre 125 est le nombre "5 au cube", on a: 125 = 53. Cela veut dire alors qu'un paquet de 125 units constituent l'information Cube de la manière suivante: 5 units formemt une Ligne, 5 Lignes forment un Plan (5x5 = 25 units), 5 Plans forment de nouveau un Cube (25x5 units = 125). Voilà comment dans l'Univers on passe d'un objet numérique ou informatique, à savoir une information de 125 units, à un objet physique que nous appelons le Cube. Le "cube numérique" ("5 au cube") devient le "cube physique".
C'est ainsi que toute chose physique est à la base une chose numérique, une chose informatique (une information), une générescence.
Nous avons vu comment un objet, le Cube, est généré avec le HENER. Au lieu de 3 ou 5 units par ligne, on peut générer une ligne avec un infinité d'units, ou en tout cas avec un très grand nombre d'units, et la logique sera exactement la même. C'est là où le GENER intervient, l'opérateur qui est tout simplement l'application infinie du HENER, ou son application un très grand nombre de fois, en l'occurence les nombres Horizon, par exemple Lhorizon 3 ou 1010 000 000 000 ou le Zhon. Ces nombres donnent toute sa puissance à la générescence!
En effet, de nombreux phénomènes nouveaux, suprenants et extraordinaires apparaissent quand les grands nombres s'y mêlent, comme par exemple le phénomène émergence.
Nous avons qu'un unit n'a apparemment rien d'un Cube, mais il suffit de 27 units ou de 125 units pour qu'ils commencent à créer l'objet Cube, un objet nouveau. On dit alors que le Cube "émerge".
Et aussi, un unit n'a apparemment rien d'une molécule d'eau. Mais il suffit d'un nombre adéquat d'units, structurés de la bonne façon, pour qu'apparaissent les molécules d'eau. Et une molécule d'eau (un nouveau modèle, une nouvelle version d'unit), prise seule isolèment, n'a rien de l'eau telle que nous la connaissons à notre échelle. Mais il suffit d'un grand nombre de molécules, structurées de telle ou telle manière, dans tel ou tel état de liaison ou de relation entre elles, pour obtenir soit de l'eau liquide (comme celle d'un lac), de l'eau sous forme de neige, de glace, de vapeur, etc. Et tout ça à la base un seul unit fondamental, U, le reste étant une affaire de structure, de relation (en particulier d'équivalence), de cycles, de grands nombres, etc.
Et l'opérateur GENER est le spécialiste pour générer les très grands objets: les espaces, les mondes, les univers, etc. Car là est nécessaire de très, très grands nombres d'units.
Par exemple, U G ou U..., consiste à répéter indéfiniment l'unit U vers la droite: UUUUUUU.... Cette générescence est appelée la Demi-Droite Générescente ou U_0.5D. On l'appelle simplement aussi la Demi-Droite, c'est la définition de la Demi-Droite dans la géométrie et la topologie de la générescence.
Et G U G ou ...U..., consiste à répéter indéfiniment l'unit U vers la gauche et vers la droite: ...UUUUUUU.... Cette générescence est appelée la Droite Générescente ou U_1D. Elle est appelée simplement Droite. Et la Droite est la grande version de la Ligne dans le cas de la génération du Cube par exemple.
En prenant U_1D pour Unit, on obtient de la même façon U_2D ou le Plan: ...(U_1D)..., qui donc la générescence: ...(U_1D)(U_1D)(U_1D)(U_1D)(U_1D)(U_1D)(U_1D)(U_1D)...
En prenant U_2D pour Unit, on obtient de la même façon U_3D ou l'Espace en trois dimensions: ...(U_3D)..., qui donc la générescence: ...(U_2D)(U_2D)(U_2D)(U_2D)(U_2D)(U_2D)(U_2D)(U_2D).... C'est l'équivalent du Cube mais avec le GENER.
Et ainsi de suite jusqu'à U_ωD, qui signifie la générescence de dimension infinie.
Génération par un Point d'un Segment, d'une Droite, etc.
Elle indique que du point de vue de cette opération, le Point, le Segment et la Droite sont un seul et même modèle!
Autrement dit, 0, 1 et ω (l'Infini)
sont équivalents dans la logique de la générescence.
Si cette logique avait comprise, on n'aurait jamais dit qu'il est impossible de diviser par 0 ou que cette opération est "non définie".
On sait maintenant diviser par 0 dans l'algèbre de la générescence
(voir Nombres Cycliques, Algèbre Fractale, Algèbre Universelle).
Si la répétition est maintenant perpendiculaire (ce qui signifie une autre structure des units), le même point génère le Segment, puis le Segment génère le Carré, qui génère le Cube, qui génère le Tesseract, etc., et là on entre dans une autre dimension!
Génération par un Point d'un Segment, d'un Carré, d'un Cube, etc.
La génération se fait cette fois-ci perpendiculairement.
Cette opération montre que le Point, le Segment, le Carré, le Cube, etc., sont un même objet, trois versions d'un même modèle.
Sans la prise de conscience de cette générescence, on ne se serait pas douté qu'un Cube, qu'un Carré, qu'un Segment, qu'un Point est une
structure fractale!
Le Tesseract ou Cube 4D (Image Wikipedia).
La générescence qu'un Cube 3D génère nous fait entrer dans une autre dimension!
Un Point en translation génère un Segment, le Segment en translation génère un Triangle;
le Triangle en rotation génère un Cône de révolution.
Un Segment en rotation génère un Disque, le Disque en translation génère un Cône de révolution.
Il importe de souligner que les objets générés que nous appelons Segment, Droite, Plan, Espace, etc., sont plus que les notions géométriques des mêmes noms. Quand le nombre d'Units augmente et devient très, très grand (par exemple quand il atteint des nombres comme Lhorizon 3 ou 1010 000 000 000 ou "10 puissance 10 000 000 000", l'information devient dense et devient des points de l'espace, puis des particules, puis les atomes, puis les molécules (comme par exemple l'ADN), puis les cellules, puis les humains... En d'autres termes, la générescence se complexifie pour donner toutes les choses.
La molécule d'ADN (image Wikipedia), un composant fondamental de la cellule.
Ce que donne la générescence U_1D quand le nombre d'unités d'information "U"
devient extraordinairement grand et devient infiniment complexe.
Cela produit inévitablement la VIE, elle est inscrite dans la logique même de la générescence,
elle est programmée pour apparaître, elle est générée, créée par l'Univers TOTAL,
l'Univers-DIEU
le Générateur de toutes choses, la Génératrice de toutes choses!
Un Ordinateur, un Supercalculateur, un Cerveau, l'Univers TOTAL!
Quatre versions d'un seul et même modèle:
le modèle Ordinateur ou
modèle Machine Informatique!
Nous connaissons la grande puissance d'une telle Informatique,
comment elle peut traiter de grands nombres et de grandes quantités d'informations,
comment elle peut générer des images, des vidéos,
des univers virtuels, d'un réalisme époustouflant!
Bref, nous savons aujourd'hui une simple chose:
plus la puissance informatique augmente, plus
elle imite la Nature, l'Univers, la Réalité!
Il faut maintenant comprendre que la Nature, l'Univers, la Réalité qu'elle imite
est tout simplement la plus grande de toutes les machines informatiques!
Nous ne parlons pas seulement de NOTRE univers
avec ses "seulement" 1080 ("10 puissance 80") atomes.
Bien que ce nombre soit tout simplement phénoménal,
on très loin d'un nombre comme Lhorizon 3 atomes!
Et celui-ci, bien que plus que phénoménal,
est à son tour du néant comparé à l'Infinité qu'est
l'Univers TOTAL, la Réalité TOTALE,
l'Ensemble de toutes les choses!
Il est la Grande Machine, et plus qu'une Machine,
il est la Grande Intelligence,
le Grand Cerveau,
le Grand Organisme,
le Générateur de toutes choses!
Seul lui peut traites des informations de la taille des nombres exatraordiniares comme:
Lhorizon 3! Lhorizon 4! Lhorizon 7! Lhorizon 1000!
L'informatique actuelle est une informatique binaire ou duale,
ce qui signifie que l'Information est, au niveau le plus fondamental,
constituée de deux informations élémentaires ou bits: 0 et 1.
Mais la Machine qu'est l'Univers TOTAL fonctionne avec l'Informatique
la plus fondamentale qui soit: l'Informatique unaire!
Cela veut dire que toutes les informations sont codées avec un seul bit:
U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUU, ...
Pour coder le nombre Lhorizon 3, il faut donc répéter autant de fois le bit U!
Allez, courage! Essayez d'imiter l'Univers TOTAL pour
Générer de toutes les choses.
Le but n'est pas simplement de faire du Réalisme d'imiter le mieux possible la Réalité,
mais de créer tout simplement la Réalité, TOUTE la Réalité...
Il nous faut maintenant définir des grands nombres, des très, très grands nombres, les nombres Horizon, qui sont des générescences (car toute chose est une générescence), qui jouent une rôle très important dans la notion de générescence. Nous allons parler de nombres extraordinairement grands, qui vont très vite dépasser notre entendement dès les tous premiers d’entre eux.
Ces nombres interviennent par exemple dans le phénomène de l'émergence, dans le changement de vérité en Logique Alternative. Au-delà des Horizon apparaissent de nouvelles et très grandes vérités inconnues actuellement, qui remettent en question la vérité scientifique actuelle, (par exemple le fait de dire que le nombre PI n'est pas rationnel et encore moins un nombre entier naturel!), la manière de voir la vérité, la vision des choses. Les nombres Horizon jouent un grand rôle dans le passage des générescences du stade de nombre ou d'information à celui de matière au sens courant du terme, etc.
Ainsi par exemple, une générescence, quand elle est petite en tant que nombre est ce que nous appelons "nombre" ou "information", mais quand elle atteint des tailles gigantesques comme celles des nombres Horizon qu'on va définir, les mêmes générescences sont ce que nous appelons la matière, les particules, les atomes, les molécules, les cellules, les êtres vivants, etc. Autrement dit, nous sommes des nombres très, très grands! Quand les nombres sont petits, on les appelle "Un", "Deux", "Trois", "Un Million", etc.. Mais quand ils deviennent très grands, on les appelle "Proton", "Neutron", "Electron", "Etoile", "Humain", "Pierre", "Pauline", "Jacques", "Altériane", "Elie", "Stella", "Théophile", "Angélique", etc. Les nombres Horizon ne sont donc pas faits pour être comptés comme on compte "Cent", "Mille" ou "Un Milliard". Mais ils sont faits pour être tout simplement des modèles, des noms propres, des noms communs, des quantums (ou quanta), etc. (voir Physique Quantique de l'Univers TOTAL, la Physique du TOUT).
Ces grands nombres (ou ces générescences) sont donc très importants, car ce sont eux qui font toute la puissance de la notion de générescence, incarnent toute la diversité des choses de l'Univers TOTAL, déterminent la taille et les propriétés d'un Univers donné, les choses qui y sont possibles et celles qui y sont impossibles. Autrement, plus un Univers donné est grand en tant que générescence, information ou nombre, plus il se rapproche de l'Univers TOTAL et de sa diversité infinie de choses.
Définissons maintenant les nombres Lhorizon de la manière suivante:
Lhorizon 0 = 1
Lhorizon 1 = 101 = 10
Ce nombre s’obtient en écrivant 1 suivi d’un nombre de zéros indiqué par Lhorizon 0 donc 1 suivi d’un zéro, ce qui donne donc 10 ou « dix puissance 1 ».
Lhorizon 2 = 10Lhorizon 1 = 1010 = 10 000 000 000
Il est obtenu en écrivant 1 suivi d’un nombre de zéros indiqué par Lhorizon 1 donc 1 suivi de dix zéros, ce qui donne donc 10 000 000 000 ou dix milliards, qui est le nombre « 10 puissance 10 ».
Lhorizon 3 = 10Lhorizon 2 = 1010 000 000 000.
ce nombre, nous l'appelons le Zhon (prononcer "Jonne").
L'inverse du Zhon, le nombre 1/Zhon, nous l'appelons le Shon
(prononcer "Chonne").
Le Shon est donc 10-10 000 000 000.
Ce nombre consiste à écrire dix milliards de zéros, à mettre une virgule après le premier et à écrire 1 après le dernier.
Autrement dit, il est de la forme 0.000000...0001, avec dix milliards de chiffres après la virgule,
le dernier chiffre étant 1 et les autres étant des 0.
Et pour un nombre entier n quelconque, on :
Lhorizon (n + 1) = 10Lhorizon n
qui est donc le nombre qui s'écrit avec 1 suivi d'un nombre de zéros donné par Lhorizon n.
Le dernier Lhorizon est Lhorizon ω. Il obéit donc à la formule finale:
Lhorizon (ω + 1) = 10Lhorizon ω
Il faut maintenant préciser que le mot Lhorizon est constitué du mot Horizon et de la lettre L indiquant qu'on travaille en base 10. La table des bases est la suivante:
Les bases sont les consonnes issues de l'ABECIDO,
l'Alphabet cyclique du Verba, un Alphabet 40.
A part les bases spéciales O, U et Z, une consonne en tant que base
est son numéro d'ordre divisé par 2 (car il est pair) auquel on ajoute 1.
Ainsi par exemple, le L est la lettre 18. Donc, comme base, on a L = 18/2 + 1 = 10.
Ainsi, pour base B ou 2:
Bhorizon 0 = 20 = 1
Bhorizon 1 = 2Bhorizon 0 = 21 = 2
Bhorizon 2 = 2Bhorizon 1 = 22 = 4
Bhorizon 3 = 2Bhorizon 2 = 24 = 16
Bhorizon 4 = 2Bhorizon 3 = 216 = 65 536
Etc.
Pour base C ou 3:
Chorizon 0 = 30 = 1
Chorizon 1 = 3Chorizon 0 = 31 = 3
Chorizon 2 = 3Chorizon 1 = 33 = 27
Chorizon 3 = 3Chorizon 2 = 327 = 7 625 597 484 987
Etc.
Pour base D ou 4:
Dhorizon 0 = 40 = 1
Dhorizon 1 = 4Dhorizon 0 = 41 = 4
Dhorizon 2 = 4Dhorizon 1 = 44 = 256
Dhorizon 3 = 4Dhorizon 2 = 4256 = 1,340 780 792 994 259 709 957 402 499 82... x 10154
Etc.
Pour base F ou 5:
Fhorizon 0 = 50 = 1
Fhorizon 1 = 5Fhorizon 0 = 51 = 5
Fhorizon 2 = 5Fhorizon 1 = 55 = 3 125
Fhorizon 3 = 5Fhorizon 2 = 53 125 = 1,911 012 597 945 477 520 356 404 559... x 102 154
Etc.
Les nombres gigantesques de la série Horizon sont du néant comparés aux nombres que l'on peut définir avec les hyperopérateurs.
Ceux-ci admettent plusieurs variantes de définition;
dans le langage des générescences ou des informations unaires, nous les appelons les opérateurs HENER.
Voici comment nous les définissons:
H0 ou + : Addition (HENER d'ordre 0)
H1 ou x : Multiplication (HENER d'ordre 1)
H2 ou ^ : Exponentiation (HENER d'ordre 2),
une flèche de Knuth (Wikipédia)
H3 ou ^^ : Tétration (HENER d'ordre 3),
deux flèches de Knuth
H4 ou ^^^ : Pentation (HENER d'ordre 4),
trois flèches de Knuth
H5 ou ^^^^ : Hexation (HENER d'ordre 5),
quatre flèches de Knuth
Etc.
Propriété générale des hyperopérateurs (ou opérateurs HENER):
m Hp 1 = m;
m Hp+1 (n+1) = m Hp (m Hp+1 n),
ou plus simplement:
m Hp+1 n = m Hp ... Hp m Hp m Hp m Hp m,
où m est écrit n fois.
Par exemple la tétration 10 H3 5 (ou 10 ^^ 5) se décompose
comme une chaîne de puissances H2 (ou ^^) suivante:
10 H3 5 = 10 ^^ 5
= 10 H2 10 H2 10 H2 10 H2 10
= 10 ^ 10 ^ 10 ^ 10 ^ 10, où 10 apparaît 5 fois.
et on calcule les puissances de droite à gauche.
Le résultat d'un tel calcul est le nombre que nous avons appelé Lhorizon 5 plus haut ou 10 ^ (10 ^ (1010000000000)).
Avec les hyperopérateurs, les nombres comme 10 H10 10 ou 7 H7 7 sont fantastiquement colossalement titantesques! Ils sont pour ainsi dire "infinis", et pourtant bien finis. Et malgré leur grandeur vertigineuse hors de notre entendement actuel, ils sont pourtant des néants comparés au Nombre de Graham (Wikipédia), lui-même infiniment loin d'être ce qu'on peut définir comme nombres colossaux, c'est-à-dire comme généresences (ou informations unaires) colossales.
Il faut passer maintenant de l'ère de la
physique matérialiste à celle de la physique informatique.
Car, au niveau le plus fondamental, toute chose est une générescence, une INFORMATION!
Plus fondamentale et plus puissante que la physique quantique classique,
plus fort encore que la théorie des cordes et des supercordes,
arrive maintenant la physique informatique,
la physique de la générescence!
La concept actuel des "cordes" et de la "Théorie des cordes" est sans aucun doute le concept le plus puissant de toute la physique actuelle, tout simplement parce que c'est le concept le plus près de la générescence, et de la puissante logique des cycles.
Il faut saluer tous ceux qui depuis Einstein poursuivent le rêve de la Théorie du TOUT, avec derrière la tête l'idée de découvrir enfin la Pensée de Dieu, la Formule de l'Univers TOTAL, la Logique qui gouverne TOUT. Ils ne seront pas déçus en travaillant maintenant dans le paradigme de l'Univers TOTAL, en approfondissant les bases de la Théorie des générescences posées dans ce document, en bâtissant sur les fondements qui ont été posées.
En fait, il ne fallait pas chercher à tâtons et faire des calculs compliqués pour parvenir à la Formule. Mais il fallait simplement poser l'Univers TOTAL comme base, et alors la Formule est toute trouvée aussi. Et seulement on essaie de la comprendre, de découvrir toutes ses immenses implications, de découvrir toutes ses applications, toutes ses prédictions.
Cette formule est simplement l'équivalence des générescences: U = UU = UUU = UUUU = UUUUU = UUUUUU = UUUUUUU = ... ou simplement U = ω x U. Nous l'avons découverte au début de ce document très simplement avec la Feuille de Fougère. Et nous en avons reparlé aussi dans l'examen de la notion de modèle.
Nous avons vu (et c'est très important) qu'il faut maintenant raisonner dans le paradigme de l'Equivalence et du Cycle. Car tous les mécanismes de l'Univers TOTAL, sa vie, son dynamisme, le mouvement, l'espace-temps, les ondes, les fréquences, les cycles... eh bien sont justement une affaire de Cycle et d'Equivalence!
Le Verba,
le Langage de la générescence,
de l'Information unaire,
le Langage informatique de l'Univers TOTAL, de la nouvelle Physique.
C'est le langage qui permet maintenant de comprendre tout le film de l'Univers,
de comprendre les secrets de son mouvement, de son dynamisme, de sa vie!
La clef de ce dynamisme se trouve dans la très importante nouvelle notion
d'Equivalence!
On a ici deux générescences: Théophile.Assis et Théophile.Debout
ou Théophile Version Assis et Théophile Version Debout.
Ce sont tout simplement deux nombres entiers naturels distincts,
donc on ne peut exprimer une identité entre les deux.
Mais heureusement l'Univers TOTAL fonctionne en termes
d'équivalence
et de cycle!
L'équivalence entre les deux générescences fait donc que
Théophile peut BOUGER, CHANGER, VARIER, tout en restant le même Théophile!
Par exemple, Théophile, Assis, Debout, sont trois informations, trois générescences. Avec l'opérateur HENER on forme les générescences ou informations suivantes: Théophile . Assis et Théophile . Debout, qui sont deux versions différentes du modèle de base Théophile, la version Assis et la version Debout.
Avec l'Identité, qui est la conception actuelle de l'Egalité, on ne peut pas écrire l'égalité: Théophile . Assis = Théophile . Debout, car chaque générescence est une identité absolue, une information unique, qui n'est donc identique qu'à elle-même et pas à une autre! Cette égalité Théophile . Assis = Théophile . Debout revient à dire: Assis = Debout, donc à écrire une égalité entre deux générescences différentes, tout simplement entre deux entiers naturels différents. C'est donc une égalité de type 0 = 1, c'est-à-dire une égalité de type Cycle. C'est tout simplement une Equivalence!
Donc avec l'Identité seule, on ne peut pas vraiment comprendre les secrets d'un Univers où Théophile est un être vivant qui s'asseoit et qui se lève et qui reste pourtant le même Théophile. On ne peut pas vraiment comprendre les secrets de la vie et du mouvement dans l'Univers.
Mais avec l'Equivalence, on a: Théophile . Assis = Théophile . Debout. Les deux générescences sont différentes par la partie Assis et Debout, mais elles sont équivalentes par la partie commune Théophile. Elles appartiennent toutes les deux à Arbre des Théophile, elles sont deux branches de cet arbre, elles sont équivalentes parce qu'elles ont une même racine.
Autrement dit, dans l'algèbre ou dans la physique de la générescence et des modèles, on a deux modèles qui diffèrent par les attributs Assis et Debout, mais qui sont deux versions du même modèle Théophile, ils sont équivalents de ce point de vue. C'est ce qui fait que Théophile est le même être, qu'il soit assis ou debout, et surtout c'est ce qui fait que Théophile est vivant ou en mouvement. La vie ou simplement le mouvement serait impossible sans la Générescence et l'Equivalence!
L'équivalence des générescences ou simplement l'Equivalence universelle est la Formule de l'Univers TOTAL, ce qu'on a tant cherché depuis longtemps. Tous ceux qui cherchent la "Pensée de Dieu" ou simplement la vérité, n'ont qu'à maintenant se pencher sur ce chantier de la Générescence que nous ouvrons ici. Tout est déjà dit, mais tout reste encore à dire!
L'un des aspects parmi les plus puissants de la notion de générescence est la notion d'Induction et d'Emergence.
Avec seulement 2, 3, 1000 ou 1000000000 molécules d'Eau,
la chose générée n'est pas encore de l'Eau,
mais une chose intermédiaire entre la molécule et l'Eau,
une nouvelle version de la notion de molécule
en train de devenir ce que nous appelons de l'Eau à notre échelle.
Un nombre suffisamment grand de molécules d'Eau génère un Lac.
Nous voyons que c'est un Lac car nous sommes dans un contexte ou à une échelle
où cette réalité apparaît, émerge, peut être observée.
Si nous n'étions pas dans ce contexte ou à cette échelle, nous ne verrions pas que c'est un Lac!
A l'échelle des molécules, nous ne verrions que des molècules, mais pas un Lac!
Et vu de la galaxie voisine, ce Lac serait simplement du néant, un minuscule Point, comme une Particule!
Il faut donc se placer dans le bon contexte pour voir le Lac.
Et en prenant un nombre encore plus grand de molécules d'eau et pourvu qu'il soit assez grand,
on génère par exemple... un Lapin! ou une montagne! ou une galaxie! bref, tout ce qu'on veut!
Mais là encore c'est le même problème:
Il faut se placer dans le bon contexte de l'Univers TOTAL où le Lapin apparaît, émerge.
Sinon, on ne verrait pas un Lapin, mais des Molécules, un énorme Lac, un Point, ou autre chose!
La Loi d'Emergence dit simplement cette chose étonnante, extraordinaire:
Un nombre suffisamment grand d'exemplaires de n'importe quel modèle M
génère n'importe quelle chose X,
comme le modèle U (le modèle qu'est l'Univers TOTAL) génère toutes choses.
Mais seulement, il faut se placer dans le contexte adéquat de l'Univers TOTAL pour voir émerger X,
sinon on verrait émerger autre chose!
En disant qu'il faut se placer dans le "contexte adéquat",
cela signifie aussi que nous devons nous-même avoir la nature adéquate pour voir émerger X,
sinon on ne verrait émerger que les choses que notre permet de voir!
L'Emergence est un des plus puissants et extraordinaires aspects de la notion de générescence,
un des plus grands secrets de l'Univers TOTAL, le Générateur de toutes choses.
Toute chose X est générée par une seule chose fondamentale: U,
qui est l'Univers TOTAL.
Autrement dit, l'Univers TOTAL génère toute les choses en se répétant tout simplement, en disant don simplement:
U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, ....
Cela veut dire que: X = UUUUUUU...U, c'est-àdire la répétition d'un certain nombre N d'unités U.
Autrement dit plus simplement on a: X = N x U.
De cette propriété simple et exatraordinaire de l'Univers TOTAL, il découle d'autres propriétés tout aussi puissantes et étonnantes, comme l'Emergence, qui étend simplement la propriété de l'Univers TOTAL à n'importe quel autre modèle M.
Ainsi, s'il faut N unités U pour générer la chose X,
donc si X =UUUUUUU...U = N x U,
alors en prenant exactement de la même manière un nombre N d'unités du modèle M,
on génére une nouvelle chose X' qui est simplement une nouvelle version de la chose X.
On a donc:
X' =MMMMMMM...M = N x M.
Illustrons cela avec un exemple simple. Considérons comme chose X la chose
nommée Quatre, notée 4, et qui est simplement la U-générescence: UUUU.
Et premons pour modèle M la chose nommée
Sept, notée 7, et qui est simplement la U-générescence: UUUUUUU.
La Loi de l'Emergence dit cette chose extrêmement simple mais très puissante suivante:
la chose MMMM ou SeptSeptSeptSept est une nouvelle version de la chose Quatre!
Autrement dit, en faisant jouer à M ou Sept ou 7 exactement
le même rôle que U dans UUUU,
on crée une nouvelle version de la chose Quatre, qui est la M-générescence: MMMM.
Cette M-générescence est donc a U-générescence:
UUUUUUU.UUUUUUU.UUUUUUU.UUUUUUU,
faite de 4x7 = 28 unités du modèle fondamental U.
Si l'on se place dans le point de vue adéquant ou dans le contexte adéquat, cette U-générescence: UUUUUUU.UUUUUUU.UUUUUUU.UUUUUUU, produit exactement le même effet que la U-générescence: UUUU, il produit l'"effet Quatre". On dit que Quatre émerge dans ce contexte-là.
Pour prendre un exemple encore plus terre à terre pour illustrer cela, pour un certain riche, dépenser 10000 euros c'est comme pour un pauvre de dépenser 1 euro. Autrement dit, le riche voit 10000 euros exactement comme le pauvre voit 1 euro. Pour le pauvre, 5 euros c'est quelque chose alors que pour le riche 5 euros c'est rien. Il faut alors 50000 euros pour qu'il les perçoivent comme le pauvre perçoit 5 euros. alors seulement 5 émerge chez lui! Le riche et le pauvre ne vivent donc pas dans le même contexte, ils ne vivent pas dans le même monde, dans le même univers.
La Loi d'Emergence illustrée avec les nombres classiques est compréhensible et semble chose banale et sans importance. Mais cela devient une chose extraordinaire avec la générescence, donc au niveau le plus fondamental de l'Univers. Cette Loi dit donc qu'étant donné qu'une X est générée par un certain nombre N d'unités de U, un nombre N d'unités d'un modèle quelconque M donné génèrent une nouvelle version de X. Mais pour percevoir cette nouvelle version de X, il faut se placer dans le contexte adéquat, il faut changer d'échelle ou de monde ou d'univers. On dit donc que X émerge dans ce nouveau contexte.
C'est avec les grands nombres que le phénomène d'Emergence se produit. C'est là où les nombres comme les Horizons (comme par exemple Lhorizon 3) jouent un très grand rôle. Ils sont la clef même de l'Emergence. Et même l'effet d'Emergence se produit avant d'atteindre des nombres aussi grands.
Par exemple, 1042 molécules d'Eau génèrent une chose comme le grand lac Baïkal en Russie. On les appelle "molécules d'Eau" mais il faut savoir qu'une molécule prise en elle-même n'a rien de l'Eau, si on les voyait à leur échelle, on serait très loin d'imaginer que beaucoup de ces choses auront pour effet à grande échelle une chose comme le Lac. C'est à notre échelle, et évidemment aussi dans les conditions de température et de pression adéquate, que l'effet Lac émerge. Dans d'autres conditions c'est l'effet Gaz ou Vapeur qui émerge, et dans d'autres encore c'est l'effet Glace (un effet solide) qui émerge, etc.
Et si l'on considère 10100 molécules, on dépasse très largement la quantité de matière estimée pour NOTRE univers (il faut préciser NOTRE univers), qui est de 1080 atomes. Cela veut dire que l'effet qui émerge avec ces ordres de grandeur (en prenant comme unité ou modèle l'Atome ou la Molécule) n'est plus l'effet Lac mais l'effet Univers! Nous l'appelons effet Univers parce que nous sommes des humains et voyons la chose sous cette nature. Mais en changeant de nature et en adoptant la nature adéquate, on verrait autre chose, peut-être un cille simple Lapin ou un simple Caillou! Oui, les choses sont ce qu'elles sont parce que nous sommes ce que nous sommes et que nous les voyons à partir de notre contexte et selon notre nature.
Et maintenant, si nous considérons Lhorizon 3 molécules, c'est complètement autre chose que nous verrions. Mais tout dépend surtout de notre nature et du contexte d'observation. La Loi d'Emergence nous dit qu'en variant ces paramètres (le nombre d'unités du modèle considéré) et les conditions d'observation de l'effet produit (conditions qui incluent notre propre nature), on peut voir émerger n'importe quelle chose X! Très étonnant, mais c'est cela l'un des plus puissants aspects de la générescence, l'un des plus grands secrets de l'Univers, de sa nature et de son fonctionnement.
Un autre puissant aspect de la notion de générescence est la notion d'Induction. Elle est associé à la Loi d'Emergence vue plus haut, mais surtout l'Induction est due au fait que l'Univers TOTAL a une structure fractale.
Qu'on imagine quelqu'un qui debout dans une prairie verte
et regardant un tout petit morceau d'herbe rouge dans cette plairie dit:
"Cette prairie est rouge aussi; un jour viendra où sa couleur rouge apparaîtra".
Ou qu'on image la personne, dans un espace couvert de neige blanche disant:
"Un jour viendra où l'on verra que cette neige est noire aussi".
Etranges déclarations, qui ont l'air d'être la fausseté même!
Et pourtant cette personne fonctionne simplement avec un outil de vision et de prédition très puissant:
la générescence et la strucrure fractale de l'Univers TOTAL!
Et plus précisément encore, c'est une vision inductive des choses
due à l'auto-appartenance de l'Univers TOTAL.
Raisonner par induction c'est avoir une toute nouvelle vsion de l'Univers, parce qu'on sait maintenant qu'il a une structure générescente et fractale. Et alors, en voyant n'importe quelle chose dans l'Univers, on sait que, en raison de cette structure fractale de l'Univers, cette chose existe en une infinité de versions, à toutes les échelles.
Plus fort et étonnant encore, en voyant par exemple un Lapin, on sait qu'on est à l'extérieur du Lapin, mais on comprend aussi qu'on est avec ce Lapin à l'intérieur d'une autre version du même Lapin de plus grande échelle, lui-même dans un Lapin de plus grande échelle encore.
Pour illustrer cela encore autrement, supposons que vous êtes l'étoile rouge. Vous êtes devant une enceinte verte à l'intérieur de laquelle se trouvent trois autres enceintes vertes. Devant l'une il n'y a rien. Devant la deuxième il y a un disque vert. Et devant la troisième, il y a... une autre version de vous!
De même qu'il existe plusieurs variantes de l'enceinte (ici on en a mis trois juste pour illustrer la logique), une avec vous devant, une avec un disque vert devant (donc avec une autre personne par exemple devant) et une sans vous devant, de même aussi il existe une infinité de versions de vous.
Il y a d'abord celles qui sont une reproduction parfaite de ce que vous êtes, qui sont synchronisées avec vous, on dit aussi que vous êtes en phase. Celles-là, tout ce que vous faites, elles le font aussi exactement de la même manière! Si vous entrez par exemple dans l'enceinte devant, elles aussi entrent dans l'enceinte devant elles. C'est parce que vous l'avez fait qu'elles l'ont fait. Mais l'inverse est vrai aussi. Si l'idée vous est venue d'entrer dans l'enceinte, c'est parce que l'une d'entre elles a décidé d'entrer, ce qui vous a entraîné à le faire. Vous êtes leur conscience et elles sont votre conscience! Vous êtes liés, vous formez la seule et même conscience.
Il y a d'autres versions de vous qui elles sont anti-synchronisées avec vous, on dit aussi que vous êtes en opposition de phase. Dans ce cas, vous êtes des consciences opposées. Ce que vous faites, elles font exactement le contraire! Si par exemple vous entrez dans l'enceinte devant vous, elles de leur côté sortent de l'enceinte dans laquelle elles se trouvent pour se placer devant l'enceinte de plus grande échelle qui les contiennent. Ces versions de vous sont par exemple celles qui se trouvent dans les enceintes devant lesquelles il n'y a personne. C'est parce que vous entrez qu'elles sortent. Et c'est parce qu'elles sortent que vous entrez.
Il existe toute l'infinité de situations possibles, vous avez des versions en tout point vous, d'autres versions tout le contraire de vous, et d'autres en partie vous et en partie contraire de vous, etc. Toutes les situations possibles ey imaginables existent dans l'Univers TOTAL. Etant donné qu'il est l'ensemble des généreescences U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, ... à 'infini, l'une de ces générescences est une chose donnée. S'il faut répéter l'unité U un nombre de fois égal à Lhorizon 3 pour générer la chose, elle finira toujours par être générée. Et s'il faut Lhorizon 1000 pour la créer, elle sera crée. Elle existait déjà (car l'Univers TOTAL existe avant lui-même), elle existe, elle existera (Révélation 1: 8).
Un Atome, fait d'un noyau et d'un corps autour du noyau, réduit ici à un nuage électronique.
Il s'agit d'une générescence, modèle Organisme dans l'une de ses plus simples expressions.
Une Cellule, faite d'un noyau et d'un corps.
C'est un organisme d'un ordre nettement supérieur, une générescence faite d'atomes.
Un Humain, fait d'un noyau appelé "cerveau" et d'un corps.
C'est un organisme d'un ordre encore supérieur,
une générescence faite de cellules, faits d'atomes.
Trois modèles Organisme à des échelles et à des degrés différents.
Autrement dit simplement, un humain est une générescence!
Il est fait de petits modèles à son image, et il faut comprendre qu'il est l'image de modèles encore plus grands,
jusqu'au plus grand des modèles, l'Univers TOTAL,
le Grand Organisme.
L'ignorance du phénomène de la générescence, c'est aussi l'ignorance des plus grandes vérités et secrets de l'Univers...
La science de la VIE, la vraie, parle de l'Univers TOTAL, c'est la science de la GENERESCENCE. La notion de générescence et de structure fractale est tout simplement la notion qui permet de comprendre la nature, la structure et le fonctionnement de l'Univers. L'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, est la Générescence, le Générateur de toutes les choses, le terme scientifique et technique très précis pour dire "Créateur de toutes les choses" ou simplement DIEU!
L'ère du numérique est des nouvelles technologies dans laquelle nous sommes, c'est l'ère où nous avons découvert l'importance de notion fondamentale d'INFORMATION, et donc aussi la notion fondamentale de CODE. On parle par exemple de code informatique et de code génétique, mais sans comprendre qu'au niveau le plus fondamental, on parle d'une seule et même chose. Tout dans l'Univers est fondamentalement de l'INFORMATION du CODE, nous, les choses qui nous entourent, oui TOUT et absolument TOUT.
TOUT est INFORMATION et relation entre les informations et les codes. Et l'information la plus fondamentale est simplement la générescence. La notion de générescence, c'est tout simplement aussi la notion de vie et vice-versa. La générescence est définition la plus fondamentale et la plus universelle de cette notion que nous appelons la VIE!
L'informatique traditionnelle est une informatique binaire, ce qui veut dire que l'information est codée avec deux informations élémentaires distinctes, couramment notées 0 et 1, mais qu'on aurait pu tout aussi bien noter A et B, U et V, Théophile et Angélique, Adam et Eve, etc. Par exemple, 01, 10, 1001, 0100101, etc., sont des informations binaires écrites avec les deux bits.
Mais l'informatique de la Nature, de l'Univers TOTAL, est unaire. Cela veut dire que l'information est codée avec UNE SEULE information élémentaire, l'unit donc, qu'on peut noter 0, mais aussi A, U, Théophile, Adam, etc.
Cela veut alors que la deuxième information est formée à partir de la première, le 1 est formé à partir du 0, le B à partir de A, V à partir de U, Angélique à partir de Théophile, Eve à partir d'Adam (Genèse 2: 21-24), bref le Deuxième à partir du Premier, l'Autre (ou l'Alter) à partir de l'Un.
Les informations unaires sont donc: 0, 00, 000, 0000, ..., ou: A, AA, AAA, AAAA, ..., ou: U, UU, UUU, UUUU, ... . Le code du Deuxième (ou de l'Alter) est donc très simple: 00, AA, UU, Théophile Théophile, Adam Adam, etc. C'est donc le code d'Angélique, le code d'Eve. Une femme dans sa nature la plus profonde est donc un Humain Double. Seul celui qui n'a jamais vu une femme enceinte ne peut pas comprendre cette logique de la Nature, cette logique de l'Univers, cette logique de Dieu.
La molécule d'ADN (image Wikipedia), un composant fondamental de la cellule.
Voilà la Générescence, la Vie,
voilà la Génétique,
le Code Vivant!
A la différence des informations binaires actuelles qui sont des codes statiques, les informations unaires sont des codes variables, dynamiques, vivants.
Par exemple, dans l'informatique binaire, le code 01 est uniquement le code 01, et le code 10 est uniquement le code 10. Ces codes sont statiques, il n'y a aucun mouvement de l'un vers l'autre, aucune transformation de l'un en l'autre, aucune équivalence entre l'un et l'autre, etc. Les relations entre eux ou les transformation de l'un en l'autre sont d'ordre purement mathématique. Les codes eux-mêmes ne disent pas: "Je suis aussi l'autre".
En revanche, dans l'informatique unaire, c'est ce que ces codes disent. En effet, les deux codes sont fondamentalement le seul et même code, à savoir 000. Etant donné que 1 est le code 00, ce code 000 est donc à la fois 01 et 10. Il vit, il bouge, il change, tout en restant toujours le même code, exactement comme un humain est toujours le même humain, qu'il soit couché la tête vers le nord et les pieds vers le sud ou l'inverse, qu'il soit assis ou debout, etc. Le code fondamental reste toujours le même, et ce code a plusieurs variantes, plusieurs formes parfaitement équivalentes. L'Equivalence, est le Mouvement, le Cycle, la Vie. La Générescence, c'est la Vie!
C'est la générescence et la stucture fractalde l'Univers TOTAL
qui permet enfin de comprendre le phénomène de la Conscience.
La Conscience est le fait pour une chose donnée d'être informée de sa propre existence,
donc de pouvoir dire "JE" ou "Moi".
C'est fondamentalement un phénomène d'auto-référence ou d'auto-appartenance,
caractéristique justement des structures fractales.
Il ne suffit pas d'avoir une structure fractale pour être conscient,
mais la Conscience est impossible sans la structure fractale!
C'est le degré de complexité de la structure fractale
qui par l'effet d'Emergence qui en résulte produit la Conscience.
Une autre question très épineuse qui s'est toujours posée avec la Conscience est:
La Conscience est-elle une propriété du Cerveau ou existe-t-elle en dehors?
Là encore la meilleure réponse se trouve dans la
la générescence et la stucture fractale de l'Univers TOTAL.
En raison de cette structure, un individu donné existe en une infinité de versions dans l'Univers TOTAL.
En particulier une version de lui existe au fin fond de son Cerveau,
ce qui lui permet de dire "JE" ou "Moi".
C'est sa concience en tant que conscience localisée.
Mais il existe aussi l'autre conscience, qui, elle est universelle,
elle est partout dans l'Univers, une version de l'INFORMATION ou code qu'elle est
se trouve toujours quelque part dans l'Univers TOTAL.
Donc si une version locale venait à être détruite,
la version universelle subsiste,
C'est ce phénomène qu'ont vécu les personnes ayant connu une EMI ou une NDE
("Expérience de Mort Imminente"
ou "Near Death Experience").
Alors qu'elles sont déclarées cliniquement mortes et que l'activité du Cerveau était à plat,
une autre conscience prend le relais, elles se mettent à "flotter"
et à se trouver partout dans l'Univers à voir dans tous les sens, etc.
Tout cela s'explique simplement par
générescence et la stucture fractale de l'Univers TOTAL.
Oui, "Et Dieu créa l'homme à son image", dit Genèse 1: 27! Et j'ajoute et révèle ceci aujourd'hui: "Et aussi l'homme crée Dieu à son image"...
Non, non, il est inutile que les croyants ramassent des pierres pour me lapider pour avoir dit cela... Malgré les apparences, il ne s'agit pas du tout d'un blasphème, comme les mêmes paroles dans la bouche d'un athée... Mais bien au contraire, j'ai énoncé une chose très profonde et très puissante, que nous enseigne aujourd'hui la générescence, qui plaide la cause de Dieu et anéantit les idées athées!
Je révèle scientifiquement ce qui se cachait derrière les propos de Jésus quand il a dit par exemple: "Qui m'a vu a vu aussi le Père" (Jean 14: 9) et aussi : "Moi et le Père nous sommes un" (Jean 10: 30). Comme beaucoup de paroles dans la Bible, il s'agit d'un langage de générescence. Jésus est en train de dire simplement: "Qui a vu le petit modèle que je suis a vu aussi le grand modèle". Les chrétiens croient comprendre les paroles de Jésus et la Bible en général, alors que c'est maintenant que tout le voile est levé, que la Bible est décodée pour qu'on la comprenne vraiment.
Ce que je dis est un exemple typique de raisonnement par INDUCTION que nous permet la très puissante notion de générescence! Je dis simplement que la générescence est à comprendre dans les deux sens: le grand modèle engendre le petit modèle, et réciproquement le petit modèle engendre le grand modèle.
Il suffit de regarder votre corps pour comprendre cette très grande vérité: Les cellules de votre corps existent parce que vous existez, vous les nourrissez, vous leur apporter les éléments nécessaires à leur construction et à leur vie, par votre alimentation par exemple. Vous les engendrez en quelque sorte de cette façon, vous les générez ou régénérez (pour employer le vocabulaire précis de la générescence.
Mais réciproquement, vous existez (en tout cas en tant qu'humain en chair et en os) parce que vos cellules existent! Elles vous constituent, vous êtes la sommes de tout ce qui forme votre corps. Vos cellules vous génèrent donc, c'est la répétition (l'itération pour employer le mot précis générescence) de divers modèles de cellules (cellules du cerveau, cellules du foi, cellules des poumons, cellules du sang, etc.) qui génère votre corps, qui vous génère. Vous êtes donc créé par vos cellules, elles sont des microorganismes qui créent un orgnanisme d'ordre supérieur: vous!
Ce n'est donc pas un "blasphème" de dire que "La cellule crée l'homme à son image"! Vous jouez donc par rapport à vos cellules et de tous les éléments qui vous composent exactement le même rôle que Dieu joue par rapport à vous, c'est-à-dire très précisément l'Univers-DIEU, l'Univers TOTAL, l'Ensemble de toutes les choses, par rapport à toutes les choses qui le constituent! Les éléments existent parce que l'ensemble existe, et l'ensemble existe parce que ses éléments existent, sinon c'est un ensemble vide... Très mort... Il les crée à son image (c'est-à-dire selon son modèle pour employer le terme précis de la générescence) mais elles le créent aussi à leur image...
Pour en revenir au cas particulier de l'homme en relation avec l'Univers-DIEU Le petit modèle existe parce que le grand modèle existe: "Dieu crée l'homme à son image"; et le grand modèle existe parce que le petit modèle existe: "L'homme crée Dieu à son image".
Autrement dit, plus simplement, l'existence de l'homme suffit pour démontrer l'existence de Dieu! Les croyants disaient cela depuis fort longtemps. Ils disaient que les merveilles de l'Univers comme par exemple le cerveau ne peuvent pas exister sans Créateur. Ils avaient raison, mais c'était juste une intuition ou la foi, sans réelle démonstration scientifique.
Le grand modèle Oméga de la structure fractale engendre le petit modèle Alpha,
puisque c'est lui le seul modèle, l'unique qui se reproduit en lui-même.
L'Oméga crée donc l'Alpha à son image.
Mais réciproquement, le petit modèle engendre aussi le grand modèle à son image,
car que l'on parle du petit ou du grand modèle, on parle toujours du même Triangle de Sierpinski.
Mais aujourd'hui la générescence de l'Univers TOTAL établit cela scientifiquement, objectivement: La simple vue d'un petit modèle de Triangle de Sierpinski, si petit soit-il, suffit à démontrer l'existence d'un grand modèle de Triangle de Sierpinski, aussi grand que l'on veut. Pour exactement la même raison, la simple vue d'un humain (passé, présent ou futur) suffit à démontrer l'existence d'un humain à toutes les échelles que l'on veut!
Et plus généralement, cela suffit pour démontrer l'existence de formes de vies infiniment supérieures à l'humain, qu'on les appelle anges, extraterrestres ou autres. Et dans tous les cas, cela suffit à démontrer l'existence d'un modèle infiniment plus grand que l'homme, et c'est ce modèle-là qui s'impose très naturellement comme étant la définition de DIEU, en tant qu'Etre Vivant! Car c'est ça le point clef de tout ce raisonnement par INDUCTION ou raisonnement par GENERESCENCE: l'Univers TOTAL est un Etre Vivant!
Cela explique pourquoi un humain normal, vraiment normal, est forcément religieux au sens le plus noble, le plus large et le plus universel du mot religion à savoir " le fait d'être relié à ce qui est supérieur, à l'Etre suprême, à l'Univers TOTAL".
Mais ce raisonnement par raisonnement par générescence serait incomplet si l'on n'ajoutait pas que l'inverse est vrai aussi! En effet, un caillou par exemple "n'est pas vivant" (au premier degré de la notion de "vivant"). Donc la simple vue d'un caillou permet de la même façon par générescence de dire que l'Univers TOTAL "n'est pas vivant", qu'il est un modèle infini de caillou, la forme suprême d'une chose "non-vivante". Ce raisonnement est très exact aussi! Mais alors si la générescence permet de dire tout et son contraire, elle est fausse, c'est un paradoxe, n'est-ce pas?
Eh bien non, ce n'est pas un paradoxe! Le paradoxe, le vrai, vient simplement de ce qu'on raisonne avec une logique étroite, l'actuelle Logique Négative, fondée sur le mauvais Principe de non-contradiction telle qu'Aristote l'a formulé: "Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose" (Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20).
Ce principe n'est vrai qu'aux échelles ordinaires, exactement comme vue à petite échelle (à l'échelle uniquement d'un terrain de foot) la vérité est que "La Terre est plate". Mais vue à grande échelle "La Terre est ronde". Donc elle est plate et ronde, tout dépend de l'échelle et du contexte dans lequel on la voit. Les deux vérités alternent, et c'est ainsi en Logique Alternative (ou justement Logique Générescente ou FRACTALE) qu'il faut voir l'Univers TOTAL, sinon on commet de très graves erreurs comme maintenant! Selon le contexte dans lequel on se place dans l'Univers TOTAL, selon l'échelle à laquelle on voit les choses ou selon ce qui sert de modèle pour en parler (un humain ou un caillou), l'Univers TOTAL est vivant ou non-vivant!
Les incroyants intégristes ou les croyants fanatiques, bref les psyché de Négation, ne retiendront qu'une vérité (la leur) et rejetteront l'autre comme fausse, alors qu'elle est vraie aussi! Mais le croyant rationnel, ce que nous appelons précisément une psyché d'alternation, raisonnent en Logique Alternative, ils accèdent donc à toute la vérité de l'Univers!
Cependant, nous sommes obligés de reconnaître qu'entre se tromper en disant que "La Terre est plate" et se tromper en disant que "La Terre est ronde", la seconde erreur est moindre! Celui qui dit ça sait aussi ou peut plus facilement savoir que la Terre à des échelles restreintes est plate. Mais celui qui reste réduit à l'échelle restreinte et soutient que la Terre est seulement plate est aveugle!
C'est toujours ainsi, entre deux vérités contradictoires, quand celles-ci s'opposent comme s'opposent la Négation et l'Alternation. L'une est toujours suprérieure à l'autre, celle de l'Alternation, celle qui correspond à une vision plus globale des choses, ici par exemple la "Terre est ronde".
De même, dire que l'Univers est vivant est une vérité supérieure à celle qui consiste à dire est inerte. C'est le problème de l'actuelle théorie de l'évolution qui ne voit qu'un Univers interte dans lequel la vie apparaît (voir Le modèle biologique Univers-Maison et Le Paradoxe du Fumier)!
Celui qui dit que l'Univers est vivant voit bien (ou peut voir) que par endroits ou par moments il est non-vivant. Mais c'est une cécité épouvantable que de ne voir qu'un Univers non-vivant! En clair, il vaut mieux être un croyant qui se trompe qu'un athée qui a raison... Celui qui affirme une existence est toujours supérieur à celui qui nie une existence Je préfère dire que Dieu existe même si je ne sais pas de quoi je parle, car au pire je peux toujours dire que Dieu est un caillou ou un totem, et un caillou ou un totem existe. Mais c'est terrible de dire que Dieu n'existe pas sans savoir vraiment de quoi on parle, alors qu'au pire Dieu peut exister comme un caillou ou un totem. A forte raison s'il est l'Univers TOTAL!
Ces pourquoi les gens et en particulier les scientifiques de l'espèce de Jacques Monod sont vraiment à plaindre. Plaît-il? Ils sont biologistes? anthropologues? naturalistes? Quelle catastrophe pour la SCIENCE! Ce n'est la science de la VIE qu'ils font, mais la science de la MORT! Ils font mourir les esprits et les âmes de ceux qui boivent leurs idées mortelles. Ils incarnent la DEGENESCENCE de l'espèce humaine...
La biologie actuelle et plus précisément sa très importante branche
qu'est la théorie de l'évolution de Darwin;
ainsi que sa proche cousine l'anthropologie actuelle, la science de l'homme et du genre humain.
Ces sciences (si elles méritent qu'on les appelle "sciences")
sont à l'image de ces ossements, de ces crânes!
Elles sont sans vie, elle sont mortes, elles sont tout simplement la
Mort!
Et on ose sans scrupules appeler cela la science de l'homme,
la science de la vie ou la science du vivant!
Quelle insulte à la Vie!
Dégénération d'un Triangle de Sierpinski, le processus inverse de la génération:
Le Triangle est éclaté en ses trois principaux éléments,.
qui à leur tour sont disloqués de la même façon, et ainsi de suite.
Les quatre états 0, 1, 2, 3, sont quatre dégénérescences,
l'état 0 étant le moins dégénéré et l'état 3 le plus dégénéré,
comme un cadavre en décomposition.
Le contraire de la générescence est la dégénérescence, qui est l'état de ce qui est "dégénéré", "décomposé", "déstructuré", "déstruit", comme un arbre mort ou un organisme qui se décompose. L'opération aboutissant à cet état de dégénérescence est donc la "dégénération", le contraire de la "génération". Ceci est l'occasion de dire que la notion la plus générale de vie, c'est tout simplement la notion générescence. Le degré de vie d'un ensemble est tout simplement son degré d'organisation en tant que structure générescente.
Une générescence en train de dégénérer ou de regénérer...
Le monde de Dieu,
de la Générescence,
c'est aussi le monde de la résurrection des morts,
comme Jésus Christ ressuscita Lazare (Jean chapitre 11),
comme il ressuscita lui-même (Luc chapitre 24).
Bref, le monde de la Générescence, c'est le monde de la Régénérescence...
Le secret de la résurrection des morts dont parle la Bible se trouve tout simplement dans la notion de générescence de l'Univers TOTAL. Quel que soit l'état de destruction d'une chose X, son état de décomposition, bref son état de dégénérescence, toutes les formations relatives à la chose se trouvent dans la plus infime partie de l'Univers, dans la moindre plus petite chose, car toute chose est une générescence, elle constituée d'une seule chose élémentaire, U, qui est l'Univers TOTAL. X est donc de la forme: X = UUUUUUU...U. Par conséquent, même complètement détruite, toutes les informations sont dans l'unité U. Donc tout ce qu'il faut pour la régénérer dont dans cette unité!
Aucune chose ne disparaît donc vraiment jamais de l'Univers TOTAL (voir le Théorème de l'Existence), mais les choses disparaissent seulement dans un contexte ou dans un autre de l'Univers TOTAL. Sinon, dans l'absolu, dans l'Univers TOTAL, toutes les choses se recyclent tout simplement, elles se transforment. Elles se génèrent, elles se dégénèrent, elles régénèrent. Elles naissent, elles meurent, elles revivent. Elles se créent, elles se détruisent, elles se récréent. L'Univers TOTAL est le Générateur, le Dégénérateur et le Régénérateur de toutes choses (Genèse 1: 1; Révélation 21: 1-7).
La Générescence, c'est la Nouvelle Genèse, la Nouvelle Science de la Vie
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